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Roufi
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M. Ceara : « Je suis plus confiant »



Marcos Ceara devrait disputer ce week-end face à Nancy son 100e match sous le maillot Rouge et Bleu. L’occasion pour le latéral droit de dresser un bilan de son parcours dans la capitale.
Marcos, tu devrais disputer ce week-end ton 100e match sous le maillot du PSG, qu’est ce que cela représente pour toi ?

« Quand je suis arrivé ici, jamais je n’aurais imaginé disputer 100 rencontres avec le maillot du PSG. Tous les joueurs qui évoluent dans un grand club comme le PSG rêvent de disputer cent matches pour leur équipe. C’est vraiment super pour moi, je suis très content et j’espère réaliser une bonne prestation pour ma centième. »

Depuis ton arrivée au club, tu n’as raté que huit rencontres. Comment expliques-tu cette régularité ?
« Je remercie d’abord Dieu. C’est lui qui me donne la force de jouer, de courir. Grâce à lui, je n’ai eu aucune blessure depuis que je suis au PSG. C’est également pour cela que j’ai beaucoup joué et enchaîné les matches. J’ai manqué quelques matches la saison dernière car le coach faisait tourner et souhaitait que je me repose un peu. J’ai envie de continuer car j’aime jouer et enchaîner les matches. »

Quelles sont les différences entre le Ceara du 1er match et celui qui va disputer son centième ce week-end ?
« Je suis plus confiant maintenant. C’est toujours compliqué quand tu arrives dans un club, en plus je ne parlais pas un mot de français. J’avais beaucoup de pression au départ et c’était donc compliqué. Je pense que la grande différence se situe à ce niveau-là. Aujourd’hui, je connais tout le monde et tout le monde me connaît, c’est donc plus facile. Je me sens plus à l’aise sur le terrain et je veux continuer à produire de bons matches avec le PSG. »

Lors de ta première saison ici, lors d’un PSG-Caen au Parc des Princes, tu avais marché sur le ballon, ce qui avait alors amené le seul but de la rencontre. Tu as été beaucoup critiqué à ce moment, comment as-tu surmonté cette épreuve pour devenir aujourd’hui l’un des meilleurs à ton poste en Ligue 1 ?
« En rentrant chez moi, après cet épisode difficile, ma fille m’a embrassée en me disant que j’étais le meilleur latéral du monde (sourires). En 2006, après notre victoire en Coupe du Monde des clubs avec l’Internacional, beaucoup de gens disaient que j’étais le meilleur latéral du monde. Ma fille m’a alors rappelée cet épisode et cela m’a encouragé. C’est également Dieu qui m’a aidé. Je me tourne vers lui pour affronter les difficultés et les batailles que la vie me réserve. Ce n’était pas facile mais je pense que l’avenir sera encore meilleur. »

Quel est ton meilleur souvenir sous le maillot du PSG ?
« Notre victoire en Coupe de la Ligue en 2008 contre Lens. C’est le souvenir qui va marquer mon passage à Paris. Les rencontres contre l’Olympique Lyonnais sont également de bons souvenirs pour moi. La saison dernière j’ai réalisé un super match au Parc, en réalisant même la passe décisive sur le but de Ludo Giuly. En cinq matches contre Lyon, j’ai souvent été bon, même lors de la défaite en finale de Coupe de France en 2008. Ce sont de bons souvenirs pour moi et j’aime me les remémorer. »

Dans moins d’un an il y a la Coupe du Monde. As-tu la sélection brésilienne dans un coin de ta tête ?
« Il ne reste plus beaucoup de temps pour intégrer la sélection avant la Coupe du Monde mais je continue de rêver. Je réalise de gros efforts sur le terrain pour qu’un jour je puisse y arriver. C’est le rêve de tout joueur de défendre les couleurs de son pays et ce n’est pas différent pour moi. Pour être appelé par Dunga il faut tout d’abord que je réalise de bonnes performances avec le PSG, après, on verra. »


PSG.FR
Hari
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Paris veut conquérir l’Amérique



Le PSG met le cap à l’ouest. Rien de très surprenant puisque Colony Capital, son actionnaire de référence, est un fonds d’investissements dont le siège se situe en Californie (Etats-Unis). Fort de cette filiation et de ses réseaux américains, Sébastien Bazin, le patron de Colony Capital Europe, souhaite voir son club se développer à l’international et plus précisément en Amérique du Nord.

Dans cette optique, Sébastien Wasels, un Français ayant vécu aux Etats-Unis, a été recruté. Il est en charge du projet de développement international du PSG. « Il s’agit d’accroître notre notoriété sur le continent américain, d’y mettre en valeur la qualité de notre centre de formation et de préformation. Et pourquoi pas, un jour, d’y détecter quelques talents. D’autant plus qu’aux Etats-Unis, ce qu’on appelle les minorités visibles ont une vraie culture foot », précise Philippe Boindrieux, directeur général du PSG.

Partenariat avec un club amateur

La pénétration du marché nord-américain devrait se faire en deux parties. Dans un premier temps, le club parisien doit signer, dans les prochaines semaines, un partenariat avec un club amateur de New York. Des détails de ce partenariat restent à régler avant son officialisation. Ce club new-yorkais, à but non lucratif, s’occupe de jeunes de quartier. Ce projet, basé sur la formation et la jeunesse, tient particulièrement à coeur à Sébastien Bazin, son instigateur. L’accord prévoit que des formateurs parisiens se rendent à New York afin de transmettre leur savoir en matière de « soccer ». Il y aurait également des échanges entre les équipes des deux entités. Les meilleurs éléments américains pourraient, à terme, rejoindre le centre de formation parisien. « Plus que l’image du club, Sébastien a voulu mettre l’accent sur les valeurs du PSG au travers des jeunes et de la formation, raconte son entourage. »
Dans un second temps, la direction parisienne veut développer la marque PSG en Amérique du Nord, mais aussi ailleurs de par le monde. Cela pourrait passer par des accords commerciaux avec des équipes de la Major League américaine (MLS) afin que les produits dérivés du club soient disponibles à la vente outre-Atlantique. « Notre volonté est de multiplier ce type de partenariats, d’autant plus qu’il y a une très forte communauté française aux Etats-Unis, confirme Philippe Boindrieux. Et pourquoi pas étendre ce principe à d’autres continents. Nous sommes très sollicités par des pays africains ou asiatiques. Hier encore (NDLR : mardi), nous avons reçu le directeur général de la ligue de foot du Japon. » Pour l’anecdote, l’équipe féminine du PSG a recruté deux stars françaises, exilées aux Etats-Unis : Camille Abily des Los Angeles Sol et Sonia Bompastor des Washington Freedom. C’est bien tout le PSG qui se met à l’heure américaine.

Arnaud Hermant (avec S.D.M.)

Citation
PSG EXPRESS

Hier. Exercices physiques et de ballon (du deux contre deux). Giuly, Traoré et Makelele — les deux premiers avaient écourté la séance la veille, le troisième était aux soins — ont participé à l’entraînement. Camara et Bourillon ont trottiné.
Aujourd’hui. Entraînement au camp des Loges à 10 heures.
Infirmerie. Camara (phlébite mollet droit), Erding (traumatisme épaule gauche), Bourillon (lombosciatique).


leparisien.fr
Golazo
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Foot - Euro 2016 : Delanoë s'engage pour le Parc

Le maire de Paris, Bertrand Delanoë, a rencontré jeudi matin Jean-Pierre Escalettes et Frédéric Thiriez pour leur confirmer son engagement de moderniser le Parc des Princes et ainsi le rendre éligible pour l'Euro 2016. L'elu présentera en novembre au conseil municipal parisien «une délibération portant sur la modernisation du Parc des Princes et sur sa mise aux normes de l'UEFA». Le cahier des charges de l'UEFA réclame deux stades de plus de 50.000 places, trois de plus de 40.000 et quatre de plus de 30.000 places (avec à chaque fois 7 à 8% de capacité supplémentaire liée aux tribunes officielles ou à la presse par exemple). Le Parc des Princes actuel peut accueillir environ 45.000 spectateurs. Les dossiers de candidatures finalisés sont à remettre à l'UEFA le 15 février 2010.

Kiolm
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Sakho : «Ça change de Le Guen»

Comme son partenaire Sammy Traoré, qui s'était déjà exprimé la veille pour soutenir son entraîneur, Mamadou Sakho s'est réjoui jeudi qu'Antoine Kombouaré prenne publiquement la défense des ses joueurs. «Chaque coach a ses qualités mais ça change de Le Guen, a confié le défenseur parisien en conférence de presse. Le coach a beaucoup de caractère, il dit les choses en face. Ça ne peut être que positif pour l'équipe. En tout cas, moi, j'aime ça.»

Cette réaction fait suite à la polémique qui a alimenté le début de semaine concernant les propos tenus par Christian Gourcuff à l'encontre de Claude Makelele. Des critiques qui n'ont pas plu du tout à l'entraîneur parisien, lequel a vivement réagi. Ce qui lui a d'ailleurs valu d'être convoqué pour s'expliquer devant le Conseil National de l'Ethique, tout comme son homologue lorientais.
« On a une revanche à prendre »

Egalement interrogé sur les performances du PSG en ce début de saison, l'international Espoir a reconnu qu'il «s'attendait à avoir plus de points à cette période», confirmant toutefois que qu'«un bon état d'esprit» régnait au sein du vestiaire. «On a été vexés après le match à Lorient (1-1, ndlr). On sait qu'on n'a pas été bons, a-t-il ajouté. On a un groupe de caractère et on veut se rattraper. On a une revanche à prendre.» (Avec AFP)

Mathis
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Erding, retour attendu à Toulouse

Mevlut Erding a donné de ses nouvelles, jeudi au Camp des Loges. Blessé à l'épaule gauche depuis le 30 août contre Lille (3-0), l'attaquant parisien continue de se remettre de son opération. «J'espère pouvoir profiter des quinze jours de coupure liés à la trêve internationale pour bien travailler et être prêt pour le déplacement à Toulouse», a-t-il expliqué, après avoir renoncé à effectuer son retour à la compétiton, dès samedi lors de la huitième journée. «Au départ, j'avais visé Nancy mais je me suis vite rendu compte que ça allait être trop juste, a-t-il ajouté. Je me suis fait opérer il y a trois semaines, les ligaments n'ont pas encore complètement cicatrisé. Cela ne sert à rien de vouloir aller trop vite». Après un travail de rééducation en salle, l'ancien Sochalien devrait recommencer à courir en début de semaine prochaine selon le staff médical parisien. (Avec AFP)

L'equipe.fr
Kiolm
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Sakho : « L'année de la confirmation »

Mamadou Sakho revient sur l’apport d’Antoine Kombouaré et de Claude Makelele au sein du groupe avant la réception de Nancy samedi à 19h00.

Mamadou, comment juges-tu le début de saison du PSG et ton entame personnelle ?
« On s’attendait à avoir plus de points, mais il y a quand même un bon état d’esprit. On vit bien ensemble donc ce début de saison est positif. Personnellement, mon début de saison n’est pas exceptionnel, mais reste correct. J’essaye de donner le maximum. J’ai conscience que cette année doit être celle de la confirmation pour moi. Je travaille tous les jours pour être le plus performant possible. »

Après les matches face à Lyon puis Lorient, ne penses-tu pas qu’il y a un problème de régularité au PSG ?
« On est déçu par notre performance à Lorient, mais ça arrive même au plus grand. Ca a été un match compliqué pour nous. Tous les matches sont différents et contre Lorient, on a conscience de ne pas avoir réalisé un grand match. On est revenu en début de semaine avec l’envie de travailler et de se concentrer sur la rencontre de samedi. »

Antoine Kombouaré a-t-il haussé le ton après le match en Bretagne ?
« Oui et c’est normal ! Comme un coach qui parle à son groupe qui n’a pas réamisé une grosse performance. Il nous a logiquement dit que le match n’avait pas été satisfaisant et qu’on ne pouvait se contenter de ça, mais qu’il fallait maintenant se concentrer sur la prochaine rencontre. C’est un coach qui a beaucoup de caractère et qui dit les choses en face. J’aime ça. J’ai eu tout au long de ma formation des coaches qui ont été francs avec moi, donc je pense que ça ne peut être que positif pour l’équipe et pour les joueurs individuellement. »

Comment le groupe aborde-t-il le match face à Nancy ?
« On va jouer pour les trois points, et on va tout donner pour aller les chercher. Le résultat sera ce qu’il sera, mais on va débuter le match pour le gagner. On a du caractère. On a été vexé après Lorient, et on sera présent ce week-end. Nancy est une bonne équipe avec de bonnes individualités offensives, avec Djamel (Bakar) qui jouait avec moi en sélection. Ca va être un beau match. »

Qu’est-ce que vous apporte Claude Makelele ?
« Toute son expérience des gros matches, sa concentration, sa mentalité de compétiteur. C’est bien pour le groupe. C’est un joueur qui est très exigeant, et ça ne peut être que positif pour nous. Avec les anciens, je suis à l’écoute et je suis là pour observer et apprendre. Je préfère me faire petit et travailler. »

PSG.FR
Hari
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Paris doit-il s’inquiéter ?

A Paris, le mois de septembre a éteint les belles illusions estivales. Avec deux nuls et une défaite en trois matchs (seulement 2 points sur 9 possibles), le PSG décroche au classement et se retrouve sixième à sept longueurs, déjà, de Bordeaux et cinq de Lyon. Un classement sur ce seul mois place les Parisiens au quinzième rang. Peu à peu, les espoirs se transforment en doutes.

Cette équipe est certes capable de développer un jeu de qualité, mais son inconstance l’exclut pour l’heure des prétendants au podium. Si la machine se relance, Paris sera dans la course à la Ligue des champions. Dans le cas contraire, tout est envisageable, une place dans les cinq premiers comme dans le ventre mou du championnat…

Octobre plus dur que septembre

Il est encore un peu tôt pour juger le réel potentiel du PSG. A Monaco (0-2) et contre Lyon (1-1), les Parisiens méritaient mieux. Le niveau de ces deux prestations leur laissait présager des jours meilleurs. Le bilan comptable n’avait alors rien d’alarmant car, comme le soulignait Antoine Kombouaré, « le championnat est un marathon ». Mais à Lorient (1-1), samedi dernier, le technicien kanak a pris un coup au moral. Pour la première fois, son équipe ne s’est pas montrée à la hauteur de ses exigences. Si elle n’est pas capable de maintenir son niveau de jeu à un degré suffisant, elle va accumuler les contre-performances. Car le mois d’octobre, avec deux déplacements d’affilée à Toulouse, puis Marseille, s’annonce très périlleux.

Kombouaré reste optimiste

« Nos trois derniers matchs ne sont pas inquiétants, mais juste décevants, estime l’entraîneur parisien. Je ne me suis pas montré dithyrambique après Lyon, je ne suis pas déçu après Lorient. J’attends autre chose que le jeu produit en première mi-temps, je l’ai dit aux joueurs. Quand on est le PSG, on n’a pas le droit d’être dominé de la sorte. Mais même sans être très bons, on a obtenu des situations dangereuses et on aurait pu gagner. Et ça, c’est intéressant ! La réussite, il faut la provoquer. » Et la convertir… A ce sujet, le retour attendu de Mevlut Erding avant le déplacement à Toulouse (le 18 octobre) va apporter le surcroît de réalisme qui a fait défaut au PSG contre Monaco et Lyon. C’est à ce prix que les Parisiens pourront traverser l’automne une saison souvent désagréable dans la capitale sans y laisser trop de plumes.

Laurent Perrin



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Sessegnon moins adroit à gauche


En ce début de saison, Stéphane Sessegnon n’est plus aussi décisif. Certes, son génie illumine parfois les pelouses de L 1 comme à Lorient (1-1) la semaine dernière où son accélération amène le but parisien. Mais le reste du temps, il est moins exceptionnel. Ses performances moyennes, et du coup décevantes pour un joueur doté de telles qualités, sont-elles liées à son nouveau poste ? La saison dernière, Paul Le Guen le faisait jouer surtout à droite.
Cette année, Antoine Kombouaré le titularise à gauche. « C’est plus difficile pour moi, reconnaissait le Béninois, il y a trois semaines. Je ne sais pas centrer du pied gauche. Mais j’essaie de m’adapter à ce nouveau rôle. »
Aux yeux de Frédéric Hantz, son premier entraîneur au Mans (2006-2007), cette solution n’est pas optimale. « Antoine (Kombouaré) le sait aussi. Mais il n’a pas le choix. A droite et dans l’axe, il y a déjà Giuly, Makelele et Clément. Il lui fallait donc trouver quelqu’un pour occuper le flanc gauche. Or, comme Stéphane peut évoluer partout et qu’il est un joueur dont on ne peut pas se passer, on le met là où il y a un manque, indique l’ancien technicien du Havre. Il est victime de sa polyvalence. Il doit s’habituer à un nouveau poste tous les ans. C’est normal qu’il soit encore un peu déstabilisé et moins décisif. »

« On voudrait qu’il soit parfait »

Rudi Garcia, son deuxième entraîneur dans la Sarthe (2007-2008), n’est pas aussi catégorique. « Même à gauche, il peut être dangereux, estimait-il la veille de PSG - Lille (3-0). Le seul inconvénient, c’est qu’il ne défend pas trop puisqu’il doit repiquer dans l’axe pour frapper. » Un constat partagé par Hubert Velud. Ce dernier a dirigé le Béninois à Créteil en 2005-2006 : « Je ne le trouve pas trop mal cette année. Il est plus imprévisible qu’à droite car il est obligé de beaucoup se déplacer. Le revers de la médaille, c’est qu’il est moins présent dans son couloir. Il a du mal à effectuer un repli défensif. » Sylvain Armand a d’ailleurs souligné qu’il devait désormais fournir plus d’efforts pour s’adapter à la présence de Sessegnon à gauche.
« Stéphane se sacrifie pour le bien de l’équipe. Il faut donc lui laisser le temps de retrouver ses repères offensifs et une certaine rigueur défensive, ajoute Frédéric Hantz. Mais même s’il avait évolué à son poste de prédilection, c’est-à-dire derrière les deux attaquants, sa deuxième année au PSG aurait été plus difficile. Il y a beaucoup trop d’attentes autour de lui. On voudrait qu’il soit parfait. Or, il manque encore d’expérience pour assumer ce rôle de leader qu’on lui colle déjà à la peau. »

Sylvie De Macedo



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Le Parc bientôt rénové ?


