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sylvain
Le Parisien


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En panne d’inspiration, le PSG cède du terrain

Battus à Rennes la semaine dernière, les Parisiens ont à nouveau perdu de précieux points hier soir. Le faible rendement de Nene devient inquiétant.

Un Parc qui siffle, des passes qui n’arrivent jamais, un jeu fade et deux points qui s’envolent dans une médiocrité qu’on ne pensait plus revoir cette saison. Après la défaite à Rennes (1-0) la semaine dernière, voilà comment le PSG a abandonné la deuxième place de la L 1 qu’il occupait depuis le 5 décembre.

Le PSG débute par un carton contre Lens Le voici même dépassé par Marseille qu’on disait moribond il y a encore une semaine. Tout va décidément très vite en football. Tout, sauf le jeu du PSG contre Lens. « Quand on a les opportunités de marquer, il faut savoir les saisir », soupire Antoine Kombouaré
Malgré l’indigence de leur prestation collective, les coéquipiers de Makelele se sont procuré quatre grosses occasions de battre Runje. Mais la tête plongeante d’Hoarau a fini sur le poteau (26e). Erding a gâché deux opportunités à quarante secondes d’intervalle (51e) et Sakho a vu son coup de tête finir dans les gants du gardien nordiste (75e). « Il aurait fallu qu’on croie beaucoup plus en notre jeu, peste Kombouaré. Nous nous sommes trop précipités au lieu de passer par les côtés. »

Depuis le début de saison, Nene est la principale source de lumière d’une équipe qui dépend encore trop de ses éclairs de génie. Hier soir, le Brésilien est resté dans la pénombre et personne n’a su le relayer. « Quand je parle de précipitation, je pense bien sûr à Nene, lâche Kombouaré. Il a eu envie d’aller trop vite et de faire la différence tout seul. Lui, comme Mev (Erding) ou Guillaume (Hoarau) ont filé trop rapidement vers le but. »
La seule satisfaction de la soirée est à chercher au rayon des statistiques. Le PSG a fini la rencontre sans encaisser le moindre but. Cela ne lui était pas arrivé lors de ses… dix-huit derniers matchs. En même temps, se glorifier de ne pas avoir pris de but face une équipe venue surtout pour défendre serait malvenu. Mais la vérité des chiffres cache aussi quelques épines. Et il ne faut surtout pas accorder le moindre crédit à Edel dans cette imperméabilité d’un soir. Avant, le gardien du PSG ne rassurait pas. Aujourd’hui, il inquiète. Il y a d’abord eu cette incroyable sortie aérienne, brutale et insensée, lors de laquelle le gardien du PSG n’a réussi qu’à frapper durement la tête d’Armand avec son genou (21e). Après le repos, le Camerounais s’est troué devant Jemaa (48e). Son manque de confiance depuis quelques semaines est patent. Si le crédit des autres Parisiens est encore conséquent, le sien semble s’amenuiser rapidement. Il doit très vite réagir.
L’heure n’est pas venue de s’inquiéter pour l’avenir de ce Paris-là. « Il reste quand même 45 points à jouer d’ici la fin du championnat, prévient Kombouaré. Nous avons encore du temps. L’équipe n’est pas larguée au classement. C’est quand même le plus important. »

Le PSG a demandé à l’UEFA d’avancer son match de 16e de finale aller d’Europa League, à Minsk, contre le Bate Borisov, jeudi. « Quand il fait aussi froid, - 15 oC, il faut être capable de prendre les bonnes décisions, explique Antoine Kombouaré. Pourquoi ne pas jouer à 14 heures ou à midi ? » Le match doit se disputer à 21h5, heure locale (19h5, heure française).

PSG - LENS 0-0

Spectateurs : 32959.
Arbitre : M. Rainville.
Avertissements. PSG : Chantôme (32e) ; Lens : Queudrue (61e), Varane (90e + 1).
PSG : Edel - Jallet, Armand (Camara, 46e), Sakho, Tiéné - Makelele (cap.) - Chantôme, Bodmer (Luyindula, 66e), Nene - Hoarau, Erding (Maurice, 83e). Entr. : Kombouaré.
Lens : Runje - Aurier, Yahia, Queudrue, Demont (cap.) - Varane, Kovacevic - Maoulida, Sertic (Roudet, 78e), Akalé (Bedimo, 73e) - Jemaa. Entr. : Bölöni.

LE FAIT DU MATCH
26e . Le score est de 0-0 quand Tiéné, de son côté gauche, adresse un centre dans la surface. Hoarau prend le dessus sur la défense et place une tête plongeante sur le poteau de Runje, qui était battu.


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14 POINTS

C’est le nombre de points perdus par le PSG à domicile après 12 matchs de championnat disputés au Parc cette saison.


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Edel a mis Armand KO

Antoine Kombouaré avait innové avec une organisation en 4-1-3-2 qui se voulait offensive. Makelele était seul devant la défense, en soutien d’une ligne de trois milieux avec Chantôme à droite, Bodmer au centre et Nene à gauche. Ce système a rapidement montré ses limites. Face à une équipe lensoise regroupée et venue pour jouer le contre, les Parisiens n’ont pas réussi à recréer la fluidité habituelle de leurs enchaînements.

En panne d’inspiration, le PSG cède du terrain. Les joueurs de couloirs ont, eux, rarement débordé, facilitant ainsi la tâche de la défense adverse.

4 Edel Il a assommé Armand (21e) sur une incompréhensible sortie hors de sa surface. Devancé par Jemaa sur un corner (48e), il n’a pas eu grand-chose à faire (aucun tir cadré de Lens) et l’a mal fait. Son crédit est-il illimité ?

4 Jallet Pas toujours à l’aise face à Akalé, il a vendangé une demi-douzaine de passes. Précieux dans les décalages côté droit mais moins précis que d’habitude.

5 Armand Mis KO par Edel, il a cédé sa place après la pause à Camara (note : 5,5). A l’expérience, ce dernier a annihilé une occasion d’Akalé dans la surface (59e).

6 Sakho Une bonne tête arrêtée sur sa ligne par Runje (75e). Un match correct, des interventions précises et des relances prudentes.

6 Tiéné Il s’est signalé par un très bon centre pour Hoarau (26e) et un autre totalement raté (79e). Il n’hésite pas à passer la ligne médiane et prend du volume.

5 Makelele Le capitaine a lancé le match d’une belle frappe de 20 m (4e). Devant lui, les espaces étaient rares. Il a tenté de faire avancer l’équipe sans perdre trop de ballons.

5 Chantôme Averti stupidement à la 32e, on l’a vite senti à l’étroit sur le couloir droit. Il a rarement débordé, préférant prendre du recul et repiquer pour toucher des ballons. Du coup, il n’y avait plus personne à droite… Plus à l’aise dans son rôle habituel en fin de match.

4,5 Bodmer Censé mener le jeu dans un périmètre restreint, il a joué simple. Mais il y avait tellement peu de mouvement autour de lui qu’il était difficile de trouver des solutions. Remplacé par Luyindula (66e).

4 Nene Comme sur cette passe qu’il a laissé filer entre ses jambes (67e), il n’est plus dans le coup et le doute commence réellement à s’installer. Insignifiant en défense, transparent en attaque, il ne fait plus la différence. A gâché deux coups francs bien placés (21e, 63e). Inquiétant.

4,5 Hoarau Sa tête sur le poteau (26e) est le tournant du match. Systématiquement dominé dans les airs par Varane, il n’a pas pu servir de point d’appui. Il manque toujours d’impact.

4 Erding Rarement bien servi, il a raté deux énormes occasions en quarante secondes (51e) et s’est fait conspuer par le Parc. Il a eu droit au même traitement au moment de céder sa place à Maurice (84e).

L’arbitre, M. Rainville (note : 5) a manqué de fermeté sur les gestes d’antijeu des Lensois.

Lens s’est montré extrêmement discipliné. Le jeu de tête de Varane a soulagé toute l’arrière-garde et les attaquants nordistes ont fait un maximum d’effort dans le repli défensif.


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Pourquoi le PSG est-il devant Lyon au classement ?

Ce matin, le PSG (3e ) ne devance Lyon (4e ) que grâce à sa meilleure position au classement du fair-play. Les deux formations sont à égalité parfaite : 38 points, 34 buts inscrits, 24 encaissés et match nul (2-2, le 27 novembre) lors de leur première opposition en Ligue 1 cette saison.


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« On ne sait pas tuer les matchs »
CLÉMENT CHANTÔME milieu de terrain du PSG

Malgré la déception, il a pris le temps de s’arrêter pour tenter d’expliquer la contre-performance de son équipe. Clément Chantôme ne cherche pas d’excuses à son équipe et pointe ce qui, aujourd’hui, handicape terriblement son club : son inefficacité offensive.

Quel est votre sentiment après ce match nul (0-0) ?
CLÉMENT CHANTÔME. On est forcément déçus. On a eu les occasions pour l’emporter mais on n’a pas marqué. Les Lensois étaient ici pour obtenir un résultat et ont réussi à le faire. Ils défendaient à huit ou neuf et on a eu du mal à contourner leur bloc.

Après la défaite à Rennes le week-end dernier, cette nouvelle contre-performance vous inquiète-t-elle ?
Il reste encore beaucoup de matchs, donc on n’est pas inquiets. On ne s’attarde pas sur notre classement. Ce que l’on voit, c’est que l’on n’a pas pris les trois points et c’est bien dommage. On ne sait pas tuer les matchs, c’est notre problème. On ne peut pas se permettre de rater autant d’occasions. On va essayer d’y remédier, à nous de rebondir. On doit avoir l’instinct de tueur pour gagner ce genre de rencontres. Ce n’est pas le cas en ce moment.

Comment expliquez-vous votre inefficacité offensive ?
C’est un mélange de manque de confiance et de réussite. On sait que l’on est attendu de plus en plus souvent. Si on ne marque pas sur nos occasions, l’adversaire prend confiance, s’accroche et ça rend l’opposition encore plus difficile. Malgré la déception, il y a quand même des choses positives à retenir.


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Nene n’est pas inquiet

Cette semaine, Nene a déjeuné avec Rai. Ce dernier l’a exhorté à ne rien lâcher, affirmant que la porte de la Seleçao n’était pas fermée, à condition de garder un haut niveau de performance avec Paris. Le message n’est visiblement pas passé. Hier soir, Nene a réalisé un match insipide. Si le Brésilien n’a plus son influence du début de saison, son discours reste néanmoins positif.
En panne d’inspiration, le PSG cède du terrain « On ne peut pas marquer à chaque fois, le foot, ça ne marche pas comme ça, affirme-t-il. Je ne vais pas me prendre la tête. Et même si je ne fais pas d’action décisive, je ne vais pas me cacher. »
Victime de son succès, le Brésilien a désormais droit à un traitement spécial de la part de ses adversaires. « C’est de plus en plus souvent comme ça, il y a souvent deux joueurs qui viennent sur moi, confirme-t-il. Je touche moins de ballons, il faut rester tranquille, trouver des solutions, car ça libère des espaces pour mes partenaires. » Pourtant, le doute s’amplifie. A-t-il digéré sa non-sélection pour France - Brésil ? « Oui, c’est passé », balaye-t-il. Ses coéquipiers ne semblent pas inquiets. « Un petit coup de moins bien, ça arrive à tout le monde », relativise Clément Chantôme. « Il n’a pas lâché, car il continue de travailler dur, souligne Zoumana Camara. Tout le monde a confiance en lui. »
Beuzech
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Un an de plus pour Giuly ?

Absent samedi soir de la feuille de match de PSG-Lens (0-0) en raison d'une suspension, Ludovic Giuly serait en passe de prolonger à Paris pour une saison supplémentaire, révèle L'Equipe Dimanche. Le milieu offensif de 34 ans accepterait les deux conditions posées par le club, à savoir une réduction sensible de son salaire actuel (250 000 euros brut par mois) et un rôle de doublure de Dimitri Payet, probable recrue parisienne de l'été prochain.

Apoula Edel serait également partant pour prolonger, là encore avec un statut de doublure. L'Arméno-Camerounais deviendrait le n°2 du prochain gardien du PSG qui pourrait être le Niçois David Ospina, priorité du club parisien.


Panenka
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Armand arrêté 48 heures

Percuté samedi contre Lens (0-0) par son propre gardien Apoula Edel, Sylvain Armand souffre d'un «traumatisme facial» et d'un autre «au genou gauche» et a été arrêté 48 heures, indique le Paris-SG. Le défenseur a notamment reçu le genou d'Edel dans la mâchoire. Une décision sera prise mardi sur sa participation au match de Ligue Europa jeudi à Minsk (Biélorussie) contre le BATE Borisov. Dimanche, lors du décrassage, Armand s'est contenté de soins. Christophe Jallet, qui l'a vu dans les vestiaires, a déclaré qu'il était «encore groggy». Tout le groupe ne reprendra que mardi, Antoine Kombouaré lui ayant finalement accordé un jour de congé lundi. (Avec AFP)


www.lequipe.fr
HHA
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Le PSG veut jouer plus tôt

Le PSG a demandé à l'UEFA d'avancer l'horaire du 16e de finale aller de Ligue Europa contre le BATE Borisov, prévu en soirée jeudi à Minsk (20 heures locales, 19 heures en France). La température qui devrait régner en Biélorussie a motivé la requête du club parisien. «On serait prêts à jouer à midi ou 14 heures s'il le faut, a dit Antoine Kombouaré samedi soir en marge de PSG-Lens (0-0). Ça faciliterait le jeu. J'espère qu'il y aura des gens responsables à l'UEFA pour prendre la bonne décision...»


lequipe.fr
HHA
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Paris ne veut pas lâcher l’Europe

Certes, la situation n’est pas dramatique. Paris n’a pris qu’un point en deux matchs, mais figure toujours dans le wagon de tête du championnat. Au-delà du résultat, c’est le contenu de la dernière rencontre des Parisiens (0-0 face à Lens) qui inquiète. Une certaine forme de fatigue, mentale et physique, semble diminuer les joueurs.

Comment Paris pourra-t-il retrouver de la fraîcheur et rebondir? Ce ne sera pas évident, vu le calendrier qui se profile, avec 6 matchs à disputer en dix-sept jours. Du coup, une autre question se pose : pour préserver ses chances en championnat, Paris ne devrait-il pas faire l’impasse sur la Coupe d’Europe? En interne, le débat a tourné court.
Robin Leproux et Antoine Kombouaré sont même tout de suite tombés d’accord. Selon eux, il est indispensable pour Paris d’entretenir une spirale positive en accumulant un maximum de victoires, toutes compétitions confondues. Ce que Clément Chantôme résume ainsi : « Gagner, c’est toujours mieux pour préparer le match suivant. » Les dirigeants considèrent aussi que laisser filer une épreuve serait le meilleur moyen de ne rien décrocher en fin de saison. Pas question, donc, de tirer un trait sur la Ligue Europa, même si cette C 3 ressemble à un parcours du combattant.

Du temps de jeu pour tous

Néanmoins, appliquer le discours officiel à la situation réelle sera un casse-tête. Comment gérer au mieux le déplacement en Biélorussie, jeudi, sans hypothéquer le prochain match de championnat à Nice, dimanche? C’est la délicate équation qu’Antoine Kombouaré devra résoudre. Zoumana Camara propose une solution : « On va jouer dans des conditions difficiles face à une équipe qu’on connaît peu. Il faut essayer de ramener quelque chose, tout en sachant que la qualification se joue sur deux matchs. » Tous ses partenaires restent motivés par la Ligue Europa. « On a hâte de retrouver cette compétition et on a envie d’aller le plus loin possible », assure Christophe Jallet.

