Citation
M. Ceara : « Je suis plus confiant »
Marcos Ceara devrait disputer ce week-end face à Nancy son 100e match sous le maillot Rouge et Bleu. L’occasion pour le latéral droit de dresser un bilan de son parcours dans la capitale.
Marcos, tu devrais disputer ce week-end ton 100e match sous le maillot du PSG, qu’est ce que cela représente pour toi ?
« Quand je suis arrivé ici, jamais je n’aurais imaginé disputer 100 rencontres avec le maillot du PSG. Tous les joueurs qui évoluent dans un grand club comme le PSG rêvent de disputer cent matches pour leur équipe. C’est vraiment super pour moi, je suis très content et j’espère réaliser une bonne prestation pour ma centième. »
Depuis ton arrivée au club, tu n’as raté que huit rencontres. Comment expliques-tu cette régularité ?
« Je remercie d’abord Dieu. C’est lui qui me donne la force de jouer, de courir. Grâce à lui, je n’ai eu aucune blessure depuis que je suis au PSG. C’est également pour cela que j’ai beaucoup joué et enchaîné les matches. J’ai manqué quelques matches la saison dernière car le coach faisait tourner et souhaitait que je me repose un peu. J’ai envie de continuer car j’aime jouer et enchaîner les matches. »
Quelles sont les différences entre le Ceara du 1er match et celui qui va disputer son centième ce week-end ?
« Je suis plus confiant maintenant. C’est toujours compliqué quand tu arrives dans un club, en plus je ne parlais pas un mot de français. J’avais beaucoup de pression au départ et c’était donc compliqué. Je pense que la grande différence se situe à ce niveau-là. Aujourd’hui, je connais tout le monde et tout le monde me connaît, c’est donc plus facile. Je me sens plus à l’aise sur le terrain et je veux continuer à produire de bons matches avec le PSG. »
Lors de ta première saison ici, lors d’un PSG-Caen au Parc des Princes, tu avais marché sur le ballon, ce qui avait alors amené le seul but de la rencontre. Tu as été beaucoup critiqué à ce moment, comment as-tu surmonté cette épreuve pour devenir aujourd’hui l’un des meilleurs à ton poste en Ligue 1 ?
« En rentrant chez moi, après cet épisode difficile, ma fille m’a embrassée en me disant que j’étais le meilleur latéral du monde (sourires). En 2006, après notre victoire en Coupe du Monde des clubs avec l’Internacional, beaucoup de gens disaient que j’étais le meilleur latéral du monde. Ma fille m’a alors rappelée cet épisode et cela m’a encouragé. C’est également Dieu qui m’a aidé. Je me tourne vers lui pour affronter les difficultés et les batailles que la vie me réserve. Ce n’était pas facile mais je pense que l’avenir sera encore meilleur. »
Quel est ton meilleur souvenir sous le maillot du PSG ?
« Notre victoire en Coupe de la Ligue en 2008 contre Lens. C’est le souvenir qui va marquer mon passage à Paris. Les rencontres contre l’Olympique Lyonnais sont également de bons souvenirs pour moi. La saison dernière j’ai réalisé un super match au Parc, en réalisant même la passe décisive sur le but de Ludo Giuly. En cinq matches contre Lyon, j’ai souvent été bon, même lors de la défaite en finale de Coupe de France en 2008. Ce sont de bons souvenirs pour moi et j’aime me les remémorer. »
Dans moins d’un an il y a la Coupe du Monde. As-tu la sélection brésilienne dans un coin de ta tête ?
« Il ne reste plus beaucoup de temps pour intégrer la sélection avant la Coupe du Monde mais je continue de rêver. Je réalise de gros efforts sur le terrain pour qu’un jour je puisse y arriver. C’est le rêve de tout joueur de défendre les couleurs de son pays et ce n’est pas différent pour moi. Pour être appelé par Dunga il faut tout d’abord que je réalise de bonnes performances avec le PSG, après, on verra. »
Marcos Ceara devrait disputer ce week-end face à Nancy son 100e match sous le maillot Rouge et Bleu. L’occasion pour le latéral droit de dresser un bilan de son parcours dans la capitale.
