QUOTE (ribob @ 11/02/2016 15:47)

Tu devrais lancer ton journal people sur le monde du foot et les joueurs.
Au tout début de l’été 2011, on est très loin de dérouler le tapis rouge pour l’arrivée de Blaise Matuidi au Paris Saint Germain. En acceptant de verser les 7,5 millions d’Euros, (+2,5 millions de bonus) demandés par l’AS Saint-Etienne, QSI, nouveau propriétaire du club, finalise le dossier du transfert déjà bien avancé par l’ancienne direction. Matuidi est en fait le dernier joueur estampillé Colony Capital.
Les qataris exaucent ainsi Le souhait de l’entraineur alors en place, Antoine Kombouaré. Selon les propos tenus par le Kanak lui-même, les nouveaux dirigeants se montraient alors plus que sceptique quant au potentiel du milieu de terrain. A tel point qu’ils auraient envisagé de s’en séparer dès l’été suivant. Le joueur, trop limité techniquement et finalement encore trop peu expérimenté sur le plan international, ne correspondait pas du tout au projet du club et était invité à aller voguer sous d’autres cieux, au même titre que les Marcos Ceara, Milan Bisevac ou encore Jean Eudes Maurice, tous partant à l’été 2012.
Ce n’est qu'au prix d’entrainements acharnés et à ses progrès indéniables démontrés en matches, que Matuidi parvint à sauver sa tête dans ce PSG très ambitieux. Une personne, et non des moindres, va aussi jouer un grand rôle pour lui et vite devenir son ange gardien au club.
"le club s'était posé la question de le garder, confie Alain Roche, ancien directeur sportif au PSG.
Ibra l'a pris sous son aile. Les attaquants adorent ce genre de joueur qui les met dans les meilleures conditions. » (le parisien, 29 juin 2014) Ibra contribua donc à infléchir le jugement péremptoire des dirigeants parisiens concernant l’international français. Plus tard, il lui permit de décrocher le jackpot en lui présentant son agent Raiola.