Merci pour ces infos. Barrada a t-il une chance de s'imposer en Espagne, Leguen semblait l'apprécier. Personne n'est sans club? Un peu peiné par le début de parcours post-PSG de Partouche.

Alexandre Letellier a joué ce week end avec la réserve d'Angers contre celle de Nantes. Victoire 2-0 et très bon match d'Alexandre. Les deux entraineurs respectifs parlent du match de Letellier dans cet article

http://www.sportdating.fr/2011/03/fc-nante...ts-en-reserves/

Merci pour les news des anciens

Ce serait vraiment pas mal si Bachirou pouvait monter en D1 écossaise.

Ça la fou mal pour Partouche . On vois là que le foot pro c'est pas que des qualité technique. J'espère qu'il rebondira et que ses souvenirs du monde du foot ne se limiteront pas à cette entré en jeu face à Bastia où le public le chouchoutais.

Pour Letellier, qu'il patiente. S'il boss bien en réserve, il sera récompensé. Maliki n'est plus en début de carrière .

Sinon, petit HS mais la réserve de Nantes est en CFA2. Ça s'est fait automatiquement à la tombé de l'équipe fanion en Ligue 2 (afin de respecté l'écart de 3 divisions "règlementaire" entre un club pro et ça réserve) où ils en sont arrivé là "sportivement" ?

(afin de respecté l'écart de 3 divisions "règlementaire" entre un club pro et ça réserve) où ils en sont arrivé là "sportivement" ?

Abdelaziz Barrada (21 ans), milieu offensif franco-marocain qui s’était révélé à Sénart-Moissy (CFA) avant de rejoindre le PSG (2007-2010, 32matchs en CFA, 3 buts), a signé jeudi un contrat pro de trois ans avec Getafe (L1 espagnole), où il était arrivé l’été dernier.

Excellente nouvelle, cela me fait super plaisir pour ce fin technicien

Convoitises
[...] le milieu de terrain de Red Star (CFA), Cédric Nkoum, intéresserait Lille (L1) et … Créteil.

Mavinga: "Ça me fait ch... d'être parti"




Formé au Paris Saint-Germain, Chris Mavinga n'a pourtant jamais porté les couleurs franciliennes chez les professionnels, lui qui s'est engagé à l'été 2009 avec le Liverpool FC, non sans avoir espéré rester au sein du club de la capitale. Presque deux ans après, le défenseur central revient sur son départ des Rouge et Bleu puis ses objectifs à court et moyen termes.



Dans quelles conditions avez-vous quitté le Paris Saint-Germain pour Liverpool?
Chris Mavinga: J'ai quitté le Paris Saint-Germain à l'été 2009, avant de signer mon premier contrat professionnel puisque j'étais encore aspirant. A l'époque, je souhaitais m'engager avec le PSG car c'est mon club de coeur, c'était mon centre de formation. Je venais tout juste de fêter mes 18 ans et je ne me voyais pas partir à l'étranger, quitter ma famille et mes amis... Ce n'était pas envisageable. Et puis il y a eu plusieurs circonstances qui ont fait que je ne me suis pas engagé avec le PSG...

Pourquoi n'avez-vous pas réussi à vous entendre avec le PSG?
Je n'avais pas les mêmes idées que les dirigeants. Le discours sportif que l'on m'a tenu ne m'a pas convaincu... Il faut savoir que les propositions contractuelles de Liverpool sont venues bien avant celles du Paris Saint-Germain aussi. C'est un peu gênant quand même, surtout quand c'est votre club formateur. Mais je n'ai pas signé immédiatement à Liverpool, j'ai attendu que le PSG me propose quelque chose de concret mais ils n'ont pas fourni beaucoup d'efforts.

