Ferrari

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Ça doit commencer à serrer les fesses chez Merco pour 2020 là par contre.

A un grand prix d'intervalle, situation identique, il faut expliquer comment tu peux donner un drive through à Kimi mais pas à Vettel... ET Leclerc qui joue à la torpille et qui sort blanc comme neige... Ferrari c'est Barca-Realx10 en fait !!!

Bah bravo Ferrari, la débilité absolue...

Ils ont été tellement exceptionnels de conneries cette saison, j'ai quand même rarement vu cela.

C'est Leclerc qui donne le mauvais coup de roue

Hamilton déclassé, Sainz Mc Laren-Renault récupère la 3ème place.

Dommage qu'ils n'aient pas pris leur décision plus rapidement, cela lui prive de vivre son 1er podium.

Sainz aussi sous investigation.

Ah bon? Où as-tu vu cela?

DRS sous double jaune. Si Kimi P3 en alpha

Si tout le monde se prend une pénalité, on va se retrouver avec une Renault sur le podium

Podium confirmé pour Sainz.

Quelle honte.

GP de l'année.

Gasly P2

D’après la Gazetta, Lewis Hamilton pourrait être le pilote Ferrari à partir de 2021.

https://twitter.com/guillaumemp/status/1200693046100320257?s=21

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

Mouais Ferrari a le plus gros budget mais ils sont dirigés par des incompétents.

D’après la Gazetta, Lewis Hamilton pourrait être le pilote Ferrari à partir de 2021.

https://twitter.com/guillaumemp/status/1200693046100320257?s=21

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

https://twitter.com/Billy_Verydick/status/1230464830282387461?s=19

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

https://twitter.com/AuRupteur/status/1230549391628361733?s=19

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

Mercedes c'est tellement lourd, des génies.

Sinon des nouvelles de Ferrari

https://twitter.com/Burgrid7/status/1232611234878558208?s=19

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

Rendez vous dans 15 jours

https://twitter.com/DepieloF1/status/1235144411979407360?s=19

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

Ferrari déjà dans la sauce.

Charles Leclerc : « Nous ne sommes pas encore là »

Charles Leclerc se confie après la seconde semaine des essais hivernaux F1 2020 de Barcelone. Le Monégasque de Ferrari reconnait que la Scuderia est peut-être un peu en retrait face à Mercedes et Red Bull.



Ce n’est pas un sentiment d’aisance qui prévaut au terme de ces deux semaines d’essais. Quelles sont vos difficultés ?

Beaucoup de travail nous attend, mais je ne pense pas qu’il faille parler de difficultés. Nous avons changé notre approche des essais hivernaux par rapport à l’an passé ; ce qui veut dire que nous nous concentrons sur nous-mêmes sans chercher à nous comparer à nos adversaires. Nous verrons où nous en sommes vraiment en Australie.

Partagez-vous les inquiétudes de votre directeur Mattia Binotto qui voit Ferrari en retrait en début de saison ?

Mercedes est clairement la référence depuis plusieurs années déjà, et comme il n’y a pas eu de changements techniques énormes par rapport à l’an passé, ils sont rapides. En ce qui nous concerne, nous avons trouvé des choses au cours de ces six journées qui nous ont permis d’apprendre. Nous nous concentrons sur notre travail sans nous laisser distraire. Je n’ai pas d’inquiétude concernant notre habilité à rattraper notre retard.

Nous sommes un peu derrière Mercedes et Red Bull, mais nous gardons la tête dans le guidon. Le secteur 3 est celui où il y a le plus de virages et nous y sommes bien mieux que l’an passé. Le but était de redonner de l’appui à la voiture et c’est ce que nous sommes parvenus à faire. Côté équilibre, nous ne sommes pas encore là. Nous avons testé plusieurs choses, et je commence à avoir une bonne idée de celui que nous devons trouver. C’est sur quoi nous avons travaillé en vue de Melbourne.

On est donc loin du désastre que certains commencent à annoncer…

Il ne faut pas écouter tout ce qui se dit. On travaille, c’est tout.

Votre équipier parle d’une voiture effectivement plus rapide en virage, mais ralentie en ligne droite par une trop forte traînée. Le moteur pourrait-il avoir aussi sa part de responsabilité ?

Toujours difficile pour le pilote de deviner si ça vient du moteur ou de la traînée, mais comme nous avons fortement gagné en appui, c’est la traînée qui pose problème. Maintenant que nous avons l’appui qui nous manquait, il nous faut travailler pour la performance globale de la voiture. Il faut libérer la performance.

Quels sont les qualités et défauts de la voiture ?

Sa force est sa rapidité de passage en courbes, et le point que nous avons encore à travailler est son équilibre. Il nous faut trouver plus d’homogénéité entre l’entrée et la sortie du virage. Nous avons perdu un peu de vitesse de pointe, mais c’était prévu.

Peut-on parler de Melbourne comme d’un saut dans l’inconnu ?

L’an passé, nous étions persuadés de savoir où nous en étions avant la première course, et une fois sur place, ce fut une tout autre histoire. Je ne sais pas vraiment où nous situer, mais nous en saurons plus au terme de la qualification avec tout le monde embarquant le même poids d’essence. C’est à ce moment-là que nous saurons ce qui nous manque.

Ne craignez-vous pas que le surcroît de développement que la SF1000 va sans doute nécessiter n’empiète sur l’important travail que réclamera 2021 ?

Tout ne sera pas à jeter ! Même si la monoplace 2021 sera totalement différente, tout ce que nous allons apprendre sur la corrélation entre la piste et notre simulateur sera, par contre, de la plus grande importance.

Les monoplaces 2021 seront moins performantes. Dérangeant ?

Dans un monde idéal, j’aimerais que l’on garde ces voitures 2020 en qualification et que l’on dispose des 2021 pour la course. Ce n’est évidemment pas possible, et c’est un bon compromis qui semble avoir été trouvé. Nous avons besoin de plus de bagarre en piste, donc de voitures capables de se suivre de près. Ça ne sera clairement pas le cas cette année. Pendant quelques saisons, sans doute serons-nous plus lents mais, connaissant le sport et le niveau de compétence des ingénieurs, on finira par récupérer le temps perdu. Je suis tout à fait en accord avec la direction qui a été prise pour 2021 et après.

Cette année, vous bénéficiez d’un statut de pilote « n°1 bis » au côté de Sebastian Vettel. Ça change quoi ?

Pas grand-chose, sauf que c’est plus agréable de débuter une saison avec le même statut que son équipier. Ça me donne plus d’opportunités que je dois saisir rapidement, car on fera le point après quelques Grands Prix. À ce moment-là, il faudra être devant lui et, en cela, l’approche ne change pas.

Et la pandémie qui guette la planète, change-t-elle l’approche ?

Je laisse à la FIA, à la FOM et aux teams le soin de le déterminer. Ils vont évaluer la situation, mais la sécurité doit être le point le plus important. Elle est plus importante que la course.

Propos recueillis par Jean-Michel Desnoues, à Barcelone.