Citation (witchfinder @ 19/05/2011 à 20:18)

Tu te fous de notre gueule ? Aileron et jantes de 19", d'origine ? Tunée et donc naze, ouais...
Bose de série ? Là aussi tu te fous de nous, hein ? A moins que tu veuilles dire que la sono d'origine d'une Mazda vaut du Bose, auquel cas

(et en plus, Bose, c'est pas le mieux)
Sinon, t'es au courant que jusqu'à récemment, les moteurs des Mazda diesel c'était des Ford et donc Peugeot ? C'est peut-être d'ailleurs encore le cas...
Evidemment que ça vaut pas BMW, d'ailleurs j'ai deja eu une 325 TD, et c'etait bon
Et oui c'est Bose de série sur Mazda (enceinte, ampli intégré dans dans le chassis et subwoofer intégré dans le coffre, totalement invisible

)
Pour les moteurs diesel, effectivement c'etait pas le fort des Jap, sauf que maintenant ce sont des 100% mazda.
Citation
La Mazda6 de première génération a amorcé de belle manière dès 2002 la remontée des ventes de Mazda en Europe. Elle s’octroyait encore 5% de parts de marché en 2007 sur un segment (celui des familiales) qui représente 1,6 millions d’unités annuelles sur le vieux continent, au dessus de la pénétration de Mazda tous segments confondus. L’actuelle commercialisée depuis la fin de 2007 continue sur la lancée et a trouvé 80 000 clients en un an.
Avec un nouveau Diesel en 2009, la marque japonaise soigne son modèle fétiche, qui devrait voir ses ventes progresser encore, à près de 85 000 exemplaires, toujours en Europe.
Bientôt aux oubliettes le 2.0 MZR-CD 2.0 de 103 kW/140 ch et 330 Nm ? Pas tout à fait, il restera disponible sur certains marchés européens. Sans doute sur ceux hors Communauté, non soumis à des normes de dépollution de plus en plus draconiennes. Un bon moteur dans l’absolu, sobre et assez discret (sauf en acclélérations), plutôt performant malgré une boîte un peu longue, pénalisée lors des reprises en 6e (avec un rapport qui tire plus de 58 km/h à 1000 tr/mn!).
La raison d’être du nouveau moteur turbodiesel MZR-CD 2,2 litres est de proposer des niveaux d’émissions encore plus faibles, une consommation toujours plus réduite, et un éventail de choix pour le client élargi avec une offre déclinée en trois puissances, 125,163 et 185 chevaux.
A la sortie de la première Mazda6 Diesel (120 et 136 ch) en 2002 ou lors de son restylage en 2005 (121 ch et 143 ch), on pouvait croire que son deux litres dérivait du Diesel conçu en 2001 par Ford pour la Mondeo 2.0 TDCi (115 et 130 ch) de l’époque, en raison de la cylindrée, l’alésage, la course, etc, identiques. Faux, le constructeur japonais en revendiquait l’entière paternité, affirmant qu’il dérive du bloc 2 litres qui équipait déjà la 626 au début des années 90 (61 ch en atmo et 82 ch avec Comprex !!!). Aujourd’hui, encore moins l’ombre d’un doute, le nouveau 2.2 est bien extrapolé du 2 litres de la Mazda6 par les motoristes nippons, et non repris de l’éphémère et néanmoins recommandable Mondeo 2.2 TDCi 155 ch/360 Nm de 2004 puisque course et cylindrée diffèrent légèrement. Il est bien sûr toujours fabriqué au Japon, même si le continent européen représentera à lui seul la grande majorité des débouchés. Et il conserve une appellation à rallonge que seuls les vendeurs de la marque retiennent...
Après cette genèse, abordons quelques détails techniques significatifs de ce nouveau moteur, avant de passer en revue les effectifs page suivante, de la déclinaison la plus balèze à la plus soft, et à nos furtives impressions d’essai.
Dans les détails, l’évolution technique du moteur, outre l’augmentation de cylindrée par augmentation de la course (de 86 à 94 mm), concerne le système d’injection à rampe commune avec injecteurs à 10 trous (contre 6 pour les injecteurs du moteur MZR-CD 2,0 litres), doté d’électrovannes à plus haute réactivité (intervalle minimum de 0,2 ms entre les injections contre 0,3 ms pour le MZR-CD 2.0 - soit une rapidité accrue d’environ 30 %) pour davantage de puissance, moins de consommation et de plus faibles émissions. Dans le même but, la pression d’injection passe de 1800 à 2000 bar (200 Mpa), une valeur très rarement atteinte chez les autres constructeurs (certains moteurs chez Mercedes, et un ou deux autres pour l’instant).
On note également le faible taux de compression de 16,3 : 1 (16,7 sur le 2 litres), obtenu grâce à des injecteurs à très forte pulvérisation du carburant (permet un abaissement de la température qui contribue notamment à réduire la consommation de carburant), ou un système EGR plus efficace. Enfin, signalons un nouveau filtre à particules à haute résistance thermique doté en première mondiale d’une structure de substrat céramique pour une régénération plus rapide en roulant, donc un laps de temps plus court en surconsommation de gazole. Bref, un moteur qui semble bien né, mais on se demande pourquoi il ne répond qu’aux normes de dépollution Euro 4 à l’heure où plusieurs Diesel déjà commercialisés sont conformes aux futures normes Euro 5.
Le MZR-CD 2.2 "Haute puissance" 185 ch se distingue des deux autres principalement par son turbocompresseur à géométrie variable à haut rendement doté d’aubes incurvées et joint abrasif monté au niveau du compresseur (côté admission) pour réduire le jeu entre les aubes et le carter du compresseur et garantir ainsi au turbo quel que soit le régime moteur plus de couple à bas régime et une meilleure réactivité. Il développe une puissance de 136 kW/185 ch à 3 500 tr/min et un couple de 400 Nm entre 1 800 et 3 000 tr/min pour une consommation de seulement 5,6 litres aux 100 km (149 g/km de CO2) en cycle mixte pour la berline 5 portes et 5,7 litres pour le break (152 g/km), soit exactement les chiffres de l’actuel 2 litres 140 chevaux.
Beau résultat sur le papier pour la conso et les rejets de CO2, à égalité avec la légère Subaru Legacy et son tout récent 2 litres Boxer de 150 ch/340 Nm. Par rapport à une Saab 9.3 1.9 TTDiD 180 ch/400 Nm, créditée de 5,8 l et 154 g en break Sport-Hatch ou d’autres rares modèles Premuim affûtés, à puissance et couple proches, le progrès est bien mince. Face aux constructeurs généralistes, la Mazda6 MZR-CD 2.2 L 185 ch tire son épingle du jeu et offre pour l’instant le meilleur rapport performances/consommation, tout en échappant au malus écologique. En attendant l’Opel Insignia 2.0 CDTI BiTurbo 190 ch prévue au courant de 2009.
Le MZR-CD 2.2 « Moyenne puissance » affiche 120 kW/163 ch à 3 500 tr/min et 360 Nm entre 1 800 et 3 000 tr/min. La consommation atteint 5,5 litres (berline) et les émissions 147 g/km de CO2 (5,6 litres et 149 g pour le break). Là, le rendement énergétique apparaît moins bon que pour le 185 ch, avec une baisse infime de la consommation. Dure comparaison face aux 4,8 l et 128 g d’une berline BMW 320d de 177 ch et 350 Nm, également pourvue d’une boîte manuelle à 6 rapports. Mais là encore, le bilan reste flatteur face à la plupart des familiales Diesel 150/170 chevaux, même vis à vis de la toute récente Opel Insignia 2.0 CDTi 160 ch/350 Nm bvm6 donnée pour 5,8 l/100 et 154 g/km.
Enfin, le MZR-CD 2.2 "Basse puissance" développe 92 kW/125 ch à 3 500 tr/min et un couple de 310 Nm entre 1 800 et 2 600 tr/min, pour une consommation normative identique à la variante 163 chevaux. Comme quoi, entre ces deux puissances qui sont le fruit d’une cartographie de la gestion moteur différente, sans le moindre changement à propos de la mécanique, il faudra sans doute choisir le 163 chevaux. A moins que les services marketing de Mazda France assène un supplément supérieur à 1 500 euros pour la puissance médiane à niveau d’équipement identique, et/ou, que votre assureur passe dans une tranche tarifaire beaucoup plus salée entre ces deux niveaux de puissance. Même sans avoir pu tester cette version 125 ch, nous restons quand-même sidérés devant la répartition prévisionnelle avancée par le service marketing de la marque en France : 75 % de « basse » puissance, 22 % de 163 ch et à peine 3 % de la variante « haute » puissance.
