Alucard commençait à doucement glisser ces derniers temps je crois aussi. Et stromboli qui n'hésite pas à lâcher des petits tacles sur Tuchel.

Fake news, je ne jamais chié que sur Rabiot et Ben Arfa.
Tuchel est un excellent entraîneur, et tant qu'il peut compter sur Marco qui est l'adn de notre équipe il peut nous amener au sommet.

Pas tout le monde. P.O.M.

Outre sa faculté tactique, je suis vraiment scié par la transformation mentale qu'il amène à ce groupe.

Il amène une confiance incroyable à des joueurs qui étaient réputés fragiles. Sous l'ère Emery, dès que ça commençait à tanguer, on finissait par craquer, mais là on tient au courage et à l'envie.

La différence d'attitude sur le banc aussi. Entre Emery qui transpirait la peur et le j'm'enfoutisme de Blanc, ça fait du bien de voir un coach qui y croit et pousse ses joueurs.

Ouais ouais, il est pas mal ce coach.
Dommage qu'il ne ressemble à rien.

SAINT TUCHEL.
On peut le canoniser…

Donnez lui le Directeur Sportif qu'il souhaite.

Immediatement.

Te justifie pas, il n'y a pas de crime à changer d'avis. Tuchel quand il arrive est un puceau sans CV, il a mis tout le monde d'accord jusqu'à présent, c'est comme ça que ça se passe dans TOUS les bons films.

Depuis la phase de poule, son billet est déjà validé pour la saison prochaine, aujourd'hui, il n'y a plus que du bonus.

Itw intéressante de Markus Kaufmann chez Vu du banc, auteur du livre "Thomas Tuchel, Faire grandir Paris"

https://soundcloud.com/vudubancpodcast/sais...markus-kaufmann

+33

Pourquoi? Qu'on lui laisse les commandessur le mercato. Il nous a bluffé avec Bernat à 15 M (ou moins?)

Tu devrais le coacher niveau swag, c'est tout ce qui lui manque.

Babou1 aussi par alliance avec Henrique

Mon coach, je t'aime.

Tuchel mais bon on sait tous qu'il finira comme Werner Ziegler avant d'avoir fini son chantier psg

La doudoune uniqlo c'est pas ouf mais franchement c'est solide. Le turtleneck en interview d'après match c'est l'élégance, le pantalon feu au plancher c'est au poil, les baskets c'est pas ma came mais c'est sobre et "à la mode".
Son petit bomber en début de saison et maintenant sa parka navy c'est du solide aussi, les polos LS en coton/soie puis laine avec l'hiver arrivant c'est une super bonne pièce signature. Pas mon style mais c'est sobre, souvent bien coupé et ça fait proche des joueurs. Il est irréprochable. Il est bien mieux là dedans que dans ces tentatives ratées de costume. Il est allemand, cela ne sert à rien de forcer, c'est pas pour lui. Quand on voit ce qu'il proposait niveau style au BVB c'est clairement le MIP incontesté et incontestable.

https://twitter.com/GFFN/status/1095397862278680579

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

C'est un giga crack. Travail, famille, Paris. Patron.

C'est pas faux

Et j'ai rien compris au reste

Je note le travail énorme sur les joueurs, certains sont méconnaissables dans leur gestion, marquinhos, di maria par exemple qui n'ont jamais paru aussi forts alors qu'ils naviguaient dans l'irrégularité. A noter aussi aucune bourde de TS, on touche du bois.

Au delà du pack neymar-mbappé, c'est la meilleure recrue qu'on ait eu, il a bouffé sméagol hier comme zidane avait bouffé emery au retour.


tout le monde n'est pas cristina corluda.

L’air de rien ca fait du bien d’avoir un vrai bon coach après Blanc « je fous mon 4-3-3 et touche a rien quoiqu’il arrive avant 10 générations » jusqu’a un suicide au 3-5-2 jamais travaillé, et Emery « j’ai peur des contres meme du TFC faut que je blinde »

Double lateral. ©

On finit avec 2 double latéral d'ailleurs, bernat-dagba et kehrer-alves

Ce post

Visionnaire








Pareil, j'en pouvais plus de son visage suintant et grimacant chaque fois que l'adversaire passait la ligne mediane. Tuchel degage lui confiance et serenite.

