Aide - Recherche - Membres - Calendrier
Version complète : [Club] Revue de presse
Forum de Culture PSG > Les forums du Haut : L'actualité du PSG et du football > L'actualité du PSG
Pages : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50, 51, 52, 53, 54, 55, 56, 57, 58, 59, 60, 61, 62, 63, 64, 65, 66, 67, 68, 69, 70, 71, 72, 73, 74, 75, 76, 77, 78, 79, 80, 81, 82, 83, 84, 85, 86, 87, 88, 89, 90, 91, 92, 93, 94, 95, 96, 97, 98, 99, 100, 101, 102, 103, 104, 105, 106, 107, 108, 109, 110, 111, 112, 113, 114, 115, 116, 117, 118, 119, 120, 121, 122, 123, 124, 125, 126, 127, 128, 129, 130, 131
Baghib!
Citation
Foot - L1

Paris veut «chasser le doute»

C'est déjà sur fond de crise, l'été pas encore terminé, que le Paris-SG reçoit Arles-Avignon (19h00), la lanterne rouge. L'occasion pour le club parisien de «rebondir».


D'ordinaire, il faut attendre le mois de novembre, voire celui de janvier, pour assister à pareille scène dans les coulisses du PSG. Car à Paris, un actionnaire principal qui pique une colère noire lors de la photo officielle, c'est sans doute du jamais vu. Pourtant c'est bien la réalité. Jeudi, Sébastien Bazin a sérieusement rappelé à l'ordre ses troupes. Les trois défaites consécutives toutes compétitions confondues, concédées juste avant la trêve internationale, étaient bien sûr au coeur du discours. Mais pas seulement. Car c'est surtout l'implication tout entière du groupe qui a été remise en cause. Après quatre journées de Championnat, ça fait déjà désordre.

La venue samedi au Parc des Princes du promu Arles-Avignon, dernier du classement avec quatre défaites en autant de rencontres, est du coup l'occasion rêvée pour les Parisiens de relever la tête. «Toutes les rencontres sont particulières mais celle-ci l'est un peu plus, a admis vendredi Antoine Kombouaré, car on est largement favoris et qu'on a besoin des trois points». Pas vraiment choqué par les propos tenus par son patron, le coach parisien attend de ses joueurs une véritable réaction. «C'est important de retrouver la confiance, car à Sochaux (1-3) on a pris un coup, c'est vrai, a-t-il reconnu. L'actionnaire est dans son rôle, moi je reste concentré sur mon travail. Quand l'actionnaire dit des choses agréables, je ne m'en satisfais pas. Et quand il y a des critiques, ça fait partie du métier. La réponse on l'attend sur le terrain, les joueurs le savent».

«Retrouver de la solidité défensive»


Pour goûter de nouveau au succès, Kombouaré a sa petite idée. «Il faut retrouver de la solidité défensive, bien défendre, a-t-il expliqué. Quand tu défends bien, tu récupères et tu as des occasions. C'est ce qui nous manque. Il va falloir être vigilant.» Problème, face à l'ACA, Paris sera privé de trois joueurs cadres : Stéphane Sessegnon, revenu blessé à une cheville de son rassemblent avec l'équipe du Bénin, Mathieu Bodmer, touché à un mollet, et Marcos Ceara, dont la hanche droite le fait souffrir. Trois absences qui s'ajoutent à celle de Jérémy Clément, suspendu. Dans ces conditions, après une trêve qui était censée être bénéfique pour recharger les batteries, le coach parisien préfère ne pas trop s'avancer sur l'issue de la partie. «On verra demain (samedi) si les quinze jours ont été favorables. L'idée, c'est de repartir de l'avant, de chasser le doute devant un promu qui marque des buts à l'extérieur et qui ne lâchera rien, a-t-il rappelé. On a pu travailler certains aspects pour retrouver la confiance et une solidité. Nous avons envie de rebondir.»

