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Varino
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Thiago Silva prolonge… et Cabaye s’éloigne ?

COMME PRÉVU depuis près d’un mois ( L’Équipe du 29 juillet), Thiago Silva a officiellement prolongé son contrat d’un an, hier. Le défenseur central brésilien est désormais lié jusqu’au 30 juin 2018 au Paris-SG, où il percevra près de 12 M€ net d’impôts par an. Les discussions avec Zlatan Ibrahimovic, sous contrat jusqu’en 2015, n’ont pas encore abouti. Par ailleurs, la piste menant à Yohan Cabaye (27 ans) s’est « sensiblement refroidie » , selon un proche du dossier, alors que le PSG concurrençait encore récemment Arsenal sur le milieu international, sous contrat jusqu’en 2016 à Newcastle. « Plus aucune arrivée ne devrait être enregistrée d’ici à la fermeture du marché (le 2 septembre) » , soufflait-on, hier, à Paris, où on assure notamment que Gregory Van der Wiel va rester, ce qui mettrait a priori fin à la recherche d’un latéral droit. – J. T.

L'Equipe
Varino
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Sakho, le malaise enfle

Décidé à quitter le PSG à un an de la fin de son contrat, le défenseur traîne son spleen aux entraînements, attendant une offre concrète.


C’EST UNE TENSION qui s’étale moins sur la place publique que celle qui entoure la situation de Bafétimbi Gomis à Lyon. Mamadou Sakho n’est pas exclu du groupe du PSG, mais son cas n’en est pas moins épineux que celui de l’attaquant lyonnais. Le Sakho hilare et chambreur de l’après-titre en mai, le Sakho qui, il y a encore un mois, en Suède, se disait, dans un grand sourire, « très tranquille dans sa tête » , ce Sakho-là a disparu, laissant place à un visage fermé lors des huis clos de Clairefontaine. Laurent Blanc, hier, n’a pas cherché à nier le mal-être de l’ancien capitaine du PSG (23 ans, sous contrat jusqu’en 2014). « En ce moment, ce garçon ne doit pas se sentir très bien, admit le technicien parisien. Cette situation n’est facile ni pour lui, ni pour le club, ni pour l’entraîneur. J’espère qu’une solution qui conviendra à tout le monde sera trouvée, et rapidement… »

Olivier Létang, le directeur sportif adjoint, a été chargé de mener les discussions avec les conseillers du défenseur central, dont l’attitude commence à être un peu pointée du doigt en interne. « Refuser la concurrence n’est pas forcément la meilleure position à adopter » , glisse un familier du groupe. Déjà remué par l’arrivée de Thiago Silva l’an dernier – et ses affinités avec son compatriote Alex –, Sakho a été à nouveau fragilisé dans la hiérarchie des « centraux » par la récente signature d’un autre Brésilien, Marquinhos (19 ans), transféré de l’AS Rome pour 31,4 M€ (+ 3 M€ de bonus).

Le PSG se dit « ouvert » à l’idée de son départ mais rappelle qu’ « aucune offre n’est parvenue au siège du club » . De son côté, alors que Liverpool montre moins d’empressement sur le dossier, Sakho cultive l’espoir de rejoindre l’AC Milan. Le club italien, qui rêverait d’obtenir le Français en prêt, attend d’abord de garantir sa place en Ligue des champions, une issue encore incertaine dans l’attente de son barrage retour contre le PSV Eindhoven (aller : 1-1), mercredi prochain, à San Siro. Si Milan se qualifie, l’hypothèse Sakho devrait prendre de l’épaisseur. Dans le cas inverse, le brouillard pourrait s’épaissir à l’heure où le marché, qui fermera le 2 septembre, égrène ses derniers jours.

Dans un cas extrême, si Sakho devait rester, la question de sa prolongation jusqu’en 2016 se poserait à nouveau. Dans sa logique du moment, le joueur n’envisage pas vraiment d’étendre son bail avec son club formateur. Mais le PSG disposerait alors d’un autre levier : si l’international (14 sélections) ne prolongeait pas, il serait quasiment assuré… de ne pas jouer. Et de s’éloigner un peu plus de l’équipe de France, lui qui n’a pas été convoqué pour le match amical en Belgique (0-0, le 14 août) et qui redoute, plus que tout, de manquer l’éventuel train bleu pour la Coupe du monde. « Entre le joueur et le club, ce n’est pas la guerre » , tempèrent des proches du dossier. La guerre, peut-être pas. Mais assurément un sacré casse-tête.

JÉRÔME TOUBOUL (avsec D. D.)

L'Equipe
Varino
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Paris attend toujours des départs

Laurent Blanc a confirmé qu’il était toujours possible de voir arriver « un joueur, voire deux ». Mais Paris doit d’abord restreindre son groupe. Nice aimerait recruter Bodmer, mais son salaire pose problème. Sissoko prospecte en Turquie et en Angleterre où Stoke City le suit toujours.
Le cas Sakho est le plus épineux. Le défenseur souhaite un transfert définitif alors que le club préfère le prolonger avant de le prêter. « Ce n’est pas une période facile ni pour le joueur, ni pour le club, ni pour l’entraîneur, glisse Blanc. C’est compréhensible qu’il ne soit pas bien dans sa tête. » Deux clubs italiens dont l’AC Milan sont à l’affût, mais Sakho privilégie l’option Liverpool.

B.M.

Le Parisien
Varino
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DI MARIA PROPOSÉ ?

L’ARRIVÉE imminente du Gallois Gareth Bale à Madrid devrait provoquer le départ de l’ailier argentin Angel Di María. Son agent, qui est aussi celui de Thiago Silva, aimerait le placer au PSG. Le Real en réclame 34 millions d’euros. Le champion de France, comme l’a rappelé Laurent Blanc, veut d’abord dégraisser. Sissoko et Bodmer sont invités à partir. Mamadou Sakho aussi, pour qui le Milan AC pourrait formuler une offre une fois validée sa qualification en C1 ( mercredi). Interrogé sur de possibles renforts (Cabaye, Debuchy), Blanc précisait : « S’il nous reste du temps, alors on pourra réfléchir. » Fin du mercato le 2 septembre.

Le Journal du Dimanche
HHA
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L’AS Rome va faire une offre pour Sakho

Mamadou Sakho, qui n’était même pas sur la feuille de match hier soir, va-t-il remplacer Marquinhos à… l’AS Rome? Le club de la capitale italienne s’est positionné ce week-end pour obtenir la signature du défenseur parisien, 23 ans, qui souhaite toujours quitter le PSG. Rudi Garcia, le nouvel entraîneur romain, en a fait sa priorité.
Une offre officielle devrait du coup arriver aujourd’hui ou demain au siège du club parisien. Rome entend ainsi devancer l’AC Milan, lui aussi intéressé, mais qui attend d’être qualifié pour la phase de poules de Ligue des champions pour se manifester. Et Liverpool, qui est entré hier en contact avec le club parisien sans pour l’instant formuler d’offre.

Pour l’heure, le PSG refuse de fixer un prix pour un transfert de Sakho et n’accepterait éventuellement qu’un prêt sans option d’achat à condition que le joueur prolonge au moins jusqu’en… 2017! Si la proposition a du sens pour le club, elle en a moins du point de vue de Sakho, désormais barré par Thiago Silva, Alex et probablement Marquinhos qui n’a pas été recruté 35 M€ pour être remplaçant.

Ne pas donner l’impression de le brader

C’est justement le prix de ce dernier qui bloque le dossier Sakho. Aux yeux du club parisien, si le Brésilien Marquinhos vaut 35 M€, le défenseur français ne peut décemment pas coûter moins de 20 M€. Dans cette histoire, le PSG ne veut pas donner l’impression de brader son joueur. La guerre des nerfs est loin d’être terminée. Paris peut parfaitement retenir Sakho contre son gré jusqu’à la fin du mercato, fixé au 2 septembre. Mais, ensuite, c’est ce dernier qui aura l’avantage. Sous contrat jusqu’en juin 2014, il pourrait signer où il veut à partir du 1er janvier prochain sans que Paris touche un centime.


leparisien.fr
Varino
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La piste Cabaye relancée

Le refus de Newcastle de vendre le milieu français en Angleterre pourrait permettre au PSG de concrétiser l’arrivée de l’ancien Lillois.


DEPUIS QUELQUES JOURS, la direction parisienne balançait entre l’idée de se renforcer au milieu (et peut-être au poste de latéral droit) et celle de maintenir son effectif en l’état. Hier, c’était la première hypothèse qui tenait la corde. À une semaine de la clôture du mercato, le PSG pourrait, en effet, réactiver des pistes initiées par Leonardo au début de l’été, puis mises entre parenthèses depuis le départ du directeur sportif brésilien, au premier rang desquelles figure celle menant au milieu international français de Newcastle, Yohan Cabaye (27 ans, sous contrat jusqu’en 2016).

Jusqu’à hier, l’option Arsenal semblait la plus chaude pour l’ancien Lillois mais face au refus obstiné des Magpies de le céder à un concurrent anglais, celle du PSG a repris de l’épaisseur. D’un commun accord avec son entraîneur, Alan Pardew, (et non pas parce qu’il faisait grève comme certaines rumeurs l’ont prétendu outre-Manche), Cabaye n’a pas participé aux deux premiers matches de son équipe en Premier League. Mais il s’entraîne normalement avec le groupe et affiche une forme optimale.

Début juillet, Leonardo avait amorcé les contacts sur ce dossier, mais les avancées étaient liées à des départs. Celui de Clément Chantôme à Toulouse (en prêt) devrait bientôt être suivi de ceux de Mohamed Sissoko (Angleterre ?) et de Mathieu Bodmer (Nice ?), si ces deux joueurs, qui ont encore un an de contrat, trouvent un terrain d’entente avec le PSG.

Cela libérerait alors de la place dans le groupe de Laurent Blanc, un technicien qui qualifiait Cabaye de « joueur merveilleux », dans ces colonnes (L’Équipe du 8 juillet), en précisant : « Il nous intéresse. » Le départ de Mamadou Sakho (23 ans, lié jusqu’en 2014) est également d’actualité, même si le PSG attend toujours une offre concrète de Milan ou de Liverpool. Si le défenseur international quittait bien le club parisien, ce dernier pourrait songer à recruter à ce poste.

D. D.

L'Equipe
Varino
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Sakho, c’est plus de 15 millions !

Ça discute, à défaut de s’entendre. Ces deux derniers jours, l’AS Rome et Liverpool se sont manifestés directement auprès des dirigeants parisiens au sujet de Mamadou Sakho. Walter Sabatini, le directeur sportif du club romain, a eu Jean-Claude Blanc, le directeur général délégué du PSG, au téléphone pour lui demander si Paris accepterait le principe d’un transfert, voire d’un prêt avec option d’achat.

C’est ensuite Liverpool, intéressé depuis plusieurs mois par le défenseur, qui est venu s’enquérir de l’éventuel prix exigé par Paris. Les Anglais ont été un peu refroidis en s’entendant répondre un chiffre largement supérieur à… 15 M€. Une somme démesurée par rapport à la valeur d’un défenseur, certes international, mais à qui il ne reste qu’un an de contrat.

Si on excepte le Real Madrid, Monaco ou le PSG, capables d’investir des sommes colossales pour enrichir leurs effectifs, le marché des transferts est actuellement sclérosé. Le PSG sait parfaitement que Liverpool, ni aucun autre club, ne va miser plus de 8 M€ sur un joueur libre de s’engager gratuitement dans le club de son choix à partir du 1er janvier 2014.

L’AC Milan reste à l’affût

Rien ne dit que Liverpool, qui a la préférence du joueur, ne va pas revenir à la charge dans les prochains jours avec une offre bien en deçà des exigences parisiennes. Sans compter que l’AC Milan, en cas de qualification pour la phase finale de la Ligue des champions ce soir contre le PSV Eindhoven, devrait à son tour appeler le PSG pour connaître ses conditions. Mais, et Nasser al-Khelaifi l’a dit de vive voix à l’intéressé, le PSG ne veut pas vendre Sakho. La seule porte de sortie concédée, un prêt sans option d’achat, se heurte toujours au refus du défenseur de prolonger son contrat.

Le joueur, de son côté, vit assez mal la situation. Il n’a pas compris pourquoi Laurent Blanc l’avait envoyé en tribune dimanche à Nantes. L’entraîneur parisien lui a expliqué que ce n’était pas une sanction, mais qu’il l’estimait simplement trop préoccupé actuellement par sa situation. Il lui a répété qu’il n’était absolument pas exclu du groupe. Manifestement, tout le club parisien a envie de voir Sakho au PSG cette saison. Sauf lui.

CHRISTOPHE BÉRARD



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Le PSG a supervisé Ricardo Van Rhijn

A une semaine de la fin du mercato, l’opération dégraissage est au point mort. Faute d’avoir trouvé un accord avec Cardiff, Mohamed Sissoko discute actuellement avec Everton, un autre club de Premier League. Les autres pistes sérieuses conduisent l’ex-capitaine du PSG du côté de la Turquie. Quant à Mathieu Bodmer, son avenir passe aussi par un départ à l’étranger. Les propositions financières formulées par Bordeaux, Nice et Rennes n’étant pas à la hauteur de leurs attentes, ses conseillers prospectent en Angleterre. Sur le dossier des arrivées potentielles, le PSG étudie toujours la possibilité de recruter un arrière droit. Le Néerlandais Ricardo Van Rhijn (Ajax Amsterdam), 22 ans, la cible numéro 1 à ce poste, a d’ailleurs été supervisé par le staff parisien le week-end dernier. Pour Yohan Cabaye, la dernière tendance est à la confusion des sentiments. Les dirigeants de Newcastle se montrent inflexibles et gourmands vis-à-vis de leurs homologues d’Arsenal, qui ne proposent « que » 15 M€. Une stratégie pour faire sortir le PSG de sa réserve ? Pour l’instant, le club de la capitale n’a pas formulé d’offre pour Cabaye. De la même manière, le club parisien n’a adressé aucune proposition au FC Barcelone pour son attaquant Pedro, contrairement aux informations parues dans la presse espagnole

Le Parisien
Kaionedirection
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Liverpool accélère pour Sakho

Après avoir essuyé plusieurs refus de la part du PSG, les Reds ont décidé d’augmenter considérablement leur offre. Le club anglais serait prêt à proposer plus de 13 M€ pour enrôler le joueur. Il faut dire que Liverpool déplore la blessure de son défenseur central ivoirien Kolo Touré, touché à l’aine lors du match de League Cup face à Notts County.
Ce coup dur a incité les dirigeants anglais à mettre un peu plus de pression sur le PSG.

Obtenir plus de 13 M€ pour un joueur libre dans un an semble presque inespéré pour Paris. Certes, le club parisien n’a pas besoin d’argent mais, dans ce feuilleton Sakho, l’ambition du club est simple : ne pas donner l’impression de brader un défenseur symbole et formé au club. La réponse du PSG à la dernière proposition de Liverpool devrait intervenir aujourd’hui. Ce matin, les Reds semblent être les seuls à rêver de Mamadou Sakho. L’AS Rome ne peut pas offrir plus de 5 M€. Et l’AC Milan, qui préférerait un prêt, n’a pas autant d’argent que Liverpool à investir sur un défenseur central.


Le Parisien
Homer
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Sakho prêté à Milan ?

Alors que l'AS Rome aurait définitivement renoncé à Mamadou Sakho, l'AC Milan pourrait formuler une nouvelle offre pour le défenseur parisien, qui a révélé le 11 août ses envies de départ. Le PSG demanderait 15 millions d'euros pour le joueur mais le Milan, qui devrait en mettre 11 sur Alessandro Matri, n'aurait pas les moyens. Paris serait disposé à prêté Mamadou Sakho (sous contrat jusqu'en 2014) si le joueur accepte la prolongation de contrat proposé par le club.


