Je vois pas ce qu'il y a de marrant ... C'est un fils de pute le mec de tapper une meuf ...

Je vois pas ce qu'il y a de marrant ... C'est un fils de pute le mec de tapper une meuf ...

Cela me fait penser à une vidéo sur Youtube d'un mec qui se ramassait un verre de bière dans la gueule de la part d'une meuf et qui la balayait ensuite violemment. Dans les commentaires, certains étaient outrés qu'il ait tapé une meuf, mais la meuf l'avait quand même bien cherché.

Cela me fait penser à une vidéo sur Youtube d'un mec qui se ramassait un verre de bière dans la gueule de la part d'une meuf et qui la balayait ensuite violemment. Dans les commentaires, certains étaient outrés qu'il ait tapé une meuf, mais la meuf l'avait quand même bien cherché.

Otes moi d'un doute tu surjoues ton rôle de connard de service ou t'es sérieux ?

La meuf a eu une attitude normale ?
On te balance un verre de bière dans la gueule, tu t'en vas en baissant la tête ?

La meuf a eu une attitude normale ?
On te balance un verre de bière dans la gueule, tu t'en vas en baissant la tête ?

T'as vraiment mal aux yeux ?
C'est lui qui commence en voulant lui mettre une claque
Quelle merde en tout cas.

Depuis le début, elle cherche en ayant une attitude arrogante & agressive, "il n'y a pas de fumée sans feu", avant la petite claque, c'est aussi elle qui le provoque avec des doigts d'honneur. Je persiste, elle l'a bien cherché, surtout qu'il ne l'a pas droité non plus, cette connasse n'a pas volé son vol plané.

La vidéo commence par un " Ta mère " de sa part; mais p-e que tu es au taff et tu n'as pas le son
Attitude d'un bouffon qui s'est fait recalé et qui veut pas perdre la face devant ses potes.
Sombre merde.

Ramene ta tête, il manque des joueurs.

La vidéo commence surtout par la connasse qui ramène sa fraise avec une dégaine arrogante qui mérite des claques à cent mètres. Sinon, j'ai le son, et donc, tu vois dans quelle langue parle la meuf, même pas sûr qu'elle ait compris le "ta mère", mais lui aussi, il n'est pas sortit gratuitement de nul part, "il n'y a pas de fumée sans feu". Cela aurait pu se terminer sans violence, elle a voulu que ça aille plus loin en lui lançant le verre de bière, elle assume de se retrouver le cul par terre, c'est bien de remettre en place ce genre de "biatchs", la prochaine fois, elle réfléchira à deux fois avant peut-être d'adopter une attitude aussi arrogante et agressive.

La vidéo commence par un " Ta mère " de sa part; mais p-e que tu es au taff et tu n'as pas le son
Attitude d'un bouffon qui s'est fait recalé et qui veut pas perdre la face devant ses potes.
Sombre merde.

commence surtout par la connasse qui ramène sa fraise

T'es pire que Vita et Parisses réunis en fait.
Quelle fierté de faire ça? Il s'est racheté une paire de couilles la ?
Il a de la chance que les potes de la meuf ne soient pas des nerveux sinon il se serait fait ouvrir.

tu crois vraiment qu'il se passe rien avant? lol

Absolument aucune fierté à en retirer, mais aucune honte non plus.
Donc, toi, une fille te balance un verre de bière à la gueule, tu pars en baissant la tête ?


Peut-être, mais tant que ça reste verbal...
Ce que je vois, c'est une embrouille de rien du tout qui aurait pu se terminer sans violence, avec juste quelques mots déplacés, & chacun qui repart chacun de son côté. Sauf que la fille a décidé d'aller plus loin, c'est elle qui est allé sur ce terrain là, et elle a logiquement pris un retour de bâton, ça lui fera réfléchir à deux fois la prochaine fois.

Etre un homme, c'est savoir se contrôler.

Etre un homme, ce n'est pas accepter de se faire humilier & se faire marcher dessus sans rien dire.
S'il l'avait agressé le premier quand cela n'en était qu'aux paroles, j'aurais été le premier à l'insulter de connard.
Là, je suis désolé, la meuf l'a bien chercher !

Etre un homme, c'est savoir se contrôler.

Etre un homme, ce n'est pas accepter de se faire humilier & se faire marcher dessus sans rien dire.
S'il l'avait agressé le premier quand cela n'en était qu'aux paroles, j'aurais été le premier à l'insulter de connard.
Là, je suis désolé, la meuf l'a bien chercher !