Si l’idylle entre Paris et l’Europe perdure, c’est aussi parce que les joueurs savent combien cette épopée a compté dans leur bon début de saison et dans l’équilibre du groupe. « Si on n’a qu’un match par semaine, l’effectif sera plus difficile à gérer, explique Mathieu Bodmer. Certains pourraient passer deux ou trois semaines sans jouer et seraient déçus. Là, tout le monde a du temps de jeu et, depuis le début de saison, c’est ce qui nous a fait avancer. Ceux qui ne jouent pas en championnat ont eu droit à de belles affiches en Coupe d’Europe. On aborde une grosse série jusqu’à mi-mars, on sait que ça va tourner et que tout le monde restera concerné. » C’est effectivement le scénario idéal, à condition que l’infirmerie ne se remplisse pas trop.


Beuzech
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Armand a en plus mal au genou

La sortie aérienne d'Apoula Edel a laissé des traces. Si sur le coup, Sylvain Armand a été victime d'un traumatisme facial, le défenseur du Paris Saint-Germain a en plus été touché au genou gauche, rapporte ce lundi L'Equipe. Son articulation a tourné et il va recevoir des soins ce lundi et mardi. La probabilité qu'il soit absent du groupe qui affrontera le BATE Borisov en seizièmes de finale de la Ligue Europa, jeudi, est très forte.


francefootball.fr
Dagoberto
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Jallet «partant pour prolonger»

Alors que sont contrat expire en juin 2013, Christophe Jallet s'est dit lundi «partant pour prolonger». «Il n'y a pas encore de discussions mais ça ne devrait pas tarder», a déclaré le défenseur du Paris Saint-Germain à l'AFP. Cet hiver, Robin Leproux avait indiqué que les négociations étaient gelées en raison de la possible arrivée de nouveaux partenaires économiques qui souhaitent étudier les finances du club. Cet épisode s'achèvera probablement dans la semaine, et les discussions devraient reprendre, notamment pour l'ancien Lorientais. Titularisé à 21 reprises cette saison en Ligue 1 avec le club de la capitale, il est devenu l'un des cadres de l'équipe d'Antoine Kombuaré. (Avec AFP)


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L'UEFA décidera avant mercredi

La demande du PSG d'avancer son match de jeudi contre le BATE Borisov, en seizième de finale de la Ligue Europa, pourrait aboutir. «Nous avons reçu la demande du PSG mais aucune décision n'a été prise, a fait savoir l'UEFA. Ce sera fait mercredi au plus tard.» Ce qui est certain, c'est que le match aura lieu jeudi. Reste à savoir s'il pourrait être déplacé en début d'après-midi, en raison du froid. L'instance européenne avait envisagé une autre date, mais le calendrier du PSG est bien rempli, avec notamment un quart de finale de Coupe de France contre le Mans le 2 mars. (Avec AFP)


Equipe.fr
CL
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Edel-Coupet, le match est relancé

Les erreurs d’Edel lors de PSG - Lens (0-0) samedi soir sont-elles les bourdes de trop ? Antoine Kombouaré doit-il toujours maintenir sa confiance au Camerounais ou se décider à rappeler Grégory Coupet pour le reste de la saison ?

Avant samedi, Edel avait déjà de nombreux détracteurs tant son début d’année 2011 était moyen. Après sa faible prestation face aux Lensois, il n’a plus beaucoup de vrais défenseurs. Le PSG se doit évidemment d’aligner son meilleur gardien lors des prochains matchs. Et aujourd’hui, il est compliqué d’affirmer qu’Edel est toujours le plus fort.
Dans le vestiaire parisien, certains cadres plaident pour un retour rapide de Coupet pour les rencontres de championnat. Ils voient bien à quel point Edel n’est plus ce gardien d’avenir que le club se plaisait à décrire il y a quelques mois. Empêtré dans son affaire et les doutes qu’elle suscite sur son identité et son âge réels, le Camerounais inquiète.

Pour le moment, Edel était protégé par l’attitude élégante de Coupet. Hier soir encore, l’ex-Lyonnais répétait au micro de RMC : « Edel était meilleur que moi, l’avenir c’est lui pas moi». Afin de placer Edel dans des conditions psychologiques optimales, Coupet refuse toujours de lui contester son rang de numéro un. Même si son discours évolue parfois. Il ya peu, il n’écartait pas l’idée de rejouer en Ligue1. « Tout peut arriver en football, affirmait Coupet il y a quelque jours. C’est au coach de prendre une décision. » L’ancien gardien des Bleus a aussi glissé récemment qu’il se trouve meilleur qu’au moment de Sochaux - PSG (3-1, le 29 août), match à l’issue duquel il avait souhaité céder la place à Edel. La concurrence entre les deux hommes est désormais relancée. Et pas seulement pour le déplacement de jeudi à Minsk face à Bate Borisov.

Le Parisien
C'est le regard de l'autre
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Nenê : "Ma saison la plus aboutie"


Auteur d’une excellente première saison en France sous le maillot de l'AS Monaco, Nenê n'imaginait certainement pas que, quelque temps plus tard, sa vie connaîtrait un nouveau revirement avec un transfert au Paris Saint-Germain. Devenu le meilleur buteur de son nouveau club, le Brésilien peut viser des objectifs plus élevés, tout en aidant les supporters à retrouver la fierté perdue.

Pour franchir un nouveau palier, Nenê rêve de conquérir de nouveaux titres et de faire du PSG une puissance continentale. Ses objectifs sont clairs : remporter le duel avec Lille en Ligue 1 et aller loin en UEFA Europa League. Pour ce faire, il faudra déjà réussir un bon résultat contre BATE Borisov dès jeudi prochain. "J’espère que l'équipe va poursuivre sur sa lancée. Nous évoluons à un très bon niveau et maintenant il va falloir confirmer", explique-t-il à FIFA.com.

Meilleur joueur étranger de l’année 2010 en France, meilleur joueur du mois de décembre, deuxième meilleur buteur du championnat… À 29 ans, êtes-vous en train de vivre la meilleure période de votre carrière ?

Oui, sans aucun doute, mais pas seulement par rapport à ces distinctions. De façon générale, je pense que je fais du bon boulot sur le terrain, à la fois tactiquement et physiquement. C’est vraiment ma saison la plus aboutie. J’ai marqué quelques buts, j’en ai donné d’autres et j’arrive à aligner des performances d’un très bon niveau.

Après de longues années d’insatisfaction, les supporters parisiens ont retrouvé des couleurs. Ils sont d’ailleurs nombreux à vous désigner comme le principal artisan de la bonne période du PSG. Comment vous y sentez-vous ?

Je m’y sens important et épanoui. Les fans sont satisfaits de mon travail. Depuis le début, ils m'ont toujours traité avec beaucoup d’affection. C’est une vraie fierté d’être l’une des pièces clés d’un club comme le PSG. Ça booste ma confiance.


Et comment ça se passe dans la rue ? Les gens vous arrêtent-ils pour vous remercier de votre travail ?
Ici à Paris, je ne peux pas sortir sans me faire reconnaître. C’est un peu comme au Brésil, où tout le monde est passionné par le football. Par exemple, si je vais faire un tour sur les Champs-Élysées, je sais que je devrais sans doute signer des autographes et faire quelques photos. Mais les gens sont très chaleureux et il y a du respect. Parfois les gens ont l’air de ne pas y croire. Les enfants sourient. C’est sympa.

Parlez-nous de votre adaptation à Paris. Le climat est moins bon qu’à Monaco. C’est une grosse différence, n’est-ce pas ? À moins que le fait d'habiter dans une capitale change tout...

On ne peut pas tout avoir. C’est un bon club, la ville est magnifique, mais il fait froid, c’est vrai. J’avais une idée de comment ça pouvait être, mais c’est différent une fois qu’on y est. Ça rend les entraînements difficiles. On a les pieds gelés le matin, mais bon, on s’y fait. Au moins, il ne neige plus (rires). Je préfèrerais qu’il y ait plus de soleil, mais sur le terrain, ça ne change rien. Et en dehors non plus.

Le PSG traverse une bonne phase. Vous êtes deuxièmes du championnat, vous avez bouclé votre groupe de UEFA Europa Leage sans la moindre défaite et vous êtes en quart de finale de la Coupe de France. Est-ce l’année de la rédemption pour le PSG ?

J’espère bien ! J’espère que nous pourrons conserver ce même rythme pour aller de l’avant dans les différentes compétitions, si possible en arrivant en finale de l'Europa League et de la Coupe de France. Après, il y a le championnat. Nous sommes bien partis et nous ne pouvons pas nous démobiliser maintenant. C’est le genre de choses qui peut arriver. L’entraîneur est très fort sur le plan psychologique, il nous fait comprendre qu’on n’a encore rien gagné.

En parlant d’Europe, vous savez sans doute que le PSG a connu des heures de gloire dans les années 1990, mais qu’il a un peu perdu de son lustre. À votre avis, qu’est-ce qui lui manque pour revenir au premier plan ?
Il reste encore à confirmer ce que nous sommes en train de construire. Il faudra se qualifier pour la Ligue des champions, faire venir quelques grands noms et disputer la compétition pour la gagner, et pas seulement pour y participer. L’équipe est sur le bon chemin, il y a de bons joueurs et le niveau technique est élevé. Il faut confirmer cette embellie et se qualifier de façon systématique pour la Ligue des champions, la compétition que tout le monde rêve de disputer.

Par rapport aux prochains défis, pensez-vous qu’il soit nécessaire de se concentrer sur une épreuve en particulier pour éviter les frustrations ?

Ce dont nous avons besoin, c’est de rester concentrés, encore plus que maintenant. Les choses deviennent plus difficiles à mesure que l’on avance. Mais nous sommes tous prêts à répondre présents.

On évoque souvent la tradition brésilienne au PSG : Ronaldinho, Raí, Valdo... Aujourd’hui, vous êtes dans la lignée de ces joueurs. Préférez-vous être comparé à Ronaldinho, pour le jeu, ou à Raí, pour les titres ?
Toutes ces comparaisons sont un motif de fierté pour moi. Au fond, j’aimerais avoir un peu des deux : les titres de Raí et le football technique et joyeux de Ronaldinho. Mais sur ce plan-là, c’est difficile de nous comparer. Si j’avais un peu des deux, ce serait déjà très bien !

Vous avez marqué 13 buts en Ligue 1. Lequel est le plus beau, pour l’instant ? Et quel est le meilleur moment que vous ayez vécu avec votre club ?

Il y en a eu beaucoup. Le premier que j’ai marqué avec le maillot du PSG, au Parc des Princes, contre Saint-Étienne, avait une saveur spéciale. Ensuite, je pense aux deux que j’ai signés contre Valenciennes, surtout le second, qui nous offre la victoire. C’est l’un des plus beaux que j’ai inscrits au cours des dernières années. Je pense aussi à la victoire sur l’OM. Je n’ai pas marqué, mais j’ai donné une passe décisive à Guillaume Hoarau. Une belle passe, à la façon de Ronaldinho (rires). L’équipe n’avait plus gagné depuis longtemps contre Marseille et les supporters nous ont fait comprendre, dès mon arrivée, qu’il ne fallait surtout pas perdre ce match.

Enfin, on a évoqué la possibilité d’une convocation pour France - Brésil. Cela vous a-t-il frustré de ne pas y être ?
Ça m’a un peu attristé, oui. Les attentes étaient très élevées ici, en France. La presse en parlait beaucoup et mon nom a été cité. Du coup, ça m’a enthousiasmé. Le problème, c’est que Mano Menezes doit faire son choix dans un très large vivier. Donc c’est à moi de ne pas me laisser griser par ce genre de rumeurs. Si un jour je suis appelé, là ce serait une bonne surprise. Et entretemps, je serai patient et je continuerai de travailler.


fifa.com
HHA
Citation
Armand forfait à Minsk

Arrêté 48 heures, après avoir été percuté par Edel, samedi face à Lens (0-0), Sylvain Armand a poursuivi les soins ce mardi matin, mais il ne sera pas du voyage en Biélorussie. Souffrant d'un traumatisme facial et d'un autre au genou gauche, le défenseur parisien n'a pas été jugé apte par le staff médical pour faire le déplacement à Minsk. Le groupe partira donc sans lui mercredi matin pour affronter jeudi le Bate Borisov, en 16es de finale de la Ligue Europa. Du coup, le jeune Espoir Tripy Makonda et Florian Makhedjouf sont du voyage en Biélorussie. Antoine Kombouaré emmène avec lui 18 joueurs, liste dans laquelle ne figure pas Siaka Tiéné, suspendu pour avoir reçu trois avertissements (face à Séville, Dortmund et Lliv).


lequipe.fr
Dagoberto
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Nenê veut tout gagner
A l'heure de retrouver la Ligue Europa, Nenê nourrit de grosses ambitions avec le Paris-SG, dont une qualification en Ligue des champions.



Nenê : «Il faudra se qualifier pour la Ligue des champions» (L'Equipe)

Au moment où le PSG marque le pas en Championnat et s'apprête à retrouver la Ligue Europa jeudi soir à Minsk, Nenê affiche de grosses ambitions avec le club de la capitale. «J'espère que nous pourrons conserver ce même rythme pour aller de l'avant dans les différentes compétitions, si possible en arrivant en finale de la Ligue Europa et de la Coupe de France», a-t-il déclaré sur le site de la FIFA. En ce qui concerne la Ligue 1, «nous sommes bien partis et nous ne pouvons pas nous démobiliser maintenant. Il reste encore à confirmer ce que nous sommes en train de construire.»

Et une place sur le podium en fin de saison est devenue une priorité. «Il faudra se qualifier pour la Ligue des champions, faire venir quelques grands noms et disputer la compétition pour la gagner, et pas seulement pour y participer.» Si autant d'objectifs venaient à se concrétiser, le PSG aurait réalisé un exercice 2010/2011 remarquable. L'attaquant brésilien considère déjà que c'est «(sa) saison la plus aboutie. Je pense que je fais du bon boulot sur le terrain, à la fois tactiquement et physiquement. J'arrive à aligner des performances de haut niveau.» Et son club en espère d'autres pour espérer clôturer la saison en beauté. -


Equipe.fr
11G
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Le PSG jouera bien à 19h00

Le PSG a été débouté par l'UEFA de sa demande d'avancer le coup d'envoi de son 16e de finale aller de l'Europa League contre le BATE Borisov jeudi à Minsk. Le match aura donc bien lieu à 20h00 locales (19h00 en France), a annoncé mardi l'instance européenne.

Le PSG avait souhaité jouer plus tôt dans l'après-midi en raison du froid qui règne actuellement au Bélarus où les températures frôlent les -20°C.


Eurosport
HHA
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Paris est tunique...

Le Paris-SG va jouer prochainement en L1 ou en Ligue Europa avec un maillot collector où seront apposés les noms des 372 joueurs et 24 entraîneurs qui se sont succédés au club depuis sa création en 1970. Les supporters parisiens pourront ajouter leur nom à la liste contre 120 euros en s'inscrivant sur le site generationpsg.fr. Le PSG espère récupérer quelques centaines de milliers d'euros avec ce maillot spécial et personnalisé, fidèle dans son look au modèle créé par Daniel Hechter, le président du club entre 1973 et 1978.


lequipe.fr

Le maillot en question :



canal-supporters.com



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« Le froid va être terrible pour les Parisiens »


On annonce - 20 oC pour le 16e de finale aller de Ligue Europa Bate Borisov – PSG demain soir (19h5, heure française). Ces conditions polaires, Aurélien Montaroup les connaît bien. Le défenseur latéral gauche français (26 ans), issu du centre de formation de Rennes avec la génération Gourcuff, évolue depuis deux saisons et demie au Dynamo Minsk, en Biélorussie.

