Décris un peu, perso je peux bosser où je veux mais j'aime trop la langue, la culture et la bouffe française pour me barrer.
Un bon pays de râleurs au grand coeur.

A la limite une pige en italie ou en espagne, voire en asie. Mais les us c'est tellement le sida niveau culture nourriture, putasserie. Dans le boulot ce sont les plus gros fils de putes à part les indiens bien sur.

En quoi c'est le néant ? A part la bouffe et la famille, qu'est-ce qui en France peut te manquer quand t'es aux US ? Bon dans une ville potable mais ça marche aussi en France. Entre un mec sur Paris et un mec dans la Creuse, c'est la même.

A part la liberté qu'est-ce qui peut te manquer quand tu es en prison ?

Non mais si t'as la situation financière qui te permet de t'affranchir de la problématique médicale et scolaire.

Les congés

Pas de plainte pour harcèlement sexuel parce que tu as fait un blague de cul à la pause café...

bouffe + famille + amis = la vie.

T'as oublié le foot et la rubrique faits divers du parisien.

Je vois que le handball et ton poste de rédacteur comptent bien peu pour toi. Je suis déçu, mais déçuuuuuuuuuuuuuu.

C'est la famille

Va falloir penser à changer ton staff©

C'est un argument en effet. Mais c'est pour toutes les expat' pareil alors, pas lié aux USA en particulier.

Il y a des coins paumés effectivement, mais comme en France. Tout dépend de là où tu habites.
Après on est dans le topic taf, donc je parlais du taf tout simplement.


Je viens d'avoir une fille .
On n'a pas déboursé un seul dollar pour les visites chez le gynéco, les échographies et l'accouchement. Comme en France j'imagine. Bon ok, je paie beaucoup plus cher de mutuelle, mais je gagne aussi davantage.
Concernant l’éducation, les écoles de mon secteur sont excellentes. Il ne reste que les écoles privées au top (et l'ecole FR), les autres ont fermé car elles ne faisaient pas le poids. Et quand je dis école au top, j'entends l’année à $20,000 pour l’école primaire.
J'habite en face d'un lycée public. Il y a un terrain de foot US/soccer en herbe. Il y a même un jardinier. C'est pas Calderwood, mais le terrain n'a rien à envier aux pelouses de Ligue 1. Et pourtant c'est un coin marécageux et il neige l'hiver. Il y a aussi 4 terrains de tennis, 3 de baskets, et 1 de baseball. Et c'est gratuit.
Le problème de leur éducation c'est leur programme, assez simplet jusqu'au BAC. Mais les profs sont nettement plus motivés (car mieux payés ?) et la pédagogie y est très bonne.


Je suis d'accord sur le fait que parler français me manque. Je ne m'y attendais pas vraiment. Le bouffe aussi évidemment...
Tout d'abord, je pense que si on fait un boulot de base, payé le SMIC, autant rester en France. Les protections et avantages y sont nettement meilleurs. De toutes façons, obtenir un visa aux US est impossible sans diplôme du supérieur. (Au passage, j'ai eu mon visa grâce a ma femme ).

Ceci est évidemment basé sur mon expérience personnelle:
En France, lorsque tu fais bien ton boulot, bah, tu fais bien ton boulot. Tu n'as quasiment aucune considération, ni évolution possible, ou très lente. Tu fais généralement partie d'une équipe déjà en place depuis X années, et tu sais que le responsable lâchera son siège qu'à son départ à la retraite. Il y a aussi forcément un mec en chemisette dans ton équipe et un mec qui branle rien, ralentit tout le monde. Mais comme il est là depuis longtemps et/ou est un proche du responsable et/ou est délégué syndical, on ne peut rien lui dire.

Ici, chacun apporte sa pierre à l’édifice. Certains sont plus performants que d'autres, mais ça ne pose aucun problème. Par contre, si tu ne fous pas grand chose, ou si tu fais de la merde, tu dégages. Je ne bosse pas plus ici qu'en France. Je fais 40h, et quand je déborde un peu, on me dit de rentrer chez moi. Si je veux bosser de chez moi en calbut', je peux le faire. Si je veux regarder le match du PSG en Champions League dans mon cubicle, je le fais aussi. Aucun problème. A partir du moment ou tu remplis les objectifs, on te laisse gérer ton temps comme tu veux. Il n'y a pas le présentéisme comme en France. Tu ne te fais pas engueuler ou regarder de travers si tu arrives à 9h10 au lieu de 9h.
J'ai 4 semaines de congés paternité. D'une manière générale, je peux prendre des jours si besoin, sans justificatif.