Le maire de Paris, Bertrand Delanoë, a rencontré hier matin Jean-Pierre Escalettes, président de la FFF, et Frédéric Thiriez, président de la Ligue, pour leur confirmer son engagement de moderniser le Parc des Princes et ainsi le rendre éligible pour l’Euro 2016. En novembre, l’élu présentera au conseil municipal parisien une délibération portant sur la modernisation du Parc des Princes et sur sa mise aux normes de l’UEFA.
La mairie lancera alors un appel d’offres pour un bail emphytéotique administratif afin de confier la gestion et la rénovation du Parc à une entité privée. Le coût des travaux est d’environ 85 M€. Colony Capital sera donc mis en concurrence pour remettre à neuf l’enceinte parisienne.

S.D.M (avec M.-A.G.)


leparisien.fr
Golazo
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L1 - PSG : Rupture de banc



Depuis le début de saison, le PSG aligne régulièrement des onze de départ alléchants. Pourtant, Antoine Kombouaré dispose d'une marge de manœuvre réduite avec un banc limité en nombre et en expérience.

Jusqu'ici tout va bien : Paris réalise un bon début de saison et les prestations, hormis celle de Lorient, sont de bonne facture. Au jeu parfois soporifique des dernières saisons, la version 2009-2010 du PSG propose davantage de mouvements et d'initiatives. Signe d'une maturité d'un effectif peu remanié durant l'été. Si la stabilité est souvent citée comme la meilleure des vertus pour la réussite, elle contient son lot de désavantage. Avec 27 joueurs à sa disposition, Antoine Kombouaré a les moyens quantitatifs de faire souffler ses cadres. Mais l'ancien technicien de Valenciennes se garde pour le moment d'effectuer des rotations. Car il dispose d'une marge de manœuvre réduite.

Si le groupe parisien a incontestablement mûri depuis la saison dernière, il se base avant tout sur de fortes personnalités. Stéphane Sessegnon, Claude Makelele, Mevlut Erding ou encore Guillaume Hoarau font partie des pièces maîtresses difficilement interchangeables en cas de pépins. Le club de Robin Leproux a effectué un recrutement intelligent avec le pari de l'expérience (Grégory Coupet, Christophe Jallet) et celui de la confirmation (Mevlut Erding). Il a aussi privilégié la promotion interne (Mamadou Sakho) au retour d'anciens cadres (Gabriel Heinze parti à Marseille). Les départs de Jérôme Rothen et de Mateja Kezman, gros salaires du club, ont allégé les finances. Quantitativement donc, le risque existe.

Kombouaré recruté pour gérer

La suspension de Stéphane Sessegon est passée inaperçue face à Lyon grâce à la prestation aboutie du collectif. La blessure de Mevlut Erding ne se fait pas ressentir avec le retour juste à temps de Guillaume Hoarau. Enfin l'absence de Zoumana Camara depuis le début de saison a été effacée par la confirmation de Mamadou Sakho dans l'axe. Antoine Kombouaré jongle avec les circonstances favorables pour le moment. Qu'en sera-t-il si les absences se cumulent ? L'ancien entraîneur de Valenciennes devra compter sur ses supers jokers (Jallet, Chantôme) et ses jeunes en demande de reconnaissance. La prestation de la jeune classe à Boulogne, en Coupe de la Ligue, n'a pas forcément convaincu les observateurs.

Après avoir intégré l'effectif pro depuis deux ou trois saisons, Tripy Makonda, Granddi Ngoyi, Younousse Sankharé, Jean-Eudes Maurice, Yannick Boli et Loris Arnaud auront l'opportunité de répondre présents. En cas de blessure, ils seront les premiers sollicités. Recruté pour ses qualités de gestionnaire, Antoine Kombouaré est rodé pour l'exercice. Ses réussites sportives à Valenciennes ou Strasbourg témoignent en sa faveur. L'ancien entraîneur de la CFA parisienne savait que le club disposait d'un budget limité pour la saison à venir. Il a accepté la mission et doit espérer que les circonstances ne lui soient pas trop défavorables. D'autant que Zoumana Camara et Mevlut Erding devraient reprendre rapidement l'entraînement. Paris gère à flux tendus.

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PSG : Hoarau invité du Canal FC

Dimanche, l'invité du Canal Football Club de Canal+ sera l'attaquant parisien Guillaume Hoarau, confirme Hervé Mathoux, le présentateur de l'émission.

Espérons que Guillaume Hoarau ne suive pas les traces du précédent invité du Canal Football Club, André-Pierre Gignac, qui, blessé la veille à Lyon, avec Toulouse, n'avait finalement pas pu se rendre sur le plateau du Canal Football Club. L'attaquant parisien, sauf grave blessure, est donc attendu par Hervé Mathoux et toute son équipe dimanche à 19h20 : « On est ravi de l'avoir, confie Hervé Mathoux, car ça fait longtemps que nous avions envie de l'avoir. C'est quelqu'un qui a été un acteur majeur de la saison dernière. C'est quelqu'un qui s'exprime assez rarement. On est vraiment super content de l'avoir. »

Football365.fr
Baghib!
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Foot - L1 - PSG

Sécurité renforcée contre Nancy


Lors de la rencontre PSG-Nancy (8e journée), prévue samedi à 19h00, la sécurité sera renforcée dès le matin aux abords du Parc des Princes, a annoncé vendredi la préfecture de police dans un communiqué. Une surveillance particulière du métro sera exercée par les effectifs de la sous-direction de la police régionale des transports, appuyés par des unités mobiles de renfort. De plus, le contrôle des accès sera assuré par un contingent renforcé de contrôleurs et de stewards, tandis qu'un dispositif spécifique de filtrage avec des détecteurs de métaux sera mis en place par les services de police. Actuellement, soixante-douze personnes sont interdites d'accès au stade avec obligation de pointage.
lequipe.fr
Kiolm
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Parc : huis clos partiel maintenu

Le conseil fédéral, comme cela était évidemment prévisible, a rejeté la proposition de conciliation du CNOSF sur le huis clos partiel infligé au Paris SG dans l'affaire PSG-OM du 15 mars 2009. Le comité proposait de déjuger les deux premières décisions des instances sportives et de ne plus prendre de sanctions contre les clubs, en dehors des amendes, tant qu'une réflexion commune n'aurait pas été menée entre les clubs, les pouvoirs publics et les instances du football.

« Les débordements doivent être châtiés et les amendes seules ne sont pas dissuasives. Nous ne sommes pas découragés et on ira jusqu'au bout ».

«Même si ce sont des juristes qui ont fait leur boulot, ça tombe très mal, dans un contexte de violences comme on en a vu le week-end dernier à Nice ou Grenoble et avec les faits tragiques qui se sont déroulés hors de nos frontières, a déclaré Jean-Pierre Escalettes en référence au décès du supporter toulousain agressé à Belgrade. Les débordements doivent être châtiés et les amendes seules ne sont pas dissuasives. Nous ne sommes pas découragés et on ira jusqu'au bout».

Le club de la capitale avait d'abord été condamné par la commission de discipline de la Ligue à un match à huis clos ferme, assorti d'une amende de 35.000 euros pour des jets de fumigènes, de feux de Bengale et de fusées, et l'irruption sur la pelouse d'un supporteur lors du PSG-OM. Après le recours du club parisien, la commission supérieure d'appel de la FFF avait réduit le huis clos aux seules tribunes Boulogne et Auteuil du Parc des Princes, et annulé l'amende.

Le PSG avait alors demandé la conciliation du CNOSF. Le club de la capitale doit désormais se tourner vers la justice administrative s'il a l'intention de contester sa sanction.

ZéroQuatorze
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Huis clos : le PSG ne lâche pas

Comme cela était probable après la décision de la FFF d'ignorer la conciliation du CNOSF et de maintenir sa sanction d'un match à huis clos partiel au Parc des princes, le Paris-SG a annoncé vendredi soir qu'il porterait l'affaire devant le tribunal administratif. Philippe Boindrieux, le directeur général du PSG, l'a confirmé. «Oui, malheureusement, on saisira le tribunal administratif», a-t-il dit.

Le club de la capitale avait d'abord été condamné par la commission de discipline de la Ligue à un match à huis clos ferme, assorti d'une amende de 35.000 euros pour des jets de fumigènes, de feux de Bengale et de fusées, et l'irruption sur la pelouse d'un supporter lors du PSG-OM le 15 mars 2009. Après le recours du club parisien, la commission supérieure d'appel de la FFF avait réduit le huis clos aux seules tribunes Boulogne et Auteuil du Parc des Princes, et annulé l'amende. Le PSG avait alors demandé la conciliation du CNOSF. La prochaine étape de son bras de fer avec la FF aura donc lieu devant la justice civile. (Avec AFP)

[CiTiZeN]
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ANTOINE KOMBOUARE : «Cette affaire est allée trop loin»

Entre les déclarations de Christian Gourcuff et la possible sanction de Claude Makelele, le Paris Saint-Germain a été au cœur de la tourmente cette semaine. Antoine Kombouaré fait le point sur son équipe avant le match de samedi face à l'AS Nancy-Lorraine.

Antoine Kombouaré, comment vous abordez la rencontre de samedi soir face à l'AS Nancy-Lorraine?
Tout d'abord, c'est un match très important, un match qu'il faut gagner. L'idée, c'est de gagner pour rester dans les équipes qui jouent les cinq premières places. Sur les trois dernières rencontres, on a pris que deux points, ce n'est pas bon du tout. On aspire à faire un bon match mais surtout de gagner pour engranger des points.

Comment jugez-vous la formation de Pablo Correa ?
C'est une équipe qui après un passage à vide retrouve des couleurs. Et qui reste sur un gros match face à Sochaux (2-1, 7eme journée de Ligue 1). En plus, Nancy pourra compter sur les retours de Chrétien et de Dia. C'est une équipe dont je me méfie beaucoup. C'est une équipe de qualité avec de très bons joueurs, qui évolue en contre et qui est également efficace avec Dia et le petit Bakar qui arrive de Monaco. Il faudra être très bon pour aller chercher les trois points de la victoire.

Sentez-vous un sentiment de révolte chez vos joueurs après le match nul concédé à Lorient (1-1, 7eme journée de Ligue 1) ?
Ils savent qu'ils sont attendus au tournant. Je ne suis pas content du match à Lorient et notamment de la première mi-temps. On se doit une revanche par rapport à nous-mêmes.

Quid de Claude Makelele ? Pensez-vous que les évènements qui ont suivi la rencontre face à Lorient peuvent le déstabiliser ?
Si c'était un jeune joueur, je vous dirai oui. Mais on a en parlé tous les deux. Claude a suffisamment de bouteille, d'expérience, je sais qu'il est prêt à répondre présent. Il fera son match.

Et l'arbitre ?
Il fera son match… Je n'ai pas à commenter, je n'ai jamais parlé d'arbitrage depuis que je suis à Paris…

Vous n'avez pas peur qu'il existe une certaine pression sur l'arbitre ?
Je ne maitrise pas tout ce qu'il y a autour de l'arbitre. Je ne peux maitriser que ce qui concerne mon équipe et mes joueurs.

Après l'avis du Comité de visionnage, Claude Makelele a été convoqué devant la Commission de discipline, Vous trouvez cela juste ?
Pas de commentaires…Claude est convoqué le 22 octobre, il ira. Aujourd'hui, j'ai besoin de Claude pour nous aider à gagner ce match contre Nancy. C'est tout ce qui m'intéresse.

Pensez-vous qu'il aurait aussi été convoqué sans la sortie de Christian Gourcuff ?
Je n'ai pas à répondre. Je laisse penser les gens ce qu'ils veulent. Il est convoqué, j'en prends acte.

Est-ce que Christian Gourcuff vous a téléphoné ?
Je ne réponds pas…On est là pour parler de Nancy.

Cette semaine, on a beaucoup parlé de cette affaire, cela a-t-il pesé sur la préparation ?
Oui, surtout lundi. Mais depuis de l'eau a coulé sous les ponts. Et je le répète encore une fois, la seule chose qui m'intéresse, c'est Nancy samedi. Concernant le reste, on a alimenté la presse, on a fait parler de nous. Maintenant, cette affaire est allée trop loin quand je vois que mardi Lyon jouait en Ligue des Champions et que c'est moi qui faisait la Une de l'Equipe. Je suis vraiment peiné pour le foot. Il faut se concentrer seulement sur le terrain.

Vous continuerez d'agir de la sorte ?
Je le redis, quand on touche à mes joueurs, je réagis. Des fois pas bien. Mais je réagis car on ne touche pas à mes joueurs ! Comme moi je n'attaque jamais les joueurs des autres équipes. Chacun s'occupe de ses joueurs, point final.

Quel bilan faites-vous du mois de septembre ?
Pas bon du tout… Le mois d'octobre devra être bien meilleur.


FOOT365

Edit Baghib! : Message de Pauleta75 supprimé car article déjà posté.
Kiolm
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Pression maximale sur les Parisiens face à Nancy

Après deux points pris sur neuf possibles au mois de septembre, les Parisiens doivent gagner. Ils reçoivent Nancy, ce soir, avant de se déplacer à Toulouse, puis à Marseille.

Assez de palabres, place au jeu ! Depuis deux semaines, à Paris, on s’épanche davantage sur les polémiques avec Christian Gourcuff et Jean-Michel Aulas que sur le parcours cahin-caha de l’équipe. Pourtant, malgré son coup de gueule du début de semaine, l’entraîneur Antoine Kombouaré ne brouille pas les pistes : « Le respect, on le gagnera d’abord sur le terrain.»

« J’attends une révolte, surtout par rapport au match à Lorient »

Après trois matchs sans victoire, le PSG joue en effet très gros ce soir face à Nancy, un adversaire qui ne lui réussit que très modérément (quatre victoires lors des dix dernières confrontations au Parc). Tout autre résultat qu’un succès verrait les Parisiens décrocher clairement du wagon de tête avant deux déplacements qui s’annoncent extrêmement périlleux à Toulouse, puis Marseille. En évoquant cette rencontre, l’entraîneur du PSG durcit le ton. « C’est un match très important, confirme Antoine Kombouaré. Il faut absolument gagner pour rester dans les cinq premières places.
Deux points pris en trois matchs, ce n’est pas bon du tout. Maintenant, il faut engranger. J’attends une révolte, surtout par rapport au dernier match à Lorient. Je ne suis pas content du tout. On se doit maintenant une revanche sur nous-mêmes. »

« Le bilan comptable n’est pas bon du tout »

Avant cette cinquième rencontre de la saison au Parc, les interrogations sont nombreuses. Elles se portent essentiellement sur le milieu de terrain Claude Makelele. Comment Stéphane Lannoy, l’arbitre, va-t-il se comporter alors que Christian Gourcuff, le coach de Lorient, a publiquement mis en doute la probité du corps arbitral à l’égard du capitaine parisien ? Comment l’intéressé va-t-il réagir après ces attaques et ces déclarations qui le présentent en bout de course ?
« Ce serait un jeune, le contexte pourrait l’influencer, confie Antoine Kombouaré. Mais Claude a suffisamment de bouteille. On en a parlé tous les deux, il fera son match, il va jouer son jeu et amener son équipe vers la victoire, c’est vraiment tout ce qui m’intéresse. »L’obstacle lorrain ne semble pas insurmontable pour Paris. S’ils retrouvent un brin de réalisme et l’allant affiché lors du sommet face à l’Olympique lyonnais, Ludovic Giuly et ses camarades de jeu s’imposeront sans problème. S’ils pédalent dans la semoule comme à Lorient, il y aura danger. « A part la première mi-temps à Lorient, nos matchs ont été de très bonne qualité, estime encore Kombouaré. Mais le bilan comptable de septembre n’est pas bon du tout ! Octobre doit être beaucoup mieux. Face à des adversaires bien meilleurs, il faudra être beaucoup plus efficaces. » Il ne reste désormais plus qu’à passer de la parole aux actes.