Etre un homme c'est aussi de savoir poster des vrais trucs dans les bons topics...

GG Sportinguista le pourrissage de topic et d'image pour les portugais...

Ouais, t'es un nerveux du net quoi.

Etre un homme c'est aussi de savoir poster des vrais trucs dans les bons topics...

GG Sportinguista le pourrissage de topic et d'image pour les portugais...

Non mais ouvre les yeux, le mec s'est pris un rateau avec son imitation Cristiano Ronaldo, il fait le rageux, la meuf joue la nerveuse, c'est pas pour ça que tu dois la frapper.
C'est quand même dingue, question de principe tu frappes pas une femme, bon si elle te met une droite comme dans la vidéo plus haut je veux bien mais la, le mec il n'a pas gagné le respect des gens loin de la

Je te pose la même question qu'aux autres :
On te balance un verre de bière dans la gueule, tu fais quoi ?
Bon, après, chacun réagit comme il veut, mais je persiste à dire qu'elle l'a chercher.

Les techniciens de surface

Avec trois entraîneurs (et trois clubs) en demies de C3 et l’incontournable Mourinho, le Portugal brille par ses têtes pensantes. Et si les guesh étaient les meilleurs techniciens ?

La présence de Benfica, Braga et du FC Porto en demi-finale de Ligue Europa a laissé le Vieux Continent presque incontinent. Non, le foot portugais ne fait plus pisser de rire. C’est lui qui se marre. Malgré les soucis qui rongent son championnat (impayés, violence, manque de financement, ndlr), le foot guesh brille - en surface - par ses techniciens.

Il y a bien sûr José Mourinho. L’entraîneur portugais du Real Madrid. La plus grosse fiche de paye de la profession. Un palmarès aussi imposant que son égo. Mais José est éliminé du dernier carré de la Ligue des champions. Les regards sont maintenant tournés vers son ancien disciple : André Villas-Boas. À 33 ans, le coach du FC Porto pulvérise les records. La comparaison avec le Mou est facile. « Je ne parle pas avec José Mourinho, lâche-t-il presque agacé. Ça n’a rien à voir avec la séparation puisque qu’après que je sois parti à l’Académica nous nous parlions souvent ». Chacun sa vie. Mais pas de concurrence : « Je ne peux pas être le rival de celui qui est, selon moi, le meilleur entraîneur de tous les temps ». Quasi finaliste de la Ligue Europa avec les Dragons - après le 5-1 claqué contre Villarreal à l’aller - « le Petit Prince » se balade en C3. La capote ouverte. Sur les sept derniers matches, son équipe compte une moyenne de 4,1 buts par rencontre.

L’autre demie, met face à face Jorge Jesus et Domingos Paciência. Benfica contre le Sporting de Braga. Deux générations s’affrontent. A 56 ans, JJ vit son moment de gloire. Certes, il est le champion en titre déchu, éliminé de la Coupe du Portugal à domicile par le rival de Porto, mais Jesus tend la joue. Et continue de propager ses belles paroles : « J’ai réussi à faire ce qu’aucun autre entraîneur n’a réussi à faire ». Avec plus de 263 jours sans se faire virer du SLB, il garde la Luz allumée et rejoint le record de longévité sur le banc lisboète de ses dernières années détenu par Sven-Goran Eriksson (en 1992). Jesus qui avant de descendre sur Lisbonne faisait le bonheur dans la cité des Archevêques.

Mais aujourd’hui, le héros de Braga se nomme Domingos. Paciência l’impatient est à 42 ans l’un des Misters les plus prisés au bled. En deux saisons, il a fait entrer les Guerriers du Minho dans la cour des grands. Pas étonnant que le Sporting et son nouveau président, Godinho Lopes, en fasse sa première priorité pour le prochain exercice. L’ex-buteur de Porto est comme Jesus un ancien joueur. Une réalité quasi systématique pour les entraîneurs en France mais loin d’être évidente au Portugal.