« Disputer un match de football dans ces conditions reste quand même très compliqué, raconte-t-il. Au bout de deux minutes de course, votre gorge brûle. Si vous tombez, la pelouse ressemble à du béton. J’ai vu un de mes coéquipiers avec un énorme bleu après une chute banale. Le froid va être terrible pour les Parisiens,. »

Habitué à ces conditions climatiques, ce football-blogueur (www.aurelien-montaroup.com) de talent délivre quelques conseils : « Notre championnat s’achève en novembre et reprendra en avril, mais lorsque l’on dispute une rencontre dans ces conditions, on applique une crème chauffante sur nos pieds, avant le match et à la mi-temps. Sinon, vous ne les sentez plus au bout de deux minutes. On évolue avec deux paires de gants et un sous-vêtement en néoprène pour le haut du corps, comme ceux des plongeurs sous-marins, afin de ralentir l’effet du froid. »

Une victoire à 20 000 $

Si les Parisiens parviennent à juguler ce froid polaire, il leur restera ensuite à dompter le Bate Borisov et sa redoutable organisation en 4-4-2. « Ils sont champions depuis cinq saisons, poursuit Aurélien Montaroup. L’ossature est celle de l’équipe nationale avec un joueur décisif : le no 10 brésilien Bressan. Il frappe tous les coups de pied arrêtés. Bate Borisov excelle d’ailleurs sur ces phases de jeu. Paris devra se méfier. » Le PSG devra aussi surveiller Rodionov, un petit attaquant international biélorusse très rapide et prompt à prendre la profondeur. « Bate Borisov joue le contre à merveille. Ils se trouvent très bien car l’ossature n’a quasiment pas bougé depuis six ans. Le poste de gardien de but représente peut-être le seul point d’interrogation, car ils viennent de promouvoir un jeune de 20 ans. »

On le voit, Paris devra considérer cet adversaire déjà tombeur du FC Twente et du Dynamo Kiev. Pour ne rien arranger, ce club au budget limité (5,5 millions d’euros) sait motiver ses joueurs. Ils toucheront 20 000 $ (environ 15 000 €) chacun en cas de succès demain soir face au PSG.


leparisien.fr
Kaionedirection
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BATE Borisov-PSG : Risque de report ?

Le match de Ligue Europa entre le BATE Borisov et le PSG, prévu jeudi soir à 19h, pourrait être reporté. La température à cette heure-ci devrait osciller entre -15 et -20°.

Prévu jeudi à 19h, le match entre le BATE Borisov et le PSG pourrait être reporté. En effet, la température devrait, selon les prévisions météorologiques, osciller entre -15 et -20° ce qui entraînerait un report du match. Dans ce cas, le match serait joué le jeudi 24 février 2011, date à laquelle est prévu le match retour. Ce qui poserait donc des problèmes de calendrier pour le club de la capitale.


Football365.fr
CL
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Sammy Traoré : « Je pourrais jouer dans beaucoup de clubs de L 1 »

Comme souvent depuis le début de saison, il y a peu de chances qu’il soit sur le terrain avec le PSG en 16e de finale aller de Ligue Europa face aux Biélorusses de Bate Borisov. Sammy Traoré (34 ans), en fin de contrat en juin, évoque tous les sujets avec sa franchise habituelle.

Comment vivez-vous cette saison où vous ne jouez quasiment pas ?

Sammy Traoré. J’ai le moral au beau fixe. Sur un plan personnel, cette saison est plus dure que les précédentes, car mon temps de jeu est réduit. Je m’accroche. Ma situation n’est pas démotivante mais frustrante. J’étais prévenu en début de saison que le coach ne comptait pas trop sur moi. Mais je peux encore rendre des services à ce club. Je l’ai prouvé en répondant présent à chaque fois qu’on a fait appel à moi.

On imagine que vos relations avec Antoine Kombouaré ne doivent pas être très chaleureuses…

Elles sont correctes, on a eu des discussions d’homme. Après, l’entraîneur fait des choix et, même si je ne suis pas d’accord avec lui, je les respecte. D’autant que les résultats lui donnent raison. J’aimerais jouer plus et je pense que, sur certains matchs, il aurait pu davantage me donner ma chance.

Comment faites-vous pour rester compétitif ?

Je pourrais me contenter des entraînements collectifs mais, comme je joue moins, j’ai besoin de faire des séances supplémentaires, seul avec le préparateur physique. Ça consiste en des exercices physiques ou de la musculation.

Certains disent que vous n’êtes plus au niveau et que vous attendez la fin de votre contrat à Paris…

Je n’ai pas à leur répondre. Je ne me sens pas décliner, mais c’est certain que, moins on joue, moins on est dans le rythme. Après, si tout le monde avait mon état d’esprit, il y a longtemps que le PSG aurait retrouvé la Ligue des champions.

Malgré votre faible temps de jeu, l’entraîneur vous désigne parfois comme capitaine…

C’est un honneur pour moi, ce n’est pas donné à tout le monde de l’être dans ce club. Il faut donc donner une belle image du PSG. Je suis dans le foot comme au quotidien, respectueux des gens qui m’entourent. Après, je ne suis ni le grand frère ni la grande sœur dans le vestiaire.

Vous serez libre en juin, comment voyez-vous la suite de votre carrière ?

Je pense jouer encore deux ou trois ans au haut niveau, en 1re Division. J’ai encore les jambes pour. En France, j’ai fait le tour. Les Etats-Unis ou le golfe Persique, c’est envisageable. Après, si un club intéressant de L 1 fait appel à moi… Quand je vois certains matchs de L 1, je me dis que je pourrais jouer dans beaucoup de clubs.

Le PSG affronte Bate Borisov ce soir, à quel match vous attendez-vous ?

Il va faire froid, et on sait qu’il faudra être costauds pour au moins ramener un match nul et se positionner favorablement pour le retour.

Le Parisien
HHA
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Attention au coup de froid

« Il y a 199 ans, Napoléon s’est cassé les dents ici, pensez-vous qu’il vous arrivera la même chose ? » Déconcerté par cette question inattendue d’un journaliste local, Antoine Kombouaré passe la parole à Jérémy Clément, qui répond : « Difficile d’en parler, on n’était pas nés.» Très attachés à leur histoire, les Biélorusses n’ont pas oublié qu’en novembre 1812, Borisov fut le point central de la bataille de la Berezina. Le début de la fin pour une armée napoléonienne vaincue par le froid, la fatigue et un adversaire impossible à contenir. Le parallèle est tentant…
Ce soir, le 16e de finale de Ligue Europa du PSG face à Bate Borisov ressemble à un joli piège pour une équipe en manque de ressort actuellement. « Un terrain difficile, le froid, un adversaire redoutable et très motivé parce qu’il joue pour la première fois à ce stade de la compétition, cela donne des conditions compliquées », résume Antoine Kombouaré. Hier soir, les Parisiens ont découvert le stade du Dinamo Minsk. Et ce n’est pas le froid (il fera entre -12 et -15°C ce soir) qui les inquiète le plus. « Il n’y a pas d’herbe, le terrain est chauffé mais la terre s’effrite et au fil du match, ça va être de plus en plus difficile de jouer », regrette Kombouaré.

Tout un pays derrière son équipe

Les Parisiens vont donc tenter de se mettre au chaud avant le match retour jeudi prochain. Ils ne mesurent peut-être pas que tout un pays est derrière le Bate Borisov. La Biélorussie est un monde à part. Montrée du doigt par l’Union européenne, cette enclave est considérée comme la dernière dictature du continent. Ce pays de 11 millions d’habitants est tenu d’une main de fer par Alexandre Loukachenko, au pouvoir depuis 1994, réélu en décembre avec 80% des voix… Un régime qui s’accompagne de résultats économiques surprenants. Le chômage y est quasi nul et la croissance grimpe de 10% par an. Et en ce moment, le football est sa meilleure publicité. Le 3 septembre 2010, l’équipe nationale s’imposait au Stade de France (1-0), pour le premier match officiel de Laurent Blanc. Favoris, les Parisiens peuvent, comme les Bleus, se prendre les pieds dans la pelouse.
Kombouaré doit trouver le meilleur moyen de faire un bon résultat tout en gardant des forces pour le déplacement à Nice dimanche. L’une des inconnues concerne le poste de gardien. A propos d’Edel, l’entraîneur dit ceci : « Il est comme tout le monde, il peut mieux faire. » Paris reste sur deux contre-performances et espère profiter de ce rendez-vous pour retrouver quelques certitudes. Histoire que ce lointain déplacement ne soit pas le début de la Berezina parisienne.

BATE BORISOV (BLR) - PSG
19 h 5, stade du Dinamo Minsk.
Arbitre : M. Yefet (Isr).
Bate Borisov : Gutor - Yurevitch, M. Simic, Likhtarovitch (cap.), Bordatchev - Nekhaychik, Oleknovitch, Volomko, Bressan - Skavitch - Rodionov. Entr. :Goncharenko.
PSG : Edel (ou Coupet) - Jallet, Camara, Sakho (cap.), Ceará - Chantôme, Clément - Maurice (ou Giuly), Bodmer, Nene - Hoarau (ou Erding). Entr. : Kombouaré.


leparisien.fr
sylvain
Article qui présente notre adversaire du soir.


So Foot

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BATE le fer tant qu’il est chaud

Depuis une décennie, le Bate Borisov plane sur la Biélorussie. Une bonne raison de s’intéresser au club qui va sortir le PSG avec Andrei Vashkevich, l’homme à tout faire du club Biélorusse.

BATE ?
« BATE est la contraction de Borisov Automobile and Tractor Electric Equipement. C’est une entreprise qui fabrique des starters, des générateurs, des turbines et beaucoup d’autres choses pour différents types de machines. C’est la plus grande entreprise de la ville qui emploie quand même 3850 personnes. Mais contrairement à ce que l’on peut croire, BATE n’est pas le sponsor le plus important du club, c’est une compagnie d’assurance du nom de Belgosstrakh ».

Un peu d’histoire…
« Le club a été fondé en 1973. Nous étions en pleine période soviétique et comme dans les quinze autres Républiques, notre championnat était purement amateur. Rien à voir avec les autres compétitions professionnelles soviétiques de l’époque. L’entreprise BATE a tout de suite monté une équipe composée de ses ouvriers. Et ça a plutôt bien marché puisque nous avons gagné trois championnats de Biélorussie (1974, 1976 et 1979). Avec la désintégration de l’URSS, la Biélorussie est devenue indépendante mais Borisov n’a plus eu de club. En 1996, le directeur de l’entreprise, accompagné par l’actuel président du club Anatoliy Kapskiy ont décidé de mettre sur pied un club professionnel. BATE, évidemment, était essentiel dans ce projet. Du coup, le club a pris le nom de l’entreprise comme dans les années 70-80 ».

Ressources et moyens financiers
« Notre club a un budget qui se situe entre 6 et 7 millions d’euros. Pour l’administration, nous avons douze personnes et pour ce qui est des salaires des joueurs, ils oscillent entre 50 000 et 200 000 dollars l’année, sans compter les bonus. Contrairement aux autres pays européens, nous avons des droits TV extrêmement faibles. Ils ne représentent que 2% de notre budget. Nos principales sources de revenus proviennent des sponsors, de la publicité, des transferts et des paiements de l’UEFA ».

Philosophie
« Bien que le club ait tout juste quinze ans, il semble que la “culture club” commence à prendre. Nous ne sommes que la huitième ville du pays mais nous remplissons le stade à chaque fois. Nous avons aussi nos légendes comme l’actuel entraineur Viktor Gancharenko ou Alex Hleb, l’ancien joueur d’Arsenal et Barcelone, qui a débuté sa carrière ici, à Borisov. Pour ce qui est de notre philosophie de jeu, elle est très simple : offensif. Nous devons donner du plaisir aux spectateurs qui se déplacent pour nous voir ».

Infrastructures
« Pour le moment, nous louons le stade à la mairie et nous nous entrainons dans le complexe de Dudinka. Un complexe où nous avons deux terrains, dont un synthétique et un centre de récupération. Mais d’ici quelques mois, ce sera de l’histoire ancienne. Le club va construire un nouveau stade via une entreprise slovène de Ljubljana, Ofis Arhitekti. Les travaux vont commencer cet automne et la nouvelle enceinte, de 13 000 places, devrait être habilitée à recevoir des matchs de Ligue des Champions. Le président Alexander Lukashenko est d’ailleurs venu visiter l’emplacement du futur stade. Après ça, nous nous attaquerons au nouveau centre d’entrainement. Un projet est d’ailleurs dans les cartons ».

Ambition
« Nous nous devons d’être au top au niveau national. Jouer le titre lors de chaque saison. Après, notre ambition est d’être les meilleurs possibles dans les compétitions européennes. Un de nos objectifs est de participer aux phases de poules de Ligue des Champions de manière régulière ou alors d’aller le plus loin possible en Europa League ».

Gauthier de Hoym
NeiBaF
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Antigel obligatoire



En méforme en L1, le PSG peut prendre une option face au BATE Borisov, à condition de dégeler son attaque dans la froidure biélorusse (19h05).


Gants, bonnets, collants, tours de cou, couvertures, pommades et semelles chauffantes... Les intendants du Paris-SG ont tout prévu pour protéger les joueurs des températures polaires du Dinamo Stadium de Minsk, théâtre de leur 16e de finale aller de Ligue Europa contre BATE Borisov (20h05 heure locale, 19h05 heure française). Malgré les -17°C attendus au début du match chez le quintuple champion en titre biélorusse, l'objectif parisien sera bel et bien de se mettre au chaud en vue du match retour, jeudi prochain dans la capitale. Sur le papier (glacé), l'adversaire n'est ni prestigieux ni dans le rythme (son Championnat est terminé depuis novembre et reprendra le 1er avril), mais le PSG lui-même est en manque de certitudes.

Incapable d'inscrire le moindre but lors de ses deux derniers matches de L1 (0-1 à Rennes, 0-0 face à Lens), l'équipe d'Antoine Kombouaré devra mettre de l'antigel pour retrouver le chemin des filets. Au soir du nul sans but contre les Lensois, l'entraîneur kanak avait regretté les occasions manquées par la «précipitation» de ses attaquants. Hoarau et Nenê, meilleurs buteurs du club dans la compétition (4 réalisations chacun) seront titulaires. Le Brésilien n'a plus marqué depuis le match de Coupe de France contre Lens le 8 janvier (5-1, 32e de finale).

Le souvenir du Stade de France

Pour la première confrontation franco-biélorusse de l'histoire des coupes européennes, le PSG s'attend à une stratégie prudente de la part d'un adversaire qui s'avoue «sans beaucoup d'espoir» de qualification selon les mots de son président. Avant de s'extraire avec le Dynamo Kiev d'un groupe comprenant également Alkmaar et Tiraspol, son principal fait d'arme datait de 2008, et sa présence en phase de poules de C1. Prudence toutefois pour les Français car certains de leurs adversaires ne leur sont pas totalement inconnus ! Emmené par son Brésilien Bressan, le BATE, avec l'ossature de l'équipe nationale, peut surtout compter sur les défenseurs Yurevich et Shitov, ainsi que sur l'attaquant Rodionov, auteur de trois buts en poule. Ces trois derniers joueurs étaient en septembre au Stade de France lorsque les Bleus d'Hoarau avaient été battus (0-1) en qualification pour l'Euro-2012...

BATE Borisov
Gutor - Yurevitch, M. Simic, Liktarovitch, Bordatchev - Nekhaychik, Olekhnovitch, Volodko, Bressan - Skavitch, Rodionov.

