Il a raison car il a été très moyen cette saison, ce soir encore aucun intérêt.

Comment elle prend cher la Alonso

En même temps, on sait tous qu'elle est reçu en sa qualité de copine de Ruquier, parceque son actualité ...

J'attaque la vidéo avec Alonso et un énorme SCUD part au bout de 10 secondes.

Lien?

C'était délicieux, dommage qu'ils quittent l'émission, je la regardais limite que pour eux (un peu selon les invités aussi mais moins important). Ca sent le sapin pour cette émission, j'annonce qu'elle sera arrêtée pour la rentrée de janiver 2012.

Avant ça m'étonnerait pas vu que l'émission perd tout intérêt avec ces 3 départs. J'ai du mal à comprendre ruquier parce que si il croit que c'est lui qui faisait l'audience avec ses vieilles vannes d'enfant il va tomber de haut.

je trouve vraiment que vous avez la mémoire courte, avant on est pas couché, tout le monde en parle avait le même succès, avec un ton différent mais subversif aussi.
Pas de raison que ça continue pas avec d'autres chroniqueurs, je suis pas du tout inquiet pour ma part

je trouve vraiment que vous avez la mémoire courte, avant on est pas couché, tout le monde en parle avait le même succès, avec un ton différent mais subversif aussi.
Pas de raison que ça continue pas avec d'autres chroniqueurs, je suis pas du tout inquiet pour ma part

je trouve vraiment que vous avez la mémoire courte, avant on est pas couché, tout le monde en parle avait le même succès, avec un ton différent mais subversif aussi.

pas du tout le même public visé, pas le même concept et pas les mêmes horaires

Perso quand je tombe sur itélé ou je sais plus où passe zemmour avec son débat avec un autre gars, je trouve ça bien naze.

Oui donc autant ne plus parler de rien ou avoir 256 chroniqueurs
Qu'ils soient visés par son bouquin ou non ils peuvent avoir un avis et le donner. J'avoue ne pas comprendre le truc.
Donc on ne parle plus tant qu'on n'est pas "la cible"?
Le bouquin d'Alonso parle d'un élément de société: la place des femmes. Ca ne s'adresse pas qu'aux femmes.
Puis elle n'a alors qu'à réserver sa promo à des médias féminins alors.

Non ce que je dis c'est que quand on se sait ne pas être dans le public visé on évite de s'enflammer comme un fanboy déçu. Les types quelque soit l'oeuvre littéraire, musical ou cinématographique, ils te sortent un grand air genre expert en la matière et te déglingue l'auteur en s'appuyant avant tout sur ce qu'il représente.

Je dis pas qu'ils peuvent pas donner leur opinion mais quand tu vois encore une fois la critique ubuesque qu'ils font de Lady Gaga ou d'un rappeur, tu te dis ils auraient peut-être mieux faire de se faire plus discret. Sérieux, c'est un peu comme si la fouine devait donner son avis sur le concerto pour clarinette de Mozart et qu'il sort d'un air sérieux "c'est naze y a pas de couplet, y a pas de parole, ca fait pas danser, c'est pas engagé bref c'est ringard le classique, c'est une culture morte alors que dire de la clarinette."

Polonyk ta mère

Alonso je m'en contre fout mais encore une fois je ne suis pas sur que Naulleau et Zemmour soit le public visé par son bouquin. C'est un peu à l'image de Zemmour et Naulleau qui prend un air sérieux pour chier sur Lady Gaga (dont je n'apprécie pas particulièrement non plus au passage). Sérieux ce passage où ils disent d'elle qu'elle est gaga parce qu'elle se répète, que son morceau est pourri parce que c'est du niveau littéraire de de boys, boys, boys, qu'elle parle que de sexe et de drogue et qu'elle s'habille vraiment n'importe comment, c'est juste grotesque.

Polonyk ta mère

Une page se tourne, qu'on aime ou pas ce sera culte dans encore 10 ans...

Bien sûr la vidéo de groupie qui ne montre pas les moments où ils se font bien bâcher comme avec Karim Achoui qui s'est bien foutu de leurs gueules

Karim Achoui, bonjour la référence plus pourri que lui tu trouve pas

C'est vrai que Zemmour est un homme bon...

