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VDVisBack
Il est complètement déchiré Grizi.

Ses (multiples) sponsors vont pas kiffer mais cool de le voir comme ça.
joroto
[quote name='Boulick' post='3572321' date='16/07/2018 14:41']

Une belle équipe de golmons wub.gif wub.gif wub.gif



C'est bien marrant, ca change de ce qu'on peut entendre d'habitude.
Babou1
Ce gros lourd de Rami, Grizzi le calcule a peine neokill@h.gif
Tourista-chan
Bien sûr qu'on est la meilleure équipe du tournoi, y a pas de débat.
Boulick
Citation (Babou1 @ 16/07/2018 14:51) *
Ce gros lourd de Rami, Grizzi le calcule a peine neokill@h.gif

C'est lui qui sort le meilleur truc de cette phase avec son "y'avait trop de hics"
Babou1
Citation (Boulick @ 16/07/2018 14:52) *
C'est lui qui sort le meilleur truc de cette phase avec son "y'avait trop de hics"

Ouais 2 seondes de génie pour 2min48 de lourdeur et de forcage.

Citation (Tourista-chan @ 16/07/2018 14:52) *
Bien sûr qu'on est la meilleure équipe du tournoi, y a pas de débat.

Pogba qui marche sur le monde quand l'autre bouclé joue son match contre Chambly.
VDVisBack
Citation (Babou1 @ 16/07/2018 14:53) *
Ouais 2 seondes de génie pour 2min48 de lourdeur et de forcage.


Pogba qui marche sur le monde quand l'autre bouclé joue son match contre Chambly.

Le remue Lukaku est bon aussi.
daniel999
De bonnes présentations de Deschamps, quand on regarde de plus prêt on dirait vraiment que le mec est instoppable et qu'il finira président
- Complément d'enquête
- Un article du monde abonné qui résume plutot bien les 1h30 de documentaire
Spoiler :
Par Laurent Telo
C’est entendu, Didier Deschamps est désormais « le sélectionneur de l’équipe de Fraaaance champioooonne du moooonde 2018 ». Il est perché sur le toit du monde, il a tout gagné, etc. On n’a pas fini d’en souper. Donc, laissons le football de côté un instant pour évoquer un futur défi – notre homme est insatiable –, où il pourrait bien devenir, une fois encore, le meilleur : le gainage.

Le gainage est un exercice de renforcement abdominal exigeant qui consiste à se maintenir le plus longtemps possible en position de planche appuyé sur les avant-bras. Le record planétaire est de huit heures et une minute. Depuis quelques années, et ça se voit car il est devenu tout mince, Deschamps s’entraîne d’arrache-pied. Comme il est très scrupuleux, il a même trouvé une technique ergonomique qui consiste à placer des petits coussinets sous ses avant-bras. Désormais, il tient plus d’une heure, ce qui est très encourageant.

Cette passion méconnue a un sens : le challenge, la victoire, sous toutes ses formes, à n’importe quel prix, est son principal hobby. Une obsession de collectionneur, psychotique, même. Et comme la nature l’a doté d’un esprit footballistique supérieur dans ce genre d’exercice, son palmarès de joueur-entraîneur est devenu, depuis dimanche 15 juillet, presque indécent.

Ce palmarès, déplions-le, mais seulement l’essentiel, une table standard est bien trop petite, en mesurant scrupuleusement, pour chaque titre, le degré de travail, d’acharnement dans la routine, de va-et-vient dans un même rectangle-cage, d’abnégation et de chance, de force mentale, de renoncements et de ténacité de chien errant pour ne jamais abdiquer.

Ce sont à la fois des clichés sportifs et des réalités (sur) humaines : cet homme est un champion. Un champion du monde, un champion de France, un champion d’Italie, un champion d’Europe, et un champion du monde, encore, en tant qu’entraîneur, cette fois. Avant lui, ils n’étaient que deux, ce qui souligne la difficulté du genre, à garnir le gratin légendaire de ceux qui sont parvenus à remporter une Coupe du monde comme joueur puis comme entraîneur : le Brésilien Mario Zagallo et l’Allemand Franz Beckenbauer.

Homme de la situation
Deschamps a 49 ans. Il a presque toujours été ce qu’il est aujourd’hui. L’homme de la situation du football français. Depuis 1989 et sa première sélection en équipe nationale, il a toujours été ce passe-partout qui ne paye pas de mine, qu’on ne voit jamais arriver et que seul un futurologue de l’absurde aurait pu imaginer si haut. Dans son dernier livre, son ancien coéquipier Bixente Lizarazu (Mes prolongations, Seuil, 256 p., 19 euros) a résumé : « Son importance, c’est en son absence qu’on la mesure le mieux. » Il n’y a pas de sens caché ironique. C’est juste que si Deschamps n’irradie pas, il prolifère.