L’équipe féminine du PSG
jouera pour la première fois de son histoire un match de championnat au Parc des Princes, le dimanche 18 octobre à 16 heures face à Juvisy. Prix des places : 5 €. Gratuit pour les femmes et les enfants à condition de retirer des invitations au Parc avant le 14 octobre.

Laurent Perrin


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La tension monte dans les tribunes

Depuis l’allumage des fumigènes lors de Monaco - PSG (2-0), la préfecture de police a demandé au club parisien d’interdire l’entrée du Parc en semaine à ses supporteurs afin qu’ils préparent leurs traditionnels tifos. Et ces derniers vivent mal une mesure jugée vexatoire. « C’est quand on ne peut plus s’exprimer par tifo que certains pourraient être tentés d’allumer des fumigènes, fulmine Amar, des Lutèce Falco .
»
Contre Lyon (1-1), des supporteurs ont préparé leurs banderoles dans un hangar. Contre Nancy, ils se contenteront d’un jet de ballons de baudruche dans le cadre de la lutte contre la mucoviscidose. Les supporteurs du virage Auteuil s’avouent « sous pression » : ils ne veulent pas que le PSG, par leur faute, se voie retirer le moindre point en cas de nouveaux problèmes. Des membres de la tribune Boulogne les ont menacés de « représailles ».

Pas d’incidents jusqu’à Marseille ?
Chez les supporteurs, un accord tacite existe. Jusqu’au déplacement à Marseille, il ne devrait plus y avoir, sauf cas isolés, de fumigènes allumés. Ensuite, le problème se reposera avant le déplacement à Monaco. « Ce qu’on demande au club, c’est d’encadrer cette pratique plutôt que l’interdire, poursuit Amar. On a proposé de neutraliser les deux premiers rangs d’Auteuil pour y déposer nos fumigènes. Et le club était prêt à nous financer une formation pour gérer les risques. Hélas, la Ligue s’y oppose. »

Un hommage au supporteur de Toulouse. Boulogne a décidé de s’arrêter de chanter les cinq premières minutes de la seconde période. Cette tribune veut rendre hommage à Brice Taton, le supporteur toulousain décédé mardi après avoir été agressé le 17 septembre à Belgrade. « Nous avons demandé une minute de silence, explique Philippe Pereira, des Gavroches. Mais on nous a dit que Ligue n’avait rien prévu. » Le club a décidé de diffuser, en début de seconde mi-temps, une photo de la victime sur les écrans du Parc.

Le PSG va saisir le tribunal administratif
à la suite de la décision du Conseil fédéral de la Fédération française de rejeter la proposition de conciliation du CNOSF. Après les incidents lors de PSG - OM le 15 mars 2009, le PSG avait été condamné par la Ligue à un match à huis clos ferme et à une amende de 35 000 € . Le CNOSF avait proposé d’annuler la sanction.

Christophe Bérard


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« On connaît nos limites »
JÉRÉMY CLÉMENT, milieu du PSG

Propos recueillis par Sylvie De Macedo

Peu friand des interviews, Jérémy Clément ne mâche pas ses mots. Il revient sur le « non-match » du PSG à Lorient (1-1) et sur ses relations avec son ancien entraîneur, Paul Le Guen.


Ce match contre Nancy est-il plus important que les autres ?

Jérémy Clément. Oui. Si on veut rester au contact des premières places, la victoire est indispensable.
On n’a plus le droit à l’erreur. On n’a pris que deux points sur neuf en septembre. C’est décevant et insuffisant pour prétendre à une place européenne. On a aussi une revanche à prendre après notre très mauvais match à Lorient.

Que s’est-il passé en Bretagne ? Est-ce que vous vous êtes vus trop beaux après Lyon (1-1) ?
Contre Lyon, il n’y avait pas non plus de quoi prendre la grosse tête ! Mais si c’était le cas, on est vite revenus sur terre. A Lorient, c’était un vrai naufrage ! Cela ne m’était pas arrivé depuis longtemps d’être si mauvais. J’étais trop dégoûté. Il est toujours plus facile de se motiver contre de grosses équipes. Mais c’est une erreur, on doit répondre présent à chaque match. On reste ambitieux mais on connaît nos limites.

Vous avez marqué un très joli but en août contre Lille (3-0). Vous sentez-vous plus fort cette année ?
Sur le but dont vous me parlez, je pourrais réessayer dix fois de la mettre au fond, je pense que je n’y arriverais pas. J’ai eu de la chance. Peut-être que j’ose plus, que je me lâche plus cette année. Mais ce n’est pas réfléchi, ça vient tout seul. Je me sens plus en confiance. Mais quand on perd, je me fiche de savoir si j’ai été bon. Je vis très mal la défaite.

Comment avez-vous vécu le départ de Paul Le Guen dont on vous disait très proche ?
Je l’appréciais beaucoup mais je suis heureux de travailler sous les ordres d’un nouvel entraîneur. Avec Paul Le Guen, on me prêtait une relation particulière mais, sincèrement, il me traitait comme les autres. Ce qui m’a le plus embêté, c’est que l’annonce de son départ a fichu notre fin de saison en l’air. On se concentrait moins sur le terrain.

Cette semaine, votre entraîneur a pris la défense de Makelele, critiqué par Christian Gourcuff. Le Guen en aurait-il fait autant ?
Le coach (Kombouaré), c’est un sanguin. On sent qu’il nous aime beaucoup. C’est très appréciable de se sentir défendus. Mais Le Guen aussi nous soutenait. Moi, en tout cas, je me sentais aimé par lui.


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Pourquoi il a posé nu

«Cette année, un joueur du PSG va poser nu pour un calendrier. De qui s’agit-il ? » A cette question, bien peu auraient répondu Jérémy Clément. Et pourtant, c’est bien le discret Parisien qui s’affiche dans le plus simple appareil dans la nouvelle édition du calendrier « les Dieux du stade », au milieu de quelques rugbymen.
« Même si ça casse mon image, j’ai voulu m’amuser, explique Clément. On m’a fait un brushing très prononcé et je n’ai eu qu’une seule exigence : que le cliché ne soit pas trop ambigu. » La photo a beaucoup fait parler dans le vestiaire parisien. « Moi, je n’aurais jamais posé nu, s’esclaffe Sammy Traoré. Le pire, c’est que Jérémy se trouve beau sur cette photo ! » La réaction de l’entourage a été positive. « Cela a bien amusé mon épouse, sourit l’ex-Lyonnais. C’est le principal. »
Ch.B


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Issiar Dia, un gamin du Parc des Princes

Nancy (Meurthe-et-Moselle)

«Ce samedi, on va tous chez Issiar ! » Bakaye Traoré, l’un des quatre joueurs nancéiens originaires de la banlieue parisienne (avec Alfred N’Diaye, Joël Sami et donc Issiar Dia), sait pourquoi il dit ça. « Issiar a grandi à deux pas du Parc des Princes, raconte le grand copain de Dia. Il lui suffisait de faire cinq minutes à pied pour aller voir jouer le PSG quand il était gamin.
»
Le principal intéressé confirme : « Je suis né à Sèvres (Hauts-de-Seine) mais, avant d’aller à l’INF Clairefontaine, j’ai passé toute mon enfance à Boulogne-Billancourt, tout près du Parc. Là-bas, c’est chez moi. Ma mère a déménagé depuis mais elle a voulu rester dans la même ville. »
Sa maman sera d’ailleurs sa « première supportrice samedi (aujourd’hui) au Parc des Princes ». Un stade qui a longtemps fait rêver le jeune attaquant : « J’ai vibré avec les Weah, Valdo, Ginola, Raï… Je me souviens parfaitement des grands matchs européens de l’époque. » Aujourd’hui encore, à 22 ans, l’ancien espoir français devenu international sénégalais soutient à fond le club de la capitale : « Je reste supporteur du PSG sauf si Paris affronte Nancy évidemment. Il y a deux ans, ça me faisait très mal de voir les Parisiens en bas du classement, mais je les défendais tout le temps face aux critiques. J’étais sûr qu’ils allaient finir par se maintenir. » Un amour qui a bien failli trouver sa conclusion cet été avec un transfert de Nancy à Paris. « Cela aurait pu se faire cet été, c’est vrai, résume Dia, mais je n’y pense plus maintenant. » Pour le moment, le dribbleur formé à Amiens est l’un des meilleurs atouts de Nancy, neuvième au classement à seulement deux points… du PSG : « On vient pour réussir un coup. On est en confiance, on reste sur deux victoires chez nous : l’une contre Monaco en Coupe de la Ligue (2-0) et l’autre face à Sochaux en championnat (2-1). » L’ASNL a donc surtout brillé à domicile cette saison et c’est peut-être une bonne nouvelle pour Dia. Car au Parc, l’attaquant nancéien se sentira comme chez lui.

Romain Jacquot


Le Parisien
Kiolm
Citation
Gourcuff surpris par sa convocation

Christian Gourcuff s'est dit surpris par sa convocation devant le Conseil national de l'éthique, le 12 octobre. L'entraîneur de Lorient devra, à cette occasion, s'expliquer sur sa sortie contre l'arbitrage jugé complaisant à l'égard de Claude Makelele, après Lorient-PSG (1-1). Antoine Kombouaré, qui avait réagi de manière virulente à ses propos, devra également répondre de ses déclarations.

«Cela fait 28 ans que je suis entraîneur et je défends l'éthique tous les jours dans mon travail, souligne le technicien breton dans L'Equipe. Je n'ai pas de problème avec Antoine Kombouaré. Kombouaré, je n'ai jamais parlé avec lui. Je ne vois pas pourquoi on est convoqué tous les deux. C'est d'ailleurs ce que je regrette».

Homer
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Le PSG n'y arrive plus

Tenu en échec par Nancy (1-1), le Paris-SG ne parvient plus à concrétiser ses temps forts à rester inviolé quand il domine la rencontre.

Le Paris-Saint-Germain perd lentement mais sûrement beaucoup de terrain sur les premières places. En incluant sa défaite à Monaco (0-2), le club de la capitale a pris trois points en quatre rencontres, trois unités glanées lors de résultats nuls au score identique : 1-1 contre Lyon, à Lorient, et samedi contre Nancy, malgré une supériorité générale que l'équipe d'Antoine Kombouaré n'a pas su concrétiser. Quatre matches sans victoire, c'est une série que le club n'avait plus connue depuis la brûlante saison 2007-2008.

Les difficultés parisiennes coïncident exactement avec l'absence de Mevlut Erding. Il est évidemment tentant de faire un rapprochement. Pourtant, les quatre animateurs parisiens (Sessègnon, Giuly, Luyindula, Hoarau) ont très convenablement combiné durant ce match, surtout en première période, moins ensuite. La manque d'efficacité du club de la capitale après le repos continue d'exercer son petit effet : au moins, il n'encaisse plus de but, mais il n'en marque pas non plus (aucun depuis août). L'équipe a perdu de sa lucidité au fil des minutes et manqué de vraies occasions franches notamment en toute fin de rencontre. Sessègnon et Luyindula, à tour de rôle, ont maladroitement cru pouvoir recourir à la simulation pour obtenir un penalty.

Les Parisiens pourront au moins se dire que leur caractère a encore fait quelques preuves. Il ne leur a fallu que quatre minutes pour combler leur but de retard, après l'ouverture du score d'Hadji, seul au deuxième poteau (14e). Sessègnon a arraché le 1-1 après une première tentative de Luyindula, d'ailleurs en situation de hors jeu (18e). Le PSG reste cinquième mais avec quatre points de retard sur le podium. Nancy, huitième, récupère ici son premier point de la saison à l'extérieur.




Citation
Kombouaré : «On se précipite»

Antoine Kombouaré a reconnu, samedi, après le nul contre Nancy (1-1), que son équipe «patinait beaucoup», avec ses trois points en quatre matches. «Parfois, il faut mieux perdre et gagner ensuite. Ce n'est pas faute d'essayer, a témoigné l'entraîneur du PSG. On va de l'avant, on se crée des occasions mais la réussite, il faut la provoquer. On a du mal à faire la différence et à se libérer. On veut aller trop vite, on se précipite et, dans ces cas-là, on a du déchet.»

«Il y a peut-être un problème de confiance, s'interroge-t-il. Les attaquants exercent un gros pressing défensif. Cela soulage les défenseurs mais après, il faut avoir les cannes et la lucidité pour faire la différence devant le but. On a clairement un manque de réussite mais j'aime la façon dont on joue. C'est ça que je regarde, pas le classement.»


Baghib!
leparisien.fr

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A ce rythme, les Parisiens ont du souci à se faire

Face à Nancy, au Parc, les Parisiens ont concédé un nouveau nul (1-1). Ça devient inquiétant. Le bilan parle de lui-même : 3 points de pris sur 12 lors des quatre derniers matchs…


Au coup de sifflet final, les deux virages du Parc des Princes se sont mis à siffler. Pas longtemps et pas fort. Juste pour marquer leur déception du résultat, pas assez pour que les joueurs en prennent ombrage. Comme beaucoup, les supporteurs parisiens ne savent pas vraiment quoi penser de leur équipe. Le spectacle offert est honorable mais Paris ne sait plus gagner.

Et la série de quatre matchs sans victoire devient très inquiétante. Paradoxalement, le PSG a gagné une place et pointe ce matin au cinquième rang de L 1. Cette remarque ne suffit pas à redonner le sourire à Antoine Kombouaré. « Je ne regarde pas trop le classement. Je constate qu’on fait des bonnes prestations mais on n’avance pas au niveau comptable. Ça patine… Nos derniers matchs sont très décevants en terme de points. »

C’est une évidence… Sur les quatre dernières journées, il tourne à 0,75 point et 0,75 but par match. Ce triste bilan arithmétique pourrait s’aggraver après les deux prochains déplacements à Toulouse et Marseille… L’entraîneur garde malgré tout espoir. « Je suis inquiet qu’on ne réussisse pas à marquer mais je serais encore plus inquiet si on n’était pas capable de produire du jeu. On a essayé de bien jouer, maintenant, il faut provoquer la réussite. »

Certes, le PSG aurait dû gagner, hier soir. Mais, il aurait très bien pu perdre aussi, après ce raid solitaire du grand Alfred Ndiaye qui voit son tir frôler le poteau de Coupet (84 e ). Les Parisiens se sont mis dans le pétrin tout seul, dès le début du match. Une défaillance de la charnière Traoré-Sakho permet à Hadji d’ouvrir le score (14 e ). Sessegnon soulage le Parc en égalisant quatre minutes plus tard.

« Il faut être plus lucide »

Le reste du match se résume à un jeu d’attaque-défense crispant. Kombouaré regrette surtout l’énorme déchet de ses attaquants face au but. Pablo Correa, l’entraîneur de Nancy, confirme : « On a profité de leur maladresse, ils ont beaucoup tiré à côté. » La statistique est en effet éloquente : sur vingt-quatre tirs, Paris n’en a cadré que quatre… « Il faut être plus précis, se lamente Kombouaré. J’aime la façon dont on joue, mais il faut être plus lucide. » Le mal est sans doute un peu plus profond. En attaque, les choix des uns ne correspondent pas aux appels des autres. La bonne volonté se transforme en précipitation, sans doute parce que l’ensemble n’a pas encore assez de maîtrise pour tout miser sur la vitesse. Voilà peut-être le mal du PSG en ce début de saison. Il vise un jeu trop ambitieux pour son niveau collectif actuel. Il faut du temps pour mettre tout cela en place. Mais désormais, le temps presse.

LE MATCH
PSG - NANCY 1-1 (1-1)

Spectateurs : 36 779.
Arbitre : M. Lannoy.
Buts. PSG : Sessegnon (18e) ; Nancy : Hadji (14e).
Avertissement. PSG : Luyindula (78e). PSG : Coupet - Ceara, Sakho, Traoré (Jallet, 56e), Armand - Giuly (Chantôme, 68e), Makelele (cap.), Clément, Sessegnon - Luyindula, Hoarau.
Nancy : Bracigliano (cap.) - Chrétien, Lotiès (Sami, 46e), André Luiz, Lemaître - Bérenguer, Ca (Bakar, 73e) - Brison (A. N’Diaye, 64e), Hadji, Féret - Dia.

LES BUTS
13e. A l’angle gauche de la surface parisienne, Dia prend de vitesse Traoré et sert Hadji, oublié au deuxième poteau par Sakho. L’attaquant lorrain pousse tranquillement le ballon au fond des filets. 0-1.
18e. Ceara centre de la droite pour Hoarau, qui dévie de la tête vers Luyindula. En position de hors jeu, l’attaquant parisien reprend du gauche en pivot. Bracigliano repousse dans les pieds de Sessegnon, qui égalise. 1-1.

LE FAIT DU MATCH
90e + 1 : longue chevauchée de Sessegnon qui efface trois Nancéiens avant de décocher un tir croisé du droit. Bracigliano est battu, mais la balle de match frôle l’extérieur du poteau.

LE CHIFFRE 3
Avec trois matchs nuls et une défaite lors des quatre der- nières journées de championnat, le PSG n’a pris que trois points sur douze possibles. Un rythme de relégable.