Et qu'importe si un nouvel accroc entame un peu plus sa crédibilité. Kombouaré «ne pense qu'à la victoire et pas au reste». Pas encore sur la sellette, mais pas loin d'y être en cas de nouvelle défaite, le Kanak reste fixé sur ses objectifs : «Je ne m'occupe pas de ma situation, c'est la situation du PSG qui compte, a-t-il assuré. Il y a toujours de la pression au PSG !» - H.S., avec Ch.M., au Parc des Princes.
lequipe.fr
Baghib!
Les articles du Parisien :
Citation
PSG - Arles-Avignon: sans Sessegnon ni Bodmer, avec Hoarau

Après trois défaites consécutives (deux en championnat, une en Europa Ligue), le Paris-Saint-Germain retrouve le chemin de la Ligue 1, samedi au Parc des Princes (19h) contre l'actuel dernier, Arles-Avignon. Pour affronter le promu, les Parisiens devront se passer de Stéphane Sessegnon et de Mathieu Bodmer. Les deux hommes ne figurent pas dans le groupe communiqué par Antoine Kombouaré, vendredi soir.

Sessegnon, qui souffre d'une entorse à la cheville contractée avec la sélection nationale du Bénin, et Bodmer, gêné par une contracture au mollet droit, se sont entraînés légèrement toute la semaine et étaient incertains. Leurs absences viennent s'ajouter à celles de Cearà, forfait pour une blessure à la hanche, et de Jérémy Clément, suspendu. Privé de Bodmer et de Sessegnon, Antoine Kombouaré pourrait ainsi faire confiance à Chantôme et Giuly.

Guillaume Hoarau, victime d'une entorse de l'épaule avec l'équipe de France, est en revanche apte et figure dans le groupe. Un groupe dans lequel on retrouve également Mateja Kezman et Sammy Traoré, ce qui constitue, en soi, un mini-événement. Les deux joueurs n'ont pas joué une seule minute en championnat cette saison. Pire, Kezman n'a été convoqué qu'à deux reprises dans le groupe (contre Saint-Etienne et à Sochaux); Sammy Traoré qu'une seule fois (contre Saint-Etienne).

Le groupe parisien:

Coupet, Edel- Armand, Camara, Jallet, Makonda, Sakho, Tiéné, Traoré- Chantôme, Giuly, Makelele, Nene- Luyindula, Erding, Hoarau, Kezman, Maurice.
leparisien.fr

Citation
LIGUE 1/ PSG - ARLES-AVIGNON.

Paris dans l’obligation de battre Arles-Avignon

Vaincus à trois reprises avant la trêve internationale, les Parisiens reçoivent le promu, dernier du Championnat. Tout autre résultat qu’une victoire les plongerait dans la crise.


Le PSG est en avance. D’ordinaire, le club de la capitale attend l’automne pour dessiner ses limites et s’installer dans un climat de pré-crise. Il faut croire que, cette saison, les Parisiens ont décidé d’aller vite. Après trois défaites en huit jours (contre Bordeaux à domicile, à Tel-Aviv en Ligue Europa et à Sochaux), le rendez-vous de ce soir face à Arles-Avignon esquisse un phénomène bien connu des spectateurs du Parc des Princes : le match couperet.

Face à un promu, novice en L 1 et qui n’a toujours pas inscrit le moindre point, cela relèverait presque du paradoxe. Mais on est à Paris. Un club fidèle aux errements, où jouer même plaisamment ne rime pas automatiquement avec victoire, comme en atteste la défaite contre Bordeaux (1-2).

Bien plus qu’un enjeu sportif

En tançant ses joueurs jeudi, lors d’un dîner officiel, et en mettant Antoine Kombouaré et Robin Leproux face à leurs responsabilités, Sébastien Bazin, le propriétaire du PSG, a rappelé la nécessité d’un succès. « L’actionnaire est dans son rôle, il paye, il dit des choses, estime l’entraîneur parisien. Quand il dit des choses agréables, je ne m’en satisfais pas. Aujourd’hui je reste de marbre. Je ne m’occupe pas de ma situation personnelle. »
Là encore, les responsables parisiens ont raccourci les délais. Jamais l’homme le plus puissant du PSG n’avait haussé le ton aussi précocement au cours d’une saison. Sa sortie intervient de surcroît après les coups de gueule de Kombouaré à Tel-Aviv (3-4) et de Leproux à Sochaux (1-3). A-t-il voulu peser de tout son poids dans ses mises en garde en profitant de cette réunion officielle ? Ou simplement signifier l’état d’urgence dans lequel se trouve le club ?
Car plus qu’une crise sportive, c’est un tremblement de terre qui guette le PSG en cas de défaite face à la lanterne rouge. Tous les efforts entrepris depuis des mois seraient mis à mal. Pour valider son plan de sécurité, le PSG doit retrouver la voie du succès. C’est la condition impérative pour attirer le public dans un Parc des Princes qui sera une fois de plus à moitié vide ce soir. Paris ne peut pas se permettre d’être un club sans résultats et sans supporteurs. A moins de provoquer sa propre perte. Pour se rassurer, Bazin peut se dire que, depuis deux saisons, le club de la capitale a pris l’habitude de gagner contre les « petites » équipes en général et les promus en particulier. Mais la logique et le PSG ne font pas forcément bon ménage…
leparisien.fr
sylvain
L'Equipe
Citation
S'ils ne gagnent pas là...