Ces avantages ne sont pas uniquement dus a ma boite. Aux US on te fait confiance, et si tu leurs rends, c'est tranquille. L’américain est de nature positive et avenante et depuis que je suis ici, je n'ai pas entendu une seule fois le mot "crise". Je l'entendais quasi tous les jours en France.

Tout n'est pas parfait aux US évidemment, mais niveau taf, rien à redire. Et pourtant je ne suis pas sur la cote ouest chez Google ou Facebook.


Tout peut se négocier, mais c'est clair que lorsque tu arrives, tu ne fais pas la fine bouche, et tu signes ton contrat malgré les deux semaines de vacances annuelles.

Rien que la bouffe, le gouffre est si immense avec la France que ça a suffit à justifier un ban des USA pour le restant de mes jours. Avoir les larmes aux yeux en mordant dans une baguette parisienne, plus jamais, on peut s'expatrier dans des pays culinairement développés, aux Etats-Unis tout est dégueulasse.

Mais ce n'est pas le seul mal dont ils souffrent : leur façon de s'habiller, et de se maquiller pour les femmes, est une violente agression visuelle. Que ce soit au taf, avec leurs costards JosABank trop larges, leurs pantalons qui font 6 plis sur les chevilles, leurs cravates qui auraient fait dégueuler un vautour dans les 70's et leurs pompes de merde à bout carrés et semelles plastiques, tout est en accord avec leur manque total de culture et de raffinement. C'est bien entendu pire encore chez les red-necks, mais même dans les grandes villes ce sont des péquenots dans l’âme, un peuple qui à défaut d’être grossier dans le verbe l'est constamment dans la tenue et le comportement. Des gros beaufs, aucun savoir vivre, et les sourires commerciaux de merde à la caisse du supermarché finissent de me gonfler.

Pour ne rien gâcher, leurs bonnes femmes s'entêtent à marcher en talons hauts alors qu'elles ne savent pas faire 3 mètres avec, et te pètent les tympans aussitôt qu'elles ouvrent la bouche. A l'instar de ce qui se fait en Allemagne, l'enfant est roi, donc tu es aussi obligé de te supporter des nuées de merdeux bruyants et mal élevés, qui ne pratiquent -comment leur père- que des sports typiquement nord-américains, c'est à dire à chier.

Sauf à avoir été compagnon de biture avec eux pendant leurs années à l'Université, seul moment de leur vie qu'ils passent à se comporter à peu près comme des êtres normalement constitués, tu ne seras jamais pote avec un Américain. L’Américain adulte a des relations de travail, des voisins, des coreligionnaires le dimanche, des coéquipiers s'il pratique un sport co, mais pas d'ami. L’amitié telle qu'on la connait dans les pays latins, ça n'existe pas aux Etats-Unis.

Je pourrais y passer la nuit, évoquer leur manque abominable de culture générale qui voue toute tentative de discussion un peu avancée à l’échec, parler de leurs baraques de merde en carton, de leurs quartiers pavillonnaires sommets de la chiantise humaine, de leur maladie pour les clébards, de leur racisme 1000 fois plus immonde que ce que j'ai vu de pire en France, de leur façon de se prendre encore pour des cow-boys et des mecs virils alors que ce sont juste de pauvres cons obèses au volant de leur pickups de merde, du fait qu'il est rigoureusement impossible de trouver des artisans sachant bosser, quel que soit le domaine, que taffer avec eux rend dingue tellement on a affaire à des bœufs incapables d'esprit d'initiative, etc.......



Le coin paumé aux Etats-Unis, c'est tout le pays sauf New-York, ça commence à faire beaucoup...

Bon la bouffe c'est important mais faire sa vie en fonction de ça, c'est pas du tout mon délire.

Après visiblement t'aimes pas les Etats-Unis, mais tu m'as sorti tous les gros clichés. Tu fais sûrement un taf et t'as sûrement habité un coin réservé aux blancs chrétiens, c'est pas possible autrement. Mais les USA, c'est justement pas que les blancs, les joe-6-packs ou joe-6-cylinders qui regardent Fox News, les meufs à la voix nasillarde blanche comme des culs.

Quelle plaidoirie

Je n'ai jamais travaille en France (autre qu'en alternance / stage) et je n'ai jamais vécu a Paris.

La France ca reste mon pays, celui dont je suis l'actualité politique, celui qui enfante les écrivains que je lis, celui qui parle ma langue natale, c'est a dire celle dont je maitrise le mieux les nuances.

Je ne suis jamais parti par rejet de la France personnellement donc je me retrouve très peu voir pas dans ce discours (que j'entend presque toutes les semaines vu les 400000 français a Londres). Certains ont sans doute des raisons légitimes mais tant que je n'ai pas vérifié quelque chose par moi même, j'évite de juger.

Âpres je suis bien a Londres et je ne bougerai peut-être pas ou peut être ailleurs qu'en France mais disons que vivre a Paris m'a toujours tenté (et pour le coup, c'est vrai pour beaucoup d'étrangers aussi).




Ma copine et moi venons de se séparer après quasi 5 ans ensemble et je ne pense vraiment pas retrouver chaussure a mon pied (pas la plus belle des expressions quand j'y pense ) rapidement.
Bref, non, pas pour le système éducatif.

Quant au système de sante, je pense être allé une fois chez le médecin ces 5 dernières années. Je suis plutôt du genre a attendre d'être a moitie mort pour aller consulter et être en France n'y changerait sans doute rien.

Âpres j'ai pas dit que je voulais rentrer en France pour n'importe quel salaire, n'importe quelle boite et n'importe quel poste. Mais pour une bonne opportunité dans une ville comme Paris que je ne connais pour ainsi dire pas, ca me tente bien et je ne pense pas qu'il y ait besoin de beaucoup d'explications.
Je pense pas a partir a Dubaï la... je pense a aller vivre pour la première fois a Paris, dans un pays qui a une grande histoire et une magnifique architecture, une cuisine reconnue dans le monde entier, une langue magnifique, de superbes campagnes, montagnes, cotes et villes.


Âpres je le redit, je pourrais très bien continuer a vivre a l'étranger. J'aime d'ailleurs beaucoup Londres.

Et la, c'est le choc en débarquant Gare du Nord

Clairement, dès Roissy avec ces connards de chauffeurs de taxi même si t'as pas besoin d'eux, tu sais que t'es en France.

Non mais ca va, ma copine habitait a Tremblay-en-France, j'ai fait Gare du Nord plusieurs fois (pour les derniers Paris-Lille), j'ai pris le RER B etc...

Je connais pas Paris dans le sens ou je ne connais pas la vie Parisienne (juste eut un très petit aperçu de la vie de banlieusard). Je n'ai pas de coins préférés, je n'ai fait aucun théâtre parisien, je n'ai fait que très peu de restaurants, un seul marché, pas de boulangerie, pas de bar dont je me souvienne.
Bref, ca n'a jamais été "ma ville" et je me dit qu'un jour j'aimerais bien que ca le soit parce que je pense que c'est une ville magnifique a bien des niveaux.
Ce n'est pas la seule ville qui m'attire mais c'est une des plus accessibles évidement. Il est plus facile pour moi d'aller vivre a Paris qu'a Berlin a priori. Donc un jour, peut-être, pourquoi pas.

Ainsi que les tacos de merde avec 300 000 miles au compteur et ayant des suspensions en bois, conduits par des pacos édentés, t'indiquent clairement que tu viens d'arriver aux Etats Unis...

Mais il n'y a pas d'énormes disparités de niveau entre secteurs dans le public?
Parce qu'en Europe, on a tjs entendu parler du niveau assez faible du système public américain.
La question se pose aussi pour les universités. Si tu n'arrives pas á décrocher une bourse, as-tu une possibilité d'avoir une université de bon niveau?

Des personnes ont déjà bossé en Af.Sud, à Jo'burg ? Je connais le pays (Le Cap surtout, j'y ai passé plusieurs fois des vacances) mais là j'ai une proposition à Johannesburg, ville pour laquelle je n'ai jamais rien entendu de bien (le boulot est à Boksburg).

Grande ville, assez bof-bof, ni vraiment belle ni vraiment "animée" (même si évidemment c'est un peu plus dynamique que le reste de l'Afrique du Sud...). Le climat est plus agréable qu'au Cap, tu n'es pas très loin des grands parcs du nord.
Prevois une giffle niveau loyer, la criminalité XXL oblige à crécher dans des quartiers assez safe, et c'est forcement cher. Le meilleur quartier est Sandton, tu peux aussi viser Rosebank. Oublie direct le vieux centre art deco, tu t'y ferras forcément braquer, c'est hors norme niveau crime, incomparable avec ce que j'ai connu dans les favelas brésiliennes par exemple, c'est dire...

Franchement, flemme d'habiter à Jo'Burg. Tu peux te faire des week-ends sympas mais alors y vivre en semaine

Okay, merci pour les réponses. C'est bien ce que je pensais ça donne moyennement envie.

Le pays est sympa, ca vaut le coup d'y faire un tour, mais si tu peux négocier Pretoria au lieu de Joburg, c'est un peu mieux, plus tranquille et moins cher. Et les deux villes ne sont distantes que de 40 bornes, pas la mer à boire

Pretoria c'est aussi la merde.

Parles bien de la Creuse, seul endroit en France ou ya zero fichier S
Pour preuve qu'il y a vraiment rien la-bas

Ne pas prendre sa voiture pour acheter une pauvre baguette (bon en l'occurrence y a pas de baguette) ? Les rapports humains un peu plus profonds (même si au premier abord, les ricains sont bien plus avenants) ? Ne pas se demander à la moindre embrouille entre deux abrutis avinés et décervelés dans la rue si y en a pas un qui va sortir une arme à feu ? Etc...

Tu parles de Paris là ?

Les ricains sont encore pire au niveau superficialité des rapports humains. Et je te parle pas de mecs qui ont 40 ans, une vie installée, donc pas forcément la place pour faire de nouveaux amis, je te parle de gens de 20-30 ans. Passé 18 mois la bas, un seul pote Américain qui était un ami de mon collocataire Equatorien, et j'étais pas une exception, tous les étrangers (Européens ou Sur-Américains) que je connaissais étaient dans le meme cas. Ha non pardon, si tu es une bombasse colombienne avec un accent sexy qui les change de leur grognasse avec leur voix nasillarde, tu peux éventuellement les intéresser (en meme temps je les comprends )

Il me semble que c'est propre au monde anglo saxon, Les anglais se mélangent pas non plus. A Londres les étranger restent beaucoup entre eux, t'as beaucoup plus de chance de devenir pote avec un suedois qu'un Anglais.

Vrai.


Nan nan c'est les américains, mais perso je penche plus pour la betise.
Une fois les 2 premieres phrases de small talk avec leur sourire et enthousiasme surjoués qui donne envie de les baffer, y'a vraiment plus rien a en tirer, les mecs sont creux et ignorants au possible.
Ah il redeviennent un peu marrants apres avoir bédav un peu, et encore.
Certifié vrai pour 99% des cainris, apres t'as quand meme quelques gays ou fils de familles éduqués qui peuvent avoir de vrais échanges.

Ils font pas expres, ils sont juste comme ca, parfois meme ils sont tres tres gentils

Je ne suis pas une exception donc

Ils sont gentils mais pas sympa pour ceux qui saisissent le distingo.

L'analyse sur l'amitie correspond plutot bien a ce que je vois. Tu vas dans un bar, tu parles a un mec que t'as jamais vu, tu crois que t'as ete pote avec lui depuis 15 ans, t'en entendras plus jamais parler le lendemain.
Il y a une vraie barriere qui existe entre les gens ici. Exemple tout bete, les gens s'invitent pas les uns chez les autres en dehors d'evenements organises. Jamais ils se disent "tiens je vais aller chez Bob voir ce qu'il fait". Tu peux avoir des connaissances, mais pas vraiment d'amis. Disons des amis comme on l'entend en France, c'est pas quelque chose qui existe ici. Donc si tu veux creer ce genre de connexions, c'est a toi d'initier le truc et ca prend du temps parce qu'ils comprennent pas comment ca marche! J'ai reussi a creer quelques amities ici, mais ca m'a pris vachement de temps, j'ai limite du leur expliquer le concept .