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« On traverse une mauvaise passe »
STÉPHANE SESSEGNON, milieu de terrain parisien


Parfois énorme sur quelques dribbles puis maladroit devant le but comme le prouve son action de la 88 e minute, Stéphane Sessegnon n’a pas esquivé les micros après le match. Malgré sa déception, le milieu béninois a assumé les difficultés de son équipe à marquer… et à gagner.

Quel était le sentiment général dans le vestiaire à l’issue du match ?
Stéphane Sessegnon. Une énorme frustration bien sûr. On traverse une mauvaise passe, c’est clair. Et la trêve va nous faire du bien. Ce n’est pas normal que nos deux derniers matchs finissent par deux résultats nuls. Nous méritions mieux contre Nancy.

Qu’a-t-il manqué à Paris ?
De l’audace et de la réussite. On savait que Nancy jouerait très regroupé derrière en essayant de placer des contres. Ce n’était pas une surprise. Mais nous pouvons aussi remarquer que l’équipe n’a pas lâché après le premier but et qu’elle s’est bagarrée en permanence.

Comment expliquez-vous le but nancéien qui scelle l’ouverture du score ?
Sur ce coup-là, on ne communique pas beaucoup. C’est dommage parce qu’il n’y avait pourtant pas un gros danger au début de l’action.

Quel va être l’axe de travail d’ici au déplacement à Toulouse dans quinze jours ?
Je ne sais pas trop. Il faudra d’abord positiver. Quand on voit que Guillaume (NDLR : Hoarau) , qui était si fort devant le but la saison dernière, n’a toujours pas retrouvé son instinct de tueur devant les cages, il y a de quoi se poser des questions. Je crois qu’il y a un équilibre à trouver entre tous les attaquants.

Cela signifie-t-il que certains veulent marquer à tout prix ?
Pas du tout. Il n’y a pas d’individualisme dans notre équipe. Tout le monde a envie de marquer et de faire marquer. Ce qui est certain, c’est que la réussite nous fuit. On n’est pas non plus trop lucides. Et puis, je crois également que nous ne sommes pas encore tous bien rodés. Il faut le dire aussi. Servons-nous de cette frustration pour rebondir.

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LES JOUEURS
L’énorme erreur de Sakho


En alignant le même onze et le même système qu’à Lorient le week-end dernier, Kombouaré attendait clairement une réaction de son groupe. Une grossière erreur de la défense centrale parisienne a permis aux Nancéiens d’ouvrir le score et a modifié la physionomie de la rencontre.

Coupet (5). Complètement abandonné par son axe central sur le but lorrain.

Il a ensuite assuré avec autorité ses prises de balle.

Ceara (5,5). Toujours aussi sobre et efficace dans ses interventions. Il a tenté, souvent avec succès, de trouver ses attaquants avec des passes longues.

Traoré (3,5). Beaucoup trop statique face à la vitesse de Dia sur le but lorrain, le grand Malien a essayé de se reprendre en coupant quelques transmissions. Mais son erreur initiale noircit son match. Victime d’une douleur derrière la cuisse, il cède sa place à Jallet (56 e ) qui a évolué latéral gauche. Il s’est plus battu en 34 minutes que d’autres en 90.

Sakho (3,5). Si son impact physique reste son atout maître, il a vite sombré. D’abord en ne lâchant pas assez vite son ballon et en refusant de jouer simple. Et, surtout, il commet une grossière erreur en oubliant Hadji dans son dos sur l’ouverture du score (14 e ).

Armand (5). Une volonté de prendre le couloir mais ses automatismes avec le style particulier de Sessegnon ne sont pas rodés. Solide dans son placement défensif. Installé dans l’axe après la sortie de Traoré.

Giuly (6). Des jambes et de la bonne volonté. Cela a permis de dynamiser les offensives parisiennes. Un très bon centre pour Luyindula (29 e ). Remplacé par un Chantôme combatif (67 e ).

Makelele (5). Hasard ou pas, les milieux nancéiens n’ont pas vraiment osé aller au contact. Il a pu équilibrer le jeu de son équipe et rassurer Clément. Mais que de ballons perdus…

Clément (5). Loin de son match raté de Lorient, il a ratissé des ballons et coupé des espaces. Quand il se sent bien, il n’hésite pas à aider ses attaquants. Un joli décalage pour Luyindula (35 e ). Moins bien en fin de match. Remplacé par Sankharé (84 e ).

Sessegnon (6,5). Il s’est jeté dans le match dès les premières secondes. Concentré, c’est en suivant une frappe de Luyindula qu’il marque son premier but de la saison et égalise (18 e ). Un slalom énorme et une frappe au-dessus (90 e ).

Luyindula (5). Malgré une vilaine semelle de Brison (8 e ), il a multiplié les courses. Sa frappe en pivot est à l’origine de l’égalisation (18 e ). Mais il a toujours du mal à se montrer décisif (29 e , 35 e , 78 e ).

Hoarau (5,5). Sa montée en puissance n’est pas feinte. Au-delà de ses habituelles déviations de la tête, il a accéléré le rythme par un jeu à une touche de balle. Précieux et en confiance. Manque de peu le but de la victoire (88 e ).

A Nancy, la formation de Correa a joué la carte du repli et de la prudence et a beaucoup misé sur les accélérations de Dia.

L’arbitre, M. Lannoy (6) ne s’est pas vraiment fait remarquer. La marque d’un match plutôt réussi.

leparisien.fr
Hari
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PSG / ANTOINE KOMBOUARE :
« Je suis inquiet »



Même s'il est satisfait du jeu et de l'état d'esprit, Antoine Kombouaré déplore le manque d'efficacité de ses joueurs. L'entraîneur du PSG ne comprend pas comment on peut à ce point manquer le cadre. Et ça l'inquiète.

Antoine Kombouaré, quel est votre sentiment après ce match nul contre Nancy ?

Ça patine beaucoup. Sur le plan comptable, ce n'est vraiment pas terrible. Car avec des nuls, on n'avance pas. A part cette mi-temps manquée contre Lorient, nous faisons de bons matchs. Ce n'est pas faute d'essayer ni de bien jouer, car nous nous créons des situations. Mais la réussite, à un moment donné il faut la provoquer. Mais samedi, nous n'avons pas réussi à faire la différence. Nancy a eu une situation offensive et il marque. Mais nous avons bien réagi. C'était le match piège par excellence.

Où le bât blesse-t-il tout particulièrement actuellement au PSG ?

A un moment donné, il faut surtout réussir à cadrer. Nous avons eu beaucoup de possibilités de marquer, mais, même si ça ne passe pas loin, les frappes ne sont pas cadrées. Il faut arriver à cadrer cette frappe ou cette tête. Quand on voit la dernière occasion du match, avec Stéphane (Sessegnon) qui élimine pratiquement tout le monde. Après, c'est plus dur de mettre le ballon à côté. Même s'il a fait beaucoup d'efforts pour arriver là. Il y a aussi ces deux tentatives de Jallet. Ce sont à chaque fois des situations sur lesquelles il y a juste à cadrer. J'ai le sentiment que nous nous précipitons un peu. Nous voulons aller beaucoup trop vite. Et quand on va trop vite, il y a pas mal de déchet. Dans la dernière passe, mais surtout dans le dernier geste.

Etes-vous inquiet par cette maladresse ?


Oui, je suis inquiet par rapport au fait que nous ne marquions pas alors que nous nous créons beaucoup de situations. Mais je serais plus inquiet encore si nous étions incapables de produire du jeu ou de jouer. Là, nous avons pris cette équipe de Nancy à la gorge, nous ne les avons pas lâchés, avons effectué un gros pressing et avons récupéré beaucoup de ballons. Nous nous sommes projetés vers l'avant, nous avons tout essayé pour marquer. Mais, après, si vous ne cadrez pas, ça devient compliqué pour marquer des buts.

Pourtant, vous travaillez ce genre de situations à l'entraînement, non ?


Oui, mais après c'est peut-être un problème de confiance et de précipitation. Il ne faut pas oublier non plus que les joueurs fournissent beaucoup d'efforts. Il n'y a qu'à voir le gros pressing défensif exercé par les attaquants. Que ce soient Peguy (Luyindula), Stéphane (Sssegnon), Guillaume (Hoarau) ou Ludo (Ludovic Giuly), ils travaillent tous bien défensivement. Ça soulage beaucoup les milieux de terrains, et ça soulage encore plus les défenseurs. Mais il faut avoir ensuite les cannes et la fraîcheur pour faire un truc devant le but.

« Il y en a plus d'un qui auraient lâché »


Y'avait-il selon vous penalty sur l'une des deux situations litigieuses entre le gardien nancéien et Peguy Luyindula en fin de match ?


Autant, sur la première faute, il y a simulation, je suis d'accord, autant sur la deuxième faute sur Peguy, le joueur a les deux pieds décollés… Après, c'est à l'appréciation de l'arbitre, mais pour moi, il y a penalty. Cette situation s'est présentée contre Lyon déjà, mais le problème samedi soir ce n'est pas l'arbitrage, c'est surtout que nous ayons été incapables de cadrer. Défensivement, nous avons été solides, à part deux fois sur deux incursions. Sur la première, il y a but.

Pensez-vous qu'il y ait faute sur Giuly au départ de l'action qui amène le but de Nancy ?

Oui, pour moi il y a faute sur Ludo. Tout le monde s'arrête, et derrière, il y a cette relance sur Dia qui fixe Sammy (Traoré) et qui rate complètement sa frappe. Comme Hadji a poursuivi sur sa lancée, il marque et voilà. Mais aujourd'hui, nous avons clairement un manque de réussite. Il faut être solide, continuer à bosser, mais j'aime la façon dont nous jouons. Je n'ai pas grand-chose à reprocher à mon équipe sur le plan de l'engagement. Mais il faut être un peu plus lucide dans le dernier geste pour au moins être capable de cadrer les frappes. Après, il y aura de grandes chances que nous puissions marquer.

Etes-vous satisfait du comportement de Claude Makelele ?

Je n'avais pas de soucis quand à la prestation de Claude. Si ça avait été un jeune, j'aurais été un peu plus embêté, mais, là, Claude a suffisamment de bouteille pour gérer ce genre de situation. C'est bien, il a montré qu'il était au dessus de toutes les polémiques qu'il y a eues dans la semaine.

Au classement, vous gagnez une place malgré tout…


Oui, mais ça, ça ne m'intéresse pas. Je ne regarde pas trop le classement moi. Je regarde avant tout la façon dont nous jouons. Contre Nancy, j'ai vraiment aimé l'état d'esprit et la manière dont mes joueurs se sont comportés. Il y a eu de la révolte ! Car quand vous êtes mené au score sur la seule occasion de votre adversaire, il y en a plus d'un qui aurait lâché. Là, au contraire, c'est bien car ils sont repartis de l'avant. Nous avons égalisé tout à fait logiquement et nous pensions même avoir fait le plus dur. Après, nous avons joué mais nous n'avons pas cadré. Notre gros souci aujourd'hui.

Aurélien CANOT


football365.fr
Roufi
Citation
Foot - L1 - PSG
Traoré touché aux ischio-jambiers smile.gif


Sammy Traoré souffre des ischio-jambiers. C'est la raison pour laquelle le défenseur malien a été remplacé à la 56e minute de PSG-Nancy (1-1), samedi, par Christophe Jallet. «Ce n'est pas trop méchant, mais j'ai préféré ne pas prendre de risques», a expliqué après le match Antoine Kombouaré.


lequipe.fr
Hari
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PSG : Erding va recommencer à courir


Antoine Kombouaré, l'entraîneur du PSG, a indiqué samedi soir après le match contre Nancy (1-1) que l'attaquant turc, Mevlut Erding, devrait recommencer à courir lundi. Après trois semaines d'absence.

Le PSG devrait pouvoir de nouveau s'appuyer en attaque sur Mevlut Erding. Arrêté depuis trois semaines après avoir été opéré de la clavicule gauche, l'attaquant international turc du PSG devrait recommencer lundi à courir. C'est ce qu'a indiqué Antoine Kombouaré samedi soir. « Si tout se passe bien, il reprendra la course lundi. Il en est à trois semaines », a déclaré l'entraîneur parisien.


Football365.fr
Hari
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Ludovic Giuly : « Je commence à en avoir marre... »

Frustré par les trois derniers matchs nuls du PSG, Ludovic Giuly s’exaspère des points abandonnés par maladresse ou par naïveté. Au classement, Paris est décroché.

Après une nuit de repos, le milieu de terrain parisien a accepté de revenir sur le nouveau match nul concédé samedi soir contre Nancy (1-1). Il analyse la situation et appelle à une vraie prise de conscience. Quant à lui, il aimerait bien finir les rencontres…

Que retenez-vous de la prestation du PSG face à Nancy ?

Ludovic Giuly. La frustration est toujours là. On a tout fait dans le jeu pour gagner. L’équipe a poussé et n’a pas arrêté de tirer au but. Nancy ne peut pas en dire autant et repart avec un nul heureux. C’est vraiment dommage. Ce qui me gonfle un peu, c’est notre incapacité de marquer un deuxième but. Nous savions le faire contre Le Mans (3-1), Valenciennes (3-2) ou Lille (3-0). Là, on a déjà la chance de revenir rapidement au score. Mais ensuite, tout se bloque.

Que manque-t-il alors ?

Une qualité que possède Lyon : quand l’OL est moins bon, il sait faire le gros dos et gagner. Nous, on n’arrive pas à être mauvais et l’emporter quand même à l’expérience. Une grande équipe, ce n’est pas celle qui est au top et qui gagne. C’est celle qui sait ruser pour masquer ses difficultés. Nous, on doit être super forts pour gagner. Il y a une forme d’apprentissage à avoir dans ce domaine si on veut vraiment viser le haut du classement.

Mais ce n’est pas l’inexpérience qui empêche de cadrer les tirs…

C’est vrai. Je ne nie pas notre maladresse de samedi. Mais je vous assure que ce n’est pas un problème d’individualisme. Le groupe est vraiment sain. C’est juste un problème de réglages et de savoir donner le ballon à l’autre au bon moment.

Maintenant deux déplacements consécutifs vous attendent…


(Il coupe.) Et peut-être même trois. (NDLR : la 11e journée, avec PSG - Lens, pourrait être décalée pour cause de barrages des Bleus. Paris enchaînerait alors trois voyages à Toulouse, Marseille et Sochaux).

En déplacement, il serait idiot de viser le nul. Contre Toulouse et Marseille, je préférerais qu’on en gagne un et qu’on perde l’autre. Ça ferait trois points. Avec deux nuls, on n’en aurait que deux. Ne pensons qu’à gagner.

Etes-vous frustré d’avoir été remplacé à la 68e minute ?

Bien sûr. J’avais envie d’aider l’équipe à gagner. J’étais en jambes et je pouvais continuer. J’avais la « caisse » pour tenir tout le match. Je voulais finir carbonisé en ayant tout donné. Quand je dois être remplacé, cela se voit car je m’éteins d’un seul coup. Là, je suis sorti alors que j’étais encore frais.

En avez-vous parlé avec Kombouaré ?

Il sait que je pouvais encore tenir. Mais il fait ses choix et doit gérer son groupe. Là, c’est tombé sur moi.

Quelle leçon principale faut-il retenir de ce PSG - Nancy ?

Il suffit de regarder le classement pour s’énerver : si on avait gagné nos deux matchs à domicile au lieu de faire deux nuls, nous serions à la troisième place avec 17 points. Là, je commence à en avoir marre d’être à chaque fois à la limite et d’avoir des regrets. Passer devant les Rennais parce qu’ils ont perdu, ça ne m’intéresse pas. Je ne veux plus dépendre des erreurs des autres. On est à Paris et il faut prendre notre destin en main.

Propos recueillis par Christophe Bérard



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« Il ne faut pas tirer sur Hoarau »

LE REGARD DE…
PHILIPPE LUCAS, entraîneur de natation



Comme souvent, Philippe Lucas, l’ancien entraîneur de Laure Manaudou, était présent dans les tribunes du Parc samedi soir. Fan du PSG, il livre ses impressions sur le dernier match du PSG.

Que vous inspire ce troisième match nul d’affilée ?

Philippe Lucas. Prendre trois points en quatre matchs, ce serait inquiétant si on se faisait chier.
Mais c’est loin d’être le cas ! J’ai vu des bonnes choses. Sur le fond de jeu, par moments, je me suis régalé. Paris réussit une bonne entame, prend un but contre le cours du jeu. On savait que le duo Dia-Hadji pouvait faire mal. Après, le PSG s’éteint au fil des minutes. Il aurait pu perdre.

Pourquoi le PSG n’arrive-t-il plus à gagner ?


Hoarau doit revenir à son meilleur niveau, mais il ne faut pas tirer sur lui, il n’a pas joué pendant quatre mois, il faut qu’il retrouve confiance devant le but. Et puis, l’absence d’Erding fait du mal. Erding-Hoarau, ça fera un beau duo.

Comment avez-vous trouvé Makelele après la polémique du match à Lorient ?

Calme… Franchement, des actions comme celle qu’on lui reproche à Lorient, on en voit beaucoup en Angleterre et on trouve ça normal.

