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11G
Citation
Des semaines chargées au menu

Contrairement à la plupart des escouades de Ligue 1, les joueurs du PSG ne rechausseront leurs crampons qu'au 3 juillet prochain, à dix heures. Deux jours après leur retour au Camp des Loges, ils partiront en stage de préparation physique à Port Crouesty, dans le Golfe du Morbihan, jusqu'au 15 de ce mois.
De nombreuses oppositions amicales animeront les semaines à venir. Les hommes de Kombouaré se confronteront à Pontivy (CFA) le 11 juillet, au FC Nantes (L2) le jour de la fête nationale, au Panthrakikos (L1 grecque) le 22 juillet et à la Fiorentina (Serie A italienne) le 29 juillet.
Enfin, le PSG prendra part à l'Emirates Cup, compétition organisée à Londres par le sponsor du club. A l'affiche, deux rencontres : l'une contre les Glasgow Rangers le 1er août, et l'autre contre l'Atletico Madrid le 2 août. De quoi s'affûter au mieux avant la première journée de L1 qui obligera les Rouge et Bleu à se déplacer le 8 août sur les terres du promu montpelliérain.


Francefootball.fr
Supra92
Citation
Incidents : Le PSG condamné au huis-clos partiel



INFO LE PARISIEN - AUJOURD'HUI EN FRANCE. Le feuilleton continue. La commission supérieure d'appel de la fédération française de football (FFF) a décidé mercredi d'infliger un match à huis clos partiel au Paris Saint-Germain suite aux incidents qui avaient émaillé le dernier PSG - OM.

Le 15 mars dernier au Parc des Princes, les supporters avaient utilisé des fumigènes, jeté des projectiles et déployé trois banderoles.

Un supporter était également entré sur la pelouse, interrompant la rencontre quelques minutes.

Seules les tribunes Boulogne et Auteuil seront donc fermées au public. La commission d'appel a atténué la peine infligée par la Ligue qui avait décidé de sanctionner le club d'un huis clos total. D'autre part l'amende de 35 000 € a été supprimée.

L'Olympique de Marseille appel après les incidents lors du match entre Lyon et l'OM a vu lui son huis clos révoqué. Le club phocéen se trouve donc toujours sous le coup d'une rencontre à huis-clos avec sursis et devra s'acquitter d'une amende de 3000€.


LeParisien.fr
Orton
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Football, Ligue 1 / PSG
Antoine Kombouaré : « Le club doit avoir plus d’autorité »





Le nouvel entraîneur du PSG avait donné rendez-vous à son staff à 15 heures hier après-midi. En attendant de retrouver ses joueurs demain, Antoine Kombouaré fait le point sur cette aventure naissante et dévoile son fonctionnement.

Dans quel état d’esprit êtes-vous à l’heure de la reprise ?
Antoine Kombouaré. J’ai beaucoup d’ambition et d’humilité pour faire une belle saison.
Je vais travailler comme je sais faire en m’appuyant sur mon staff et sur des joueurs qui vont s’investir dans le projet.

Quels sont vos objectifs ?
Au PSG, ils s’imposent d’eux-mêmes. Je veux partir de la dernière saison et faire encore mieux. Je n’aime pas parler d’une place en particulier mais ici on doit viser le haut de tableau. On n’est pas au PSG pour jouer des matchs de L 1, on y est pour gagner des titres. Les joueurs doivent avoir ça en tête.

Pourquoi avez-vous décidé de changer de staff technique ?
Sans faire injure à Bernard Guignedoux qui a 62 ans, je voulais ajouter du sang neuf. Je n’oublie pas les dix ans passés avec lui. On va lui proposer quelque chose au PSG pour qu’il soit près de nous. Moi aussi j’ai besoin d’idées nouvelles, de me remettre en question.

Le choix d’Yves Bertucci, l’ancien coach du Mans, répond-il àcette volonté ?
On ne se connaissait pas. En se voyant, ça a fait tilt. Yves est quelqu’un de humble, ambitieux et bosseur. J’ai fait de même pour le poste d’entraîneur des gardiens. Nicolas Dehon est un passionné.

Vous comptez déjà deux recrues. Que recherchez-vous maintenant ?
Encore un ou deux joueurs, puis il y aura des départs. On va tout faire pour recruter Jallet. Après, on va se mettre en quête d’un milieu gauche pour remplacer Rothen qui a dit partout qu’il partait.

Pour vous, Rothen n’est plus un joueur du PSG…
C’est facile de dire qu’on a des clubs quand on pense partir gratuitement. Je vais dire à Rothen de réfléchir avant de parler. S’il a un club, il partira, sinon il restera et je compterai sur lui mais avec mes règles.

Quelles sont-elles ?
Je dirai aux joueurs d’arrêter de parler dans la presse. Leurs meilleures interviews, ils ne les font pas avec leur bouche mais avec leurs pieds. Ceux qui ne respecteront pas cela seront sanctionnés financièrement et sportivement comme cela se fait partout. Le club doit avoir plus d’autorité.

Voulez-vous Patrick Vieira ?
Bien sûr, mais pas à n’importe quel prix. J’ai déjà fait faire de lourds investissements au club avec Erding et Coupet. Le président m’a dit qu’il n’y aurait pas plus que l’enveloppe de recrutement.
Il faudra vendre pour avoir plus.

Sébastien Bazin va quitter la présidence…
(Il coupe.) Il m’avait prévenu qu’il ne resterait pas en me recrutant. S’il n’y avait pas eu le problème avec Villeneuve, ce dernier serait encore président. Le choix du nouveau président est important, il faudra que l’on s’entende bien pour travailler ensemble. Je n’imagine pas qu’il en soit autrement.

Etes-vous en contact quotidien avec Bazin ?
Non, mais on s’appelle très souvent. On a une relation de confiance, de respect et de transparence. Je fonctionne ainsi. Après si on me trahit, on passe à autre chose.





Le Parisien
Hari
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Paris condamné à… un demi-huis clos


Pour une fois, le Parc des Princes risque de sonner creux. Hier, la commission supérieure d’appel de la Fédération a décidé de sanctionner le PSG d’un match à huis clos partiel à la suite des incidents (fumigènes, jets de projectiles…) qui avaient émaillé le PSG - OM du 15 mars dernier. Les juges ont décidé que les tribunes Boulogne et Auteuil seront fermées au public lors d’un match qui reste encore à définir mais qui, selon toute vraisemblance, devrait intervenir lors de la saison à venir.
« Par cette décision, la commission a voulu soutenir les efforts du PSG en matière de sécurité mais aussi donner une sanction ciblée et adaptée à la situation. Il fallait bien faire comprendre à ces associations de supporteurs (NDLR : d’Auteuil et Boulogne) que ce sont elles qui sont visées », explique-t-on à la Fédération.

« C’est de l’inconscience au niveau sécurité »

Au passage, la commission supérieure d’appel a déjugé la Ligue qui, dans une première décision, avait infligé un match à huis clos total au PSG. « Ça aurait eu plus de sens de maintenir le huis clos complet, souffle Amar Benacer, responsable des Lutece Falco (Auteuil). C’est de l’inconscience au niveau sécurité. Douze mille personnes en dehors du stade, c’est ingérable. » De fait, la préfecture de police de Paris n’est pas favorable à une telle mesure. « C’est pitoyable, s’insurge Philippe Pereira, porte-parole de la tribune Boulogne. Aujourd’hui, 95 % de Boulogne est sous contrôle, ceux qui utilisent les fumigènes sont des cas isolés. On va montrer qu’on peut être encore plus c… que la sanction. »

La pilule est d’autant plus difficile à avaler que dans une affaire similaire, la Fédération a décidé de faire sauter le huis clos infligé à l’OM. Celui-ci faisait suite à l’usage de fumigènes lors du Lyon - Marseille du 14 décembre 2008 qui avait occasionné la blessure à la main d’un stadier. « Non seulement l’OM n’était pas l’organisateur de la rencontre mais surtout l’utilisation de huit feux de Bengale ne justifie pas une telle sanction », commente-t-on à la Fédération. Les supporteurs parisiens prévoient déjà de demander le remboursement de leurs billets et éventuellement de se pourvoir en justice. Le PSG, quant à lui, est resté étrangement muet. Mais sa politique en la matière est limpide : saisir les tribunaux. Le marathon judiciaire est loin d’être terminé.

F.G. (avec M.V. et F.T.)


leparisien

Edit Dub : Article de Can supprimé car le classement figure depuis plusieurs jours dans la section Jeunes du forum
Dubdadda
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Guillaume Hoarau : « L’histoire se poursuit »

Guillaume Hoarau est passé au Parc des Princes ce jeudi afin de parapher son nouveau contrat. PSG.FR vous livre les impressions du meilleur buteur du PSG lors de la saison 2008-2009.

Guillaume, te voilà lié au PSG jusqu’en 2013. Etait-ce une volonté de ta part de prolonger au PSG ?

« Cela me fait plaisir car j’ai été récompensé de ma saison. Pour moi, cette prolongation va au-delà de la signature elle-même. L’histoire a commencé depuis un petit moment et aujourd’hui elle se poursuit. Je suis heureux d’être Parisien jusqu’en 2013. Je vais redémarrer l’entraînement la tête reposée et je vais tout faire pour réaliser une aussi belle saison que l’an dernier. »

On imagine que les vacances ont dû te faire du bien après une longue saison…

« Couper nous a effectivement fait du bien surtout après la saison que l’on venait de vivre. Je crois que nous sommes l’équipe qui a réalisé le plus grand nombre de matches en 2008-2009. La tête et les jambes commençaient à être bien fatiguées. Ce mois de vacances a reposé tout le monde. J’espère que le groupe entier reviendra en bonne forme pour la nouvelle saison. »

L’an dernier tu étais la seule recrue à la reprise. Cette saison tu vas découvrir deux nouveaux coéquipiers et un nouveau coach…

« Oui, chacun son tour ! C’était un honneur que de découvrir ce club. Le nouveau coach connaît déjà la maison. Ensuite, nous allons aider Mevlut Erding à découvrir le club. Grégory Coupet a déjà plus de bouteille donc, même s’il ne connaît pas grand monde ici, il se sentira comme chez lui. J’espère qu’il y aura encore d’autres arrivées. »

Philippe Boindrieux (Directeur Général du PSG)

« Nous avions annoncé dès la fin de saison dernière que notre volonté était de le prolonger. On savait tous qu’il avait du talent et nous a tous surpris. Cela va donner une belle attaque au Paris Saint-Germain la saison prochaine. »


PSG.fr
D'Alessandro
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Sessegnon reste selon Boindrieux
La rédaction - RMC.fr, le 02/07/2009
Le directeur général du PSG Philippe Boindrieux a affirmé jeudi que le milieu de terrain béninois Stéphane Sessegnon sera encore parisien la saison prochaine.

« Il n'y aura pas de vente, on l'avait dit à la fin de la saison dernière. Stéphane (Sessegnon) fera la saison au Paris Saint-Germain », assuré jeudi Philippe Boindrieux. Interrogé sur une éventuelle prolongation de contrat du joueur arrivé l’an passé du Mans, le directeur général du club de la capitale a ajouté que les discussions « avançaient bien » et qu’il ne restait que « quelques points à régler ».

RMC.fr
Dubdadda
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L’heure de la reprise a sonné

Philippe Boindrieux, Antoine Kombouaré, Grégory Coupet et Mevlut Erding ont répondu aux questions des journalistes lors d’une conférence de presse organisée au Parc des Princes.

Antoine Kombouaré (Entraîneur du PSG)

Antoine, attendez-vous encore des recrues pour la saison qui vient ?

« J’ai vu des noms apparaître dans les journaux. Vous savez qu’aujourd’hui nous sommes en discussion pour faire venir Christophe Jallet, après on verra. Il faudra que l’on vende pour acheter des joueurs. »

Jérôme Rothen fera-t-il partie de l’effectif pour cette nouvelle saison ?

« Il est sous contrat donc bien sûr qu’il fait partie de l’effectif. Il n’y a aucun souci. Il a annoncé qu’il voulait partir, mais aujourd’hui il n’y a pas de club prêt à payer l’indemnité de transfert. Jusqu’à preuve du contraire, il sera donc à l’entraînement vendredi matin pour la reprise au Camp des Loges. »

Vous avez dit que vous vous méfierez de la presse …

« Ce que je voulais dire c’est que c’est embêtant de trouver dans un papier l’interview d’un copain qui descend son partenaire alors que ce n’est pas compliqué de se parler. Je n’accepte pas le fait qu’un joueur puisse « fracasser » un autre alors qu’il est à 50 centimètres de lui. C’est mieux de se parler que de passer par la presse, mais bien sûr qu’il faut travailler avec la presse. »

Philippe Boindrieux (Directeur Général du PSG)

« On avait dit à la fin de la saison dernière que l’objectif du club était de conserver les meilleurs joueurs de l’effectif et de recruter des éléments pour renforcer ce groupe. Nous y sommes parvenus. Guillaume Hoarau et Zoumana Camara ont prolongé, d’autres prolongations viendront. A ce sujet, la prolongation de Stéphane Sessegnon est en très bonne voie. Nous nous sommes activés sur le marché des transferts et nous sommes heureux d’accueillir Grégory Coupet et Mevlut Erding. »

Grégory Coupet (Gardien de but du PSG)

« Aux yeux de tous footballeurs le PSG et le Parc des Princes sont incontournables. Paris est un grand club, l’un des quatre meilleurs en France qui possède désormais un bon centre d’entraînement. Le Parc des Princes restera toujours un lieu magique pour un footballeur français. C’est un stade chargé d’histoire avec beaucoup de grands gardiens qui y ont défendu les couleurs du PSG. »

Mevlut Erding (Attaquant du PSG)

« Depuis le début du mercato, je veux venir ici. Le PSG est mon club J’ai envie de continuer à progresser et, de ce fait, marquer des buts. Quand on est enfant, on a une équipe que l’on supporte. Moi, c’était le PSG ! Aujourd’hui, c’est comme si j’avais réalisé mon rêve. Je vais tâcher de bien m’entendre avec tous les autres attaquants, il n’y a pas que Guillaume, et le coach décidera qui jouera. »


PSG.fr
Roufi
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«Colony croit en son projet»


Alors que les coulisses du PSG s'agitent encore autour du futur président, Damien Degorre et Jérôme Touboul, grands reporters à L'Equipe, auteurs d'une enquête sur l'histoire du club de la capitale qui vient de paraître, décryptent les défis auxquels Colony Capital est confronté.


