J'étais ton premier fan, je te défendais quand les gens étaient énervés par tes performances moyennes. Après 6 premiers mois de folie, de joie, d’allégresse, tu nous avais laisser entrevoir l'extrême douceur de ton âme à travers le ballon et tes subtiles caresses sur ce dernier. J'avais même composé une chanson à ta gloire "JAVI PASTORE" sur l'air d'Ottawan dans un élan d'Amour puis j'avais lâché prise alors que tu semblais en perdition, laissant place à d'autres fans, fuyant lâchement.
Je t'ai même insulté sur ta tête toute molle face à Evian. J'ai honte. Il semblerait que tu refasses surface pour mon/notre plus grand bonheur. Je ne te lâcherai plus. JAMAIS.
Je t'ai aimé plus que n'importe quel autre joueur de ce psg, je suis ému de te retrouver mon Flaco. Tous les poèmes d'Houdini, si sublimement composés, retranscrivent à merveille ce que l'on peut ressentir face à une oeuvre d'Art, quel que soit la forme de celle-ci.
Souvenez-vous, c'était un bel été, celui de 2011.
Sincèrement qui n'a pas eu les larmes aux yeux de voir tant de douceurs visuelles et mélodiques ? Ma mine s'illumine de nouveau, je ré-entends Chopin dès que je te vois sur la pelouse, ballon aux pieds, reprenant plaisir à exercer ton Art. Fantaisie Impromptu.