A ce niveau là, on met :indy:

Ainsi est née la Libertadores
Le tournoi qui réunit les grand d'Amérique du Sud, et aujourd'hui du Mexique, a pris sa source en 1960, un 19 avril. Peñarol écrase alors Jorge Wilstermann (7-1), pour inaugurer une Copa Libertadores qui ne porte pas encore son nom.


Alberto Spencer (Penarol)

L'idée était de célébrer un tournoi qui opposerait les monarques de chaque pays. Une idée qui commence à prendre une forme concrète en 1958 lors d'un congrès de la fédération sud-américaine. Poids lourd continental sur le terrain, mais aussi au sein des instances, l'Uruguay est alors le seul pays à s'opposer au projet. Les charruas craignaient que la compétition affaiblisse les championnats nationaux. Avec les Argentins, ils furent pourtant les premiers à organiser un tournoi international : la Copa Rio de la Plata qui opposait les champions des deux rives depuis 1913. D'autres leur succèderont, notamment une Coupe des champions impulsée par les dirigeants de Colo-Colo. Sa première édition se tiendra en 1948.

Un coup de pouce décisif pour la création de ce qui deviendra la Copa Libertadores viendra finalement d'Europe, et même de France. Henry Delaunay propose en 1958 une double confrontation entre le champion d'Europe et celui d'Amérique du Sud. Les Uruguayens finissent finalement par se ranger à l'idée d'une Coupe des champions continentale. Au point que le dirigeant de Peñarol, Washington Cataldi, se transforme en grand promoteur de l'épreuve. Le club aurinegro accueille d'ailleurs en 1960, le premier match de la Coupe des champions d'Amérique (Copa Campeones de America), rebaptisée officiellement Copa Libertadores six ans plus tard.

Il a marqué, Spencer

Le 19 avril, Peñarol reçoit les Boliviens de Jorge Wilsterman. Au total, seuls sept club disputent cette première édition (Olimpia, Universidad de Chile, Millionarios, San Lorenzo, Esporte Club Bahia, et les sus-nommés). Pérou, Equateur, et Vénézuela n'envoient pas de représentants. Très loin de l'ambiance hostile qui entoure désormais les équipes visiteuses en Libertadores, l'accueil fait aux Boliviens est confraternel. Les joueurs de Peñarol leur préparent un asado au sein de leurs installations, et servent la viande à leurs adversaires. L'amabilité uruguayenne s'évapore toutefois une fois à l'intérieur du rectangle vert.

Dès la 13e minute, Carlos Borges inscrit le premier but de la compétition devant la tribune Colombes, baptisée ainsi en hommage au stade où triompha la Celeste lors des Jeux Olmpiques de 1928. Suivront six autres buts, dont un quadruplé de l'Equatorien, Alberto Spencer, encore aujourd'hui le meilleur réalisateur de la Libertadores, avec une colonne total bloquée à cinquante-quatre. 35000 spectateurs assistent à la rencontre, les dirigeants de Peñarol l'ayant habilement programmée un jour férié (fête de la Patrie célébrant le débarquement des trente-trois Orientaux).

Cinq sacres

Au retour, même ambiance confraternelle. Malgré la correction reçue (7-1), les joueurs de Jorge Wilstermann accueillent leurs adversaires à l'aéroport, en compagnie de leurs épouses, et se font prendre en photos avec le futur vainqueur de l'épreuve. Le match retour accouche d'un nul (1-1). Peñarol remportera la finale face à l'Olimpia Asuncion. Le premier de ses cinq sacres. En 1966, les Uruguayens imposeront une réforme de la compétition, qui prendra alors officiellement le nom de de Copa Libertadores. Désormais, le vice-champion de chaque pays se trouve également qualifié pour l'épreuve. «On a dit qu'il s'agissait, avant tout, d'une manoeuvre pour assurer la présence des deux géants du football uruguayen (Peñarol et Nacional), c'est en partie vrai, a reconnu Washington Cataldi, le dirigeant aurinegro, mais j'ai surtout voyagé dans toute l'Amérique du Sud pour convaincre qu'il serait meilleur de jouer avec vingt équipes plutôt que dix. L'histoire m'a donné raison.»