«Le PSG devrait se doter bientôt de son neuvième président en dix ans. Pourquoi ce club ne trouve-t-il jamais le profil qui permettrait d'avoir un management stable ?
Parce qu'il s'agit d'un club où l'exigence de résultats et la pression médiatique et populaire n'ont pas d'équivalent en France, à part à Marseille. Parce qu'il s'agit aussi du seul club de la capitale, que tous les médias nationaux y sont concentrés, que la moindre décision prise par les dirigeants y est scrutée, commentée, critiquée. C'est, finalement, ce qui le rend aussi passionnant.

Vous révélez que Colony Capital envisageait, au moment du rachat, de revendre le club dès 2008, avec plus-value à la clef. Or, Canal+ a laissé 220 millions d'euros dans le club, le seul de la L1 à perdre de l'argent, et on comprend mal, finalement, comment ce fonds de pension avide de rentabilité a pu se lancer dans cette aventure si risquée...
Les dirigeants de Colony sont venus au PSG pour montrer leur savoir-faire en termes de rénovation de stade. Ils ont estimé qu'en redotant ce club d'infrastructures solides (stade, camp d'entraînement, boutiques, etc.), avec des résultats sportifs meilleurs, ils parviendraient à rendre ce club rentable. Ils n'avaient peut-être pas imaginé que cela prendrait autant de temps, ni sans doute mesuré de façon exacte tous les paramètres humains qui viennent se greffer (égos des joueurs, poids des supporters). Il n'empêche que depuis son arrivée, Colony a tout de même injecté près de 65 millions d'euros dans le PSG et continue de croire en son projet. Même si, c'est vrai, le PSG est un club qui, historiquement, n'a jamais gagné de l'argent.

Nommé en 2003, Francis Graille a entamé la chasse au gaspi et aux gens qui se servent du club. Mais quand on entend Claude Makelele dire qu'il faut faire le ménage, on a l'impression que le problème reste entier. Quels sont les groupes d'intérêt qui gravitent autour du club et agissent à la marge ?
Il ne faut pas surestimer l'influence de ces groupes même si le PSG est un club qui attire, justement par l'exposition médiatique qu'il offre. Tout le monde aimerait, un jour, y appartenir. Regardez, même Bernard Laporte s'y verrait bien président après son départ du gouvernement. A Paris, chacun donne son avis au permanence aux dirigeants, qu'ils viennent du milieu politique, du show-biz, etc. Le PSG a par ailleurs longtemps été perçu par les agents comme un club généreux. Tout le monde rêvait de faire affaires avec lui. Enfin, lorsque vous en parlez à une grande majorité de joueurs français, aucun, à part s'il est profondément attaché à Marseille, ne vous répondra : ''Paris, moi, jamais." Il y a là, également, une part d'irrationnel qui fait tout le charme de ce club».


lequipe.fr
FuFax
Citation
Sessegnon restera (Boindrieux)
Stéphane Sessegnon restera au Paris-SG, selon Philippe Boindrieux

En marge de la présentation officielle de Mevlut Erding et Grégory Coupet, Antoine Kombouaré et Philippe Boindrieux ont fait le point sur les dossiers chauds ce jeudi. L'entraîneur du Paris-SG a notamment affirmé que les discussions autour d'une éventuelle arrivée de Patrick Vieira (Inter Milan) étaient «au point mort». Le technicien a affirmé qu'il attendait encore le renfort d'«au moins» un joueur, qui pourrait être le Lorientais Christophe Jallet. Concernant Jérôme Rothen qui a manifesté son désir de quitter le club de la capitale, «il n'y a aujourd'hui aucun club qui soit prêt à payer l'indemnité de transfert». «Je vais discuter avec lui dans les prochains jours», dit Kombouaré.

De son côté, Philippe Boindrieux, le directeur général du PSG, s'est félicité de la prolongation de contrat de Guillaume Hoarau. «D'autres devraient suivre», a-t-il indiqué. Cela concerne notamment Sylvain Armand, et surtout Stéphane Sessegnon, que l'on dit courtisé par Chelsea. Les discussions avec le milieu de terrain béninois «avancent bien». Prolongation ou pas, il restera à Paris, a-t-il insisté. «Il reste quelques petits points à régler. Mais dans le foot, j'ai appris qu'il ne fallait rien dire avant que cela soit signé. En tout cas, Stéphane fera sa saison». - Avec C. Mi au Parc des Princes


L'équipe.fr
Kiolm
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Ludovic Giuly « Ca ne sera pas une année de transition »

TANDIS QUE certains de ses coéquipiers profitaient des largesses du soleil cette semaine, Ludovic Giuly achevait une préparation physique intense entamée le 25 juin à Camp 8, le centre de rééducation qu'il possède à Saint-Raphaël (Var). A bientôt 33 ans, il affiche une motivation intacte.

Qu'avez-vous fait durant vos vacances ?
■ Ludovic Giuly. Je suis allé avec ma femme chez moi à Majorque. J'ai vu mes enfants. C'était une coupure parfaite. Cela fait une semaine que j'ai commencé tout seul une préparation physique. L'an dernier, je n'avais pas pu le faire. Au lieu de courir sur la plage seul comme un imbécile, je me prépare musculairement avec du matériel très perfectionné.

Est-il vrai que deux jeunes du PSG vous ont accompagné ?
J'ai invité Trippy Makonda et Maxime Partouche à se préparer avec moi. Au début de ma carrière, des anciens m'ont aidé. Aujourd'hui, c'est un peu de mon devoir de donner un coup de main à des jeunes. Cela leur fait comprendre que le foot, c'est un métier et qu'il faut s'entraîner comme un malade pour réussir. J'aime bien montrer aux jeunes que, derrière les matchs, il y a la sueur des entraînements.

« Cette saison, on vise le podium »

Avez-vous parlé avec Kombouaré ?

On a eu une longue conversation entre deux personnes qui aiment le foot Le contact a été boa J'ai senti chez lui une grosse ambition. Il faudra filer droit. Il nous protégera vis-à-vis de l'extérieur, mais il n'hésitera pas à nous dire nos vérités en face. Quant à moi, normalement, je devrais jouer sur le côté droit, mais ce n'est pas mon rôle de détailler la tactique.

Entamez-vous cette saison différemment de l'an passé ?
Si je suis bien physiquement, oui Je veux donner plus et pas que sur le terrain. Je suis venu pour faire progresser ce club et gagner des titres. L'an dernier, on visait une place dans les huit premiers. Cette saison, c'est le podium. L'équipe est compétitive. Il n'y a pas de raison de ne pas être ambitieux. Notre non-qualification européenne était liée à un manque d'expérience. Cette fois, on sera prêts. Plus personne ne dira « rappelons-nous d'où on vient». Ce ne sera pas une saison de transition.

Que pensez-vous de l'arrivée de Grégory Coupet ?
C'est un très bon renfort. Il nous faut des mecs comme lui qui ont empilé les titres et qui ne lâchent rien. L'an dernier, nous avons lâché trop tôt, car certains se sont posé prématurément des questions sur leur avenir. Un type comme Greg va nous aider à rester concentrés. En plus, c'est un mec sain qui va se fondre dans le vestiaire.

Et Erding ?
Je l'ai vu jouer avec Sochaux. C'est un joueur très puissant qui peut faire la différence sur un dribble. Il peut constituer une excellente doublette avec Guillaume (Hoarau) si le coach les aligne ensemble.

Si le PSG finit dans les trois premiers, aurez-vous atteint votre but avec Paris ?
Ce n’est que l’objectif de la saison. La finalité, c’est d’être champion le plus vite possible. L’année dernière, j’ai fini frustré, comme tout le monde. Je ne veut plus revivre ça.



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C'est déjà la rentrée des classes

CE MATIN, à 10 heures, les Parisiens reprennent le chemin du camp des Loges avec quelques nouveautés au menu : un entraîneur, Antoine Kombouaré, et deux recrues, Grégory Coupet et Mevlut Erding Etat des lieux de ce PSG version 2009-2010.

■ Une équipe remaniée. La saison dernière, à la même époque, le PSG avait repris l'entraînement avec une seule recrue, Guillaume Hoarau, engagé six mois avant Cette année, le mois de juin été plus prolifique. Paris a enrôlé l'attaquant sochalien Erding (8,5 M€), et le gardien de but Coupet (1 M€). « Je suis très heureux de disposer d'un groupe quasi complet, indique ainsi Kombouaré. Il nous manque encore au moins une recrue. Nous sommes toujours en négociation à propos de Christophe Jaflet » Les discussions avancent doucement : Lorient demande 3 millions d'euros pour son latéral droit, Paris a récemment fait une offre légèrement supérieure à 2 millions. Autre dossier en attente : celui du milieu gauche. Les spécialistes de ce poste sont rares et chers.
Le PSG joue donc la montre, espérant ainsi obtenir dans quelques semaines des prix plus raisonnables. Enfin, la piste menant à Patrick Vieira est pour l'instant au point mort. Côté départ, Mickaël Landreau a déjà rejoint Lille tandis que Jérôme Rothen veut plus que jamais quitter la capitale (lire ci -contre). La piste de Jorge Rodríguez, 24 ans, milieu de terrain uruguayen de River Plate Montevideo (L 1 uruguayenne), a été activée pour pallier son éventuel départ Pas question en revanche de se séparer de Stéphane Sessegnon : « Il n'y aura pas de vente, il sera à Paris la saison prochaine », affirme Philippe Boindrieux, le directeur général du PSG avant d'ajouter que les négociations concernant sa prolongation « avançaient bien ».

■ Le retour des prêts. Ngoyi, Sankharé, Mulumbu et Baning, prêtés la saison dernière, seront également présents ce matin. Kombouaré veut observer avant d'attribuer ou non des bons de départ Même logique pour les plus jeunes de l'effectif (Partouche, Charbonnier, Jean-Eudes Maurice...). « Ils ont cinq semaines pour me convaincre », précise-t-iL Quant à Souza, il vient d'être transféré définitivement à Gremio (Brésil) pour 2,5 millions d'euros tandis que son compatriote Everton est encore à Ruminense. Si un club accepte de le recruter ou de le prendre en prêt, il y restera. Autrement, il réintégrera l'effectif parisien à la fin du mois.


Citation
■ Le PSG va solliciter l'avis du CNOSF concernant le huis clos partiel qui lui a été infligé mercredi par la commission d'appel de la Fédération française de football.


du 3 Juillet
Schultzy
Citation
«L'envie de prouver»

Après une saison difficile à l'Atlético Madrid, Grégory Coupet débarque au Paris-SG, où il s'est engagé pour deux saisons, avec un esprit revanchard.
Au Parc des Princes


Grégory, quelle était votre perception du PSG quand vous jouiez à Lyon ?
Grégory Coupet : Je voyais Paris comme la majorité des footballeurs français ; comme un grand club, qui fait partie des quatre meilleurs de France. Avec des infrastructures exceptionnelles. Le Parc des Princes restera toujours un lieu magique pour un footballeur français. C'est un stade chargé d'Histoire. En plus, il y a toujours eu de grand gardien au PSG par le passé. J'espère m'inscrire dans cette lignée. Je suis conscient du challenge que cela représente pour moi. Je suis conscient de mon âge et de l'état d'esprit que les gens ont en France vis-à-vis d'un joueur de 36 ans. Je vais essayer d'apporter tout mon enthousiasme. J'ai vécu une saison durant laquelle je n'ai pas beaucoup joué. Donc, j'éprouve un manque énorme. J'ai envie que mon envie se ressente sur le terrain.

Après avoir tout gagné avec Lyon sur le plan national, qu'est-ce qui vous a plu dans le challenge parisien ?
Grégory Coupet : Le projet, l'idée d'une aventure. L'objectif est de vivre quelque chose. On n'a pas de coupe d'Europe cette année, mais cela peut être aussi un mal pour un bien. Il faudra mettre cette situation à profit. Maintenant, il y a beaucoup de joueurs que je connais. Le coach (Ndlr : Antoine Kombouaré) m'a également extrêmement motivé. Il y a aussi une envie individuelle de prouver que je peux rebondir, tout en espérant que le projet collectif prendra. J'imagine que gagner un titre au Parc des Princes doit être quelque chose de fabuleux.

Joël Bats (Ndlr : entraîneur des gardiens à Lyon et ex-gardien du PSG) vous a-t-il donné des conseils ?
Grégory Coupet : Bien sûr ! J'entretiens une relation particulière avec lui. On a passé tellement de temps ensemble… C'était mon idole, c'est toujours mon idole. Je suis fan de lui. C'est vrai qu'on a eu beaucoup parlé de ce qui était son ancienne maison (le PSG). Il m'a orienté. Il m'a donné quelques conseils. Je vais essayer de les suivre à la lettre.

Après une année difficile à l'Atlético Madrid, où vous avez peu joué, avez-vous prévu d'effectuer un travail spécifique ?
Grégory Coupet : Non, parce que j'ai quand même pu travailler. Je ne reviens pas de blessure. J'ai participé aux entraînements. J'ai tout donné. Peut-être même plus que quand j'étais titulaire. De toutes façons, je n'ai jamais lâché dans ma tête. Après, concernant la compétition, je pense qu'on a assez de matches amicaux pour trouver les automatismes collectivement et individuellement. Pour l'instant, je ne me prends pas la tête. Je n'ai qu'une envie, c'est de commencer la préparation et découvrir mes nouveaux coéquipiers.

Vous avez saluez dans la presse la force mentale de Mickaël Landreau. Pensez-vous qu'il faut être un petit peu maso pour jouer à Paris ?

Grégory Coupet : Disons qu'il faut être sûr de sa détermination. Je me dis justement que c'est une bonne chose de venir ici avec un âge avancé et beaucoup d'expérience pour pouvoir mieux supporter la pression. En même temps, qui nous dit qu'on ne va pas faire une grande année et que tout va être rose ?

Quand vous avez quitté Lyon, vous aviez dit que vous vouliez mettre votre famille à l'abri de la pression. Vous n'avez pas peur de la pression à Paris ?
Grégory Coupet : Lyon est bien plus petit que Paris. En ayant joué là-bas pendant 11 ans et demi, je ne pouvais plus faire un pas dans la rue sans être tranquille. C'était aussi une volonté d'aménager ma sortie. Dans mon cas, je voulais être le seul à prendre la décision de partir. Cela a été le cas, même si au départ, j'avais dans l'idée de partir pour l'Angleterre afin que mes enfants apprennent l'anglais. Bon, finalement, ils parlent espagnol !

Vous admettez que votre sortie était un peu ratée finalement ?
Grégory Coupet : Complètement. Elle a été ratée sportivement mais, humainement, j'ai vraiment eu ce que je recherchais : une bouffée d'oxygène, découvrir autre chose. A l'époque, j'avais l'impression d'avoir fait le tour de la Ligue 1. A part sur le plan du jeu, l'Atlético m'a apporté ce que je voulais.