Tuchel dit exactement la même chose à chaque conf' d'avant match hein

Philo question perso. Tu l'aimais bien Tuchel à Dortmund? Globalement c'est toujours le même ou il s'est adapté à certains traits du contexte parisien?

Oui, je l'aimais beaucoup et il a fait du très bon travail mais il n'a pas grand chose à voir avec le Tuchel du PSG.
A Dortmund, c'est son travail collectif sur le jeu offensif qui était impressionnant alors que c'est le point que je trouve le moins convaincant sur son bilan au PSG jusque-là. On est une équipe très dépendante de nos individualités, ce n'était pas vraiment le cas de son BVB.

Au contraire, il s'était fâché avec bon nombre de joueurs (dont son capitaine Mats Hummels) alors qu'il a conquis tout le monde à Paris jusque-là, ce qui est probablement le plus dur. Evidemment, il a aussi lâché pas mal de lest, genre sur les sorties il ferme bien sa gueule et met les séances l'après-midi comme demandé

Après, faudra voir dans la durée, il faut le supporter et ce n'est pas toujours simple. A Dortmund, après un an, certains l'imaginaient rester 7 ans comme Klopp. Moins d'un an plus tard, il avait toute la direction du club contre lui et s'est fait dégager comme une merde le lendemain de son seul trophée

C'était couru d'avance ça

Sa direction ne la pas suivi après l'attentat, il est difficilement blâmable Tuchel

Comme si Verratti allait bouffer du quinoa et boire du jus de betterave


C'est un tournant de son passage mais il y avait déjà d'autres problèmes avant. Avec Hummels, ce n'est pas lié à ça par exemple.

Oui ça c'est lié au fait qu'Hummels soit un sale con. Elegant mais sale con quand même.

Il a peut être un peu changé son fusil d'épaule suite à cette expérience qui s'est mal finie.

Philo je souhaitais aussi te poser cette question sur son évolution entre les deux Clubs. Est ce que tu sens une progression de sa part sur les points plus problématiques?

THOMAS TUCHEL (PSG) : SA MÉTHODE DÉCRYPTÉE PAR MARKUS KAUFMANN, SON BIOGRAPHE

Après une demi-saison au PSG, Thomas Tuchel fait à peu près l’unanimité. Mais le travail de l’entraîneur parisien sera vraiment jugé dans les semaines à venir, à commencer par le 8eme de finale aller de Ligue des Champions contre Manchester United mardi (21h00). L’occasion d’évoquer sa personnalité avec Markus Kaufman, qui vient de publier une biographie du technicien allemand.

Markus Kaufmann, en quoi avez-vous été le plus surpris par Thomas Tuchel au fil de vos investigations pour rédiger sa biographie ?
Avant d’accepter le projet proposé par les éditions Marabout, j’avais réalisé une série d’entretiens informels avec des joueurs et des agents, pour voir si le portrait de Tuchel était différent de celui dressé dans les médias français. Tous me disaient qu’il était hyper fort, meilleur que ce que l’on pouvait croire par rapport à son palmarès, et que sa personnalité était très différente de ce qu’il montrait en conférence de presse en Allemagne. Ils m’ont tous dit que c’était un mec marrant et attachant. C’est là que je me suis dit qu’il y avait une piste à suivre, parce qu’il y avait peut-être moyen de raconter une histoire intéressante. Quand j’ai parlé avec des gens qui l’ont connu, surtout avant qu’il soit célèbre, ça m’a conforté dans le fait que c’était une personnalité à part, qui n’était pas celle qu’on a décrit quand il est arrivé à Paris. Il privilégie la psychologie et la construction d’un groupe fort à la tactique, alors qu’on dressait le portrait d’un geek, qui pouvait changer de systèmes plusieurs fois par rencontre.