Paris-SG
Edel - Jallet, Z. Camara, M. Sakho (ou S. Traoré), Ceara - Giuly, Chantôme, Clément, Nenê - Luyindula, Hoarau.


Clément et la Berezina


Interrogé par un journaliste biélorusse mercredi en conférence de presse, qui faisait référence à la bataille de la Berezina, qui a eu lieu en 1812 au nord de Minsk et fut fatale à l'armée française, Jérémy Clément a répondu d'une pirouette : «On n'était pas nés à l'époque [...] On espère ne pas connaître le même sort que Napoléon ici...»

11G
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Coupet et Luyindula titulaires ?

Peu d'informations ont filtré sur le onze de départ que devrait aligner Antoine Kombouaré, ce jeudi soir à Minsk (19h00), en 16es de finale aller de Ligue Europa. Pour défier le BATE Borisov, l'entraîneur du PSG, privé de Tiéné et Armand et qui a choisi de faire souffler Makelele, va modifier son équipe et ménager quelques titulaires habituels.

Ainsi, Edel pourrait laisser sa place à Coupet dans le but parisien. Derrière, Ceara évoluera sur le flanc gauche. Au milieu, Bodmer ne devrait pas débuter tandis que Giuly serait en balance avec Maurice pour commencer sur le côté droit. Devant, Erding et Luyindula pourraient être associés et reléguer Hoarau sur le banc. (Photo Presse-Sports)

Les équipes probables :

BATE Borisov : Gutor - Yurevitch, M. Simic, Shitov, Bordatchev - Nekhaychik, Oleknovitch, Volomko, Bressan - Skavitch - Rodionov
Paris-SG : Coupet - Jallet, Camara, Sakho, Ceara - Giuly (ou Maurice), Chantôme, Clément, Maurice - Luyindula, Erding


France Football
HHA
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Paris s’est bien relancé en Biélorussie

Peguy Luyindula est un super héros aux pouvoirs magiques ! Hier soir, par un froid polaire, il a réussi à glacer un peu plus l’ambiance du stade du Dinamo en égalisant de la tête à trois minutes de la fin du match. L’ancien Lyonnais prive Bate Borisov d’un bel exploit et donne un nouvel élan à son équipe, qui restait sur deux résultats décevants.

Kombouaré emballé

Selon les thermomètres encore en état de fonctionner, il faisait - 17°C sous abri en fin de match. C’est juste un degré de plus qu’un congélateur bien réglé ! Et même s’ils se sont passionnés pour ce 16e de finale de Ligue Europa, les Biélorusses ne sont pas fous. Beaucoup ont préféré rester au chaud devant leur télévision, laissant le plus grand stade du pays à moitié vide. Les courageux supporteurs qui se sont déplacés avaient, eux, une bonne tactique pour ne pas geler sur place. Pendant tout le match, ils sont restés debout en s’agitant. Rester debout, Edel n’en est même plus capable. Pris à contre-pied sur le premier tir de Bressan, il tombe en arrière et regarde impuissant le ballon épouser ses filets (16e). L’image est cruelle et ne va pas améliorer sa réputation. Par la suite, il réalise trois interventions correctes. Mais on en vient à être surpris quand il réussit un arrêt...

Malgré le froid et l’état de la pelouse, ses partenaires ont assuré l’essentiel. Les attaquants ont retrouvé une forme de réalisme qui a, cette fois, fait défaut aux défenseurs. « Revenir deux fois au score, c’est énorme, se félicite Antoine Kombouaré. 2-2, c’est un bon résultat. J’avais dit qu’il fallait marquer. Deux buts, c’est bon pour la confiance, il faut finir le travail dans une semaine. » Fait rarissime, l’entraîneur parisien a été applaudi par les représentants des médias biélorusses à l’issue de sa conférence de presse. « Nous sommes heureux et respectueux d’avoir accueilli un aussi grand club que Paris », explique un journaliste local.

C’est touchant, mais Kombouaré n’a pas le temps de s’attarder sur ces louanges. Il faut préparer, dans la précipitation, un match extrêmement important à Nice, dimanche. L’avion du PSG devait atterrir ce matin vers 3 heures à Roissy. Il redécollera demain après-midi pour la Côte d’Azur. Dans quel état de fraîcheur seront les joueurs ? C’est un mystère. Hier soir, l’entraîneur parisien a quasiment aligné son équipe type, avec Nene et Giuly. On saura après-demain, à la lueur du résultat à Nice, si ce choix était réellement judicieux.

BATE BORISOV (BLR)- PSG 2-2 (1-1)
Spectateurs : 9 500.
Arbitre : M. Yefet (Isr).
Buts. Bate Borisov : Bressan (16e), Gordeychuk (81e) ; PSG : Erding (30e), Luyindula (88e).
Avertissements. PSG : Clément (36e).
Bate Borisov : Gutor - Yurevitch (cap.), Shitov, Bordatchev - Nekhaychik, Oleknovitch, Volodko, Bressan (Gordeychuk, 75e)- Rudik (Likhtarovitch (67e), Rodionov (Stavysh, 83e). Entr. : Goncharenko.
PSG : Edel - Jallet, Camara, Sakho (cap.), Ceará - Giuly (Bodmer, 67e), Chantôme, Clément, Nene (Maurice, 63e) - Luyindula, Erding (Makonda, 82e). Entr. : Kombouaré.

LES BUTS
16e : Rodionov fixe Sakho à l’entrée de la surface et transmet à Bressan d’une talonnade. Le Brésilien ajuste son tir. Sur de mauvais appuis, Edel ne réagit pas et se laisse tomber en arrière. 1-0.

30e : Luyindula, sur le côté de droit de la surface, glisse le ballon à Erding qui s’applique pour placer sa frappe du droit au ras du poteau. 1-1.

82e : Volodko frappe sur le poteau et Gordeychuk profite de l’apathie des défenseurs parisiens pour reprendre et ne laisser aucune chance à Edel. 2-1.

88e : TripyMakonda déborde côté gauche et centre pour la tête de Luyindula qui, dans un timing parfait, trompe Gutor. 2-2.

LE FAIT DU MATCH
85e : Nekhaychik réalise un numéro, élimine Sakho et s’enfonce dans la surface et adresse un centre impeccable pour Savish qui, seul à 10m d’Edel, ne cadre pas sa frappe. Borisov laisse échapper une occasion demener 3-1. Trois minutes plus tard, Luyindula égalise…


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Zoumana Camara : « On a retrouvé du dynamisme »

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Le PSG n’a pas encore retrouvé le goût de la victoire, mais sa prestation (2-2) d’hier contre le Bate Borisov en Ligue Europa y ressemblait sous plusieurs aspects. En effet, dans des conditions climatiques terribles et sur un terrain qui n’en a plus que le nom, les Parisiens ont décroché un match nul qui les place en très bonne position pour se qualifer jeudi pour les 8es de finale de la compétition.

Surtout, ce résultat encourageant fait suite à deux contre-performances en L 1 (défaite à Rennes et match nul contre Lens au Parc) où l’équipe de la capitale n’avait pas été capable de marquer malgré plusieurs occasions franches. « Ça nous relance, confie Peguy Luyindula, auteur du second but des siens à la 88e minute. On ne doutait pas, car on est bien placés dans trois compétitions, mais ça nous a permis de nous remettre en question. Ce soir (hier,) c’était bien, car on a marqué deux fois et on s’est créé des occasions. On a fait de belles séquences de jeu. »
Christophe Jallet est sur la même ligne : « On a retrouvé une efficacité offensive. L’essentiel est préservé pour le retour. » « Nos deux derniers résultats en championnat étaient moyens, mais le contenu n’était pas mauvais, nuance Clément Chantôme, qui porte sur le visage un œuf de pigeon au-dessus de son œil droit après un choc avec un Biélorusse en première période. On s’était procuré beaucoup de situations, il nous manquait seulement l’efficacité devant. Maintenant, il faut aller chercher un succès à Nice pour bien repartir de l’avant. »
« C’est une compétition différente du championnat mais ça nous fait du bien, conclut Zoumana Camara. Le match à Séville avait lancé notre belle série de première moitié de saison.
On a retrouvé du dynamisme et on a fait un match sérieux. Surtout, c’est un bon résultat pour bien préparer le prochain rendez-vous en L 1 à Nice dimanche. »


leparisien.fr
HHA
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«Un énorme mental»

Satisfait du 2-2 ramené de Borisov, l'entraîneur du PSG Antoine Kombouaré a souligné «l'énorme mental» de ses joueurs.

Antoine Kombouaré (entraîneur du PSG): «Le résultat est logique. Les joueurs ont fait une très très grosse première période et c'est contre le cours du jeu que BATE a ouvert le score. Il faut féliciter les joueurs qui reviennent deux fois au score mais il faudra finir le travail à domicile dans une semaine. C'est un bon résultat pour préserver nos chances en vue du retour, ce qui était notre objectif. C'est bon pour la confiance. Luyindula fait un très bon match à l'image de ses coéquipiers. Son but nous fait du bien et ça me donne une option supplémentaire. Il faut féliciter les deux équipes qui ont fourni un bon spectacle dans des conditions difficiles. On a peu de temps pour se préparer et il faut mettre l'accent sur la récupération. Ces enchaînements, on vit ça depuis le début de saison. Il faisait très très froid et le terrain était très très compliqué mais on a fait le boulot. On a eu un énorme mental.».

Christophe Jallet (Paris SG): «Toutes les conditions les plus pourries étaient réunies entre la température, le terrain et l'adversaire qui a joué son jeu. On a réussi à s'en sortir avec un nul mais ça a été compliqué. Contre le froid, chacun à sa petite astuce, les crèmes chauffantes ou mettre du poivre dans les chaussettes.»

Zoumana Camara (Paris SG)
: «Il y a un peu de déception mais on n'hypothèque rien et on a le mental pour arracher ce nul à la fin dans des conditions très difficiles. L'avantage, c'est qu'on avait joué contre Lviv et c'était un bon avant-goût de ce qui nous attendait. Mais il faisait encore plus froid qu'en Ukraine. On ne s'habitue jamais au froid.»

Clément Chantôme (Paris SG): «Avec le froid, on avait du mal à respirer, ça brûlait. On avait l'impression de ne pas avancer. On était préparé pour ces conditions mais, quand on tirait dans le ballon, ça faisait mal au pied. On n'a pas l'habitude mais on s'en est bien sorti.»

Peguy Luyindula (Paris SG): «Je supportais mieux le froid quand j'étais petit... En tout cas, je ne dirais pas que j'ai fait une de mes plus grosses prestations au PSG.»

Viktor Goncharenko (entraîneur de Borisov)
: «Je ne suis pas très déçu car on a mieux joué en deuxième période. Il n'y a rien d'impossible pour le retour et je crois qu'on peut se qualifier. On a nos chances car Paris va enchaîner et ce sera difficile pour eux»


lequipe.fr
Beuzech
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Armand ok pour Nice

Avec les retours d'Armand, Makelele et Tiéné, Antoine Kombouaré dispose d'un groupe au complet pour le déplacement à Nice, dimanche.

Son traumatisme facial n'est plus qu'un mauvais souvenir. Après plusieurs jours de soins et de repos, Sylvain Armand devrait pouvoir récupérer son poste en défense centrale, dimanche à Nice. Un déplacement qui permettra aussi à Antoine Kombouaré de récupérer son capitaine Claude Makelele (laissé au repos jeudi à Minsk) et Siaka Tiéné (qui était suspendu).

Revenus de leur périple biélorusse à 4 heures du matin, les titulaires se sont contentés de soins et de récup', alors qu'une petite opposition et un exercice devant le but de Coupet, étaient programmés pour les remplaçants (Hoarau, S. Traoré, Bodmer, Makonda, Maurice et donc Makelele et Armand). Une dernière séance est programmé samedi, avant le déplacement sur la Côte d'Azur. - Olivier SCHWOB, au Camp des Loges


léquipe.fr
Comanchero
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LIGUE EUROPA - Les deux clubs ont fait 2-2. Mais l'un s'en sort mieux que l'autre.

Collection hiver.
Pour lutter contre le froid biélorusse (-11°C en début de match, -20°C à la fin), les joueurs du PSG avaient sorti l'artillerie lourde, col montant en doudoune ou non, tee-shirts rouges à grandes manches, collants noirs et des bandeaux ... bleu ciel. Des bandeaux tellement cheap qu'on a pu se demander si le club ne les avait pas achetés à la première supérette de Minsk. Mais ces bandeaux pour les oreilles ont plutôt fait de l'effet puisque Peguy Luiyndula, buteur, et Nenê, en vue, en portaient un. Interrogé au micro de Canal+ Sport, Luyindula a résumé l'avis général : "maintenant, on espère passer et ensuite, on espère aussi ne plus tomber sur un club de l'Est"... A lire : Le PSG évité le coup de froid



Honneur aux honnis.
Habitué aux sifflets du Parc des princes depuis quelques semaines (Erding) ou quelques années (Luyindula), les deux attaquants du PSG, titularisés en l'absence de Guillaume Hoarau, laissé au repos, ont inscrit les deux buts parisiens (2-2). Malgré une pelouse en très mauvais état, le Turc a parfaitement ouvert son pied droit sur un service en or de... Luyindula (29e). L'ancien Lyonnais, lui, s'est montré particulièrement adroit, de la tête, sur un centre venu de la gauche de Tripy Makonda (89e). Ce but du 2-2 est intervenu cinq minutes après une incroyable balle de 3-1 pour Borisov. Parfaitement servi en plein coeur de la surface de réparation, le nouvel entrant Skavich, sans doute un peu... froid, a manqué le cadre d'un petit mètre.


Les fans parisiens au rendez-vous. Ils étaient une vingtaine de fans acharnés à avoir effectué le déplacement un peu fou à Minsk. Et l'un d'entre eux a même pris le risque de sacrifier à la coutume locale du torse nu. Pour se réchauffer, les supporters rouge et bleu s'en sont pris également à leurs deux cibles habituelles : Colony Capital, l'actionnaire principal, et Robin Leproux, le président. Même à des milliers de kilomètres, même dans le froid, on n'oublie pas ses combats.


Europe1.fr

En guest star en photo, les protagonistes (pas mis la photo en direct sur le site mais Europe1 ne se gène pas ) :

http://www.europe1.fr/Sport/Articles/Lille...u-chaud-418101/
Golazo
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PSG : Leproux Dj sur RTL

Selon Le Parisien, le président du PSG Robin Leproux sera DJ sur RTL dans la nuit du 23 au 24 février. Il sera l’invité des Nocturnes de Georges Lang.

Ancien président de RTL Group (de 2001 à 2006), Robin Leproux va faire son retour Rue Bayard la semaine prochaine. Le président du PSG sera en effet DJ dans la nuit du 23 au 24 février, dans le cadre des Nocturnes de Georges Lang, de minuit à 3h du matin. Selon Le Parisien, Elvis Presley, Les Rolling Stones ou encore Bruce Springsteen seront au menu de sa programmation musicale.

A.B. (Rédaction Football365.fr)
sylvain
Le Parisien

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Erding et Hoarau se cherchent encore


Leur association, samedi dernier face à Lens (0-0), a encore déçu. Après treize mois passés côte à côte à la pointe de l’attaque parisienne (ils n’ont commencé à jouer ensemble que le 24 janvier 2010), Guillaume Hoarau (bientôt 27 ans) et Mevlut Erding (bientôt 24 ans) sont loin de combler tous les espoirs placés dans leur association.