Les « professores »

On les appelle « Professor. » Et ils sont nombreux au Portugal. Pas mal des entraîneurs de l’élite sont des diplômés. En EPS. L’ex-seleccionador, Carlos Queiróz, façonneur de la génération dorée championne du monde junior en 1989 et 1991, en fait partie. Le doyen Jesualdo Ferreira aussi. En Liga, la moitié des entraîneurs n’a pas fait carrière en tant que footeux. Et certains noms font déjà baver. Les jeunes Leonardo Jardim (ex-Beira-Mar, pressenti à Braga), Rui Vitória (Paços de Ferreira), Pedro Caixinha (União de Leiria), Daúto Faquirá (Olhanense), Carlos Azenha (Portimonense), le très verbal Manuel Machado (Vitória de Guimarães)et le (re)connu José Couceiro (Sporting) ont la côte. Face à eux, les (re)convertis Domingos, Jesus, Pedro Martins (Maritimo), Carlos Brito (Rio Ave), Bruno Ribeiro (Vitória de Setúbal), Ulisses Morais (Académica), Ivo Vieira (Nacional), Carlos Mozer (Naval) et Rui Bento (Beira-Mar). Sans oublier le nouveau patron de la Selecção, Paulo Bento.

Au-delà de leur brevet tamponné UEFA, ces anciens cramponnés ont pris goût au banc grâce à leurs ex-Prof. Inspirés aussi par l’homme du compromis : Artur Jorge. Buteur légendaire – il était surnommé le « coup-de-pied moulin » pour ses retournés acrobatiques – le Roi Artur est un mythe en tant que coach. Et il était une tête. Un mec engagé contre le régime salazariste qui est parti perfectionner ses méthodes d’entraînements à Leipzig, en ex-RDA. Il y empoche même une Licence en philologie avant de parfaire son CV de trophées…


Des entraîneurs modernes

Mais le temps de la moustache est révolu. La haute-technologie a fait son entrée. Le iPad est devenu l’outil incontournable chez les entraîneurs guesh. Et c’est encore Mourinho qui a servi d’exemple. José a mis un point une application multimédia. Le « Moupad » est même en vente au prix de 39€90. Dans le bucolique stade de la Mata Real à Paços de Ferreira, Rui Vitória l’a déjà adopté. Il faut dire qu’en Superliga, les coaches sont de la nouvelle génération. Avec une moyenne d’âge de 43,8 ans ils figurent pimpants devant les Français (49, 4 ans) et presque gamins face aux Managers anglais (52, 8 ans). Le foot portugais aime les méthodes nouvelles. Le FC Porto a mis en place une base de données poussée sur les joueurs. Tous les matches diffusés à travers le monde sont enregistrés et stockés. Un moteur de recherche par mots clés permet à l’entraîneur de retrouver une cible en un clic.

Les méthodes d’entraînements n’échappent pas non plus aux tendances. En 2006, avec l’arrivée de Co Adriaanse, les Dragons ont adopté la « Méthode Coerver. » Elle repose sur la création de mécanismes et d’automatismes à travers la répétition d’exercice basés sur six paliers : contrôle du ballon, réception et passe, 1 contre 1, finition et, au sommet, l’attaque collective. Un travail de fond qui s’opère chez les jeunes. Cette création inspirée du jeu de Pelé et de Garrincha et qui porte le nom de son créateur, le néerlandais Wiel Coerver, est adoptée à Manchester United, au Barça mais aussi en J-League et en Chine.

L’apport des étrangers

Si Co Adriaanse ne fera pas de vieux os à Porto, ses méthodes – et certains de ses adjoints – resteront. Le coach hollandais s’inscrit dans la tradition des entraîneurs étrangers de la Liga portugaise. Sur les 75 techniciens champions, plus de 50 n’étaient pas des « nationaux ». Les onze premiers titres (années 30) reviennent à des Hongrois. Il y a eu les Anglais, Galloway, Jimmy Hagan ou Robson, les Brésiliens comme Carlos Alberto Silva ou Otto Glória, les Italiens Materazzi (le papa) et Trapattoni, les Roumains Schwartz et Bölöni ou encore le Yougoslave Ivic ou le Suédois Eriksson… Le Portugal s’est nourri des différentes cultures et techniques venues d’ailleurs. Et les actuels entraîneurs ont été éduqués par ces aliens.