Contrairement à ses prédécesseurs, Tuchel a tout de même fait en sorte de disposer de plusieurs plans tactiques en essayant différents dispositifs…
Il connait très bien le foot et il sait dans ce sens que l’importance des systèmes est relative. L’important, c’est d’avoir des solutions différentes et il les orchestre au bon moment pour l’instant, surtout en Ligue des Champions, où il arrive à s’adapter à l’adversaire. Il ne va jamais tirer un trait sur un système ou sur l’utilisation d’un joueur en particulier. Il y a énormément de joueurs qu’il a fait évoluer à des postes différents. Dembélé a été utilisé de plein de façons différentes à Dortmund : milieu relayeur, ailier, attaquant de pointe. On le voit avec Dani Alves, il le fait jouer en numéro 6, ce qui n’était jamais arrivé dans sa carrière. Je ne pense pas que ce soit le fait qu’il soit plus âgé et qu’il ne puisse plus couvrir son couloir aussi bien qu’avant, c’est que Tuchel a cette vision qu’un joueur qui sait bien protéger son ballon et a cette science de la possession lui serait utile dans ce milieu.

Tuchel a aussi réussi à imposer ses principes à ses joueurs, qui n’ont pas rechigné à les appliquer comme ça avait pu être le cas par le passé…
A chaque fois qu’il récupère un groupe, il instaure tout de suite un esprit collectif, avec une rotation très importante, donc les joueurs les plus performants à l’entraînement sont ceux qui vont jouer le week-end. Il n’y a pas vraiment de statuts. Il va avoir une approche différenciée avec chacun de ses joueurs. On le voyait vraiment comme un spécialiste de la tactique, qui allait faire passer Paris dans une autre dimension grâce à ses systèmes de jeu. Il a abordé le problème de manière différente. Il a construit un groupe et son défi, c’est de faire en sorte que les grosses stars du PSG se comportent comme des joueurs normaux qui ont envie de tout faire pour gagner. Il admirait beaucoup le Barça de Guardiola, non pas parce qu’il pratiquait un football très esthétique avec une possession de balle très élevée, mais surtout parce que les joueurs se mettaient au service du collectif et qu’on avait l’impression de voir une équipe qui jouait comme un seul homme.

La filiation qui lui est prêtée avec Pep Guardiola a-t-elle du sens ?
Dès que Guardiola prend une équipe en main, on voit sa patte au bout de quelques semaines. Il a un talent pour imposer son modèle de jeu à une équipe et c’est quelque chose que Tuchel admire vraiment. Dès qu’on parle de Guardiola dans la presse, on parle de style de jeu, de possession de balle et de tiki-taka, pour être très général, voire vulgaire, alors qu’un entraîneur professionnel pense à sa façon de convaincre les joueurs, sa psychologie par rapport aux individualités ou sa communication. Il y a différentes facettes chez un entraîneur. C’est pour ça que Tuchel dit que c’est impensable pour lui de copier Klopp ou Guardiola. Quand en Allemagne, on lui disait que c’était le nouveau Klopp, il répondait qu’ils aimaient tous les deux porter des pulls à capuche sur le banc. Mais à part ça, il l’avait appelé cinq minutes quand il avait pris le poste à Dortmund et ils n’ont jamais travaillé ensemble. Le métier d’entraîneur dépasse largement l’utilisation d’un système, c’est comment il va mettre sa personnalité au service de son club. Quand Tuchel dit qu’il est un grand admirateur de Guardiola, ce n’est pas forcément de son style de jeu.

Comment s’est-il construit ce parcours d’entraîneur qui s’inscrit dans la droite lignée de la nouvelle génération d’Allemands qui n’ont pas forcément de parcours de joueurs à haut niveau ?
Ses amis d’enfance qui jouaient dans son équipe de lycée disent que dès qu’il avait 15-16 ans, c’était le capitaine de l’équipe, un leader qui se souciait de la discipline collective du groupe. Il avait cette fibre très jeune. Il a été entraîné ensuite par Ralf Rangnick, qui a eu un parcours esseptionnel à Hoffenheim et Leipzig. Certains disent qu’il a copié toutes ses séances d’entraînement parce qu’il était fasciné par sa façon de diriger son groupe. Il a toujours eu le réflexe de penser pour le collectif et de voir au-delà de son statut de joueur. Finalement quand il arrête sa carrière à 25 ans, il prend beaucoup de recul, il quitte le monde du football, il commence à faire des études et devient serveur. Ce n’est pas par hasard qu’il arrive au métier d’entraîneur, mais quand il revient dans le football, il se pose vraiment la question de ce qu’il a envie de faire. Il a un diplôme en administration des affaires et ce n’est pas évident de devenir entraîneur, c’est ensuite que ça devient une vocation. Il plonge complètement dans le métier. En plus d’être formateur à Stuttgart, il crée sa propre école de formation où il va faire des stages d’été dans tous les coins du Sud de l’Allemagne. Il a une vision plus générale du métier d’entraîneur, il a vraiment envie d’utiliser le football pour l’éducation et l’inclusion sociale.