A l’aube de son destin, Deschamps était Blanchard. C’est le surnom que lui avait donné son grand copain de toujours, Marcel Desailly, quand ils se sont rencontrés au centre de formation du FC Nantes au début des années 1980. Gérard Blanchard, le chanteur pour campings qui beuglait que son amour était « parti avec le loup dans les grottes de Rock-Amadour ». Car Desailly, qui aimait beaucoup son copain, estimait, quand même, que s’obliger à porter un débardeur en jean sous un pull jacquard, plus une coupe mulet, était, certes, un signe des temps mais pouvait, déjà, piquer les yeux. Mais Deschamps et le culte des apparences, on l’a compris… Et donc, Desailly l’a appelé Blanchard. Blanchard et Desailly ne se quitteront plus beaucoup.

Après, il y aura toute une vie de redondances. Des entraînements, beaucoup d’entraînements, des matchs, des contrats avec de plus en plus de zéros, des victoires, des histoires d’argent, le moins de défaites possible, des transferts, etc. Et puis, aussi, surtout peut-être, la mort de deux frères. Desailly se souviendra toute sa vie que c’est Blanchard, et personne d’autre, qui lui a posé la main sur le bras pour lui annoncer la mort, en novembre 1984, dans un accident de voiture, de son demi-frère, Seth Adonkor, un grand espoir du football français. A cet instant, Desailly s’est dit que Blanchard n’avait que 16 ans et qu’il était déjà beaucoup plus adulte que les autres.

« IL MARQUERA PLUS L’HISTOIRE DU FOOTBALL COMME ENTRAÎNEUR QUE COMME JOUEUR »
MICHEL PLATINI
Deschamps a 20 ans quand son propre frère, Philippe, 22 ans, succombe dans un accident d’avion. Il n’avait sans doute déjà plus grand-chose à a apprendre mais la cruauté de la vie ou de la mort peut vous faire courir encore plus vite, encore plus longtemps, si c’est votre destin. C’est un moment fondateur, évidemment, mais dont il ne parle jamais.

C’est ainsi, avec lui : il ne parle jamais de ce qu’il a en dedans. Ni de sa mère, vendeuse de laine, et de son père, peintre en bâtiment au Pays basque. Ni de son âme de chef depuis toujours. De l’art de mener les hommes et de celui de bien s’entendre avec les entraîneurs et les dirigeants, dans une forme assumée de fayotage et rarement remise en cause, même par ses camarades de jeu, sauf par ceux qui ne sont pas sélectionnés ou titulaires à cause de lui.

La prophétie de Platini
A 24 ans, Bernard Tapie en avait fait un capitaine et son relais privilégié à l’Olympique de Marseille, où ne jouaient que des stars. Il deviendra ainsi le premier Français à soulever la Ligue des champions, en 1993. Aimé Jacquet en avait fait son capitaine en équipe de France. Il deviendra ainsi le premier Français à soulever une Coupe du monde, en 1998. Noël Le Graët, le président de la Fédération française de football (FFF), en a fait son sélectionneur national préféré. Un jour, Blanchard sera président de la FFF.

En 2004, alors que Deschamps était encore un entraîneur jeune, Michel Platini avait voulu prédire, avec un soupçon de jalousie chambreuse qui lui ressemble : « Il marquera plus l’histoire du football comme entraîneur que comme joueur. »

Quelques minutes après le but en or de David Trezeguet et la victoire à l’Euro 2000, tandis que quelques Bleus improvisaient une discussion sur l’herbe du terrain, Deschamps basculait à la fois naturellement et brusquement de son statut de joueur à celui d’entraîneur. Roger Lemerre, le sélectionneur d’alors, le suppliait de rester encore, un peu, mais lui, comme toujours, avait déjà tout prévu. Il avait déjà dessiné les plans de son nouveau monde de coach. Il se fera la main à l’AS Monaco, avec une finale (perdue) de Ligue des champions en 2004 ; redonnera quelques couleurs à la Juventus Turin tombée bien bas ; réapprendra à l’OM à gagner – champion de France 2010 – après dix-huit ans de disette.

Deschamps pourrait avoir une statue dans tous ses ports. Mais, tout de même, ce n’est pas si simple. Sa trajectoire footballistique, c’est une histoire française. Une nationale tortueuse et truculente, pas une autoroute allemande.