Neymar continue d'écrire son nom dans l'histoire du FC Santos.
Avec son nouveau but contre les boliviens de The Strongest hier, l'attaquant de la Seleção a battu le record d'une des légendes du FC Santos Coutinho, buteur vedette des années 50 à 70, avec onze réalisations dans la compétition continentale. Neymar est désormais le troisième meilleur buteur du club dans l'histoire de la Libertadores après Pelé, 17 et Robinho, 14.

je pige pas trop pourquoi il veut rester encore au Brésil, la coupe du monde c'est pas demain encore... c'est dans 2 piges.

Leão compare Casemiro à Kaka
Devenu titulaire indiscutable du côté de São Paulo, Casemiro a provoqué les éloges de son entraineur qui le compare au milieu de terrain du Real Madrid.

Pour son quart de finale du Paulistão face à Bragantino demain, l’entraineur de São Paulo Emerson Leão récupérera son milieu de terrain Casemiro, suspendu lors du dernier match du Tricolor. Le technicien pauliste a comparé son jeune joueur à une idole de São Paulo, Kaka. Même si le champion du monde des moins de 20 ans a connu une période difficile la saison dernière, il se montre désormais à son avantage et est devenu une pièce essentielle de son équipe.

"Toutes les équipes devraient avoir non pas un mais deux Casemiro. Il fait partie de ses joueurs capables de changer le cours d’un match. En Europe, il y a beaucoup de joueurs de ce type. Mais il est dans le style d’un Kaka, un joueur capable de faire la différence."

La comparaison est plus que flatteuse pour Casemiro qui il y a encore quelques semaines étaient sous le feu des critiques de la presse pauliste et des supporters.

Neymar et l'entreprise de marketing sportif de Ronaldo développent une stratégie commerciale redoutable au Brésil pour le Mondial 2014.
Sur le terrain, Neymar est synonyme de talent. En dehors, c'est une machine à gagner de l'argent. L'attaquant du FC Santos a signé hier son onzième contrat publicitaire jusqu'en août 2014 avec la société "Baterias Heliar", un projet qui s'est concrétisé grâce à l'entreprise de Ronaldo, la 9ine.

Le joueur possède désormais onze contrats publicitaires avec Volkswagen, Panasonic, Nike, Red Bull, Tenys Pé Baruel, Ambev, Lupo, Claro, Unilever et Banco Santander.
La clause libératoire de l'attaquant de la Seleção est désormais de 70 millions d'euros.

River Plate dans de beaux draps
Relégués en fin de saison dernière et sur la voie de la remontée, les Millonarios ont décidé de prouver au monde que leur grandeur ne s’est pas envolée. Comment ? En confectionnant le plus long tifo du monde…

Frappé sur la poitrine, le leitmotiv “El Mas Grande” (Le Plus Grand) annonce la couleur : River n’est pas un club comme les autres. Ou plutôt, il ne se revendique pas comme les autres, mais au-dessus des autres. Alors en ces temps de vaches maigres, les supporters du club le plus titré d’Argentine (au niveau national, avec trente-trois titres de champion de Primera), sont bien décidés à remettre les pendules à l’heure en faisant une démonstration de leur incroyable capacité de mobilisation. Leur idée ? Réunir plusieurs milliers de mètres carrés de tissu afin de confectionner le plus long tifo que la terre ait jamais connue. Une marée de textile assemblée bout à bout afin de relier – sur plus de six kilomètres ! – l’ancien stade des Millonarios, dans le quartier de Recoleta, au mythique Monumental, situé dans la zone nord de Buenos Aires, à Nuñez.

Record du monde en vue

Pour réaliser cette œuvre magistrale, le Frente Angel Labruna (un groupe de socios qui a dédié son nom au meilleur buteur de l’histoire du club), a lancé un appel à tous les fans de River Plate. José Serio et ses compères ont commencé à récolter des bouts de tissus de 4,5 mètres de large (1,50 m de blanc de part et d’autre et 1,50 m de rouge au milieu) qu’ils assemblent au fur et à mesure, dans l’idée d’inscrire River Plate dans le Guinness Book des records, avec le titre de détenteur du « plus long drapeau du monde ». « De la Quiaca (dans l’extrême nord de l’Argentine, à la frontière avec la Bolivie) à Ushuaia, tous les supporters de River peuvent collaborer », souligne José Serio, l’attaché de presse du Frente Angel Labruna.

