Citation
L1 - Bazin écarte les “vipères” au loin
Sébastien Bazin prend aujourd'hui lui-même en main les rênes du PSG.
L’attaque de Villeneuve oblige le représentant de Colony Capital à monter en première ligne.
Sébastien Bazin est un homme de l’ombre, qui ne doit à la lumière dans laquelle l’a forcément plongé le fait d’être le représentant du principal actionnaire du PSG que des désagréments, certes futiles mais réels. Impossible, ainsi, de faire un pas dans Paris sans se voir apostrophé par des amoureux du club francilien, désireux de lui faire part de leur point de vue sur les compositions d’équipe ou le recrutement passé et à venir.
Si le visage de ce quadragénaire aux bonnes manières ne s’était pas, avant 2006, étalé en une des gazettes, son parcours de virtuose de la finance lui vaut d’être considéré par ses pairs comme un professionnel de talent.
Administrateur délégué chez Colony Capital depuis 1997, Bazin a commencé sa carrière aux Etats-Unis en 1982 en tant qu’analyste financier.
Huit ans plus tard, il rejoint le département fusion-acquisition d’une grande banque avant de diriger sa première société, spécialisée en développement hôtelier. En 1996, il fait la connaissance de Tom Barrack, fondateur de Colony Capital, qui ne tarde pas à lui confier le développement en Europe de son fonds de pension.
Forcément déçu par le mode de fonctionnement des deux présidents du PSG qu’il a connus, entre un Cayzac jugé trop effacé et un Villeneuve qui le trahit – Tahar n’ayant assuré qu’un intérim –, Sébastien Bazin devrait donc prendre lui-même les choses en main, quitte à accentuer encore plus l’intensité des projecteurs sur lui braqués.
Sébastien Bazin prend aujourd'hui lui-même en main les rênes du PSG.
L’attaque de Villeneuve oblige le représentant de Colony Capital à monter en première ligne.
Sébastien Bazin est un homme de l’ombre, qui ne doit à la lumière dans laquelle l’a forcément plongé le fait d’être le représentant du principal actionnaire du PSG que des désagréments, certes futiles mais réels. Impossible, ainsi, de faire un pas dans Paris sans se voir apostrophé par des amoureux du club francilien, désireux de lui faire part de leur point de vue sur les compositions d’équipe ou le recrutement passé et à venir.
Si le visage de ce quadragénaire aux bonnes manières ne s’était pas, avant 2006, étalé en une des gazettes, son parcours de virtuose de la finance lui vaut d’être considéré par ses pairs comme un professionnel de talent.
Administrateur délégué chez Colony Capital depuis 1997, Bazin a commencé sa carrière aux Etats-Unis en 1982 en tant qu’analyste financier.
Huit ans plus tard, il rejoint le département fusion-acquisition d’une grande banque avant de diriger sa première société, spécialisée en développement hôtelier. En 1996, il fait la connaissance de Tom Barrack, fondateur de Colony Capital, qui ne tarde pas à lui confier le développement en Europe de son fonds de pension.
Forcément déçu par le mode de fonctionnement des deux présidents du PSG qu’il a connus, entre un Cayzac jugé trop effacé et un Villeneuve qui le trahit – Tahar n’ayant assuré qu’un intérim –, Sébastien Bazin devrait donc prendre lui-même les choses en main, quitte à accentuer encore plus l’intensité des projecteurs sur lui braqués.
France Soir.
Apparement selon eux Bazin serait notre nouveau président.