Le déplacement charnière, demain à Nice, est l’occasion de démentir des statistiques qui ne plaident pas en leur faveur. Lors de la dernière saison, ils ont évolué 17 fois ensemble (toutes compétitions confondues), avec un bilan de 10 buts pour l’international turc et 6 pour le Réunionnais. Cette année, c’est encore moins bien. Hoarau et Erding ont joué à 21 reprises ensemble, avec 10 réalisations pour le premier (dont 1 triplé en Coupe de France face à Martigues, CFA) et seulement 4 pour son compère. Les raisons sont multiples.

Des lacunes techniques
C’est sûrement l’une des principales explications de leurs difficultés. Depuis le début de la saison, les deux attaquants parisiens ne pratiquent pas leur meilleur football et pas seulement dans leur quête du but. « Erding manque de technique dans ses remises. Il sent bien le jeu, possède la vitesse et fait de bons appels, mais il a beaucoup de déchets cette saison, souligne l’ancien international Jean-Marc Ferreri. Quant à Hoarau, je le trouve un peu lent pour un attaquant de pointe. Il manque de rythme et de vivacité. » Partant de là, le doute s’est invité dans la tête des deux joueurs.

Un replacement défensif à améliorer… ou à limiter
Guillaume Hoarau avait lui-même émis l’idée qu’il devait mieux gérer ses replis défensifs pour s’économiser et gagner en lucidité devant le but. « Ils doivent effectuer un travail plus coordonné de replacement, précise Elie Baup, l’ex-entraîneur de Bordeaux et Saint-Etienne. L’un ne doit pas faire plus d’efforts que l’autre. Au contraire, ils doivent être complémentaires pour s’épauler et être plus proches l’un de l’autre sur le terrain. Ils gagneront en efficacité. » Jean-Marc Ferreri imagine même deux attaquants uniquement dévolus à leurs tâches offensives. « Avec quatre défenseurs costauds et deux sentinelles, sans parler de Giuly et Nene qui effectuent un gros boulot de repli, Hoarau et Erding peuvent se permettre de moins défendre pour se consacrer à leur priorité : marquer », insiste l’intéressé.

Les nouveaux Henry et Trezeguet ?
Une telle hypothèse soulèverait inévitablement l’idée d’une incompatibilité technique, voire psychologique, entre les deux joueurs. « Mais je n’y crois pas, conteste Ferreri. Je pars du principe que, s’il s’agit de très bons joueurs, ils doivent s’entendre. Sinon ça veut dire que le système n’est pas bon. A Paris, on voit que, derrière les deux attaquants, il y a un no man’s land. » Face à Lens, Kombouaré avait placé Bodmer en soutien de son duo offensif, mais sans résultat tangible. « L’aspect psychologique est très important, insiste Baup. Si les joueurs se sentent en concurrence entre eux, cela peut provoquer des dégâts. On l’a vu par exemple avec un gars comme Mexès chez les Bleus. » Aux dernières nouvelles, Hoarau et Erding entretiennent des rapports tout à fait cordiaux.
sylvain
RMC

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Kombouaré : « On va vivre un choc thermique »


Après son déplacement biélorusse jeudi, le PSG retrouve le championnat à Nice ce dimanche (17h). Les hommes d’Antoine Kombouaré s’attendent à vivre un match difficile contre des Azuréens en quête de maintien.



Antoine Kombouaré, pensez-vous que le PSG ait récupéré de son déplacement à Minsk ?
C'est la grande question que je me pose. Comment aura-t-on récupéré de ce match difficile face à un très bel adversaire et surtout des conditions climatiques (ndlr : il a fait aux alentours de -22°C). On va affronter une équipe de Nice qui jouera forcément le maintien, qui aura eu toute la semaine pour se préparer. On va vivre un choc thermique. Mais bon, on est au courant du type de match qui nous attend. Il faudra faire toute façon un grand match. »

Après une défaite à Rennes (1-0) et un nul face à Lens (0-0) ce match à Nice peut permettre à Paris de se relancer ou de tomber dans la morosité…
C'est faux ! Parce qu'il reste quinze matchs. Soit 45 points. Le chemin est encore très long. On fera le point fin mars. Si on est bien placé fin mars, on verra. Mais c'est sûr qu'après une défaite et un nul on a envie de repartir de l'avant. On va tout faire pour, et si ce n'est pas le cas, il y aura encore derrière suffisamment de points pour se rattraper, surtout si les écarts sont de deux, trois, quatre ou cinq points.

« J'espère qu'on ne tombera pas sur un grand Ospina »

Qu'est-ce qui vous fait croire que vous allez repartir de l'avant ?
Ça fait un moment qu'on est sur le front et à chaque fois nous avons répondu présent. A chaque fois, nous avons fait de très bons matchs. On n'a pas toujours gagné mais les contenus de nos matchs sont toujours intéressants. J'espère juste qu'on ne tombera pas sur un grand Ospina.

Que pensez-vous des performances actuelles d’Edel ?
Il n'est pas le seul à être critiqué. Erding et Hoarau le sont aussi en ce moment. On est là pour l'aider. On a attend de lui qu'il fasse de grands matchs, mais c'est surtout la performance de l'équipe qui m'intéresse. Ça qu'Edel soit moins bien, mais quand l'équipe gagne, ça atténue les performances. Il est toujours en concurrence avec Grégory Coupet. Mais de toute façon ils sont tous en concurrence, à tous les postes. La preuve c'est que Greg a débuté la saison numéro 1. Moi Edel je le trouve performant. Vous faîtes une fixation sur lui.

Où en sont les différentes négociations de prolongation de contrat (ndlr : Chantôme et Sakho notamment) ?
J'en ai parlé avec les joueurs. Pendant les négociations, il faut faire abstraction des discussions qu'ils ont avec le club pour rester performant sur le terrain. C'est un problème que rencontrent tous les clubs quand vous arrivez dans cette période où certains sont en fin de contrat ou à qui il reste une année. On n'est pas les seuls dans cette situation. Il faut que les joueurs soient costauds mentalement, car comme je leur ai dit, ce n'est pas parce qu'il y a négociation qu'il y aura accord. Si le joueur vous demande la lune vous n'allez pas accéder à sa demande. Tout le monde fait des efforts. On tombe d'accord c'est bien, si ce n'est pas le cas, ce n'est pas grave. Le club continue d'avancer et le joueur a aussi d'autres propositions ailleurs. C'est la vie. Tous les clubs brassent un nombre incalculable de joueurs. Le fait qu'on n'ait prolongé personne aujourd'hui n'est pas grave. Ce n'est pas une course.
HHA
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Paris doit gagner pour rester dans la course

Mine de rien, le PSG court après un succès en Ligue 1 depuis trois semaines. C’était le 29 janvier à Arles-Avignon (2-1). Paris a ensuite enchaîné par une défaite à Rennes (1-0) et un nul passable à domicile contre Lens (0-0). Le club de la capitale a perdu deux places au classement (4e avant le début de cette 24e journée) même si cette situation ne génère pas des tonnes d’inquiétude du côté du camp des Loges.

Hier, Antoine Kombouaré a manié la rhétorique servie et resservie de l’ entraîneur qui préfère porter son regard au loin, là où l’horizon est censé se dégager. «Après une défaite et un nul on a envie de repartir de l’avant et si ce n’est pas le cas (NDLR: cet après-midi à Nice) il restera 42 points à prendre, répète l’entraîneur parisien. De toute façon on fera le point fin mars. On aura une idée plus précise si on est bien placé ou pas.» Si l’on colle au raisonnement du coach du PSG, son équipe entame tout à l’heure sur la côte d’Azur une série de cinq rencontres de L1 au terme desquelles on cernera mieux les ambitions parisiennes. Rendez-vous donc le 20 mars prochain au stade Vélodrome à l’issue du clasico face à Marseille.

Pour l’instant, c’est à 180 kilomètres de là, dans un stade du Ray qui ne lui réussit plus (5 défaites consécutives), que Paris va devoir se remettre d’aplomb. Lors de sa période faste, le club de la capitale avait réussi à redresser la barre à deux reprises dans une posture identique (*) . Et ce n’est pas la seule raison objective de croire à un réveil parisien face à des Niçois candidats à la relégation. «On n’a pas toujours gagné mais les contenus de nos matchs sont intéressants», souligne Kombouaré. Difficile de lui donner tort. Mais cette analyse rassure et inquiète à la fois. Car Paris, contrairement à ses concurrents directs, ne sait plus transformer un match moyen en victoire. Ce déficit de réalisme, conjugué à une défense et un Edel en difficultés ces derniers temps, dessinent les inquiétudes qui escortent ce déplacement charnière.Sans parler des répercussions physiques du voyage glacial en Biélorussie dont on mesure mal les effets. Ces incertitudes limitent la marge de manoeuvre d’un PSG qui, il y a peu encore, aurait débarqué à Nice avec un statut de favori. Ce n’est plus tout à fait le cas.

(*) En novembre, Paris avait battu Marseille (2-1) après un revers face à Auxerre (2-3) et un nul à Montpellier (1-1), puis il s’était imposé en janvier face à Sochaux (2-1) après un nul contre Monaco (2-2) et un revers à Nancy (0-2).


leparisien.fr
sylvain
Canal Supporters.com

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Edel « N°2, c’est trop dire »

Dans un entretien accordé au Canal Football Club et diffusé ce soir sur Canal +, Edel parle enfin et évoque ses prestations, l’éventuelle concurrence à venir de David Ospina ou encore ses ennuis judiciaires.

Concernant ses prestations, il confesse « C’est vrai que j’ai fait quelques erreurs », mais ne comprend toutes les critiques émises à son encontre « tout cet acharnement contre moi, je ne le comprends pas ». D’ailleurs les critiques semblent lui peser puisqu’il confie « beaucoup travailler à l’entraînement et sur le plan mental pour remonter la pente ».

A l’évocation de son avenir, il confirme « vouloir rester à Paris ». Mais apparemment pas à n’importe quel prix. Puisque quand on lui parle des derniers bruits faisant état qu’il accepterait de prolonger même avec un statut de doublure il répond « Rester comme n°2 ? C’est trop dire… ». Quant à l’éventuelle concurrence à venir d’Ospina, il ajoute « Si je suis encore là, il me trouvera sur le terrain. On travaillera. Et le plus fort jouera.»

Quant à son affaire judiciaire il continue de clamer son innocence « Cette affaire me casse les c… Mais elle se finira bien. La vérité, c’est que je n’ai pas menti sur mon âge et que je m’appelle Edel Apoula. J’ai 24 ans. »

Et malgré tout se vacarme autour de lui, il termine en disant que sa seule préoccupation est que « Paris devienne champion ». Le reste, il s’en « fous ».


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Les contrats source d’inquiétude

L’été sera chaud du côté de la capitale, ça on le sait déjà, puisqu’il devrait y avoir beaucoup de mouvements au sein de l’effectif parisien. Mais la période qui nous sépare du mercato estival devrait, elle aussi, être agitée pour les dirigeants du club.

En effet, Giuly, Edel, Coupet, Makélélé et Traoré sont en fin de contrat à la fin de la saison. Et concernant le reste des joueurs majeurs de l’effectif la fin de contrat est proche. Sakho, Chantôme, Ceara, Armand, Luyindula, Camara ou, à un degré moindre, Maurice sont en fin de contrat en 2012. Quant à Nenê, Bodmer, Hoarau, Erding et Jallet, leurs contrats courent jusqu’en 2013.

Si la prolongation d’Edel est en cours de finalisation, et que Giuly a rendez-vous dans deux semaines avec le président Leproux en vue d’un éventuel accord. Pour le reste, certains dossiers sont plus avancés que d’autre, tout simplement parce que plus prioritaire. Fin novembre, Mamadou Sakho avait trouvé un accord pour une prolongation avec revalorisation salariale mais Colony Capital a gelé l’accord. Si les choses n’avancent pas prochainement Sakho se dit prêt à ne pas resigner du tout. Le dossier de Chantôme est également prioritaire aux yeux des dirigeants parisiens mais là aucunes informations ne filtrent.

Dernièrement Camara et Jallet ont exprimé leurs intentions de demeurer au club encore quelques années. Et ce dernier, tout comme Sylvain Armand, a sollicité le président dans le but d’obtenir un rendez-vous concernant une éventuelle prolongation de contrat.

Autant dire que les dirigeants parisiens ne vont pas chômer et qu’il ne faudrait pas qu’ils se loupent sur ce dossier des prolongations car cela inquiète quelque peu les joueurs qui aimeraient terminer la saison l’esprit tranquille.
HHA
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Edel droit dans ses crampons

Dans une interview à Canal+ qui sera diffusée ce dimanche soir, Apoula Edel, le gardien titulaire du Paris-SG répond aux critiques croissantes sur son niveau, encore alimentées par la sortie maladroite dont son partenaire Sylvain Armand a fait les frais face à Lens le week-end dernier (0-0). «C'est vrai que j'ai fait quelques erreurs. Mais tout cet acharnement contre moi, je ne le comprends pas. Je travaille beaucoup à l'entraînement et sur le plan mental pour remonter la pente.»

A l'heure de croiser son collègue portier David Ospina, ce dimanche à Nice (17h00), l'Arméno-Camerounais (24 ans) évoque aussi la possible arrivée du Colombien au PSG l'été prochain. «Si je suis encore là, il me trouvera sur le terrain. On travaillera. Et le plus fort jouera.» «Si je suis encore là» ? À quatre mois de la fin de son contrat, Edel confirme certes «vouloir rester à Paris». Mais il ne semble pas disposé à prolonger s'il devait se contenter d'un rôle de doublure, comme la rumeur le laissait entendre ces derniers temps. «Rester comme numéro 2 ? C'est trop dire...», avance-t-il sans plus de précisions.

A Nice aussi, le rendez-vous Edel-Opsina a agité les gazettes cette semaine. Les chroniqueurs rappellent que le Colombien avait été héroïque contre Paris à l'aller au Parc des Princes, sans doute son meilleur match en L1 (0-0). Interrogé par le Parisien, Bruno Valencony, l'entraineur des gardiens niçois, témoigne : «Quand tu sais qu'un club t'observe, tu as parfois tendance à prendre trop de risques, faire des choses inhabituelles. D'un autre côté, tu peux aussi davantage te concentrer et donc sortir de grands matches. Pour l'heure, face au PSG, c'est plutôt une source de motivation supplémentaire.» En creux, cela signifie aussi pour Edel : boulette interdite !

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L'affaire judiciaire déclenchée par l'ancien entraîneur d'Apoula Edel est également abordée dans son interview à Canal. Nicolas Philibert affirme qu'Edel aurait six ans de plus que l'âge annoncé et s'appellerait Ambroise Beyaména. Le gardien dément encore : «Cette affaire me casse les c... Mais elle se finira bien. La vérité, c'est que je n'ai pas menti sur mon âge et que je m'appelle Edel Apoula. J'ai vingt-quatre ans. Ma seule préoccupation, c'est que Paris devienne champion. Le reste, je m'en fous.»


lequipe.fr
Mathis
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Nice – PSG : Bodmer forfait de dernière minute


Mathieu Bodmer ne figure pas sur la feuille de match de ce Nice – PSG (17h), comptant pour la 24e journée de Ligue 1. Le milieu de terrain parisien, qui s'était entraîné normalement ces derniers jours, a ressenti des vertiges à quelques heures de la rencontre et est finalement resté à l'hôtel des joueurs. Un malaise qui pourrait être dû au changement de température entre la Biélorussie et la France.
Jeudi soir, Paris est allé faire match nul à Minsk contre le Bate Borisov, en 16e de finale de la Ligue Europa. Le mercure affichait - 17 degrés en fin de partie, contre dix degrés environ actuellement à Nice...

Le Parisien
A2V
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Paris remet le contact
Très réaliste, Paris a su profiter des largesses de la défense de Nice pour enlever un précieux succès (3-0) sur la Côte d'Azur. Le revoilà au pied du podium.