A quelle place terminera le PSG cette saison ?


Je les vois dans les cinq ou six premiers. S’ils finissent quatrièmes, ce sera très bien.

Propos recueillis par Laurent Perrin


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PSG - NANCY : L’APRES-MATCH
12,5 %
LA STAT



C’est le pourcentage de tirs cadrés par Stéphane Sessegnon pendant PSG - Nancy. Sur huit tirs, le Béninois n’en a cadré qu’un seul… et a marqué. Il symbolise le terrible manque de précision du PSG qui, au total, a frappé 22 fois en direction du but nancéien et n’a trouvé le cadre que quatre fois.


Leparisien.fr
Hari
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Pourquoi Paris n’est plus d’attaque

Le PSG n’arrive plus à gagner, ni à marquer. Après le match nul face à Nancy (1-1), Antoine Kombouaré a fustigé le manque de précision de ses attaquants. D’où vient le problème ? En fait, les causes sont multiples.

1 La réussite les fuit. En début de saison, on avait souligné l’excellent taux de réussite devant le but des Parisiens auteurs de neuf buts en trois matchs.
L’analyse des statistiques montre à quel point le PSG avait su se montrer opportuniste : 14 tirs contre Le Mans, 3 buts (21,5 % de réussite) ; 13 contre Valenciennes, 3 buts (23 %) ; 10 contre Lille, 3 buts (30 %). Et puis la chute. Pas un but à Monaco. Un seul par match lors des trois dernières journées. Et seulement 4 tirs cadrés sur 22 face à Nancy.

2 Lyon leur a fait mal. Les origines du problème ne sont pas toujours les mêmes. Face à Nancy, la maladresse des attaquants est indiscutable. Contre Lyon, ils sont tombés sur un extraordinaire Hugo Lloris qui a tout détourné. La débauche d’énergie parisienne n’a pas été récompensée. Le doute s’est installé dans certains esprits et la spontanéité du début de saison a disparu.

3 Hoarau se cherche. « Guillaume n’a toujours pas retrouvé son instinct de tueur devant le but. » Le constat de Stéphane Sessegnon est clair. Après trois mois d’absence, Hoarau n’est plus aussi efficace qu’avant. Son compteur reste bloqué à un but. La saison dernière, après huit journées, il avait scoré trois fois. Très actif en dehors de la surface, il reste indispensable. Seul un déclic lui redonnera confiance.

4 Erding leur manque. Blessé à l’épaule, Mevlut Erding n’a pas disputé les trois derniers matchs. Associer son absence au surplace de l’attaque serait réducteur. Mais à l’évidence, son pouvoir de percussion fait cruellement défaut à Paris. Dans deux semaines, il devrait être présent au Stadium de Toulouse. Mais rien n’indique qu’Antoine Kombouaré le titularisera.

5 Un duo d’attaque à installer. En début de saison, l’entraîneur parisien misait beaucoup sur le tandem Hoarau-Erding. En raison des blessures de l’un et l’autre, ils n’ont joué que dix-neuf minutes ensemble, à Valenciennes. Luyindula rend de bons services, Giuly a été excellent face à Lyon.
Mais globalement, la ligne d’attaque manque d’automatismes. Le rendement de Stéphane Sessegnon, par exemple, est inégal. Joueur le plus talentueux balle au pied, il doit apprendre à se mettre vraiment au service du collectif. Un détail qui vient s’ajouter à de nombreux autres.

Laurent Perrin


leparisien.fr
Rjay
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Hoarau encore touché

Décidément, le sort s'emble s'acharner sur Guillaume Hoarau. Ecarté des terrains en fin de saison dernière, puis jusqu'au 22 août en raison d'une blessure persistante aux adducteurs, l'attaquant parisien souffre cette fois d'une élongation aux ischio-jambiers. Il sera au repos durant «au moins huit jours», annonce le PSG, mardi. Il est incertain pour le déplacement à Toulouse, le 18 octobre.

De son côté, Sammy Traoré, victime d'une contracture aux ischio-jambiers face à Nancy, samedi (1-1), restera également en soins quelques jours. Mardi, il a couru en compagnie de Mevlut Erding (épaule), alors que Grégory Bourillon (dos) s'adonnait lui aussi à un simple footing.

L'Equipe.fr

Spoiler :
Le facebook de Bruno Salomon avait dit vrai ph34r.gif
Hari
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Kombouaré : « Provoquer la réussite »

Antoine Kombouaré revient sur le match nul concédé face à Nancy (1-1) et sur les deux prochaines échéances du club de la capitale, à Toulouse et Marseille.

Coach, le PSG n’a pu concrétiser ses occasions face à Nancy et a dû se contenter d’un match nul (1-1). Etes-vous déçu ?


« C’est une grosse déception par rapport au résultat. On n’a pas été capable de prendre les trois points. Par contre, c’est une grosse satisfaction au niveau du jeu. On a été conquérant et entreprenant avec pas moins de soixante-dix pour cent de possession de balle. On a également beaucoup tiré au but avec vingt-trois frappes. Il n’y en a eu que quatre de cadrées, ça devient donc difficile de marquer. Mais l’état d’esprit, l’envie d’aller de l’avant et de marquer des buts étaient là. Nous nous sommes procurés beaucoup de situations mais on n’a pas été efficace. On est déçu du résultat mais surtout pas de la manière.

Pensez-vous que le but de Stéphane Sessegnon peut l’amener à prendre plus de volume dans l’équipe ?

« Ces derniers temps, il a aussi réalisé quelques passes décisives. Et puis il a enfin marqué. C’est bien pour la confiance. Il se procure des situations et c’est intéressant. Je serai inquiet si on n’avait pas de situation pour marquer. Il faut apprendre à être efficace. Il y a de la fatigue, beaucoup de débauche d’énergie, un peu de précipitation et pas mal de déchet dû aussi à un manque de confiance. Dans l’esprit, il y a un jeu collectif qui se met en place, des joueurs qui ont envi de jouer ensemble et qui font les efforts ensemble. Maintenant, il faut aller provoquer la réussite. C’est ce qui nous manque aujourd’hui. »


Guillaume Hoarau a eu des mots assez durs envers lui-même après la rencontre. Faut-il lui laisser du temps pour qu’il retrouve son meilleur niveau ?


« Guillaume, on le connaît. Il est souvent très dur avec lui. C’est une qualité. Après, il ne doit pas douter de son potentiel. Moi, je n’en doute pas. Il ne faut pas oublier qu’il est resté trois mois et demi sans jouer. Il a enchaîné son cinquième match face à Nancy. Il est de mieux en mieux physiquement, par contre il lui manque un peu de fraîcheur. C’est bien d’avoir pu jouer autant de matches parce qu’il en avait besoin. C’est un point d’ancrage fabuleux et maintenant il faut qu’il soit un peu plus égoïste. Il doit tenter sa chance et la réussite reviendra. »

Comment évoluent les blessures de Zoumana Camara et Mevlut Erding ?

« Ca se passe très bien pour Papus (Camara). Les délais sont respectés et il devrait réintégrer le groupe la semaine prochaine. Concernant Mevlut, il a recommencé à courir. Maintenant, il faut du temps pour qu’il retrouve l’intégralité de ses moyens. Mais en tout cas, c’est rassurant. »


Avec la trêve internationale, vous avez deux semaines pour préparer les déplacements à Toulouse et Marseille qui s’annoncent compliqués…


« On a deux semaines pour préparer le déplacement face à Toulouse. Les Toulousains ont perdu à domicile et on va donc être attendu. Depuis le début de saison, nous n'avons perdu qu’un match. On gagne peu et il faut transformer ces nuls en victoires. J’espère qu’avec l’engagement et l’envie qu’on va mettre à Toulouse, nous serons capables de ramener enfin une victoire. »

Le 18 octobre prochain, l’équipe féminine du PSG jouera au Parc des Princes face à Juvisy. Que vous inspire cette grande première ?


« C’est une bonne chose car c’est l’occasion de mettre le football féminin en avant. Il faut que ce soit une belle fête pour que la place du football féminin soit enfin reconnue. J’espère voir l’équipe gagner parce que ça permettra d’amener encore plus de monde. J’ai vu que l’équipe s’était imposée 5-0 lors de son dernier match. Je suis les résultats, je regarde et j’ai fait la connaissance de quelques joueuses dont deux qui arrivent des Etats-Unis (Sonia Bompastor et Camille Abily). Le PSG se renforce et a une équipe de qualité. J’espère qu’elles vont être capables de gagner un titre en fin de saison. J’espère que le public parisien répondra présent pour cet événement au Parc ! »


PSG.fr





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Hoarau, la nouvelle tuile


L’infirmerie du PSG ne désemplit pas. Victime d’une élongation aux ischio-jambiers, Guillaume Hoarau devra observer des soins et un repos total au minimum pendant une semaine. En conséquence, il est très incertain pour le déplacement à Toulouse dans douze jours. Il s’agit d’un nouveau coup dur pour un joueur déjà peu épargné par les pépins physiques depuis plusieurs mois.

Fin avril, le Réunionnais s’était blessé aux adducteurs et avait raté toute la fin de saison dernière. Une rechute en juillet l’avait contraint à renoncer au début du championnat. Il n’avait joué que deux bouts de match à Valenciennes (3-2) et contre Lille (3-0), lors de la 3e et de la 4e journée. Mi-septembre, à Monaco, profitant de l’indisponibilité d’Erding, il avait été titulaire aux côtés de Peguy Luyindula. En cinq matchs (quatre de L 1 et un en Coupe de la Ligue), il n’a, depuis, inscrit qu’un seul but, à Lorient (1-1). Autant dire que ce contretemps arrive au plus mauvais moment pour l’attaquant en mal de confiance.

Erding est espéré


Il ne va pas sans poser, aussi, un sérieux problème à Antoine Kombouaré. En cas de forfait, fort possible, d’Hoarau, l’entraîneur parisien ne dispose plus que de deux attaquants confirmés, Peguy Luyindula et Ludovic Giuly qui évolue au poste de milieu droit. Il pourra toujours lancer dans le grand bain Jean-Eudes Maurice, auteur du but victorieux à Boulogne en Coupe de la Ligue mais inexpérimenté en L 1.
Sauf bien sûr, si d’ici là, Mevlut Erding est opérationnel. Blessé à l’épaule gauche contre Lille (3-0) fin août, puis opéré dans la foulée, l’ex-Sochalien a repris l’entraînement cette semaine. Il ne participe pas encore aux séances collectives mais il bénéficie d’un programme de reprise individuel. « Je m’entraîne seul avec le préparateur physique, raconte-t-il. Je joue un peu au ballon et je cours beaucoup. Je ne suis pas encore prêt physiquement mais ça progresse bien. Je n’ai presque plus mal à l’épaule. » Avec la blessure d’Hoarau, le retour d’Erding, auteur de deux buts en quatre matchs en août, est, on le devine, attendu avec impatience. « J’espère être apte pour le déplacement à Toulouse, poursuit-il. Mais on fera le point la semaine prochaine. Je ne veux pas me mettre la pression. Je vais me préparer sereinement. »

Sylvie De Macedo



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PSG EXPRESS


Hier. Footing en forêt auquel Camara et Bourillon ont participé. Traoré et Erding ont fait quelques tours de terrain.

Aujourd’hui. Entraînement à 10 heures au camp des Loges.

Absents. Sakho, Sankharé (équipe de France Espoirs), Sessegnon (Bénin).

Infirmerie. Hoarau (élongation aux ischio-jambiers), Traoré (contracture aux ischio-jambiers), Bourillon (lombalgie), Camara (phlébite mollet droit).

leparisien.fr
Biz Markie
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Erding veut revenir «plus fort»

Mevlut Erding, qui suit un programme spécial avec le préparateur physique du PSG, espère être opérationnel contre Toulouse le 17 octobre. Touché à l'épaule et opéré, l'attaquant parisien fait le point sur la situation. « J'ai repris un peu le ballon en début de semaine. J'ai couru et ça va de mieux en mieux même si j'ai encore des petites douleurs. J'avais bien commencé la saison et ça m'a permis d'avoir confiance. Maintenant, je me prépare bien pour revenir plus fort ».

Avec un PSG qui ne gagne plus (dernière victoire contre Lille le 30 août contre Lille 3-0), Erding se sait attendu. « On m'attend beaucoup, c'est ce que j'ai lu et c'est flatteur. Ça met un peu la pression mais si Paris ne gagne plus, c'est que les autres équipes se préparent bien aussi ». - C. Mi. au camp des Loges.

lequipe.fr
11G
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Kombouaré: «Devenir efficaces»

Le Paris Saint-Germain ne gagne plus en Ligue 1 : une défaite, trois nuls lors des quatre dernières journées. Malgré tout, Antoine Kombouaré ne semble pas inquiet (Photo Presse-Sports). L'entraîneur parisien est revenu sur le site du club de la capitale sur la dernière sortie des siens face à Nancy (1-1). «C'est une grosse déception au niveau du résultat. On n'a pas été capables de prendre les trois points», reconnaît-il. «Par contre, c'est une grosse satisfaction au niveau du jeu. On a été conquérant et entreprenant. L'état d'esprit, l'envie d'aller de l'avant et de marquer des buts étaient là.»

Mais l'efficacité fait défaut aux Parisiens. Antoine Kombouaré ne le nie pas. «On a des situations pour marquer. Je serai inquiet si on n'en avait pas», confie-t-il. «Mais il y a de la fatigue, beaucoup de débauches d'énergie, un peu de précipitation et pas mal de déchet dû aussi à un manque de confiance. Dans l'esprit, il y a un jeu collectif qui se met en place, des joueurs qui ont envie de jouer ensemble et qui font les efforts ensemble. Maintenant, il faut apprendre à être efficace et aller provoquer la réussite. C'est ce qui nous manque aujourd'hui.»


France football
11G
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Le président du PSG en appelle à des "Etats généraux de la sécurité"

De multiples incidents ont émaillé le début de saison de Ligue 1 a sur les pelouses de France, que ce soit à Grenoble (jets de fumigènes), Nice (pétards) ou Montpellier (bombes agricoles). Le 13 septembre, à Monaco, des supporteurs du Paris-Saint-Germain ont provoqué une interruption temporaire du match après avoir lancé des engins pyrotechniques. Ce geste place le club parisien sous la menace d'un retrait de points, qui s'ajoute aux éventuelles sanctions de rencontres à huis clos pour des incidents survenus la saison passée. Après avoir réuni les associations de supporteurs pour que cessent ces actes, Robin Leproux, le nouveau président du directoire du PSG, appelle de ses voeux des "Etats généraux de la sécurité dans les stades", dans une lettre en date du 5 octobre adressée au ministre de l'intérieur, au préfet de police et aux présidents de la Fédération française de football (FFF) et de la Ligue de football professionnel (LFP). Il s'en explique.



Pourquoi demander ces "Etats généraux" ?

Je suis convaincu que, s'agissant de la sécurité dans les stades, l'heure est cruciale pour le football français. On ne pourra faire évoluer ce qui nous arrive aujourd'hui que par le travail d'équipe, en associant la force publique, le ministère, les instances sportives et les clubs. On doit se parler, ne serait-ce que pour connaître les actions des uns et des autres.

J'attends donc une réunion. Pas à quarante, mais à six ou sept. Nous ne nous sommes pas encore vus une seule fois, malgré la démarche que nous avons entreprise en mars 2009 auprès de la FFF et de la LFP, sans trouver d'écho. J'ai la spontanéité et la fraîcheur d'un nouveau président et, en même temps, le sujet de la sécurité est évoqué depuis très longtemps à Paris. Le PSG peut jouer un rôle responsable dans ce débat en tant que club de la capitale.

Vous dénoncez en même temps les sanctions de la commission de discipline de la Ligue.

On ne peut pas seulement diaboliser nos supporteurs et stigmatiser les clubs par des punitions et les commentaires de ces punitions. Je n'entends parler que d'irresponsabilité du PSG dans la lutte contre les fumigènes. Or, les instances du football méconnaissent nos actions, dans le stade et à l'extérieur. Je souhaite qu'on ne soit pas seulement dans la sanction, mais dans l'appréciation et le dialogue. Le PSG a payé 400 000 euros d'amendes l'année dernière, il faut faire cesser cette escalade. Il y a eu quatre fumigènes lors de notre dernier match au Parc des Princes. Je rappelle qu'il y en a eu 60 lors de France-Turquie, à Lyon.

A qui doit-on envoyer les amendes ?

Le huis clos partiel est une très mauvaise solution parce qu'elle rejette en dehors des stades une partie des supporteurs, en créant un problème d'insécurité. Le huis clos total est une sanction économique terrible, car elle signifie de la billetterie en moins et le remboursement des abonnés. Ni l'un ni l'autre ne font évoluer le problème de fond.

Le PSG souffrirait-il d'une injustice ?