Apres, je pense que ca s'explique de plusieurs facons. D'une, les mecs peuvent demenage du jour au lendemain pour leur boulot ou leur universite. Et quand je dis demenager, c'est pas dans un autre quartier. Donc forcement, les gens restant rarement tres longtemps au meme endroit, ca encourage pas a creer des realtions etroites.
Dans le meme genre, t'habites rarement a cote des gens. Leur villes s'etendent sur des dizaines ou centaines de kilometres. Certains de mes potes habitent a plus d'une heure de voiture de chez moi, ca aide encore une fois pas a etre proche. Et puis ca reste quand meme le pays du capitalisme triomphant, chaque etre humain qui n'est pas toi est potentiellement un concurrent et un ennemi, ca se resent forcement dans leurs rapports. Tu sens que les mecs ne se font jamais entierement confiance et quand tu essaies de creer une amitie avec eux, leur premiere reaction c'est de se demander ce que t'essaies de leur "prendre".

C'est parce que vous trainez qu'avec des blancs. Les noirs sont bcp plus sympas et accueillants

. Deja que l'amitie c'est un truc chelou pour eux, mais alors la, le melange des communautes, tu pars dans un monde parallele . Je me souviens une fois un pote etait venu me voir a NY, on va dans une boite de noirs, j'etais bien evidemment le seul blanc et je crois y en a dans la boite, c'etait la premiere fois qu'ils en voyaient un .

Vrais FdP qui pensent que tous les blancs sont racistes, rien à en tirer.

C'est un peu pareil à Montreal (donc surement au Canada).
Un pote qui part bosser la-bas. Au bout des quelques semaines/mois il veut organiser un truc chez lui avec quelques collègues et la il s'est mangé un beau stop. On lui a gentiment expliqué qu'ici on invite pas les gens cez soit comme ça. A la limite tu organises un resto mais aller chez les gens faut limites attendre plusieurs années.

Il a ensuite vite compris qu'il n'avait pas d'ami au boulot mais des collègues et que ca n'allait pas + loin que ça.

J'ai bossé avec quelques ricain et mec de Toronto et le truc le + insupportable c'est ce coté "yeah man c'est toi le meilleur! Jte kiffe à fond" alors que parfois ils étaient pas capable de sortir le prénom du gars.
Et aussi cette manie de s'applaudir à chaque réunion alors que c'était la merde.

On va droit dans le mur, faut qu'on boucle le projet et on sait qu'on va sortir de la merde. La direction gueule et est bien vnr. Voila maintenant on applaudit! YEEEAAAAAAAAAAAAH!

Non mais les "Awesome ! Great ! Wonderfull ! Fantastic ! " a chaque que quelqu'un fait un truc

Alors oui on est peut être un peu pisse froid, je suis conscient d'être très exigeant (avec moi même encore plus qu'avec les autres)... Mais quand tu tu viens de faire de la merde, que tu le sais très bien, tu attends un encouragement, pas un Awesome ! ... Du coup comment évaluer la satisfaction client quand tu fais du bon boulot grognasse ?

Apres ca doit plaire au gens pas trop exigeants

Je pige pas, même en France on me dit toujours que c'est génial...

quand tu payes la meuf ça compte pas

Non mais ca aussi, c'est d'un fatiguant. Quand je passais mes entretiens pour mon boulot, j'avais mis des references françaises, je les avais prévenu que ca serait pas ce a quoi ils s'attendaient s'ils les appelaient. Ici, si tu fais pas passer le mec pour la huitième merveille du monde, c'est qu'il y a une couille avec le type. Faut juste le savoir, c'est une histoire de curseur .

Mais ça m'a l'air parfait tout ça

Quelqu'un bosse chez Erdf dans le coin ?

Si seulement c'était le cas

Enfin il y a des branleurs comme partout.