Avez-vous retrouvé la faim de cette Ligue 1 ?
Grégory Coupet : Très sincèrement, je ne sais pas. A chaque fois que je prolongeais un contrat avec Lyon, je pensais que c'était le dernier.

La place de titulaire en équipe de France n'est pas très stable. Vous allez bénéficier d'un formidable tremplin en gardant la cage du PSG…

Grégory Coupet : Très sincèrement, je ne pense pas du tout à l'équipe de France. Je pense que les trois gardiens sélectionnés (Ndlr : Steve Mandanda, Hugo Lloris et Cédric Carrasso) sont très performants. De toutes façons, c'est le sélectionneur qui fait les choix. Il est là pour ça.

Un petit mot sur le transfert de Karim Benzema - que vous avez bien connu - au Real Madrid…
Grégory Coupet : Je suis ravi pour lui. Je pense qu'il va être monstrueux là-bas. Il va se régaler car les défenses sont beaucoup plus larges qu'en France. En plus, il sera plutôt bien entouré (sourire).

Le Figaro.fr
aleksandre08
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Giuly vise le podium

Ludovic Giuly arrivera à la reprise du Paris-SG, ce vendredi à 10h00, gonflé d'ambition. Le milieu de terrain parisien, qui a partagé ses vacances entre un séjour en famille àMajorque et une semaine de prépération physique intensive dans son centre de rééducation du Var, veut faire mieux que la saison dernière, aussi bien sur le plan collectif (le PSG a terminé 6e du Championnat) que sur le plan personnel. «Je suis venu pour faire progresser ce club et gagner des titres, confie-t-il vendredi au Parisien. L'an dernier, on visait une place dans les huit premiers. Cette saison, c'est le podium.» Sur sa saison à venir, qui devrait le voir évoluer sur le flanc droit de l'attaque parisienne, Giuly se veut aussi ambitieux : «Si je suis bien physiquement, oui. Je veux donner plus

Le discours d'Antoine Kombouaré, le nouvel entraîneur parisien, lui a plu. «J'ai senti chez lui une grosse ambition. Il faudra filer droit, (...) il n'hésitera pas à nous dire nos vérités en face.» Ravi de l'arrivée de Grégory Coupet («un mec sain qui va se fondre dans le vestiaire») et de Mevlut Erding («un joueur très puissant qui peut faire la différence sur un dribble»), il assure ne plus vouloir revivre une saison comme celle qui vient de s'achever : «J'ai fini frustré (...) L'an dernier, nous avons lâché trop tôt, cvar certains se sont posé prématurément des quiestions sur leur avenir.»


L'equipe
Kiolm
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Sifflets pour Rothen à la reprise

Trois joueurs manquaient à l'appel ce vendredi matin à 10h00 pour la reprise du Paris-SG au Camp des Loges. Stéphane Sessegnon qui a joué avec le Bénin récemment ainsi que Mamadou Sakho et Younousse Sankharé, avec les Espoirs au tournoi de Toulon, ont bénéficié de quelques jours de repos supplémentaires. Après un mot de bienvenue, Antoine Kombouaré, ovationné par les quelque 300 supporters présents, a invité les joueurs à un footing en forêt de Saint-Germain-en-Laye.

Seul incident notable, les sifflets qui ont accompagné l'apparition de Jérôme Rothen, le milieu gauche du PSG. On a entendu quelques «casse-toi», avant que le nouvel entraîneur du PSG ne vienne à la rencontre des supporters. «Les gars, pas de critiques, a-t-il lancé au petit public, sinon on fait la séance à huis clos. C'est une question de respect. On vous respecte, respectez-nous.» Rothen, qui est décidé à quitter le club, a été convoqué dans l'après-midi par Sébastien Bazin, le président du PSG, pour qu'il s'explique sur ses critiques de la direction exprimées dans une interview à L'Equipe le 1er juin. (Avec C.M., au Camp des Loges)


lequipe.fr
Dubdadda
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Makelele jusqu'en 2010

Après la séance au Camp des Loges, Claude Makelele a prolongé son contrat avec le PSG jusqu’en 2010.

Claude Makelele

« Prolonger à Paris était mon objectif à la fin de saison dernière. J’étais parti comme si j’avais déjà signé. Je suis heureux de prendre cette décision et j’espère que nous allons réaliser une saison pleine d’émotion pour les joueurs, le club et les supporters. »


PSG.fr
[CiTiZeN]
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Rothen mis à pied

Le milieu de terrain du Paris SG Jérôme Rothen, a été mis à pied «à titre conservatoire» par ses dirigeants pour avoir publiquement critiqué sa direction en fin de saison dernière. La sanction de l'international français lui sera «notifiée en début de semaine prochaine».


L'équipe.fr
Schultzy
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Camara: «Besoin de tout le monde»

Au rendez-vous de la reprise du Paris-SG vendredi matin au camp des Loges, après des vacances à New York avec son complice de la défense Sammy Traoré, Zoumana Camara a expliqué que tout le groupe avait «envie de faire une meilleure saison que l'année dernière» et il a regretté les sifflets «d'une minorité de supporters» contre Jérôme Rothen.

Camara a raconté comment s'était déroulée la prise de contact avec le nouvel entraîneur parisien, Antoine Kombouaré. «On a fait connaissance avec le staff. Le coach a fait un petit discours, il nous a demandé de nous présenter et de parler de notre palmarès. Pour certains, ça a été long comme Greg (Coupet) avec tous ses titres et pour d'autres, c'était plus court !» A l'image de Ludovic Giuly dans une interview au Parisien, Camara affiche des ambitions élevées. «C'est une nouvelle saison qui commence, ça nous fait plaisir de nous retrouver. Je reviens de vacances avec la fraîcheur. On a tous envie de faire une bonne saison et faire mieux que l'année dernière». Le PSG a terminé sixième du dernier Championnat.

Sébastien Bazin a souhaité bonne chance au groupe

Sébastien Bazin, le patron de Colony Capital Europe et actionnaire majoritaire du club, s'est également adressé aux joueurs. «Il est persuadé que l'équipe sera plus forte que la saison dernière et il nous a souhaité une bonne saison», a relaté "Papus" Camara. L'ancien Stéphanois a également commenté les sifflets et insultes qui ont accompagné l'entrée sur le terrain de Jérôme Rothen. «C'est dommage que le premier jour de la reprise on entende des revendications négatives d'une minorité de supporters. Une nouvelle saison commence, il faut voir les choses positivement, on a besoin de tout le monde.» - Christophe MICHEL, au camp des Loges.

HUMEUR ET HUMOUR Alors que Mateja Kezman signait des autographes aux supporters, plusieurs d'entre eux, mécontents du nouveau maillot du PSG, ont lancé à l'attaquant serbe : «Tu peux jeter ton maillot par terre, on ne t'en voudra pas !». Un clin d'oeil à l'incident du match PSG-Bordeaux au cours duquel Kezman, mécontent d'être remplacé, avait jeté sa tunique sur la pelouse du Parc.

L'Equipe.fr
Kiolm
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Le clash entre Jerome Rothen et Paris

UNE JOURNEE de reprise et déjà les premiers soubresauts. Le PSG a indiqué, hier après-midi, avoir mis à pied Jérôme Rothen « à titre conservatoire à compter de ce jour (vendredi), dans l'attente de la sanction qui lui sera notifiée en début de semaine prochaine ». Cette sanction peut aller d'un avertissement au licenciement
Le milieu parisien n'a donc pas participé au deuxième entraînement de la journée et ne sera pas présent au stage d'avant-saison qui débute lundi à Port-Crouesty (Morbihan).
Sébastien Bazin, le président du PSG, et Philippe Boindrieux, son directeur général, ont directement notifié sa sanction au joueur dans un entretien qui s'est déroulé hier. Jérôme Rothen paie au juste prix le réquisitoire en règle auquel il s'était livré, le 1er juin dernier dans « l'Equipe», deux jours après le dernier match face à Monaco (0-0), où il devait se montrer à l'image de sa saison : transparent. Dans cet article, il fustigeait pêle-mêle son président — « c'est à peine s'il me dit bonjour » —, le directeur général — « qui admet ne rien connaître au foot » — et surtout Alain Roche en charge du recrutement — « il passe entre les gouttes depuis six ans alors qu'il est loin de n'avoir fait que du bon boulot ». Rothen demandait ensuite aux dirigeants de le « laisser libre » alors que son contrat court jusqu'en 2012. Aujourd'hui les clubs ne se battent pas pour recruter un Rothen usé qui émarge à plus de 160 000 € par mois (hors primes). Le PSG a indiqué hier à l'ancien Monégasque qu'il le laisserait partir en cas d'offre intéressante. Les deux parties ont donc tout intérêt à concilier leurs points de vues afin de trouver une issue profitable à chacune d'entre elles.
FREDERIC GOUAILLARD AVEC CHRISTOPHE BERARD


du 4 Juillet
Kiolm
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Kombouaré: «Honorer le maillot»
L’entraîneur parisien a réalisé un point presse à la fin de la séance ce matin au Camp des Loges.

Antoine Kombouaré
« Quand on est au PSG, il faut avoir de l’ambition et tout faire pour gagner des titres. Il faut de l’investissement, de la mentalité avec un état d’esprit irréprochable, c’est très important. Après, si l’on n’y arrive pas c’est une chose mais on ne vient pas au PSG comme on vient à Valenciennes, à Sochaux, sans faire injure à ces clubs car je suis passé par là. Ici, on vient pour remporter des titres et honorer le maillot car c’est un club qui veut ça. »


PSG.FR
Homer
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PSG : AEROLA SIGNE PRO

Alphonse Aerola a signé son premier contrat professionnel au Paris Saint-Germain. Agé de seize ans, le jeune gardien s'est engagé pour une durée de 3 ans.

A seulement seize ans, Alphonse Aerola a signé son premier contrat professionnel d'une durée de trois ans avec le Paris Saint-Germain. D'origines philippines, ce jeune gardien, qui est notamment passé par l'INF Clairefontaine, est considéré comme l'un des plus prometteurs de sa génération.

« C’est tout d’abord une grande fierté de signer dans le club de mon cœur, explique-t-il sur le site officiel du club du président Sébastien Bazin. Depuis tout gamin je rêvais d’intégrer le PSG. C’est une belle récompense. Maintenant il faut prouver ce que je vaux. Je vais être à l'écoute des joueurs plus expérimentés pour essayer de progresser le plus possible et devenir le meilleur. »

C.J. Rédaction Football365.fr
Schultzy
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«On ne touche pas à mes joueurs»

A peine a-t-il fait ses premiers pas avec la casquette d'entraîneur du Paris Saint-Germain qu'Antoine Kombouaré doit déjà gérer une première « mini crise », avec la mise à pied de Jérôme Rothen. Mais avec son habituel franc-parler, le technicien kanak explique soutenir sa hiérarchie, sans exclure son joueur. « Je suis d'accord à partir du moment où des gens critiquent l'institution et les salariés, a justifié l'entraîneur parisien sur le site du PSG. Ce sont des propos difficiles à accepter pour le Président ou le Directeur Général. Il a été sanctionné donc l'affaire est close. S'il est transféré vers un autre club, il sera content car il a déclaré avoir envie de partir. Mais s'il n'a pas de club, il restera ici et je serai très content de l'avoir parmi nous pour reprendre la saison. Il s'agit d'un joueur de qualité. »

« Aujourd'hui, Jérôme Rothen fait partie du groupe »

L'épisode des quolibets essuyés par Rothen, vendredi, lors de la reprise de l'entraînement, en est la preuve, puisque son coach l'a fermement défendu devant les supporters. Et il continuera de le faire, quelque soit le joueur visé : « Je protège mes joueurs, je suis comme ça. Hier (vendredi), il s'agissait de Jérôme Rothen, mais cela pourrait être un autre demain. Je n'aime pas entendre les gens critiquer ou insulter. Nous venons pour travailler ici, au Camp des Loges, dans de bonnes conditions. On ne touche pas à mes joueurs. Aujourd'hui, Jérôme Rothen fait partie du groupe en dehors du fait qu'il soit sanctionné. S'il revient et qu'il fait partie du groupe, je le défendrai, lui ou un autre. »

« Ici, on vient pour remporter des titres »

Un discours fédérateur pour un entraîneur qui sait où il a mis les pieds. Ancien joueur du PSG (de 1990 à 1995) et entraîneur de l'équipe réserve du club (entre 1999 et 2003), Antoine Kombouaré ne cache pas que les ambitions parisiennes se doivent d'être élevées. « Quand on est au PSG, il faut avoir de l'ambition et tout faire pour gagner des titres. Il faut de l'investissement et un état d'esprit irréprochable, prévient-il. Après, si on n'y arrive pas, c'est une chose, mais on ne vient pas au PSG comme on va à Valenciennes ou à Sochaux, sans faire injure à ces clubs, car je suis passé par là. Ici, on vient pour remporter des titres et honorer le maillot, car c'est un club qui veut ça. » (Photo Presse-Sports)

France Football.fr
Biz Markie
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Jallet : «Un challenge exceptionnel !»
Après Grégory Coupet et Mevlut Erding, le Paris-SG va enregistrer la signature du Lorientais, Christophe Jallet. Le latéral droit nous a confié sa joie de rejoindre le club de la capitale. «C'est un challenge exceptionnel !»
Christophe Jallet va signer au PSG pour quatre ans. (L'Equipe)


«Christophe Jallet, ça y est, vous voilà parisien ?
Oui et je suis super content ! Les deux clubs étaient en contact depuis quelques semaines, mais ça a pris du temps pour que ça se finalise. Personnellement, j'avais hâte parce que j'étais un peu entre deux chaises : en stage à Lorient alors que je voulais rejoindre un autre club.

Avez-vous craint, à un moment, que ce transfert n'aboutisse pas ?

Oui et non. Quand ça traîne, on est toujours inquiet, mais je savais aussi que j'avais des dirigeants honnêtes et compréhensifs. A partir du moment où j'ai toujours respecté mes engagements avec eux, j'étais persuadé qu'ils en feraient de même avec moi. Et puis, côté parisien, on me disait aussi de ne pas m'inquiéter, que ça allait se faire. Au final, tout s'est déroulé dans un climat serein. Il n'y a pas eu besoin de mettre de pression de part et d'autre.

Avez-vous eu Antoine Kombouaré au téléphone ? Vous a-t-il expliqué ce qu'il attendait de
vous ?

Oui, j'arrive dans un rôle précis. Même si je suis polyvalent, il compte m'utiliser à un poste de latéral. A moi de tout faire pour gagner ma place parce que devant moi, il y a Ceara. On sera en concurrence.

Vous n'avez donc aucune garantie ?