Relier passé et présent

Le 20 décembre 2009, 200 000 supporters de Rosario Central avaient déployé un drapeau de 4 350 m de long. En Copa Libertadores, l’an dernier, les hinchas de Peñarol avaient déroulé un tifo de… 15 000 m2 (!), recouvrant la moitié des tribunes. En 2001, à l’occasion du centenaire du club, les Millonarios avaient eux-mêmes exhibé dans les rues de Buenos Aires une partie du tifo auquel vont être ajoutés les mètres de tissus réunis ces prochaines semaines depuis les quatre coins de l’Argentine, dans les 197 filiales du club et au pied du Monumental. Le gigantesque drapeau sera présenté le 28 septembre prochain à l’occasion des 111 ans du Jour International de l’Hincha de River Plate, par une insolite caravane qui unira ses deux stades, l’ancien et l’actuel. Tout un symbole pour un club qui compte bien renouer prochainement avec son passé en retrouvant la première division.

T'es au courant que t'as mis la vidéo de Penarol ?

J'ai essayé de trouver la vidéo du tifo du 28 septembre 2012 mais pas trouvé.
Si tu l'as je suis preneur.

Il ne semble pas exceptionnel "Ciri". Pour ce genre de joueurs, qui n'ont pas encore explosés, autant faire confiance au centre de formation

En parlant de River j'avais une question pour Dale


Puis en plus il a pas l'air vraiment titulaire.

Je sais qu'il a pas encore été annoncé chez nous mais si tu passes par là tu peux dire 2 mots sur Ocampos? Le crack annoncé?
J'ai vu sur ce site que River jouait parfois en 4-3-1-2 avec lui en milieu gauche, les compos annoncées sont correctes?

Santos grâce à ses deux stars prend une option sur la finale
Santos a fait le plus dur en s'imposant sur le score de trois buts à zéro face à Guarani avec un nouveau doublé de Neymar.

L’équipe de Santos est quasiment assurée de remporter son troisième championnat pauliste de suite grâce à sa belle victoire acquise devant la formation de Guarani en finale aller du Paulistão, trois buts à zéro. Les hommes de Ramalho n’ont pas pris cet adversaire à la légère et ont démontré un grand sérieux tout au long de la rencontre mais se montrant beaucoup plus réalistes surtout dans les moments clés de cette partie.

Une première période équilibrée

Neymar allumait la première mèche en tout début de rencontre sur un slalom dans la défense de Guarani se jouant de quatre défenseurs avant de se faire faucher juste à l’entrée de la surface. Cette première alerte était la seule durant la première demi-heure de jeu avant de voir Elano trouver la barre transversale de Guarani sur un maitre coup franc. Mais le Peixe allait être récompensé en toute fin de première période sur un centre contré de Neymar, Ganso plein axe trouvait le but adverse d’une belle frappe enroulée.

Neymar entre en piste

Ce but allait couper les jambes de Guarani qui avait l’occasion de revenir à égalité juste au retour des vestiaires sur une frappe déviée par Aranha sur son poteau. La chance avait tourné puisqu’ à la 65ème minute, Neymar marquait son premier but de la soirée sur une tentative de Ganso repoussée par le gardien Emerson. A deux à zéro, le match était plié et Santos pouvait attendre son adversaire et procéder par contre, comme en toute fin de match où Neymar encore lui s’offrait un doublé et donnait un avantage encore plus conséquent à son équipe.

Encore un doublé et il est à l'origine du 1er but.
Injouable en ce moment.

Sa célébration c'est un hommage au buteur qu'il rejoint avec ce 104eme but c'est ça?

Mercato: Le point sur la situation de Dedé et Leandro Damião

Dedé et Leandro Damião sont actuellement les joueurs brésiliens les plus courtisés par le marché européen. Même si de nombreux clubs du vieux continent s'interessent aux deux internationaux, c'est la Juventus de Turin, championne d'Italie en titre, qui est en pôle position. Stefano Paolini, consultant et expert du football brésilien, fait le point sur la situation des deux joueurs pour Calciomercato.it:

"L'arrivée de Damião est conditionné au seul facteur économique étant donné que le joueur souhaite rejoindre la Juve. Il faut maintenant que le club mette 25 millions d'euros sur la table plus certaines clauses. Si la Juve libère l'argent, Damião signe à la Juve."

"La valeur de Dedé est estimée entre 10 et 12 millions d'euros. Le joueur est prêt pour le Calcio. C'est le meilleur défenseur central d'Amérique du sud. La Juve a un accord orale avec Vasco pour le transfert du joueur mais le club italien va devoir rapidement passer à la phase concrète car d'autres clubs sont interessés."

