C'est une grève illégale déguisée qui doit faire l'objet de sanctions disciplinaires. C'est un échauffement pour les syndicats d’extrême gauche Sud et CGT avant décembre.
Le droit de retrait est définit précisément par la loi :
En quoi ces putains de passage à niveau sont un risque imminent ? C'est un risque structurel en aucun cas imminent et qui a très peu de chances de se produire.
Statistiquement, un bûcheron a bien plus de chances de se prendre un arbre sur la gueule. Il suffit de comparer les taux de mortalité ou d'accident graves qui sont disponibles.
Sur le fond du torchon publié par Sud, sur le réseau transilien, les conducteurs sont déjà seuls avec des rames remplies avec parfois plus de 1000 personnes. Exiger des contrôleurs dans un TER avec 100 ou 200 personnes est un non-sens économique. Contrôleur ou pas, si tu te prends un convoi esseptionnel, ça fera mal.
D'ailleurs leur collègues d'Ile de-France sont solidaires d'une revendication qui est appliquée déjà pour eux depuis de longues années.
Vite l'ouverture à la concurrence, avec des indicateurs clés comme dans tout business.
Le droit de retrait est définit précisément par la loi :
En quoi ces putains de passage à niveau sont un risque imminent ? C'est un risque structurel en aucun cas imminent et qui a très peu de chances de se produire.
Statistiquement, un bûcheron a bien plus de chances de se prendre un arbre sur la gueule. Il suffit de comparer les taux de mortalité ou d'accident graves qui sont disponibles.
Sur le fond du torchon publié par Sud, sur le réseau transilien, les conducteurs sont déjà seuls avec des rames remplies avec parfois plus de 1000 personnes. Exiger des contrôleurs dans un TER avec 100 ou 200 personnes est un non-sens économique. Contrôleur ou pas, si tu te prends un convoi esseptionnel, ça fera mal.
D'ailleurs leur collègues d'Ile de-France sont solidaires d'une revendication qui est appliquée déjà pour eux depuis de longues années.
Vite l'ouverture à la concurrence, avec des indicateurs clés comme dans tout business.
Alors ça n’a rien à voir avec les passages à niveau qui tombent déjà rarement en panne et quand ils tombent en panne ce sont sur des ratés d’ouverture. C’est à dire que le train est passé et les barrières ne se sont pas ouvertes. C’est chiant mais la sécurité n’est pas engagée. Quand ça tape à un passage à niveau, à 99% du temps, la sncf n’est pas en cause. Et encore moins un conducteur puisque lui n’a aucune action sur le passage si ce n’est si il a pu l’anticiper, s'arrêter avant. Chose hyper rare puisqu’un train ne se conduit pas à vue. Et oui, va arrêter un train à temps quand le PN se situe après une courbe et que t’es lancé à 140km/h et qu’avec les freins d’urgence il faut plus d’un kilomètre pour arrêter le train

Non le problème c’est la boite qui veux tirer les coûts vers le bas en dotant les trains en personnel avec juste le conducteur.
Dans l’accident de jeudi, suite à la collision, la rame n’a pas pu envoyé l’alerte radio, ni l’alerte lumineuse. Dans ce cas, avec la radio HS, pour empêcher le sur accident, le conducteur part à la couverture d’obstacle. En gros, il va sécuriser les lieux et tout faire pour qu’aucun autre train n’arrive. C’est à dire aller en amont du PN et poser des pétard sur les rails, mettre le feu rouge aux signaux à pied, poser une barre coupe-circuit entre les rails pour aussi mettre les signaux plus en amont au rouge. Le tout en étant blessé, laisser les voyageurs seuls dans la rame, et à marcher sur 1500m dans le ballast

Or les contrôleurs sont formés à cette procédure lourde et le train n’en avait pas.
Pour la banlieue, les rames sont comme ça, en EAS (Équipement Agent Seul), vu le débit des trains, ça couterais trop cher d’avoir du personnel en plus dans chaque train. Et surtout, les distances parcourues sont plus réduites entre chaque arrêt et la signalisation est plus présente donc il est moins difficile normalement d’appliquer la procédure décrite plus haut. Néanmoins le risque zéro n’existe pas et il faut bien que les trains roulent.