Marcos, tu devrais disputer ce week-end ton 100e match sous le maillot du PSG, qu’est ce que cela représente pour toi ?
« Quand je suis arrivé ici, jamais je n’aurais imaginé disputer 100 rencontres avec le maillot du PSG. Tous les joueurs qui évoluent dans un grand club comme le PSG rêvent de disputer cent matches pour leur équipe. C’est vraiment super pour moi, je suis très content et j’espère réaliser une bonne prestation pour ma centième. »
Depuis ton arrivée au club, tu n’as raté que huit rencontres. Comment expliques-tu cette régularité ?
« Je remercie d’abord Dieu. C’est lui qui me donne la force de jouer, de courir. Grâce à lui, je n’ai eu aucune blessure depuis que je suis au PSG. C’est également pour cela que j’ai beaucoup joué et enchaîné les matches. J’ai manqué quelques matches la saison dernière car le coach faisait tourner et souhaitait que je me repose un peu. J’ai envie de continuer car j’aime jouer et enchaîner les matches. »
Quelles sont les différences entre le Ceara du 1er match et celui qui va disputer son centième ce week-end ?
« Je suis plus confiant maintenant. C’est toujours compliqué quand tu arrives dans un club, en plus je ne parlais pas un mot de français. J’avais beaucoup de pression au départ et c’était donc compliqué. Je pense que la grande différence se situe à ce niveau-là. Aujourd’hui, je connais tout le monde et tout le monde me connaît, c’est donc plus facile. Je me sens plus à l’aise sur le terrain et je veux continuer à produire de bons matches avec le PSG. »
Lors de ta première saison ici, lors d’un PSG-Caen au Parc des Princes, tu avais marché sur le ballon, ce qui avait alors amené le seul but de la rencontre. Tu as été beaucoup critiqué à ce moment, comment as-tu surmonté cette épreuve pour devenir aujourd’hui l’un des meilleurs à ton poste en Ligue 1 ?
« En rentrant chez moi, après cet épisode difficile, ma fille m’a embrassée en me disant que j’étais le meilleur latéral du monde (sourires). En 2006, après notre victoire en Coupe du Monde des clubs avec l’Internacional, beaucoup de gens disaient que j’étais le meilleur latéral du monde. Ma fille m’a alors rappelée cet épisode et cela m’a encouragé. C’est également Dieu qui m’a aidé. Je me tourne vers lui pour affronter les difficultés et les batailles que la vie me réserve. Ce n’était pas facile mais je pense que l’avenir sera encore meilleur. »
Quel est ton meilleur souvenir sous le maillot du PSG ?
« Notre victoire en Coupe de la Ligue en 2008 contre Lens. C’est le souvenir qui va marquer mon passage à Paris. Les rencontres contre l’Olympique Lyonnais sont également de bons souvenirs pour moi. La saison dernière j’ai réalisé un super match au Parc, en réalisant même la passe décisive sur le but de Ludo Giuly. En cinq matches contre Lyon, j’ai souvent été bon, même lors de la défaite en finale de Coupe de France en 2008. Ce sont de bons souvenirs pour moi et j’aime me les remémorer. »
Dans moins d’un an il y a la Coupe du Monde. As-tu la sélection brésilienne dans un coin de ta tête ?
« Il ne reste plus beaucoup de temps pour intégrer la sélection avant la Coupe du Monde mais je continue de rêver. Je réalise de gros efforts sur le terrain pour qu’un jour je puisse y arriver. C’est le rêve de tout joueur de défendre les couleurs de son pays et ce n’est pas différent pour moi. Pour être appelé par Dunga il faut tout d’abord que je réalise de bonnes performances avec le PSG, après, on verra. »
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