De qui se revendique-t-il dans les principes tactiques ?
Son parcours se forme à Stuttgart, où il baigne pendant quatre dans les influences du clan mené par Helmut Kross et dont Joachim Löw a fait partie. Y est prôné un football actif avec du contre-ballon, ce qui a donné ensuite donné l’expression « gegenpressing ». Il faut vraiment récupérer le ballon rapidement et ne pas voir la possession comme une façon d’attaquer, plutôt comme une manière de gérer les temps faibles. Parfois ils vont se débarrasser du ballon dans le camp adverse pour le récupérer le plus rapidement possible dans des zones dangereuses et ils vont garder le ballon derrière, pas pour préparer une attaque, mais pour empêcher l’adversaire de marquer. Il a aussi appris à détester la défaite à Stuttgart. Dans son caractère, ça se manifestait déjà à 15-16 ans. Il avait gagné la Coupe d’Allemagne des lycées et il a perdu en demi-finales la saison suivante. Il a pété un câble après la défaite parce que ses coéquipiers avaient acheté des boissons. Ils étaient à Berlin, ils venaient tous d’un petit village et ils voulaient tous aller faire la fête. Lui ne supportait pas d’avoir perdu.

Comment a-t-il fait évoluer son approche psychologique d’un groupe au fil de ses années de carrière ?
Déjà à Augsbourg, quand il est directeur du centre de formation, il a une vision globale du métier d’entraîneur, parce qu’il coordonne les programmes d’entraînement des différentes tranches d’âge. Une partie de son travail, c’est aussi d’inclure l’éducation et faire en sorte que ces jeunes s’améliorent en tant que footballeur et en tant que personne. Il a gardé ça dans sa carrière professionnelle. Il traite chaque individu pas comme un joueur professionnel qui gagne beaucoup d’argent et est surexposé, mais comme un type normal, qui peut être malheureux et avoir des problèmes de famille. Son expérience de joueur blessé lui a beaucoup servi. Partout où il est passé, il a toujours protégé les livres avant tout. En Allemagne, on attaque pas mal la génération des Mario Götze, qui sont beaucoup sur les réseaux sociaux et qui montrent leurs richesses à tout le monde. Lui à chaque fois défend le joueur, dit que chacun est différent et a sa propre vie, que c’est impossible de faire des généralités, comme dans toutes les professions.

S’il est très protecteur vis-à-vis du vestiaire, il sait comment utiliser les médias et les conférences de presse pour faire passer des messages à l’endroit de ses dirigeants…
Sa période à Dortmund montre bien qu’il est le garant de la performance de son équipe par rapport au reste du monde. Il y a un département de recrutement qui va essayer de recruter des jeunes pour les vendre ensuite plus cher et faire grandir le club à long terme, alors que lui c’est le garant de la performance à court terme de son équipe. C’est aussi le garant de la performance de son équipe face au besoin d’informations des médias. Il a interdit la présence de médias à de nombreux entraînements à Mayence. Il y a eu quelques frictions avec la presse, parce qu’il ne comprenait pas pourquoi elle n’essayait pas de comprendre ses méthodes et voulait plutôt vendre du papier en se concentrant sur le résultat final ou certains scandales. Il était aussi le garant de la performance face aux attentes des supporters de Dortmund, qui eux ont plutôt envie de voir leur club rester très fidèle à son identité. Ils n’ont pas envie qu’il grandisse comme le Bayern et devienne une marque mondiale, ils ont envie que Dortmund reste le Dortmund de toujours, alors que lui est venu pour faire des résultats. Quand on lui demande de partir alors qu’il a encore une année de contrat, le communiqué de presse dit que du côté sportif, les performances étaient exactement celles demandées. C’est uniquement du côté personnel que ça a bloqué.

