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Le PSG devrait rester à Saint-Germain-en-Laye
La direction du PSG aurait choisi un terrain de 60 ha au nord de l’actuel camp des Loges pour y installer son centre d’entraînement.
Et le vainqueur est… Saint-Germain. Rien n’est encore acté, mais après s’être penchée sur d’autres candidatures, la direction du PSG étudie de nouveau dans le détail le site proposé par la sous-préfecture des Yvelines pour remplacer l’actuel camp des Loges. Après des mois de silence, d’atermoiements et de revirements en coulisse, la donne a sensiblement évolué.
Au point qu’aujourd’hui, cette « candidature tient la corde » selon un connaisseur du dossier.
Si rien ne vient perturber les discussions en cours, le PSG devrait donc implanter son nouveau centre d’entraînement sur un terrain de 60 ha situé au nord de la forêt de Saint-Germain, en bordure de l’étang du Corra, de la nationale 184 et proche de la Seine. Il s’agit d’anciennes terres d’épandage appartenant à la Ville de Paris, en jachère depuis plusieurs décennies. Sur cet espace, le club veut loger ses joueurs professionnels, son centre de formation et ses équipes amateurs (les féminines resteraient au camp des Loges) avec treize terrains de foot, dont un couvert, un centre médical, deux stades avec tribunes et des hébergements.
Une enveloppe de 50 millions
Une réunion technique s’est tenue mardi sur la zone entre des représentants du club, de bureaux d’études et des communes de Saint-Germain et de Paris. Il s’agissait pour les différentes parties de connaître les caractéristiques du lieu en matière d’inondations et de pollution, et de savoir dans quelle mesure elles étaient gênantes pour le projet du PSG. Deux récentes études, menées par les services techniques de la Ville de Paris et le syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglomération parisienne (SIAAP), ont conclu que les terres visées par le PSG n’étaient pas trop polluées : 15% de la superficie seulement, selon certaines sources, avec essentiellement des traces de métaux lourds et de PCB (polychlorobiphényles). Le risque principal consiste en des remontées d’odeurs lors de pluies importantes.
Aujourd’hui, le PSG souhaite savoir combien de temps durera la dépollution et quel en sera le coût. Des négociations entre les villes de Paris et de Saint-Germain sont en cours pour savoir à qui incombera cette dépense. « Nous aimerions aller plus vite sur ce dossier mais nous avons du mal, confirme Jean-Claude Blanc, le directeur général délégué du Paris Saint-Germain. Cela prend du temps car techniquement, c’est un dossier compliqué. Nous entrons aussi dans une période politique pas facile avec les élections municipales. Nous ne voulons mettre personne en difficulté ni que cela devienne un argument électoral. Donc, il n’y a plus de calendrier. » En privé, la direction parisienne aimerait néanmoins finaliser cette question d’ici la fin de l’année. « On a aussi perdu du temps parce qu’à un moment, on s’est concentrés uniquement sur Versailles en abandonnant les autres pistes et ça a capoté », avoue un salarié du club, au courant du dossier.
Le PSG a prévu une enveloppe de 50 M€ pour acquérir les terrains, une fois qu’ils seront dépollués. Si un accord est trouvé, la Ville de Paris vendra ses terrains à celle de Saint-Germain, qui les cédera ensuite au club parisien. A charge pour la commune yvelinoise de modifier le plan local d’urbanisme et de réaliser les aménagements d’urbanisme nécessaires (accès routiers, etc.).
La direction du PSG aurait choisi un terrain de 60 ha au nord de l’actuel camp des Loges pour y installer son centre d’entraînement.
Et le vainqueur est… Saint-Germain. Rien n’est encore acté, mais après s’être penchée sur d’autres candidatures, la direction du PSG étudie de nouveau dans le détail le site proposé par la sous-préfecture des Yvelines pour remplacer l’actuel camp des Loges. Après des mois de silence, d’atermoiements et de revirements en coulisse, la donne a sensiblement évolué.
Au point qu’aujourd’hui, cette « candidature tient la corde » selon un connaisseur du dossier.