Êtes-vous parti à reculons pour Liverpool?
Je savais que ce serait difficile de rejoindre ce club mais je m'étais préparé malgré tout car je sentais bien, au regard de l'évolution des discussions avec le Paris Saint-Germain, que j'allais devoir sauter le pas. Je m'étais préparé à changer de monde, à m'engager pour un club beaucoup plus grand que le PSG, j'ai discuté avec David Ngog pour ne pas débarquer en terrain inconnu, ... J'ai eu la chance d'avoir le choix et, si ça n'avait pas été le cas, j'aurais sans doute signé malgré tout au PSG par défaut, même si y rester était ma priorité.

"Ngog a doublé son temps de jeu à Liverpool"

Avez-vous encore le PSG dans un coin de votre tête?
Encore aujourd'hui, ça me fait ch... d'être parti. Je suis supporter de ce club, je suis leurs matches et leurs résultats. Mon rêve, je l'avais déjà dit par le passé, c'était de jouer au Parc des Princes, devant ma famille, mes amis. Je me voyais jouer là-bas, peut-être former une charnière centrale avec Mamadou Sakho un jour, mais je me suis éloigné... Après, on ne sait jamais, peut-être y reviendrai-je un jour. Quoi qu'il en soit, même si cette expérience reste un petit regret, je me donne à fond pour mon nouveau club sans compter.

La trajectoire de votre aîné, David Ngog, a-t-elle pesé au moment de faire votre choix?
Oui, c'est certain. Laurent Viaud, qui était recruteur pour Liverpool, m'avait beaucoup parlé du club puis m'avait mis en contact avec lui. Nous avons beaucoup parlé et quand j'ai vu son parcours, chez les Reds, ça m'a motivé. Au PSG, il ne jouait quasiment pas et il a doublé son temps de jeu en rejoignant les Reds pour aujourd'hui faire partie de la rotation offensive de l'équipe première.

Et comment s'est passé votre première saison de l'autre côté de la Manche?
C'est Rafael Benitez qui était venu me chercher donc tout avait été prévu avant: je devais débuter la saison avec l'équipe réserve, m'entraîner de temps à autre avec les professionnels, puis intégrer l'équipe une en deuxième partie de saison. Tout était programmé et, sous l'ère Benitez, toutes les promesses ont été tenues. J'ai donc été pleinement satisfait de ma première saison à Liverpool.

N'Goyi raconte son Paris


Recruté à l'âge de 13 ans par le PSG et encore sous contrat pendant deux ans avec le club de la capitale, Granddi N'Goyi va vivre un drôle de dimanche.

N'GOYI ET LES DÉBUTS.
«Je suis arrivé au centre de préformation du PSG à 13 ans mais j'ai passé ma première détection à 11 ans. Je jouais alors à Savigny-le-Temple et le PSG m'a alors conseillé de signer à Mée-sur-Seine pour me suivre. J'y ai joué deux ans et je passais aussi des tests au PSG presque tous les mois. Toute la semaine, au centre de préformation à Conflans, c'était cours et foot, et match le samedi. Le PSG a toujours été mon club préféré. J'allais rarement au Parc mais je regardais tous leurs matchs à la télé avec les Leonardo, Raï. J'ai vécu cette période comme un rêve. Mon frère Mehdi était alors en sports études à Avranches et ne rentrait que pour les vacances. Moi, j'étais en famille tous les week-ends».

N'GOYI ET L'APPRENTISSAGE.
«J'ai gravi tous les échelons au PSG des 13 ans jusqu'à mes premières sélections en équipe de France des 19 ans, et mes débuts en L1 à Sochaux avec Paul Le Guen à 19 ans. J'avais signé un contrat d'aspirant à 16 ans. Mais l'année la plus dure a été celle en 15 ans DH, dans des banlieues parfois très chaudes avec des gens qui voulaient nous marcher dessus car on jouait au PSG. Plus tard, j'ai aussi vécu des moments chauds quand les supporters venaient pour tout casser au Camp des Loges quand ça n'allait pas. Nous, les jeunes, on était un peu extérieurs à tout ça mais vous voyez quand même ce qui vous attend...»