On pense avoir fait tout ce qui était souhaitable pour que le Parc des Princes soit un lieu paisible. Le nombre de caméras de vidéosurveillance est passé de 106 à 156 et continue d'augmenter. Les mesures mises en place par le club ont été saluées par les conciliateurs du Comité national olympique du sport français (intervenus dans le cadre d'un litige opposant le PSG à la Fédération, ils ont proposé d'annuler une sanction de huis clos partiel). Pour les fumigènes, nous ne sommes qu'en quatrième position selon les statistiques de la Ligue. Si l'on me dit qu'il y a d'autres choix plus efficaces que les nôtres, on est prêt à le faire. Seulement, il y a des individus qu'on ne peut pas connaître et que la police ne connaît d'ailleurs pas. L'exemple de ce qui s'est passé à Monaco a été très traumatisant pour moi. Les interdits de stade pouvaient entrer parce qu'on n'était pas en France...

Le PSG continue-t-il de payer sa mauvaise réputation passée ?

Est-elle justifiée ? Il faut examiner notre action, en amont - avec l'association du club pour le football amateur, sa fondation pour les jeunes - et dans le stade. Nous tenons à ce que le Parc des Princes reste un lieu de mixité sociale et ethnique. Mais n'oublions pas qu'à Paris, nous sommes dans un bassin de population de 12 millions d'habitants, avec les sujets d'insécurité que l'on connaît. Avec 35 000 spectateurs en moyenne, notre stade ne peut pas être comparé à ceux qui en ont 10 000. Ceux qui sanctionnent devraient savoir que nous ne sommes pas policiers. Quand il se passe quelque chose porte d'Auteuil, on ne peut pas être tenu pour responsable.


Kiolm
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Luyindula : « Pourquoi ne pas finir à Paris ? »

Titulaire depuis le début de saison et déjà auteur de deux buts, Peguy Luyindula évoque sa prolongation de contrat, son entente avec les autres attaquants, l’Equipe de France…

Peguy, comment juges-tu le début de saison du PSG ?
« C’est compliqué de se faire une idée. Dans l’ensemble on joue bien, mais au niveau comptable ça ne suit pas. On devrait avoir quelques points de plus, mais ce n’est pas le cas. »

Tu as récemment prolongé ton contrat. Te vois-tu terminer ta carrière au PSG ?
« J’ai effectivement prolongé mon contrat et je suis lié pour 3 ans de plus au club. Je pense finir mes 3 ans ici, après l’avenir nous dira si ce sera la fin pour moi. On verra ça. En tout cas, cela me convient parfaitement de finir au PSG que ce soit dans 3 ans ou plus tard. »

Comment se passe ton entente avec Mevlut Erding et Guillaume Hoarau ?
« Avec Mev ça s’est bien passé le temps que nous avons joué ensemble. Malheureusement, il s’est blessé. Nous avons de bons automatismes, on arrive bien a se trouver, à combiner chacun dans un registre différent. On doit encore essayer d’améliorer tout ça. Guillaume a un profil différent. Il faut s’adapter à chaque fois, mais coach fait tout ce qu’il faut à l’entraînement pour que l’on puisse évoluer les un avec les autres sur le plan offensif comme défensif. »

D’après toi quelles sont les chances de l’Equipe de France de se qualifier pour le mondial ?
« Logiquement, je pense que les Bleus vont se qualifier, car cette équipe a les qualités nécessaires et puis au fond de moi je le souhaite sincèrement. »

Que penses-tu du match de l’équipe féminine du PSG organisé au Parc des Princes le 18 octobre ?
« Je pense que c’est une très bonne initiative pour elles déjà. Jouer au Parc des Princes c’est quelque chose d’extraordinaire. Ensuite c’est bien pour leur discipline d’être mise en avant de la sorte. »

PSG.FR
Kiolm
Citation
Le maillot de la discorde fait fureur

Les appels au boycott n’ont pas été entendus. Au contraire. Le nouveau maillot du PSG fait fureur. Le nombre de tuniques (« domicile » et « extérieur ») vendues depuis trois mois dans les boutiques du club à Paris (celles des Champs-Elysées et du Parc des Princes) a en effet augmenté de 10 % par rapport à la saison dernière.
Plus de 14 000 maillots auraient ainsi été achetés dans ces deux magasins. Certes, ces chiffres ne prennent en compte que les ventes réalisées directement par le PSG et non celles effectuées dans les autres points de vente en France, mais ils offrent une tendance lourde de sens.
Ainsi, le maillot « domicile », tant critiqué cet été, a enregistré une hausse de 30 %. Depuis juillet, plus de 9 200 de ces articles ont été achetés, soit 2 140 de plus que l’année dernière. Fin juillet, un mois après le lancement officiel de la nouvelle collection, le club avait même déjà écoulé 6 265 tuniques, contre 4 198 l’année précédente.

Un design plus raffiné

En fin de saison dernière, un collectif de supporteurs avait pourtant appelé au boycott et avait demandé aux fans de ne pas dépenser un seul centime pour cet équipement. A la mi-juin, ils avaient même manifesté devant la boutique des Champs- Elysées pour exprimer leur colère. A leurs yeux, le design ne respectait pas les couleurs historiques du club, la traditionnelle bande rouge ayant disparu au profit de fines rayures.
Cette évolution n’a pas refroidi la grande majorité des amoureux du PSG. Elle a même permis de séduire plus de clients, désireux de changement et avides d’un design plus raffiné. En revanche, le maillot extérieur blanc avec des petits pois rouges et bleus a moins convaincu. Les ventes de cet article accusent en effet une baisse importante (20 % environ), soit 1 360 tuniques en moins vendues par rapport à l’année dernière.
Nike et le club travaillent déjà sur le maillot de la saison prochaine. A l’occasion du 40e anniversaire du PSG, l’équipementier envisage en effet de rééditer la première tenue du club, un maillot rouge uni avec un liseré blanc au col et aux poignets. Un retour aux traditions qui devrait susciter un engouement certain auprès des supporteurs parisiens.

Sylvie De Macedo


Leparisien.fr
Baghib!
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Foot - L1

Gourcuff ne s'excuse pas pour Makelele


Dans un article paru cette semaine dans France Football sur sa personnalité et son franc-parler, l'entraîneur de Lorient Christian Gourcuff dit qu'il «ne comprend pas ce (qu'il) ira faire devant cette justice des hommes et du football», en clair le conseil national de l'éthique, après ses déclarations consécutives à Lorient - PSG (1-1).

«J'ai dit en termes respectueux ce que je pensais d'un joueur (Makelele) qui a récemment avoué (dans L'Equipe) que l'intimidation faisait partie du jeu. Et là, je crains que nous ne soyons plus dans l'éthique de notre sport. Pourtant, aucune commission ne s'est emparée de ses propos. Autrement dit, on peut commettre des attentats et ne recevoir qu'un carton jaune. Et ceux qui les dénoncent passent devant ce Conseil de l'éthique. Est-on toujours dans un Etat de droit ?» Il avait aussi et surtout critiqué l'arbitrage de M. Ennjimi qui avait seulement averti Makelele pour un pied traînant dans le bas-ventre de Diarra, décrivant l'ex-milieu de Chelsea comme un joueur «en fin de parcours».

« Il m'insulte et c'est à moi de demander pardon? »

L'entraîneur de Lorient, dans le même article, ironise sur les demandes d'excuses formulées par Antoine Kombouaré, devenu tout rouge pour défendre son joueur, estimant sur RMC que la position de son alter ego justifiat « des claques dans la gueule». «Il m'insulte et c'est à moi de demander pardon? Mais il peut m'insulter, ce n'est pas un souci. Ça le serait si on se voyait tous les jours, mais là... J'arrive simplement à un âge où je dis ce que je pense, (...) sans me soucier des préoccupations des uns ou des autres, ni des conséquences de mes propos.» Le coup de «la pleureuse» et du «cigare» laisse aussi de marbre l'amoureux du beau jeu. Kombouaré «a tout faux», dit Gourcuff. «Comme en beaucoup d'autres choses».
lequipe.fr
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Mevlut Erding : « Honoré de jouer au PSG »

Parmi les sujets évoqués, le Parc des Princes, la sélection turque, son premier but sous les couleurs parisiennes, ses objectifs… Vos questions, ses réponses !

Salta21 :Tu as déclaré que le PSG était « le club de ton cœur ». Penses-tu y rester longtemps ou considères-tu ta signature comme une étape de ta carrière ?


« Je pense y rester longtemps pour progresser. Aujourd’hui, je n’ai vraiment pas envie de partir. Je découvre ce club chaque jour et ne désire vraiment pas aller voir ailleurs. »

PSGCED : La communauté turque est importante dans Paris et sa banlieue. Que représente le fait d’être le premier joueur turc de l’histoire du club ?

« C’est une fierté pour moi d’être l’un des premiers Turcs à jouer dans le championnat de France, et surtout dans le plus grand club français. Je suis très honoré de jouer au PSG. »

!Pauleta n°9! : Tu as eu la chance de marquer lors de ta première apparition au Parc des Princes. Qu’as-tu ressenti à ce moment-là ?

« Le Parc, c’est spécial. Quand je venais y jouer avec Sochaux, c’est le stade qui me faisait le plus kiffer (sic). Il y a de beaux stades en France mais le Parc, c’est la plus belle ambiance. Je rêvais d’évoluer dans un tel stade, avec un tel public. Aujourd’hui, je suis blessé mais j’ai hâte de revenir et de fouler à nouveau cette pelouse. »


Dimlover : Quel championnat européen t’attire le plus ?


« Le championnat anglais, mais j’ai vingt-deux ans et ne veux pas brûler les étapes. Aujourd’hui je suis au PSG et j’ai vraiment envi d’y rester. Je ne pense même pas aux championnats étrangers. J’évolue dans un des plus grands clubs européens et même si on ne joue pas de coupe d’Europe, on va tout faire pour se qualifier en fin de saison. Et le championnat de France est d’un très bon niveau aussi. »

psg026 : Quels sont tes objectifs avec le PSG et la sélection turque ?

« Avec Paris, terminer dans les cinq premiers parce que le PSG est un des plus grands clubs français. Mon objectif personnel est de battre mon record de onze buts en Ligue 1 établi avec Sochaux. Sinon, je suis régulièrement appelé en sélection mais n’y suis pas encore considéré comme un cadre, davantage comme un jeune. En Turquie, c’est un peu la même ambiance qu’au PSG. C’est chaud et il y a beaucoup de supporters. Ils aiment leur pays comme à Paris les gens aiment beaucoup leur club. La Turquie est un pays de football et le PSG un grand club de football. »


Cyrilpsg : Qu’est-ce qui t’as le plus marqué quand tu es arrivé au PSG ?

« L’amour qu’éprouvent les gens pour ce club. Ça m’a vraiment touché. J’ai toujours rêvé de jouer dans un grand club, surtout au PSG. Ça me fait bizarre d’être là aujourd’hui quand je vois tous les joueurs qui y sont passés. J’étais fan de George Weah ou Pauleta parce que c’étaient des buteurs. Quand je pense que je suis attaquant dans ce club, c’est quelque chose de grand. »

Man5on : Le PSG peut-il se qualifier dès cette année pour la Champions League ?


« Pour moi, on peut largement se qualifier en Champions League quand je vois le match qu’on a réalisé face à Lyon. Notre objectif est de terminer dans les cinq premiers, mais on peut terminer dans le trio de tête. »

Punakuta : As-tu eu d’autres offres de transfert cet été ?


« J’ai eu deux offres de Lyon et Rennes. Des offres de Turquie aussi. Après, comme j’ai annoncé dès le début que je voulais aller au PSG, je pense que d’autres clubs n’ont peut-être pas fait d’offres. »


PSG.fr
keyzer söze
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Foot-L1-PSG

«1er au classement» des fumigènes

Le président de la commission de discipline de la Ligue (LFP), Pascal Garibian, a contredit, jeudi, le président du Paris-SG, Robin Leproux. Il a déclaré que le club de la capitale était bien «premier au classement des engins pyrotechniques» et non «quatrième» comme l'indiquait le dirigeant parisien.

«Les chiffres sont têtus et le PSG est bien premier au classement des engins pyrotechniques, a dit M. Garibian à l'issue de la réunion hebdomadaire de la commission. Cette saison, Paris représente 40% de la totalité de ces engins. La saison dernière, le PSG arrivait déjà en tête avec 810 engins pyrotechniques. Le deuxième, Marseille, était à 387».
Le nombre de spectateurs ne change rien

Robin Leproux avait déclaré dans Le Monde la veille : «Pour les fumigènes, nous ne sommes qu'en quatrième position selon les statistiques de la Ligue». Dans un courrier en date de lundi adressé notamment au ministre de l'Intérieur et aux présidents de la FFF et de la LFP, il écrivait qu'il s'agissait du «quatrième rang par millier de spectateurs».

«Même par rapport au nombre de spectateurs, les chiffres entérinent ce classement», a répondu en écho Pascal Garibian. Il précise néanmois que «la démonstration a été faite, lors des deux derniers matches au Parc des Princes, de ce qu'il est possible de faire, avec pratiquement pas d'engins pyrotechniques». Avant le match PSG-Lyon du 20 septembre, «le préfet avait ordonné la fermeture des locaux de supporters, je ne sais pas si ça a un rapport de cause à effet...». (Avec AFP)


lequipe.fr
Kiolm
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PSG EXPRESS

Hier. Opposition sept contre sept. Traoré et Hoarau ont trottiné.
Aujourd’hui. Entraînement à 10 heures au camp des Loges.
Absents. Sakho, Sankharé (équipe de France espoirs), Sessegnon (Bénin).
Infirmerie. Hoarau (élongation aux ischio-jambiers), Traoré (contracture aux ischio-jambiers), Camara (phlébite mollet droit), Erding (traumatisme à l’épaule gauche).
Rendez-vous. Toulouse - PSG, 9e journée de L 1, dimanche 18 octobre, à 21 heures (Canal +).
Grégory Bourillon, victime d’une lombalgie depuis trois semaines, s’entraîne désormais avec ses coéquipiers. Sa douleur a presque disparu.
Mevlut Erding a passé des examens de contrôle hier, un mois après son opération à l’épaule gauche. Les résultats sont rassurants et autorisent le joueur à poursuivre son programme de reprise.
Pascal Garibian, le président de la commission de discipline de la Ligue (LFP), a déclaré hier que le Paris SG était « premier au classement des engins pyrotechniques », contredisant Robin Leproux, le président du club, qui assurait la veille que son club n’était que « quatrième ». « Les chiffres sont têtus et le PSG est bien premier, a dit M. Garibian à l’issue de la réunion hebdomadaire de la commission. Cette saison, Paris représente 40 % de la totalité de ces engins. »


Le Parisien
Dubdadda
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Sankharé: "Plus de joker"

Peu utilisé au Paris Saint-Germain où la concurrence est rude au milieu de terrain, Younousse Sankharé profite des Espoirs pour obtenir du temps de jeu. Le Francilien, 20 ans, est régulièrement aligné par Erick Mombaerts et sera une nouvelle fois l'une des armes de l'équipe de France qui se déplace à Malte ce vendredi soir pour le compte des éliminatoires à l'Euro 2011.

Younousse, qu'attendez-vous de la rencontre face à Malte ?
Les trois points. On n'a pas le choix : il faut gagner. On doit éviter les mêmes erreurs que contre l'Ukraine. On menait 2-0 et on les a laissé revenir. On doit donc apprendre de ces erreurs et battre Malte assez largement. D'autant que nous avons utilisé notre joker contre l'Ukraine.

Que connaissez-vous de ces Maltais ?
Honnêtement, pas grand-chose. On les a vu en vidéo contre la Slovénie. On sait qu'ils sont difficiles à jouer : ils sont bien regroupés derrière, ils jouent le contre. A nous d'accélérer le jeu pour gagner.

Et après, c'est la Belgique à Mouscron. Ce sera une autre paire de manches.
C'est sûr. Mais on aborde ces deux rencontres avec confiance et sérénité. On a l'effectif pour. Les Belges sont d'un autre niveau que les Maltais, ils sont proches des Ukrainiens qui nous avaient posé problème. Mais on est là pour répondre présent. Il n'y a pas de soucis.

Quelle est votre ambition avec cette équipe des Espoirs ?
La première place, évidemment. On va gagner et se qualifier pour l'Euro. Ensuite, on peut aller aux Jeux Olympiques. C'est un rêve mais pour ça, il faudra faire un bon Euro Espoirs.

"Makelele m'aide beaucoup"

Cette escapade vous permet de sortir du cadre du PSG où vous êtes dans une mauvaise phase...
C'est vrai que les résultats ne sont pas là mais ce n'est pas faute d'avoir essayé. Nous faisons pourtant des matches pleins. Contre Lyon, par exemple, nous jouons plutôt bien, nous avons des occasions, tout est réuni... sauf la victoire. Face à Lorient, on a du mal en première période, ça va mieux en deuxième période... Mais pareil. Contre Nancy, c'était difficile. Ils sont venus pour défendre: ils ont un contre, un but. Et c'est réglé. On n'a pas de chance.

Comment ça se passe avec Antoine Kombouaré ?
Je travaille, je travaille et je travaille. Le but, c'est de progresser et d'engranger du temps de jeu. Kombouaré est un entraîneur rigoureux, appliqué et qui aime son métier.