Tout autre résultat qu'une victoire face au promu plongerait le PSG dans la crise.

Le Parc des Princes ne sera même pas à moitié plein pour voir ça. Ca?? La deuxième victoire du PSG de la saison, cinq semaines après l'entame réussie face à St Etienne (3-1 le 7 août). Ou alors, dans l'hypothèse d'un résultat différent, quelque chose qui ressemblerait vraiment à une crise. A l'aube d'un mois de septembre qui peut amorcer un redressement autant que précipiter une chute, personne au club n'imagine le onze de la capitale ne pas battre Arles-Avignon. Arles, cette lanterne (très) rouge, qui perçoit déjà après quatre défaites en quatre journées, le bruit d'un ascenseur qui se rouvre. Sur le papier, le PSG n'a que le droit de gagner. "Ce sera un match encore un peu plus particulier que les autres", a admis hier son entraineur, sous pression.

Kombouaré a t'il trouvé les mots?

La fin du mois d'août est de celles qui peuvent brouiller la situation d'un coach. Les trois défaites - Bordeaux, Tel Aviv et Sochaux- fragilise Kombouaré. Sa marge d'erreur est beaucoup moins épaisse que la saison dernière, et c'est un message que n'a pas manqué de lui rappeler Sébastien Bazin, avant-hier, lors d'un déjeuner au Parc avec les partenaires du club. Pour le propriétaire du club, il reste inconcevable que Paris ne finisse pas parmi les 5 premiers de Ligue 1.
Kombouaré admet que son équipe "est un peu dans le doute". Son discours en interne peut il dissiper ce doute? La méthode du coup de gueule semble en tout cas inappropriée avec ce groupe: celui que l'entraineur avait poussé à Tel-Aviv avait été suivi trois jours plus tard du match sans âme à Bonal. Quinze mois après sa nomination, il semble toujours en quête du ton et des mots justes. Et si il est loin de recueillir un soutien sans faille des joueurs, eux aussi attendus au tournant, "il ne faut pas que s'installe à nouveau un confort de la défaite et que les joueurs commencent à rejeter la faute sur le voisin", souffle un cadre du club, familier des réflexes de la maison.


Vers un changement de système?

Au fil d'un mois de septembre où il jouera gros Kombouaré n'exclurait pas l'idée de recourir à un autre système. Depuis son arrivée sur le banc, le PSG est figé dans un 4-4-2. Mais ce système avec 4 joueurs très offensifs se trouve parfois en contradiction avec l'intention annoncée en début de saison, celui d'un PSG à l'impact physique renforcé. Paris vient d'encaisser neuf buts en trois matchs (dont six sur coup de pied arrêtés) et le non recrutement d'un défenseur central - gros échec du mercato parisien- complique la solidification envisagée.
Sur le terrain, l'état d'esprit général semble à mettre en cause, à la lecture d'une statistique: le PSG est l'équipe qui a commis le moins de fautes en ce début de saison (52). Contre Arles, Paris sera à priori focalisé sur la dimension offensive de son jeu. Mais, à terme, et notamment à l'extérieur, la recherche d'un bloc plus compact pourrait déboucher sur un autre système. En juillet, pendant la préparation, Kombouaré avait testé un 3-5-2, un plan B qui pourrait être réactivé prochainement.

Jérôme Touboul.
Homer
Citation
Foot - L1 - 5e j.
Le PSG retrouve le sourire

Le PSG a renoué avec la victoire, samedi au Parc face à Arles-Avignon (4-0). Une victoire qui arrive au bon moment alors que la crise le guettait.