N'goyi et les souvenirs.
La victoire en Coupe de France l'année dernière et celle en Coupe de la Ligue (2008) au terme d'une saison où on a failli descendre sont de bons souvenirs mais pas les meilleurs. Mon plus gros souvenir, c'est notre titre de champion de France des 18 ans contre Monaco (2-0) avec une bande de potes. Clément Chantôme a un an de plus que moi mais on a le même parcours. Pendant des années, on est allé à l'entraînement ensemble. Et, lui aussi, il est de Savigny-le-Temple».

N'GOYI ET LE BREST - PSG.
«Je suis supporter du PSG sauf dimanche où je serai 100% brestois. Je connais bien les joueurs, Mamadou Sakho notamment, que j'avais eu au téléphone avant son match face à Lyon. Mais je ne me prépare pas différemment pour autant. Quand j'ai été prêté à Brest, le club m'a dit que je partais pour revenir mais je n'ai pas de nouvelles. Je n'ai qu'une envie: bien finir la saison et assurer notre maintien. Après, on verra... »

Qu'il assume son choix de l'argent au lieu de nous sortir les conneries habituelles

"j'aurais sans doute signé malgré tout au PSG par défaut, même si y rester était ma priorité." Faudrait savoir, c'est un choix par défaut ou une priorité

La trajectoire de votre aîné, David Ngog, a-t-elle pesé au moment de faire votre choix?
Oui, c'est certain. Laurent Viaud, qui était recruteur pour Liverpool, m'avait beaucoup parlé du club puis m'avait mis en contact avec lui. Nous avons beaucoup parlé et quand j'ai vu son parcours, chez les Reds, ça m'a motivé. Au PSG, il ne jouait quasiment pas et il a doublé son temps de jeu en rejoignant les Reds pour aujourd'hui faire partie de la rotation offensive de l'équipe première.

N'GOYI ET LE BREST - PSG.
«Je suis supporter du PSG sauf dimanche où je serai 100% brestois. Je connais bien les joueurs, Mamadou Sakho notamment, que j'avais eu au téléphone avant son match face à Lyon. Mais je ne me prépare pas différemment pour autant. Quand j'ai été prêté à Brest, le club m'a dit que je partais pour revenir mais je n'ai pas de nouvelles. Je n'ai qu'une envie: bien finir la saison et assurer notre maintien. Après, on verra... »

Granddi Ngoyi (Milieu de terrain de Brest)
« Je suis supporter du PSG sauf dimanche où je serai 100% brestois. Je connais bien les joueurs, Mamadou Sakho notamment, que j'avais eu au téléphone avant son match face à Lyon. Mais je ne me prépare pas différemment pour autant. Je n'ai qu'une envie: bien finir la saison et assurer notre maintien. Après, on verra... »

Ca existe vraiment ça?
Parce qu'il y a des réserves de L2 en CFA, comme Le Havre ou Metz

LE SOC INTRAITABLE

Châtellerault - Cholet : 3-1 Les coéquipiers de Treguer ont aligné une quatrième victoire de rang à domicile. Elle s'est dessinée après l'expulsion d'Altunay.
Bébien va se heurter à Sauvage en tout début de rencontre. Le SOC a mis plus d'une heure avant de tromper une première fois le gardien choletais.
Bébien va se heurter à Sauvage en tout début de rencontre. Le SOC a mis plus d'une heure avant de tromper une première fois le gardien choletais. - (Photo cor., Alain Biais)

Un match débridé de fin de saison. Avec tous les ingrédients nécessaires qui font une bonne soirée. Une température idéale, de l'intensité, des occasions, encore des occasions, des interventions de gardiens et enfin des buts. Quatre au total, mais c'était un minimum ! Nous avons noté cinq situations nettes pour les Blancs de Cholet et huit pour des Rouges survoltés et intenables après l'expulsion d'Altunay (53 e ), le meilleur Choletais jusqu'à sa sortie.