Si rien ne vient perturber les discussions en cours, le PSG devrait donc implanter son nouveau centre d’entraînement sur un terrain de 60 ha situé au nord de la forêt de Saint-Germain, en bordure de l’étang du Corra, de la nationale 184 et proche de la Seine. Il s’agit d’anciennes terres d’épandage appartenant à la Ville de Paris, en jachère depuis plusieurs décennies. Sur cet espace, le club veut loger ses joueurs professionnels, son centre de formation et ses équipes amateurs (les féminines resteraient au camp des Loges) avec treize terrains de foot, dont un couvert, un centre médical, deux stades avec tribunes et des hébergements.
Une enveloppe de 50 millions
Une réunion technique s’est tenue mardi sur la zone entre des représentants du club, de bureaux d’études et des communes de Saint-Germain et de Paris. Il s’agissait pour les différentes parties de connaître les caractéristiques du lieu en matière d’inondations et de pollution, et de savoir dans quelle mesure elles étaient gênantes pour le projet du PSG. Deux récentes études, menées par les services techniques de la Ville de Paris et le syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglomération parisienne (SIAAP), ont conclu que les terres visées par le PSG n’étaient pas trop polluées : 15% de la superficie seulement, selon certaines sources, avec essentiellement des traces de métaux lourds et de PCB (polychlorobiphényles). Le risque principal consiste en des remontées d’odeurs lors de pluies importantes.
Aujourd’hui, le PSG souhaite savoir combien de temps durera la dépollution et quel en sera le coût. Des négociations entre les villes de Paris et de Saint-Germain sont en cours pour savoir à qui incombera cette dépense. « Nous aimerions aller plus vite sur ce dossier mais nous avons du mal, confirme Jean-Claude Blanc, le directeur général délégué du Paris Saint-Germain. Cela prend du temps car techniquement, c’est un dossier compliqué. Nous entrons aussi dans une période politique pas facile avec les élections municipales. Nous ne voulons mettre personne en difficulté ni que cela devienne un argument électoral. Donc, il n’y a plus de calendrier. » En privé, la direction parisienne aimerait néanmoins finaliser cette question d’ici la fin de l’année. « On a aussi perdu du temps parce qu’à un moment, on s’est concentrés uniquement sur Versailles en abandonnant les autres pistes et ça a capoté », avoue un salarié du club, au courant du dossier.
Le PSG a prévu une enveloppe de 50 M€ pour acquérir les terrains, une fois qu’ils seront dépollués. Si un accord est trouvé, la Ville de Paris vendra ses terrains à celle de Saint-Germain, qui les cédera ensuite au club parisien. A charge pour la commune yvelinoise de modifier le plan local d’urbanisme et de réaliser les aménagements d’urbanisme nécessaires (accès routiers, etc.).
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Emmanuel Lamy : « La meilleure solution »
Le maire de Saint-Germain-en-Laye attend la décision de la direction du PSG. Les dernières nouvelles doivent le rassurer, mais Emmanuel Lamy se veut prudent sur ce sujet.
Le futur centre d’entraînement du PSG devrait rester à Saint-Germain-en-Laye, vous devez être ravi…
Emmanuel Lamy. Je vais annoncer officiellement, d’ici quelques semaines, ma candidature à la mairie de Saint-Germain-en-Laye. Dans le contexte actuel tendu, je redoute que le dossier du PSG perde son aspect sportif pour prendre une autre tournure en raison de la nationalité de son actionnaire, le Qatar, et de la polémique sur le Mondial 2022.
Le maintien du PSG dans votre ville serait-il un succès personnel ?
J’ai toujours souhaité que le PSG reste et j’ai toujours pensé que c’était la meilleure solution. Si ce que vous dites est vrai, tant mieux et finalement, je ne serais pas trop surpris. Comme depuis le début, je reste prudent sur ce dossier.