On note que les trois variantes disposent exactement de la même boîte manuelle à six vitesses à trois arbres (rapports de pont et rapports de boîte strictement identiques), celle là même qui équipe le 2 litres actuel, mais avec maintenant les quatre rapports supérieurs légèrement raccourcis.
Nous avons essayé cette motorisation Diesel avec le break en 163 ch et avec la berline en 185 chevaux. Les enseignements de cette première prise en mains sont à prendre avec des pincettes. En effet, nous ne sommes pas sûr d’avoir disposé dans les deux cas de véhicules de production ou des pré-série, et moins de 300 kilomètres de roulage pour les deux moteurs ne nous permet pas d’émettre un jugement avisé.
Curieusement, le moteur le plus puissant ne donnait vraiment pas l’impression de disposer de 18 ch et de 40 Nm supplémentaires par rapport au « moyenne » puissance. Les accélérations étaient assez proches, même si Mazda annonce un écart de près d’une seconde sur le 0 à 100 km/h (8,3 sec. pour le 185 et 9 secondes pour le 163 ch). En outre, le couple du 185 chevaux ne déboule qu’aux alentours de 1900 tr/mn tandis que la 163 chevaux nous a semblé disposer de plus de ressources 300 tours plus bas. Pour les deux toutefois, on apprécie les reprises à partir de 60 km/h sur les 5e et 6e rapports bien plus convaincantes que pour le 2 litres 140 ch.
Pas de relevés de consommations fiables, mais une indication approximative fournie par l’ordinateur de bord de 9,5 l/100 pour ces deux motorisations en conduite majoritairement très dynamique. Si d’années en années, au gré des restylages et du changement de modèle, le 2 litres était devenu plus discret, il restait quand-même un peu rugeux et plus sonore –surtout en forte charge- que les meilleurs Diesels de cette classe de cylindrée. Le 2.2 s’améliore encore sur ces points, mais ne figure toujours pas parmi les plus silencieux à en croire nos oreilles, malgré un bas moteur rigidifié et un arbre d’équilibrage à entraînement par chaîne. En revanche, les vibrations sont très bien contenues. Quant à l’onctuosité de fonctionnement, elle ne vaut pas encore celle du 2.2 Honda, ou même celle du 2.2 PSA.
Plutot pas mal non?

Citation
Équipements de série
6 airbags
ABS
Accoudoir central AV coulissant avec rangements
Alarme
Allumage automatique des phares
Amplificateur de freinage EBA
Antidémarrage
Antipatinage TCS
Banquette AR rabattable 60/40 avec système "Karakuri"
Climatisation automatique dual-zone
Commandes au volant
Contrôle dynamique de stabilité DSC
Démarrage par bouton " Start"
Essuie-glace automatique à détecteur de pluie
Jantes alliage 18"
Kit mains libres bluetooth avec commande au volant
Kit Sport
Ordinateur de bord avec alarme de vitesse
Pédalier et repose-pieds aluminium
Phares antibrouillard AV
Phares AR à LED
Phares AV Bi-Xénon avec système AFS (Adaptative Front Lighting System) et lave-phares
Pommeau de levier de vitesse en cuir avec entourage chromé
Régulateur de vitesse
Répartiteur électronique de freinage EBD
Rétroviseur intérieur photo chromatique
Rétroviseurs extérieurs chauffants et réglables électriquement
Rétroviseurs extérieurs rétractables électriquement
Siège conducteur réglable en hauteur, en inclinaison et à réglage lombaires
Siége cuir/tissu
Sièges AV chauffants à double réglage
Sièges AV Sport
Système audio Bose avec chargeur 6 CD/MP3 et 8 HP
Système d'aide au stationnement AV et AR
Système d'alerte de véhicule en approche (RVM)
Système de démarrage en côte (HHA)
Système de signalisation d'arrêt d'urgence (ESS)
TPMS
Verrouillage centralisé avec télécommande
Vitres AR électriques
Vitres AR et lunette AR surteintées
Vitres AV électriques
Volant cuir avec finition Piano Black
Volant réglable en hauteur et en profondeur
Bon, les equipements ont vieilli, car le modèle date de 2008 hormis un leger restylage en 2010, et en 3 ans ça change beaucoup mais le prochain vrai restylage elle sera encore mieux équipés, comme les modèles actuels style la nouvelle insigna d'opel.