Cette saison, les locaux ont pris le pouvoir mais bien inspirés par les étrangers. Le foot portugais paraît bien loin du sectarisme français. En 2005, lorsque Ricardo – qui en 1997 devenait pourtant le deuxième plus jeune entraîneur de l’histoire à atteindre une finale de coupe d’Europe avec le PSG en C2– s’installe à Bordeaux, l’UNECATEF s’élève et exige des diplômes estampillés bleu blanc rouge. Sur bloGolo, le Portugais Paulo Duarte se souvient de son passage au Mans : « J’ai été très bien accueilli. Le seul vrai problème que j’ai rencontré c’est pour mes diplômes. J’ai dû prouver l’authenticité de chaque document qui pourtant est reconnu par l’UEFA, je devais me justifier de tout, apporter les preuves que j’avais été entraîneur en D1 à l’étranger… Les démarches ont duré un mois ! C’était exagéré… ». Depuis une vingtaine d’années, la France se renferme sur ses acquis et ses seules qualités. Invité sur M6, à 100% Foot, Bernard Lacombe qui a fantasmé sur Mourinho et est loin du rêve avec Puel ne semble pas s’intéresser à Villas-Boas. Haussement d’épaules, la moue et un : « Non, non… ». L’OL n’en veut pas. La Roma, la Juventus et Liverpool (entre autres) y songent déjà. Après avoir foiré nombre de joueurs qui ont explosé au Portugal, la L1 boude les Misters guesh. A quand le vrai ménage ?

Artur Jorge. Buteur légendaire – il était surnommé le « coup-de-pied moulin » pour ses retournés acrobatiques – le Roi Artur est un mythe en tant que coach.

So Foot

des vidéos de ces buts sont dispos quelque part ?

On m'a parlé de Falcao au Real Madrid, des infos là dessus ?

(ça serait génial !)

Porto l'a acheté 4m€ avec pour but de remplacer Lisandro, et il a largement rempli son rôle et en deux saisons s'est imposé comme un des capitaines de l'équipe

J'espere qu'il ira pas au Real, meme si j'aime beaucoup, il a pas le niveau pour jouer la bas.
D'ailleurs le mec avait presque signé à Benfica, un bn gros coup de pute si je me souviens bien.

Le Sporting aura 30M€ pour recruter

Le président du Sporting, Godinho Lopes, a promis des renforts pour la saison prochaine.
« Nous allons investir 30M€ dans l’achat de joueurs. C’est une valeur essentielle pour que le Sporting soit compétitif la saison prochaine. » Lors des élections présidentielles du Sporting, en mars dernier, le alors candidat Godinho Lopes avait promis une belle enveloppe pour le recrutement. Lundi, le nouveau patron des Lions l’a confirmé aux micros d’Antena 1.
Un discours qui s’est voulu prudent : « Je n’ai jamais dit que nous serions champions mais je dis que nous allons luter pour la première place. » Puis, critique : « Ce qui s’est passé cette année est un gros scandale. Ce n’est pas digne de l’histoire du club ni de ses supporters. »

« Ce qui s’est passé cette année est un gros scandale »

Godinho a affirmé que « beaucoup de joueurs de l’actuel effectif vont rester ». Il a insisté sur le profil des joueurs à venir qu’il veut à l’image du Péruvien André Carrillo, officialisé il y a quelques jours. « Orgueilleux de représenter le Sporting. »‘ Mais il met aussi le doigt sur le dilemme de la politique du club : « Ça ne fait aucun sens d’avoir les joueurs les plus chers sur le banc et de faire jouer ceux de la formation. Il faut élaborer un plan de carrière clair pour les joueurs formés au club sachant que l’équipe première n’est pas un lieu de passage mais un avènement. » Le club lisboète qui court derrière un titre en Liga depuis 2002 peine encore à percer face à ses deux grands concurrents – Benfica et FC Porto – et à établir une gestion claire. Former ou recruter ? Vendre ou acheter ? Les deux. Mais les erreurs de casting poussées par les divers changements de staff n’ont pas aidé les Lions à se poser.
Et à l’aube de la saison 2011/12, la gestion et le recrutement ne sont pas aisés à anticiper puisque le président du SCP n’a toujours pas annoncé le nom de son futur entraîneur. Celui de Braga, Domingos, est annoncé mais l’annonce tarde. Et lors de la dernière journée le Sporting va affronter… Braga.

Hulk prolonge à Porto

Le FC Porto a annoncé avoir prolongé son incroyable attaquant et a par la même acquis 40% de ses droits en plus.