L'Equipe.fr
alex94130
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Notamment convoité par la Roma et l’AC Milan, Mamadou Sakho pourrait bien atterrir à Liverpool. Les Reds et le Paris-SG seraient proches d’un accord, situé entre 16 et 18 millions d’euros, pour un transfert du défenseur. En manque de temps de jeu au PSG, Sakho (23 ans, sous contrat jusqu’au 30 juin 2014), a demandé à quitter son club formateur le 11 août dernier. Jeudi, il n'a pas été convoqué en équipe de France par Didier Deschamps.


http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/...n-accord/396910
HHA
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Blanc : « Il nous manque peut-être un joueur »

Blanc a lâché une petite phrase énigmatique hier en conférence de presse à l’évocation du mercato, côté renfort(s). « Notre effectif est équilibré, souligne l’entraîneur du PSG. Mais, si on regarde bien, il nous manque peut-être un joueur. Regardez bien, et vous verrez. » Ce n’est pas en défense où tous les postes sont doublés.

Pas en attaque où on ne peut pas vraiment dire qu’il manque un buteur. Les côtés posent problème, puisque Lucas déçoit et Ménez n’est pas là, mais Blanc pourrait parler d’un autre secteur : le cœur du jeu. Et songer à ces joueurs qui bonifient les autres, comme Mata (Chelsea), Fabregas (Barcelone), Cabaye (Newcastle) ou Özil (Real Madrid), tous plus ou moins sur le marché. Ce rôle incombe normalement à Pastore, mais il peine à le remplir. L’arrivée de Bale à Madrid pourrait pousser vers la sortie Özil et en faire l’attraction du mercato dans ses dernières heures. Réponse lundi.


leparisien.fr
Hari
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Pas de dernier coup

Le Paris Saint-Germain a envisagé de recruter un milieu de terrain créateur avant la fin du Mercato d'été. Mais au final, le club de la Capitale s'est juste séparé du duo Kebano-Moh.Sissoko…


Après avoir recruté Lucas Digne (Lille), Edinson Cavani (Naples) et Marquinhos (AS Rome), le Paris Saint-Germain a failli frapper un nouveau coup dans les dernières heures du Mercato d’été. Déçu par les prestations de l’Argentin Javier Pastore, qui aurait pu faire l’objet d’une offensive du Milan AC (en cas d’échec des négociations avec Kaka), le club de la Capitale a activé ses réseaux pour recruter un milieu de terrain créateur. Dans cette optique, les Parisiens étaient disposés à débourser quarante-cinq millions d’euros pour recruter Mesut Özil (24 ans), le meneur de jeu du Real Madrid, qui a finalement privilégié l’offre d’Arsenal (50 M€).

Özil, Pjanic, Mata…

De plus, selon nos informations, après avoir essuyé une fin de non-recevoir sur le dossier Zlatan Ibrahimovic (31 ans), les Merengue n’ont rien fait pour faciliter les discussions avec les champions de France en titre. Miralem Pjanic (23 ans, AS Rome) et Juan Mata (25 ans, Chelsea) ont aussi été approchés dans la dernière ligne droite, mais sans suite. Sous contrat jusqu’en juin 2015 avec les Giallorossi, le premier a attendu jusqu’au dernier moment un appel du club du président Nasser Al-Khelaïfi, alors que le second va en définitive poursuivre l’aventure avec les Bleus qui étaient pourtant vendeurs (sauf en Premier League).

Juste deux départs

Même son de cloche au poste de latéral droit. Le club parisien a effectué une approche concrète au sujet de Kyle Walker (23 ans, Tottenham), dont l’engagement expire en juin 2017. Le contact était noué entre les différentes parties concernées. Le PSG était prêt à sortir le carnet de chèques mais le timing était trop juste. De plus, Gregory van der Wiel n’a pas bougé malgré l’intérêt persistant de l’Inter Milan. Les derniers mouvements parisiens resteront finalement le départ de Neeskens Kebano à Charleroi et la résiliation de contrat de Mohamed Sissoko, qui pourrait rebondir en Angleterre (Reading ? QPR ?), Mathieu Bodmer n’ayant finalement pas trouvé d’accord avec Nice. Tout ça... pour ça.

(Avec N.H.)


Football365
liampsg
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Bodmer ira bien à Nice

Depuis trois semaines, Nice négocie pour recruter Mathieu Bodmer et les efforts des Aiglons n'auront pas été vains.

Ce lundi après-midi, l'OGCN a annoncé avoir trouvé un accord de principe avec le PSG dans cette affaire.

Le milieu de 30 ans, qui devrait désormais jouer en défense centrale, va signer pour deux ans. Il arrive libre depuis le club de la capitale où il avait encore un an de contrat dont il a pu se libérer. Il y retrouvera Claude Puel, cotoyé à Lille puis à Lyon.
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Varino
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L’Allemagne, nouveau marché ?

Le PSG cherche un milieu offensif pour le mercato de janvier. Outre Mata (Chelsea), trois joueurs sont suivis en Bundesliga : Robben, Draxler et Reus.


LE PARIS-SG n’a toujours pas trouvé – ni peut-être même vraiment cherché – un successeur à l’actif Leonardo, qui a quitté mi-juillet son poste de directeur sportif. Mais le club de Qatar Sports Investments (QSI) devrait rester un acteur de poids du prochain marché hivernal des transferts.

D’abord, parce qu’il n’était pas allé complètement au bout de son marché d’intersaison, manquant de peu le recrutement de Mesut Özil (parti du Real Madrid à Arsenal) et de Juan Mata (Chelsea) dans les derniers jours de cette fenêtre estivale. Ensuite, parce que le départ de plus en plus envisagé de Jérémy Ménez (26 ans), sous contrat jusqu’en juin prochain, voire celui de Javier Pastore (24 ans, 2016), affecté par les doutes et une blessure à une cuisse, pourraient amener le PSG à étoffer un effectif qui ne compte « que » vingt-trois joueurs, dont quatre jeunes (Rabiot, Ongenda, Coman et Maignan).

À moyen terme, pour l’été prochain, le PSG vise un défenseur central et un latéral droit. Pour janvier, la priorité reste toujours de recruter le milieu offensif gaucher qui fait défaut au groupe actuel. Sous contrat chez les Blues jusqu’en 2016, Mata (25 ans) reste une piste suivie attentivement, d’autant que son statut à Chelsea demeure incertain depuis le retour de José Mourinho, l’été dernier (5 matches, dont 4 titularisations en Premier League). Mais le PSG porte un oeil, également, du côté d’un marché encore inexploré depuis l’arrivée de QSI en juin 2011 : l’Allemagne. Arjen Robben (29 ans) figure ainsi sur les tablettes du champion de France. Le Néerlandais n’a toujours pas prolongé son contrat au Bayern Munich, qui expire en 2015, et ses sautes d’humeur répétées font revenir régulièrement à la surface l’hypothèse d’un départ, au plus tard l’été prochain, même si son caractère peut prêter à débat. Autre joueur offensif surveillé en Bundesliga, Julian Draxler, le jeune international allemand (20 ans, 9 sélections). Sous contrat jusqu’en 2018 avec Schalke 04, il est déjà ciblé par des rivaux anglais du PSG tels que Chelsea, Arsenal et Manchester City.

En Allemagne, on évoque un intérêt parisien pour un autre international allemand : Marco Reus (24 ans), sous contrat jusqu’en 2017 avec le Borussia Dortmund. Un club pour lequel le milieu gauche, à l’aise des deux pieds, a offert une passe décisive, hier, à Pierre-Emerick Aubameyang face… au Schalke de Draxler (3-1).

L'Equipe
giovanni pontano
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Exclusif: L'Inter veut Lavezzi

A ce stade de la saison, les mécontents au Paris Saint Germain sont au moins trois, Menez, Lucas et Pastore, mais on pourrait en ajouter un quatrième: Ezequiel Lavezzi. El Pocho n'est certes pas malheureux d'un point de vue financier à Paris, mais plutôt des choix tactiques de Blanc, jusqu'à désormais prendre en considération une autre destination en présence d'une proposition alléchante. Et il reviendrait en Italie volontiers, la série À lui manque. Un championnat qui lui a permis de se réaliser du point de vue humain aussi, à Naples tous les gens étaient avec lui. Il a des contacts, réguliers, avec Mazzarri dont il reste proche. Et l'Inter cherche un attaquant avec des caractéristiques différentes de Pinilla ou de Osvaldo

site d'Alfredo Pedulla (traduction)
Le Cyclone
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Pastore prêté à la Roma ?

Selon la Gazzetta dello Sport de vendredi, l'AS Roma serait intéressée par le recrutement de Javier Pastore cet hiver sous forme de prêt. L'actuel directeur sportif du club romain, Walter Sabatini, aurait rencontré l'Argentin du PSG, de passage dans la capitale italienne lors d'un week-end de détente avec sa compagne mi-novembre. C'est justement le technicien qui avait permis à "El Flaco" de rejoindre Palerme en 2009. Sous contrat jusqu'en 2016 et actuellement barré par la forte concurrence à Paris, Pastore serait aussi suivi par Lyon, futur adversaire du club parisien, dimanche (21h00).

Lequipe.fr
Varino
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Rabiot ciblé par Arsenal et Chelsea

Il s’est affirmé depuis le début de la saison comme l’une des curiosités du PSG. En douze matchs de Ligue 1 (cinq titularisations, un but) et quatre de Ligue des champions, Adrien Rabiot, 18 ans, pur produit du centre de formation parisien, a réussi à s’attirer les louanges de ses partenaires, de son entraîneur et des observateurs européens.

L’été dernier déjà, Arsenal s’était adressé au PSG en vue d’un transfert, mais le club londonien s’était vu opposer une fin de non-recevoir. A la suite à cette première tentative, les Gunners ont gardé un oeil attentif sur l’évolution du milieu de terrain parisien. Dimanche dernier, Gilles Grimandi, recruteur d’Arsenal pour la Ligue 1, a ainsi été aperçu au Parc des Princes à l’occasion de PSG-Lyon (Rabiot est entré en jeu pour le dernier quart d’heure).

L’international espoirs se retrouve aussi dans le viseur de Chelsea. Séduit par son profil, José Mourinho, le nouvel entraîneur des Blues, aurait même fait de Rabiot sa cible préférée en Ligue 1. Contactés, les proches du joueur n’ont pas souhaité commenter nos informations.

Pourquoi Rabiot attire-t-il l’attention des plus grands clubs anglais ? Ses performances sur le terrain et le potentiel qu’il laisse deviner constituent bien sûr une partie de l’explication. Le reste est lié à sa situation contractuelle.

Fin de contrat en juin 2015

Formé au PSG, professionnel depuis l’été 2012, il est sous contrat avec le club de la capitale jusqu’au 30 juin 2015. Dans l’idéal, les dirigeants parisiens souhaiteraient lui faire signer dès que possible une prolongation accompagnée d’une revalorisation salariale. Pour l’instant, les négociations sont au point mort et le temps ne joue pas forcément en faveur du PSG.

Pour le clan Rabiot, l’objectif affiché est toujours le même : jouer le plus possible afin d’achever la phase de formation dans les meilleures conditions. De ce point de vue, le début de saison est plutôt une réussite. Mais le mercato hivernal et le recrutement d’un milieu de terrain supplémentaire – le souhait de Laurent Blanc – pourrait brouiller les cartes. Un départ en prêt, comme l’an passé à Toulouse, ne semble toutefois pas à l’ordre du jour.

Le Parisien
Varino
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Ménez, départ acté

L’attaquant international français du PSG compte profiter du mercato de janvier pour partir. Sans doute vers la Juventus Turin.


JÉRÉMY MÉNEZ ne devrait plus être un joueur du PSG au-delà du 31 janvier 2014. Sous contrat jusqu’en juin prochain, l’attaquant international français est décidé à quitter le club de la capitale pour ne pas compromettre complètement ses chances de participer à la Coupe du monde au Brésil (12 j ui n - 13 juillet). Et un retour en Italie, deux ans et demi après avoir quitté l’AS Rome, semble le plus plausible. Du côté de la Serie A, il se murmure d’ailleurs que le joueur de vingt-six ans serait proche d’un accord avec la Juventus Turin, même si les dirigeants piémontais ne sont pas encore entrés en contact avec leurs homologues parisiens.

Mais le PSG ne devrait pas ériger trop d’obstacles au départ de Ménez, sur qui Laurent Blanc ne semble plus compter. Cette saison, le technicien parisien ne l’a titularisé que cinq fois en Ligue 1 et une fois en Ligue des champions. C’était à Lisbonne (1-2, le 10 décembre), et cette date marquera moins un nouveau départ de l’ancien Sochalien sous les couleurs parisiennes que l’accusé de réception d’une attitude nonchalante devenue rédhibitoire. Son avenir à Paris semblait alors s’écrire davantage sur le banc – ou en tribune – que sur le terrain.

Seulement, la cote de Ménez n’a pas faibli de l’autre côté des Alpes. Antonio Conte, l’entraîneur de la Juve, le suit depuis plusieurs semaines et le verrait bien enrichir son effectif.

MATA OU POGBA POUR LE REMPLACER ?

Avec Ménez, il pourrait songer à faire évoluer son équipe dans un système en 4-3-3 (la Juve évolue en 3-5-2). D’autres clubs italiens sont également à l’affût, c o mme l ’ Inter M ilano u l’AS Rome, où il a évolué de 2008 à 2011. Un retour en Italie n’était pourtant pas le premier choix du joueur, qui se serait bien vu prendre la direction de Monaco. L’ASM, dont il a également déjà porté les couleurs (entre 2006 et 2008), le voulait cet été mais l’opération au dos de Ménez, en juillet, avait compromis ce transfert.

De plus, le PSG n’était pas très chaud à l’idée de renforcer un concurrent français. Dans le cadre d’un départ de Ménez vers un club italien, Paris ne devrait pas se montrer trop gourmand pour les six derniers mois de contrat du joueur. Laurent Blanc, qui réclame un milieu supplémentaire depuis le mois d’août, devrait alors insister un peu plus pour que ses dirigeants se montrent actifs lors du mercato d’hiver.

Cela pourrait être du poste pour poste si jamais le PSG réactivait la piste de l’international espagnol Juan Mata (25 ans, sous contrat jusqu’en 2016), qui joue peu à Chelsea. Mais pas forcément non plus : l’idée de recruter Paul Pogba (20 ans, sous contrat jusqu’en 2016), le milieu relayeur de la Juventus Turin, dès janvier pourrait alors prendre un peu plus d’épaisseur.

L'Equipe
Homer
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Al-Khelaïfi et Thohir évoquent Lavezzi

Lundi soir, Nasser Al-Khelaïfi a rejoint Londres pour assister à la rencontre de Premier League, Arsenal-Chelsea (0-0). La Gazzetta dello Sport rapporte, dans son édition datée de mardi, que le président du PSG a dîné avec le nouveau président de l'Inter Milan, l'Indonésien Erick Thohir. Et le quotidien sportif italien précise que les deux hommes auraient évoqué, entre autres sujets, l'attaquant Ezequiel Lavezzi, arrivé à Paris à l'été 2012.

Depuis le début de la saison, l'Argentin n'a inscrit que deux buts en Championnat et souffre de la concurrence féroce au sein de l'attaque parisienne. Il intéresserait fortement le technicien de l'Inter, Walter Mazzarri, qui était son entraîneur à Naples.

