Non mais à la limite, ouais pourquoi pas il nous apprend rien (donc à la limite ferme ta gueule Raymond), mais j'aimerais aussi qu'il ne repose pas toute la faute sur les autres.

Le mec a tout pris dans la gueule pendant des années et on avait droit à des "Il a pourtant une génération extraordinaire!!!". Bon quand ça a changé de sélectionneur, d'un coup, le pauvre Lolo n'avait pas des grands joueurs.
Marrant.
Ban non c'est une bande de trou du culs pour pas mal et Domenech il a pris assez cher pour les protéger.

Blanc que j'attendais comme le messie après l'autre autistre de Domenech a fait encore plus de la merde dans ses choix.

Si il se plaint de la génération, pourquoi ils les convoquent, pourquoi ils ne les a pas sanctionné quand ils faisaient de la merde? Après tout, c'est pas ça le boulot d'un sélectionneur?

Il n'y a qu'à voir la différence avec Deschamps, Nasri qui fait de la merde n'est pas convoqué et personne n'a rien à en dire. Je trouve ça juste marrant de s'appuyer sur des mecs que l'on déteste et ensuite repousser toute la faute sur eux une fois que l'on s'est fait sortir honteusement.

Il aurait peut être pu tirer la sonnette d'alarme avant non?

S'il n'avait pas pris les "meilleurs" joueurs du moment, il aurait reçu une salve encore plus meutrière mais je suis d'accord sur le fait qu'en les prenant, il savait ce qu'il faisait et devait assumer ses choix.

Ok donc, par peur de salve, on la joue petite bite et on va droit dans le mur sans en assumer aucune responsabilité.

Personne conteste que le mec était à coté de la plaque, après les responsabilités sont partagées et jusqu'ici j'ai plutôt l'impression que le mec à encaisser les critiques ( ultra justifiées of course ) et a fermer sa gueule non ?
Dans les passages qu'on peut lire dans la presse le mec reconnait lui même qu'il a fait des erreurs, c'est pas ce que j'appelle fuir ses responsabilités

Lequipe.fr
Foot - Domenech : «Anelka a tué le groupe»
Dans son livre «Tout seul», dont la parution est prévue le 21 novembre, Raymond Domenech raconte notamment son Mondial 2010. Une compétition manquée dont il fait porter une grande partie de la responsabilité à Nicolas Anelka et Franck Ribéry. Thierry Henry n'est pas épargné à l'instar de Florent Malouda.

«Anelka ne fait rien pour les autres»
«Anelka est toujours aussi dilettante. Il a très peu marqué lors de la séance du 8 juin. (...) Après l'Uruguay, c'est une énigme. Il ne se passe rien. Il ne fait rien pour les autres. (...) Lors de l'entraînement du 16 juin, il joue en marchant. (...) Il m'insulte à la pause du match contre le Mexique alors que je n'ai cessé de me battre pour lui et avec lui. (...) Il a joué sa carte personnelle, comme toujours. Il a tué le groupe. Après le match, il rigolait avec Gallas. Quelle inconscience. Etaient-ils heureux de la défaite ? (...) Il ne veut pas s'excuser devant le groupe. "J'accepte. Je serai toujours un incompris." Lui et encore lui. Tout le reste, par exemple la notion d'équipe, le dépasse.»

« J'ai rayé Henry de ma mémoire »

« Il a joué un match entier dans l'année, ne devrait pas être là, fait la gueule et n'assume pas son rôle. (...) Le 10 juin, lors de l'entraînement, il regarde de loin, n'est pas concerné. (...) Lors de la session du 16 juin, il arbitre et dirige. (...) Avant la rencontre face au Mexique, il n'a pas fait un mètre pour s'échauffer. Je l'ai rayé de ma mémoire mais c'est une erreur car on ne met pas un joueur de sa trempe sur le côté sans lui parler. J'ai mis Gignac à la pause à la place d'Anelka mais j'aurais dû mettre Henry. Ca lui aurait plu de jouer les héros. (...) Evra le soupçonne d'être la taupe du vestiaire mais il a ensuite retourné tout le monde, est parvenu à souffler que je pourrais être la taupe. (...) Contre l'Afrique du Sud, j'aurais préféré mettre Réveillère avant-centre, mais le staff m'a convaincu. (...) Finir sa carrière internationale sur l'affaire du bus, c'est tout de même injuste. »

« Malouda ne supporte pas de ne pas être leader de l'attaque »

« Il fait la gueule parce qu'il refuse de jouer milieu défensif. (...) Ses états d'âme perturbent la mise en place tactique. (...) Il fait la gueule à chaque fois que je lui donne un conseil. (...) Il en est même arrivé à tacler Valbuena et Diaby sans raison, juste parce qu'il venait de perdre le ballon. En fait, il ne supporte pas de ne pas être le leader de l'attaque. Il veut être numéro 10, un point c'est tout. (...) Contre l'Uruguay, il fait une bonne entrée. Il pourrait apporter plus s'il n'était pas aussi bourricot. »

« J'ai confié les clés à Ribéry. Quel con je suis... »

«Ribéry n'aime pas Gourcuff, c'est certain. (...) Avant l'Uruguay, j'ai dit à Gourcuff : "Je t'ai confié les clés, à toi de jouer !" Le pire, c'est le regard de Franck Ribéry. Je me fais peut-être du cinéma, mais j'ai vu dans ses yeux la haine, le mépris, ou la jalousie. (...) Il est semblable à Anelka et Henry : tout tourne autour de leur nombril. Lorsque ça coince, ils sont les premiers à quitter le navire. (...) Un joueur cadre de 2008 m'avait prévenu à son sujet et moi, je lui ai confié les clés. Quel con je suis...»

«Réveille-toi, Yoann !»

«J'ai envie de lui mettre des gifles, avec son air de garçon candide, de pauvre petit malheureux à qui on veut du mal. Réveille-toi Yoann ! (...) Il est dans son monde de bisounours. (...) Le 9 juin, il boude à l'entraînement parce que c'est dans sa nature et qu'il ne peut pas comprendre, avec son sens aigu du collectif, le positionnement de Malouda. (...) A l'entraînement, le 9 juin, il dort ou ne sait plus ce qu'il faut faire pour ne pas déplaire. (...) Contre l'Uruguay, il subit. Il court mais n'apporte rien. Il est trop lent, pas serein. (...) Lors des séances vidéo, on se rend compte qu'Anelka ne passe pas à Gourcuff. (...) A l'entraînement, quand il est intégré à l'équipe des titulaires, ils ont saboté l'affaire. (...) Sur TF1, il met en cause la défense. J'étais défait. Les attaquants ne le supportaient plus et il y ajoutait les défenseurs.(...) Il s'est mis en colère après le Mexique. Il en est capable ! Plus tôt, cela aurait été mieux. Il a la rage et je lui dis que pour avoir le pouvoir en équipe de France, il faut le prendre.»

En quel honneur?

Parce que c'est le 2ème meilleur joueur Français de l'histoire derrière Zidane et devant Ben Arfa.

Domenech c'est une grosse merde, il parle d'anelka et tout ça, mais c'est lui qui selectionne, c'est lui qui été pas chaud pour le virer, et c'est lui qui à lu la lettre des grèvistes.
Il les trouve con et débile ? Ba selectionne les pas alors connard ! J'oublie pas comment il se foutait de la gueule des journalistes et des supporters

Il dit des faits, mais c'est DE SA FAUTE, c'est comme-ci je vais sélectionner des trisomiques, et je vais me moquer d'eux dans un livre plus tard.
Qu'il la ferme ou qu'il fasse un livre de 300 pages exclusivement d'excuses.

Tu crois qu'il avait vraiment le choix ? Il aurait mis Benzema/Ribéry and co sur le banc, t'aurais réagi comment ? Et s'il ne les avait pas sélectionnés ?

Il a pas pris Benzema en 2010 , cet abruti

Tu crois qu'il avait vraiment le choix ? Il aurait mis Benzema/Ribéry and co sur le banc, t'aurais réagi comment ? Et s'il ne les avait pas sélectionnés ?

Ba si il explique pourquoi, j'aurais compris à 100%. Au bout d'un moment, tu peus pas fermer les yeux, ou même tu demissionne si t'as pas le choix. Et vu les matchs affligents des éliminatoires, sa aurait pas été aberrant.
C'était le meilleur choix a faire, virer tout les débiles. Il avait l'ocasion de le faire plusieurs fois après le départ de la génération zidane.

On parle du haut niveau la, on peux pas accepter ça, à moins d'être un incompétent au point de se dire " avec de la chance" ou "sur un exploit qui sait".

pas sûr que tout le monde aurait pris le soin d'essayer de comprendre Domenech...

Ouais enfin si le mec avait été épargné je comprendrai vos arguments, mais il s'en est quand même pris plein la gueule, donc c'est assez normal qu'il donne sa version. Et puis perso je trouve ce qu'il dit cohérent (le melon de Ribery c'est pas nouveau par ex...)

J'oublie pas comment il se foutait de la gueule des journalistes et des supporters

Tellement beau pourtant
"J'vous jure si je pouvais me sélectionner je le ferai"

Ba si il explique pourquoi, j'aurais compris à 100%.

Oui bien sûr.
Quand Domenech a débuté il a mis une équipe qui s'est faite tailler par le fabuleux public qui scandait des "Zizou Zizou".
Y a eu les histoires comme quoi les divas ne voulaient pas porter de protege tibias aux entraînements, Pires qui faisait aussi son cirque aussi...
Et tout ça a été reproché à Domenech sur des motifs débiles.
A un moment faut arrêter de faire comme si tout le monde aurait compris s'il écartait ces mecs là.
On aurait dit que Domenech ne savait pas gérer et en plus on aurait eu une équipe de France de troisième zone, un suicide.
Anelka il lui a redonné sa chance en bleu, le mec était quand même tricard.

Ba ça c'est pas non plus amélioré par la suite, la critique et le taillage. C'était dû au jeu minable et aux résultats, pas aux joueurs choisis. Y'avait moyen de faire une équipe simpa. Et quitte à être taillé, autant prendre des mecs concernés. Rien que le match contre l'irlande

Et tu parle de suicide mais ce qui s'est passé en 2010 c'est quoi? DE LA MERDE.
Bref chacun son avis, même si j'ai du mal à comprendre.

Donc c'était Henry la taupe ?

Donc c'était Henry la taupe ?

Taupe je sais pas, mais un melon sur pattes assurément.

Et qui voulait etre calife a la place du calife mais qui n'avait pas 1/10eme de son talent et ca s'est vu lorsque le calife a pris sa retraitre. Dire qu'on a ecarte Trezeguet pour faire de la place a son melon

QPR : Taarabt parle de racisme chez les Bleus

Dans un entretien accordé à La Gazzetta dello Sport, Adel Taarabt a évoqué le racisme en équipe de France.

Souvent au cœur des polémiques, Adel Taarabt s’est une nouvelle fois fait remarquer dans un entretien accordé à La Gazzetta dello Sport. Cette fois, l’international marocain des QPR a évoqué une forme de racisme en équipe de France. « En équipe de France, quand des problèmes surviennent, c'est toujours la faute des Noirs, des Nasri, des Ben Arfa, des Benzema, mais pas des Ménez, qui n'a même pas un nom français. Autant ne convoquer que des Blancs alors… », a déclaré le milieu des QPR, non retenu par le Maroc pour disputer la prochaine CAN en janvier prochain.

L'avis d'un génie :


Foot365

Le coup du nom de Ménez

Il pouvait pas prendre pire exemple pour le blanc

Ce casos n'est même pas retenu avec le Maroc.

Il ne voulait pas y aller ce chien.

Il est au-dessus ce mec

DIDIER DESCHAMPS : "LES JOUEURS ONT PRIS LE POUVOIR"

Discipline, valeurs, formation… Après six mois à la tête de l'équipe de France, le sélectionneur des Bleus fait le point sur son mode de fonctionnement. Interview.

Un mois après un nul épique arraché à Madrid contre le champion du monde espagnol, qui sonne comme un renouveau pour l’équipe de France, Didier Deschamps nous a reçus au siège de la Fédération française de football, dans son bureau de sélectionneur qu'il occupe depuis six mois. Il a beau avoir connu l’arrivée de l’argent roi avec l’OM de Bernard Tapie, c’est encore un professionnel à l’ancienne, qui prononce le mot footballeur à la française, avec le a ouvert de "balle au prisonnier". C’est également un caractère. On le connaissait capitaine aboyeur sur le terrain. On le découvre sélectionneur père la morale, préoccupé par le laxisme régnant dans le football français.

- Avec une victoire contre l'Italie et un match nul contre l'Espagne, l'équipe de France a mieux terminé l'année 2012 qu'elle ne l'a débutée. Comment avez-vous procédé ? Pour l'ancien sélectionneur Raymond Domenech, la nouvelle génération bleue est devenue très dure à manier. Vous avez mis l'affect de côté ?

C'est quoi l'affect ? Dire à un joueur qu'il est le plus beau, le meilleur, que tout va bien ? Il y a assez de monde autour de lui pour le lui répéter à longueur de journée, même quand ça ne va pas. Le rôle d'un entraîneur est de savoir appuyer là où ça fait mal, quand le besoin s'en fait sentir.

- Quitte à le faire publiquement ?

Publiquement, non, ce n'est pas mon mode de fonctionnement. Je fais passer des messages, parce qu'on est dans un monde de communication, mais vous ne me verrez pas attaquer un joueur par médias interposés. Si j'ai quelque chose à dire, je le dis en face.

- On parle beaucoup de valeurs dans le football. N'y a-t-il pas un gouffre entre votre génération et les joueurs d'aujourd'hui ?

Cette différence, on ne la retrouve pas seulement dans le football. Il y a des centres d'intérêt différents, un accompagnement qu'ils n'ont pas eu, un contexte familial parfois difficile ou très difficile. Quand les plus jeunes m'arrivent, ils ont déjà une vingtaine d'années. Si on ne leur a pas dit : "Ca c'est pas bien, ça c'est bien", ils s'habituent à des choses qu'on peut trouver... voilà...

- Est-ce la faute des centres de formation ?

Le problème se pose bien avant. Quand les joueurs arrivent en centre de formation, ils ont 14-15 ans, c'est déjà trop tard. La période la plus importante, c'est de 0 à 6 ans. Or, l'environnement familial, ils l'ont ou ils ne l'ont pas. En plus c'est une génération qui maîtrise les nouvelles technologies, ça leur donne un sentiment de pouvoir par rapport à leurs aînés.

- Comment faites-vous pour les canaliser ?

Je leur fixe un cadre de travail et de vie. L'enjeu après est de s'y tenir, parce qu'ils ont cette tendance à vouloir agrandir le cadre. On a toujours envie d'un peu plus de liberté.

- Vous avez dû mettre le holà ?

Non, je leur fais confiance. Mais ils savent que, quand je ne suis pas là, je suis là quand même...

- Comment ça ?

Je ne suis pas là pour les fliquer, mais je connais du monde. Et lorsque je compose mon équipe, je fais en sorte d'avoir un maximum d'informations, pas seulement sportives, afin de ne rien laisser au hasard.

- A vous entendre, on a l'impression que le football professionnel est devenu un peu trop permissif avec les joueurs...

Plus que cela : les joueurs ont pris le pouvoir ! Alors que l'autorité des clubs devrait être au-dessus de tout.

- Mais les propriétaires peuvent les virer à tout moment...

Seulement, les joueurs, c'est aussi du capital ! On ne va pas résilier leur contrat pour une faute professionnelle. D'autant que le système de sanction est très réduit.

- Comment expliquez-vous ce sentiment de toute-puissance qu'on ne retrouve pas en Angleterre, ou en Espagne ?

Dans ces pays, les clubs ont la réalité du pouvoir ; Barcelone sera toujours Barcelone, quels que soient les joueurs. Cela implique des comportements. Si tu n'as pas été bon, tu assumes. Il ne sert à rien de te trouver des excuses.

- Des joueurs qui évoluent à l'étranger comme Nasri ou Ben Arfa semblent oublier ces principes en équipe de France...

Un joueur n'est plus le même en France ou à l'étranger. A l'étranger, il se sait sous surveillance. Les effectifs sont plus stables et il y a des anciens pour tenir la maison. En France, ça ne marche pas comme cela.

- En raison de la faiblesse sportive des clubs ?

Non, plutôt de leur instabilité. Aujourd'hui, n'importe qui peut devenir président de club. Pour deux mois, six mois, un an... A l'étranger, c'est impossible. Prenez les sept-huit plus grands clubs européens, le management y est très stable.

- Que pensez-vous de l'achat du PSG par les Qataris ?

On ne va pas se plaindre d'avoir Ibrahimovic à Paris. Qu'il y ait des capitaux étrangers dans le foot français ne me gêne pas. Si on pouvait avoir trois, quatre, cinq clubs avec de gros moyens, ce serait mieux pour tout le monde. Pour les joueurs et pour la ligue 1, dont on parlerait davantage.

Le PSG, c'est une exigence au quotidien, une obligation de résultat. Les joueurs qui baignent là- dedans en sortent renforcés. Voyez le jeune Adrien Rabiot : il sort du centre de formation, Ancelotti [l'entraîneur du club, NDLR] le repère et lui donne sa chance en Coupe d'Europe à 17 ans et demi ; c'est formidable ! Il va grandir et progresser plus vite que d'autres qui sont bons, mais qui, au même âge, ont fait le choix de quitter leur club formateur pour décrocher un gros contrat à l'étranger.

- Ce n'est pas une bonne option pour un jeune footballeur de partir tôt à l'étranger ?

Pire que ça, c'est une hérésie. Combien se perdent et disparaissent ? Alors qu'en France ils pourraient jouer dès 18 ans, et accumuler du temps de jeu. Et puis il faut penser aux clubs qui, pour la plupart, vivent de la formation. La situation n'est pas tenable. Ils investissent sur un joueur sans avoir la moindre assurance qu'il deviendra professionnel sous leurs couleurs.

- Ce dossier semble vous tenir à cœur. Vous allez à la rencontre des jeunes joueurs pour les convaincre de rester ?

A quoi bon ? Le combat est perdu d'avance. Le problème est que l'intérêt sportif n'est pas prioritaire.

- Votre parole pourrait quand même avoir un certain poids...

Mais je ne les ai pas au quotidien. Le plus souvent, c'est le dernier qui a parlé qui a raison. Il y a toujours l'agent, le père, le frère, l'oncle, la soeur qui vont dire : "Il faut que tu ailles là-bas !" C'est aux instances comme l'UEFA de modifier le système. Aujourd'hui, un gamin un peu talentueux peut se retrouver propulsé à la tête d'une petite entreprise. A 12-13 ans, il a son agent. A quoi ça sert ? Il ferait mieux de s'amuser, de prendre du plaisir.

Il a raison quand il parle d' "identité club". Par contre, il se moque un peu du monde quand il dit qu'il ne peut rien faire.