Un besoin viscéral de tout savoir
Parce que le football, c’est un milieu où il y a de l’herbe verte et aussi des orties, un milieu quelquefois tordu comme un bretzel. Quand éclate le scandale de corruption de l’affaire VA-OM, en 1993, il est le capitaine et le joueur de confiance de Tapie. Quand éclate l’affaire de dopage à la Juventus, qui semblait avoir été transformée en hôpital, Deschamps était un titulaire indéboulonnable. Mais il n’a jamais bronché.

Durant le procès, il s’est même mis à discuter posologie et effets indésirables avec l’expert médical du tribunal, qui s’est aperçu qu’un joueur de foot pouvait en connaître un rayon. Deschamps a un besoin viscéral de tout savoir, de tout maîtriser. De ces deux plus gros scandales du football européen de la fin du XXe siècle, il est sorti immaculé. Il n’y a que les journalistes, sûrement ceux pas très fans de foot, qui lui rappellent, à l’occasion, ces épisodes. Dans ces moments-là, ses yeux ne cillent pas, il reste raide comme la justice, si l’on peut dire. Oui, car se sentir coupable, ce serait le commencement de la défaite.

Une fois qu’on a fait le ménage avec toutes les accusations, on supporte mieux les critiques sportives. Quantité tellement négligeable. Depuis les échecs en quarts de finale du Mondial 2014 – contre l’Allemagne – puis en finale de l’Euro 2016 (contre le Portugal), ce qui ne lui ressemble pas, il était « sous pression », comme on dit.

Attention, rien de comparable avec ce qu’Aimé Jacquet a pu subir entre 1996 et 1998 (l’écartèlement du sélectionneur en place publique n’est plus à la mode), mais tout le monde n’en pensait pas moins : comment se passer de Karim Benzema ? Est-ce bien raisonnable de n’avoir pas de schéma tactique défini à l’orée du tournoi mondial ? France-Danemark (0-0), était-ce bien un match de football ? Deschamps n’a répondu à rien. Il n’y avait pas besoin. Il a gagné.

Troisième étoile
Depuis dimanche et ce nouveau Graal, il a encore ajusté sa trajectoire. Il est celui qu’on redécouvre toujours et qu’on réhabilite sans cesse, sans trop culpabiliser. Car on peut en penser ceci ou cela, Deschamps estime, lui, que le parfum enivrant des perdants magnifiques, les attaquants en gants blancs et casoars, le romantisme, tout ça, ce n’est pas son genre… Lui préfère les réponses adéquates et froides comme une technologie moderne.

On lui parle souvent de cette troisième étoile, qui, visiblement, n’appartient qu’à lui, celle qu’on appelle la bonne étoile. La chance, celle qui décide, par exemple, que l’attaquant uruguayen Edinson Cavani, blessé, ne jouera pas le quart de finale. Deschamps déteste parler de ça, cela voudrait dire que son travail n’y est pour rien, alors qu’il traque le plus petit des hasards dans toutes les encoignures.

Parce que la victoire collective n’obéit à aucune loi rationnelle, l’union est imperceptible, l’osmose insondable, surtout avec une jeune génération qui cherchera toujours à jouer son petit air solo, qui rigolerait beaucoup si on lui faisait chanter « aimons nous les uns les autres, si tous les gars du monde… » La contribution de Deschamps ? La pincée de sel qu’on ajoute à un plat déjà très compliqué.

Dimanche, il a largué les amarres de son dernier rêve. Il peut aller se reposer le septième puis les jours suivants. En théorie, il est lié à son mandat de sélectionneur pour encore deux années. Et on va reparler très vite de Zinédine Zidane, en vacances, invisible depuis le début de l’épopée russe, pour lui succéder.

A l’heure de soupeser les deux plus prestigieux monuments du football français, de laisser la foule choisir, sur l’avenue, entre « Zidane président » et « Deschamps Elysées », il convient de constater qu’on pardonne tout à Zidane et qu’on pardonne presque tout à Deschamps. Pourtant, il n’est plus du tout certain que même Zidane ait envie de succéder à un monument pareil. Faire aussi bien ? Il semble que, cette fois, Deschamps a vraiment tué le métier



Et que dire de notre formidable KIKI C'EST LUI LE KIKI DE TOUS LES KIKI sur l'ensemble de cette cdm wub.gif
MoMoZeRo
Citation (noa @ 16/07/2018 14:26) *
https://www.facebook.com/justlouisdefunes/v...66533327076027/

Louis de Funès retrace l'épopée des bleus wub.gif


Absolument GENIAL !!!! wub.gif
Carlton
Citation (Babou1 @ 16/07/2018 14:53) *
Pogba qui marche sur le monde quand l'autre bouclé perd son match contre Chambly.

