Putain mais on a vraiment une équipe de brêles. De déceptions en déceptions.

Les réactions d'après-match des joueurs On croirait qu'ils ont mis 40 pions aux Irlandais, ils sont contents du match et de leur réaction.

On finit 4è avec 3 matches à domicile, l'absence de coach spécialisé sur la défense se fait sentir.

Faut aussi prendre en compte le fait que les irlandais doivent jouer 20 matchs de haut niveau dans l'année quand les notres s'en tapent plus de 30. Y a une différence de fraicheur et de temps de préparation qui nous flingue systématiquement.

Toujours la même vieille excuse. Par contre quand on gagne, on n'en parle pas

Après, je trouve qu'il y a toujours un manque au niveau tactique. On a un peu l'impression que les joueurs évoluent au feeling, sans plan établi (le fameux "french flair" sans doute). J'aimerais bien qu'on réinjecte un peu de rugby "réaliste" façon Laporte là-dedans, avec de l'occupation du terrain, de la percussion des avants, des attaques un minimum construites chez les arrières (passes redoublées 10-12), des tentatives de drop.

Un peu de musculation ne ferait pas de mal non plus, histoire de rivaliser enfin avec les nations du Sud (Clive Woodward l'avait bien compris). Bref, mettre en place un vrai plan de bataille pour la CDM.

C'est pareil pour les blacks aussi. Qu'ils jouent 40 matchs dans la saison et on en reparlera.

D'ailleurs les seules fois où on part à égalité niveau préparation et fraicheur (la coupe du monde), on fait presque toujours de bonnes performances, on éclate des équipes comme l'Irlande et on est au niveau des équipes du sud.

C'était dégueulasse le jeu sous Laporte, si on peut parler de jeu. Et avec Saint-André, c'est à peu près la même chose d'ailleurs en encore plus brouillon.

Ils en font trop de musculation justement. Ce qui manque, c'est de la technique individuelle : la passe de Papé sur l'essai refusé de Chouly, c'est une honte au niveau international; idem pour celle de Bastareaud en début de match qui gâche une grosse situation. Et il manque des joueurs qui savent jouer dans les défenses : Jauzion le faisait parfaitement par exemple, Traille aussi.

C'était peut-être dégueulasse mais il y avait une "direction" (explicitée dans mon précédent post, j'y reviens pas). Alors que là on a l'impression que c'est de l'impro totale. Laporte a remporté deux Grands Chelems et possède un palmarès qu'est loin d'avoir PSA.

Bof pas d'accord. Bastareaud on sait très bien quelles sont ses qualités : c'est un bulldozer qui sert à perforer le rideau défensif. Je crois pas que les joueurs français manquent de technique pure (Dulin, Fofana...). Et question physique, si on affrontait demain l'Afrique du Sud, je parie qu'on se ferait plier en mêlée et dans les impacts.

Ouais, et Jacquet a gagne la coupe du monde et tu vois le resultat aujourd'hui sur la facon d'apprehender le foot en France. Laporte (et Wilkinson) ont tue le rugby et y en a qui en redemande .

Stade 2 ébranle les Springboks 95

Dimanche en fin d'après-midi, à partir de 17h30 l'émission Stade 2 va sérieusement ébranler un mythe : celui de cette « nation arc-en-ciel » rêvée par Nelson Mandela et concrétisée par une victoire au retentissement planétaire, celle des Springboks à la coupe du monde de rugby en 1995.

Aujourd’hui, l'aura planétaire du titre mondial des Sprinboks en 1995, propagée par le film Invictus, a du plomb dans l’aile. Précisément depuis que l’on connaît le destin tragique de certains Springboks, héros de l’époque.
Parmi cette génération rugbystique des années 90, Ruben Kruger (3ème ligne des Springboks en 1995) est décédé. Quant au célèbre demi de mêlée Joost Van der Westhuisen et au centre Tinus Linee, ils sont aujourd’hui atteints de sclérose latérale amyotrophique, grave maladie plus connue sous le nom de « Maladie de Charcot ».

D’autres légendes du rugby sud-africain souffrent également de graves maladies neurologiques, comme André Venter (3ème ligne des Springboks entre 1996 et 2001), touché par une myélite transverse. Des maladies dont la prévalence est pourtant très faible.

De là à échafauder une théorie liée au dopage, il n’en fallait pas beaucoup plus pour interpeler Nicolas Geay, journaliste à la rédaction des sports de France Télévisions, qui a pris quatre mois pour enquêter.