L'Equipe.fr
orel
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Cabaye, retour sur la liste de Blanc

L’entraineur du Paris-SG souhaite vraiment recruter le milieu international français de Newcastle cet hiver. Juan Mata reste espéré, lui aussi.

Il présente l’avantage d’être qualifiable pour la Ligue des champions – puisque Newcastle n’a pas participé à cette compétition -, d’être connu et apprécié de Laurent Blanc – qui l’a lancé en équipe de France -, et d’être polyvalent – il peut jouer en sentinelle, en relayeur ou en meneur de jeu. Yohan Cabaye (27 ans) fait partie des priorités de recrutement sur la liste établie par la direction sportive parisienne pour le mercato d’hiver, qui s’ouvre le 1er janvier.
L’été dernier, déjà, le PSG, par l’intermédiaire de Leonardo, son directeur sportif du moment, était entré en contact avec Newcastle pour prendre la température. La réponse des Magpies était claire : Cabaye, sous contrat jusqu’en juin 2016, est transférable, mais son prix sera élevé. Six mois plus tard, les performances du Frenchie sous le maillot noir et blanc ou avec celui de l’équipe de France n’ont pas vraiment fait baisser sa valeur, au contraire, mais elles ont aussi confirmé qu’il avait la dimension pour intégrer l’effectif parisien. Blanc, qui tient absolument à se renforcer au milieu, loue ses qualités techniques, sa vision du jeu et son état d’esprit. Et il serait parvenu à convaincre ses dirigeants qatariens, réticent en août sur ce sujet, d’accéder à ses désirs. Si l’arrivée de Cabaye à Paris n’est cependant pas acquise, le club de la capitale devrait bien ne pas rester inactif pendant le marché d’hiver.

Paris pense à Hazard et n’oublie pas Pogba

Un autre nom figure en très bonne place dans la short-list de Blanc, celui de Juan Mata. Piste révélée par lequipe.fr, le 2 septembre dernier, elle n’a pas été abandonnée par les dirigeants parisiens, même si l’international espagnol (25 ans) ne pourra pas disputer la C1 avec Paris cette saison. Mais Chelsea, où il est sous contrat jusqu’en juin 2016, ne semble pas très ouvert à l’idée de s’en séparer. Si Mata, qui retrouve un peu de temps de jeu depuis deux mois, veut partir, il devra se déclarer.
Son profil, en tout cas, plaît d’autant plus au PSG que le club de la capitale devrait voir Jérémy Ménez (26 ans, libre en juin) le quitter cet hiver. La Juventus Turin est toujours très intéressée pour l’accueillir, mais d’autres clubs italiens (Inter Milan, AS Rome, son ancien club) sont également candidats à son retour en Italie. Pour pallier son départ, Paris pense aussi à Eden Hazard (22 ans), sous contrat avec Chelsea jusqu’en juin 2017 et dont l’entente avec José Mourinho n’est pas des plus cordiales. Seulement, le Belge a envie de jouer la Ligue des champions, et quitter Londres dès janvier ne serait pas, pour lui, la décision la plus judicieuse, à six mois de la Coupe du monde.
Enfin, Paris réfléchit toujours à l’option Paul Pogba (20 ans). Le milieu français lié à la Juventus Turin jusqu’en 2016 est courtisé par les plus grands clubs européens en général, le Real Madrid en particulier. Et le PSG ne voudrait pas être pris de vitesse sur ce dossier d’ici à cet été…

Damien Degorre

L'Equipe du 24/12
Beuzech
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Mercato : le PSG en quête du juste milieu

Afin de remplir ses objectifs, Paris doit profiter du marché des transferts hivernal, qui s’ouvre le 1er janvier, pour étoffer son effectif dans l’entrejeu.

C’est une quasi-certitude : avec cet effectif-là, Paris ne pourra pas répondre à tous ses objectifs, soit au moins un quart de finale de Ligue des champions et la conquête de tous les titres nationaux (championnat, Coupes de France et de la Ligue). On l’a encore vu la semaine dernière avec l’enchaînement Saint- Etienne et Lille : la rotation limitée face aux Verts puis l’absence de Cavani ont sans doute coûté la victoire aux hommes de Blanc contre les Dogues.
D’ailleurs, malgré une première partie de saison très réussie, le PSG ne dispose pas d’une marge énorme sur ses concurrents : trois points d’avance sur Monaco, quatre sur le Losc.

Il faut donc recruter et c’est surtout au milieu de terrain que cela se passe. C’est le cœur du jeu, là où, selon Laurent Blanc, les matchs se gagnent ou se perdent. Une double contrainte limite Paris dans ses choix : il ne faut pas un extracommunautaire (le club a son quota de quatre avec Thiago Silva, Alex, Maxwell et Lucas) et, de préférence, pas un joueur ayant déjà évolué cette saison en Ligue des champions pour qu’il puisse la disputer dès les 8es de finale face au Bayer Leverkusen.

« Oui, il faut un milieu en plus car ils ne sont que quatre dans ce secteur, annonce Jean-Michel Moutier, ancien directeur sportif du club de la capitale. Le bon profil, c’est un relayeur, du type Cabaye. Cela peut être d’ailleurs Cabaye. Il connaît bien la Ligue 1 et peut disputer la Ligue des champions. » Selon nos informations, le joueur n’a pas reçu de relance du PSG ces derniers jours.

Cabaye a un bon profil

Pour ceux qui s’interrogent sur le niveau de l’international français, 28 ans le 14 janvier, « seulement » passé par Lille et Newcastle, Moutier se veut rassurant : « Cabaye, ça fait PSG, soutient l’ancien gardien puis dirigeant. Il reste dans le registre des autres joueurs déjà présents au milieu. Chacun a ses qualités et Cabaye apporterait les siennes en plus. » Parmi les milieux très demandés cet hiver, récupérateurs, relayeurs ou créateurs, on peut penser au Belge Radja Nainggolan (Cagliari), à l’Espagnol Borja Valero (Fiorentina), au Croate Ivan Rakitic (Séville), au Bosnien Miralem Pjanic (AS Rome), ex-pensionnaire de la L 1 avec Metz et Lyon, ou à son partenaire romain Daniele De Rossi, une ancienne cible. Car le profil de ce milieu peut s’étendre jusqu’à occuper un poste de faux troisième attaquant où personne ne s’est imposé, de Pastore à Lavezzi en passant par Ménez et Lucas. C’est l’avis de Christophe Mongai, agent de joueurs. « Je pense que Paris dispose d’un groupe homogène, explique l’homme qui avait négocié la venue de Nene au PSG. Toutefois, un milieu box to box (d’une surface de réparation à l’autre), voire un milieu offensif, pourrait utilement compléter l’effectif. Surtout en cas de départ de Ménez. »

Moutier abonde dans ce sens : « Si personne ne part en attaque, le PSG a le matériel pour remplir ses objectifs, surtout qu’un grand attaquant au mercato, c’est une denrée très rare. Mais s’il y a des départs, il faudra les compenser. » A ce sujet, Nasser al-Khelaifi, le président du PSG, n’a jamais dîné lundi à Londres avec Erick Thohir, le nouveau propriétaire et président de l’Inter Milan, pour évoquer un éventuel retour de Lavezzi en Italie.


Le Parisien
orel
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Messi à Paris, c’est possible !

LIGUE1, PSG. La situation du quadruple Ballon d’or au FC Barcelone n’est plus idyllique. S’il quitte un jour la Catalogne, le PSG sera l’un des rares clubs capables de le recruter.

Depuis quelques jours, son nom agite la coulisse parisienne. Dans certains cercles proches du PSG, d’aucuns n’hésitent plus à expliquer que le PSG travaille sur l’hypothèse Lionel Messi, après avoir planché sur le dossier du Portugais Cristiano Ronaldo. Voici les cinq raisons pour lesquelles l’Argentin de 26 ans, quadruple Ballon d’or, pourrait un jour débarquer dans la capitale.

1 Parce qu’il pourrait quitter Barcelone.On le croyait lié à vie à son club formateur, mais ce n’est plus le cas. Entre ses ennuis avec le fisc espagnol et un coup de gueule surprenant contre l’un des dirigeants du Barça, l’année 2013 aura révélé chez lui une forme de malaise et d’agacement. En parallèle, les Catalans lui ont déjà trouvé une sorte de successeur, l’étoile de demain : Neymar. L’arrivée du Brésilien à un an de la Coupe du monde dans son pays est une réussite gigantesque. L’histoire récente du club a montré qu’il pouvait difficilement y avoir deux stars majeures ensemble sur la pelouse du Camp Nou.

2 Parce que Paris peut payer. Certes, le meilleur joueur du monde reste un peu cher… La clause de départ de Messi, lié au Barça jusqu’en 2018, s’élève à 250 M€ ! Dans un monde en crise et un football désormais soumis aux règles encore floues du fair-play financier, c’est une somme encombrante. Mais dans les faits, le PSG est l’un des rares clubs de la planète à pouvoir payer, avec Manchester City ou, peut-être, Chelsea. Mais ces 250 M€ demeurent théoriques. Si la star souhaite vraiment partir, une négociation pourrait ramener le transfert entre 150 et 180M€.

3 Parce que le projet parisien est le plus excitant d’Europe. Le club de la capitale compte désormais sur la scène internationale. En refusant… Barcelone et en resignant à Paris, Thiago Silva a envoyé un signe fort l’été dernier qui a marqué d’autres joueurs. Même phénomène avec Ibrahimovic. Même quand Carlo Ancelotti, le très apprécié entraîneur italien, s’en va, les autres restent. Il y a aujourd’hui plus de stars sur la pelouse parisienne que sur celle de City ou Chelsea. C’est l’endroit où il faut être, aujourd’hui comme demain. Si le PSG ne s’enrobe pas de la légende d’un Real Madrid ou d’un Bayern Munich, il plaît aux nouveaux joueurs qui le peuplent depuis son rachat par les Qatariens. Quand les internationaux retournent en sélection, ils vantent le projet parisien, la quiétude de la vie française, les bonheurs de Paris…

4 Parce qu’Ibrahimovic n’a rien contre Messi. Le Suédois le répète systématiquement quand on lui pose la question : le meilleur joueur du monde, c’est Messi ! Son passage à Barcelone peut laisser croire que son ego a eu du mal à se mêler à celui de l’Argentin. Ibra n’est fâché qu’avec Guardiola, l’entraîneur des Catalans de l’époque. Certains l’ont interprété comme une volonté de Zlatan de s’en prendre indirectement à son protégé, Messi. Mais Ibra n’est pas franchement le genre à ne pas dire ce qu’il pense. Bref, ils peuvent (re)jouer ensemble, sachant que la venue de Messi, si elle se prépare maintenant, pourrait n’intervenir qu’à la fin du règne d’Ibra, qui a prolongé jusqu’en 2016.

5 Parce que le nouveau Messi, c’est lui… En s’offrant le PSG, Nasser al-Khelaifi, le président parisien, a déclaré d’emblée : « Nous cherchons le nouveau Messi. » En attendant de le trouver, le plus simple est encore de prendre le vrai Messi. Le PSG entend devenir l’une des dix franchises de sport les plus puissantes du monde, aux côtés des Yankees de New York (base-ball) ou des Lakers de Los Angeles (NBA). Ce rêve conduit à voir un jour le plus grand entraîneur du monde, le plus connu en tout cas, José Mourinho, s’installer sur le banc parisien. Et les plus grands joueurs venir garnir son effectif. Comme Messi.

DOMINIQUE SÉVÉRAC


Le Parisien du 27/12
Golazo
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Cabaye, c'est 26 millions ?

Priorité de Laurent Blanc, l'entraîneur du PSG, et suivi de près par Arsenal, Yohan Cabaye pourrait quitter Newcastle, actuel 6e de Premier League, lors du mercato hivernal. Selon le quotidien The Daily Mail, le prix du transfert du milieu international français de 27 ans, sous contrat avec les Toons jusqu'en 2016, aurait été fixé à 22 millions de livres, soit un peu plus de 26M d'euros, par les dirigeants de Newcastle.

Cabaye avait été acheté 6M à Lille, en juin 2011, et les Magpies étaient prêts à accepter une offre autour de 15M l'été dernier pour le Tourquennois.


L'Equipe.fr
Varino
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NEWCASTLE VOUDRAIT 26 M€ POUR CABAYE

Selon le quotidien The Daily Mail, les dirigeants de Newcastle auraient fixé un prix au transfert de Yohan Cabaye, priorité de Laurent Blanc au PSG et suivi de près par Arsenal, qui vient de perdre Aaron Ramsey sur blessure. Celui-ci serait de 22 millions de livres, soit un peu plus de 26 M€, pour un joueur acheté 6 M€ à Lille en 2011. C’est bien plus que ce que Newcastle était prêt à accepter l’été dernier (autour de 15 M€). Mais, depuis, le milieu français (27 ans, sous contrat jusqu’en 2016), qui a digéré son transfert avorté, rayonne à nouveau chez les Toons, sixièmes après sept succès lors des neuf dernières journées.



Citation
Selon lui, personne ne partira en janvier

DEPUIS QUELQUES MOIS, le Paris-SG regarde du côté de Chelsea et du sort réservé à Juan Mata, un milieu offensif (25 ans, sous contrat jusqu’en 2016) qu’apprécie Laurent Blanc. L’entraîneur parisien rêverait aussi de faire revenir Eden Hazard (22 ans, 2017) en Ligue 1. « Hazard a autant de chances de rejoindre Paris que Thiago Silva de signer pour Chelsea », assure une source proche du club londonien. Lorsqu’il a été interrogé sur le mercato de janvier, José Mourinho a assuré que « personne ne partirait » . « Aucun grand club ne se suicide en lâchant ses bons joueurs en janvier, quand il n’a pas besoin de vendre et qu’il est impossible de trouver mieux », ajoutait-il. Jeudi, après la victoire sur Swansea (1-0), il a insisté sur « la qualité de passe fantastique de Mata» , et sur l’attitude d’Hazard, « un jeune qui donne tout sur le terrain » .
En revanche, Kevin De Bruyne sera certainement prêté (au Bayer Leverkusen ?) et Demba Ba intéresserait l’Inter Milan, dans le cadre d’un possible mais surprenant transfert du Colombien Fredy Guarin à Chelsea. Une idée de Mourinho ou de Michael Emenalo, le directeur technique chargé du recrutement ? Les Blues ont en effet déjà pléthore de milieux offensifs (Oscar, Mata, Hazard, Willian, Schürrle, De Bruyne) et ils auraient plus besoin d’un récupérateur. Et d’un attaquant de plus ? C’est la volonté de Mourinho, qui rêve toujours de Wayne Rooney (Manchester United) et qui songe aussi à Diego Costa (Atlético Madrid), mais plutôt pour l’été prochain. Hier, le quotidien italien la Gazzetta dello sport mentionnait une offre des Blues pour Gonzalo Higuain de 50 M€ plus David Luiz.

L'Equipe
Panenka
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Le PSG aurait invité Griezmann

Meilleur buteur français des cinq grands Championnats sur l'année civile 2013, Antoine Griezmann (18 réalisations) serait, selon le quotidien sportif espagnol AS, dans le viseur du PSG en vue d'un transfert l'été prochain. Cette source indiquait vendredi que le milieu offensif de la Real Sociedad (22 ans, sous contrat jusqu'en juin 2016) aurait accepté une invitation du club parisien à visiter son centre d'entraînement du Camp des Loges et à rencontrer le staff, ce que le PSG a démenti, samedi


www.lequipe.fr
Homer
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Blanc : «Cabaye ? Très bon joueur»

A deux jours de la rencontre amicale contre le Real Madrid, qui se jouera à Doha, Laurent Blanc a expliqué que le PSG serait sage lors du mercato d'hiver.

Laurent Blanc a déclaré lundi que son effectif n'allait pas trop évoluer lors du mercato d'hiver qui débute mardi soir à minuit. «On ne va pas changer beaucoup. C'est la seule chose que je peux vous dire. Vous vous excitez, c'est votre job, ça fait du buzz. Mais s'il y a du mouvement, ça ne sera pas beaucoup, a expliqué l'entraîneur du PSG en conférence de presse. Je suis très content de mon effectif. Il y aura peut-être aussi du mouvement en fonction des départs.»

Interrogé à propos d'un éventuel transfert à Paris de Yohan Cabaye, Blanc a simplement rappelé son admiration pour le milieu de terrain de Newcastle: «C'est un très bon joueur et je l'ai toujours pensé, je n'ai rien à dire de plus.»


L'Equipe.fr
Varino
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Pjanic revient dans le viseur

Suivi l’été dernier, le milieu offensif bosnien de l’AS Rome pourrait devenir une cible majeure du PSG en 2014. Surtout à l’heure où le club italien surveille Javier Pastore.


ENTRE héritage et réflexe, le PSG post-Leonardo pourrait rester ce club puisant irrésistiblement le gros de ses recrues en Italie. Depuis peu, les coulisses du marché local bruissent d’un regain d’intérêt des champions de France pour Miralem Pjanic (23 ans), transféré de Lyon à l’AS Rome en 2011 pour 11 M€. L’international bosnien présente le profil idéal du joueur pouvant rejoindre le PSG ce mois-ci : c’est un joueur offensif bon des deux pieds (donc du gauche) et susceptible de pouvoir disputer la suite de la Ligue des champions.

Sous contrat jusqu’en 2015, l’ancien Messin n’a toujours pas prolongé son contrat à l‘AS Rome, consciente de posséder l’un des meilleurs joueurs de Serie A. À l’heure où les milieux offensifs listés par le PSG sont difficiles à recruter pour diverses raisons (Mata, Di Maria, Draxler, Oscar), le dossier Pjanic présente des contours intéressants. Paris mesure qu’une Roma à la lutte pour le titre cette saison cédera difficilement ce titulaire régulier de Rudi Garcia (15 fois en 17 journées), mais Paris n’ignore pas que l’état économique des clubs italiens ouvre parfois des portes inattendues... «Pjanic est un bon joueur, même un excellent joueur, nous a confié Nasser al-Khelaïfi, hier, à Doha. Mais je n’ai pas l’impression que l’AS Rome soit disposée à le laisser partir cet hiver. La plupart des grands clubs veulent Pjanic aujourd’hui. Mais je respecte l’AS Rome et je peux comprendre qu’ils ne cèdent pas leurs meilleurs joueurs au milieu de la saison.»

La partie peut s’annoncer délicate, en effet, sauf à estimer que la Roma en profite pour négocier une opération qui inclurait l’arrivée de Javier Pastore (24 ans), lié à Paris jusqu’en 2016. Sur le cas de l’Argentin,le président du PSG assure : « Je ne suis pas sûr qu’il veuille partir. Quand un joueur est malheureux, il est difficile de le retenir. Mais ce n’est pas le cas de Pastore.» Le dirigeant qatarien ne semble pas pousser vers la sortie ce joueur très inconstant que le club espère revaloriser sur le marché pour ne pas acter une moins-value importante, deux ans et demi après l’avoir acheté à Palerme pour 42 M€. « On n’oubliera jamais qu’il a été l’un des premiers joueurs majeurs à rejoindre notre projet dès le début, souligne le patron de Qatar Sports Investments, propriétaire du club depuis juin 2011. Et nous sommes loyaux envers nos joueurs, comme nous leur demandons d’être loyaux envers le club.»

Pour Al-Khelaïfi, «Pastore est à la fois un joueur et un homme de qualité. Peut-être traverse t-il une période difficile, mais il reste l’un des plus grands talents du monde du foot. Il sait qu’il doit faire plus, qu’il doit donner plus. Je crois toujours très fortement en lui, même s’il n’a pas encore montré tout ce qu’il peut montrer ». En Italie, les initiés du marché l’assurent : en ce début de mercato, le PSG croit aussi très fortement en Miralem Pjanic.

L'Equipe
Varino
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L’absence de Christophe Jallet pourrait obliger Paris à recruter

C’est la mauvaise nouvelle que le PSG redoutait en quittant le Qatar jeudi dernier. Christophe Jallet, victime d’une hernie discale, va devoir se faire opérer demain. Les premiers examens pratiqués à l’hôpital Aspetar, à Doha, laissaient espérer que des soins et une infiltration suffiraient à le remettre sur pied. Après de nouvelles observations réalisées hier en compagnie d’Eric Rolland, le docteur parisien, le verdict est tombé : Jallet n’échappera pas à l’opération. L’ancien Lorientais sera absent deux mois environ. « Christophe est très déçu car il enchaîne les pépins physiques ces dernières semaines, confie l’un de ses proches. Après, il se dit que dans deux mois il sera de retour et au moins ce problème sera réglé. » Doublé cette saison par Gregory Van der Wiel dans la hiérarchie des latéraux droits du PSG, Jallet, sous contrat jusqu’en 2015, voit son avenir parisien s’obscurcir encore un peu plus. D’autant que, en raison de sa longue indisponibilité, son employeur réfléchit à recruter un autre arrière droit. Son profil et son expérience pourraient presque signer la fin de l’aventure parisienne de l’international français.

Walker et Janmaat ont le profil

Outre Van der Wiel, le PSG dispose avec Marquinhos d’une solution de rechange crédible. Le défenseur central a déjà dépanné à droite à la Roma et a été utilisé les 20 dernières minutes de la seconde période contre le Real jeudi dernier (0-1). Laurent Blanc et ses dirigeants doivent rapidement décider s’ils recrutent un nouveau latéral droit. Si tel est le cas, ils vont se heurter à deux contraintes : ce nouveau renfort devra être extracommunautaire et exigible à la Ligue des champions.

Quelques joueurs possèdent ce profil, comme l’Anglais Kyle Walker (23 ans, 10 sélections) de Tottenham ou le Néerlandais Daryl Janmaat (24 ans, 6 sélections) du Feyenoord Rotterdam. Mais ces deux jeunes internationaux ne seront pas faciles à convaincre. Van der Wiel est installé comme titulaire et jouer les doublures de luxe pourrait leur coûter un voyage au Brésil. Par ailleurs, leur arrivée pourrait empêcher le recrutement d’un joueur de plus grande envergure l’été prochain. Le choix est cornélien.

Le Parisien
Varino
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Hazard séduit par le PSG

Le jeune Belge l’a clairement confié à l’un de ses coéquipiers de Chelsea


Les grandes manoeuvres du mercato estival ont déjà commencé au PSG. Après Paul Pogba, l’international français de la Juventus Turin, le club parisien a ciblé un autre francophone, ex-pensionnaire de la Ligue 1, actuellement sous les feux des projecteurs en Premier League. Il s’agit d’Eden Hazard, 23 ans, milieu offensif de Chelsea et international belge. Les premières approches parisiennes datent de cet automne. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que l’entreprise de charme du PSG a l’air d’avoir plutôt bien fonctionné. Selon nos informations, Eden Hazard s’est épanché avant Noël auprès de l’un de ses coéquipiers londoniens, lui indiquant : « Je vais certainement rejoindre Paris l’été prochain. » Le tout était dit sans excitation particulière, ni amertume, mais sur le ton de l’évidence.

Il est bien sûr trop tôt pour dire qu’un accord a déjà été trouvé entre Nasser al-Khelaifi et Roman Abramovitch, président du club londonien. Mais la confidence du jeune Belge indique que son transfert à Paris est bien plus qu’une hypothèse. C’est un dossier concret sur lequel le PSG travaille depuis plusieurs semaines et qui retient toute l’attention du joueur.

Le profil recherché

Le no 17 des Blues est pourtant loin d’être malheureux à Londres. Sportivement, sa réussite est même véritablement éclatante. En l’espace d’une saison et demie, il a conquis une place de titulaire indiscutable au sein de l’effectif pléthorique de Chelsea. Capable d’évoluer à presque tous les postes de l’attaque (côté droit, côté gauche ou numéro 10), Hazard exprime en Premier League toutes les facettes du talent qu’on lui connaissait dans le Championnat de France.

Elu meilleur joueur de Ligue 1 en 2011 et 2012 sous les couleurs du Losc, Hazard a donc confirmé en Angleterre tous les espoirs placés en lui. Il fait aujourd’hui partie des plus grands talents offensifs du Vieux Continent.

Transféré pour 40 M€ de Lille à Chelsea à l’été 2012, le jeune virtuose a vu sa cote grimper ces derniers mois. Hazard vaut aujourd’hui entre 50 et 60 M€ et ses performances l’été prochain en Coupe du monde avec la séduisante sélection belge pourraient encore faire monter les enchères.

Pour le PSG, son profil correspondrait parfaitement à un besoin identifié depuis le début de la saison. Derrière le duo Ibra-Cavani, personne n’a en effet réussi à s’imposer comme un troisième attaquant de classe internationale. Il s’agit d’ailleurs de l’un des rares points faibles de la formation parisienne. En recrutant Eden Hazard, le club de la capitale ferait bien mieux que pallier cette insuffisance. Il basculerait dans une configuration « dream team » et préparerait, dans les meilleures conditions, l’après-Ibrahimovic.

Reste un point essentiel dans cette affaire : l’attitude de Chelsea et de son patron Roman Abramovitch. Selon une source interne au club londonien que nous avons pu joindre, Chelsea n’aurait aucunement besoin de vendre Eden Hazard l’été prochain. Et sur le plan sportif, l’entraîneur José Mourinho lui a confié les clés du jeu offensif. Le PSG est donc encore loin d’avoir gagné le jeu du Hazard.

RONAN FOLGOAS

Le Parisien
Varino
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Ménez, le chant du départ

En mal de temps de jeu à Paris, Ménez pourrait rebondir à la Fiorentina ou à l’AC Milan. L’Ukrainien Konoplyanka est une piste pour lui succéder.


Et s’il s’en allait ? La semaine dernière, quelques minutes après la victoire à Bordeaux en Coupe de la Ligue (3-1), Jérémy Ménez, sous contrat avec le PSG jusqu’en juin 2014, s’était pourtant montré explicite sur son avenir immédiat. « Je reste jusqu’à la fin de la saison, avait déclaré l’attaquant parisien. Je me sens bien ici, les dirigeants ont confiance en moi et il y a la Coupe du monde qui est importante. Beaucoup de choses ont été dites mais je vais me battre pour jouer le plus possible. Je n’ai jamais discuté avec aucun club car il n’a jamais été question de partir. »

Le natif de Longjumeau s’est-il trop avancé ? Depuis cette déclaration, la donne a, en effet, considérablement évolué. Le droitier de 26 ans est aujourd’hui pressenti en Italie, où il garde une belle cote depuis son passage à l’AS Rome (de 2008 à 2011). Pas à la Juventus, comme on pouvait le penser, mais plutôt à l’AC Milan ou à la Fiorentina. La « Viola » de Vincenzo Montella, actuelle 4e de Serie A, pourrait emporter le morceau. Afin de faciliter la transaction, Paris est même prêt à libérer Ménez de ses six derniers mois de contrat et donc à ne demander aucune indemnité de transfert. En souffrance dans la capitale depuis le début de l’année 2012, l’international (24 sélections) a même failli rebondir en Ligue 1.

Au début de la semaine, il a été proposé à Lyon et à un autre club français. Les dirigeants rhodaniens ont répondu par l’affirmative, Paris s’engageant de surcroît à prendre en charge le salaire du joueur jusqu’à la fin de la saison. C’était sans compter sur l’intérêt prononcé de formations transalpines. En conséquence, et sauf retournement de tendance toujours possible dans ce type de dossier, le temps de Ménez au PSG semble bel et bien compté. Lassés par ses sautes d’humeur, ses dirigeants ont fait une croix sur l’ancien Monégasque sifflé par le Parc avant-hier lors de son remplacement contre Montpellier. De son côté, le joueur (16 matchs, 2 buts cette saison) a compris qu’il n’aurait pas le temps de jeu espéré pour s’imposer et saisir sa chance (minime) en prévision du Mondial au Brésil.

Konoplyanka en approche

Depuis le début du mois de janvier, Blanc lui a souvent privilégié Lucas lors des remplacements comme face à Nantes ou Ajaccio. Ménez sur le départ, Paris s’est mis en quête d’un remplaçant sur le côté gauche. Pour doubler le poste de Lavezzi, les décideurs du club champion de France avaient pensé à Juan Mata. Mais l’Espagnol de Chelsea est aujourd’hui tout près de s’engager avec Manchester United. Ce dernier possédait en plus le désavantage d’avoir déjà évolué en Ligue des champions. La piste menant à Yevhen Konoplyanka a donc été récemment activée. Le milieu offensif ukrainien avait posé de nombreux problèmes à Mathieu Debuchy lors du match de barrage aller contre la France, le 14 novembre à Kiev (2-0). A 24 ans, il évolue actuellement au Dnipro Dnipropetrovsk et serait donc qualifié pour la C1. Son club espère récupérer entre 15 et 20 M€ pour son transfert. Un montant dans les cordes de Paris qui suit le joueur depuis quelques mois déjà.

Le Parisien
Varino
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Le PSG tente le coup du siecle

L’opération est difficile mais le champion de France a décidé de tenter sa chance : il a entamé des démarches pour attirer Lionel Messi à Paris la saison prochaine.


AVEC LUI, tout ne serait qu’accélération. Accélération du jeu et accélération du temps pour un club obsédé par ses conquêtes européennes et la gloire mondiale s’y rattacherait. En recrutant David Beckham, l’hiver dernier, le PSG avait tourné vers Paris des projecteurs jusque-là indifférents aux ambitions de Qatar Sports Investments (QSI). En arrachant Lionel Messi au FC Barcelone, le club capterait une lumière médiatique inégalable. Et il atteindrait des sphères sportives vertigineuses avec ce dribbleur et ce buteur stratosphérique, qui fêtera ses vingt-sept ans le 24 juin, au coeur de la Coupe du monde. Depuis son arrivée à la tête du PSG, en juin 2011, QSI rêve à voix basse de recruter le crack de Rosario. Désormais, le club de la capitale se sent suffisamment fort pour se lancer dans une opération qui pourrait déboucher sur le plus grand transfert de l’histoire. À ce stade, Paris n’a aucune garantie que le quadruple Ballon d’Or figurera dans son effectif à partir de l’été prochain. Mais il pose ses jalons en coulisses. Au cas où…

CONSULTÉS, IBRA ET THIAGO SILVA SONT POUR

Comme souvent depuis son accession à la présidence du club, Nasser Al-Khelaïfi apparaît en première ligne sur cette opération « galactique ». En août 2012, il avait initié le dossier Cristiano Ronaldo lors d’une rencontre à Monaco avec Jorge Mendes, l’agent du Portugais. Les contacts s’étaient même poursuivis jusqu’à l’été suivant avant que le joueur ne prolonge de trois ans au Real Madrid, jusqu’en 2018. Plus récemment, c’est Jorge Messi, le père du joueur, que le patron du PSG et de QSI est allé sonder directement. En parallèle, le club a missionné un intermédiaire chargé d’assurer le suivi relationnel auprès du clan Messi. Au cas où la porte d’un transfert s’entrouvre, Paris veut afficher une longueur d’avance sur la concurrence éventuelle. Pour avoir Messi, sous contrat jusqu’en 2018, il faudra sans doute verser au Barça le montant de sa clause libératoire : 250 M€. Un tarif a priori accessible aux seuls PSG et Manchester City… ou au Bayern Munich de Josep Guardiola, s’il est pris d’un coup de folie.