Nenê a inscrit un doublé et délivré une passe décisive contre Arles-Avignon.(EQ)

Le coup de gueule de Sébastien Bazin n'a pas été vain. Déçu par le début de saison de son équipe et par le manque de sérieux affiché par certains, l'actionnaire majoritaire du PSG avait remis les pendules à l'heure en milieu de semaine, avant la venue d'Arles-Avignon, la lanterne rouge, au Parc des Princes. Maintenant que le match est fini, et gagné facilement (4-0), force est de constater que le message a bien été entendu par les joueurs. A moins que la faible opposition de l'ACA n'ait tronqué leur implication. Mais qu'importe l'adversaire et la manière. Après ses trois défaites toutes compétitions confondues, le Paris-SG renoue avec la victoire. C'est tout ce dont il avait besoin, pour l'instant.
Nenê au four et au moulin

En l'absence de Sessegnon, Bodmer et Ceara blessés, ainsi que Clément suspendu, Antoine Kombouaré avait décidé d'innover pour composer son onze de départ. Exit Coupet et Camara, place à Edel, Armand dans l'axe, Tiene à gauche et Chantôme au milieu. Des choix qui n'ont pas tardé à être payants car Paris a très vite trouvé l'ouverture, suite une erreur d'alignement du promu. Giuly a trouvé Hoarau seul au deuxième poteau. Remis de sa blessure à l'épaule contractée avec les Bleus, l'attaquant n'a pas demandé son reste pour inscrire son troisième but de la saison d'une belle reprise de volée appliquée (18e). Peu avant la demi-heure de jeu, c'est l'autre international parisien, Mamadou Sakho qui a alourdi la marque sur un corner de Nenê (29e). Le Brésilien justement qui a été l'homme du match, puisqu'à lui seul, il a ensuite fait doubler le capital des siens. D'abord d'un coup franc en pleine lucarne (49e), puis à la conclusion d'un beau mouvement collectif (56e).

Sans quelques maladresses ou autres arrêts de Planté (80e, 90e), les Parisiens auraient même pu réussir le carton de ces cinq premières journées. Seulement l'ACA, qui s'est quand même créé quatre occasions, ne méritait pas une plus grosse correction. 4-0, c'est peut-être «la belle volée» que Michel Estevan attendait pour que ses joueurs se réveillent et lancent enfin leur saison. A moins qu'ils n'aient tout simplement pas le niveau. - H.S.

L'Equipe .fr

Citation
Le PSG renoue avec le succès

Le PSG sait donc gagner. Après trois défaites d'affilée (Bordeaux, Maccabi Tel-Aviv, Sochaux), Paris a renoué samedi soir avec le succès contre Arles-Avignon (4-0). Une première victoire en L1 depuis l'ouverture du championnat contre Saint-Etienne (3-1), qui permet aux Parisiens de remonter à la 6e place du classement. Un bon résultat à relativiser tant le promu a étalé dans un Parc des Princes qui sonnait creux son indigence dans le jeu.

Avec cinq défaites en autant de matchs, les Provençaux ont intérêt à croire aux miracles s'ils ne veulent pas s'enfermer dans un rôle de faire-valoir des équipes en mal de confiance.

Antoine Kombouaré n'attendait pas tant de largesses pour gagner son pari. Confronté aux absences de Sessegnon (cheville), Bodmer (mollet), Ceara (hanche) et Clément (suspendu), l'entraîneur parisien avait décidé de relancer Edel dans le but, Armand dans l'axe et Chantôme au milieu. Les deux premiers n'ont quasiment rien eu à faire. Le troisième a facilement brillé face à des adversaires plutôt consentants à se faire malmener.

Sûr de pouvoir redresser ses statistiques défensives plombées par neuf buts encaissés lors des trois derniers matchs, le PSG a donc appuyé là où ça fait mal. Au coeur d'une défense où les deux Espagnols Pavon et Mejia ont bien caché qu'ils avaient dans le passé porté le maillot du Real Madrid.

L'addition aurait même pu être largement plus salée

Sur un service de Giuly par dessus la défense, Hoarau signe ainsi facilement du gauche son cinquième but en cinq rencontres (1-0, 18e). Nenê intenable sur son côté gauche débute son show par un corner déposé sur le pied gauche de Sakho. Le vice-capitaine parisien n'a plus qu'à catapulter le ballon sous la barre (2-0, 29e). Totalement dépassé, Arles-Avignon cède ensuite sur un coup-franc direct du Brésilien sous la barre (3-0, 49e) avant que l'ancien Monégasque ne pique parfaitement son ballon au dessus de Planté, au terme d'un beau mouvement initié par Hoarau et Erding (4-0, 56e). Avec un tout petit peu plus de précision du duo d'attaquants parisiens, l'addition aurait même pu être largement plus salée pour les Provençaux.