FYP
ILAG
Citation (GermainYoupi @ 16/07/2018 14:30) *
Ils devaient se dire la meme chose sur la France (alors que la France a déjà été finaliste).

Les Anglais ont fait un beau parcours© mais ils perdent quand même une place dans la hiérarchie mondiale (et européenne kratos77.gif ). Leurs félicitations ne sont évidemment pas sincères à ces perfides, on a battu sans forcer ceux qui ont brisé leur rêve + la rage de pas pouvoir se payer un joueur de la Mickey Mouse League smoke2.gif


Finaliste, et trois autres fois demi finaliste, du coup comparé à la France, ils devraient se faire tout petits d'avoir dépassé seulement deux fois les quarts dans leur histoire avant cette année. Les espagnols j'en parle pas, ça se limite à 2010 edhelas.gif
footixnumba1
C'est un marseillais mais j'ai beaucoup aimé Hernandez.
Pavard a sa chanson, mais le vrai novice au poste qui m'a impressionné est le madrilène.
parizien
Citation (Falcacao @ 16/07/2018 14:30) *
Vraie question il s'est passé quoi avec ses dents à DD ? Car en 98 quand il soulève la coupe sa dentition est normale et acceptable mellow.gif

C'est pourtant pas difficile à trouver, Deschamps est certifié 100% rat, il a donc le SIDA.
florian
Citation (parizien @ 16/07/2018 15:54) *
C'est pourtant pas difficile à trouver, Deschamps est certifié 100% rat, il a donc le SIDA.


mais non pas 100% révise un peu sa carrière...
Boulick
remix
Citation (Boulick @ 16/07/2018 15:58) *


Putain, c'est trop beau.
Baojin
Citation (Boulick @ 16/07/2018 09:58) *


On voit rien sad.gif enfin ici en tout cas. Ah non c'était le proxy du boulot c'est cool ces unes !
Crocop
Vous pensez qu'ils dorment dans l'avion ? la journée va être longue pour eux. edhelas.gif
PetaiceJay
Citation (Crocop @ 16/07/2018 16:21) *
Vous pensez qu'ils dorment dans l'avion ? la journée va être longue pour eux. edhelas.gif



https://www.flightradar24.com/AFR4001/1d25c3c3 Ils arrivent kratos77.gif
Homer
Citation (JCD @ 16/07/2018 14:08) *
Question con mais Deschamps est le premier entraineur à faire finale de C1 / de championnat d'Europe / de coupe du monde ou y'a un précédent ?

Sinon se relever de la terrible défaite en finale de l'euro et faire ce qu'on vient de faire deux ans plus tard c'est très fort, de la part des joueurs qui étaient là il y a deux ans comme du rat. Sur le plan mental on a été monstrueux.

Del Bosque a du faire le triptyque non ?
Crocop
Citation (PetaiceJay @ 16/07/2018 14:28) *

neokill@h.gif

Oh wait il fait demi-tour... laugh.gif
Le Cyclone
Citation (Homer @ 16/07/2018 16:30) *
Del Bosque a du faire le triptyque non ?

Del Bosque a même gagné 2 Ligues des Champions, en 2000 et 2002 wink.gif
Boulick
filet-o-fish
Citation (daniel999 @ 16/07/2018 14:56) *
De bonnes présentations de Deschamps, quand on regarde de plus prêt on dirait vraiment que le mec est instoppable et qu'il finira président
- Complément d'enquête
- Un article du monde abonné qui résume plutot bien les 1h30 de documentaire
Spoiler :
Par Laurent Telo
C’est entendu, Didier Deschamps est désormais « le sélectionneur de l’équipe de Fraaaance champioooonne du moooonde 2018 ». Il est perché sur le toit du monde, il a tout gagné, etc. On n’a pas fini d’en souper. Donc, laissons le football de côté un instant pour évoquer un futur défi – notre homme est insatiable –, où il pourrait bien devenir, une fois encore, le meilleur : le gainage.