Sur ce dossier, le PSG avance à pas comptés. Al-Khelaïfi s’efforce toujours d’apparaître comme extrêmement courtois vis-à-vis des autres clubs. Son amitié avec Sandro Rosell était une raison supplémentaire de ne pas froisser l’orgueil du grand FC Barcelone. Après la démission du président du club catalan (voir page 20), rien ne dit que l’opération sera pour autant facilitée pour le PSG. Suite au scandale autour du transfert de Neymar, undépart de Messi n’apparaîtrait pas comme le moyen le plus sûr de restaurer la crédibilité des dirigeants du club auprès des socios. À moins que les finances vacillantes du Barça ne viennent peser d’un poids capital dans la balance : en 2012, sans la situation économique fragilisée de l’AC Milan, Zlatan Ibrahimovic et Thiago Silva ne seraient sans doute pas venus au PSG.

Un an et demi après leur arrivée, ces joueurs sont régulièrement consultés par Al-Khelaïfi. Au sujet de Messi, leur avis plus que favorable fait peu de doute. Le 30 décembre, à Doha, Ibrahimovic avait confirmé cette température bienveillante, lui qui a parfois affirmé que ses difficultés au Barça, en 2009-2010, résultaient d’une relation compliquée avec Guardiola, et non d’un litige quelconque avec Messi. « Au sujet de son avenir, seul Messi a la réponse, avait lâché le Suédois, pendant le stage de reprise. S’il est vraiment sur le marché, il n’y a pas qu’un seul club qui voudra l’avoir, mais le monde entier. Le PSG veut “rêver plus grand”. Mais si vous prenez Messi, ce rêve devient réalité : vous devenez plus grand…»

MESSI PEUT-IL ENVISAGER DE VENIR À PARIS ?

À écouter son père, toute porte est fermée… pour le moment (lire par ailleurs). Sur le modèle d’une méthode rôdée par les grands clubs espagnols, le PSG passerait un cap sensible dans les tractations si le joueur se positionnait clairement en faveur d’un transfert. En coulisses, Cristiano Ronaldo s’était montré réceptif à l’intérêt parisien. Pour éviter les vagues, Messi, lui, peut difficilement envoyer un tel signal avant la fin de la saison. En privé, le joueur a déjà émis, ces dernières semaines, l’hypothèse de quitter un jour un club qu’il fréquente depuis l’âge de treize ans.

Mais, sur l’échelle des intentions réelles, il reste difficile de placer le curseur entre un désir de découvrir un nouvel environnement et une volonté de revaloriser à nouveau son contrat. Avec ses 16 M€ net annuels, Messi possède un salaire fixe à mi-chemin entre celui de Ronaldo (17 M€) et celui d’Ibrahimovic (15 M€ net). Conscient de sa valeur, l’Argentin pense mériter plus, quitte à laisser transparaître un malaise lorsqu’il s’en prend au vice-président du Barça (lire par ailleurs).

S’il devait partir, Paris serait-il un choix prioritaire ? Même si le PSG doit prendre garde à ne pas sortir des équilibres imposés par le fair-play financier de l’UEFA, il peut proposer à Messi un salaire supérieur à ce qu’il perçoit en Espagne. Ce volet contractuel mis à part, il resterait encore à convaincre le joueur de venir en L 1, moins attractive que la Premier League. Ou à résister à la tentation de rejouer un jour sous les ordres de Guardiola, au Bayern. Au final, il ne faut pas exclure que la piste PSG profite surtout au joueur pour revaloriser son contrat actuel. Comme pour Ronaldo – et d’autres joueurs – avant lui…



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« Je ne sais pas de quoi demain sera fait… »

JORGE MESSI, le père et conseiller de la star argentine, répète que son fils est sous contrat au Barça. Sans trop s’avancer sur son avenir à long terme.


« COMMENT RÉAGISSEZ VOUS à l’intérêt du PSG pour votre fils ?
– J’ai eu vent de ces bruits et je ne sais pas d’où ça sort. Pour le moment, il n’y a rien. Il n’y a pas matière à parler de ce sujet. Lionel est un joueur de Barcelone, où il possède encore un contrat qui s’étale sur plusieurs années (jusqu’au 30 juin 2018).

Peut-on imaginer un jour voir Lionel Messi porter le maillot du club parisien ?
– C’est un honneur de savoir que le PSG peut penser à lui. Mais, je le répète, ce n’est pas un sujet sur lequel nous souhaitons développer une réflexion aujourd’hui. La seule réalité, c’est son contrat avec le Barça.

La situation délicate que traverse le FC Barcelone, dont le président, Sandro Rosell, vient de démissionner, peut-elle influer sur votre réflexion ?
– Ma réflexion, c’est que Leo est sous contrat avec Barcelone, et ce pour plusieurs saisons. Je ne sais pas de quoi on parle quand on évoque son transfert ici ou là. On ne veut penser à rien, ni à Paris ni à une autre équipe.

Pouvez-vous assurer que Messi jouera encore au Barça la saison prochaine ?
– Il est sous contrat. Après, dans le football, vous savez bien qu’on ne sait jamais ce qu’il peut arriver. Je ne sais pas de quoi demain sera fait. Seul Dieu le sait… »



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Le Barça n’envisage pas son départ

Malgré les tensions des dernières semaines, le club catalan et Lionel Messi considèrent que leurs destins sont liés.


ILS PARAISSENT inséparables. Meilleur buteur de l’histoire du club à vingt-six ans, Lionel Messi incarne le FC Barcelone actuel autant, sinon davantage, que ses symboles catalans, Carles Puyol ou Xavi. Pour ses socios et ses supporters, qui l’adulent, comme pour ses dirigeants, conscients de sa valeur sportive, sans égal sur le marché, le transfert de l’Argentin est inenvisageable, même si celui-ci a un prix, fixé par la clause de départ de son contrat : 250 M€. Pour l’activer, il faudrait cependant que le joueur ouvre la porte à une telle éventualité. Et, jusqu’à présent, il n’a jamais mis la main sur la poignée, publiquement du moins. Arrivé à l’âge de treize ans, Messi est attaché au club qui l’a fait grandir. Au sens figuré comme au sens propre, puisque les dirigeants de l’époque avaient accepté de payer à la « Puce » le traitement nécessaire à sa croissance.

BIENTÔT UN NOUVEAU CONTRAT ?

« Je l’ai toujours dit et je le répète encore, expliquait l’Argentin, le 8 janvier, sur Barça TV, alors qu’il venait d’effectuer son retour, après sa blessure à la cuisse gauche. Mon souhait et ma volonté sont de terminer ma carrière ici, au Barça. Tant que les gens m’aimeront et le voudront, ce sera aussi le cas pour moi. » Une manière de placer la balle dans le camp de la direction du club, alors qu’elle prépare une nouvelle prolongation de contrat pour sa star, liée au Barça jusqu’en 2018 depuis la dernière signature entre les deux parties, le 7 février 2013. Les discussions n’ont pas très bien commencé puisque Javier Faus, vice-président chargé des questions économiques et stratégiques, avait déclaré, le 10 décembre dernier, qu’il ne voyait « pas de raison pour améliorer le contrat » d’un joueur qui venait d’être augmenté moins d’un an auparavant. La réponse cinglante de Messi, dix jours plus tard, a provoqué des remous au sein du club. « M. Faus est une personne qui ne connaît rien au football» ,avait-il lancé.

Puisque Sandro Rosell, qui anégocié directement avec Jorge Messi, le père du joueur, le dernier contrat, vient de démissionner, son successeur, Josep Maria Bartomeu, se retrouve en première ligne. Lundi dernier, Faus a mangé son chapeau et expliqué que « le meilleur joueur du monde mérite la meilleure rétribution du monde», mais le Barça ne se retrouve pas vraiment en position de force. Le nouveau contrat de Cristiano Ronaldo, qui touche 17 M€ net par an au Real Madrid, soit 1 M€ de plus que Messi, oblige déjà le club catalan à surenchérir. Mais les émoluments exorbitants versés par le Barça à Neymar et à la société de son père, dont les détails ont été révélés dans la presse après l’ouverture de l’enquête judiciaire sur son transfert (*), seront un autre moyen de pression entre les mains du clan Messi. Même si le Brésilien est déjà considéré comme la deuxième star du Barça, le club ne peut plus se permettre le moindre signe de défiance à l’égard du quadruple Ballon d’Or (2009-2012), qui reste son meilleur actif.

L'Equipe
Varino
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Paris s’accroche à Cabaye...

YOHAN CABAYE est bien l’objectif n° 1 du Paris-SG lors du mercato d’hiver et le traitement de ce dossier devrait s’accélérer au cours des soixante-douze prochaines heures. Le milieu international français de vingt-huit ans, sous contrat avec Newcastle jusqu’en juin 2016, serait, de son côté, de plus en plus séduit à l’idée de rejoindre Paris, où Laurent Blanc l’espère depuis juillet 2013. Mais, au regard des dernières prestations de Cabaye avec les Magpies et de son poids dans l’équipe, les dirigeants anglais affichent des exigences très élevées pour le libérer.

L’été dernier, ils avaient repoussé une offre de 12 millions d’euros (hors bonus) de la part d’Arsenal. Hier, selon la BBC, c’est une proposition de 16,9 millions d’euros du PSG qu’ils auraient déclinée. Mais, à la différence des Gunners, les Parisiens semblent, cette fois, déterminés à recruter l’ancien Lillois, au moment où leur équipe reste sur deux contre-performances, en Coupe de France (1-2, contre Montpellier) et en Championnat (1-1, à Guingamp). Ils devraient formuler une nouvelle offre en début de semaine.

Par ailleurs, après les déclarations de Blanc, qui avait reconnu vendredi que Miralem Pjanic (23 ans, sous contrat jusqu’en 2015 à l’AS Rome) «pourrait intéresser le PSG » , la piste menant au Bosnien semble s’être encore refroidie. « Blanc peut dire ce qu’il veut, le club a répondu que Miralem n’était pas à vendre, a assuré, hier, Rudi Garcia, l’entraîneur romain. Il n’y a pas de négociation. » Touché à un genou, Pjanic a commencé l e match sur le banc hier, face au Hellas Vérone (3-1, voir par ailleurs), avant d’entrer à l’heure de jeu.

L'Equipe


Citation
Le PSG passe à l’offensive pour Yohan Cabaye

Ligue 1/ Newcastle a reçu une offre de 17 M€


Vendredi dernier, au cours d’une conférence de presse, Laurent Blanc avait publiquement reconnu l’intérêt du PSG pour Yohan Cabaye et Miralem Pjanic. Si l’AS Roma a rapidement réagi en excluant un transfert du Bosnien cet hiver, Newcastle a visiblement laissé la porte entrouverte. Et le PSG s’y est engouffré. Ce dossier a pris une tournure concrète ce week-end. Le PSG a adressé à Newcastle une offre de 14 millions de livres, soit 17 M€ environ. Le club anglais l’a refusée, car il la juge insuffisante. Les Magpies laissent entendre que seule une offre de 40 M€ pourrait les convaincre. En réalité, une enveloppe de 24 M€ pourrait suffire à Paris pour conclure l’affaire. Paris a les moyens de les proposer, s’il veut réellement l’international français.

Mais les véritables intentions du principal concerné restent un mystère. Même si le projet PSG ne peut que séduire un footballeur, Cabaye, qui vient de fêter ses 28 ans, se demandait récemment s’il était judicieux pour lui de rejoindre la capitale à cinq mois du Mondial brésilien. Titulaire indiscutable au sein du 8e de Premier League, il ne serait pas certain de jouer autant dans la capitale, vu la concurrence à son poste, avec un milieu de terrain Thiago Motta, Verratti et Matuidi qui semble indéboulonnable. Avec l’élimination en Coupe de France, Paris a allégé son calendrier et les occasions de faire tourner l’effectif se réduisent. Le choix est d’autant plus délicat que deux ténors du championnat anglais (Arsenal et Manchester United) sont prêts à l’accueillir l’été prochain.

Face à ces hésitations, Blanc devra trouver les arguments pour convaincre le joueur. Il laissera ensuite le soin à ses dirigeants de boucler le transfert. Si la première tentative n’a pas abouti, le PSG ne manquera pas de revenir à la charge. Dans ce genre d’affaire, compte tenu de sa puissance financière, Paris est souvent irrésistible. Car, dans six mois, le Français (sous contrat jusqu’en 2016) ne rapportera sans doute pas autant à Newcastle. Le feuilleton sera à suivre toute la semaine. La clôture du mercato est fixée vendredi soir à minuit.

Le Parisien
Biz Markie
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Pardew «pas confiant» sur le dossier Cabaye

Intransférable au début du mercato d'hiver, Yohan Cabaye l'est un peu moins ces derniers jours avec les assauts du PSG. Selon les médias anglais, une première offre des dirigeants parisiens de 17 millions d'euros a été refusée dimanche mais la proposition suivante, attendue en ce début de semaine, devrait être supérieure. «Nous savons qu'un club est intéressé par Cabaye, un club très riche et puissant. Nous en sommes conscients», a déclaré Alan Pardew, le manager de Newcastle, en conférence de presse.

Quand il lui a été demandé s'il était confiant sur la suite du dossier, il a rappelé un autre épisode qui avait touché son club en 2011. «Vous parlez à quelqu'un qui a perdu Andy Carroll huit heures avant la fin du mercato. Donc, non, je ne suis pas confiant. N'importe quelle équipe qui n'est pas en Ligue des champions ou qui n'est pas en passe de s'y qualifier peut être inquiète.»


lequipe.fr
stoner_man
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C’est quasiment fait

A.H. et J.L. (à londres) | Publié le 28.01.2014, 07h00

Yohan Cabaye a fait un pas de plus vers le PSG. Le club parisien et Newcastle, auquel appartient encore l’international français, sont parvenus hier à un accord de principe pour le transfert du milieu de terrain dans la capitale. Après une première offre parisienne rejetée par le club anglais, tout s’est accéléré avec le déplacement d’Olivier Létang, le directeur sportif adjoint du PSG, qui s’est rendu lundi dans la ville du Nord de l’Angleterre, en compagnie des agents du joueur à bord du vol Air France de 10h15.

Dans les bureaux de St James Park, le dirigeant parisien a rencontré les représentants des Magpies : Lee Charnley, directeur général du club, John Irving, directeur financier, ainsi que Joe Kinnear, directeur sportif. La réunion a duré une grande partie de l’après-midi. Newcastle, qui a rejeté dimanche une première offre de 17 M€, en attendait une seconde. Les Parisiens, sans répondre pour autant aux attentes financières des Anglais qui espéraient un montant de 40 M€, ont revalorisé leur enveloppe.

D’après nos informations le montant serait supérieur à 22 M€.

Face à l’avancée positive des négociations, Olivier Létang a décidé de prolonger son séjour dans le North Umberland et ne rentrera à Paris que cet après-midi.

Toujours d’après nos informations, Yohan Cabaye qui se trouve à Norwich en vue du match de Premier League que ses coéquipiers doivent disputer ce soir, retournera aujourd’hui à Newcastle pour s’envoler dans la foulée vers Paris.

Une possible visite médicale dès demain


Dans l’entourage du joueur, on évoque une possible visite médicale demain.

A l’instar de l’ancien Lillois, l’entraîneur du PSG, Laurent Blanc, a été informé de tous les développements des discussions. Le milieu de terrain de 28 ans avait été acheté pour 5 M€ à Lille en juin 2011. Il était encore sous contrat avec les Magpies pour deux ans et demi. De l’aveu même d’Alan Pardew, le manageur de Newcastle, les heures de Cabaye sous le maillot noir et blanc sont comptées.