Le PSG a donc atteint sans forcer, mais avec application, l'objectif minimum qu'on pouvait attendre de lui. Reste à confirmer dans une semaine où se profilent un déplacement délicat jeudi à Séville pour le début des poules de la ligue Europa et la visite dimanche de Rennais beaucoup plus effrayants pour les Parisiens que leurs adversaires du jour. Pour les parieurs, miser sur le PSG devrait redevenir un tout petit peu plus intéressant.



PSG - ARLES-AVIGNON 4-0 (2-0).
Spectateurs : 19 000.rolleyes.gif
Arbitre : M. Moreira
Buts. Hoarau (18e), Sakho (29e), Nene (49e, 56e).
PSG : Edel - Jallet, Armand, Sakho, Tiéné - Giuly (Maurice, 73e), Makelele (cap.), Chantôme, Nene (Luyindula, 87e) - Erding, Hoarau (Kezman, 73e) . Entr.: Kombouaré.
Arles : Planté - Laurenti, Mejia, Pavon, Fanchone - Abenzoar (Charisteas, 50e), Ayasse (Soro, 61e), Ait Ben Idir, Ndiaye (Kermogant, 64e) - Meriem - Dja Djedje. Entr.: Estevan.

Le Parisien . Fr

Citation
Paris Saint-Germain - Arles-Avignon : 4-0

Champagne à Paris. Opposé à la lanterne rouge, Arles-Avignon, le PSG n'a pas fait de détail, ce samedi, et s'est largement imposé dans son Parc des Princes qui, une fois n'est pas coutume, sonnait le creux (4-0). Les hommes d'Antoine Kombouaré, organisés en 4-4-2, ont réussi un match plein et auraient même pu sacrément corser l'addition sans un Planté inspiré ou des choix discutables dans le dernier geste. Nenê, grâce à un splendide doublé (coup franc dans la lucarne, petit ballon piqué au-dessus du gardien), s'est toutefois illustré. De même que Guillaume Hoarau et Mamadou Sakho, également buteurs. Avec ce succès, Paris retrouve logiquement le sourire et va pouvoir travailler sereinement avant son déplacement à Séville, jeudi

France Football.fr



Citation
Le PSG chasse la crise

Tancés par leur actionnaire principal, les Parisiens ont réussi l’essentiel en étrillant une bien pâle équipe d’Arles-Avignon (4-0). Un succès facile, toujours bon à prendre avant le choc face au FC Séville jeudi prochain en Ligue Europa.

Antoine Kombouaré et Robin Leproux peuvent souffler. Le large succès de leurs protégés face à une faiblarde formation d’Arles-Avignon (4-0) va certainement leur permettre de défier plus sereinement l’ogre sévillan, jeudi, en Ligue Europa. Contrarié par les trois dernières défaites parisiennes juste avant la pause internationale (Bordeaux, Tel-Aviv et Sochaux), le propriétaire du PSG, Sébastien Bazin, avait tiré la sonnette d’alarme et exigé une victoire face à la lanterne rouge de la Ligue 1. Il a été entendu.

Disputée dans un Parc des Princes quasi-désert (moins de 20 000 spectateurs), une affluence qui rappelle les périodes de vaches maigres des années 80, la rencontre à sens unique a été marquée de l’empreinte de l’attaquant brésilien Nenê, auteur d’un doublé (49e et 56e) scellant un succès bienvenu. Asphyxiés et poussés dans leurs derniers retranchements, les hommes de Michel Estevan n’auront fait illusion que l’espace d’un quart d’heure. Bien plus inspirés, les coéquipiers de Mevlut Erding profitaient d’un mouvement initié par Chantôme à l’entrée de la surface avignonnaise pour décaler Giuly qui servait sur un plateau Hoarau. Plat du pied, l’affaire est jouée (18e). Acculés dans leur moitié de terrain, les coéquipiers de Camel Meriem encaissent à la demi-heure de jeu un deuxième but sur un corner de Nenê repris du pied gauche par Sakho. Le match est plié. Facile, la victoire est bonne à prendre, bien sûr. Mais les Parisiens sauront-ils élever leur niveau de jeu face à de redoutables Sévillans, qui ont fait de la Ligue Europa l’une de leurs priorités après leur élimination de la Ligue des champions par les Portugais de Braga ? Réponse jeudi en Espagne. Pour les Provençaux, battus pour la cinquième fois en autant de matchs, la saison s’annonce très longue.