Le gainage est un exercice de renforcement abdominal exigeant qui consiste à se maintenir le plus longtemps possible en position de planche appuyé sur les avant-bras. Le record planétaire est de huit heures et une minute. Depuis quelques années, et ça se voit car il est devenu tout mince, Deschamps s’entraîne d’arrache-pied. Comme il est très scrupuleux, il a même trouvé une technique ergonomique qui consiste à placer des petits coussinets sous ses avant-bras. Désormais, il tient plus d’une heure, ce qui est très encourageant.

Cette passion méconnue a un sens : le challenge, la victoire, sous toutes ses formes, à n’importe quel prix, est son principal hobby. Une obsession de collectionneur, psychotique, même. Et comme la nature l’a doté d’un esprit footballistique supérieur dans ce genre d’exercice, son palmarès de joueur-entraîneur est devenu, depuis dimanche 15 juillet, presque indécent.

Ce palmarès, déplions-le, mais seulement l’essentiel, une table standard est bien trop petite, en mesurant scrupuleusement, pour chaque titre, le degré de travail, d’acharnement dans la routine, de va-et-vient dans un même rectangle-cage, d’abnégation et de chance, de force mentale, de renoncements et de ténacité de chien errant pour ne jamais abdiquer.

Ce sont à la fois des clichés sportifs et des réalités (sur) humaines : cet homme est un champion. Un champion du monde, un champion de France, un champion d’Italie, un champion d’Europe, et un champion du monde, encore, en tant qu’entraîneur, cette fois. Avant lui, ils n’étaient que deux, ce qui souligne la difficulté du genre, à garnir le gratin légendaire de ceux qui sont parvenus à remporter une Coupe du monde comme joueur puis comme entraîneur : le Brésilien Mario Zagallo et l’Allemand Franz Beckenbauer.

Homme de la situation
Deschamps a 49 ans. Il a presque toujours été ce qu’il est aujourd’hui. L’homme de la situation du football français. Depuis 1989 et sa première sélection en équipe nationale, il a toujours été ce passe-partout qui ne paye pas de mine, qu’on ne voit jamais arriver et que seul un futurologue de l’absurde aurait pu imaginer si haut. Dans son dernier livre, son ancien coéquipier Bixente Lizarazu (Mes prolongations, Seuil, 256 p., 19 euros) a résumé : « Son importance, c’est en son absence qu’on la mesure le mieux. » Il n’y a pas de sens caché ironique. C’est juste que si Deschamps n’irradie pas, il prolifère.

A l’aube de son destin, Deschamps était Blanchard. C’est le surnom que lui avait donné son grand copain de toujours, Marcel Desailly, quand ils se sont rencontrés au centre de formation du FC Nantes au début des années 1980. Gérard Blanchard, le chanteur pour campings qui beuglait que son amour était « parti avec le loup dans les grottes de Rock-Amadour ». Car Desailly, qui aimait beaucoup son copain, estimait, quand même, que s’obliger à porter un débardeur en jean sous un pull jacquard, plus une coupe mulet, était, certes, un signe des temps mais pouvait, déjà, piquer les yeux. Mais Deschamps et le culte des apparences, on l’a compris… Et donc, Desailly l’a appelé Blanchard. Blanchard et Desailly ne se quitteront plus beaucoup.

Après, il y aura toute une vie de redondances. Des entraînements, beaucoup d’entraînements, des matchs, des contrats avec de plus en plus de zéros, des victoires, des histoires d’argent, le moins de défaites possible, des transferts, etc. Et puis, aussi, surtout peut-être, la mort de deux frères. Desailly se souviendra toute sa vie que c’est Blanchard, et personne d’autre, qui lui a posé la main sur le bras pour lui annoncer la mort, en novembre 1984, dans un accident de voiture, de son demi-frère, Seth Adonkor, un grand espoir du football français. A cet instant, Desailly s’est dit que Blanchard n’avait que 16 ans et qu’il était déjà beaucoup plus adulte que les autres.

« IL MARQUERA PLUS L’HISTOIRE DU FOOTBALL COMME ENTRAÎNEUR QUE COMME JOUEUR »
MICHEL PLATINI
Deschamps a 20 ans quand son propre frère, Philippe, 22 ans, succombe dans un accident d’avion. Il n’avait sans doute déjà plus grand-chose à a apprendre mais la cruauté de la vie ou de la mort peut vous faire courir encore plus vite, encore plus longtemps, si c’est votre destin. C’est un moment fondateur, évidemment, mais dont il ne parle jamais.

