De ce que j'en ai joué (une poignée de niveaux) les Rayman récents c'est une autre approche de la plateforme, qui est intéressante grâce aux nouveaux concepts qu'elle apporte, mais qui est justement beaucoup moins axée plateforme pure et challenge. En solo, c'est le genre de jeux pour lequel je pense que je pourrais m'emmerder un peu à la longue, le level design et le gameplay m'a l'air de tirer tout son intérêt avec le coop (vu que l'entraide sera primordiale pour avancer et que les idées de gameplay s'y prêtent parfaitement), point sur lequel les deux DKC sont pas top. DKC c'est plus la "vieille école de la plate-forme" avec un level design diabolique et une construction non linéaire, je suis plus friand de ce genre de jeux. Pour les Rayman, j'avais surtout apprécié le premier épisode sur 32 bits, ultra classique et ne révolutionnant pas le genre, mais tellement bien calibré, avec une vraie dose de challenge, un level design inspiré, des graphismes et une direction artisitique "cartoonesques" très jolis et une partie sonore très soignée

J'avais aimé le second épisode à l'époque aussi. Actuellement, si y a un seul jeu Ubisoft que j'attends réellement c'est la suite de Beyond Good & Evil.
Si je devais comparer les trois premiers mondes des deux derniers DKC, je trouve DKCTF au dessus de l'épisode Wii même si concrètement, les mécaniques sont les mêmes ce qui atténue l'effet de surprise. D'ailleurs, si je devais citer un point faible pour l'instant, c'est comme dans le premier épisode l'impossibilité de contrôler un autre personnage que Donkey, pour moi la référence en terme de plateforme 2D reste Donkey Kong Country 2, et le système de switch et de combinaison entre les deux personnages était parfait et très naturel.
Sinon, pour ceux qui ont touché à FIFA 15, ça vaut quoi? J'avais acheté l'épisode 13 lors de sa sortie, n'ayant alors plus acheté de jeu de foot depuis un bail et décidant de suivre les conseils, et j'avais pas accroché, à cause d'une prise en main pas assez intuitive (en même temps je sortais des PES quand ces derniers étaient encore à leur sommet) et d'un manque de personnalisation du contenu notamment.