Par ailleurs, selon plusieurs médias anglais, le PSG aurait formulé une offre récente à Manchester United pour enrôler Adnan Januzaj, 18 ans, sa petite perle albano-belge. L’offre a été rejetée et Januzaj devrait finalement prolonger son contrat à MU. La démarche parisienne démontre la volonté de Nasser al-Khelaifi de débusquer « le futur Messi ».


leparisien.fr
Malavita
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Accord PSG-Newcastle pour Cabaye

Le PSG et Newcastle sont tombés d'accord lundi soir au sujet d'un transfert du milieu international français Yohan Cabaye au mercato d'hiver.

Acheté 5 millions d'euros par Newcastle à Lille en juin 2011, Yohan Cabaye va rapporter près de 20 millions d'euros (auxquels pourraient s'ajouter 5 millions de bonus) aux Magpies deux ans et demi plus tard. En effet, le PSG a réussi à trouver un accord avec le club anglais pour le transfert du milieu international français de 28 ans. L'affaire, bouclée lundi soir par Olivier Létang à Newcastle, devrait être officialisée ce mardi. L'ancien Lillois pourrait arriver à Paris mardi soir et passer sa visite médicale mercredi.


L'équipe
Varino
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PSG, Cabaye en vue

Paris et Newcastle sont tombés d’accord, hier soir, sur un transfert du milieu international français de vingt-huit ans.


PARIS A PASSÉ la vitesse supérieure, hier, dans le dossier Yohan Cabaye et, de sources anglaises , a obtenu un accord de principe de la part de Newcastle pour un transfert du milieu international français de vingt-huit ans. Après avoir formulé une offre de 16,9 M€ (14 millions de livres) le week-end dernier, le club de la capitale en a fait une nouvelle légèrement inférieures à 20 M€, auxquels s’ajouteraient des bonus pouvant s’élever jusqu’à 5 M€, pour le rachat des deux ans et demi de contrat du joueur. Quelques détails restaient à régler pour la finalisation du contrat mais tout devrait être officialisé aujourd’hui, le club du nord de l’Angleterre ayant accepté cette dernière offre.

C’était la volonté du PSG de finaliser l’affaire avant mercredi soir. Priorité de Laurent Blanc depuis l’été dernier, Cabaye devrait donc s’engager dans les prochaines heures avec Paris, sous réserve de la validation de sa visite médicale. Hier, en milieu d’après-midi, Alan Pardew, le manager des Magpies, semblait bien résigné à l’idée de laisser son milieu défensif, auteur d’une grosse première partie de saison, rejoindre les champions de France. «Nous savons qu'un club est intéressé par Cabaye, un club très riche et puissant, a déclaré Pardew. Vous parlez à quelqu'un qui a perdu Andy Carroll huit heures avant la fin du mercato (*). Donc, non, je ne suis pas confiant. N'importe quelle équipe qui n'est pas en Ligue des champions peut être inquiète.» Côté parisien, on n’avait pas du tout envie de patienter jusqu’à la dernière journée du mercato, vendredi, jour de PSG-Bordeaux. Il fallait aller vite pour conclure ce dossier, comme L’Équipe l’affirmait dans son édition d’hier. Rassuré par les perspectives sportives qui l’attendent à Paris, Cabaye a donc répondu favorablement à l’intérêt de Laurent Blanc. Même si quelques détails étaient encore à régler hier soir avant d’officialiser le transfert, les médias anglais annonçaient dès 23 h 30, que l’international français ne terminerait pas la saison en Premier League. Mais bien au PSG où il retrouvera la Ligue des champions, sept ans après y avoir goûté avec Lille (2006-2007).

L'Equipe
Teichi
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Cabaye au PSG, c'est fait !

Deux ans et demi après son départ de la L1, Yohan Cabaye revient en France. Le milieu de terrain a été acheté à Newcastle par le PSG et a signé un contrat jusqu'en 2017.

Yohan Cabaye rejoint le PSG ! Le club de la capitale est tombé d'accord avec Newcastle et les représentants du milieu international français de 28 ans, qui s'est engagé sur trois ans et demi. L'ancien joueur de Lille quitte Londres, où il se trouvait avec ses équipiers, pour Newcastle avant de s'envoler pour Paris. Si rien n'a encore été décidé, il y a de grandes chances qu'il passe la visite médicale préalable à son transfert mercredi.

Dès lundi soir, la presse anglaise annonçait l'arrivée imminente de Yohan Cabaye dans le club de la capitale. Selon nos informations, ce dernier va verser 20 millions d'euros (auxquels pourraient s'ajouter jusqu'à 3 millions de bonus) dans cette affaire.

Lequipe.fr
Heiji-sama
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NASSER AL-KHELAÏFI LE PRÉSIDENT DU PARIS-SG, ASPIRE À FAIRE DE SON CLUB LE PLUS RICHE DU MONDE MAIS SAIT QUE CERTAINS RÊVES RESTENT DIFFICILES À RÉALISER.

Le président du Paris-Saint-Germain et de Qatar Sports Investments est aussi celui de la Fondation PSG depuis fin 2012. Hier soir, au Pré Catelan, un prestigieux restaurant du bois de Boulogne, Nasser Al-Khelaïfi (40 ans) avait convié près de trois cents personnes à assister au premier dîner de gala d'une fondation qui oeuvre sur le terrain de l'action sociale depuis septembre 2000. Avant cet événement, c'est dans son bureau de patron de beIN Sports que le dirigeant qatarien a balayé l'actualité toujours riche d'un club qui l'est de plus en plus.

« QUELLE PLACE occupe la Fondation PSG dans les objectifs du club ?

- Pour être honnête, quand on a acheté le club, c'est vrai qu'on était plus focalisés sur l'aspect sportif et on ne regardait pas trop du côté de la Fondation Puis j'ai décidé de lui porter une attention beaucoup plus soutenue. C'est une mission que je remplis avec mon cceur. Je ne le fais pour rien d'autre que de voir des sourires sur les visages de ces enfants malades ou en difficulté à qui nous essayons d'apporter une aide, un réconfort. Parfois, il est dur de se retrouver face à un enfant qui souffre, d'autant que j'ai du mal à cacher mes émotions. Voir un de ces enfants sourire, ça me procure un plaisir encore plus intense que de gagner le Championnat. Donner tous les moyens nécessaires pour les aider à travers le sport, l'éducation, la santé, c'est ce que nous essayons de réaliser.

Pourquoi le Parïs-SG a-t-il choisi de cibler Yohan Cabaye lors de ce mercato ?

- On est partis sur l'idée de recruter Cabaye pour trois raisons. 1. C'est un très bon joueur, très intéressant à nos yeux, même si rien n'est encore finalisé (la signature est prévue aujourd'hui). 2. Je ne l'ai encore jamais rencontré mais on m'a dit que c'était un type très bien 3. Il est français et il est très important pour nous de recruter au PSG des joueurs français, de les ramener dans le Championnat de France.

Quand Thiago Silva et Zlatan Ibrahimovic vous font part de leur scepticisme sur ce dossier, comment réagissez-vous ?

- A chacun son métier. Les joueurs sont là pour jouer et le club est là pour recruter les joueurs qui lui semblent utiles. Thiago et Ibra, des joueurs très importants, peuvent avoir leur sentiment sur tel ou tel joueur. Mais ils sont complètement en phase avec ce que fait le club à tout point de vue. Bien sûr, ils veulent que les meilleurs joueurs du monde viennent à Paris. Les fans aussi le veulent. Mais Cabaye est un très bon joueur, aucun doute là-dessus.

Pour Miralem Pjanic, le PSG s'est-il heurté à un refus ferme de l'AS Rome ?

- Quand nous avons parlé avec l'AS Rome, il s'est avéré que ce serait difficile de l'avoir pendant le marché de janvier. L'AS Rome est classée deuxième de la Série A et lutte pour le titre avec la Juventus. C'était compliqué pour eux de lâcher en milieu de saison l'un de leurs joueurs les plus importants. Leurs tifosi auraient pu devenir fous ! (Il sourit.) C'est pour ça que ce marché a pu être compliqué pour nous : trouver un bon joueur susceptible d'être aligné en ligue des champions réduit beaucoup les choix.

L'été prochain, cette contrainte sera levée s'il s'agit de recruter Eden Hazard et Paul Pogba...

- Hazard est unjoueur fantastique. Le meilleur de Chelsea à mes yeux. Mais nous n'avons jamais discuté avec lui. En2012, avant qu'il parte en Angleterre, on a eu la possibilité de le recruter mais onnel'apasfait. Chelsea était très avancé dans ses négociations et comme nous ne voulons pas avoir de mauvaises relations avec les autres clubs, cela s'est arrêté là. Il al'air heureux à Chelsea Quant à Pogba, il fait partie de ces excellents joueurs français que nous regardons. Mais le jour où nous serons vraiment intéressés, nous en parlerons à la Juventus.

Le FC Barcelone se dit sûr que Lionel Messi restera encore longtemps...

- (Il coupe.) Je suis heureux pour eux. Messi est un joueur fantastique. Après, j'ai lu dans L'Équipe qu'il allait venir au PSG.

- Il était écrit qu'il était la cible dont rêve le PSG, pas qu'il viendrait avec certitude...

- Eh bien si vous avez l'argent pour le faire venir, faites-lui signer un contrat et amenez-lenous à Paris ! (Il sourit.)

Il n'y a aucune chance que ce rêve se réalise un jour ?

- Non, jamais.

Alors que vous n'avez toujours pas prolongé le contrat de Biaise Matuidi (26 ans, libre en juin), craignez-vous que la concurrence d'un club comme Manchester City perturbe le traitement de ce dossier ?

- Non. Parce qu'ils savent que s'ils touchent à un seul de nos joueurs, nous allons entrer en opposition avec eux. Et nous irons nous aussi contacter leurs joueurs. Nous respectons tous les clubs. Mais si un club tente de recruter un de nos joueurs, il devra accepter d'en assumer les conséquences. Et ce que je dis ne vise pas seulement Manchester City, qui, d'après ce que je sais, n'a pas contacté Matuidi.

Parfois, de l'extérieur, le PSG apparaît comme un club sans limite..

- (Il sourit.) Si nous n'avions pas de limite, nous ferions venir Messi. Si Messine vient pas à Paris, c'est bienparce qu'il existe des limites.

Faire venir Cristiano Ronaldo ou Messi. c'est la limite du PSC de Qatar Sport Investments (QSl)?

- Aujourd'hui, je suis très satisfait de l'équipe, Pour moi, les meilleurs joueurs sont déjà au PSG.

Où en sont les discussions pour une prolongation de contrat de Laurent Blanc ?

- Nous n'en parlerons qu'une fois que tout sera conclu. Je suis très satisfait de lui et il se sent heureux dans ce club. Donc tout va bien

En Italie, la rumeur court que QSI souhaiterait racheter le club de Cagliari...

- Ce n'est pas du tout vrai.

Cette semaine, un rapport du cabinet Deloitte a révélé que le Paris-Saint-Germain était désormais le cinquième club le plus riche du monde (derrière le Real Madrid, le FC Barcelone, le Bayem Munich et Manchester United)...

- (Il coupe.) Cela se rapporte à l'argent que nous gagnons désormais grâce à nos sponsors et à toutes les autres sources de revenus (398,8 millions d'euros en 2012-2013). C'est une grande fierté de figurer à ce rang deux ans et demi seulement après avoir acheté le club. Quand nous l'avons acquis, nous savions l'énorme potentiel économique qui était le sien. Nous voulons maintenant entrer dans le top 3 des clubs qui génèrent le plus de revenus.

Vous visez la première place de ce classement ?

- Absolument. Je ne sais pas quand nous y parviendrons. Mais c'est notre objectif. »


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Cabaye, l'étage au-dessus

EN S'ENGAGEANT AVEC LE PARIS-SC JUSQU'EN 2017, LE MILIEU DE TERRAIN INTERNATIONAL S'OFFRE UN DÉFI D'ENVERGURE : GAGNER SA PLACE CHEZ LES CHAMPIONS DE FRANCE.

YOHAN CABAYE n'aura pas joué hier contre Norwlch, en Championnat (voir page S), son dernier match sous les couleurs de Newcastle. Peu après 15 heures, le milieu international français (26 sélections) a quitté Londres pour regagner le nord de l'Angleterre, où il a récupéré quelques effets personnels, avant de s'envoler pour Paris, où un contrat de trois ans et demi attend sa signature. Dans la matinée, dirigeants parisiens et anglais avaient réglé les derniers détails d'un transfert dont le montant s'élève à 20 millions d'euros assortis de bonus pouvant atteindre S millions. A vingt-huit ans, Cabaye s'offre un vrai défi : s'imposer chez les champions de France. À quatre mois de la Coupe du monde, le milieu relayeur aurait pu choisir l'option prudente qui consistait à rester jusqu' en mai chez les Magpies, chez lesquels son statut était indiscutable après une première partie de saison de très haut niveau (déjà 7buts en 19 matches). Mais la perspective de retrouver la ligue des champions, huit ans après y avoir goûté avec Lille, et d'évoluer dans l'effectif des champions de France a finalement fait pencher la balance côté départ.

PREND-IL UN RISQUE DANS L'OPTIQUE DE LA COUPE DU MONDE ?

- Ce risque, en tout cas, est modéré. À Newcastle, Cabaye rayonnait au sein du milieu de terrain et s'imposait comme le relais principal d'Alan Pardew, le manager du club. S'il restait en Premier League, son temps de jeu était assuré. Au PSG, il l'est moins, forcément, auregard de la concurrence qui règne dans son secteur. Mais Cabaye est le choix de Laurent Blanc, le même qui l'avait lancé chez les Bleus, en août 2010 en Norvège (1-2). Si l'entraîneur parisien a tant insisté, depuis juillet 2013, pour le recruter, ce n'est pas pour l'abandonner à un rôle de remplaçant. Et, même s'il ne joue pas l'intégralité des rencontres du PSG, Cabaye aura un minimum de temps de jeu qui lui permettra de rester sélectionnable aux yeux de Didier Deschamps. Surtout s'il conserve le même niveau.

OÙ JOUERA-T-IL?

- Cabaye est d'abord un milieu relayeur. Dans le 4-3-3 de Blanc, c'est donc à un rôle de milieu légèrement excentré qu'il semble destiné, soit à la place de Biaise Matuidi, soit à celle de Marco Verratti. Le jeune Italien (21 ans), suspendu contre Bordeaux vendredi, c'est à sa place que l'ancien Lillois pourrait faire ses débuts sous ses nouvelles couleurs, àmoins quel'entraîneur parisien préfère différer les débuts de sa recrue au déplacement à Nantes mardi prochain, en demi-finales de la Coupe de la ligue.

Mais Cabaye peut aussi évoluer dans un rôle de « sentinelle », à l'image de son énorme prestation avec les Bleus contre l'Ukraine (3 -0, le 19 novembre 2 013), ce qui, en cas de blessure de Thiago Motta, est un atout non négligeable. Enfin, cette saison, avec Newcastle, il lui est arrivé d'être positionné dans unrôle de meneur. Au cas où Blanc souhaiterait évoluer avec Ibrahimovic et Cavani en pointe, Cabaye pourrait occuper ce rôle de pointe haute d'un losange, au milieu de terrain Ce serait alors Lavezzi qui enterait les frais.

BLANC PREND-IL UN RISQUE ?