Bien que le carnaval ait pris ses quartiers à Nice, comme chaque année à cette période, Paris a démontré dimanche en fin d'après-midi qu'il n'était pas venu sur la Côte d'Azur pour rigoler. Décidée à conserver son...costume de prétendante à la Ligue des champions (voire plus), l'équipe d'Antoine Kombouaré a su faire une grosse différence en première mi-temps. A des moments clés.

D'abord au sortir d'un premier quart d'heure de jeu, qui manquait cruellement de rythme des deux côtés, grâce à un but de Giuly (de la tête), totalement oublié au second poteau (24e). Les défenseurs niçois ont ensuite été spectateurs de l'enchaînement contrôle-poitrine-pointu du droit de Hoarau sous la barre d'Ospina (43e). Souvent abandonné par sa défense, le gardien du Gym a été décisif - malgré l'ampleur du score- sur de nombreux face-à-face : devant Erding (23e), Chantôme (68e), Giuly (70e) ou sur ses frappes de Nene (71e) et Jallet (83e).

Nice glisse dangereusement

En manque de solutions, d'imagination dans le jeu, l'OGC Nice n'est jamais parvenu à refaire surface, s'écroulant totalement après le but de Sylvain Armand (3-0, 73e) et l'expulsion de Diakité pour un tacle sévère sur Nenê (79e). Après ce nouveau revers, et à l'image de la météo de ce dimanche, le ciel s'assombrit très nettement sur Nice, qui sent un peu plus dans son cou le souffle de Monaco et de Lens, premiers relégables, à deux points derrière seulement. Le PSG, lui, a su montrer qu'il savait voyager sans casse. Presque en classe affaires. - Olivier SCHWOB, à Nice


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Foot - L1
Bodmer est resté à l'hôtel

Absent sur la feuille de match, Mathieu Bodmer a déclaré forfait ce matin seulement. «Il a eu un petit souci de santé, a rapporté Antoine Kombouaré après le match. Au réveil, il n'était pas en état de jouer. On a préféré le laisser à l'hôtel à Nice. Là, on va aller le récupérer.»- O.S., à Nice


Lequipe.fr
HHA
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Le PSG repart de l'avant à Nice

Il paraît que le doute est l'un des meilleurs ennemis du footballeur. Alors autant ne pas le laisser s'installer. En s'imposant à Nice dimanche après-midi (0-3), Paris a mis fin à sa mini mauvaise série (une défaite, un nul en L1) pour rester dans le bon wagon. A quatre points du leader lillois, battu à Montpellier (1-0), à un point de Marseille, et à égalité avec Lyon.

Outre la victoire, Antoine Kombouaré devrait aussi pouvoir se réjouir de la manière. Paris a dominé les débats au Stade du Ray. Et si le succès parisien est logique, l'écart, déjà conséquent au tableau d'affichage, ne rend pas compte de toutes les occasions ou situations dangereuses du PSG. Car elles se sont multipliées tout au long de la partie. Erding et Chantôme écrasent d'abord trop leurs frappes pour véritablement inquiéter Ospina (6e, 8e). Faé, le milieu niçois, se signale lui par un retour très douteux sur Chantôme (16e). Puis Erding voit de nouveau sa tentative sortie par le gardien de Nice (23e). A peine le temps de se dire que le portier de l'OGCN, dont le nom est souvent cité du côté de Paris pour le futur, va de nouveau réaliser une prestation de premier plan que Paris trouve l'ouverture. Sur le corner de Nene qui suit l'action d'Erding, Hoarau dévie, Giuly reprend de la tête et le PSG mène 1-0 (24e). Logiquement.

Nene impliqué sur les trois buts

S'ensuit alors une période où Nice joue un peu mieux et Paris un peu moins bien. Les hommes de Kombouaré se font même peur sur un centre de Ben Saada repris par Mounier. Edel s'envole pour claquer ce ballon en corner (28e). Le gardien parisien écarte ensuite un centre dangereux de Mouloungui (40e) et capte une frappe plein centre de Mounier (42e). L'OGCN rappelle ainsi à Paris qu'il serait bien inspiré de « tuer » ce match. Message bien reçu. Juste avant la pause, Nene trouve Hoarau d'une ouverture lumineuse. La suite est bien aussi: l'attaquant parisien s'emmène le ballon de la poitrine et le loge dans la lucarne d'Ospina (44e). 2-0, score à la pause, malgré un dernier coup franc de Nene juste à côté (45e).

Nice, englué à la 17e place du classement, tente de revenir en début de deuxième période. Mais Mounier dévisse (51e), Bellion ne trouve pas le cadre (53e) et personne ne reprend le centre en retrait de Ljuboja (67e). La suite est parisienne et sans un grand Ospina, l'addition aurait été franchement salée. Le gardien niçois s'interpose devant Chantôme (69e), Giuly (71e) et Nene (72e). Le Colombien repousse une nouvelle frappe du stratège brésilien mais Armand, bien placé, contrôle et ajuste le gardien de l'OGCN pour la troisième fois du match (74e). Pour couronner le tout, Diakité est expulsé et laisse son équipe finir le match en infériorité numérique.

Paris a en tout cas montré son sens du répondant après deux matchs de championnats mitigés. C'était contre Nice, certes 17e et premier non relégable. Mais si le PSG affiche de nouveau régulièrement ce visage là, alors la fin de saison s'annonce passionnante.


leparisien.fr
A2V
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Foot - L1 - PSG
«Un match presque parfait»
Enchanté par la prestation à Nice (3-0), Antoine Kombouaré veut retenir l'état d'esprit affiché par son équipe et se servir de cette nette victoire pour aller encore plus haut.


«Antoine Kombouaré, on vous imagine comblé par ce large succès.
Oui, c'est une victoire qui nous fait énormément de bien. Après une défaite (à Rennes) et un nul (face à Lens) en Championnat, il fallait à tout prix renouer avec une victoire. Ce soir, je suis fier de mes joueurs. C'est une victoire qui ne souffre d'aucune contestation. On a su faire preuve de solidité. Et devant, avec un peu plus d'adresse et sans un grand Ospina, on aurait pu aggraver encore le score.

Que vous inspire la défaite de Lille à Montpellier (0-1) ?
Je ne m'en occupe pas. Ce qui m'intéresse ce sont les performances de mon équipe. Et ce (dimanche) soir, pour moi c'est un match presque parfait : on ne prend pas de but et on en marque trois. Ce soir, on était dans de très bonnes dispositions, c'est pour ça que ç'a été dur pour Nice. On a été très solides et on a réussi à dégoûter les attaquants adverses, tout en réussissant à se projeter vite vers l'avant.

C'est une victoire qui vous relance complètement dans le Championnat.
C'était important de gagner pour rester dans la course à l'Europe. Il faut continuer à rester placés pour aller à la bagarre, pourquoi pas pour le sprint final ? On verra tout ça en avril. Pour moi, il y a d'autres équipes que les cinq équipes de tête. L'essentiel est de ne pas se laisser décrocher.»

Propos recueillis par Olivier SCHWOB, à Nice


Lequipe.fr
HHA
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Les joueurs voient encore plus loin

Au PSG, on parle d’Europe, pas encore de Ligue des champions. Le mot fait encore un peu peur et on comprend pourquoi. Mais hier soir dans les couloirs du stade du Ray on devinait en creux qu’une qualification pour la plus prestigieuse des Coupes d’Europe, au printemps prochain, était dans toutes les têtes. « L’objectif c’est d’être le plus haut possible, mais si on se retrouve 4es ou 5es on aura les boules, résume Ludovic Giuly.

Avant ce match à Nice on savait que c’était parti devant, donc il fallait rattraper le train. Maintenant on a envie d’aller plus haut. » Clément Chantôme voit même plus grand et surtout plus haut. « La défaite de Lille (NDLR : 0-1 à Montpellier) a resserré le classement et désormais on est cinq équipes à se battre pour le titre », insiste le milieu parisien. Ce succès à Nice semble avoir rendu un nouveau souffle aux partenaires de Claude Makelele. « Cela nous redonne de la confiance et de l’espoir du haut du tableau », confirme Christophe Jallet. Mais pour avoir vécu le même type de situation il y a deux ans, avant de terminer 6es, Guillaume Hoarau affiche une certaine méfiance. « Si on continue à tuer les matchs sans être exceptionnels, comme ce fut le cas ce soir en première mi-temps, on pourra figurer parmi les grands de ce championnat, résume l’attaquant réunionnais. Mais pour l’instant ça reste fragile et il n’y a qu’une bonne série qui pourra nous propulser vers l’avant. Il va falloir être des hommes mais les mois qui viennent vont être excitants. » .



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Sylvain Armand : « Ce sera serré jusqu’au bout »

De retour en défense centrale, Sylvain Armand s’est montré très solide défensivement. Auteur du troisième but de son équipe, le soir de son 309e match pour le PSG, toutes compétitions confondues., il ne cache pas sa satisfaction.

Le PSG est-il relancé dans la course au sprint final ?

Sylvain Armand. Pour le sprint final, je ne sais pas.Mais on a bien réagi après deux résultats négatifs. On prend des points. Il le fallait car les performances de nos concurrents, samedi, nous avaient mis un peu la pression. C’est une satisfaction, car on ne voulait pas d’un troisième match de suite sans succès en L 1. On reste dans le peloton de tête.

Pensez-vous pouvoir rivaliser jusqu’au bout avec les autres clubs (Lille, OM, OL et Rennes) qui occupent le haut du classement ?

La défaite de Lille à Montpellier (1-0) relance tout. Ce sera serré jusqu’au bout. On prouve notre gros mental, comme jeudi en Ligue Europa où on a ramené un nul dans des conditions très difficiles (2-2). Même quand on a la pression, on négocie bien les rendez-vous. C’est nouveau par rapport aux saisons passées.

Vous avez donné l’impression de maîtriser toute la rencontre. Est-ce aussi votre analyse ?

Oui, même si l’on s’est trouvés en difficulté en fin de première période sur une ou deux situations adverses. On aurait pu se mettre à l’abri plus tôt. Mais on a affiché un bon état d’esprit. C’est bien de rebondir.

Etiez-vous inquiet après vos deux dernières sorties en L 1 ?

On devait garder les bases de Rennes, car il y avait eu de bonnes choses là-bas, même si l’on avait manqué de réussite en ne concrétisant pas nos occasions. Mais on ne doutait pas. On avait juste peut-être un peu peur que nos attaquants doutent. Ce soir (hier), il faut les féliciter car ils ont su nous mettre à l’abri. C’est ce qui nous a permis de jouer plus facile après.

Pour votre 309e match avec le PSG vous avez marqué le troisième but…

A titre personnel, je suis content. Le plus important c’est la victoire de l’équipe. J’avais un doute sur mon genou gauche avant le match, j’avais peur qu’il ne soit pas bien remis. Finalement, ça s’est bien passé et j’ai pu marquer du gauche… Plusieurs personnes m’ont dit que je devrais prendre plus souvent des coups si, ensuite, je fais des matchs comme cela. (Sourire.)


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Dready14
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Bodmer et Camara reprennent

Les Parisiens ont repris l'entraînement mardi sous un beau soleil. Mathieu Bodmer, qui n'a pas disputé le match remporté contre Nice dimanche (3-0), ne souffre plus de problèmes de vertiges. Zoumana Camara, qui se plaignait d'un oeil, a été traité et tout est rentré dans l'ordre. Tout le monde est sur le pont a fait savoir le staff médical.


Lequipe.fr
HHA
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L’adversaire de Paris au secret dans l’Essonne

Les quelques rayons de soleil peinent à réchauffer l’atmosphère. Sur le terrain d’entraînement, quelques joueurs tiennent entre leurs mains des gobelets remplis d’un thé chaud. La température atteint à peine les quatre degrés. « Chez nous, en ce moment, il fait -18 degrés, raconte l’un des membres de Bate Borisov, le champion en titre de Biélorussie. Autant dire qu’ici, c’est supportable. »

Pour préparer au mieux le 16e de finale retour de Ligue Europa contre le PSG, après le nul (2-2) concédé sur ses terres à l’aller, le club biélorusse s’est en effet octroyé un stage de cinq jours en région parisienne, son championnat ne reprenant que le 1er avril. Depuis vendredi, un groupe de 24 joueurs et le staff technique ont donc élu domicile à Lisses, une commune à 30 km de Paris, dans l’Essonne. « Notre premier choix était Clairefontaine. Mais il n’y avait pas de place, indique-t-on au club, dont le budget serait de 7 M€ environ. Après des recherches sur Internet, nous avons repéré cet endroit. »

Lisses, ville de 7 000 habitants, dispose en effet de l’espace Léonard-de-Vinci (un site doté d’un hôtel trois étoiles, d’un centre de remise en forme et de balnéothérapie) apprécié du monde du sport. « Nous avons déjà accueilli les sélections de Côte d’Ivoire ou encore le Cameroun, énumère Thierry Lafon, le maire de la commune, qui met à la disposition de ces équipes les terrains de football. L’année dernière, juste avant la Coupe du monde, le Paraguay est aussi venu. Et fin août, nous avons reçu l’USM d’Alger. »

Conscients qu’une victoire par un but à zéro leur assurerait la qualification, les Biélorusses se sont ainsi préparés avec sérieux au cours de ces cinq jours. « Nous ne sommes pas là en touristes, il était hors de question d’aller visiter Paris, indique-t-on au club. D’ailleurs, avec deux entraînements par jour, nous n’en avions pas le temps. » Ainsi, hier, pour leur dernière séance à Lisses (cet après-midi, l’entraînement se déroulera au Parc des Princes), les joueurs ont participé à un exercice d’attaque-défense pendant une heure et demie. Et au moment de mettre au point les combinaisons sur les coups de pied arrêtés, il a été demandé au photographe présent de ranger son matériel. Histoire de ne pas dévoiler au PSG leur botte secrète…



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Les Parisiens dans la bonne humeur

Le PSG est détendu. Au milieu des enfants particulièrement nombreux en cette période de vacances scolaire, les Parisiens se sont livrés hier matin au camp des Loges à un entraînement studieux mais aussi très rieur, les « chambrages » interrompant fréquemment leur opposition sur demi-terrain. Bodmer (vertiges) et Camara (conjonctivite) sont rétablis. Giuly s’est contenté de courir en marge de la séance. Tout le monde est sur le pont, ne laissant que l’embarras du choix à Antoine Kombouaré.


leparisien.fr
sylvain
L'Equipe.fr

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Bodmer revient, Giuly ménagé

Forfait de dernière minute dimanche dernier à Nice (3-0), Mathieu Bodmer effectue son retour dans le groupe parisien qui reçoit le BATE Borisov jeudi (21h05), en seizièmes de finale retour de Ligue Europa (2-2 à l'aller). Ce n'est pas le cas de Ludovic Giuly, Claude Makelele et Nenê, laissés au repos par Antoine Kombouaré. Pour suppléer les trois hommes, l'entraîneur parisien a convoqué les jeunes Jean-Christophe Bahebeck (17 ans), Loick Landre (18 ans) et Neeskens Kebano (18 ans).

Le groupe parisien :
Edel, Coupet - Armand, Z. Camara, Ceara, Sakho, S. Traoré, Tiéné, Jallet, Makonda - Bodmer, Chantôme, Clément, Bahebeck, Landre, Kebano - Erding, Hoarau, Luyindula, J-E. Maurice.
Raptor39
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Pourquoi avoir laissé Nenê, Claude Makelele et Ludovic Giuly au repos?
Simplement, parce qu’on a un tas de match à jouer, il y a des échéances importantes qui arrivent. Il y a Toulouse dimanche. Mercredi, il y a un quart de finale contre Le Mans, le samedi suivant, on se déplace à Auxerre. Il faut faire des choix.

