Citation
L'Agence française de lutte contre le dopage privée de Tour de France
LE MONDE pour Le Monde.fr | 23.06.10 | 16h24

Le Tour de France, qui s'élancera de Rotterdam, aux Pays-Bas, samedi 3 juillet, risque d'être calme sur le front du dopage. Selon nos informations, l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) ne pourra pas faire de contrôles pendant la Grande Boucle comme elle l'avait demandé à l'Agence mondiale antidopage (AMA).
Contrairement aux dernières éditions, l'Union cycliste internationale (UCI), qui refuse de collaborer avec l'Agence française, sera donc seule aux commandes des contrôles. L'AMA a en effet refusé d'accéder à la demande de l'AFLD de procéder à des contrôles additionnels comme le permet pourtant le code mondial antidopage.
"TRAITEMENT DE FAVEUR"
"L'AMA n'accorde pas l'autorisation à l'AFLD de réaliser des contrôles additionnels lors du Tour de France 2010", précise l'Agence mondiale dans une résolution signée de son président, John Fahey, mardi 22 juin. "L'AMA s'inquiète du fait que les contrôles effectués par l'AFLD seraient forcément soumis à la loi française, qui à ce jour n'est pas en totale conformité avec le Code mondial antidopage. Le fait que l'UCI puisse effectuer ces contrôles sur demande de l'AFLD permettra de garantir une gestion des résultats uniforme réalisée sous les règles de l'UCI, qui sont en conformité avec le Code et qui prévoient un appel final au TAS", précise le document dont Le Monde a eu connaissance.
Après le Tour 2009, où aucun coureur n'avait été déclaré positif, l'AFLD avait dénoncé dans un rapport le "traitement de faveur" accordé par les inspecteurs de l'UCI à l'équipe Astana, la formation de Lance Armstrong et du vainqueur de la Grande Boucle, Alberto Contador.
LE MONDE pour Le Monde.fr | 23.06.10 | 16h24

Le Tour de France, qui s'élancera de Rotterdam, aux Pays-Bas, samedi 3 juillet, risque d'être calme sur le front du dopage. Selon nos informations, l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) ne pourra pas faire de contrôles pendant la Grande Boucle comme elle l'avait demandé à l'Agence mondiale antidopage (AMA).
Contrairement aux dernières éditions, l'Union cycliste internationale (UCI), qui refuse de collaborer avec l'Agence française, sera donc seule aux commandes des contrôles. L'AMA a en effet refusé d'accéder à la demande de l'AFLD de procéder à des contrôles additionnels comme le permet pourtant le code mondial antidopage.
"TRAITEMENT DE FAVEUR"
"L'AMA n'accorde pas l'autorisation à l'AFLD de réaliser des contrôles additionnels lors du Tour de France 2010", précise l'Agence mondiale dans une résolution signée de son président, John Fahey, mardi 22 juin. "L'AMA s'inquiète du fait que les contrôles effectués par l'AFLD seraient forcément soumis à la loi française, qui à ce jour n'est pas en totale conformité avec le Code mondial antidopage. Le fait que l'UCI puisse effectuer ces contrôles sur demande de l'AFLD permettra de garantir une gestion des résultats uniforme réalisée sous les règles de l'UCI, qui sont en conformité avec le Code et qui prévoient un appel final au TAS", précise le document dont Le Monde a eu connaissance.
Après le Tour 2009, où aucun coureur n'avait été déclaré positif, l'AFLD avait dénoncé dans un rapport le "traitement de faveur" accordé par les inspecteurs de l'UCI à l'équipe Astana, la formation de Lance Armstrong et du vainqueur de la Grande Boucle, Alberto Contador.
En France on applique la loi française, ton Code mondial antidopage made in USA pour protéger les dopés américains, tu te le fous dans le cul.