C’est ainsi, avec lui : il ne parle jamais de ce qu’il a en dedans. Ni de sa mère, vendeuse de laine, et de son père, peintre en bâtiment au Pays basque. Ni de son âme de chef depuis toujours. De l’art de mener les hommes et de celui de bien s’entendre avec les entraîneurs et les dirigeants, dans une forme assumée de fayotage et rarement remise en cause, même par ses camarades de jeu, sauf par ceux qui ne sont pas sélectionnés ou titulaires à cause de lui.

La prophétie de Platini
A 24 ans, Bernard Tapie en avait fait un capitaine et son relais privilégié à l’Olympique de Marseille, où ne jouaient que des stars. Il deviendra ainsi le premier Français à soulever la Ligue des champions, en 1993. Aimé Jacquet en avait fait son capitaine en équipe de France. Il deviendra ainsi le premier Français à soulever une Coupe du monde, en 1998. Noël Le Graët, le président de la Fédération française de football (FFF), en a fait son sélectionneur national préféré. Un jour, Blanchard sera président de la FFF.

En 2004, alors que Deschamps était encore un entraîneur jeune, Michel Platini avait voulu prédire, avec un soupçon de jalousie chambreuse qui lui ressemble : « Il marquera plus l’histoire du football comme entraîneur que comme joueur. »

Quelques minutes après le but en or de David Trezeguet et la victoire à l’Euro 2000, tandis que quelques Bleus improvisaient une discussion sur l’herbe du terrain, Deschamps basculait à la fois naturellement et brusquement de son statut de joueur à celui d’entraîneur. Roger Lemerre, le sélectionneur d’alors, le suppliait de rester encore, un peu, mais lui, comme toujours, avait déjà tout prévu. Il avait déjà dessiné les plans de son nouveau monde de coach. Il se fera la main à l’AS Monaco, avec une finale (perdue) de Ligue des champions en 2004 ; redonnera quelques couleurs à la Juventus Turin tombée bien bas ; réapprendra à l’OM à gagner – champion de France 2010 – après dix-huit ans de disette.

Deschamps pourrait avoir une statue dans tous ses ports. Mais, tout de même, ce n’est pas si simple. Sa trajectoire footballistique, c’est une histoire française. Une nationale tortueuse et truculente, pas une autoroute allemande.

Un besoin viscéral de tout savoir
Parce que le football, c’est un milieu où il y a de l’herbe verte et aussi des orties, un milieu quelquefois tordu comme un bretzel. Quand éclate le scandale de corruption de l’affaire VA-OM, en 1993, il est le capitaine et le joueur de confiance de Tapie. Quand éclate l’affaire de dopage à la Juventus, qui semblait avoir été transformée en hôpital, Deschamps était un titulaire indéboulonnable. Mais il n’a jamais bronché.

Durant le procès, il s’est même mis à discuter posologie et effets indésirables avec l’expert médical du tribunal, qui s’est aperçu qu’un joueur de foot pouvait en connaître un rayon. Deschamps a un besoin viscéral de tout savoir, de tout maîtriser. De ces deux plus gros scandales du football européen de la fin du XXe siècle, il est sorti immaculé. Il n’y a que les journalistes, sûrement ceux pas très fans de foot, qui lui rappellent, à l’occasion, ces épisodes. Dans ces moments-là, ses yeux ne cillent pas, il reste raide comme la justice, si l’on peut dire. Oui, car se sentir coupable, ce serait le commencement de la défaite.

Une fois qu’on a fait le ménage avec toutes les accusations, on supporte mieux les critiques sportives. Quantité tellement négligeable. Depuis les échecs en quarts de finale du Mondial 2014 – contre l’Allemagne – puis en finale de l’Euro 2016 (contre le Portugal), ce qui ne lui ressemble pas, il était « sous pression », comme on dit.

Attention, rien de comparable avec ce qu’Aimé Jacquet a pu subir entre 1996 et 1998 (l’écartèlement du sélectionneur en place publique n’est plus à la mode), mais tout le monde n’en pensait pas moins : comment se passer de Karim Benzema ? Est-ce bien raisonnable de n’avoir pas de schéma tactique défini à l’orée du tournoi mondial ? France-Danemark (0-0), était-ce bien un match de football ? Deschamps n’a répondu à rien. Il n’y avait pas besoin. Il a gagné.

Troisième étoile
Depuis dimanche et ce nouveau Graal, il a encore ajusté sa trajectoire. Il est celui qu’on redécouvre toujours et qu’on réhabilite sans cesse, sans trop culpabiliser. Car on peut en penser ceci ou cela, Deschamps estime, lui, que le parfum enivrant des perdants magnifiques, les attaquants en gants blancs et casoars, le romantisme, tout ça, ce n’est pas son genre… Lui préfère les réponses adéquates et froides comme une technologie moderne.

