Ok merci beaucoup, je me disais bien que devait y avoir un truc dans le genre

Tant mieux pour le foot français qu'on envoit Bordeaux plutôt que Quevilly, en espérant qu'ils ne fassent pas un parcours à la Rennes.

Et depuis le temps que je rêvais de voir Lyon jouer l'europa league

Tant mieux que Bordeaux se soit qualifié, Rennes une nouvelle fois ça aurait été moche.
Mine de rien Gillot confirme tout le bien qu'on pensait de lui, il récupère un club en ruine suite au combo blanc/tigana, débute la saison de manière catastrophique, puis finit en boulet de canon en ayant imposé son fond de jeu, pas mal pour une première saison. Sur la deuxième partie, ils empochent 38 points, soit autant que Lille et seulement 1 point de moins que Paris.
S'ils gèrent pas trop mal leur mercato d'été je les vois bien chercher une 3ième place l'an prochain.

Les Lyonnais sanctionnés après avoir tenu des propos injurieux envers l'ASSE

Réunie à Paris ce lundi 21 mai, la Commission de première instance du Conseil National de l'Ethique (CNE) a pris la décision de sanctionner les joueurs de l'Olympique Lyonnais qui avaient célébré leur victoire en Coupe de France avec une chanson injurieuse pour l'AS saint-Etienne. La Fédération française de football l'a annoncé cet après-midi.

Jimmy Briand, Cris, Gueïda Fofana, Maxime Gonalons, Clément Grenier, Alexandre Lacazette, Anthony Lopes et Samuel Umtiti ont été sanctionnés d'un match de suspension avec sursis et cinq mille euros d'amende pour avoir tenu des propos injurieux envers les supporters stéphanois lors de la présentation de la Coupe de France à l'Hôtel de Ville de Lyon, le 29 avril. Une vidéo sur laquelle on les voit chanter a permis d'indentifier les fautifs.

Francesoir.fr

Un match avec sursis, ça va ils sont large.

Vivement que Thiago Motta pourisse l'OM au micro l'année prochaine à la même date.

Taiwo, il avait bien pris un match ferme pour la même chose non??

Puel avec Letizi

Claude Puel sera sans doute officiellement niçois jeudi après une année sabbatique. Il reste à fixer la durée du contrat qui pourrait être de trois ans.

Puel viendrait dans un premier temps seul puis constituera ensuite un staff dans lequel devrait notamment figurer Lionel Letizi comme coach des gardiens. Puel aura du pain sur la planche puisqu'il lui faut rebâtir une bonne partie de l'équipe et compenser notamment la perte probable du meilleur joueur niçois cette saison, Mounier.

Il va falloir recruter malin, car Nice n'aura pas pour l'instant de moyens supplémentaires, même si des représentants du cheikh Mansour, propriétaire de Manchester City, auraient approché le club récemment. Non maintenu en poste, René Marsiglia a été pour sa part reçu mercredi après-midi par son président Jean-Pierre Rivière pour se voir proposer une autre mission. A priori, sans l'accepter.

«Mon aventure avec l'OGC Nice s'arrête là, a déclaré Marsiglia à la sortie de son rendez-vous. Je préfère prendre du recul avant d'en reparler.» Le manager général Eric Roy, dont la situation est incertaine, fera finalement le point avec son président début juin.

Ca va respirer la joie de vivre à l'entrainement

LIGUE 1 - ASSE - RETRAITE DE LAURENT BATLLES

Entre la crête de Loulou Nicollin, les incidents à Auxerre et le départ d'Eden Hazard, le dénouement de la ligue 1 version 2011-2012 a laissé peu de place à l'hommage que méritait Laurent Batlles, qui a pris sa retraite après 19 ans de professionnalisme. Tentative de réhabilitation.

Alors que le Calcio dit au revoir à Alessandro Nesta, Filippo Inzaghi ou Alessandro Del Piero, la Ligue 1 s'est contentée de la dernière de Laurent Batlles. Les grincheux diront qu'on a les icones qu'on mérite, les autres, sans doute avec justesse, salueront un joueur qui a marqué le football français pendant 19 ans. Car, malgré un relatif manque de notoriété, le désormais ex-milieu de terrain stéphanois reste un des vrais bons joueurs français de ces dernières années. Batlles débute à Toulouse lors de la saison 1993-1994, il y a un sacré bail. À l'époque où François Mitterrand est encore président de la République et le PSG champion de France. Ensuite il ira traîner ses guêtres à Bordeaux, Rennes, Bastia, Marseille, Grenoble et enfin Saint-Étienne. Le tout pour 467 matchs de Ligue 1, bilan définitif. Lolo a donc écumé l'Hexagone en long, en large et en travers. Et, partout, il a laissé un bon souvenir, comme le souligne son pote et ex-coéquipier à Rennes, Olivier Echouafni : « Laurent, c'est un joueur comme il n'y en a plus beaucoup aujourd'hui. Il a toujours eu un état d'esprit parfait, avec un grand respect du maillot et des supporters. La preuve, c'est que partout où il est passé, il a laissé une très bonne image. Il a fait une grande carrière. 19 ans au plus haut niveau, cela n'est pas donné à tout le monde. »

Les qualités techniques d'un gaucher

Un état d'esprit parfait, certes, mais qui ne suffit pas à s'imposer au plus haut niveau du football français, Brandao en est témoin. Si le milieu de terrain formé à Toulouse s'est imposé partout, c'est aussi grâce à une technique individuelle au-dessus de la moyenne, Echouafni arrose encore: « Lolo, c'est un droitier qui possède les qualités d'un gaucher en termes de finesse, de précision, et puis il a aussi une très belle vision du jeu. » Steve Marlet, son coéquipier à Marseille lors de ce qui fut sans doute la meilleure saison de Batlles, en 2004-2005, confirme: « Il a ce petit coup de patte qui fait plaisir. Je me rappelle de ce but magnifique qu'il a mis contre Toulouse , et puis techniquement il était vraiment à l'aise. Il a une bonne qualité de passes et la vision de jeu qui va avec. Il voyait bien comment jouait chacun de ses partenaires et savait adapter son jeu à leurs qualités. »