Vous devez bien avoir des relations avec le PSG sur ce sujet, avec Jean-Claude Blanc notamment…
Oui, on se parle en effet mais le club a d’autres dossiers à régler avant celui-là. Le sujet du futur camp des Loges ne devra pas être parasité par des éléments extérieurs, notamment la campagne des municipales. Il doit être traité sous l’aspect sportif.
Le maire de Saint-Germain-en-Laye attend la décision de la direction du PSG. Les dernières nouvelles doivent le rassurer, mais Emmanuel Lamy se veut prudent sur ce sujet.
Le futur centre d’entraînement du PSG devrait rester à Saint-Germain-en-Laye, vous devez être ravi…
Emmanuel Lamy. Je vais annoncer officiellement, d’ici quelques semaines, ma candidature à la mairie de Saint-Germain-en-Laye. Dans le contexte actuel tendu, je redoute que le dossier du PSG perde son aspect sportif pour prendre une autre tournure en raison de la nationalité de son actionnaire, le Qatar, et de la polémique sur le Mondial 2022.
Le maintien du PSG dans votre ville serait-il un succès personnel ?
J’ai toujours souhaité que le PSG reste et j’ai toujours pensé que c’était la meilleure solution. Si ce que vous dites est vrai, tant mieux et finalement, je ne serais pas trop surpris. Comme depuis le début, je reste prudent sur ce dossier.
Vous devez bien avoir des relations avec le PSG sur ce sujet, avec Jean-Claude Blanc notamment…
Oui, on se parle en effet mais le club a d’autres dossiers à régler avant celui-là. Le sujet du futur camp des Loges ne devra pas être parasité par des éléments extérieurs, notamment la campagne des municipales. Il doit être traité sous l’aspect sportif.
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Les autres candidats sans nouvelles
Elles étaient cinq au départ. Cinq villes des Yvelines, dont Saint-Germain-en-Laye, à s’être portées candidates pour accueillir le nouveau centre d’entraînement du PSG. Soucieux de se faire une idée de la solidité des dossiers, le président Nasser al-Khelaifi avait d’ailleurs inspecté ces cinq sites en décembre 2012.
« Mais, depuis, c’est un silence de mort, déplore le maire UMP de Montesson, Jean-François Bel, qui propose un terrain de 30 ha avec une extension de 15 ha. Le club n’a jamais répondu à notre candidature, donc, pour moi, le dossier est enterré. »
Même son de cloche du côté de la base de loisirs de Saint-Quentin-en-Yvelines. « Je comprends que ce ne soit pas leur priorité, mais les dirigeants auraient pu envoyer un courrier pour nous avertir », indique un responsable du projet. Carrières-sur-Seine ne nourrit guère plus d’illusions, mais fait mine d’entretenir la flamme de l’espoir. « On n’a pas eu de contact récent et on sait que nous ne sommes pas dans la boucle. Mais on est toujours candidats si le PSG revenait à considérer notre dossier. Notre foncier est toujours disponible (30 ha) », avance-t-on au cabinet du maire.
Poissy hors jeu
La candidature de Poissy, un temps au coude-à-coude avec Saint-Germain-en-Laye, apparaît également mal en point. La région doit voter aujourd’hui son schéma directeur (Sdrif) qui doit maintenir la zone de 50 ha en terres agricoles. « Le président de la région (NDLR : Jean-Paul Huchon) s’est engagé à ne pas requalifier ces terrains en zone de loisirs constructible », se félicite Patrick Febvret, responsable juridique et foncier de la chambre interdépartementale d’agriculture d’Ile-de-France. Ce dernier avait promis un « Notre-Dame-des-Landes » aux dirigeants du PSG si ces derniers avaient élu domicile sur les terrains de Poissy. De quoi refroidir les prétentions parisiennes.
Mamy Andriamasomanana, le directeur de cabinet du maire de Poissy, en convient. « Si la région ôte la pastille orange (NDLR : qui requalifie les terres agricoles en terres constructibles), ce serait le début de la fin », avoue-t-il.
Enfin Versailles qui n’a pas officiellement déposé de dossier aurait préféré se retirer de la course. Le maire, François de Mazières (UMP), dément tout contact avec le PSG, mais, en réalité, il n’aurait pas voulu s’exposer à d’éventuelles critiques à quelques mois des élections municipales.