Non, mais ça ne veut pas dire non plus que j'arrive sur la pointe des pieds. C'est une situation que j'ai déjà connue lorsque je suis arrivé à Lorient. Là-bas, je n'étais même pas remplaçant, mais troisième ou quatrième sur la liste. Ce n'est pas quelque chose qui me fait peur.

Paris vous suivait depuis un an. Qu'est-ce que cela représente pour vous de rejoindre ce club ?

Beaucoup de choses. Quelque part, j'arrive dans un vrai club de foot, même si ça ne veut pas dire que Lorient n'en était pas un. C'est simplement que je vais découvrir un autre environnement, la pression, l'obligation de résultats alors qu'à Lorient, c'était plus familial. Pour moi, c'est un challenge exceptionnel !»

Propos recueillis par Emery TAISNE

lequipe.fr
sylvain
So Foot

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PSG : le combat continue
Ligue 1 Paris Saint-Germain
5 juillet 2009
Cela fait maintenant un petit bout de temps que le collectif « Un club un maillot » caresse à rebrousse poil les actionnaires du Paris-SG et leurs nouveaux maillots. Samedi après-midi avait lieu une action devant la boutique du club sur les Champs-Élysées. Sofoot.com était là.

Voilà un sujet de controverse devant lequel n’importe quel Footix resterait béat d’étonnement. Et pour cause, l’objet de la discorde est un bout de tissu. Un bout de tissu ? Un maillot, en fait. Donc un peu plus que ça. L’histoire est désormais connue, Nike et les actionnaires du Paris Saint-Germain ont pris la liberté de modifier les couleurs des futurs maillots dans un mépris assez extraordinaire de l’histoire du club. Quand actionnaires, dirigeants, entraîneurs et joueurs défilent inlassablement, seules les couleurs rappellent l’identité d’un club. C’est raté à Paris pour la saison à venir.

Action, réaction, c’était un petit tractage qui était prévu cette après-midi sur les Champs-Élysées. La manifestation se voulait pacifiste et avait pour but d’instaurer le dialogue avec les éventuels acheteurs. Le rendez-vous était fixé à 14h30 pour une petite trentaine de membres du collectif. L’action n’est pas revendiquée par un groupe particulier, mais bien par l’ensemble des supporters parisiens tient à souligner un participant : « Chacun a mis de côté son groupe ou sa tribune et les quelques rivalités qui peuvent en découler, on s’est tous réunis pour défendre notre maillot ».

Alors les bonshommes se postent devant la boutique, distribuent des tracts qui appellent au boycott (« Supporter Parisien sois fier de tes couleurs boycotte le maillot 09/10 »), et surtout dialoguent. Gamin, touriste, père de famille, tout le monde a droit à son sermon. À vrai dire, la plupart des personnes se montrent plutôt réceptives. Certains étaient déjà convaincus, d’autres le deviennent.

Pour autant, les portes ne sont pas bloquées et l’on n’empêche pas l’accès à la boutique : « On n’est pas là pour faire preuve de violence, si quelqu’un a vraiment envie d’acheter le maillot, on va rien dire. On essaiera juste de lui faire comprendre pourquoi ce maillot est absurde et de lui expliquer le pourquoi du comment de notre mécontentement ». Qu’importe, les vendeurs font quand même la gueule, craignent pour leur Smic déjà maigre, estiment que les supporters se trompent de cible.

Entre deux tracts distribués, des banderoles sont déployées, dans une ambiance bonne enfant : « Un seul maillot mythique », « Oh la gueule du maillot ! » (ponctuée d’un « Oh la gueule des mecs qui tiennent la banderole » qui fera marrer l’assistance), « Actionnaires, Nike : voleurs de couleurs. Acheteurs : recelaires ». Les touristes ne comprennent pas tout mais ont l’air d’approuver.

Trois bonnes heures plus tard, les troupes commencent à se disperser mais préviennent : « Aujourd’hui, en pleine aprèm’, c’était plus un coup d’essai qu’autre chose. Mais on reviendra plus nombreux, et la première partie de saison risque d’être agitée. Par le dialogue, on va continuer d’expliquer aux gens notre point de vue et même si les maillots sont là, on continuera de montrer que des actionnaires et des sponsors ne peuvent pas travestir comme ça nos couleurs juste pour faire du profit. Le football n’est pas qu’une histoire de business, pour nous, c’est avant d’amour qu’il s’agit. Tant qu’ils n’auront pas compris ça… »
LDC, sur les Champs-Elysées.
sylvain
L'Equipe

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Kombouaré: "Pour Rothen, ça doit être invivable"

Hier matin, Antoine Kombouaré, l'entraineur parisien, a effectué sa première conférence de presse au Camp des Loges. Il s'est notamment exprimé sur la mise à pied à titre conservatoire du milieu Jérôme Rothen, annoncée la veille par la direction du club, en réaction à des propos que le joueur avait tenu dans l'Equipe. "Je suis d'accord avec la sanction, à partir du moment où les gens critiquent l'institution et les salariés, a affirmé Kombouaré. Ce sont des propos difficiles à accepter pour le président ou le directeur général. Jérôme a été sanctionné, l'affaire est close. C'est un garçon intelligent et il sait qu'il a fait une bêtise. Je suis d'accord pour que les gens parlent, disent des choses, mais pas dans n'importe quel contexte. Aujourd'hui, Jérôme Rothen veut partir et je le comprends, car ça doit être invivable pour lui de jouer et de s'entraîner dans ces conditions. A chaque fois qu'il sort, il est pris à partie. Il a déclaré vouloir changer de club. S'il n'en a pas, il restera ici et j'en serais très content car c'est un joueur de qualité."

Guillaume Dufy
Dubdadda
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Montpellier-PSG sur Orange

La première rencontre des Rouge et Bleu, face à Montpellier à la Mosson, sera diffusée sur Orange Sport le samedi 8 août à 21h00.

Orange sport diffusera le PSG pour son premier match de la saison, tandis que Canal+ a programmé Bordeaux-Lens dimanche 9 août à 21h00.


PSG.fr
Dubdadda
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Christophe Jallet a signé

Christophe Jallet s'est engagé au Paris Saint-Germain pour 4 saisons. Il s'agit de la troisième recrue dans la Capitale après Grégory Coupet et Mevlut Erding.

Christophe Jallet

« Signer au Paris Saint-Germain représente beaucoup de choses pour moi. C’est d’abord une joie immense que de rejoindre l’un des plus grands clubs français, une grande étape s’offre à moi. J’espère briller sous le maillot parisien et remporter des titres avec ce club. »


PSG.fr
Pauleta75
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Le latéral droit de Lorient, Christophe Jallet, a signé 4 ans au Paris Saint-Germain. Il retrouve le Parc des Princes, terrain sur lequel il a joué son premier match en Ligue 1 avec Lorient.

Christophe, que représente pour toi le Paris Saint-Germain ?

« Signer au Paris Saint-Germain représente beaucoup de choses pour moi. C’est d’abord une joie immense que de rejoindre l’un des plus grands clubs français, une grande étape s’offre à moi. J’espère briller sous le maillot parisien et remporter des titres avec ce club. »

Quel sera ton rôle au PSG cette saison ?

« J’arrive ici en tant que latéral droit. J’ai aussi la chance d’être polyvalent et de pouvoir jouer ailleurs, au milieu ou dans l’axe de la défense. Je suis dans l’optique de gagner ma place comme latéral droit sachant que j’ai l’opportunité de jouer à d’autres postes. »

Tu as déjà eu l’opportunité de jouer au Parc des Princes. Qu’en as-tu pensé ?

« Je crois que c’est simple : c’est le plus beau stade français. En tout cas, le lieu où l’ambiance est la meilleure. Il y a toujours du monde, le public chante durant toute la rencontre. Franchement, les plus gros frissons que j’ai eus ont été au Parc des Princes. Se dire qu’on a la possibilité d’y jouer tous les 15 jours, c’est vraiment quelque chose d’énorme. Il faut mesurer sa chance et en profiter au maximum. »

Tu vas rejoindre tes coéquipiers à Port Crouesty. Où en es-tu de ta préparation physique ?

« Cela faisait déjà plus d’une semaine que j’avais repris l’entraînement. Je commence déjà à être bien à ce niveau-là, je ne pense donc pas être rouillé ! »


Ce latéral droit français de 25 ans, né à Cognac, a débuté sa carrière professionnelle à Niort. Il a rejoint par la suite le FC Lorient en 2006, où il s’est peu à peu imposé jusqu’à gagner une place de titulaire. Trois années après son expérience bretonne, il rejoint le club de la Capitale pour 4 saisons. Ce joueur d’1m78 pour 65 kg sera mis en concurrence avec le latéral brésilien, Marcos Ceará. En trois saisons de Ligue 1, il a inscrit 3 buts et participé à 97 rencontres.


La fiche de Christophe Jallet

Date de naissance : 31 octobre 1983
Age : 25 ans
Taille : 1m78
Poids : 65kg
Poste : Arrière droit

Carrière
97 matches de Ligue 1 (3 buts)
65 matches de Ligue 2 (7 buts)
33 matches de national (5 buts)

Clubs
Niort (2001-2006)
FC Lorient (2006-2009)


PSG.FR
Biz Markie
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Paris dans sa bulle bretonne
Arzon (Morbihan)

Depuis dimanche soir, les Parisiens respirent à nouveau l’air iodé de Port-Crouesty, la partie maritime d’Arzon, une petite commune du golfe du Morbihan. Ils ont retrouvé, pour dix jours de stage, les chambres du luxueux hôtel quatre étoiles de Miramar-Crouesty, spécialisé dans la thalassothérapie. Un lieu de villégiature choisi par… Paul Le Guen et qu’Antoine Kombouaré a décidé de conserver.
« Cela ne se voit pas, mais je suis breton aussi, sourit le nouvel entraîneur du PSG. J’aime la Bretagne parce qu’il y a un climat tempéré, de la pluie, et il fait souvent frais. Pour travailler, c’est bien. A la montagne, les terrains ne sont pas toujours appropriés. » Sur la météo, Kombouaré ne s’est pas trompé : hier, la température n’a pas dépassé 21° C et les averses ont rythmé l’après-midi.

Un hôtel porte-bonheur. Entre les séances d’entraînement, les joueurs restent sagement confinés dans leurs chambres de 25 m2 avec terrasse privative donnant, au choix, sur l’océan ou la presqu’île de Rhuys. Leur tranquillité ne sera pas troublée cette semaine. Le directeur de l’hôtel se charge lui-même d’empêcher les deux seuls chasseurs d’autographes présents de pénétrer dans le hall. Et ce ne sont pas les curistes qui vont déranger les joueurs. Seuls quelques membres du personnel avouent discrètement leur intérêt pour les choses du ballon rond. « On est quand même un hôtel porte-bonheur pour les footballeurs, sourit un employé. Marseille et Bordeaux sont venus ici en préparation et ils ont fait une super-saison ensuite. Même le PSG ne s’est pas si mal comporté l’an passé après être venu ici. » Ludovic Giuly ne dira pas le contraire. Il connaît bien les lieux. « Je suis déjà venu avec Monaco il y a dix ans, se souvient-il. C’était l’année où on a fini champion de France ! » Seul le néo-Parisien Mevlut Erding découvre le site : « C’est même la première fois de ma vie que je viens dans cette région », avoue-t-il.

Volume, puissance et vitesse au programme. Les choses sérieuses ont commencé hier à 10 heures avec une longue séance en bordure d’océan. Equipés de cardiofréquencemètres, les joueurs ont alterné courses et accélérations sous les ordres du nouveau préparateur physique Raphaël Fèvre. « Cela permet de constituer des groupes de travail pour éviter que certains soient en surrégime et d’autres en sous-régime, explique Antoine Kombouaré. Il y aura un autre test pendant le stage pour évaluer la progression des joueurs. Nous allons travailler le volume, puis la puissance et enfin la vivacité et la vitesse. » Dans l’après-midi, les Parisiens ont découvert le parc des sports de Sarzeau, à 10 km de leur hôtel, pour une séance de travail avec le ballon. Seul Guillaume Hoarau, qui suit un programme spécifique de reprise, s’est contenté d’empiler les tours de terrain.



Le Parisien


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Rothen : retour lundi ?

Jérôme ROTHEN n’était pas à Port-Crouesty hier. Il ne devrait pas rejoindre ses coéquipiers avant quelques jours. Le club doit annoncer aujourd’hui la sanction infligée au gaucher pour avoir critiqué publiquement ses dirigeants. Le joueur est déjà mis à pied à titre provisoire depuis vendredi soir. Une mise à l’écart qui pourrait se poursuivre jusqu’à lundi.
Autres sanctions possibles : un simple avertissement, une amende, le licenciement étant exclu. Comment réagira-t-il ? Rothen, désireux de quitter la capitale, avait déclaré à ses proches la semaine dernière qu’en cas de punition, il irait au clash. Mais son silence des derniers jours laisse penser qu’il serait plutôt prêt à faire profil bas.
De son côté, le PSG ne s’oppose pas à ses envies d’ailleurs et pourrait se montrer conciliant. « Sa situation est compliquée. C’est invivable pour lui de venir tous les jours à l’entraînement et de se faire insulter. Ce n’est pas ça le foot. Il faut tout mettre en oeuvre pour trouver une solution. On ne sera pas exigeants », a ainsi affirmé Antoine Kombouaré samedi. Mais encore faut-il que des clubs se manifestent. Or, seul Blackburn (L 1 anglaise) serait disposé à payer les 2 à 3 millions d’euros demandés par le PSG mais cette destination ne plaît guère à Rothen.


Le Parisien


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« Pas peur de la concurrence »
CHRISTOPHE JALLET, nouvelle recrue du PSG

Après la traditionnelle visite médicale, Christophe Jallet, 25 ans, a signé hier un contrat de quatre ans avec le PSG.
L’ancien latéral droit de Lorient a rejoint en fin de soirée ses nouveaux coéquipiers, en stage à Port-Crouesty.

Le transfert a tardé à se concrétiser. Avez-vous douté ?
Christophe Jallet. J’ai toujours eu confiance en mes dirigeants.
Mais cela traînait un peu. J’ai dû reprendre l’entraînement avec Lorient alors que j’avais déjà la tête à Paris. C’était compliqué de se concentrer. Mais je suis heureux désormais et j’ai hâte de me mettre au travail.

Quels sont vos objectifs ?
Prendre du plaisir et gagner une place de titulaire ! Antoine Kombouaré ne m’a rien promis, je serai en concurrence avec Ceará au poste de latéral droit. Je peux aussi dépanner dans l’axe ou à gauche. Je vais donc redoubler d’efforts et travailler très dur.