Cela veut dire que la Ligue Europa n’est pas une priorité?
Les joueurs dont vous parlez ont joué en Biélorussie, et ils ont enchainé à Nice. Mais ils ne peuvent pas enchaîner tous les matchs, c’est impossible. Ca ne sert à rien d’être sur le terrain et qu’ils soient fatigués.

A choisir, vous préférez gagner la Ligue Europa, être dans les trois premiers de L1 ou gagner la Coupe de France
Je ne choisis pas. On prend les matchs comme ils viennent. Jeudi, on va essayer de gagner, et si on est éliminé, on quittera cette compétition. Et la vie continuera.

Vous avez appelé quelques jeunes. C’est le moment de les lancer ?
Trois d’entre eux vont faire leur apparition. Ils viennent du centre de formation. Il y a aussi deux jeunes pros, Makonda et Maurice. Concernant leur éventuelle participation… ils sont là, ça veut dire que je compte sur eux. C’est plus facile d’intégrer des joueurs quand l’équipe gagne. Je pense que c’est le moment.

Pour vos joueurs, cette compétition a-t-elle une dimension particulière cette saison?
Les matchs de Ligue Europa ont une importance capitale. Si on se remémore le premier match, à Séville, on sortait d’une défaite à Sochaux (3-0). Séville a été un déclic, un match référence. Ca montrait qu’on était capable de faire des grands matchs contre des grands d’Europe.Ca nous a permis de prendre confiance et d’enchainer les bons résultats. Maintenant, c’est le challenge des joueurs d’aller le plus loin possible.

Votre adversaire a pu faire un stage d’une semaine pour préparer ce match. Ca peut faire une différence?
Forcément, s’ils sont venus plus tôt, c’était pour s’adapter aux conditions climatiques. Ils ont un avantage: ils n’ont qu’un seul objectif, c’est de préparer ce match, ils ont pris tout le temps qu’il faut. Nous, on a enchaîné dimanche, on est rentré très tard, on a accumulé de la fatigue. Mais on ne va passe trouver d’excuse. Il faudra faire un grand match.


AK sur 20minutes.fr
Homer
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Paris sans ses cadres

Claude Makelele, comme Ludovic Giuly et Nene, a été laissé au repos par Antoine Kombouaré pour la venue du Bate Borisov en Ligue Europa.

Cela fait plus de quatre ans que Paris n’a plus perdu une rencontre de coupe européenne à domicile, depuis un PSG - Hapoël Tel-Aviv (2-4) de triste mémoire. Après leur résultat nul (2-2) à Minsk, les hommes de Kombouaré ont les cartes en main pour poursuivre cette série flatteuse et se qualifier pour les huitièmes de finale de la Ligue

« On a pris un petit avantage en marquant deux buts à l’aller », concède Antoine Kombouaré, qui semble serein. L’entraîneur parisien a d’ailleurs décidé de laisser au repos Makelele, Giuly et Nene, trois cadres importants de son équipe type. « On a tout un tas de matchs à jouer et des échéances importantes. Ces joueurs-là ne peuvent pas tout enchaîner et cela ne sert à rien qu’ils soient fatigués s’ils sont sur le terrain. Donc, forcément, il faut faire des choix », argumente le coach parisien.


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Marcos Ceará : « Ne pas se croire déjà qualifiés »

Marcos Ceará estime que les Parisiens ont fait le plus dur dans le froid biélorusse en faisant match nul 2-2. Avec ce score, ils sont qualifiés au coup d’envoi ce soir.

Relégué sur le banc en championnat, Marcos Ceará n’a plus que les matchs de Coupe de France et de Ligue Europa pour se distinguer. Pas question donc pour le Brésilien de sacrifier cette compétition européenne.

Le nul (2-2) obtenu en Biélorussie est-il un avantage ou un piège ?

Marcos Ceará. Le plus dur a été fait lors du match aller. Malgré le froid et le terrain, nous avons réussi à revenir deux fois et à arracher le nul. Du coup, demain (ce soir), nous serons qualifiés au coup d’envoi! C’est un avantage non négligeable. Mais le piège serait de se croire déjà qualifiés. Car une victoire 1 à 0 suffit à nos adversaires pour passer.

Une élimination vous permettrait pourtant de garder vos forces pour le championnat…

Le championnat est certes la priorité. Mais ce n’est pas pour autant qu’il faut lâcher la Ligue Europa. Cette compétition est importante parce qu’elle permet au PSG d’être sur le devant de la scène européenne. Et lorsqu’on s’appelle le PSG, il faut aussi savoir briller au-delà de nos frontières. Elle permet également à certains joueurs, comme moi, qui ne jouent pas en championnat, de pouvoir montrer leur valeur. Je vivrais donc très mal une élimination.

Justement, comment vivez-vous votre statut de remplaçant ?

Ceux qui me connaissent savent que je suis quelqu’un qui pense d’abord au collectif avant de penser à mon cas personnel. La vanité ou l’orgueil, ça n’existe pas chez moi. J’accepte donc ce statut de remplaçant. Mais cela ne signifie pas que je m’en contente. Cette saison, j’ai été blessé trois fois (adducteurs, ischio-jambiers, nez cassé), ce qui m’a empêché d’être au top. Mais maintenant que je suis bien physiquement, je compte me battre et venir concurrencer les habituels titulaires.

Nene, dont vous êtes très proche, est moins décisif. ces dernières semaines. Comment l’expliquez-vous ?

On ne peut pas lui demander de mettre trois buts à chaque match! Il ne joue pas tout seul sur le terrain. Et ces dernières semaines, c’est toute l’équipe qui a moins bien joué, pas seulement lui. Lors de la première moitié de saison, il nous a déjà beaucoup aidés. Et on espère tous qu’il va continuer à le faire afin qu’on puisse conquérir cette place sur le podium. Il est le meilleur joueur du PSG. Et à ce titre il a beaucoup de responsabilités. Mais il ne faut pas non plus lui mettre trop de pression sur le dos.


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Encore un trou de 20 M€ envisagé à la fin de la saison

Un conseil de surveillance du PSG s'est tenu lundi dernier, à 18 heures, dans les locaux de Colony Capital, dans le VIIIe arrondissement de Paris. L'ordre du jour portait sur les questions sportives. Plusieurs protagonistes ont regretté que des sujets plus sensibles, comme les rumeurs de vente ou d'ouverture du capital, ne soient pas abordés. Antoine Kombouaré, l'entraîneur, n'était pas présent.

Bazin confirme le départ au Stade de France


C'est Alain Roche, membre du directoire du club et responsable du recrutement, qui a donc parlé du domaine sportif. Il a annoncé que l'objectif était de prolonger les contrats des meilleurs jeunes (Sakho et Chantôme). Les moyens qui seraient alloués pour le recrutement de la saison prochaine n'ont pas été évoqués.
Si l'exercice financier actuel sera encore déficitaire — un trou de 20 M€ est envisagé, même en cas de bon classement final en L 1 — la direction s'est félicitée d'avoir réduit la masse salariale des joueurs avec les départs de Rothen, Kezman et Sessegnon. Pour les deux premiers cités, le PSG a dû néanmoins leur verser, pour qu'ils partent, une partie de leur salaire annuel (environ les deux tiers).

Le président Leproux a fait un point sur le prochain appel d'offres des droits télévision de la L 1 à partir de juin 2012 et sur la chaîne de la Ligue CFoot. Enfin, Sébastien Bazin, le patron de Colony, actionnaire du PSG, a confirmé que l'équipe jouerait au Stade de France pendant les travaux de rénovation du Parc des Princes en 2012-2013, comme nous le révélions le 4 février.


Le Parisien
HHA
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Camara : «Faire le travail»

Zoumana Camara sera aligné contre Borisov, alors que plusieurs titulaires seront ménagés. Pour le défenseur, le nul de l'aller (2-2) permet de voir venir, à condition de rendre une copie propre jeudi (21h05).

«Zoumana Camara, à quel type de match vous attendez-vous ?
On s'attend à un match compliqué ! On peut dire qu'on a un léger petit avantage (sic). On a fait la moitié du chemin. Une chose est sûre: on fera un match sérieux. On connaît leurs qualités maintenant. A nous de faire le travail et, sinon de se faciliter la tâche, de faire un match sérieux pour se qualifier. Mais ce sont des joueurs qui se connaissent bien collectivement et jouent ensemble depuis plusieurs saisons.

Cette Ligue Europa est-elle une priorité pour le PSG ?
Si on s'est battu pour remporter la coupe de France, c'est pour jouer cette Coupe d'Europe à fond ! C'est vrai qu'on arrive dans cette deuxième partie de saison où ce sont des matches décisifs, des matches couperets, mais quand on est dans un groupe où il y a Dortmund et Séville, ça nourrit forcément des ambitions. Il y a deux ans, on a joué un quart de finale contre Kiev, il faudrait cette fois-ci, faire aussi bien voire mieux. Si on est sérieux, solides, il n'y a pas de raisons qu'on ne passe pas.

Vous avez eu un petit souci (à l'oeil), comment vous sentez-vous ?
Bien, j'ai attrapé un petit microbe là-bas, ça va beaucoup mieux, je suis apte !

Après le froid du match aller, pensez-vous que les conditions du retour sont «paradisiaques» ?
On peut dire ça comme ça. En tout cas ce sont des conditions idéales pour jouer au foot, même s'il pleut. Au niveau de la température, on est très très très très loin de ce qu'on a pu vivre au match aller».


lequipe.fr
sylvain
L'Equipe.fr

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Foot - L1 - Discipline

(...)
Un match ferme suite à un troisième avertissement dans une période incluant 10 rencontres de compétition officielle (Ligue 1, Coupe de la Ligue, Coupe de France) ou par révocation du sursis (sanction prenant effet à partir de lundi 28 février à 0h00) (...) Siaka Tiéné (Paris SG)
Dready14
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Paris en clair-obscur

Auteur d'un match nul à l'extérieur lors de l'aller (2-2), Paris s'est qualifié pour les huitièmes de la Ligue Europa en ne montrant rien au retour (0-0). Le PSG affrontera Benfica au prochain tour.

Pour son 150e match de Coupe d'Europe, Paris n'a pas sorti ses habits de lumière. Auteur d'un nul laborieux lors de l'aller à Borisov (2-2), le PSG a frisé la correctionnelle lors du retour (0-0). Jusqu'au bout de la rencontre, les Biélorusses, quintuples champions locaux de suite, ont mis le club français en danger. Edel a souvent payé de sa personne pour permettre à son équipe de jouer les huitièmes de finale contre Benfica. Tombeur de Stuttgart, Lisbonne avait éliminé le PSG à ce même stade de la compétition en mars 2007. Le gardien parisien a donc sorti le match qu'il fallait, avec surtout un arrêt décisif devant Bressan suite à une grossière erreur de Camara à la 68e. Quelques minutes plus tard, il est allé au combat dans les airs pour s'imposer devant plusieurs adversaires, et a été touché au visage.

Sans Jallet, Nenê, Makelele, Giuly, Sakho ni Hoarau (ce dernier a fait une bonne entrée en jeu), Paris aurait donc pu se faire sortir, un peu comme Lille face à Eindhoven. Club français ayant le plus joué cette saison (41e match face à Borisov), Paris a clairement manqué d'essence. Kombouaré a pourtant laissé les clés à Bodmer dans le 4-2-3-1 qu'il apprécie. Mais on a surtout vu Chantôme dans l'entrejeu, un Tiéné solide derrière et un petit Neeskens Kebano plein de fraîcheur. Devant, Erding et Luyindula ont travaillé mais ont été maladroits à plusieurs reprises. Ils sont aussi tombés sur un gardien, Gutor, qui a sorti un bon match. Après la Juve lors de la C1 2008-2009, c'est donc Paris qui n'aura pas réussi à battre Borisov en deux matches. Mais l'essentiel est ailleurs : Paris n'a plus perdu en Coupe d'Europe depuis 14 matches et la qualification est bien là. Pour le match contre Benfica au Parc, on parie qu'il y aura beaucoup plus de monde, et de spectacle, que ce jeudi soir.


lequipe.fr
HHA
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Le PSG n’a pas forcé son talent

Il faudra donc autre chose, une équipe un peu plus conquérante, plus charpentée que le BATE Borisov, pour éjecter le PSG de cette Ligue Europa. Peut-être une formation dont le portrait robot ressemblerait à celui des Portugais du Benfica Lisbonne que Paris affrontera au prochain tour de cette compétition, les 10 et 17 mars avec un match retour prévu à domicile. Cette double confrontation face au club lisboète - après celle de 2006-2007 déjà en huitièmes de finale avec une élimination du PSG - s’annonce des plus excitante. D’abord par la passion qu’elle va susciter en région parisienne mais aussi parce que Paris a prouvé, contre le FC Séville (double victoire) et Dortmund (deux nuls), qu’il était capable cette saison de rivaliser avec les meilleures équipes continentales

7 matchs à jouer en 22 jours !

Le niveau d’intensité sera à coup sûr bien plus important que celui observé hier où, vu la tiédeur des débats, un morne ennui s’est emparé du Parc des Princes. Le public a frissonné une fois quand le Brésilien Bressan a perdu son un contre un face à Edel trop heureux de rattraper une énorme bourde de Camara après l’heure de jeu (68e). Dans sa loge, Nene a fait la moue. On le comprend car, avant et après, il n’aura pas vu grand chose. Paris a largement dominé la première période quand les Biélorusses se sont montrés un peu plus entreprenants après la pause. Les partenaires de Ceara, promu capitaine hier soir, auraient même pu l’emporter sur une belle frappe d’Hoarau sorti par le gardien Gutor (82e) ou sur une reprise ratée du très incisif Kebano (88e). Mais ce BATE Borisov présentait trop de carences dans les différents secteurs de jeu pour inquiéter un collectif parisien assez sûr de ses forces pour laisser Giuly, Makelele, Nene et Sakho au repos. A l’heure où Lille a choisi de sacrifier - sans amertume ? - cette Coupe d’Europe-bis, Paris continue son bonhomme de chemin. Enfin, bonhomme ressemble à un abus de langage. Avec cette qualification pour les huitièmes de finale, le PSG aura à disputer 6 matchs en 20 jours lors du mois de mars. Si l’on inclut la réception de Toulouse, ce dimanche, les Parisiens auront même enchaîné 7 matchs en 22 jours. A ce rythme infernal, on se demande dans quel état physique se trouveront les joueurs d’Antoine Kombouaré au moment d’affronter l’OM le dimanche 20 mars pour le clasico au Vélodrome. On comprend d’autant mieux les choix du coach parisien qui, hier, avait en plus laissé Hoarau et Jallet débuter sur le banc. On n’est jamais trop prévoyant quand l’avenir devient à ce point chargé.

PSG - BATE BORISOV 0-0 (ALLER : 2-2)
Spectateurs : 17717.
Arbitre : M. Blom (P.-B.)
Avertissements. PSG: Clément (14e), Camara (74e). Bate Borisov: Shitov (21e), Nekhaychik (56e).
PSG : Edel - Ceara (cap.), Camara, Armand, Tiéné - Chantôme, Clément - Maurice (Makonda, 83e), Bodmer (Kebano, 73e), Luyindula - Erding (Hoarau, 67e). Entr. Kombouaré.
Bate Borisov : Gutor - Yurevich, Shitov, Simic, Bordachev - Volodko, Likhtarovich (cap.) (Gordeychuk, 61e) - Bressan (Skavysh), Rudik (Olekhnovich, 66e), Nekhaychik, Rodionov. Entr.: Goncharenko.