Elles étaient cinq au départ. Cinq villes des Yvelines, dont Saint-Germain-en-Laye, à s’être portées candidates pour accueillir le nouveau centre d’entraînement du PSG. Soucieux de se faire une idée de la solidité des dossiers, le président Nasser al-Khelaifi avait d’ailleurs inspecté ces cinq sites en décembre 2012.
« Mais, depuis, c’est un silence de mort, déplore le maire UMP de Montesson, Jean-François Bel, qui propose un terrain de 30 ha avec une extension de 15 ha. Le club n’a jamais répondu à notre candidature, donc, pour moi, le dossier est enterré. »
Même son de cloche du côté de la base de loisirs de Saint-Quentin-en-Yvelines. « Je comprends que ce ne soit pas leur priorité, mais les dirigeants auraient pu envoyer un courrier pour nous avertir », indique un responsable du projet. Carrières-sur-Seine ne nourrit guère plus d’illusions, mais fait mine d’entretenir la flamme de l’espoir. « On n’a pas eu de contact récent et on sait que nous ne sommes pas dans la boucle. Mais on est toujours candidats si le PSG revenait à considérer notre dossier. Notre foncier est toujours disponible (30 ha) », avance-t-on au cabinet du maire.
Poissy hors jeu
La candidature de Poissy, un temps au coude-à-coude avec Saint-Germain-en-Laye, apparaît également mal en point. La région doit voter aujourd’hui son schéma directeur (Sdrif) qui doit maintenir la zone de 50 ha en terres agricoles. « Le président de la région (NDLR : Jean-Paul Huchon) s’est engagé à ne pas requalifier ces terrains en zone de loisirs constructible », se félicite Patrick Febvret, responsable juridique et foncier de la chambre interdépartementale d’agriculture d’Ile-de-France. Ce dernier avait promis un « Notre-Dame-des-Landes » aux dirigeants du PSG si ces derniers avaient élu domicile sur les terrains de Poissy. De quoi refroidir les prétentions parisiennes.
Mamy Andriamasomanana, le directeur de cabinet du maire de Poissy, en convient. « Si la région ôte la pastille orange (NDLR : qui requalifie les terres agricoles en terres constructibles), ce serait le début de la fin », avoue-t-il.
Enfin Versailles qui n’a pas officiellement déposé de dossier aurait préféré se retirer de la course. Le maire, François de Mazières (UMP), dément tout contact avec le PSG, mais, en réalité, il n’aurait pas voulu s’exposer à d’éventuelles critiques à quelques mois des élections municipales.
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Sirigu incertain, Ibra s’est entraîné
Et si Salvatore Sirigu ne gardait pas les buts parisiens demain? En effet, le gardien italien s’est fait mal au genou hier après-midi lors de la séance d’entraînement. Il a ressenti une douleur et a reçu des soins jusque vers 19 heures. Sirigu est donc incertain pour la réception de Bastia demain, à 17 heures, au Parc. Un point sera fait aujourd’hui sur sa capacité ou non à tenir sa place.
Quant à Zlatan Ibrahimovic, touché au genou lui aussi la semaine passée, il s’est entraîné à part avec un préparateur physique. Arrivé vers midi au centre d’entraînement, le Suédois a été longuement soigné avant et après la séance. Incertain mercredi, Ibra pourrait être déclaré apte pour la réception du club corse.
