Citation (MONSIEUR VASSEUR @ 23/06/2015 16:02)

Contexte : On m'avait mis un COTOREP (un vrai certifié avec des papiers) dans mon équipe pour des histoires d'intégration.
Le mec a fait des conneries et a faillit planter le projet, du coup on l'a sorti du projet pour qu'il aille jouir des bénéfices de l'intercontrat.
Situation:Le mec a envoyé une lettre au numéro 1 de la boite au monde (pas France) pour se plaindre de moi, comme quoi, si on l'a sorti du job, c'est parce que je suis raciste et qu'il est arabe

Il me reproche d'avoir favoriser deux autres consultant une francaise et un franco-grec qui lit peut être le forum à ses heures perdues
Je peux dire que la RH n'a pas tout compris de se prendre un transfert de mail du numéro 1 et était un peu en mode "oh my god"
Résultat:Je suis convoqué par la RH et le numéro 1 de la boite en France pour m'expliquer sur ce je ne sais quoi, alors que je n'avais rien dit (pour une fois)

C'est pas grave, une petite séance avec Monsieur Toubon, défenseur des droits, et tu seras rééduqué.
Je conseille à tous la lecture du site du défenseur des droits, rubrique "histoires vécues"
http://www.defenseurdesdroits.fr/fr/histoire-vecueCitation
Pour postuler à un poste de formatrice dans une association, Erika doit préparer un projet pédagogique. Lorsqu’elle le présente en entretien, elle est très bien reçue ; quelques jours plus tard, elle apprend que sa candidature est retenue. Elle reçoit son planning pour les formations de l’année. Elle sera formatrice sur la lutte contre les discriminations.
Pour obtenir son contrat, il ne reste que l’étape administrative : fournir sa carte vitale et sa carte d’identité. Or, Erika est une personne transgenre : son état civil – celui d’un homme – ne correspond pas à ce qu’elle appelle son identité sociale – celle d’une femme. Si elle bénéficie d’un traitement hormonal depuis plusieurs années, Erika n’a pas fait de changement d’état civil ; ses papiers ne sont donc pas en conformité avec son identité de genre.
"Dis-moi, ce serait pas une bite que t'aurais dans ton slip là, par hasard ?"