Karim Achoui, bonjour la référence plus pourri que lui tu trouve pas

Entretien avec le duo le plus redouté du PAF avant leur retour, en octobre, sur Paris Première


En octobre prochain, Eric Zemmour et Eric Naulleau prennent les commandes d'un nouveau magazine sur Paris première. Un défi pour les deux acolytes.


Ce tandem reconstitué ressemblera-t-il à celui de France 2 ?
Éric Naulleau : Nous éviterons de tomber dans ce qui existait. C'était une de nos conditions : lancer un nouveau concept.
Éric Zemmour : Éviter la parodie. C'est le bon mot.

Sur quoi la mécanique reposera-t-elle ?
E.N. : Nous sommes seuls aux commandes durant une heure pour passer l'actualité, y compris celle des réseaux sociaux, au crible avec des invités. Notre couple intervient dans une configuration nouvelle où je suis le maître de cérémonie garant du temps de parole quand Zemmour joue son rôle d'éditorialiste et d'aiguillon idéologique.
E.Z. : Sans Laurent Ruquier, la couleur sera différente. Personnellement, je souhaite que nous limitions nos invités aux politiques, aux littéraires et à certains témoins de la société. Ce sont les plus intéressants.

Serez-vous plus libres que chez Ruquier ?
E.N. : Nous n'étions pas brimés et nous avions une très grande liberté de parole, mais celle-ci était quand même canalisée par les angles de Ruquier. Notre influence sur la programmation était quasiment nulle. Cette fois, nous décidons !
E.Z. : Devenir les vrais patrons à bord est très séduisant. Le fait de pouvoir choisir des invités plus solides va aussi changer les choses. Nous recevrons des gens aux idéologies différentes, mais ils seront capables de les défendre. Ce qui n'était pas toujours le cas chez Ruquier...

On a eu parfois l'impression que votre ton s'était assagi avec le temps...
E.N. : On ne nous a jamais demandé d'y aller plus fort ou moins fort, mais il est vrai que j'avais parfois l'impression d'y aller avec le frein à main... Le deuxième phénomène, c'est qu'énormément de personnes refusaient de venir.
E.Z. : J'ajouterai un troisième point : les invités politiques étaient poussés, par leurs conseillers, à éviter tout conflit parce qu'ils avaient compris qu'ils n'avaient pas les moyens de nous affronter. Donc, ils tuaient volontairement le débat. Cette fois, nous n'inviterons pas ceux qui ont peur de l'affrontement.

Vous allez avoir du mal à trouver vos invités, non ?
E.N. : La liberté peut faire peur, mais, la différence fondamentale, c'est qu'il ne s'agit pas d'une émission de promotion. Chez Ruquier, certains invités nous reprochaient de ne pas leur cirer les pompes, comme si nous ne respections pas une sorte de cahier des charges. Cette fois, le contrat est clair : discuter de l'actu sans que ce soit un tir aux pigeons.
E.Z. : Ceux qui ne venaient pas étaient les acteurs et les chanteurs qui cherchaient la promotion. C'est pour cela qu'il ne faudra pas les inviter !

L'audience de Paris première n'est pas celle de France 2. Est-ce un problème ?
E.N. : Toutes les contraintes de ces antennes de la TNT sont pour moi des sources de satisfaction. Depuis longtemps, Paris première a donné à ses animateurs des gages de grande liberté.
E.Z. : Nous espérons que beaucoup de ceux qui nous regardaient sur France 2 [2 à 4 millions de téléspectateurs] nous suivront. C'est peut-être l'occasion de casser certaines habitudes des téléspectateurs.

La question de l'usure du tandem ne vous inquiète-t-elle pas ?
E.N. : Cela faisait partie des éléments de réflexion, mais ce changement de formule permet d'éviter une question qui se posera peut-être dans trois ou quatre ans. Pour l'instant, c'est une nouvelle aventure.
E.Z. : Il y a plus de raisons de conserver ce tandem que de vrai risque d'usure.