Quelles sont les principales différences en Antoine Kombouaré et Paul Le Guen ?
Ils ont chacun leur qualités. Paul Le Guen est plus en retenue, c'est plus un manager à l'anglaise qui gère de haut et n'a pas besoin de parler pour se faire comprendre des joueurs. Antoine, lui, est plus franc. Lors des séances vidéo, on sait exactement ce qui a été et ce qui n'a pas été. Il n'hésite pas à y aller fort, il a du caractère. C'est vrai qu'avec Le Guen, je n'ai pas eu beaucoup de temps de jeu. J'ai plus de chances avec Kombouaré mais les deux sont de bons coaches.

On imagine que s'entraîner aux côtés de Claude Makelele, ce doit être quelque chose...
Carrément. Je suis tout petit à côté de Claude. Franchement, des fois, je ne réalise pas: je le regardais à la télé quand j'étais jeune et là, il est à côté de moi à l'entraînement. Il m'aide beaucoup: grâce à lui, je progresse. Grâce à son expérience, il me conseille sur tout plein de petits détails: les passes à ne pas faire, le placement... Claude Makelele, c'est vraiment un grand joueur.

C'est votre idole ? Vous aimeriez avoir la même carrière que lui ?
(rires) Non, mon idole, c'est Patrick Vieira. Je voulais qu'il vienne à Paris, ça aurait peut-être freiné mon temps de jeu mais j'aurais beaucoup appris avec lui. Mais, pour le moment, je veux m'imposer à Paris. Après, on verra ce qu'il se passe. Je n'ai que 20 ans, j'ai le temps de penser à la suite de ma carrière. Je suis supporter du PSG depuis que je suis tout petit: je veux engranger un maximum de temps de jeu ici. La suite, ça attendra...


Sports.fr
Kiolm
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Hoarau et Erding sur le retour

Les attaquants du PSG, Guillaume Hoarau (ischio-jambiers) et Mevlut Erding (épaule), ont donné vendredi des nouvelles rassurantes sur leur état de forme et espèrent être prêts respectivement contre Toulouse (18 octobre) et Marseille (25 octobre).

Ballack Odrama
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Les vérités de Rothen

Jérôme Rothen n'est pas du genre à pratiquer la langue de bois. Il le prouve une nouvelle fois dans l'entretien qu'il nous a accordé sur les conditions de son départ du PSG et la sortie de son livre, qu'il dit regretter.

Le Paris-SG...

«Je ne peux pas complètement tourner la page. Parce que je ne suis que prêté, d'abord. Parce que c'est un club qui compte énormément pour moi, ensuite. Même si ça a été compliqué, tu ne peux pas effacer cinq années comme ça. Pour l'instant, l'histoire est entre parenthèses. On verra si elle reprendra, mais ce n'est ni mon objectif, ni celui du club. Personnellement, je n'ai aucun regret. Je suis venu ici après une finale de C1 avec Monaco parce que c'était mon club de coeur alors que Chelsea, Barcelone et la Juve me voulaient. J'y ai remporté des titres et j'ai même été élu dans l'équipe des 35 ans du club. J'ai laissé une trace».

...un départ inéluctable

«L'an dernier, j'ai attendu la fin de la saison pour dire les choses que j'avais sur le coeur*. J'ai senti trop peu de soutien. J'ai été irrégulier, mais je méritais autre chose, qu'on me tende la main, par rapport aux années passées. Ça n'a pas été le cas. A l'intersaison, un nouvel entraîneur (A. Kombouaré) est arrivé, avec un nouveau discours, mais je ne rentrais pas dans ses plans parce que je ne rentrais plus dans ceux de la direction. Il fallait qu'on se sépare. Pour que je souffle. Pour que je m'épanouisse à nouveau».

Son livre

«C'est une connerie de l'avoir sorti à ce moment-là. Si c'était à refaire, je ne le referais pas. Mon image était déficiente, je le sentais, et je pensais qu'en sortant ce livre, les gens verraient vraiment qui je suis. Je me suis trompé. J'ai essuyé des critiques qui m'ont énormément touché... Le pire, c'est qu'on m'a descendu sur des choses qui n'en valaient pas le coup. Contrairement aux apparences, je suis sensible, tout ce qui a été dit m'a mis au fond du trou. Je pensais avoir des amis à Paris pour me soutenir, peut-être que j'ai vu ce club trop beau. Durant cette période, je me suis vraiment senti seul. Une bonne claque».

Paris, pas européen

«Le tournant, c'est lorsqu'on apprend dans la presse que Paul Le Guen n'est pas maintenu. Il y a les joueurs qui étaient contents, ceux qui ne l'étaient pas -comme moi- et ceux qui étaient indécis. Après, même avec le coach, on a senti que ce n'était plus pareil. Il aurait eu beau classer Paris à la première place, il n'aurait pas été maintenu... Ça lui a mis une claque, on l'a ressenti et ça a cassé toute la dynamique du groupe. C'est une grosse erreur de la part des dirigeants, sans doute leur plus grosse. Sans ça, on aurait terminé dans les trois sans problème...»

Propos recueillis par Emery TAISNE


L'Equipe.fr
Baghib!
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Foot - L1 - PSG

Camara : «Des hauts et des bas»


Sa phlébite n'est bientôt plus qu'un mauvais souvenir. Privé de compétition depuis la mi-juillet, Zoumana Camara devrait reprendre en début de semaine prochaine l'entraînement avec ses coéquipiers. Un moment qu'il attend depuis trois mois, car la période qu'il vient de traverser a été difficile. «Je n'avais pas le moral, a-t-il confié samedi au Parisien. Mais j'ai pris mon mal en patience. J'ai eu des hauts et des bas. Le risque était que je me décourage, que je trouve le temps long. Mais le staff m'a préparé tout un programme.»

« Ni face à Toulouse, ni contre Marseille »

Même s'il est sur la bonne voie, le défenseur ne devrait toutefois pas retrouver les terrains de Ligue 1 dans les prochaines semaines, contrairement à ses partenaires Mevlut Erding (épaule) et Guillaume Hoarau (ischio-jambiers), dont les retours sont imminents. Pas question de prendre le moindre risque. C'est pourquoi Camara ne sera pas présent «ni face à Toulouse, ni contre Marseille». «Soyons réalistes, a-t-il lancé, j'ai été absent trois mois. Il me faut du temps pour retrouver le rythme.» Son entraîneur Antoine Kombouaré, qui l'a «beaucoup soutenu» durant cette période, devrait l'envoyer jouer «quelques matches avec la réserve» auparavant.

Peu importe si la formation parisienne n'est pas au mieux en ce moment (quatre matches sans victoire), le staff veut prendre son temps. «La situation n'est pas préoccupante, a d'ailleurs estimé Camara. Ils (ses partenaires) sont capables d'aller chercher les points à l'extérieur. Je suis serein, le travail va finir par payer.»
lequipe.fr
Kiolm
L'interview complète de Camara:
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Zoumana Camara : « J’ai eu des hauts et des bas »


Son retour à la compétition n’est pas encore d’actualité, mais il entrevoit enfin le bout du tunnel. La semaine prochaine, Camara pourra s’entraîner normalement avec ses coéquipiers. Victime d’une phlébite au mollet droit à la mi-juillet, il a été contraint de rester à l’écart du groupe pendant trois mois.

Récit.

Comment avez-vous vécu ces trois derniers mois ?
Zoumana Camara. Sur le coup, ce fut difficile. Je suis passé à l’hôpital pour une simple douleur au mollet, et j’en sors avec une phlébite. Les médecins voulaient même que je passe la nuit là-bas ! Pendant deux ou trois jours, je n’avais pas le moral. Mais depuis, j’ai pris mon mal en patience.

Vous avez réussi à tenir le coup mentalement ?
J’ai eu des hauts et des bas. Le risque était que je me décourage, que je trouve le temps long. Mais le staff m’a préparé tout un programme avec du vélo, des courses, des exercices physiques et dernièrement un peu de ballon. Je devais surtout éviter tout contact avec mes coéquipiers. Avec le traitement que je prends, j’ai un sang beaucoup plus fluide que la normale. Par exemple, si je prenais un coup sur le nez, je pouvais saigner pendant plus d’une heure. Malgré tout, trois mois, c’est long. Je suis heureux de reprendre enfin l’entraînement.

Quand pensez-vous retrouver la compétition ?
Ni face à Toulouse ni contre Marseille. Soyons réalistes ! J’ai été absent trois mois. Il me faut du temps pour retrouver du rythme. Je pense que le coach m’enverra jouer quelques matchs avec la réserve avant d’envisager un retour en L 1.

Quelles sont vos relations avec Antoine Kombouaré ?
Il m’a beaucoup soutenu pendant cette période. Il m’appelait souvent, il avait toujours un petit mot gentil. On sent qu’il nous aime, qu’il est proche de nous.

Etes-vous inquiet après ce mauvais mois de septembre ?
Le bilan comptable est faible mais ça joue bien au ballon ! On a manqué de réussite et de réalisme en septembre. Mais la situation n’est pas préoccupante. Ils sont capables d’aller chercher les points à l’extérieur. Je suis serein, le travail finira par payer.

La défense a également été pointée du doigt. La jugez-vous fragile ?
Toute l’équipe est concernée, pas seulement les quatre défenseurs. Peut-être qu’il y a encore quelques automatismes à trouver. Mais ce n’est pas trop mal !

Il s’est dit, la saison passée, que vous aviez milité pour le départ de Paul Le Guen. Est-ce exact ?
Je n’ai pas compris pourquoi on m’avait catalogué parmi les « anti-Le Guen ». Je lui dois énormément. Il m’a fait venir au PSG, il m’a régulièrement fait confiance. A aucun moment je n’ai douté de ses qualités de technicien.

Le Parisien
Homer
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Claquage pour Grondin

Le troisième gardien parisien Willy Grondin s'est claqué avec la réserve, en match de Championnat contre Colomiers (0-0), selon Le Parisien. Titulaire au coup d'envoi, l'ancien portier valenciennois a quitté ses jeunes partenaires peu après la reprise. Son club n'a pas encore confirmé sa blessure ni indiqué la durée de son indisponibilité.




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Hari
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L’attaque parisienne dans le flou


L’objectif est clair. Les Parisiens veulent à tout prix en finir avec cette série de quatre matchs sans victoire (trois nuls, une défaite) en arrachant un succès dimanche soir à Toulouse. « On gagne peu et il faut transformer ces nuls en victoires, demande Antoine Kombouaré. J’espère qu’avec l’engagement et l’envie qu’on va mettre nous serons capables de gagner.» Mais comment ? Le technicien parisien ne sait toujours pas quel joueur il pourra aligner au Stadium au côté de Luyindula.

Hoarau, toujours incertain. Titulaire lors de quatre derniers matchs de L 1 et auteur d’un but (à Lorient, 1-1), le Réunionnais s’est blessé à la cuisse contre Nancy (1-1) il y a huit jours. La semaine dernière, il s’est contenté de quelques footings et de soins. Il devrait reprendre l’entraînement collectif demain à condition d’obtenir le feu vert médical. En fin de semaine dernière, le joueur se voulait optimiste.
Mais le staff médical et l’entraîneur préfèrent attendre le milieu de semaine pour se prononcer sur sa présence dimanche soir.

Erding, trop juste. En cas de forfait d’Hoarau, Mevlut Erding, auteur de deux buts en août, pourrait-il le remplacer ? C’est peu probable. Certes, le joueur, opéré à l’épaule gauche début septembre, a commencé à s’entraîner la semaine dernière. Mais il n’a encore participé à aucune séance collective. Il a simplement enchaîné les courses et effectué des exercices physiques. « Je suis dans les temps, c’est possible, a indiqué l’ex-Sochalien. Mais c’est vrai que ça risque de faire un peu juste. J’espère au moins être dans le groupe. Mon vrai objectif, c’est Marseille ( NDLR : le 25 octobre) . »

Maurice, trop tendre. L’entraîneur parisien pourra toujours lancer dans le grand bain Jean-Eudes Maurice, titulaire en Coupe de la Ligue à Boulogne (1-0) et auteur du but victorieux. Kombouaré a d’ailleurs préféré garder l’attaquant sous la main ce week-end et ne pas l’envoyer disputer le match de CFA à Colomiers. Mais Maurice est encore trop tendre. Il n’a encore jamais joué une seule minute en L 1.

Giuly, un joker de luxe. La solution la moins risquée serait donc de titulariser Christophe Jallet au poste de milieu droit et de placer Ludovic Giuly au côté de Peguy Luyindula. Certes, cette année, les deux n’ont encore jamais évolué ensemble sur le front de l’attaque. La saison dernière en revanche, Paul Le Guen avait constitué ce duo à trois reprises en L 1 (à Nantes et à Rennes et contre Saint-Etienne). Au cours de ces 216 minutes de jeu en commun, ils ont marqué trois buts et offert deux passes décisives. Cette paire s’était notamment illustrée à la Beaujoire en écrasant les Nantais 4 à 1. Luyindula avait inscrit un but, Giuly un doublé. De quoi rassurer une équipe qui cherche désespérément à retrouver le chemin des filets.

Sylvie de Macedo


Citation
Kombouaré et Gourcuff : acte II


Antoine KOMBOUARE et Christian Gourcuff vont enfin s’expliquer ! Les deux hommes sont convoqués aujourd’hui à 14 h 30 devant le Conseil national de l’éthique pour leur joute verbale à distance. Ils risquent jusqu’à deux matchs de suspension. A l’issue de Lorient - PSG (1-1), le 26 septembre, l’entraîneur des Merlus avait dit de Makelele qu’il était protégé par les arbitres et qu’il était « à bout de souffle ».

Deux jours plus tard, le Kanak avait déclaré sur les ondes de RMC à propos de Gourcuff que « ce genre de mec méritait des claques dans sa gueule ». A priori, le technicien breton, qui a mis en doute l’intégrité des arbitres, risque une sanction plus lourde que Kombouaré. Mais les antécédents du coach du PSG à Valenciennes et son écart de langage pourraient peser lourd. Depuis 2006, il a en effet été convoqué au moins six fois devant les instances disciplinaires et a été suspendu à onze reprises, le plus souvent pour des propos « injurieux » envers les arbitres.

S.D.M.


Leparisien.fr
11G
Citation
Hoarau derrière Kombouaré


Après leurs échanges verbaux suite au match Lorient-Paris-SG du 26 septembre dernier, Antoine Kombouaré et Christian Gourcuff sont convoqués cet après-midi (14h30) devant le Conseil national de l'éthique. L'entraîneur parisien et son homologue lorientais risquent deux matches de suspension. Pour rappel, Gourcuff avait critiqué Claude Makelele et lâché notamment que le capitaine parisien était « dépassé et en bout de course » tout en étant ménagé par les arbitres (voir liens ci-dessous). Des propos qui n'avaient pas plu du tout à Kombouaré pour qui Gourcuff méritait « des claques dans la gueule ».

Hoarau : «Quand on touche à un membre de sa famille...»
Interrogé par France Bleu-Ile-de-France, Guillaume Hoarau a défendu son entraîneur. « Si le coach en est arrivé là, c'est un peu parce qu'on l'a poussé à bout et c'est peut-être un peu de notre faute, a déclaré l'attaquant parisien. Si on avait marché sur les pieds des Lorientais ce soir-là (sic), il n'y aurait pas eu de dérapage. Après, certains se sont emportés. Le coach nous a toujours répété que le groupe formait une famille et, quand on touche à un membre de sa famille, généralement, on répond. La façon dont le coach a dit les choses a pu choquer mais il est comme ça. Ça peut plaire comme ne pas plaire. On verra bien. »


11G
Citation
Kombouaré et Gourcuff se sont expliqués

Antoine Kombouaré et Christian Gourcuff ont été entendus lundi par le Conseil national de l'éthique de la Fédération française de football. L'entraîneur du PSG et son homologue lorientais avaient eu maille à partir il y a quinze jours au sujet du Parisien Claude Makelele. "Ça s'est bien passé, tout est parfait", a réagi le premier à l'issue d'une audience d'une heure tenue au siège de la FFF, à Paris. La cellule présidée par Dominique Rocheteau devrait livrer son verdict dans la soirée.


Ouest France
Hari
Citation
Du travail d’intérêt général pour Gourcuff et Kombouaré

Antoine KOMBOUARÉ et Christian Gourcuff se sont montrés moins bavards, hier, que lors de leurs déclarations dans les médias après le match Lorient - PSG du 26 septembre. Plus de « claques dans la gueule », de « faiblesse de l’arbitrage » ou de « Makelele en bout de course », les entraîneurs du PSG et de Lorient n’ont pas pipé mot avant et après leur audition devant le Conseil national de l’éthique de la FFF.
Au terme de cette réunion, les deux techniciens ont écopé d’un match de suspension assorti d’un sursis. Précision importante : ce sursis est conditionné à la participation des deux hommes à une action pédagogique sur le rôle de l’éducateur dans la promotion et la défense des valeurs du football. Une sanction qui ressemble fort à un travail d’intérêt général. En cas de refus, le sursis sera levé et un match de suspension ferme sera prononcé.