Pénoty : '' Un bon match de reprise ''

« C'est le tournant du match », convenaient en choeur les Châtelleraudais. « A 11 contre 10, nous avons trouvé des espaces et enfin le cadre », appuyait Anthony Buon, double passeur, et auteur d'un match plein. Dans le camp d'en face, Jean-Pascal Beaufreton, l'oeil noir, avançait une autre analyse : « On perd un joueur de façon sévère et deux des arbitres, ensuite, ont pris soin de nous enfoncer. La faute sur le penalty intervient en dehors de la surface et le deuxième but est entaché d'un hors-jeu. »

Jusqu'à la sortie de son numéro 10, génial buteur en première mi-temps d'une frappe limpide de 25 m (41 e ), Cholet menait plutôt bien sa barque. L'absence de cinq éléments majeurs se faisait à peine remarquer. Et puis le match allait basculer, comme on l'a dit. « L'équipe s'est libérée, transcendée lors d'un bon match de reprise », saluait Geoffray Pénoty. Buon, Villeret et Serin se révélaient insaisissables à l'image du deuxième but, signé Serin, après un mouvement d'école impliquant les trois joueurs (71 e ). Auparavant, Villeret avait inscrit son huitième but, sur penalty, suite à un tacle de R. Martin sur Serin. « La faute est commise sur la ligne, jurait le vif attaquant châtelleraudais. Après, c'est à l'arbitre d'apprécier... »
Mais le suspense demeurait entier. Cholet ratait ainsi l'égalisation par Assouvie, sur une troisième énorme parade de Dauvergne (77 e ). Sur le contre, Buon servait Villeret, abandonné par la défense visiteuse, pour le coup de grâce (77 e ).
Châtellerault (7 e ce matin, deux places de gagnées) venait de garder le meilleur pour la fin. Car en début de rencontre, le SOC avait gaspillé pas moins de trois occasions franches (Bébien 6e et 22e puis Serin 7e) contre deux à Cholet (3 e et 5 e ). Mais ça valait le coup d'attendre.

la fiche

Mi-temps : 0-1.

Arbitre : M. Hervieux.

Spectateurs : 410.

Buts : pour Châtellerault, Villeret (61 e sp et 77 e ), Serin (71 e ), pour Cholet, Altunay (41 e ).

Avertissements : à Châtellerault, Bodard (25 e ), Chevalier (50 e ), à Cholet : Altunay (32 e ), Leroy (51 e ), Sauvage (71 e ), J. Adam (84 e ).

Expulsion : à Cholet, Altunay (53 e , 2 e avertissement).

Châtellerault : Dauvergne - Bailly, Bodard (Bertrand 59 e ), Guérin, Chevalier (Plault 72 e ) - Bébien (Bouras 81 e ), Treguer, Charbonnier, Buon, - Villeret, Serin.

Cholet : Sauvage - R. Martin, Leroy, Da Cunha, J. Adam - Simon, Camara, Hivon (Drouet 78 e ), Altunay - Assouvie, Nanouche (Chevalier 69 e ).

Valot va participer à la finale de la coupe Gambardella avec Monaco contre l'ASSE. Le match sera à suivre à 18h sur France 4.

Bonne chance à lui

Saad Ichalalene à l'USM Alger.
Mêmes questions que pour Harrouard.

Malik Rouag est sans club

Harrouard n'est pas titulaire indiscutable, 20 titularisations cette saison je pense. Mais il se stabilise enfin, il a notamment eu des expériences malheureuses à Pacy sur Eure puis à Béziers. Il n'a pas trop joué non plus à Dieppe en CFA 2 l'an dernier.

Il me semble également que Kévin Reuzeau est sans club, Compiègne ne l'ayant pas conservé

Il joue avec la DSR non?