On lui parle souvent de cette troisième étoile, qui, visiblement, n’appartient qu’à lui, celle qu’on appelle la bonne étoile. La chance, celle qui décide, par exemple, que l’attaquant uruguayen Edinson Cavani, blessé, ne jouera pas le quart de finale. Deschamps déteste parler de ça, cela voudrait dire que son travail n’y est pour rien, alors qu’il traque le plus petit des hasards dans toutes les encoignures.

Parce que la victoire collective n’obéit à aucune loi rationnelle, l’union est imperceptible, l’osmose insondable, surtout avec une jeune génération qui cherchera toujours à jouer son petit air solo, qui rigolerait beaucoup si on lui faisait chanter « aimons nous les uns les autres, si tous les gars du monde… » La contribution de Deschamps ? La pincée de sel qu’on ajoute à un plat déjà très compliqué.

Dimanche, il a largué les amarres de son dernier rêve. Il peut aller se reposer le septième puis les jours suivants. En théorie, il est lié à son mandat de sélectionneur pour encore deux années. Et on va reparler très vite de Zinédine Zidane, en vacances, invisible depuis le début de l’épopée russe, pour lui succéder.

A l’heure de soupeser les deux plus prestigieux monuments du football français, de laisser la foule choisir, sur l’avenue, entre « Zidane président » et « Deschamps Elysées », il convient de constater qu’on pardonne tout à Zidane et qu’on pardonne presque tout à Deschamps. Pourtant, il n’est plus du tout certain que même Zidane ait envie de succéder à un monument pareil. Faire aussi bien ? Il semble que, cette fois, Deschamps a vraiment tué le métier



Et que dire de notre formidable KIKI C'EST LUI LE KIKI DE TOUS LES KIKI C'EST LUI LE KIKI C'EST LUI LE KIKI DE TOUS LES KIKI DE TOUS LES KIKI C'EST LUI LE KIKI DE TOUS LES KIKI sur l'ensemble de cette cdm wub.gif

Je m'étais fais la même reflexion en voyant le complément d'enquête sur DD, il a tout du politicien parfait et finira certainement président de la Fédé.
Incroyable les scènes à Paris et de se dire en se levant que la France est championne du monde, je hais Deschamps sa mentalité et on peut objectivement se dire que le jeu proposé par la France sur cette CDM ne restera pas dans les annales mais malgré tout avec Zidane ce sont les deux hommes qui symbolisent le mieux la France qui gagne au foot.
Après avec cette génération de folie, et maintenant qu'on est champion du monde.. Ca serait bien de réfléchir d'avantage sur le jeu parce qu'on s'est bien fait chier sur cette CDM.
Crocop
bonda lover
Sommes-nous qualifiés d'office pour la prochaine CDM ?
Mathieu
Citation (bonda lover @ 16/07/2018 16:44) *
Sommes-nous qualifiés d'office pour la prochaine CDM ?

Non, il me semble qu'on a été les derniers à profiter de ce système en 2002
PetaiceJay
Citation (bonda lover @ 16/07/2018 16:44) *
Sommes-nous qualifiés d'office pour la prochaine CDM ?

Non.

Par contre on va jouer la coupe des confédérations kratos77.gif ph34r.gif
wakabayashi
L'avion s'est posé \o/. ph34r.gif
Homer
Citation (bonda lover @ 16/07/2018 16:44) *
Sommes-nous qualifiés d'office pour la prochaine CDM ?

Non, le vainqueur doit passer par les qualifs depuis 2002. Mais bon, avec 48 équipes à qualifier... book2.gif
wakabayashi
Citation (Homer @ 16/07/2018 16:47) *
Non, le vainqueur doit passer par les qualifs depuis 2002. Mais bon, avec 48 équipes à qualifier... book2.gif


2026 les 48 équipes non? C'est déjà pour la prochaine?
Gilgamesh
Citation (Philo @ 16/07/2018 12:17) *
Quand je vois cette EDF, avec ses forces et ses faiblesses, la clé du tournoi tient en une stat : elle n'a été menée que 9 minutes, le temps que Pavard mette le but de sa carrière.


C'est l'une des choses à bien analyser : C'est la coupe du monde de la "force collective" à l'image des russes ou des croates qui s'arrachent pleins de fois de situations compliqués. On l'a vu aussi à l'euro avec des équipes comme l'Islande.