Pourquoi avoir choisi le PSG, où un poste de remplaçant vous semble promis ?
Au début, c’était aussi le cas à Lorient. Et je me suis imposé. Je n’ai pas peur de la concurrence. C’est un défi très excitant que de rejoindre un aussi grand club que le PSG. J’ai envie d’aider Paris à atteindre ses objectifs, à savoir une place dans les trois premiers.

Le Parisien.com
Biz Markie
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Rothen mis à pied 7 jours et demi

A l'issue d'un entretien avec ses dirigeants vendredi dernier, Jérôme Rothen avait été mis à pied «à titre conservatoire» pour avoir publiquement critiqué la direction du Paris-SG en fin de saison dernière. Sa sanction lui a été notifiée : «La Direction du Paris Saint-Germain a décidé de mettre Jérôme Rothen à pied pour 7 jours et demi, soit jusqu'au 10 juillet au soir. Le passé sera alors soldé et Jérôme Rothen retrouvera ses coéquipiers en stage à Port-Crouesty à compter du 11 juillet», peut-on lire dans un communiqué diffusé mardi sur le site Internet du club.

lequipe.fr
Dubdadda
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Raphaël Fèvre : « Personne n’a lâché »

Raphaël Fèvre, le nouveau préparateur physique du PSG, se présente et nous décrit les objectifs du stage des Parisiens à Port-Crouesty.

Raphaël, vous venez d’intégrer le staff technique parisien mais vous connaissez déjà la maison…

« Je connais effectivement assez bien la maison. J’ai passé six très belles années à la formation avant de m’expatrier à Valenciennes durant quatre ans. »

Quel est l’objectif de ce stage d’avant saison ?

« L’un des principaux buts du stage est de retrouver une très bonne forme physique et aussi de créer un état d’esprit, de créer des liens dans ce groupe. Sur ma partie, ma priorité est de revoir toutes les bases du travail et de faire tout ce qu’il faut pour que les joueurs reprennent au mieux la saison. »

Quel est le programme des prochains jours ?

« Le programme est assez chargé. Tous les matins, on axe le travail sur le physique. Les après-midi, on fait du ballon. On aura aussi trois séances certains jours, avec un réveil musculaire très tôt, avant le petit déjeuner. »

Lundi matin, les joueurs ont réalisé un long footing avec un cardiofréquencemètre. Comment les avez-vous senti ?

« Très bien ! Ils ont réalisé une très bonne séance avec beaucoup d’investissement de leur part. C’était vraiment très intéressant. Personne n’a lâché sur la séance donc j’espère que cela va continuer ainsi. »

Comment se passent vos relations avec ce nouveau staff ?

« Le staff vient tout juste de se former et ce qui est très surprenant, c’est qu’en très peu de temps, nous avons trouvé des affinités. Que ce soit avec Yves (Bertucci) ou Nicolas (Dehon), cela s’est très bien passé. C’est vraiment très agréable de travailler avec eux. Avec Antoine, cela fait quelques années que je le côtoie donc là, il y a moins de surprises. Je suis très agréablement surpris car l’intégration des deux nouveaux, Yves et Nicolas, s’est très bien déroulée. »

Vous avez découvert le cadre de Port-Crouesty, votre lieu de stage. Qu’en avez-vous pensé ?

« C’est vraiment un très joli cadre. Nous profitons de la balnéo, qui est très intéressante pour la récupération des joueurs. En étant au bord de mer, nous avons des températures plus clémentes par rapport au sud de la France. Pour nous, c’est important qu’il y ait un très bon lieu de stage, que l’on ne soit pas gêné par les conditions climatiques et l’état des terrains. J’étais déjà venu repérer les lieux quelques semaines auparavant. »

Comment devient-t-on préparateur physique du PSG ?

« C’est un concours de circonstances. J’ai réalisé mes études à Dijon, sous la direction de Gilles Cometti. Je suis ensuite parti une année au FC Gueugnon en tant que stagiaire et j’ai vadrouillé sur plusieurs clubs, à Nantes, à Metz, puis à Paris. J’ai eu un très bon contact avec Marc Collat, ancien Directeur de la Formation au PSG. Sinon, je suis originaire de la région parisienne. Le Parc des Princes est un stade où j’allais étant petit, mon père m’emmenait voir les matches. Pour moi, c’était une grande fierté quand je suis arrivé au centre de Formation et encore plus maintenant que je suis chez les pros. »


PSG.fr
Papa Crocodile
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Stéphane Sessegnon prolonge

Stéphane Sessegnon a prolongé d'une année son contrat et se retrouve lié au Paris Saint-Germain jusqu'en 2013.
« Je suis content de prolonger au PSG. C’était mon objectif de pouvoir rester ici. Je sais que ce club, je l’aime. Quand je suis arrivé l’an dernier, je savais pourquoi je venais et je connaissais mes ambitions. Cela m’a fait plaisir de voir que le Club avait la volonté de me prolonger et reconnaissait le travail effectué. Savoir que le Club a vraiment besoin de moi, c’est le plus important à mes yeux. »


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Jimmy Kamghain signe professionnel



A tout juste 17 ans, Jimmy Kamghain a signé son premier contrat professionnel au Paris Saint-Germain pour une durée de trois ans.

Jimmy Kamghain (Attaquant du PSG)
« Signer professionnel au Paris Saint-Germain est un très grand honneur pour moi et pour toute ma famille. Je suis très content, cela me fait un très beau cadeau d’anniversaire (Ndlr : Il a eu 17 ans le 3 juillet). Le PSG c’est tout pour moi, c’est la capitale ! Je suis content aussi pour Alassane Tambe et Alphonse Areola qui ont signé pro récemment. Je les connais depuis longtemps. »



Philippe Boindrieux (Directeur Général du PSG)
« Jimmy est un très bon attaquant qui joue en équipe de France des moins de 18 ans. Il était pisté par de grands clubs anglais et nous sommes parvenus à le convaincre de poursuivre l’aventure avec nous. C’est mieux pour nos jeunes d’aller jusqu’au bout de leur formation et de continuer l’aventure au sein du Paris Saint-Germain. Nous sommes très heureux de cette signature. »

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Y. Bertucci : « Réaliser les efforts ensemble »

Yves Bertucci a été récemment désigné entraîneur adjoint par Antoine Kombouaré. Présentation de l’ancien entraîneur du Mans depuis Port-Crouesty.

Yves, vous venez d’intégrer le staff technique du Paris Saint-Germain. Quel a été votre parcours avant votre arrivée au PSG ?

« J’ai été joueur professionnel, en Ligue 2. Ensuite, j’ai commencé ma carrière d’entraîneur à Tours pendant deux saisons où je me suis occupé de la réserve. Puis, durant dix saisons, j’ai pris en charge le centre de Formation du Mans. Après la formation, je suis devenu entraîneur principal du MUC 72 et je suis resté à l’intérieur du staff jusqu’à la fin de saison dernière. »

Comment se passent vos premiers pas au PSG ?

« On apprend à se connaître avec les autres membres du staff. Je ne connaissais pas Antoine Kombouaré et j’ai été flatté qu’il me contacte pour me prendre comme adjoint. Tout le staff est nouveau et à travers ce stage à Port-Crouesty, nous apprenons à travailler ensemble. »

Comment se sont déroulés les premiers contacts avec le groupe professionnel ?

« Très bien ! Nous avons été très bien accueillis, que ce soit par les joueurs, par les dirigeants ou les salariés lors d’une réception au Parc des Princes. Après, ce qui est important à cette période, c’est de bien travailler en faisant attention aux blessures. Il faut que le groupe vive bien. »

Quels sont les objectifs de ce stage à Port-Crouesty ?

« Dans un premier temps nous allons donc travailler physiquement avant d’aborder la partie technique. Antoine a déjà commencé à mettre en place l’aspect tactique. Ce stage permet également de définir une vie de groupe : apprendre à se connaître, à travailler et réaliser les efforts ensemble. »


PSG.fr
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Sessegnon : « Je n’ai jamais voulu partir »

Annoncé partant cet été, Stéphane Sessegnon a prolongé d’un an hier son contrat avec le PSG. A la clé : une revalorisation salariale conséquente. Il est désormais lié au club de la capitale jusqu’en 2013. Après la prolongation de Guillaume Hoarau il y a quelques semaines, Sébastien Bazin a ainsi réussi à conserver ses deux meilleurs éléments.
Le milieu parisien, qui doit rejoindre ses coéquipiers en stage à Port-Crouesty dans quelques jours, nous confie ses premières impressions.


Les négociations concernant votre prolongation de contrat ont été longues et difficiles. Avez-vous douté ?

Stéphane Sessegnon. Elles ont été longues peut-être parce qu’en juin, j’étais avec ma sélection (NDLR : avec le Bénin) et donc pas tellement disponible. L’important aujourd’hui, c’est qu’on soit tombés d’accord. Je suis soulagé. Cette prolongation me tenait vraiment à coeur. Je n’ai jamais voulu partir. Je suis aussi très heureux que le club ait manifesté cette envie de me garder et reconnaisse mon travail.

S’il n’y avait pas eu d’accord, seriez-vous parti cet été ?

J’ai eu quelques propositions. Mais une partie de moi voulait rester à Paris. Je n’ai pas encore fini mon travail ici. Je ne partirai qu’après avoir gagné un titre avec le PSG. Par ailleurs, j’ai la conviction que nous allons faire une bonne saison.

Pourtant, cette année, il n’y aura pas de Coupe d’Europe…

C’est embêtant, c’est vrai. J’étais vraiment déçu par notre fin de saison, cela m’a beaucoup touché. Mais c’est peut-être un mal pour un bien. Cela va nous permettre de nous concentrer sur le championnat et d’être plus performants.

Quel regard portez-vous sur le recrutement du PSG ?

Le club a bien travaillé. On a gardé l’ossature de l’équipe tout en se renforçant avec des hommes aussi importants que Coupet, Erding et Jallet. Ces trois joueurs vont nous apporter leur fraîcheur, leur talent et leur expérience. On est plus forts que l’année dernière. Si on partage tous la même envie, on fera de très belles choses.


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Mamadou Sakho, un cadre de 19 ans

Les vacances ont été courtes pour Mamadou Sakho. Pendant que ses partenaires parisiens s’adonnaient déjà au farniente, il disputait avec l’équipe de France Espoirs le tournoi de Toulon (défaite en finale contre le Chili (1-0) . Au final, il n’a bénéficié que de deux jours de repos supplémentaires avant de rejoindre Port-Crouesty dimanche.
Le jeune défenseur central du PSG attend beaucoup de cette saison, même s’il appréhende, avec la timidité de ses 19 ans, sa première discussion avec le nouvel entraîneur Antoine Kombouaré. « Je le regardais de loin quand j’avais 14 ans et qu’il dirigeait la réserve du PSG, se souvient-il. Pour moi, c’était un monsieur et je n’osais pas lui adresser la parole. Il m’impressionnait tant. J’espère qu’il compte sur moi pour cette saison. »
De ce côté-là, il n’a pas à s’inquiéter. Sakho est un des hommes clés du collectif de Kombouaré. Vis-à-vis de ses coéquipiers, il a aussi gagné ses galons : « J’ai gagné le respect, car j’ai été à l’écoute et je ne me suis jamais plaint, note-t-il. Les autres ont vu que j’étais dur au mal. En 2008, j’ai joué la finale de la Coupe de la Ligue avec le nez cassé. La saison passée, j’ai fait des matchs avec une pubalgie et d’autres, sous infiltration, avec une cheville en feu. Et personne ne m’a entendu. »

« Je cherche à être digne de mon père »

En dehors des terrains, il cherche surtout à se protéger et se recroqueville volontiers autour de ses proches : « Je ne fréquente que ceux avec qui, quand j’avais 12 ans, j’achetais une baguette qui nous faisait un repas pour deux. » Et pour éviter de s’enflammer, il pense souvent à son père disparu : « Il n’y a qu’un vrai Sakho et il est mort quand j’avais 13 ans, raconte-t-il. C’était Souleymane, mon papa. Les gens me regardent en disant C’est Sakho du PSG. Mais, moi, je me sens tellement petit par rapport à mon père… Je ne cherche qu’à être digne de lui. Pas à être célèbre. »
Sa mémoire et sa reconnaissance débordent parfois de ses racines. Il est ainsi un des rares Parisiens à avoir voulu remercier Paul Le Guen en fin de saison. « Lors du dernier match contre Monaco (0-0), j’avais mis un tee-shirt sous le maillot où il était écrit Merci Le Guen. Je n’ai pas pu le montrer au public, mais je l’ai donné à Paul dans le vestiaire. Si j’en suis là aujourd’hui, c’est grâce à lui. Il a tout mon respect. »


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Pistache
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CRM Company Group: remporte le budget du PSG.


CRM Company Group annonce qu'elle a été choisie par le Paris Saint Germain pour développer son plan de communication.


L'agence aura pour mission de développer l'ensemble du programme relationnel du club de football parisien ainsi que sa communication media (affichage, presse, ...).

" Ce nouveau gain de budget est le cinquième ce trimestre et cela confirme le regain de dynamisme de CRM Company Group.", commente Bertrand Frey, président de CRM Company Group.



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D'Alessandro
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Foot - L1 - PSG
Un «autre monde» pour Jallet

Sitôt son contrat de quatre ans signé, lundi, Christophe Jallet a retrouvé ses partenaires en stage d'avant-saison à Port-Crouesty (Morbihan) jusqu'au 15 juillet. «C'est une énorme promotion pour poursuivre ma carrière, a-t-il commenté jeudi lors d'un point presse. On passe d'un monde à un autre en venant à Paris ! Le stade, les supporters, l'engouement, on sent que c'est Paris. Juste après mon transfert, j'avais mon programme pour les prochains jours, tout était bien organisé, rien à reprocher.»
«On ne peut pas faire le guignol»

Si le Morbihan ne le dépayse pas, il se souviendra de ses premiers contacts avec l'effectif. «Les quatre premières minutes, tu regardes les joueurs comme Makelele, Coupet. On ne peut pas faire le guignol mais ça s'est super bien passé, ce sont des joueurs simples. On sent que le groupe à ses habitudes, j'apprends à connaître les joueurs, tout le monde est sympa et j'apprécie beaucoup ce qui m'arrive.»

Quant à son poste et aux ambitions du club, Christophe Jallet a précisé : «Je suis polyvalent mais je reste un latéral droit à la base. Si je dois jouer ailleurs, pas de soucis mais le coach a été clair avec moi. Il y aura de la concurrence et je vais m'attacher à être au top tous les jours. Maintenant, les ambitions du club, on les connaît, c'est de finir dans les cinq premiers et si possible dans les trois premiers. Au vu de la saison passée, ce n'est pas irréalisable.» Recueilli par C.M.

lequipe.fr
Mathis
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Giuly attend de voir

Ludovic Giuly n'a jamais caché qu'il préférait jouer «attaquant» plutôt que sur le côté droit. Selon lui, c'est dans cette position qu'il a le plus de «libertés», un poste qui lui permet de «prendre des espaces dans la profondeur». Avec l'arrivée de Mevlut Erding, la donne pourrait changer. «Erding, ça fait partie du recrutement du coach ! C'est un bon joueur, un bon attaquant, puissant qui marque des buts. Après est-ce que le coach va changer de système ? On verra ça samedi (contre Pontivy), pour l'instant, on en a pas parlé.»