« Le Conseil de l’éthique estime que ce sont des polémiques stériles qui n’ont pas lieu d’être et qu’il faut montrer une autre image des éducateurs », rapporte un témoin de cet entretien. Antoine Kombouaré a d’ores et déjà décidé de se plier à cette amende. Mais le PSG regrette que les deux entraîneurs aient écopé de la même sanction. Le club parisien estime en effet que les critiques formulées par l’entraîneur lorientais appelaient plus de sévérité.Lors de leur audition commune, les deux hommes ont plus ou moins campé sur leurs positions. Antoine Kombouaré a concédé que ses mots avaient dépassé sa pensée mais il a répété qu’il n’avait pas apprécié que son homologue s’en prenne ad hominem à Claude Makelele. De son côté, Christian Gourcuff s’est déclaré surpris par l’ampleur de la polémique. Il a reconnu qu’il n’aurait sûrement pas dû s’épancher, sans vraiment renier son jugement sur le milieu parisien.

Frédéric Gouaillard (avec F.Z.)

leparisien.fr

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Stéphane Sessegnon : «Je prends plus de coups que je n’en donne»


Stéphane, pour être un peu moins nerveux sur le terrain, ne devrais-tu pas prendre un petit calmant…


« (Sourire) Je n’ai pas besoin de médicaments ! Je suis quelqu’un qui a toujours mis beaucoup d’engagement dans son jeu. Le seul truc, c’est qu’il faut que je sois plus intelligent dans la gestion de mes efforts et dans mon attitude durant les matches. »

Guillaume (Hoarau) a récemment dit qu’il faudrait peut-être t’installer un punching-ball dans le vestiaire…

« J’ai horreur de la défaite et de l’injustice. Sur un terrain comme dans la vie en général, d’ailleurs. Pour me sentir bien, j’ai besoin d’atteindre mes objectifs. Résultat : j’ai du mal à gérer la frustration. Guillaume a peut-être raison, il faut que je trouve un moyen de me défouler sur quelque chose quand ça ne va pas car, au final, je me pénalise moi-même ainsi que toute l’équipe. »

Est-ce qu’il n’y a que le football pour te mettre dans un tel état d’excitation ?

« Je suis comme ça dans tout ce que j’entreprends. Quand je fais quelque chose, je ne veux pas avoir de regrets et je me donne à 100%. Après, il peut m’arriver de ne pas être bon et je l’accepte. Mais je veux toujours donner le meilleur de moi-même car j’ai été éduqué de cette manière. Forcément, l’endroit où l’on se rend le plus compte de ma façon d’être est le terrain de foot. Pour autant, il ne faut pas me cataloguer comme un joueur méchant. J’ai du caractère, oui, mais je prends plus de coups que je n’en donne. »


As-tu le sentiment, depuis le début de la saison, que tes adversaires cherchent davantage à te provoquer ?

« J’ai une réputation de joueur nerveux et ils essaient de jouer sur mes points faibles, c’est clair. Beaucoup tentent de me faire péter un câble et je le ressens. Cela se manifeste parfois par des insultes, parfois par des accrochages répétés ou des crampons qui traînent, sans que l’arbitre ne s’en rende compte… C’est un peu injuste mais je dois faire avec en canalisant mon énergie pour mieux prendre le dessus. »

Tu es encore menacé d’un match de suspension avec sursis en cas de carton jaune lors des 10 prochaines rencontres. Gare à ne pas encore louper le choc face à l’OM !

« Je ne veux pas penser à ça. On peut prendre un carton pour presque rien, donc, je ne vais pas commencer à me torturer l’esprit sur le terrain. Si je peux l’éviter, tant mieux, mais je dois d’abord me concentrer sur mes performances et celles de l’équipe. Si je me mets à trier les matches, je ne vais pas m’en sortir et cela va nuire à mon rendement. Quoi qu’il en soit, tous les matches de L1 sont importants. Que ce soit face à Marseille ou contre n’importe quelle équipe, une victoire vaut trois points ! »


Extrait du magazine 100%PSG du mois d’octobre


PSG.fr
mest
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Voici le communiqué de presse du Paris Saint-Germain suite à la décision du Conseil Nationel de l'Ethique.

Antoine Kombouare, entraîneur du Paris Saint-Germain accepte la sanction infligée ce jour par le Conseil National de l'Ethique. Antoine Kombouare tient à préciser qu'il ne s'agit pas à ses yeux d'une sanction mais d'un plaisir que d'aller promouvoir les valeurs du football tel que le respect auprès de jeunes amateurs de ce sport.

Le club regrette cependant qu'Antoine Kombouare ait reçu la même sanction que son homologue lorientais alors qu'il n'avait porté aucun jugement sur l'arbitrage et n'était intervenu que pour défendre son capitaine durement mis en cause par l'entraîneur de Lorient.


Source : psg.fr
Baghib!
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Foot - L1 - PSG

Z. Camara a repris


Absent des terrains depuis mi-juillet en raison d'une phlébite, Zoumana Camara a repris, ce mardi, l'entraînement collectif parisien. Antoine Kombouaré a également enregistré le retour d'un autre défenseur central en la personne de Sammy Traoré, remis de sa contracture aux ischio-jambiers, contractée face à Nancy (1-1) lors de la 8e journée. En revanche, Guillaume Hoarau (élongation aux ischio-jambiers) et Mevlut Erding (épaule) ont poursuivi leur travail de reprise avec le préparateur physique du PSG, Raphaël Fèvre.
lequipe.fr
Dready14
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Foot - L1 - PSG

Erding se dit prêt


L'attente du retour sur les terrains de Mevlut Erding pourrait bientôt prendre fin. En effet, l'attaquant turc du Paris-SG semble confiant pour Toulouse, dimanche (21h00). C'est ce qu'il nous a confié ce mardi à l'issue de la séance en précisant qu'il se sentait prêt à être «dans le groupe» contre le TFC. Si cela se confirme, Antoine Kombouaré pourra donc disposer de son joueur absent de toutes compétitions depuis le 30 août contre Lille suite à une blessure à l'épaule. «Je vais reprendre l'entraînement jeudi avec le groupe normalement mais je me sens mieux que la semaine dernière», a-t-il déclaré.
lequipe.fr
Hari
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A. Kombouaré : « Monter en puissance »

Au moment d'aborder trois déplacements consécutifs importants, Antoine Kombouaré évoque l'évolution de l'état des joueurs blessés ainsi que la rencontre face à Toulouse, dimanche à 21h00.


Coach, comment se déroule cette deuxième semaine d’entraînement ?


« Ca se passe bien. On a repris tranquillement avec un tennis-ballon parce que la semaine va être longue. Nous avons six séances avant le match à Toulouse et nous allons monter tranquillement en puissance. On sort d’une semaine de récupération durant laquelle on a pu recharger les batteries. Cette semaine, nous allons axer notre travail sur la puissance, la vitesse et la tactique afin de préparer le match de dimanche. »

Comment évolue l'état des joueurs blessés ?

« Il y a des retours. On a récupéré ce matin Sammy Traoré et Papus Camara, qui peut enfin réintégrer le groupe et participer aux oppositions. Erding et Hoarau travaillent avec Raphaël Fèvre, le préparateur physique. Ils progressent bien et ça n’est plus qu’une question de jour. On va faire le point cet après-midi pour savoir s'ils peuvent réintégrer le groupe. En tout cas, c’est de bon augure. Je ne sais pas s'ils seront prêts pour Toulouse, mais on les récupèrera pour Marseille si tout se passe bien. »

Que pensez-vous de cette équipe de Toulouse ?

« Les Toulousains ont réalisé une super dernière saison même si ils ont un peu plus de mal en ce début de championnat. Ils jouent aussi l’Europa Cup, c’est donc un peu compliqué pour eux. Il y a de très bons éléments, de très bons jeunes. Ils comptent deux joueurs en Equipe de France, Gignac et Sissoko, et des Espoirs, comme Capoue. Des joueurs dotés de qualités athlétique et technique importantes. Ils jouent beaucoup sur la récupération du ballon. Toulouse est défensivement très costaud et prend peu de buts. Devant, ils ont des joueurs capables de faire la différence comme Braaten, Sissoko, Gignac, Didot… Il va falloir un grand PSG dimanche pour aller chercher un résultat là-bas. Les Toulousains vont faire un bon championnat. »


Avez-vous suivi l’Equipe de France et les éliminatoires de la Coupe du Monde 2010 ?

« Il n’y a pas eu de surprise. Vu le parcours de la Serbie, je m’attendais à ce que l’on participe aux barrages. Mon équipe va donc enchaîner trois déplacements consécutifs. Il va falloir être prêt et aller chercher quelque chose à Toulouse et ensuite lors de deux déplacements compliqués à Marseille et Sochaux. Mais on a de l’ambition et l’envie d’aller y obtenir des résultats. »

Le Conseil National de l’Ethique vous a imposé de « participer à une action pédagogique sur le rôle de l'éducateur dans la promotion et la défense des valeurs du football, notamment le respect entre ses acteurs ». Que pensez-vous de cette sanction ?

« Ca n’est pas une sanction. Au contraire, c’est un réel plaisir d’aller véhiculer auprès des jeunes les valeurs que l’on prône telles que le respect. C’est un projet qui me tient à cœur. C’est pour ça que je ne prends pas cette décision comme une sanction. »


PSG.fr
Hari
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Paris se prépare sans Hoarau ni Erding

Guillaume Hoarau et Mevlüt Erding ne se sont pas entraînés hier. Leur participation au match de dimanche à Toulouse est incertaine. Dans le meilleur des cas, ils seront sur le banc. Opéré de l’épaule début septembre, Erding reprendra l’entraînement collectif demain.
Antoine Kombouaré ne prendra pas le risque de le relancer d’entrée après plus d’un mois et demi d’absence.
L’ex-Sochalien le sait et ne vise pas de place de titulaire avant le 25 octobre… face à l’OM. « Je ne sais pas si je serai dans le groupe pour Toulouse mais je postule » a-t-il déclaré.
Pour Hoarau, qui souffre d’une élongation aux ischio-jambiers, le principe de précaution perdure. Hier, il a travaillé dur avec le préparateur physique. Fragilisé par ses pépins aux adducteurs durant l’intersaison, l’attaquant veut jouer.
Mais, même si le rendez-vous de dimanche reste important, le staff prône la sagesse. « On prendra une décision vendredi, indique le docteur Rolland. Mevlüt et Guillaume ne sont pas forfait, mais il est trop tôt pour dire s’ils seront dans le groupe. Leur état évolue favorablement. »

Un duo Giuly-Luyindula

Sur le site Internet du club, Antoine Kombouaré se montre prudent : « Je ne sais pas s’ils seront prêts pour Toulouse, mais on les récupérera pour Marseille si tout se passe bien. » L’entraîneur se dit par ailleurs ravi d’avoir réintégré deux de ses défenseurs centraux hier matin. Sammy Traoré et Zoumana Camara se sont entraînés avec les autres. Le premier est apte à jouer dès dimanche, le second devra encore patienter deux ou trois semaines.
En ce qui concerne l’attaque, Kombouaré planche sur la meilleure solution pour pallier les absences prévisibles d’Erding et de Hoarau. L’option la plus probable serait d’associer Giuly et Luyindula en attaque et de titulariser Jallet sur le côté droit. Cette organisation n’a pas encore été travaillée à l’entraînement et le flou persiste pour les intéressés. « Je n’ai aucune indication, assure Ludovic Giuly. Si on me demande de jouer devant, pas de problème, j’ai déjà des repères. En plus, avec Peguy, c’est facile de jouer. Je ferai ce qu’on me dira. »

Ch.B., L.P.


Leparisien.fr
Hari
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L’Euro 2016 se fera avec le Parc des Princes

En septembre dernier, la Ville de Paris, au travers du Parc des Princes, s’est officiellement portée candidate pour l’organisation de l’Euro 2016. Un mois plus tard, et selon nos informations, l’enceinte parisienne est sûre de figurer parmi les neuf stades retenus par la Fédération française, porteuse du projet d’organisation de l’Euro.

Un temps menacé, le Parc est désormais un atout majeur aux yeux des promoteurs de la candidature. C’est même toute la ville de Paris, ses lieux et ses monuments historiques qui devraient être mis à contribution si la France est désignée par l’UEFA en mai prochain. Cette excellente nouvelle pour la mairie, le Paris Saint-Germain et son actionnaire, Colony Capital, était évidemment au menu, hier, du déjeuner annuel du PSG à la mairie de Paris. Le mois prochain, le maire Bertrand Delanoë a confirmé qu’il soumettra une délibération au Conseil de Paris. Ce texte portera sur un bail emphytéotique administratif (BEA), qui permettra à son heureux détenteur d’exploiter le Parc des Princes, comme il l’entend, pendant 50 à 60 ans.
Et bien sûr Colony Capital part favori du prochain appel d’offres. En contrepartie, le fonds d’investissement américain devra mener les travaux de modernisation (entre 70 et 100 M€) nécessaires à la candidature du Parc pour l’Euro 2016.

« J’ai besoin d’une sûreté immobilière pour investir »

« Nous allons refaire le Parc des Princes et nous serons au rendez-vous pour l’Euro 2016, a insisté l’édile parisien. Sébastien (NDLR : Bazin, le président du PSG) et moi sommes des entrepreneurs. Il faut trouver les chemins pour faire les choses bien avec beaucoup d’exigence mais aussi le sens des réalités dans lesquelles nous évoluons tous et qui s’appelle la crise. »
Décrypté, cela signifie que la participation de la Ville dans les futurs travaux sera symbolique. Sébastien Bazin le sait et ne s’en plaint pas. « Que la mairie de Paris ne veuille pas mettre d’argent, je l’ai compris, nous a confié hier l’actionnaire majoritaire du PSG en marge du déjeuner. Que nous (NDLR : Colony Capital) soyons capables d’en mettre, c’est possible mais, pour cela, il faudrait que je sois bénéficiaire d’un bail emphytéotique. Pour l’instant, ce n’est pas le cas. J’ai besoin d’une sûreté immobilière pour investir ». Ce devrait être chose faite dès le début de l’année prochaine, puisque la mairie de Paris a prévu d’utiliser une procédure accélérée qui rendra ce bail longue durée effectif à cette date.

Frédéric Gouaillard et Dominique Séverac


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PSG EXPRESS

Hier. Séance à huis clos. Opposition au cours de laquelle Kombouaré a aligné en attaque le duo Luyindula-Giuly. Sessegnon et Jallet ont occupé respectivement les couloirs gauche et droit. En défense centrale, compte tenu du retour de blessure de Traoré, Bourillon pourrait peut-être effectuer son retour.

Aujourd’hui. Entraînement à 10 heures au camp des Loges.

Infirmerie. Camara (mollet droit).


leparisien.fr
Raijojp
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PSG : blessé, Luyindula quitte l'entrainement

A trois jours d'un déplacement important à Toulouse, les pépins s'accumulent pour Antoine Kombouaré. Alors que Mevlut Erding, blessé depuis un mois et demi, et Guillaume Hoarau, touché aux ischio-jambiers, sont tous les deux incertains pour dimanche, Peguy Luyindula s'est également blessé, ce jeudi matin à l'entrainement.

L'attaquant du Paris-Saint-Germain a quitté la séance prématurément, touché à la cheville droite après un tacle appuyé du jeune défenseur Lucien Owona.
L'international parisien a regagné le vestiaire, accompagné par le docteur Eric Rolland, mais la gravité de sa blessure n'est pas encore connue.

Le joueur de la réserve a, de son côté, été prié par Antoine Kombouaré d'écourter la séance. « Je suis vraiment triste. Je suis là depuis un mois et c'était mon premier entraînement avec les pros. Je suis allé voir Peguy et le docteur espère que ce n'est pas trop grave », a confié Lucien Owona en quittant l'entraînement.



leparisien.fr
D'Alessandro
En complément :
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Foot - L1 - PSG
Luyindula blessé au genou

Frayeur ce jeudi matin à l'entraînement du PSG. Lors de l'opposition, Peguy Luyindula s'est écroulé en hurlant après avoir été taclé très durement, par devant, par le jeune Lucien Owana. Âgé de 19 ans, le Camerounais effectuait son premier entraînement avec les pros et n'est pensionnaire du centre de formation parisien que depuis un mois! Il a immédiatement été viré de la séance par Antoine Kombouaré, furieux. «Je n'ai pas fait exprès, je m'en veux beaucoup, nous a expliqué l'ancien joueur de Douala. Je me suis excusé auprès de Peguy. En tout cas, c'est normal d'avoir été exclu de l'entraînement.»

Mais le mal était fait : Luyindula souffre d'un traumatisme du genou gauche sans torsion et sera en soins jeudi après-midi. En rentrant aux vestiaires, l'ancien Lyonnais boitait fortement. Il a quitté le Camp des Loges en voiture, mais ne pouvait pas conduire. Il est très incertain pour le match de dimanche à Toulouse. Une nouvelle très contrariante puisque le PSG n'est pas encore certain de pouvoir aligner Guillaume Hoarau et Mevlut Erding. Hoarau (ischios) ne s'est pas entraîné avec les autres ce jeudi, mais à part avec un membre du staff technique. Erding, qui se remet d'une blessure à l'épaule, a travaillé normalement. Une décision sera prise vendredi concernant ces deux joueurs. - Avec Ch. M, au Camp des Loges

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