Zlatan Ibrahimovic a du cœur. L’attaquant parisien a profité de la trêve internationale pour répondre à l’enfant bosnien âgé de 8 ans atteint d’une leucémie qui avait manifesté le souhait de le rencontrer. Ibra a posté mardi une vidéo sur Internet où il s’adresse en serbo-croate au jeune garçon en fin de vie. « Salut, Hajrudin, c’est Zlatan. Depuis que j’ai entendu parler de toi, j’ai beaucoup pensé à toi, lui dit-il. Je suis désolé de ne pas pouvoir venir, mais j’ai un cadeau pour toi. Je t’ai dédicacé un maillot. Je te donnerai aussi celui que j’ai porté contre Benfica, quand j’ai marqué deux buts. Et je veux que tu saches que je pense beaucoup à toi. »
Et si Salvatore Sirigu ne gardait pas les buts parisiens demain? En effet, le gardien italien s’est fait mal au genou hier après-midi lors de la séance d’entraînement. Il a ressenti une douleur et a reçu des soins jusque vers 19 heures. Sirigu est donc incertain pour la réception de Bastia demain, à 17 heures, au Parc. Un point sera fait aujourd’hui sur sa capacité ou non à tenir sa place.
Quant à Zlatan Ibrahimovic, touché au genou lui aussi la semaine passée, il s’est entraîné à part avec un préparateur physique. Arrivé vers midi au centre d’entraînement, le Suédois a été longuement soigné avant et après la séance. Incertain mercredi, Ibra pourrait être déclaré apte pour la réception du club corse.
Zlatan Ibrahimovic a du cœur. L’attaquant parisien a profité de la trêve internationale pour répondre à l’enfant bosnien âgé de 8 ans atteint d’une leucémie qui avait manifesté le souhait de le rencontrer. Ibra a posté mardi une vidéo sur Internet où il s’adresse en serbo-croate au jeune garçon en fin de vie. « Salut, Hajrudin, c’est Zlatan. Depuis que j’ai entendu parler de toi, j’ai beaucoup pensé à toi, lui dit-il. Je suis désolé de ne pas pouvoir venir, mais j’ai un cadeau pour toi. Je t’ai dédicacé un maillot. Je te donnerai aussi celui que j’ai porté contre Benfica, quand j’ai marqué deux buts. Et je veux que tu saches que je pense beaucoup à toi. »
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Zlatan offre son maillot au jeune Bosnien malade
Zlatan Ibrahimovic a du coeur. Le joueur a répondu à l'enfant bosnien atteint d'une leucémie qui avait manifesté le souhait de rencontrer la star du PSG. Ce dernier a posté mardi soir une vidéo sur internet où il s'adresse, face caméra, au jeune garçon en fin de vie.
«Salut Hajrudin, c'est Zlatan. Depuis que j'ai entendu parler de toi, j'ai beaucoup pensé à toi, lui dit-il en fixant la caméra. Je suis désolé de ne pas pouvoir venir, mais j'ai un cadeau pour toi. Je t'ai dédicacé un maillot. Je te donnerai aussi celui que j'ai porté contre Benfica, quand j'ai marqué deux buts. Et je veux que tu saches que je pense beaucoup à toi.»
Atteint par la leucémie en 2007, l'enfant de 8 ans a été soigné durant trois ans en Allemagne, où il a subi trois greffes de moelle osseuse. Avant de rentrer chez lui, en Bosnie, à la fin du mois de septembre. C'est au début du mois suivant que sa mère a fait connaître la volonté de son fils de rencontrer son idole via une vidéo publiée par l'association Light for tomorrow. «Les médecins lui ont donné encore quatre semaines à vivre. Il rêve depuis longtemps de rencontrer Ibrahimovic et d'assister à l'un de ses matches. Ce que je veux le plus au monde, c'est qu'il puisse le réaliser», déclarait un peu plus tard sa mère, Amela Kamenjas, au quotidien local Dnevni Avaz.
Interrogé sur cette éventualité à l'issue de la victoire face à Benfica (3-0), Ibrahimovic né d'un père bosnien avait répondu. «Je vais voir ce que je peux faire pour lui».
Zlatan Ibrahimovic a du coeur. Le joueur a répondu à l'enfant bosnien atteint d'une leucémie qui avait manifesté le souhait de rencontrer la star du PSG. Ce dernier a posté mardi soir une vidéo sur internet où il s'adresse, face caméra, au jeune garçon en fin de vie.