Hulk est encore un peu plus Portiste. Vendredi soir, le FC Porto a annoncé avoir acheté 40% de ses droits contre 13,5M€. Les nouveaux champions du Portugal avaient acquis 45% de ses droits lors de sa signature en 2008 pour 5,5M€. La nouvelle part a été vendue par le club uruguayen de l’Atlético Rentistas qui sert de plate-forme à l’agent du joueur, Juan, Figger. Lorsqu’il a quitté le Japon pour rejoindre le Portugal, l’actuel meilleur buteur de Liga avait été inscrit dans ce club sans jamais y avoir mis les pieds…

Dragon jusqu’en 2016

Ce transfert total de 18,5M€ pour l’international brésilien est un record. Jamais un club portugais n’avait déboursé autant pour faire venir un joueur. Simão arraché au Barça par Benfica en 2008 contre 13M€ était jusqu’ici le plus cher.

Les dirigeants de Porto en ont aussi profité pour prolonger le contrat du joueur jusqu’en 2016, soit deux de plus. Sa clause libératoire ne bouge pas : 100M€.

Une gestion dans le plus pur style de la maison. Alors que son nom fait baver bon nombre de clubs européens, Porto assure ses arrière et son Hulk.

Comme si le Sporting pouvait s'aligner sur le salaire d'Elmander à Bolton

Sinon, il y a une erreur dans l'article concernant Simao. Comment Benfica a pu l'acheter en 2008 alors qu'il a joué contre nous lors de la saison 2006-2007 ?

Porto : Corruption en 2002-2004 ?

L'arbitre portugais Jacinto Paixao a avoué sur Youtube qu'il avait été payé pour favoriser les matchs du FC Porto de 2002 à 2004.

Jacinto Paixao a avoué dans une vidéo sur Youtube avoir été payé pour favoriser le FC Porto durant trois matchs entre 2002 et 2004 : Porto-Moreirense (1-1), Porto-Amadora (2-0) et Porto-Academica (4-1). L'ancien arbitre déclare avoir reçu des faveurs sexuelles et des voyages gratuits par le club portugais afin d'arbitrer en sa faveur. Ce témoignage, seulement rendu public aujourd'hui, avait été apporté lors d'un procès contre le FC Porto, soupçonné de corruption, mais le juge l'avait rejeté. Dans la vidéo, Paixoa donne notamment le noms de certaines personnes impliquées dans le complot. Arrivé à Porto en janvier 2002, Jose Mourinho était sur le banc de deux de ces matchs truqués.

T'as le choix, c'est lui ou toi.

Foot365
Sportinguista si tu nous lis

Madjer raconte sa finale

La légende du FC Porto se confie à bloGolo à quelques heures d’un grand rendez-vous de Ligue Europa.



« Oh, mon ami. Je suis en train de regarder mon fils jouer. Mon petit dernier. Il a 9 ans et il a du ballon ! Comme son père ! (rires) » Au bout du fil, Rabah Madjer n’a rien perdu de son sourire. Ni de sa passion. A 52 ans, l’international algérien s’est mué en consultant télé. Toujours un œil et le cœur rivés sur le foot portugais : « Je suis la Liga toujours de très près. Surtout mon FC Porto ! »

Et justement, ses Dragons jouent mercredi la finale de Ligue Europa face au Sporting de Braga. L’auteur de la fameuse talonnade lors de la finale de C1 de 1987 face au Bayern Munich (2-1) croit dur comme fer au succès des champions du Portugal : « La logique veut que Porto gagne. Ils possèdent une grande équipe avec d’excellents joueurs. Et cette finale est une très bonne nouvelle pour le foot portugais. Et je suis content de voir que Domingos fait du si bon travail comme entraîneur à Braga. »

« Tout le monde a embrassé le Coran ! »

L’ex-attaquant replonge alors dans ses souvenirs. Nous voilà 24 ans en arrière. Dans le vestiaire du Stade Prater de Vienne : « A la mi-temps, nous étions menés 1-0 face au Bayen. J’ai alors sorti un petit Coran que mon père m’avait ramené de la Mecque. Et j’ai dit à tout le monde que pour gagner, il fallait l’embrasser. Les joueurs, les staff, les dirigeants, tout le monde a embrassé le Coran ! » Un geste qui portera bonheur aux Portistes qui renverseront le cours du match et remporteront leur premier trophée continental.

Madjer : « Le football n’a pas de religion, ni de nationalités. Personne n’a bronché. Jamais on a remis en question le fait que je sois Musulman lorsque j’étais au Portugal. Et le Portugal est mon deuxième pays après l’Algérie. » Rabah Madjer est un binational. Par le cœur.