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Dubdadda
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Ludovic Giuly : « Pas là pour rigoler ! »

Ludovic Giuly a répondu aux questions des journalistes en conférence de presse en Bretagne. Le numéro 7 du PSG parle du nouveau groupe, de son rôle au sein de l’effectif et des ambitions parisiennes pour cette saison.

Ludovic, qu’est-ce qui a changé par rapport à l’an dernier ?

« Il n’y a pas trop de changements à part les trois joueurs qui sont arrivés. L’ambiance est bonne et on essaye de les intégrer le mieux possible. Pour l’instant, tout va bien, tout le monde est content de se retrouver. »

Connaissais-tu Antoine Kombouaré avant son arrivée ?

« Non, pas du tout. On apprends à se connaître ici, durant le stage, ainsi que le staff et les nouveaux joueurs. Le coach impose son rythme et ses formules. Tout se déroule dans la bonne humeur. Avec lui, il y a du dialogue et c’est ce que j’aime. C’est également un gagneur. Il veut que les choses soient bien faites. Il a des règles et des convictions, il faut s’y plier et les respecter. A partir de là, nous sommes libres sur le terrain de faire ce que l’on veut mais il faut respecter les choix et les consignes qu’il donne. C’est un entraîneur qui a du caractère. »

As-tu déjà joué avec Grégory Coupet ?

« Lorsque j’étais à Lyon, il arrivait de Saint-Étienne. Il me semble que nous avons joué six mois ensemble. Je suis content de le retrouver car c’est un bon mec et un grand gardien de but, donc forcément nous sommes contents de l'accueillir. On se connaît de Lyon et nous avons des amis en commun. Il faut l’intégrer le plus rapidement possible. »

Que peut-il vous apporter ?

« Il a de l’expérience et il a remporté de nombreux titres avec Lyon. Il fait partie des anciens. Nous sommes quatre ou cinq joueurs qui dépassons la trentaine donc à nous d'encadrer les jeunes. Cependant, tout le monde peut parler et donner son avis. A nous de bien gérer cela sur le terrain mais sinon chacun s’investit comme il l’entend. Nous ne sommes pas des gendarmes. »

Comme toi, il arrive souvent avec le sourire à l’entraînement…

« Ecoutez, nous faisons le plus beau métier du monde ! Nous arrivons sur la fin donc on veut profiter de ces dernières années, on a envie d’être heureux sur le terrain. Nous savons que cela va bientôt se terminer donc on donne le maximum aux jeunes, au Club, tant au niveau de l’ambiance que de l’envie. J’ai le même discours depuis 15 ans et il restera le même jusqu’à la fin. Je suis heureux d’être sur un terrain et surtout d’être en bonne santé. C'est important de pouvoir profiter et de faire de bons résultats afin de donner l’envie aux plus jeunes de venir au stade. »

Sais-tu à quel poste tu évolueras cette saison ?

« Je pense que je retourne sur le côté droit. Cela dépendra de l’entraîneur et des premiers matches. On en saura un peu plus samedi, face à Pontivy. Guillaume (Hoarau) et Mev (Mevlut Erding) vont apprendre à se connaître. Nous verrons après ce premier match et c’est important pour la suite. »


Comment les joueurs se sentiront pour le match face à Pontivy ce samedi ?

« On sera certainement un peu fatigués quand même, cela fait partie de la préparation. On va essayer de donner le maximum même si on va être un peu dans le rouge. Il faudra surtout faire attention à ne pas se blesser. »

Attends-tu la rencontre face à Pontivy avec impatience ?

« J’attends surtout le match à Montpellier, pour la reprise de la Ligue 1. Samedi, on va retrouver le terrain, avec de nouveaux joueurs. Nous allons apprendre à nous connaître, voir comment nous allons jouer, quel système on va adopter. Nous avons cinq rencontres de préparation. Ce ne sont pas les matches les plus importants mais nous allons quand même bien les jouer pour apprendre à toujours gagner et être prêt le 8 août à Montpellier. »


Quelle est votre ambition cette saison ?

« De faire mieux que l’an dernier. On a un groupe qui s’est renforcé et qui peut jouer les quatre premières places. On le sait mais on doit le démontrer sur le terrain. On s’est fait avoir la saison précédente donc on ne va pas renouveler cette même déception. A nous de bien bosser et de décrocher l’une de ces quatre places. Les grosses écuries vont être en tête, comme l’année dernière. Il y aura du suspens, en espérant que cela nous réussisse cette année. »

Est-ce que ce stage est un mélange de travail studieux et de vacances ?

« Nous sommes là pour travailler, pas en vacances ! Venez avec nous à 6h40, à 10h et à 16h et vous verrez que nous ne sommes pas là pour rigoler ! »


PSG.fr


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Jallet : « Bien accueilli »

Christophe Jallet a expliqué aux journalistes comment s’est déroulée son intégration au sein du PSG.

« J’ai été très bien accueilli à mon arrivée. Mon intégration se déroule vraiment très bien, je m’attendais à ce que cela prenne plus de temps. J’ai découvert un super groupe, qui a l’air de très bien vivre ensemble donc cela se passe on ne peut mieux. Marcos Ceara est quelqu’un de très gentil, il n’y a aucun problème avec lui. Tout le monde est très bien dans le groupe, lui le premier. Il est un peu plus introverti que certains mais il est très gentil et sympa. »
Dubdadda
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Makonda : « Là pour apprendre »

Récemment professionnel, Tripy Makonda a expliqué aux journalistes que son changement de statut n’a rien changé et qu’il veut continuer à apprendre aux côtés de Sylvain Armand.

« Mon statut a seulement changé juridiquement car j’ai signé professionnel mais sinon, je suis toujours là pour apprendre. Je me donne tous les jours à 100%. L’an dernier, j’entrais sur la pointe des pieds, aujourd’hui je rentre dans le monde du football. Mon poste actuel est celui d’arrière gauche, je suis la doublure de Sylvain Armand. Je veux apprendre à ses côtés, c’esst un bon professeur, il m’apprend beaucoup de choses. »


PSG.fr
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L’encombrant Albert Baning

Arzon (Morbihan)
DE NOTRE ENVOYE SPECIAL

«MAIS qu’est-ce qu’on va faire d’Albert ? » Cette question, les dirigeants parisiens se la posent chaque été depuis trois ans à propos d’Albert Baning, 24 ans, leur longiligne milieu défensif. Le Camerounais s’entraîne en silence en Bretagne, au milieu des Parisiens, mais il est difficile de lui prédire un avenir radieux avec le PSG cette saison.
Arrivé en 2006, Baning était présenté comme un futur grand par Alain Cayzac. Ce dernier avait suivi les conseils de son ami Gérard Houllier qui lui avait dit : « Vas-y, c’est un tout bon. Je l’aurais bien pris à Lyon. » Il faudrait parfois ne pas écouter ses amis. En effet, la première saison de Baning, sous contrat jusqu’en 2010, avait tourné au fiasco (un match de L 1 et deux de Coupe de l’UEFA), Guy Lacombe lui reprochant de trop garder le ballon en milieu de terrain. Depuis, son destin avec Paris fait irrésistiblement penser au célèbre sparadrap du capitaine Haddock qu’il n’arrive pas à décoller tout au long d’un album de Tintin : à chaque intersaison, Baning revient au PSG !

50 000 € par mois

Prêté à Sedan (L 2) en 2007, il y dispute 26 matchs avant d’enchaîner un nouveau prêt à Grenoble, promu en L 1, l’an dernier. Dans l’Isère, il joue 19 matchs, mais très peu en fin de saison. « C’est un bon mec, objecte
Pierre Wantiez, le directeur général grenoblois. Mais il a besoin de stabilité. » Si Grenoble ne l’a pas conservé, c’est surtout pour des raisons financières : au PSG, Baning touche 50 000 € de salaire par mois ! Une rémunération inaccessible pour les clubs susceptibles de s’intéresser à lui. L’an dernier, le PSG a d’ailleurs pris en charge une partie de ses émoluments… « Son salaire ne facilite pas les choses, poursuit Pierre Wantiez. Il a aussi connu des problèmes de santé en fin de saison qui nous ont inquiétés. Il se plaignait de douleurs au pubis et on a craint une pubalgie. »

Depuis le début du stage parisien, Albert Baning s’entraîne pourtant sans douleurs apparentes. « Si le PSG cherche à nouveau à le prêter, on regarderait le dossier », promet Wantiez. Du côté parisien, on avoue avec
franchise qu’aucune demande de renseignements le concernant n’est arrivée au club. Antoine Kombouaré
a décidé de lui donner sa chance pendant le stage afin demieux le jauger. Mais, avec Makelele, Clément,
Chantôme et Sankharé, déjà en concurrence pour deux places au milieu, les chances d’Albert Baning d’inverser son destin restent minces.


LE PARISIEN
doll
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Après trois saisons très accomplies à Lorient, Christophe Jallet s'est engagé pour quatre ans avec le PSG. En stage à Arzon, le Charentais de 25ans vit son rêve éveillé.

Christophe Jallet, auriez-vous vécu comme un échec le fait de rester à Lorient?

«Je pense que cela m'aurait fait mal. C'est ce que j'ai expliqué au coach et au président quand je les ai eus. C'est comme quand on met un jouet devant les yeux d'un enfant et qu'on lui enlève au dernier moment. Je suis professionnel, il me restait un contrat de deux ans à Lorient, j'aurais fait mon boulot. Mais cela aurait été difficile à gérer.»

A quand remontent les premiers contacts avec Paris?

«A quinze jours, trois semaines de la fin du championnat, où j'ai eu au téléphone Alain Roche (NDLR: responsable du recrutement) et le coach, qui n'était pas encore annoncé. Lui a attendu que son recrutement au PSG soit bouclé pour me contacter.»

Paris, c'est un beau jouet, mais assez effrayant... Avez-vous hésité?

«Non. A partir du moment où ils m'ont dit qu'ils feraient tout pour m'avoir, ma priorité était toute tracée. Une chance comme celle-là ne se présente peut-être pas deux fois dans une vie. Je vais essayer de la saisir. En tout cas, j'ai franchi la première étape, qui était d'arriver. Maintenant, on sait qu'il y a une pression plus importante à Paris. La seule chose que je me dis, c'est qu'il y a, de toute façon, plus grave dans la vie. Je ne m'attends pas à vivre que des bons moments non plus, mais cela ne me préoccupe pas plus que ça.»

Avez-vous été surpris qu'un club comme Paris s'intéresse à vous après une saison moins pleine?

«Il n'y a rien de logique dans le foot, dans un sens ou dans un autre. Ils me suivaient depuis deux saisons. J'ai joué six mois diminué, jusqu'à l'opération, et vingt matchs au total au lieu de trente-six ou trente-sept. On peut dire que c'est la moins bonne saison. Mais ce n'est pas souvent lors de ses meilleures saisons que l'on arrive à partir.»

En quelques jours, avez-vous déjà l'impression d'être passé de l'artisanat à l'industrie?

«C'est clair. A partir du moment où les deux clubs se sont mis d'accord, j'ai eu Alain Roche au téléphone qui m'a donné, en cinq minutes, le planning des trois jours qui suivaient. C'est parfaitement calé, on est vraiment dans les meilleures dispositions possibles. Ce serait dommage de ne pas en profiter.»

Conserverez-vous un bon souvenir de ces trois ans à Lorient?

«Bien sûr. Quand je suis arrivé, je n'étais déjà pas sûr de jouer. J'ai découvert le haut niveau avec eux, j'ai appris énormément de choses. J'ai appris la rigueur tactique, j'ai bossé techniquement. J'ai pris du plaisir aussi sur le terrain, parce qu'il y a des matchs où on s'est fait ch..., mais d'autres où on a vraiment pris notre pied tous ensemble.»


Y avait-il un peu de lassitude au final?

«J'avais déjà connu cela à Niort. Ce n'est pas que le club n'a pas envie d'avancer, mais chacun fait avec ses moyens. On rentrait aussi un peu dans un ?ron-ron?. Cela faisait trois ans que l'on était tous ensemble, avec les mêmes joueurs, le même coach, les mêmes séances. A un moment donné, on s'endort inconsciemment, même si on essaie de se tenir éveillé. C'est un peu difficile, au bout de trois ans, de se remettre un coup de pied au c... tout seul et de se dire: ?Mon gars, tu vas te bouger.? La meilleure solution, c'est de partir pour un challenge supérieur. Voilà, je l'ai trouvé.»


Le Télégrame Vendredi 10 Juillet 2009
aleksandre08
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GIULY, JOKER DE LUXE ?


Sous la direction d'Antoine Kombouaré, le PSG évoluera cette saison en 4-4-2. Un schéma tactique où Ludovic Giuly devra se faire une place à droite plutôt que dans l'axe. Du coup, son statut de titulaire est désormais menacé
.

Samedi, les Parisiens ne seront pas au Parc des Princes. Ni au Stade de France pour le concert événement de U2. Ils seront à Sarzeau (dans un stade de 15 000 places dont 256 assises) pour affronter l'équipe de CFA de Pontivy. L'occasion d'une première rencontre amicale qui confirmera une information : dans le schéma tactique prôné par Antoine Kombouaré, l'attaque sera emmenée par deux pointes. « J'adore le 4-4-2, a reconnu le coach sur le site du PSG. Avec cet effectif, nous possédons les qualités nécessaires pour évoluer dans ce schéma. Si j'ai quatre attaquants, c'est parce que dans la mesure du possible, je veux qu'il y en ait toujours deux devant. » Le grand Hoarau et le rapide Erding seront les titulaires annoncés. Exit du onze de départ Péguy Luyindula et Mateja Kezman, autres candidats aux postes axiaux. Exit également Ludovic Giuly, qui n'est pas considéré comme un attaquant de pointe mais bien comme un milieu excentré par Antoine Kombouaré. Pour l'ancien Romain, qui fête cette semaine son 33eme anniversaire, le gâteau aura forcément un goût amer. Car il répète depuis on arrivée qu'il préfère l'axe et que jouer en soutien d'Hoarau lui plaît. Surtout, il se sent trop étriqué sur le côté droit.