LE FAIT DU MATCH
68e : Après un énorme raté de Camara dans la surface de réparation, Edel effectue un arrêt crucial sur une frappe à bout portant de Bressan qui aurait pu donner la qualification aux Biélorusses. La plus grosse occasion du match.


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Clément Chantôme : « Benfica, ce sera une belle revanche »

Auteur d’un match honorable, Clément Chantôme savoure Cette qualification. Il regrette toutefois que son équipe n’ait pas su se mettre à l’abri en marquant un but.

Etes-vous satisfait de la prestation de votre équipe ?

Clément Chantôme. On a assuré l’essentiel, c’est-à-dire la qualification. Nos adversaires ne se sont pas trop procurés d’occasions, à part à une fois lorsque Edel nous sort un ballon un peu chaud. Je ne pense pas qu’on ait été mis en danger. Le seul regret en revanche, c’est qu’on n’a pas su se mettre à l’abri en marquant un but. On a pourtant réussi à se créer quelques situations dangereuses.

On a eu l’impression que vous avez cherché à jouer le nul…

Lorsqu’on joue, on le fait toujours pour gagner, pas pour obtenir le nul. Après, c’est vrai que l’important ce soir (hier soir), c’était de bien défendre pour ne pas encaisser de but. Mais on a aussi réussi à se procurer des occasions et à proposer du jeu.

Votre prochain adversaire en Ligue Europa s’appelle Benfica. Que vous évoque cette affiche ?

Il y a trois ou quatre ans, j’avais déjà joué contre eux (NDLR: saison 2006- 2007 en 8 e de finale de la Coupe de l’UEFA, 2-1 à domicile, 3-1 à l’extérieur) et ils nous avaient éliminés. Benfica, ce sera donc une belle affiche mais aussi une belle revanche. Avec tous les Portugais ici en Ile-de-France, le Parc sera plein. Ce sera un adversaire difficile mais on a les moyens de passer. Si on a galéré la saison dernière pour obtenir la Ligue Europa, c’est bien pour la jouer à fond.

Dès dimanche, vous recevez Toulouse. Cet enchaînement de matchs est-il difficile à gérer ?

Ce n’est pas évident, c’est sûr. Mais si on est encore qualifiés dans beaucoup de compétitions, c’est que notre ambition est de toutes les jouer. Notre objectif est de gagner au moins un trophée cette saison. Donc, on ne lâchera rien. Il ne nous reste désormais plus qu’à bien récupérer pour réussir à s’imposer dimanche face à un adversaire difficile.


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Maurice, une doublure pas encore crédible

Avec le départ de Stéphane Sessegnon en janvier, Jean-Eudes Maurice se voit offrir désormais l’opportunité de s'imposer dans l'effectif du PSG comme doublure de Ludovic Giuly. Par deux fois déjà depuis le début de l'année, dont hier soir face aux Biélorusses de Bate Borisov, Antoine Kombouaré a en effet titularisé l'attaquant au poste de milieu droit.

La première fois étant lors d'un déplacement à Martigues (4-1) en Coupe de France. Mais aucune de ses apparitions en tant que titulaire n'a encore convaincu.
Ainsi, hier soir, si le jeune franco-haïtien de 24 ans a su faire preuve de rigueur dans ses replis défensives et venir donner un coup de main appréciable à Ceara, il ne s'est guère illustré dans les phases offensives. Il a manqué de précision dans ses passes et n'a pas vraiment fait preuve d'une grande efficacité devant les buts adverses, s'offrant le luxe d'adresser souvent des centres trop longs à ses coéquipiers en attaque. A la 53e minute, le technicien parisien lui a adressé quelques reproches, lui demandant d'être plus précis et agressif. Sans effet puisque quatre minutes plus tard, il a encore raté une énorme occasion. Il est remplacé à la 83e minute juste après avoir gâché une ultime occasion de la tête. Autant dire que Maurice n'est pas (encore?) la doublure crédible de Giuly.

Il manque de confiance en lui

A sa décharge, le joueur vient de vivre une première moitié de saison bien compliquée. En Ligue 1, il ne compte que 83 minutes de temps de jeu (il a participé à six matchs de championnat). En cause : une longue indisponibilité liée à une blessure aux adducteurs. Il a d'ailleurs renoncé à ses congés de noël et s'est entraîné seul au camp des Loges pendant la trêve hivernale. Mais au regard de sa prestation d'hier soir, le natif d'Alfortville (Val de Marne) manque vraisemblablement de confiance en lui. A Paris depuis juillet 2007 (il est passé professionnel en 2008), Maurice est sous contrat jusqu'en 2012. Mais il est peu probable que le club, à la recherche d'un milieu droit, compte vraiment sur lui la saison prochaine.


leparisien.fr
HHA
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Kebano, le petit protégé du PSG

Neeskens Kebano a un prénom qui fleure bon le football total. Fan du milieu néerlandais de la grande époque de l'Ajax, son père lui a rendu hommage en appelant son fils de son nom. «J'ai toujours baigné dans le foot, même si j'ai commencé par le judo», avouait le jeune milieu offensif parisien sur le site de la FFF en 2009. International français des 19 ans, il vient de participer à deux rencontres avec les pros du Paris-SG en trois semaines. La première fois, le 2 février à Martigues en Coupe de France (4-1), il a joué 18 minutes, le temps de marquer un but de la tête injustement refusé pour hors-jeu.

Jeudi, Neeskens Kebano a fait une entrée très remarquée au Parc des Princes contre Borisov en 16es de finale retour de la Ligue Europa (0-0). Endormi par un match soporifique, le public s'est enflammé pour ce joueur percutant, dribbleur, culotté. Une jeune pousse du centre de formation qui a encore foulé la pelouse pendant 18 minutes, avec plus d'activité et d'occasions que ses partenaires jusqu'alors : deux frappes dangereuses (78e, 87e), un enchaînement double contact - petit pont sur son défenseur (92e)... «Je ne veux pas parler de sa performance, a sèchement répondu Antoine Kombouaré lorsqu'on lui a demandé ce qu'il avait pensé de Kebano. Il faut le laisser tranquille. Il fait ses classes.»

19 ans en mars

Ses équipiers sont plus diserts. «Nous l'avons tous félicité pour sa rentrée, nous a expliqué Ceara, capitaine pour la première fois depuis son arrivée au PSG. Un baptême au Parc devant le public, ce n'est jamais facile. Je ne suis pas surpris par ce qu'il a montré, car on l'a déjà vu à l'entraînement. Quand il est entré, je lui ai dit de rester concentré. Il a beaucoup de talent pour son âge et encore des choses à apprendre.» Lui aussi issu du centre de formation, Mamadou Sakho aime bien voir arriver des espoirs en équipe première : «Je suis très fier qu'on sorte un joueur comme ça. Ce qu'il fait à son âge, c'est super. Il est intelligent, avec beaucoup de qualités. C'est bien pour sa progression qu'il puisse côtoyer les pros.» Né à Montereau (Seine-et-Marne), celui qui aura 19 ans le 10 mars a un bel avenir au PSG. Vu la qualité de ses rentrées et le calendrier qui attend Paris (sept matches en 21 jours), on va très vite revoir Neeskens Kebano.


lequipe.fr
k0bestyling
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Pour SOS Racisme, il y a du mieux au Parc
Depuis le début de la saison, SOS Racisme a mis en place une commission d’observation et de surveillance du Parc des Princes dont la mission est de répertorier les comportements des supporteurs lors des matchs à domicile. « Nous sommes très satisfaits, à la fois de l’implication et du courage de la direction du PSG et de ce que nous avons vu dans les tribunes, réagit Hermann Ebongue, vice-président de l’association. L’équilibre est encore fragile mais le bilan est positif. » En exclusivité, voici les principales conclusions du rapport présenté aujourd’hui et qui porte sur les faits constatés entre septembre et janvier.

1. Des regroupements persistent à Auteuil et Boulogne. Ces deux tribunes sont soumises au placement aléatoire mais SOS Racisme a remarqué qu’à « toutes les rencontres, des petits groupes de 10 à 15 personnes se forment au bas de [ces] tribunes ». Dans ces virages, « les placements par les hôtesses ne sont pas toujours respectés du fait du peu d’affluence du début de saison. De fait, cela permet à quelques anciens abonnés de s’asseoir côte à côte, ce qui pourrait provoquer des mouvements de bande relativement importants ».

2. Pas de comportement raciste. L’association n’a répertorié qu’une seule fois des propos racistes. Autrement, « aucun geste nazi ou insultes racistes et ou xénophobes n’ont été relevés », se félicite le rapport. Ainsi, SOS Racisme n’a pas eu à engager de poursuites judiciaires. En revanche, les insultes à l’encontre des dirigeants sont « régulières » et « traduisent l’hostilité envers le plan de pacification ». Ainsi, 60 % des insultes observées le sont envers Colony, 24 % envers Robin Leproux.

3. Du cannabis dans les tribunes. Le rapport évoque également une « forte consommation de produits illicites (stupéfiants) » à l’intérieur du stade. « Certains se font sortir par les stewards, d’autres pas », regrette la commission. Or, « les conséquences » de cette consommation « sont aussi à l’origine de comportements déviants ». Toutefois, l’ambiance générale au Parc est décrite comme « saine et sympathique »

Le Parisien de ce vendredi 25 fevrier
Fabrice
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Appel à témoins pour Y. Lorence
Il y a un an, Yann Lorence était battu à mort aux alentours du Parc des Princes en marge de PSG-OM. Ses parents ont décidé de lancer un appel à témoins dans une lettre ouverte pour tenter de faire progresser l'enquête. «Au-delà de la douleur d'avoir perdu notre enfant, il apparaît que certains des auteurs de son meurtre n'ont pas encore été identifiés, écrivent-ils. Malgré le travail des policiers, du juge d'instruction et de tous ceux qui les assistent, seuls certains responsables présumés de son massacre ont été arrêtés. Mais, à l'évidence, quelques autres sont en liberté, confrontés à leur seule conscience. Nous avons besoin que chacun des responsables de sa mort soit identifié.»

«Nous sommes convaincus qu'il existe encore des témoins de l'agression de notre fils qui ne se sont pas manifestés à la police», concluent-ils, en demandant à tout témoin direct ou indirect de s'adresser à la 1re direction de la police judiciaire au 01.53.11.23.00. Jusqu'ici, quatre hommes ont été mis en examen pour homicide volontaire dans ce dossier. Ils ont été laissés libres sous contrôle judiciaire. (Avec AFP)
sylvain
Les notes du match

Le Parisien

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Edel: 7
Armand: 6
Camara: 4
Céara: 5
Tiéné: 5
Bodmer: 6
Chantôme: 5
Clément: 5
Erding: 5
Luyindula: 5
Maurice: 4



L'Equipe

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Edel: 6
Une sortie décisive, une claquette bizarroïde mais efficace et une parade du tibia sur une frappe à bout portant de Bressan.

Céara: 6
Il a assuré en défense. Moins à l'aise dans ses centres, mais dans un couloir qui n'est plus vraiment le sein.

Camara: 5
Impeccable à part une maladresse dangereuse sur un dégagement devant Olekhnovitch.

Armand: 6
Son sens de l'anticipation a fait la différence.

Tiéné: 5
Il a apporté offensivement par sa vélocité.

Maurice: 5
Il a joué en vitesse mais a trop pêché dans la finition, ne cadrant pas une reprise à bout portant.

Chantôme: 6
Toujours aussi combatif à la récupération.

Bodmer: 5
Ses tentatives d'ouvertures et de décalages sont restées inefficaces. Remplacé par Kébano, auteur d'un joli tir.

Clément: 6
Tranchant, de nombreux ballons récupérés et de l'aisance technique.

Luyindula: 5
Il a peiné pour trouver ses marques avec Erding.

Erding: 4
Sa tête a été repoussée de justesse sur la ligne par Yurevicth (4e), mais le match d'Erding a été à l'image de son équipe. L'attaquant a été inefficace avant d'être remplacé par Hoarau, plus menaçant.


L'Equipe


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Sakho privé de match

Mamadou Sakho n'était pas sur la feuille de match hier soir. Interrogé avant le match, le joueur disait souffrir "de maux de gorge" depuis mercredi, ce qui a amené Antoine Kombouaré à le ménager. Mais l'entraîneur parisien, après le match, a dit qu'il s'était passé de Sakho pour "faire tourner l'effectif". Selon les proches du groupe, un retard du joueur à l'entraînement, mercredi, aurait contrarié Kombouaré. Un retard démenti hier par Sakho.
Raptor39
Supporters du PSG privés de match à Rennes:
la Cnil ouvre une instruction


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248 Parisiens n'avaient pas eu accès au stade malgré leur billet...

La commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil), saisie par un supporter du Paris SG dont l'accès au stade de Rennes lui avait été refusé lors de la 22e journée de L1, a ouvert une instruction contre le club breton. «La plainte a été jugée recevable et elle est en cours d'instruction», explique la Cnil dans son communiqué.

Comme 248 autres fans parisiens, le plaignant avait acheté un billet sur le site Internet du Stade Rennais avant de se voir interdire l'accès au match classé à risque par les autorités, puis de se faire rembourser son billet dans un second temps. «Je suis content de l'apprendre, explique le plaignant interrogé par l’AFP. Malheureusement, les enquêtes de la Cnil sont très longues à aboutir et son pouvoir coercitif n'est pas énorme. J'espère que ça ira au bout, que le PSG et les autorités arrêteront de nous entraver. On n'est pas des citoyens de seconde zone.»


20minutes
Golazo
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Europa League : Salvio voit le Benfica gagner l'Europa League

L'argentin prêté par l'Atletico Madrid a marqué déjà 7 buts en 30 matchs et est un joueur clé au sein du groupe portugais. "Je suis en train de passer un grand moment et l'équipe m'aide beaucoup".

L'international argentin Eduardo Salvio, prêté au Benfica par l'Atletico Madrid, a considéré que son club actuel possède des options de victoire de l'Europa League s'il continue de maintenir leur haut niveau de jeu montré ces deux derniers mois.

En déclarations publiques aujourd'hui dans les médias portugais, Salvio s'est félicité de la qualification de Benfica pour les huitièmes de finale de la compétition et s'est montré satisfait de sa réussite devant les buts, qui vit un nouvel épisode hier, quand il marqua le premier but de la victoire contre le VFB Stuttgart.

"Je suis en train de passer un grand moment, comme l'équipe qui m'aide beaucoup" a déclaré le joueur, qui a déjà montré plusieurs facettes sur sa qualité individuelle fondée sur sa technique notable & sa rapidité.

Salvio, une des figures du club lisboète, avec qui il a marqué 7 buts en 30 rencontres, désire continuer "de grandir" en profitant de la dynamique de son équipe.

Benfica, deuxième du championnat portugais à huit points de Porto, sera confronté en huitième de finale de la Ligue Europa au Paris-Saint-Germain.



L'article en espagnol
11G
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Leproux rediscute des contrats

«Le gel est fini», a déclaré vendredi Robin Leproux, en marge d'une conférence de presse avec SOS Racisme. Le président du PSG a assuré que la direction du club «avait repris les discussions avec les joueurs» pour le renouvellement des contrats. «On ne prend pas de retard, je vous rassure, a-t-il affirmé. On est en ordre de marche. Depuis mi-février, on discute la gestion des contrats avec les joueurs mais comme c'est confidentiel, je ne vous dirai pas avec qui». Robin Leproux a par ailleurs «apprécié» la qualification jeudi soir contre BATE Borisov, faisant valoir que le PSG est un club de foot et qu'il il faut avant tout «avoir des résultats». Contre Benfica en huitième de finale, ce sera un «match de fête», a-t-il ajouté


L'Equipe
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