«Salut Hajrudin, c'est Zlatan. Depuis que j'ai entendu parler de toi, j'ai beaucoup pensé à toi, lui dit-il en fixant la caméra. Je suis désolé de ne pas pouvoir venir, mais j'ai un cadeau pour toi. Je t'ai dédicacé un maillot. Je te donnerai aussi celui que j'ai porté contre Benfica, quand j'ai marqué deux buts. Et je veux que tu saches que je pense beaucoup à toi.»
Atteint par la leucémie en 2007, l'enfant de 8 ans a été soigné durant trois ans en Allemagne, où il a subi trois greffes de moelle osseuse. Avant de rentrer chez lui, en Bosnie, à la fin du mois de septembre. C'est au début du mois suivant que sa mère a fait connaître la volonté de son fils de rencontrer son idole via une vidéo publiée par l'association Light for tomorrow. «Les médecins lui ont donné encore quatre semaines à vivre. Il rêve depuis longtemps de rencontrer Ibrahimovic et d'assister à l'un de ses matches. Ce que je veux le plus au monde, c'est qu'il puisse le réaliser», déclarait un peu plus tard sa mère, Amela Kamenjas, au quotidien local Dnevni Avaz.
Interrogé sur cette éventualité à l'issue de la victoire face à Benfica (3-0), Ibrahimovic né d'un père bosnien avait répondu. «Je vais voir ce que je peux faire pour lui».
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Marquinhos : «Jouer la Coupe du monde, ce serait extraordinaire»
Transféré cet été en provenance de l'AS Rome pour 31,4 millions d'euros, Marquinhos, le jeune défenseur central s'est exprimé jeudi après-midi en conférence de presse à propos de ses premiers pas au PSG (2 buts en championnat et un en ligue des champions).
«Les débuts étaient très difficiles pour moi, a-t-il expliqué. Je suis arrivé à court de forme, je n'étais pas à 100% mais j'ai pu compter sur le soutien du staff et du club pour planifier ma récupération. Maintenant, je me sens bien physiquement et mentalement mais j'ai encore une grande marge de progression. Il faut juste continuer à bien travailler».
Interrogé ensuite sur ses chances d'intégrer la sélection brésilienne pour la Coupe du monde en juin prochain, Marquinhos n'a pas botté en touche. Bien au contraire. «Je ne m'interdis pas de rêver à la Coupe du monde, a-t-il répondu. C'est possible, je dois croire en moi. Jouer la Coupe du monde au Brésil chez moi, ce serait extraordinaire. Pour y arriver, je dois faire de mon mieux pour retenir l'attention du staff de la Seleçao. J'ai la chance de jouer dans une équipe comme le PSG qui est composée de plusieurs joueurs de l'équipe nationale. Donc j'ai grâce à eux une bonne visibilité. A moi d'en profiter».
Transféré cet été en provenance de l'AS Rome pour 31,4 millions d'euros, Marquinhos, le jeune défenseur central s'est exprimé jeudi après-midi en conférence de presse à propos de ses premiers pas au PSG (2 buts en championnat et un en ligue des champions).
«Les débuts étaient très difficiles pour moi, a-t-il expliqué. Je suis arrivé à court de forme, je n'étais pas à 100% mais j'ai pu compter sur le soutien du staff et du club pour planifier ma récupération. Maintenant, je me sens bien physiquement et mentalement mais j'ai encore une grande marge de progression. Il faut juste continuer à bien travailler».
Interrogé ensuite sur ses chances d'intégrer la sélection brésilienne pour la Coupe du monde en juin prochain, Marquinhos n'a pas botté en touche. Bien au contraire. «Je ne m'interdis pas de rêver à la Coupe du monde, a-t-il répondu. C'est possible, je dois croire en moi. Jouer la Coupe du monde au Brésil chez moi, ce serait extraordinaire. Pour y arriver, je dois faire de mon mieux pour retenir l'attention du staff de la Seleçao. J'ai la chance de jouer dans une équipe comme le PSG qui est composée de plusieurs joueurs de l'équipe nationale. Donc j'ai grâce à eux une bonne visibilité. A moi d'en profiter».
Le Parisien.fr