- L'entraîneur du PSG a longuement insisté pour convaincre ses dirigeants de recruter le milieu international français, II sait que Thiago Motta a un physique fragile, alors que Verratti, avec son comportement impulsif, s'expose aux suspensions.

Avec Cabaye, Blanc possède un profil de milieu polyvalent qu'il n'avait pas encore et son effectif semble mieux armé pour jouer sur les trois tableaux dans lesquels Paris est engagé. Un doublé Championnat-Coupe de la ligue et une participation aux quarts de finale de Ligue des champions (*) apparaît désormais comme le minimum exigé par ses patrons, n lui reste à intégrer sa recrue sans modifier l'équilibre de son équipe.


L'équipe du 29 janvier.
giovanni pontano
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Yohan Cabaye arrive sur la pointe des pieds au PSG


L'arrivée de Yohan Cabaye au Paris-Saint-Germain ne devrait pas susciter le même déchaînement médiatique que celui provoqué, il y a pile un an, par le transfert au club de la capitale de la « pop star » anglaise David Beckham pour un bail de… cinq mois.
Contrairement à la saison passée, les télévisions du monde entier ne devraient pas assiéger le Parc des Princes lors de la présentation officielle du milieu international français de 28 ans (26 sélections), acheté à la formation anglaise de Newcastle, actuellement classée 8e de Premier League. Les médias britanniques avaient annoncé dès lundi soir qu'un accord avait été trouvé entre les dirigeants parisiens et ceux des « Magpies », évoquant une somme de l'ordre de 25 millions d'euros.

LE PSG NE FLAMBE PAS

Alors qu'il avait rallié en 2011 l'équipe du Northumberland pour 5 millions d'euros, l'ancien lillois (2010-2011) est sur le point de s'engager avec le PSG jusqu'en 2017. Il devrait passer sa visite médicale à Paris, mercredi 29 janvier. L'arrivée de l'ex-« Magpie », unique recrue du PSG lors du mercato hivernal qui se referme samedi 1er février, ne représente pas un « coup » pour un club accoutumé depuis trois saisons à attirer des vedettes internationales et à flamber sur le marché des transferts.

Avant l'enrôlement de Yohan Cabaye, le club parisien avait dépensé 366 millions d'euros pour bâtir son effectif actuel selon une note de l'Observatoire du football du Centre international d'étude du sport (CIES) de Neuchâtel (Suisse). Soit plus du tiers des sommes investies (951 millions d'euros) par les équipes de Ligue 1 dans le domaine du recrutement.

La venue de Yohan Cabaye trancherait avec la litanie de transferts somptuaires effectués par le club depuis son acquisition en juin 2011 par le fonds Qatar Sports Investments (QSI). De l'achat de l'Argentin Javier Pastore (42 millions d'euros) il y deux ans et demi au recrutement de l'Uruguayen Edison Cavani (64 millions d'euros), joueur le plus cher de l'histoire de la Ligue 1, les dirigeants parisiens ont fait de leur capacité d'investissement une arme absolue sur les plans médiatique et marketing.

Le président du PSG Nasser Al-Khelaïfi avait pourtant indiqué début janvier qu'aucun transfert ne serait effectué lors du mercato d'hiver. « Aujourd'hui, je ne crois pas que nous ayons besoin de recruter qui que ce soit. Nous avons une équipe forte, très bien organisée », avait-il confié à l'AFP. Selon le journal L'Equipe, Nasser Al-Khelaïfi songeait davantage au prochain mercato estival, espérant attirer la star argentine Lionel Messi, dont la clause libératoire est fixée à 250 millions par le FC Barcelone.

LA PREMIÈRE RECRUE CHOISIE PAR LAURENT BLANC

En quête d'un milieu de terrain supplémentaire, l'entraîneur Laurent Blanc s'est depuis ingénié à convaincre son dirigeant de l'intérêt d'enrôler Yohan Cabaye, élément chevronné, auteur de sept buts depuis le début de saison avec Newcastle. En balance avec le milieu de l'AS Roma Miralem Pjanic, le Français ne faisait guère partie des joueurs dont Nasser Al-Khelaïfi souhaitait s'attacher les services.

Son CV peu clinquant ne plaidait pas en sa faveur. « Est-ce que cela va se concrétiser ? Je n'en sais rien. S'il arrive un milieu de terrain, je serai très heureux et s'il n'arrive pas, pour diverses raisons, on fera avec. On l'a fait durant les six premiers mois, ça ne s'est pas trop mal passé », confiait récemment Laurent Blanc. L'ancien sélectionneur de l'équipe de France (2010-2012) apprécie de longue date Yohan Cabaye, à qui il avait confié les clés de l'entrejeu des Bleus lors de l'Euro 2012.

Si les pourparlers aboutissent, Yohan Cabaye serait ainsi la première recrue choisie par Laurent Blanc depuis son arrivée au club en juin. A cinq mois de l'ouverture de la Coupe du monde 2014 au Brésil, l'ex-« Magpie » devrait s'imposer dans un effectif parisien qui compte quatre milieux de terrain de choix avec les Français Blaise Matuidi et Adrien Rabiot et les Italiens Thiago Motta et Marco Verratti. « Je ne donne jamais de garanties au niveau du temps de jeu », a déclaré Laurent Blanc cet hiver.

Cette transaction témoignerait néanmoins d'un nouveau contexte au sein d'un club où l'ex-directeur sportif Leonardo, démissionnaire en juillet, avait coutume d'opérer en solo sur le marché des transferts et d'imposer ses « recrues » à son entraîneur Carlo Ancelotti.

Sur le dossier Cabaye, c'est Olivier Létang, directeur sportif adjoint du PSG, qui a négocié à Newcastle avec les dirigeants des Magpies. « Il est directeur sportif… tout court, disait récemment à propos de ce dernier Laurent Blanc. Et il le fait très bien. » Une fois finalisé, le transfert de Yohan Cabaye attesterait de l'emprise grandissante de Laurent Blanc au PSG.

LeMonde.fr

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FRANCE - LIGUE 1 - TRANSFERT - YOHAN CABAYE AU PSG
MARDI 28 JANVIER 2014
Pourquoi Laurent Blanc voulait « son » Cabaye

Laurent Blanc l’a fait. Il a fait venir ou plutôt fait acheter Yohan Cabaye. « Son » Cabaye. Celui qu’il a fait débuter en équipe de France. Celui que Del Bosque avait appelé « le Xavi français ». Ainsi, non seulement le coach impose son autorité au sein d’un club qui l’avait choisi par défaut l’été dernier, mais il déniche surtout un profil tactique différent qui s’insère naturellement dans l’incontournable milieu à trois parisien. Au point de le faire évoluer ?


Laurent Blanc fait entrer Cabaye contre la Norvège pour sa première en équipe de France


Oui, le PSG avait besoin d’un milieu de terrain

Blaise Matuidi, Thiago Motta, Marco Verratti, Adrien Rabiot. Dans un système qui utilise systématiquement trois milieux de terrain, c’est peu. Après le départ de Chantôme, Blanc avait raison de répéter que quatre ne suffisaient pas. Pour preuve, à la mi-saison, Rabiot a déjà participé à 25 rencontres. Le PSG fait jouer ses jeunes et c’est beau, mais c’est aussi risqué. Pour aller au bout des trois compétitions, le « Président » avait besoin d’un autre milieu de terrain. Un autre dans le sens de quelque chose que le PSG n’a pas déjà.

Jusqu'à aujourd'hui, voilà ce qu’il avait. Matuidi est l’infatigable milieu à tout faire : il ratisse, court, intercepte, couvre l’espace défensivement et le mange offensivement. Motta est le génie de la victoire : avec lui, tout va, sans lui, tout est plus compliqué. Patient, précis, intelligent, il fait tourner la machine, n’a pas besoin de mettre les pieds dans les trente derniers mètres pour se sentir important, et il marque, aussi. Verratti est le prodige fou : peut-être plus talentueux que tous les autres réunis, il réunit la technique, le sens du jeu, la folie et la démence. Souvent suspendu, certes, encore plus souvent important, mais jamais buteur. Enfin, Rabiot est le jeune. Toujours appliqué (ou presque, hein Poko), parfois calmement génial. Mais trop jeune pour risquer de lui faire porter un projet aussi gros que celui de ce PSG. Bilan : un milieu bon et même séduisant, mais loin d'être taillé pour tout gagner.

Cabaye est différent : jeu long, frappe de balle et verticalité

À première vue, la valeur ajoutée de Cabaye est de combiner les bons pieds de Motta et le volume de jeu de Matuidi. Il peut jouer aux trois postes du milieu, donc on peut parler a priori de polyvalence. Oui, la fameuse. Celle qui entraîne l’achat de joueurs bons mais jamais indispensables. Mais on a envie de croire que l’ancien Lillois a bien été choisi pour ce qu’il a de plus que les trois titulaires : la frappe de balle, le jeu long et ce qu’on appellera la « verticalité contrôlée », sans vouloir offenser la conduite de balle de Matuidi. D’ailleurs, la décision a peut-être été prise à la suite du match nul à Guingamp. Avec son milieu habituel contre un bloc défensif dense et sur une pelouse affreuse, le PSG a échoué.

Pour être précis, Cabaye apportera deux outils absolument cruciaux dans la construction tactique de l’équipe de Blanc : la frappe de balle et les transversales. Bloqué dans sa stérile possession de balle sur les mauvais terrains de Ligue 1, le PSG s’offre un pied droit capable de débloquer un match en un coup d’œil ou une interception. D’autre part, il offre à Blanc une nouvelle option sur le banc. Cabaye peut entrer à la 70e et débloquer un match. Jusque-là, quand Matuidi était déjà sur le terrain, Blanc pouvait remplacer pour contrôler plus, mais jamais pour aller gagner.

Plus de risques, plus de football ?

Au début de la saison dernière, Alan Pardew avait lâché : « Il est le cerveau de mon équipe, celui qui sait quand il faut accélérer le rythme du match ou ralentir le tempo. » Un cerveau, certes, mais de Premier League. Ce qui veut dire deux choses. D’une, Cabaye n’a pas pour autant le cerveau de Motta. De deux, Cabaye sait penser vite, jouer rapidement et maîtrise parfaitement le concept de « gain de terrain ». Si la Premier League est un championnat particulier, ça n’est certainement pas pour sa qualité, qui est discutable, mais pour l’importance toute britannique de la notion de territoire. Formé à cette école à Newcastle, Cabaye densifiera encore plus le milieu parisien tout en le tournant vers l'avant.

Infatigable intercepteur de ballons, mature tactiquement au point de diriger les transitions de sa formation, toujours prêt à se sacrifier pour l’équilibre du bloc. Box-to-box. Tirer, tacler, monter, descendre. Avec Cabaye, Newcastle marquait en moyenne 1,4 but et en encaissait 1,3. Sans lui, c’était 1,3 et 2,2. Pour le PSG, il s’agira donc non seulement d’attaquer différemment, mais aussi de défendre mieux. Plus de risques, et plus de football ? Perfectionniste, Blanc considère peut-être simplement que Motta et Verratti jouent trop dans le même registre, sur la même ligne. Car si Verratti a eu besoin jusque-là d’un Motta à ses côtés, le PSG aura aussi besoin de verticalité, de frappes lointaines, de muscles, de courses, de tempo. Avec Cabaye et Matuidi, Blanc peut s’offrir une toute nouvelle solution, modèle Juve : Verratti en Pirlo et deux relayeurs aboyeurs buteurs à ses côtés.

Un vrai défi pour Cabaye

Maintenant, rien n’est dit que Cabaye va s’imposer. À 28 ans, ce transfert représente un grand saut pour Cabaye, qui passe d’un club gentil de Premier League à un (nouveau) grand méchant loup de la Ligue des champions. La Ligue 1 connaît son niveau, mais Yohan n’a jamais été mesuré à des Motta et Verratti. Et si l’on se souvient de son match contre l’Ukraine, étincelant avec Pogba et Matuidi, on n’a pas non plus oublié sa prestation anonyme contre l’Espagne au Stade de France, lorsque le niveau technique s’était élevé. Dans le pire des cas, Laurent Blanc aura filé un coup de main à son pote Deschamps en associant Cabaye et Matuidi durant six mois. Au mieux, Cabaye fera voler le PSG à l’image de ses transversales, encore plus vite, encore plus haut.

Sofoot
allezalex
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Paris veut D. Luiz, mais…

D’après les informations de L’Equipe, le Paris Saint-Germain penserait à David Luiz pour renforcer son arrière garde l’été prochain. Or, «le défenseur brésilien de Chelsea ne serait pas un intime de Thiago Silva, et l’actuel capitaine du PSG souhaiterait conserver Alex à ses côtés, en club». Et on connait le poids de l’ancien Milanais à Paris… A noter que cette information semble toutefois surprenante sachant que Thiago Silva et David Luiz sont régulièrement alignés ensemble au sein de la défense centrale de l’équipe du Brésil... Rappelons que David Luiz, 26 ans, est notamment courtisé par le Bayern Munich et Barcelone depuis plusieurs mois.


Sport24 en attendant l'éventuel article original de l'equipe...
Varino
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La Juve ne lâche pas Verratti

Un an et demi après son arrivée à Paris, Marco Verratti reste dans le viseur de la Juventus. Fabio Paratici, un membre de la direction technique du club turinois, se trouvait mardi, à Leverkusen pour observer une fois de plus le milieu international italien. Au cas où le PSG convoiterait l’été prochain des milieux comme Paul Pogba (20 ans, sous contrat jusqu’en 2016) ou Arturo Vidal (26 ans, 2017), la Juve entendrait forcer le club parisien à inclure Verratti dans la transaction… L’été dernier, l’ancien joueur de Pescara, transféré en juillet 2012 pour 11 M€ (+1,5 M€ de bonus), a prolongé son contrat à Paris d’un an, jusqu’en 2018, portant son salaire à environ 2 M€ net d’impôts par an. Dans le vestiaire, l’Italien (21 ans) est un protégé d’Ibrahimovic. Au cours des prochains mois, le très influent Zlatan pourrait peser de tout son poids pour que « Marcolino » reste au club dans les meilleures conditions possibles.

L'Equipe
Varino
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MÉNEZ INTÉRESSE LEVERKUSEN.– À la recherche d’un milieu offensif pour compenser le départ de Sidney Sam à Schalke 04 l’été prochain, le Bayer Leverkusen, éliminé en huitièmes de finale de la Ligue des champions par le PSG (1-2 ; 0-4), s’intéresse à Jérémy Ménez. Très peu utilisé par Laurent Blanc, l’entraîneur parisien, le milieu offensif international (26 ans) est en fin de contrat en juin. « Il a été question d’une prolongation mais ça n’a pas abouti. Il me reste trois mois de contrat avec le PSG, on verra bien ce qui se passera en fin de saison » , confiait Ménez dans « Tribune 100 % Ducrocq » sur France Bleu 107.1, le 5 mars.

L'Equipe
Teichi
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Griezmann au PSG, déjà fait ?

Annoncé avec insistance depuis de nombreux mois au PSG, Antoine Griezmann, joueur de la Real Sociedad, pourrait rejoindre dès cet été le club de la capitale. Selon le site espagnol Punto Pelota qui s’appuierait sur des sources internes du club basque, l’international tricolore aurait déjà donné son accord pour rejoindre Paris cet été avec un salaire trois fois supérieur à celui qu’il perçoit actuellement. Les 30 millions d’euros réclamés par les dirigeants espagnols pour céder Griezmann ne seraient en rien rédhibitoires pour leurs homologues parisiens, bien décidés à se l'offrir.

lequipe.fr
Biz Markie
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Le PSG discute pour Baselli
Selon nos informations, un émissaire du PSG se trouvait mercredi à Bergame afin de discuter d’un transfert de Daniele Baselli. Ce jeune milieu italien de 22 ans, international Espoirs, est réputé pour sa qualité technique et son sens tactique. A l’instar d’un certain Marco Verratti à son arrivée à Paris, il est souvent comparé à Andrea Pirlo. Sous contrat jusqu’en juin 2017 avec l'Atalanta, son club formateur, Baselli est également dans le viseur de la Juventus et de Monaco.