Génération désenchantée

Un maestro en somme, un type qu'on a souvent comparé à Zidane : ressemblance physique, même démarche indolente et même facilité technique. Batlles n'aura pourtant jamais eu sa chance en équipe de France. Sans doute parce qu'il est né au mauvais moment, le Nantais d'origine fait partie de cette génération de joueurs "victimes" de l'extraordinaire succès de la sélection au tournant du millénaire. C'est, en tout cas, ce que pense Steve Marlet : « Il n'était pas loin de l'équipe de France, il était même au niveau, je pense, mais nous sommes de la même génération et, entre 2000 et 2006, il y avait énormément de monde à son poste, et il n'a pas pu avoir cette reconnaissance. Il fait partie de cette "génération" un peu sacrifiée, à l'image de Jérôme Leroy ou de quelques autres. » Echouafni, goguenard, ne dit pas autre chose : « Si moi, je ne pouvais pas être en équipe de France, lui ne pouvait pas y être non plus! Plus sérieusement, à ce poste-là, il y avait énormément de monde, donc il aurait certainement mérité une sélection, mais il y avait des joueurs de classe mondiale qui étaient au-dessus. Mais on est pas aigris. Laurent comme moi, on a contribué à la réussite du football français, on a fait partie de ce championnat qui a permis à des joueurs d'émerger et d'être champions d'Europe et du Monde. »

Un mélange de Zidane et d'Élie Baup

Pas de regrets donc pour celui qui, en plus de ressembler à Zidane, a également un point commun avec Élie Baup, selon Echouafni: « Il ressemble à deux personnes : dans le profil, sa manière de jouer, à Zidane et, dans sa façon de parler, à Élie Baup. » « À Marseille, j'imitais toujours sa voix particulière, ça lui foutait les boules », ajoute Steve Marlet. Malgré ses cordes vocales étranges, celui qui va désormais intégrer la cellule de recrutement stéphanoise aura marqué la Ligue 1. Samedi dernier, à Bordeaux, il a reçu un hommage mérité de la part de ses partenaires qui arboraient à l'échauffement un T-shirt floqué du numéro 10 avec, sur le devant, ses années de début et de fin de carrière (93-2012). Pour son pot de départ, il a même versé quelques larmes.

JALLET : Excellent footballeur, très créatif et plus à l'aise offensivement que défensivement, ce qui explique sans doute pourquoi il n'est pas dans l'équipe-type A et surtout pourquoi il n'a pas été appelé chez les Bleus. Ca et le fait qu'il a été pas mal trimballé cette saison, avec notamment plusieurs matchs en milieu droit. Ce qui est sûr, c'est qu'Ancelotti l'apprécie et peut compter sur lui.

PASTORE : L'Argentin est un cas d'espèce. On peut découper sa saison en 3 parties : 2 premiers mois exceptionnels, 2 mois fantomatiques et le reste du temps entre le moyen et le médiocre. Et malgré ça, il pond une feuille de stats à 13 buts et 5 passes décisives ! Qu'est-ce que ce sera quand il sera simplement moyen sur toute une saison ? Il est doté d'une grande adresse devant le but et est capable de sortir des gestes de très haut niveau. Quand il sera vraiment acclimaté à Paris (d'après ce que je sais il a été un peu paumé par l'immensité de la capitale à son arrivée), il fera très mal.

NENE : Meilleur buteur ex-aequo du championnat (allez demander à Messi ou CR7 si c'est si facile de marquer un pénalty) en ne jouant pas attaquant, le Brésilien a sans doute réalisé la saison la plus aboutie de sa carrière. Car cette fois, il a été constant du début à la fin. Après bon, on le connaît Nene : au moindre coup de vent il est par terre, ses excès d'individualisme coûtent parfois des buts tout faits et il a encore montré quelques facettes de son caractère de cochon. Mais aujourd'hui, quel club de Ligue 1 n'aurait pas envie d'avoir dans son effectif un mec qui plante 20 buts et fait 10 passes décisives ?

MENEZ : Sur les deux derniers mois, c'est le meilleur. Je suis sidéré par sa vitesse de course balle au pied. Parfois j'ai même l'impression qu'il va plus vite avec que sans ! Sa feuille de stats (7 buts, 12 passes) est plus que correcte et s'il continue sur la même dynamique avec les Bleus, il pourrait être l'énorme révélation de l'Euro. Je l'imagine bien faire la misère à la défense anglaise, par exemple...

Sirigu il leur a tous violé leur fille c'est pas possible

Parce que je veux qu'il ait baissé de pied les derniers mois et qu'il soit perfectible dans le jeu aérien, mais il explose Lloris cette saison et Elana a beau être spectaculaire sur certains arrêts, c'est tout sauf un cador.

Alors vous allez me parler de Sirigu. Oui, mais si la première partie de saison de l'Italien a été irréprochable, la seconde a été nettement moins rassurante.

En première partie de saison il a été exceptionnel. En seconde très bon.
Il paye un peu le fait d'avoir été trop bon une partie de saison, comme Nenê l'an dernier.

Sirigu nous coute des points sur la phase retour notamment à Nancy, contre Monpellier, à Lyon...Bref il a été moyen bon en deuxième partie de saison. Mais rien que pour la première partie il merite au moins la médaille d'argent.

Du coup aux yeux de Ménès il vaut mieux être moyen toute la saison que bon au début puis moyen après. Logique