Neymar: son président envoie Barcelone planter des patates

Le président du FC Santos ne veut plus lacher Neymar. Luis Alvaro Ribeiro a affirmé vouloir garder l'attaquant de la Seleção jusqu'à ses 80 ans lors d'un évenement organisé par le club. Questionné sur les rumeurs du transfert du joueur à Barcelone en 2013, le dirigeant est catégorique et plutôt .. ironique: "Barcelone peut aller plantes des patates en Catalogne. Neymar restera à Santos. Je suis même prêt à proposer un contrat à son fils!" a-t-il déclaré, visiblement un peu éméché.

Alors qu'il est dans le dernier clip du chanteur Alexandre Pires, le joueur de Santos n'échappe pas à la polémique suite aux accusations de racisme et de sexisme concernant cette vidéo.

L’attaquant de Santos, Neymar se retrouve dans une drôle d’histoire après avoir participé au clip du chanteur Alexandre Pires, « Kong » puisque le procureur Fédéral d’Uberlândia a ouvert une procédure administrative suite à une plainte pour discrimination raciale et sexiste. La vidéo, vue par plus de 3 millions de personnes sur Youtube met en scène le chanteur ainsi que Neymar autour d’une piscine avec de nombreuses femmes en bikini et des figurants déguisés en gorilles.

Ces images et les paroles de la chanson où l’on entend : "C’est chez le singe que l’on attrape le virus" ont déclenché cette polémique. Le chanteur devrait être entendu dans les prochains jours mais l’image de Neymar pourrait en prendre un coup si jamais cette affaire prend de l’ampleur.

Voici le clip qui provoque la polémique:

Après la débacle 8-0 du Bolivar jeudi soir contre Santos, l'attaquant Neymar a pris son smartphone et a tweeté le coach bolivien Angelo Hoyos qui avouait ne pas connaitre le joueur de la Seleção au match aller.

"Muito prazer" (enchanté) pouvait-on lire sur le compte Twitter du joueur.

Ca commence à devenir lassant de le voir s'amuser comme ça, les équipes ont un niveau lolesque, surtout celles des championnats régionaux, où là on atteint le summum et on croirait voir des amateurs.

Je capte pas qu'il ait pas plus envie de se frotter au vrai football le mec, certes c'est un petit roi au Brésil, mais c'est pas glorieux d'humilier si faible que ce soit.

Vivement qu'il débarque en Europe lui, et c'est pas pour tout de suite.

Menezes annonce sa liste pour les quatre prochains matchs du Brésil
Les perles du football brésilien seront testées lors des quatre prochains matchs amicaux de la Seleção entre mai et juin.

Le sélectionneur brésilien Mano Menezes vient d'annoncer sa liste de 23 joueurs qui disputeront les quatre prochains matchs amicaux de la Seleção en préparation des JO de Londres. A noter le grand retour du milanais Alexandre Pato qui formera une attaque fulgurante avec Neymar, Hulk et Damião.

Le 26 mai, le Brésil affrontera le Danemark à Hambourg, le 30 les Etats-Unis. Quatre jours plus tard, les coéquipiers de Neymar joueront contre le Mexique à Dallas avant d'affronter l'Argentine le 9 juin à New Jersey.

La liste de Menezes:

Gardiens:

Jefferson (Botafogo)

Rafael (Santos)

Neto (Fiorentina-ITA)

Défenseurs centraux:

Thiago Silva (Milan-ITA)

David Luiz (Chelsea-ING)

Bruno Uvini (Tottenham Hotspur-ING)

Juan (Inter de Milan-ITA)

Lateraux:

Daniel Alves (Barcelona-ESP)

Danilo (Porto-POR)

Marcelo (Real Madrid-ESP)

Alex Sandro (Porto-POR)

Milieux défensifs:

Sandro (Tottenham Hotspur-ING)

Casemiro (São Paulo)

Rômulo (Vasco da Gama)

Milieux offensifs:

Paulo Henrique Ganso (Santos)

Lucas (São Paulo)

Giuliano (Dnipro-UCR)

Oscar (Internacional)

Wellington Nem (Fluminense)

Attaquants:

Neymar (Santos)

Leandro Damião (Internacional)

Hulk (Porto-POR)

Alexandre Pato (AC Milan)

Que de talents même si beaucoup doivent confirmer.

Rafael il surfe un peu sur la vague "Santos" non?
Il a vraiment le niveau internationnal?

Le reste fait plaisir.