Lequipe.fr
Homer
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Paris planche quand meme sur cet été

Dans l'attente des éventuelles sanctions que pourrait lui infliger l'UEFA au nom du fair-play financier, le PSG a ciblé deux joueurs : le Barcelonais Daniel Alves et le Romain Miralem Pjanic.

Même si la Direction du PSG ne dissimule pas son inquiétude sur la portée des sanctions que pourrait prendre l'UEFA à son encontre en vertu du fair-play financier, le club avance sur certains dossiers de recrutement pour cet été. Dans l'attente de décisions définitives et actées, les Champions de France étudient des pistes qui pourraient entrer dans le cadre des punitions envisagées (voir l'Equipe de samedi). Deux noms reviennent alors avec insistance : Daniel Alves et Miralem Pjanic.

Recruter un latéral droit est un objectif qui remonte à la surface à chaque mercato et, à chaque fois, le nom de l'internationa brésilen du FC Barcelone est cité. Des contacts ont été établis par le passé, par le biais de Leonardo, l'ancien directeur sportif du PSG (2011-2013), mais le transfert n'a jamais pu se concretiser. Sous contrat pour un an encore en Catalogne, Alves, trente et un ans le 6 mai, serait de plus en plus réceptif à l'idée d'un départ vers Paris. Mais le club de la Capitale n'est pas le seul intéressé. Manchester City, qui dispose de moyens équivalents à Paris mais qui n'est pas non plus à l'abri de sanctions résultant du fari-play financier, lorgne aussi sur le défenseur brésilien. Pour le PSG, ce renfort apparaît toutefois comme un besoin de première nécessité. Même si Grégory Van der Wiel a donné satisfaction cette saison, l'international néerlandais (26 ans) n'a pas toujours eu la régularité souhaitée, et ce poste a souvent été perçu comme le point faible de l'équipe.

La piste Pogba s'est refroidie

En termes d'indemnités, l'éventuel transfert de Daniel Alves ne devrait pas trop peser sur les comptes du PSG. Celui de Miralem Pjanic, un peu plus, mais dans les limites du raisonnable. Le milieu de l'AS Rome, vingt-quatre ans, qui vient de marque contre l'AC Milan (2-0, samedi) à la suite d'un exploit individuel était déjà convoité mais son club ne voulait pas le libérer. Comme Alves, Pjanic est en fin de contrat en juin 2015, et comme le Barcelonais, il n'a pas prolongé. Même s'il a recruté Yohan Cabaye lors du dernier mercato d'hiver, le PSG veut étoffer encore son milieu de terrain. Et au moment où la piste menant à Paul Pogba (21 ans, 2016) se refroidit - le Turinois ayant une préférence pour un départ vers le Real Madrid ou Manchester City, voire une prolongation à la Juve -, celle qui conduit à l'ancien Lyonnais (2008-2011) reprend de la consistance.

Le PSG pourrait réduire le coup de l'opération et entrer dans les clous du fair-play financier en intégrant un joueur dans la transaction. La qualification de l'AS Rome pour la Ligue des Champions renforce l'attractivité de ce club, surtout pour d'anciens joueurs de Serie A, comme Javier Pastore (lié au PSG jusqu'en 2016). Cela pourrait même eptre une transaction permettant à Paris de dégager un bilan financier positif... Mais ce ne serait pas suffisant pour frapper vraiment fort sur le mercato. Parce que les Parisiens aimeraient bien, également, recruter un joueur à vocation offensive. Les joueurs de Chelsea Eden Hazard (23 ans, 2017) et Oscar (22 ans, 2017) font partie des noms ciblés. Mais pour le moment...


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Antero Henrique, ce directeur sportif que le PSG pourrait aller chercher à Porto

L’actuel bras-droit de Pinto da Costa à Porto séduit les propriétaires du Paris-SG. Un intérêt qui ne laisse pas indifférent un Antero Henrique en délicatesse chez les Dragons.


Voilà bientôt un an, Leonardo quittait son poste de directeur sportif du Paris SG. Et personne n’est venu occuper le bureau du Brésilien. Les propriétaires qataris ont pris le temps, cette fois-ci. Car la signature d’un nouveau patron pour la cellule foot n’a jamais été écartée. Plusieurs noms ont même circulé : Figo, Ginola, Galliani, Maldini… Dernièrement, celui de Luis Campos, actuel conseiller du président de Monaco et proche du "super-agent" Jorge Mendes. Voilà qu’un autre Portugais intéresse les patrons du PSG : Antero Henrique. Lié au FC Porto depuis vingt ans, l’actuel vice-président des Dragons traverse une période tourmentée.

En concurrence avec le fils du patron


Les infos évoquant le départ d’Antero Henrique du FC Porto se font insistantes. La sale saison des Dragons n’y est pas pour rien. Une inhabituelle troisième place en Liga, une élimination en quart de finale de Ligue Europa, suivie de deux autres en Coupe du Portugal et Coupe de la Ligue face au rival benfiquiste. A onze contre dix… Pinto da Costa exige des comptes quand les socios réclament un coupable. Antero passe du statut d’héritier annoncé à celui de fusible grillé. Le président du FCP prend ses distances avec l’un de ses plus fidèles officiers. Henrique n’était pas chaud pour un retour de Quaresma cet hiver, pas emballé à l’idée de recruter Lica et Carlos Eduardo (Estoril) l’été dernier. Mais PdC préfère maintenant écouter son fils, Alexandre. Les deux hommes ne se sont pas parlé pendant des années. C’est Fernanda Miranda, la jeune (27ans) épouse du patron portiste (76) qui les a rapprochés. Alexandre est agent FIFA. Un proche de José Veiga, ex-rival de Jorge Mendes. Et son père lui confie de plus en plus de dossiers concernant les transferts du club. De quoi contrarier un Antero, souvent jalousé pour son savoir-faire en la matière. Mais à Porto, le dernier mot revient toujours à Jorge Nuno.

Un réseau impressionnant

En moins de dix ans, AH a établi un réseau de 250 scouts à travers le monde. C’est ainsi qu’il a déniché Hulk au Japon ou Falcao en Argentine. Deux des plus beaux coups des Dragons : 100 millions d’euros générés à eux deux. Il a remporté 18 titres nationaux – plus que tous les autres clubs - depuis qu’il est devenu bras-droit de PdC en 2005. Mais Antero a un regret : avoir loupé le recrutement d’un ancien milieu de terrain de Huracan. La moitié de ses droits coûtait sept millions d’euros. C’était trop pour Porto. Il s’appellait… Javier Pastore. Et il en vaut maintenant bien plus. Mais ce dénicheur de talents saura-t-il répondre aux attentes d’un PSG assoiffé de superstars confirmées ?
Le réseau d’Antero a peu de limites. En 2011, il était annoncé à Chelsea. Jorge Mendes venait d’y placer André Villas-Boas. Mais PdC a refusé de voir son Dragon amputé de deux de ses plus gros membres. Un an plus tard, Daniel Levy a tenté à son tour de reconstituer le duo à Tottenham. Résistance de Porto encore… AVB, qui révélait l’été dernier dans O JOGO entretenir « une excellente relation avec les dirigeants parisiens », pourrait donc bien leur souffler le nom d’Antero, comme il a suggéré celui de Bielsa à Vincent Labrune. Certains y voient carrément une étape avant son arrivée prochaine au Parc. Et un Jorge Mendes – avec qui le PSG aimerait travailler étroitement – forcément dans le coup.

Un personnage discret

Antero José Gomes Ressureição Henrique est à l’image de sa région d’origine de Tràs-os-Montes : discret besogneux et, parfois, rugueux. Ses mots sont rares dans les médias (il paraît que c’est la meilleure façon d’acheter au meilleur prix). De quoi plaire aux décideurs qataris, pas franchement friands des employés trop remuants. La suspension de Leonardo et certaines de ses déclarations n’ont pas aidé les proprios parisiens dans leur quête de conquête et de stabilité. Antero est entré au FCP par la petite porte, à la fin des années 1980. Il s’est occupé de la revue Dragões à laquelle il a donné un grand coup de frais et un énorme coup de fouet. Un autodidacte maitrisant plusieurs langues et qui n’a jamais été un grand fan de foot. A 46 ans, son parcours dépassionné, quasi-hasardeux, inquiète certains supporters portistes, qu’il a peut-être trop bien habitué au succès. Une tradition qui a de quoi plaire aux ambitieux dirigeants du Paris SG.


Nicolas Vilas Eurosport.fr
Varino
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Une réplique et un séisme ?

José Mourinho a répondu hier de manière cinglante aux critiques d’Eden Hazard sur le style des Blues. Un échange entre l’ancien Lillois et le Parisien Edinson Cavani est désormais évoqué.


« CHELSEA n’est pas fait pour jouer au foot. » Mercredi, au micro de beIN Sports, Eden Hazard (23 ans) avait mis en cause le jeu défensif de son équipe après l’élimination des Blues en demi-finales de la Ligue des champions par l’Atlético Madrid (0-0, 1-3). « On me demande de faire la différence seul, ce n’est pas facile », avait ajouté le milieu offensif belge. La réponse de José Mourinho n’a pas tardé. Elle a été cinglante : « C’est normal que ces commentaires émanent de quelqu’un comme Eden, car c’est le genre de joueur qui ne se sacrifie pas pour l’équipe (...), qui n’est pas mentalement prêt à suivre son défenseur latéral et à donner sa vie (pour le contenir). Quand vous regardez le premier but de l’Atlético, il est facile de voir de qui vient l’erreur. Une équipe parfaite au top niveau ne fait pas ce genre d’erreur. »

DEUX BUTS MARQUÉS EN DEUX SAISONS DE C 1

Le manager portugais de Chelsea reproche à Hazard d’avoir laissé filer Juanfran, l’arrière droit madrilène, auteur de la passe décisive sur l'égalisation d’Adrian Lopez (1-1, 44e), mais aussi à l’origine du troisième but de l’Atlético, signé Arda Turan (1-3, 77e). La presse londonienne s’est, elle aussi, montrée critique à l’égard de l’ancien Lillois, de retour après trois semaines d’absence (mollet droit), sur qui huit fautes furent commises mercredi, mais qui est rarement parvenu à prendre le meilleur sur son adversaire direct.

« Je ne suis pas content (de lui) », a poursuivi Mourinho à propos de quelqu’un qu’il définissait en février « comme le meilleur jeune joueur du monde » . Acheté 40 M€ à Lille en 2012, Eden Hazard termine une bonne saison en Premier League (14 buts, 7 passes décisives), mais ses dirigeants sont déçus de son faible impact en C 1 : aucun but en six matches la saison dernière, quand l’entraîneur ne s’appelait pas Mourinho mais Rafael Benitez, et seulement deux buts, dont un penalty, lors de cette édition.

La porte pourrait donc s’ouvrir cet été pour Eden Hazard (sous contrat jusqu’en 2017), mais pas pour moins de 50 millions de livres, selon nos sources (environ 61 M€). Il n’y a pas cinq clubs capables de s’offrir l’international belge (42 sélections, 5 buts). Intéressé depuis longtemps, le Paris-SG en faisait partie, jusqu’à ce que les contraintes du fair-play financier de l’UEFA ne changent la donne (voir L’Équipe d’hier). Mais Chelsea cherche un attaquant de pointe de haut niveau, et l’hypothèse de l’échange entre deux joueurs pas heureux de leur sort (Edinson Cavani et Eden Hazard) commence à circuler. D’ailleurs, les Blues envoient désormais un superviseur à tous les matches du PSG pour suivre l’Uruguayen (27 ans), lié au club parisien jusqu’en 2018.

L'Equipe
NumeroStar
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Daniel Alves menace de partir

Alors que son nom revient avec insistance du côté du PSG, Daniel Alves a menacé de quitter le FC Barcelone en fin de saison. En cause : les critiques des supporters concernant ses performances.
«Comment les gens peuvent oublier que ces joueurs ont permis d'élever le football à son meilleur niveau ?, a interrogé l’international auriverde. Ça ne me donne pas envie. C'est pour ça qu'il y a beaucoup de doutes sur le fait que je reste. Si les gens m'acceptent comme je suis, très bien. Sinon je m'en irai». Et de conclure : «Que cela plaise ou non, je fais partie de l'histoire de ce club, la plus belle histoire (...) Mais j'ai besoin d'énergie, j'ai besoin d'être content et heureux.»


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Varino
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Au mercato, il va falloir viser juste

« LE PSG n’a pas besoin de sept, huit ou neuf joueurs mais d’un vrai saut qualitatif. » Au lendemain de sa prolongation de contrat, Laurent Blanc a ouvert le dossier mercato. Un exercice délicat cette saison avec la contrainte du fair-play financier qui « offre » la possibilité à Paris de ne recruter qu’un seul joueur pour une enveloppe maximum de 60 M€. Pour le reste, il faudra vendre avant d’acheter sans pour autant augmenter la masse salariale. Un petit casse tête pour le staff de Blanc qui espère un grand défenseur central, un attaquant gauche et un latéral droit.

Mais les souhaits d’un coach arrivé l’été dernier sur la « pointe des pieds » — dixit Blanc — dans un club toujours dépourvu de directeur sportif devraient être davantage écoutés, renforcé qu’il est par une saison à trois trophées. « Je sais dans quelles conditions je suis venu et on s’était fait à l’idée de ne pas rester très longtemps au PSG, expliquait l’ancien sélectionneur hier. On a appris à connaître les gens. La confiance est réciproque. On va attendre les sanctions liées au fair-play financier mais, malgré ces contraintes, on va pouvoir améliorer l’équipe. En termes de recrutement, il faudra bien cibler. »

L’épineux cas Edinson Cavani

Interrogé sur le profil ou le poste de la perle rare que cherche Paris, Blanc a botté en touche. Adepte du jeu de possession, l’entraîneur a reconnu qu’il fallait se montrer plus agressif défensivement. « Je pense toujours que faire du jeu est beaucoup plus difficile que de défendre. Mais avec ma petite expérience d’entraîneur en Coupe d’Europe, je suis en train de changer d’avis. Bien défendre est une nécessité en Ligue des champions. Mais cela n’est pas incompatible avec le fait d’avoir le ballon. Il faut donc avoir des monstres défensifs derrière. »

Une réflexion dont Alex pourrait être une des victimes alors que la prolongation du contrat du Brésilien — extracommunautaire — tarde à se concrétiser. Elle jette aussi le trouble sur le dossier du brésilien Daniel Alves (au passeport espagnol également) qui a menacé hier de quitter Barcelone et dont le transfert vers Paris semble bien avancé.

Mais difficile de croire que le PSG abatte sa seule carte maîtresse pour un latéral droit. Reste la question du mal-être d’Edinson Cavani, agacé d’être relégué à droite du trident offensif mené par le roi Ibra. « On peut changer de système et de tactique mais pas de philosophie, remarque Blanc. Si on veut mettre un joueur dans des conditions optimales, on en mettra d’autres en difficulté. C’est une question d’équilibre. Et pour jouer avec deux attaquants axiaux, il faut avoir des spécialistes sur les côtés. » Sous entendu, ce PSG là ne les a pas encore. Le mercato parisien de l’été sera aussi subtil qu’une partie d’échecs…

Le Parisien
liampsg

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