Pourquoi a-t-il accepté le challenge PSG, alors que le mariage ne paraissait pas évident au départ ?
On peut imaginer qu’il voyait le PSG comme un club qui avait la garantie de jouer la Ligue des Champions toutes les années. C’est un stade de développement supérieur par rapport à Dortmund. Il voyait surtout le PSG comme un club qui pouvait lui donner une équipe capable de réaliser son idéal de football, avec une influence sur le recrutement. Il vient d’arriver à Paris, ça ne fait que six mois. Mais quand il a analysé le Mercato de janvier, il a dit qu’il était très content de Paredes et des rumeurs disent qu’il aurait refusé d’autres joueurs que le club lui aurait proposés. Lui avance qu’il est le garant du vestiaire et qu’il voulait protéger ses joueurs. Je trouve que c’est vraiment intéressant dans le sens où on oublie souvent que le Mercato est aussi une source de stress pour le vestiaire, parce que si le PSG cherche un ailier pour remplacer numériquement Neymar, ça vaut aussi dire que Di Maria et Draxler ne sont pas assez bons pour les standards du club. Lui, du moins devant la presse, il a voulu se positionner en protecteur du vestiaire. Il sait qu’au-delà des individualités qu’il a, le plus important c’est de maintenir l’état d’esprit positif qui règne au sein de l’équipe et de faire en sorte que tout le monde se sente concerné.

Comment Tuchel a-t-il fait pour convaincre les Qataris qu’il était l’homme de la situation pour remettre le PSG sur les rails ?
C’est très difficile à savoir, on se base surtout sur des on-dit. La rumeur raconte que c’est le consul du Qatar en Allemagne qui aurait conseillé l’Emir après être tombé amoureux de Tuchel en Allemagne. Il y a aussi la rumeur Xavi, qui aurait dit à l’Emir que Tuchel était certainement le meilleur entraîneur au monde derrière Guardiola. Ce n’est pas évident de savoir ce qui a séduit les Parisiens. Ce qui est sûr, c’est qu’avec le recul, on peut analyser ça comme un choix cohérent. Maintenant que le PSG est entré dans une phase où il doit subir le fair-play financier sans avance financière sur les autres grands clubs européens, il faut absolument faire progresser les joueurs pour pouvoir réaliser quelques plus-values et acheter de meilleures individualités. Il faut aussi construire un groupe sur la durée. C’est en ce sens qu’il faut avoir un entraîneur qui accorde autant d’importance à la force collective.

Il donne aussi le sentiment d’accorder autant d’importance à l’évolution des joueurs qu’aux résultats collectifs…
C’est un vrai entraîneur, pas un manager comme avec Laurent Blanc, il va faire travailler les joueurs et les faire progresser individuellement. On a déjà pu voir avec le développement récent de Marquinhos ou même Juan Bernat que ça a des résultats. A un moment-clé de l’histoire du PSG, il va essayer d’inculquer une culture de l’humilité et du travail, là où on avait une culture de statuts et de passe-droits.

http://www.football365.fr/thomas-tuchel-ps...he-8884051.html

Il est au PSG QSI ce que Maitre Artur Jorge a ete au PSG C+.
La reference absolue.

Top top top. Concernant les sorties, je pense qu'il veut surtout y aller en douceur afin que tout le monde soit convaincu de ses méthodes et surtout du résultat.
Je pense qu'il n'aura pas ce problème de se faire dégager chez nous (Antero ou pas), c'est limite nous qui vont transpirer pour le prolonger en Avril

Changement tactique encore décisif. Quand on se souvient d'Emery qui était obligé de jouer en 4-3-3 c'est ouf.

Un entraîneur plein de ressources qui sait fédérer autour d'un projet, une belle découverte. Il est attachant.