« On va retrouver le terrain samedi avec de nouveaux joueurs et nous allons apprendre à nous connaître, voir comment nous allons jouer, quel système on va adopter », expliquait Giuly dans la semaine. Son rôle dans tout ça ? « Je pense que je vais retourner sur le côté droit. Cela dépendra de l'entraîneur et des premiers matchs. On en saura un peu plus samedi face à Pontivy. Guillaume (Hoarau) et Mev (Mevlut Erding) vont également apprendre à se connaître. Nous verrons après ce premier match et c'est important pour la suite. » Giuly s'attend donc à jouer côté droit. Mais la saison passée, Stéphane Sessegnon a longtemps occupé ce poste, plutôt avec réussite même si le Béninois a tendance à entrer dans l'axe et à laisser le pauvre Ceara écoper sur son côté en situation défensive.

Pour libérer la droite à Giuly, il faudrait donc que le PSG joue avec Sessegnon à gauche dans un 4-4-2 où il remplacerait Rothen. Mais le club de la Capitale aurait plutôt envie de recruter un gaucher à ce poste : les noms de Källström, Payet et Danic sont évoqués avec insistance. Si la gauche revient à un « nouveau » et pour trouver une place à Giuly, il faudrait donc que le PSG évolue avec un milieu en losange avec Sessegnon en axial. Une situation difficilement envisageable aujourd'hui puisqu'elle laisserait le capitaine Claude Makelele un peu seul à la récupération. L'avenir de Ludovic Giuly pourrait donc être moins ensoleillé qu'il n'y paraît et l'ancien joueur du Barça pourrait devenir un simple joker de luxe. Une situation qui pourrait évidemment l'agacer. Mais après avoir effectué une grosse préparation individuelle avant la reprise à Saint-Raphaël, le joueur semble s'être préparé à cette éventualité de ne pas être le choix numéro un. En étant prêt plus tôt que les autres, il pourrait séduire son entraîneur par ses performances lors des semaines qui viennent. Affaire à suivre…


Foot365
sylvain
Le Parisien

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Kombouaré jour après jour

Arzon (Morbihan)

Christophe Bérard | 11.07.2009, 07h00


Après une semaine de vie commune, les joueurs commencent à se familiariser avec les entraînements d’Antoine Kombouaré. Là où Paul Le Guen privilégiait l’introspection, son successeur donne de la voix et du geste. En Bretagne, il assoit son autorité et son engagement.

LUNDI 6 JUILLET, 16 H 50. L’heure, c’est l’heure. Devant le hall du Miramar Crouesty, Kombouaré ne dissimule pas son agacement.
Le bus, censé conduire les joueurs à l’entraînement, n’est pas là. « Je déteste attendre, lâche-t-il. Quand je fixe un horaire, j’entends qu’il soit respecté. » Finalement, le car arrive cinq minutes plus tard. A l’arrivée à Sarzeau, il s’entretient quelques minutes avec l’intendant du club pour régler le problème. Sur le terrain, il dirige sa première opposition en commentant, à voix haute, tous les duels livrés par ses hommes.

MARDI, 16 HEURES. Applaudissements pour Jallet. Kombouaré s’isole au centre du terrain en début de séance et laisse ses joueurs aux mains du préparateur physique. Après vingt minutes, il réunit son groupe pour expliquer un exercice. Il s’interrompt soudain. « Les gars, j’ai oublié quelque chose. J’aimerais qu’on salue tous Christophe Jallet (NDLR : arrivé la veille au soir en Bretagne) qui sera avec nous. » Les Parisiens applaudissent l’ex-Lorientais.

MERCREDI, 10 HEURES. Les décibels du haut-parleur. Alors que les joueurs s’astreignent à une longue séance, Kombouaré passe plus d’une heure au côté de Nicolas Dehon, l’entraîneur des gardiens, à s’occuper de Grégory Coupet et Edel. Le Kanak enchaîne les frappes pour leur faire travailler le contrôle et la relance. A un moment, sa voix est couverte par un haut-parleur qui annonce, autour du stade, « la venue exceptionnelle à Arzon de vos artistes préférés ». Aucun lien avec le PSG : c’est celle d’un cirque ambulant en tournée en Bretagne.

JEUDI, 16 HEURES. La positive attitude. Devant plus de 200 spectateurs, il a du mal à rester en place pendant l’échauffement et tripote le ballon. Durant une opposition à dix contre dix, il parle sans cesse. Ses deux mots récurrents sont « bien joué », qu’il égrène plus d’une centaine de fois… Son envie de positiver et de mettre en valeur ses joueurs est tangible. « Je suis un éducateur avant tout », souligne-t-il. A la fin de l’entraînement, il se dirige vers la main courante pour saluer Alain Couriol, l’ex-international et ancien du PSG (83-89), qui vit désormais à Arzon. La conversation porte sur les joueurs antillais côtoyés par Kombouaré durant sa carrière.

HIER, 11 HEURES. Mots d’enfants. Après s’être contenté d’adresser des centres à ses gardiens, il se dirige vers la poignée de supporteurs pour la traditionnelle séance de photos et d’autographes. « Bienvenue au PSG ! » lui lance un enfant de 6 ans. « Vous allez finir à quelle place ? » lui demande un autre. « J’aimerais bien être un devin pour te répondre », rétorque Kombouaré.

Le PSG affronte Pontivy (CFA) ce soir, à 19 heures, à Sarzeau. « C’est plus un entraînement qu’autre chose, prévient Kombouaré. Excepté Erding et Hoarau, tout le monde jouera. »


Le Parisien



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Patrice Clerc prêt à aider le club

A.H. | 11.07.2009, 07h00


Sébastien Bazin, président non exécutif et actionnaire ultramajoritaire du PSG, cherche toujours son successeur. Il devrait annoncer le nom de son remplaçant fin juillet ou tout début août, avant le premier match de la saison le 8 août. « Sébastien Bazin prend son temps pour régler ce dossier. Il souhaite terminer le mercato avant de passer la main », confie un intime du club.

Patrice Clerc demeure un candidat possible, mais il n’est pas le seul. Même si l’ancien patron d’Amaury Sport Organisation (ASO) devait finalement refuser la proposition de Bazin, il pourrait, malgré tout, être associé au futur du club de la capitale. En effet, Clerc a lancé récemment sa société, Patrice Clerc Associé (PCA), une entreprise de conseils en stratégie et gestion de projets dans le sport. Et cette dernière pourrait travailler avec le club de la capitale. Des discussions ont eu lieu sur ce sujet entre Clerc et Bazin. Interrogé pour savoir si c’était compatible avec la présidence du PSG, l’ex-directeur de Roland-Garros nous a répondu hier : « Il faut voir. » Une réponse qui fait écho aux propos de Bazin sur cette question qui affirmait dans nos colonnes le 29 juin que c’était « conciliable ». Des proches de Clerc l’incitent à accepter le poste.


Le Parisien


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Le PSG s'offre un nouveau gardien



Bertrand Métayer | 10.07.2009, 17h55 | Mise à jour : 21h36



Le PSG a trouvé son troisième gardien. Après le recrutement de Grégory Coupet, le club de la capitale a enrôlé vendredi un deuxième portier en quelques jours. Willy Grondin, en fin de contrat avec Valenciennes, a répondu à l'appel de son ancien entraîneur Antoine Kombouaré. Il a paraphé un contrat d'une saison.

A 34 ans, Grondin est un joueur d'expérience qui a toujours évolué comme gardien remplaçant à Nantes d'abord puis au Mans et enfin à Valenciennes.


« Il a le niveau pour jouer en L2 ou être n°2 en L1, explique Kombouaré. Il était sur le point d'être au chômage et j'ai attendu de voir s'il pouvait avoir quelque chose de mieux. Je lui ai tendu la main et il est très content de nous rejoindre. Mais pour moi, la hiérarchie est claire. Coupet est n°1, Edel n°2 et Grondin n°3. Il va aider les jeunes du centre de formation et garder le but de la CFA. Mais dans mon esprit, les trois gardiens sont importants. Il ne faut jamais le souhaiter mais à tout moment, une blessure peut arriver et celui qui est n°3 peut se retrouver en première ligne. On l'a vu avec Bordeaux cette saison. »

Pour l'entraîneur parisien, le recrutement est donc pour le moment en stand-by . « Avant d'acheter, il faut vendre », raisonne le Kanak. Premier sur la liste des transferts après avoir clairement affiché ses envies d'ailleurs, Jérôme Rothen doit retrouver ses partenaires ce soir à Port Crouesty (Morbihan) pour reprendre l'entraînement samedi matin. Son entraîneur a déjà prévenu qu'il ne serait pas concerné par le premier match amical programmé à 19 heures contre Pontivy (CFA).


leparisien.fr
sylvain
CR des articles de l'Equipe du jour.

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Erding inquiète Kombouaré

Kombouaré parle du match de ce soir: "Ce n'est pas vraiment un match amical. C'est un entrainement, une opposition, une revue d'effectif, histoire de voir tout le monde." Nénanmoins, Hoarau et Erding ne seront pas là. Au sujet du Turc , le coach parisien semble soucieux. "Il a un petit souci, c'est embêtant. Il est à la disposition du staff médical. Il ne faut pas faire n'importe quoi. Surtout avec un nouveau. Il a encore de petites douleurs. Il faut être vigilant. Je ne donne pas de date de reprise."
Autre absent, Jérôme Rothen. Pendant sa mise a pied, il a travaillé avec un péparateur physique. Il a rejoint le groupe hier soir mais est trop juste pour jouer le match d'aujourd'hui. Kombouaré a prévu une discussion hier après-midi avec lui. "On fait tout pour que tout le monde soit content. Ce qui est important, c'est son désir à lui. Jérôme a suffisamment répété qu'il souhaitait partir. Il faut trouver une solution."
Tant que Rothen ne sera pas parti, il ne recrutera pas de milieu gauche. "Avant d'acheter, il faut vendre. Si on était le Real, on ferait différemment. J'ai les joueurs qu'il faut, même à gauche. On a un effectif de qualité. Des gens peuvent jouer à ce poste là. Je suis en train de regarder. Les matchs amicaux servent à ça aussi."



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Les deux kinés licenciés.


Philippe Boindireux a reçu cette semaine Joel Le Hir et Pascal Roche pour leur confirmer la volonté du club de se séparer de ses 2 kinés.
Joel Le Hir semble payer sa proximité avec Paul Le Guen, l'ancien entraineur parisien. Même si certains joueurs se sont inquiétés de ce départ, et même si Le Hir a toujours entretenu d'excellents rapports avec Kombouaré, les déclarations de Le Guen sur Alain Roche ont scéllé son sort.
Le cas de Pascal Roche est différent. Il lui est reproché en interne de ne s'occuper que des "stars" et de trop s'épancher. C'est sous la pression commune d'Alain Roche et de Kombouaré que le club a décidé de s'en séparer.
Biz Markie
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Rothen s'est entraîné

Willy Grondin, le troisième gardien du Paris-SG, officiellement transféré vendredi en provenance de Valenciennes, et Jérôme Rothen, dont la mise à pied s'achevait vendredi soir à minuit, ont rejoint le groupe parisien à Port Crouesty, dans le Morbihan. Les deux joueurs ont participé à leur premier entraînement collectif samedi matin et assisteront depuis les gradins au match amical du PSG face à Pontivy (19h00).

lequipe.fr
sylvain
So Foot

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Mais qui es-tu Christophe Jallet ?

10 juillet 2009


Nercillac, Cognac, Niort, Lorient et maintenant Paris pour quatre ans. Christophe Jallet gravit les échelons sans se précipiter. Portrait de la recrue la moins sexy du PSG, mais qui pourrait finalement s’avérer être la plus importante de la cuvée 2010.

Christophe Jallet est né à Cognac, ses parents sont viticulteurs et il est supporter de Bordeaux. Voilà, c’est dit, ce mec a un CV qui sent l’alcool franchouillard. Pourtant, si on retourne aux origines du bonhomme, c’est surtout l’odeur de la campagne qui vient chatouiller les narines. Christophe a grandi au milieu des vignes et des années 80, dans un patelin charentais de 1000 âmes nommé Nercillac.

La nature, la terre, Jallet les a placées au centre de sa vie. Peut-être même un peu trop. Dans une interview publiée le 5 août 2007 sur son Skyblog (sic), on lui demande s’il est plutôt PS ou UMP : « Ni l’un ni l’autre. Plutôt "Chasse, Pêche, Nature et Traditions". Je reste dans les traditions de mon terroir. J’ai vécu comme ça, avec ces traditions à défendre ». Flippant. Le côté positif c’est que, de l’avis général, son origine rurale a aussi fait de Cricri d’amour un mec simple, modeste, sans prise de tête. « Quand il rentre chez lui, il oublie tout ce qui tourne autour du foot parce que ses parents travaillent la terre, parce que ses beaux-parents sont d’un milieu ouvrier, explique Marc Boutruche, son ancien collègue à Lorient aujourd’hui retraité. Il a peut-être une plus grosse voiture mais c’est tout. Christophe a beaucoup d’amis en dehors du foot, forcément ça maintient la réalité en place ». Du coup, Christophe développe des goûts simples entre bricolage, bonne bouffe et bon vin. Il n’a pour le moment acquis qu’un seul tic de riche : la passion du golf.

Mais avant même de savoir ce qu’est un green, Jallet taquine déjà le ballon rond sur la pelouse du club de Nercillac. Il y reste jusque ses dix ans, âge auquel il est recruté par l’équipe de sa ville natale, Cognac. « Il n’était pas surclassé mais il était déjà au-dessus des autres, se souvient Didier Martineau, son entraineur en moins de 15 ans. Bonne technique, bonne vision du jeu. Physiquement, il était bon pour courir, un peu moins pour rentrer dedans. Comme maintenant, ce n’était pas un gros bonhomme mais il emmenait les autres ». Comme tous les joueurs au-dessus du lot dans ces catégories là, Christophe jouait numéro 10.

De Chamois à Merlu

A 14 piges, la plupart des adolescents rêvent encore de devenir pro. Pas glamour pour un sou, Christophe Jallet ne veut pas trop s’éloigner de ses parents, il part donc en sport-études à Niort, à 98,5 km de Nercillac selon Google Maps. Chez les Chamois, le jeune Jallet fait toute son éducation, sur et en dehors du terrain. Centre de formation, baccalauréat, il enchaine même avec un BTS d’œnologie par correspondance, histoire d’assurer ses arrières, et se transforme en milieu défensif ou en milieu droit selon les matchs. Passé pro à 20 ans, Christophe joue deux saisons en Ligue 2 avant la descente de Niort en National. Le malheur de son club fait le bonheur du joueur, qui récupère le capitanat et confirme son talent.