Et oui la France a parfois fait des erreurs mais la force collective a sublimée certains joueurs et les buts pouvaient venir de quasiment tout le monde. On constate d'ailleurs que sur les joueurs de champs, seul Matuidi, Giroud et Kanté n'ont marqué aucun but.

Une équipe façon PSG vahid en somme wink.gif

Je pense que cela vient compenser la tendance des équipes au jeu trop pointu et ou le moindre grain de sable vient dérégler la machine. Deschamps revendique une équipe qui peut s'adapter à beaucoup de situations.

PS : je cherche aussi des articles pour expliquer le non match de Kanté en finale. Peu de monde en parle.
bonda lover
Citation (PetaiceJay @ 16/07/2018 16:46) *
Non.

Par contre on va jouer la coupe des confédérations kratos77.gif ph34r.gif



On va rappeler les Née et André ph34r.gif
Homer
Citation (wakabayashi @ 16/07/2018 16:48) *
2026 les 48 équipes non? C'est déjà pour la prochaine?

2022 normalement.
wakabayashi
Citation (Homer @ 16/07/2018 16:49) *
2022 normalement.


Ok merci happy.gif
Mathieu
Citation (PetaiceJay @ 16/07/2018 16:46) *
Non.

Par contre on va jouer la coupe des confédérations kratos77.gif ph34r.gif

Même pas, en tout cas ce n'est pas sûr vu que la FIFA parlait de supprimer cette coupe pour la remplacer par un championnat du monde des clubs.
La dite compétition aura-t-elle d'ailleurs lieu à l'hiver 2021? Obligeant les fédérations à s'organiser 2 ans d'affilée.
Boulick
Citation (Gilgamesh @ 16/07/2018 16:48) *
PS : je cherche des articles pour expliquer le non match de Kanté en finale. Peu de monde en parle.

Il s'est chié dessus et les Croates nous pressaient bien.
Crocop
Citation (Boulick @ 16/07/2018 14:51) *
Il s'est chié dessus et les Croates nous pressaient bien.

Abuse pas, il a loupé 2-3 trucs, pas plus que les autres. laugh.gif

Comme a chaque fois il est parfait quand il rate quelque chose ça se voit plus.
bonda lover
A mon avis, Kanté était cuit entre les duels, le fait que la balle aille rapidement de droite à gauche et inversement, le jeu en petites passes des croates et le fait que Matuidi et dans une moindre mesure Pogba soient bien écartés sur le terrain.
Le Trépied
Il s’est vraiment chié dessus sinon, il avait la gastro ph34r.gif
Crocop
Citation (wakabayashi @ 16/07/2018 14:46) *
L'avion s'est posé \o/. ph34r.gif

IL ARRIVE RICHARD
Le parasite
Citation (Crocop @ 16/07/2018 16:53) *
Abuse pas, il a loupé 2-3 trucs, pas plus que les autres. laugh.gif


Il avait la gastro pendant le match. book2.gif

Tu comprendras mieux les propos de boulick enfin j'espère. ph34r.gif
Crocop
Citation (Le Trépied @ 16/07/2018 14:54) *
Il s’est vraiment chié dessus sinon, il avait la gastro ph34r.gif

ça faisait fluip fluip dans les duels.
bonda lover
Il a fait une Tom Dumoulin donc.
Crocop
Citation (bonda lover @ 16/07/2018 15:02) *
Il a fait une Tom Dumoulin donc.

Une Yohann Diniz
joroto
Citation (Crocop @ 16/07/2018 17:04) *
Une Yohann Diniz

Bien trash celle la.
Crocop
Le journaliste qui dit que Flessel est madame Pogba. ph34r.gif
Gilgamesh
Citation (Le Trépied @ 16/07/2018 16:54) *
Il s’est vraiment chié dessus sinon, il avait la gastro ph34r.gif


Je me disais bien que ce n'était pas le mental vu son profil.

Quelle idée génial au passage : tout ce joue sur des détails et on décide de jouer à 10 contre une équipe Croate fatiguée ...
Nzonzi, sans être un foudre de guerre, a aussitôt stabilisé l'équipe ce qui prouve l'écart entre les deux formations.

Seul l'erreur de Lloris nous a remis dans le dur au final si on regarde le scénario du match.
Neymar Jr
Citation (ramutcho @ 16/07/2018 11:04) *
On risque d'attendre longtemps avant de le savoir.

Revois son but et fais des déductions. smoke2.gif
Miles
Au final, à chaque fois qu'on a accéléré 10mn, on a marqué 2-3 buts, énorme potentiel
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