Il est fort le bougre, il est passé de monsieur bricolage à MacGyver

Il fédère le groupe et est capable de pondre des 11 différents à chaque match, tactiquement son 11 caméléon est dur à lire avec des joueurs capables d'évoluer à plusieurs postes parfois dans le même match.

On parle beaucoup de marquinhos, à raison, en ce moment mais alvès qui était pas franchement fou depuis son retour a été bien remis en selle, ce soir encore il fait un bon match.

Très impressionné de comment il tire le maximum de son groupe malgré ses manques et ses absences.

Sans Neymar et Cavani, on perd autant en qualité offensive que l’on gagne en maîtrise et en discipline. La patte Tuchel se voit bien d’avantage avec l’absence de ces 2 joueurs. Neymar peut destabiliser autant l’équipe adverse que son propre bloc équipe. Il reste évidemment indispensable mais il expose énormément ses coéquipiers défensivement. Cavani aussi, dans un autre genre, puisque très limité dans sa faculté à combiner et dans la conservation de manière générale. Il y en a peut être un de trop et Cavani pourrait peut être être menacé à terme.

Tuchel profite en quelque sorte de cette situation, pénalisante au départ. Un joueur comme Alves en tire directement partie. L’exemple me paraît flagrant. Habitué aux blocs disciplinés comme celui du Barca ou de la Juve, il peut rayonner malgré son âge grâce à son sens du jeu grâce auquel il compense un physique déclinant.
En revanche, dès que le jeu gagne en rythme et que les situations de transition se multiplient, son âge avancé se rappelle à lui. Dans un PSG mieux outillé devant et par définition nettement moins appliqué dans la préservation de la structure , Alves peut s’avérer pénalisant de par ses limites physiques.

Le challenge pour Tuchel est bien là, comment faire comprendre à Neymar de ne pas partir systématiquement à l’abordage. Pour Cavani, c’est carrément son profil qui peut entrainer une remise en question.
Bref, soit la MCN se bonifie et améliore ses affinités dans le jeu, soit la question de l’équilibre, de la structure se posera.
Tuchel a eu plus d’impact sur son équipe avec ces deux absences là. Il faut espérer que la greffe ne connaîtra pas de rejet avec le retour de Neymar et Cavani.

J'espère qu'il sera reconnu par ses pairs et sera élu meilleur entraîneur de L1.

Polo Breitner ? C'est qui ce mec là ?

Tu as vu les matchs contre Liverpool au Parc et à Belgrade? Parce que là tu nous sors des clichés mais ça ne reflète aucunement la réalité vu que Neymar était un des plus disciplinés sans le ballon. Après si tu penses qu’on en est à demander à Neymar de suivre son latéral tout le match contre Angers...

Bah il intervenait sur l'After à l'époque c'était pas le mec totalement débile de mémoire, pour les profanes de Bundes comme moi on y apprend 2/3 trucs quand même ,notamment la fin, il nous conseil de ne rien attendre de Tuchel on serait qu'une simple étape dans le plan de marche Tuchel.

Polo Breitner, son principal fait d'armes c'est sa mise en garde du PSG avant le huitième aller à Leverkusen en 2014.

Il avait dit un truc du genre "attention, le Bayer c'est très fort, n'allez pas croire que le PSG va gagner 4-0"

Ex aequo avec Galtier

Il ne dit pas exactement ça et globalement les mecs qui prédisent l'avenir dans les fonds de chopes allemandes, c'est pénible.

Il dit que Tuchel n'est pas spécialement dans la création d'un lien avec les supporters et qu'il a tendance à être un peu ingrat une fois parti et à ne pas trop se retourner.

Maintenant pour le passage où il cite Heidel, c'est quand même un peu curieux de lui reprocher d'être parti de Mayence après 5 saisons, ce qui est déjà beaucoup pour un mec qui s'était très vite fait remarquer pour sa compétence.

Si on lui donne le cadre de travail adéquat, je pense qu'il peut passer un certain temps ici.

Sinon le gars qui pense que le public du PSG est constitué de bobo-métrosexuels.