« Nous avons recueilli des témoignages très forts, poignants, notamment ceux de Joost Van der Westhuisen, l’un des plus grands rugbymen de tous les temps, celui de François Pienaar, de Tinus Linee ou encore André Venter, raconte le journaliste. Chacun, à sa manière, confirme que les joueurs de 1995 prenaient des médicaments, recevaient des injections, ou ingurgitaient de la vitamine B12 qui, lorsque l’on se penche sur le sujet avec des médecins s’avère être souvent liée à une prise d’EPO. Mais, pour eux, c’était toujours dans un cadre légal. Mais qu’en savaient-ils vraiment ? »
« Une enquête digne d'Envoyé Spécial » Dans cette enquête témoignent également le corps médical ou encore un procureur italien qui a mis en évidence le dopage dans le football de son pays avec 70 morts à la clé.

« C’est une enquête digne d’Envoyé Spécial ou de Complément d’Enquête, ajoute Nicolas Geay. Mais c’est dans Stade 2 qu’elle sera diffusée car nous estimons que c’est sa place, comme avant elle celle d’Arnaud Roméra sur la boxe par exemple. C’est le moyen pour l’émission de se démarquer, d’être la seule à pouvoir proposer ce genre d’enquêtes là où d’autres chaînes, de par les liens qu’elles ont avec des droits télé qui les poussent à faire la promotion des sports qu’elles diffusent, n’ont pas toujours notre marge de manœuvre. Ce reportage qui durera 18 minutes, dépasse largement le cadre du dopage des joueurs de 1995. Il aborde les chapitres de la politique, du rugby Sud-africain de manière plus globale et de la culture du dopage qui règne dès les catégories les plus jeunes, l’aspect médical, mais aussi de l’humain et de l’émotion par des témoignages forts. »

Aura-t-on une réponse arrêtée sur le sujet ? « Disons que l’on ouvre le débat à partir de présomptions et de témoignages qui interpellent », répond Nicolas Geay.

Un débat qui se poursuivra d’ailleurs en plateau pendant 6-7 minutes en présence de Nicolas Geay, Matthieu Lartot et Fabien Galthié qui a affronté certains de ces joueurs, notamment lors de la demi-finale de la Coupe du Monde perdue par les bleus face aux Springboks en 1995. Notez enfin que le JT de 20h de France 2 abordera cette enquête dans son édition de samedi soir.

Cette journée de rugby sinon
Pas du tout rassuré par le pack clermontois actuel, au moment de rencontrer les gros tigres anglais. L'ASM a rarement eu aussi peu de certitudes sur son jeu, beaucoup d'individualités sont en méforme. Les jeunes comme Noa et Buttin doivent saisir leurs chances et bousculer certains sénateurs.
Munster-Toulouse, énorme affiche et ça commence bien.

Terrible cette relance.

Le Munster je crois que je les ai sous-estimé, ils sont pas géniaux quand ils subissent, mais quand ils sont dans un temps fort y'a du volume.

Leinster-Munster ça serait sympa.

Yachvili : «Je préfère arrêter»
Dimitri Yachvili, le demi de mêlée du Biarritz Olympique, prendra sa retraite à la fin de la saison. Une interview exclusive à retrouver dans notre quotidien, vendredi.

La relégation du BO en deuxième division aura donc fini de le convaincre. Dimitri Yachvili ne sera plus joueur professionnel la saison prochaine. Sous contrat au BO jusqu'en 2015, il n'avait pas encore donné son choix pour la saison prochaine : continuer à Biarritz en Pro D2 ou bien tenter une dernière aventure ailleurs, on a parlé notamment de Lyon. Le demi de mêlée international a finalement décidé de ranger les crampons.
«C’est le moment pour moi de mettre un terme à ma carrière, explique-t-il. Je sens que mon corps a besoin de s’arrêter.» Usé par deux dernières saisons éprouvantes avec le BO, il n'a plus l'envie, et avoue aussi avoir été meurtri par certaines déclarations de Serge Blanco, son président. International à 61 reprises, il s'apprête donc à clore une magnifique carrière, guidée par son père Michel, international lui-aussi. «Il m’a montré la voie, admet-il. Mon père m’a d’abord conseillé d’aller au PUC (2000) pour me gérer, vivre à Paris seul, à dix-neuf ans. Puis, il a influencé mon départ en Angleterre (Gloucester, 2001). Loin de ma famille, de mes repères. Coupé de mon cocon. Il a planifié tout mon début de carrière. C’était du travail et de l’apprentissage. Et ça m’a permis de vivre le rôle que j’ai tenu à Biarritz pendant douze ans.»

La plus grosse râclure du top 14 avec Parra et Rougerie.

Casse-toi et prends 50 kilos comme Blanco

Et ça ne m'étonne pas qu'il ne soit pas aimé à Toulon : beaucoup trop fin comme joueur et c'est sans doute pour ça que Laporte n'a jamais su le juger à sa juste valeur. Car lui préférer l'autre débile de tout-droit de Mignoni
Et il est beaucoup plus talentueux que Rougerie et Parra : fier: