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Putain qu'est ce que juifferai que l'on soit l'anti thèse de ce club, un club appartenant à ses supporters avec un système de Socios, avec dans l'organigramme du club tout les anciens qui ont marqué le club et qui ont des compétences pour le gérer.
Un vrai Bayern du Sud, avec une formation efficace et avec le système de Raymond comme base de travail.
Exit les tocards et les loosers un club avec un deschamps, un amoros, un papin, un waddle, un marcel .
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En revanche, une fois encore si les rôles étaient inversés je serais curieux de voir le traitement médiatique, parce que le parcours du QSG en L1 vaudrait bien un qualificatif de champion au rabais, au niveau du jeu (si vous voyez ce à quoi je fais allusion) et inversement un champion contestable au vu des règles financières et éthiques. Or je remarque une excitation indécente autour du Projet et un silence coupable. C'est cela qui me débecte.
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Cette réussite, ils ne la "méritent" pas. Contrairement à la réussite de Lyon d'il y a quelques années, ils ne fondent pas leur réussite actuelle sur un travail long et intelligent, mais bien sur un "jackpot tombé du ciel". J'ai beaucoup vibré pendant la période de l'OM 2005-2010 où chaque saison, on progressait, on avançait, jusqu'au Graal en 2010, qui était une assez juste récompense après tant d'années de disette et de désillusions.
C'est la même chose en handball, mon autre sport. Voir Montpellier qui est un club géré d'une façon extrêmement intelligente se faire dépasser, certes avec le concours de l'affaire des paris, par un club qui était à deux doigts de descendre en Pro D2 l'an dernier, ça m'arrache l'anus. De même, sur les articles lequipe.fr, on découvre plein de passionnés de handball et du PSG. Le stade de Coubertin était vide l'an dernier, mais vraiment... Cette année, il est trop plein.
Alors, il faut le reconnaître, si c'était arrivé à l'OM, peut-être que je serais en train de me branler à l'idée de recruter les plus grands joueurs du monde et briller sur la scène internationale. Pour autant, ça ne correspond à ma vision, peut-être naïve, du sport. Là, ce n'est plus que de l'argent, du surfait. Un Maoulida limité mais qui jouait avec du cœur me fait plus vibrer qu'un Ibrahimovic qui n'est là que pour sa personne, son pognon et sa carrière. Je dois être idéaliste.
Ce qui me désole encore plus, c'est que de notre côté, on est gangrénés par les mafieux et que l'ambition qu'on avait en 2010 est partie en fumée. On aurait pu peser. Cette année, on aurait pu décrocher le titre. On aurait pu retourner en quarts de LdC.
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