Première ligne au palmarès (champion de National) et le Chamois devient un Merlu. Lorsque Jallet débarque à Lorient, fraichement monté en Ligue 1, il impressionne par son endurance. « Dès le stage de préparation, il éclatait tout le monde. Physiquement, il était au-dessus du lot, même s’il n’avait pas un gros gabarit. On avait un préparateur physique qui entrainait Elodie Guegan (championne de France du 800m en 2007, ndlr), il disait que Christophe était l’un des rares qui aurait pu faire de l’athlé. Il aurait pu faire un super coureur de 1500 », assure Stéphane Bacro, journaliste à Ouest France. N’empêche, le mec vient d’un niveau inférieur et il n’a pas été recruté pour être titulaire. Rentré en cours de jeu lors de la première journée, banquette pour la deuxième, Jallet profite des blessures et suspensions pour connaître sa première titularisation en Ligue 1 contre Lens.

A la 73è minute, les Lorientais sont menés 1-0 à domicile. Saïfi, à 20 mètres du but, dévie une ballon vers le côté droit. Jallet, esseulé, contrôle de la poitrine et claque une demie-volée croisée qui termine sa course dans la lucarne d’Itandje, un but qui restera comme l’un des plus beaux de la saison. Mais ce n’est pas un pauvre but, si beau soit-il, qui peut convaincre Christian Gourcuff. Boutruche, qui a pris Christophe sous son aile depuis son arrivée dans le Morbihan, le console : « Je lui ai dit : “Sois patient, vu tes qualités, je suis sûr que tu termineras par jouer latéral droit à ma place” ». Lors du match suivant, Boutruche se nique les ischio-jambiers. A partir de ce moment-là, Jallet se mue en arrière droit, poste qu’il ne quittera plus. Il pousse son pote sur le banc et s’installe dans l’équipe-type : 36 matchs en 2006/2007, 37 l’année suivante. Finalement, sa saison la moins pleine est la dernière, une pubalgie l’ayant éloigné des terrains cet hiver.

Bientôt chez les Bleus

Mais Antoine Kombouare ne s’est pas laissé prendre. Au milieu des recrues qui font couler de l’encre (Erding et Coupet), le nouveau coach parisien a tenu à faire signer l’alter ego de Sylvain Armand (latéral, passé d’un club de National à un club breton de Ligue 1 avant de rejoindre le PSG). Si l’on sait maintenant que Christophe Jallet a le niveau pour « détitulariser » Ceara, on se demande toujours comment un mec de la campagne qui aime la simplicité va réussir à se fondre dans le bordel parisien. « Il a cette faculté de s’adapter à tout type de gens, rassure Marc Boutruche. Il s’entend avec tout le monde, mais ça ne veut pas dire qu’il fait le dos rond. C’est un mec de groupe, il ne restera pas seul dans son coin. S’il ne s’adapte pas, ce ne sera pas de son fait. C’est que des gens veulent la jouer perso ». A Paris, le risque existe.

Meneur de jeu à Cognac, milieu défensif à Niort, arrière droit à Lorient. Au fur et à mesure qu’il montait vers le Nord, Jallet reculait sur le terrain et grimpait les échelons. S’il ne devrait plus changer de poste (Coupet peut respirer), reste à savoir jusqu’où il peut aller en terme de renommée sportive. « L’équipe de France, répond coach Gourcuff sans hésiter. On manque de latéraux en ce moment ». Confirmation de copain Boutruche, un peu plus modéré : « Je lui ai fait un plan. Il devrait rester deux ou trois ans à Paris et, s’il n’y a pas de coupe d’Europe, je le vois bien arracher un Bordeaux ou un Lyon, après quelques sélections chez les Bleus. Il pourrait être essayé dans les matchs amicaux où il y a 35 joueurs sélectionnés dont 17 nouveaux ».

Mais pourquoi donc les supporters parisiens ont-il ri jaune en découvrant cette nouvelle recrue ? Pourquoi ne parle-t-on pas plus souvent d’un type qui sera en Polognukraine en 2012 pour disputer l’Euro ? C’est encore Gourcuff qui a la réponse : « Bah, parce qu’il jouait à Lorient... ». On l’avait sur le bout de la langue.
Thomas Pitrel
NeiBaF
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Premier test réussi pour le PSG



Pour le premier match amical de sa préparation, le PSG s'est imposé face à Pontivy (CFA), samedi à Sarzeau (Morbihan). Ludovic Giuly et Yannick Boli ont inscrit les deux buts de la rencontre (2-0).

Fatigués par une semaine d'entraînement au rythme de deux à trois séances quotidiennes, les joueurs du PSG peinent à entrer dans la partie. Claude Makelele et ses coéquipiers sont bousculés par les amateurs bretons, tout près d'ouvrir la marque. Seul face à Grégory Coupet, leur avant-centre Arquin frappe à côté (16e). Plus sûrs techniquement, les Parisiens font pourtant respecter la hiérarchie. Makelele sert Giuly par dessus la défense. Le milieu droit croise parfaitement sa frappe pour ouvrir le score (1-0, 21e). Le PSG insiste mais la frappe lointaine de Sankharé est repoussée par le gardien morbinanais (30e) tandis que Makelele trouve la barre transversale sur sa tentative de 20 mètres (32e).

Kombouaré : «S'imprégner de la culture de la victoire»

A la reprise, Antoine Kombouaré change totalement son équipe. Un nouveau onze qui double tout de suite la mise. Jallet déborde côté droit pour Boli qui place une reprise de la tête imparable (2-0, 47e). Paris gère alors tranquillement la rencontre en tentant de prendre ses marques en vue de la prochaine rencontre de préparation contre Nantes, mardi (19 heures) à Saint-Dolay (Morbihan). «C'était une bonne revue d'effectif, même si les joueurs étaient fatigués, a commenté Antoine Kombouaré. C'était important de gagner ce match pour s'imprégner de la culture de la victoire.»

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PSG (L1) – PONTIVY (CFA) : 2-0 (1-0)

Buts :
Giuly (21e), Boli (47e).
PSG en première mi-temps : Coupet : Ceara, Traoré, Camara, Makonda – Giuly, Makelele, Ngoyi, Sankharé – Kezman, Maurice.
PSG en deuxième mi-temps : Edel – Jallet, Sakho, Bourillon, Armand – Arnaud, Clément, Baning, Chantôme – Luyindula, Boli.

Le Parisien.fr
Biz Markie
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Kombouaré: «Repousser les limites»

Après la première sortie de ses hommes, samedi, en amical, face à Pontivy (2-0), Antoine Kombouaré avait le sourire. Même si la fatigue s'est faite sentir, les Parisiens ont gagné, et ont pu appliquer les consignes de leur nouvel entraîneur. « Je retiens dans un premier temps la victoire, a expliqué Kombouaré sur le site officiel du PSG. C'est important de s'imprégner de la culture de la gagne très tôt dans la saison. Nous avons profité de ce match amical pour travailler physiquement. Il y a beaucoup de fatigue ce soir, mais il faut que les garçons repoussent leurs limites. C'est une bonne mise en route. J'ai commencé à mettre en place quelques principes tactiques, notamment défensivement. Il faut maintenant répéter les séances de travail. »

Coupet : « Rien ne remplace un match »

De son côté, le gardien parisien Grégory Coupet, qui a fait ses grands débuts avec le club de la capitale, était tout à sa joie d'avoir enfin pu rejouer : « Ces matches amicaux permettent de mettre en place certains automatismes. J'ai essayé de beaucoup parler à mes défenseurs, de les replacer, de les inviter à aller de l'avant. Rien ne remplace un match et j'apprends ainsi à mieux connaître mes défenseurs. Je retrouve avec plaisir ces ambiances d'avant match dans le vestiaire. Il y a beaucoup de plaisir. Toutes les conditions sont réunies pour bien travailler. Je sens qu'il y a une grosse attente. L'important c'est que le travail paye. » (Photos Presse-Sports)

francefootball.fr
sylvain
Le Parisien

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Premier test réussi pour le PSG

Bertrand Métayer


Pour le premier match amical de sa préparation, le PSG s'est imposé face à Pontivy (CFA), samedi à Sarzeau (Morbihan). Ludovic Giuly et Yannick Boli ont inscrit les deux buts de la rencontre (2-0).

Fatigués par une semaine d'entraînement au rythme de deux à trois séances quotidiennes, les joueurs du PSG peinent à entrer dans la partie.

Claude Makelele et ses coéquipiers sont bousculés par les amateurs bretons, tout près d'ouvrir la marque. Seul face à Grégory Coupet, leur avant-centre Arquin frappe à côté (16e).

Plus sûrs techniquement, les Parisiens font pourtant respecter la hiérarchie. Makelele sert Giuly par dessus la défense. Le milieu droit croise parfaitement sa frappe pour ouvrir le score (1-0, 21e). Le PSG insiste mais la frappe lointaine de Sankharé est repoussée par le gardien morbinanais (30e) tandis que Makelele trouve la barre transversale sur sa tentative de 20 mètres (32e).

Kombouaré : «S'imprégner de la culture de la victoire»

A la reprise, Antoine Kombouaré change totalement son équipe. Un nouveau onze qui double tout de suite la mise. Jallet déborde côté droit pour Boli qui place une reprise de la tête imparable (2-0, 47e). Paris gère alors tranquillement la rencontre en tentant de prendre ses marques en vue de la prochaine rencontre de préparation contre Nantes, mardi (19 heures) à Saint-Dolay (Morbihan).

«C'était une bonne revue d'effectif, même si les joueurs étaient fatigués, a commenté Antoine Kombouaré. C'était important de gagner ce match pour s'imprégner de la culture de la victoire.»



PSG (L1) – PONTIVY (CFA) : 2-0 (1-0)

Buts : Giuly (21e), Boli (47e).
PSG en première mi-temps : Coupet : Ceara, Traoré, Camara, Makonda – Giuly, Makelele, Ngoyi, Sankharé – Kezman, Maurice.
PSG en deuxième mi-temps : Edel – Jallet, Sakho, Bourillon, Armand – Arnaud, Clément, Baning, Chantôme – Luyindula, Boli.



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Rothen revient sur la pointe des pieds


Christophe Bérard



Jérôme ROTHEN a été un témoin privilégié de la victoire du PSG hier contre l’équipe de CFA de Pontivy (2-0, buts de Ludovic Giuly et Yannick Boli). Le milieu de terrain parisien a assisté au match depuis le banc de touche. Il ne pouvait évidemment pas jouer, puisqu’il n’a repris l’entraînement qu’hier matin.
Une séance de travail physique qui officialisait la fin de sa mise à pied de sept jours et demi. Cette sanction avait été infligée par le club après ses critiques formulées à l’adresse de ses dirigeants dans une interview début juin. C’est vendredi, en début de soirée, qu’il avait rejoint, avec Willy Grondin, l’ex-gardien valenciennois et désormais troisième portier du PSG, l’hôtel Miramar-Crouesty. Il a pu partager le dîner avec ses coéquipiers. « On l’a accueilli sans problème avec quelques sourires complices, note un joueur. Pour nous, son retour n’est pas un événement. »

Il veut toujours partir

Jérôme Rothen s’est entretenu quelques minutes avec Antoine Kombouaré. Pour ce dernier, le cas Rothen est tranché : depuis son arrivée en Bretagne, l’entraîneur parisien le considère désormais comme un joueur à part entière de son groupe. « Maintenant, il doit se mettre au boulot, soulignait Kombouaré après le match.
Je ne le dispense pas de travailler ! Mais je le sens désireux de s’investir et, surtout, pressé de retrouver le terrain. » Mais Rothen est en retard dans sa préparation physique, même s’il a entretenu sa forme en suivant cette semaine un programme spécifique. Il devrait donc aussi être un peu juste pour le PSG - Nantes de mardi prochain.
Hier soir, au moment de l’échauffement, il a offert un visage beaucoup moins crispé que lors de ses dernières sorties. Souriant et blagueur, il s’est installé sur le banc entre Jérémy Clément et Sylvain Armand, ses habituels partenaires de poker. A la mi-temps, il a chambré gentiment Ludovic Giuly, auteur du premier but. Il a ensuite passé la seconde période au côté de l’ex-Barcelonais avant de filer dans le bus sitôt le match terminé.
Si, en apparence, Rothen est redevenu un joueur du PSG, son envie de départ reste aussi forte. Mais avant de savoir s’il trouvera un club désireux de l’accueillir, il a pris une sage décision : ne plus faire de vagues.

Le Parisien
sylvain
Le Parisien

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Le bonheur retrouvé de Coupet


Grégory COUPET a disputé hier son premier match sous ses nouvelles couleurs. Il n’a pas boudé son plaisir pour son retour en France. L’ex-gardien de l’Atletico Madrid explique pourquoi ce genre de rencontre est primordial pour lui.

Le terrain. « Ce n’est que du plaisir de retrouver la compétition. Le terrain me manquait, mais aussi l’ambiance d’avant-match où on discute et où on se motive.
J’ai vite retrouvé mes sensations. Ce type de match me permet de mieux connaître mes défenseurs et d’apprendre à communiquer avec eux. J’ai 36 ans, mais j’ai joué avec tout mon enthousiasme. Je profite pleinement de cette période de préparation. »

La victoire. « Il nous a encore manqué un peu de vitesse et peut-être certains automatismes. Mais si cette victoire ne veut pas dire grand-chose, elle est importante. Elle vient couronner une semaine d’efforts. On a beaucoup bossé avec un rythme soutenu. Mais les entraînements ne suffisent pas. Un match amical, c’est le meilleur moyen pour apprendre à se connaître. »

L’ambiance. « Les conditions de travail sont idéales et l’ambiance dans le groupe est exceptionnelle. On rigole beaucoup. Le terrain d’entraînement est parfait et l’hôtel aussi. A l’Atletico Madrid, il y avait également un groupe de qualité. Ici, l’effectif est différent. Il y a plus de jeunes. Ils attendent qu’on vienne leur parler. J’aime jouer ce rôle. »

Le Parisien
NeiBaF
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Séance allégée pour Z. Camara

Toujours dispensé d'entraînement collectif, Mevlut Erding (adducteurs), la recrue offensive du Paris-SG venue de Sochaux, a travaillé dimanche à Port Crouesty (Morbihan) avec Raphael Fêvre, le préparateur physique du club parisien.


Il sera encore en tribunes pour le deuxième match de préparation contre Nantes, mardi à Saint-Dolé, toujours dans le Morbihan. Guillaume Hoarau (genou et adducteurs), qui a repris avec le groupe, devrait pour sa part jouer au moins quelques minutes. Quant à Zoumana Camara, il a eu droit à une séance allégée en raison d'un coup reçu samedi soir lors de la victoire parisienne en amical contre Pontivy (2-0).

L'Equipe.fr
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