RMC Info. FR

Citation
Kombouaré : « Je ne m’enflamme pas » kombouare.jpg

Malgré la large victoire du PSG sur Arles-Avignon (4-0) au Parc des Princes à l'occasion de la 5e journée, l’entraîneur parisien voulait garder les pieds sur terre : « Quand on perd, je ne m’apitoie pas sur mon sort et je ne crie pas à la catastrophe. Ce soir, on gagne. C’est très bien, mais je ne m’enflamme pas. On reste sobre. Surtout, je félicite les joueurs. Quand ils répondent présents, ils peuvent réaliser de belles choses. »
RMC INFO . FR
Homer
Citation
LIGUE 1/ PSG - ARLES-AVIGNON 4-0.
Un festival qui fait du bien au moral

Après trois défaites consécutives, les Parisiens se sont bien amusés face à un adversaire très faible. Kombouaré a profité de cette soirée pour opérer des choix radicaux.

On peut accabler Paris de tous les maux ce dont il se charge d’ailleurs très bien tout seul mais on ne peut pas lui imputer le niveau de ses adversaires. Hier, Paris n’y était pour rien si Arles-Avignon était nul, disons même indigne de la Ligue 1. Le PSG s’est largement imposé et il faut féliciter les joueurs d’Antoine Kombouaré d’avoir fait le métier jusqu’au bout.
A 4-0 à l’heure de jeu, plus d’un joueur aurait papillonné sur le terrain en pensant à sa soirée d’après-match. Pas le PSG, insatiable quoique terriblement maladroit pendant la dernière demi-heure. Et c’est le seul reproche à adresser aux Parisiens que de n’avoir pas mieux soigné leur goal-average. « On leur a donné envie de venir marquer des buts », a résumé Michel Estevan, l’entraîneur provençal, pour stigmatiser la faiblesse de son équipe.

Aucun joueur n’est intouchable

Ce matin, Paris bondit de la 13e à la 6e place au classement provisoire et devrait rester dans la première moitié du tableau à l’issue de cette 5e journée. Mais on ne sait pas encore s’il pourra s’appuyer sur ce succès (trop) facile pour se refaire une santé morale, fragilisée par trois revers consécutifs. Le non-match des Provençaux réduit à néant toute tentative d’analyse poussée.
Antoine Kombouaré ne s’y est pas vraiment essayé, masquant mal sa surprise devant l’inconsistance des Arlésiens. « Il faut féliciter nos joueurs car c’est à la fin du match qu’on sait qu’Arles-Avignon n’est pas une bonne équipe, commente l’entraîneur parisien. Je m’attendais à un match difficile, à trouver une équipe qui nous pose beaucoup de problèmes mais voilà ils n’ont pas fait un grand match. » Antoine Kombouaré attendait une « révolte » de ses joueurs, ils lui ont offert un festival. Mais au final, la véritable révolution n’est pas dans ce score fleuve. En choisissant d’écarter Coupet et Camara, deux de ses éléments cadres pour ce match capital, le coach parisien a opéré des choix radicaux et rappelé avec fracas qu’aucun joueur n’est intouchable. Ces décisions payantes au final font du technicien kanak l’autre grand vainqueur de cette soirée.
Car on peut imaginer qu’à l’aune de ces bouleversements, tout autre résultat qu’une victoire l’aurait encore fragilisé auprès de son groupe mais aussi de ses responsables.

Le dispositif de sécurité , environ 1000 hommes chaque fois, entourant chaque match du PSG à domicile a été mis à l’épreuve hier. Avant la rencontre, Jean-Louis Fiamenghi, le directeur de cabinet du préfet de police de Paris, a demandé à ce que soit effectué un test grandeur nature pour juger de la capacité de réaction des forces de police en réserve en cas de tentative de passage en force de supporteurs. Huit supporteurs présents en tribune Boulogne rouge ont été expulsés du stade par les stadiers. Certains parce qu’ils étaient ivres, d’autres pour injures.

Citation
Nenê le Monsieur Plus

Dans un 4-4-2 remanié en raison des blessures (Sessegnon, Ceara et Bodmer), de la suspension de Clément et des choix d’Antoine Kombouaré Edel à la place de Coupet et Armand plutôt que Camara le PSG a largement dominé Arles-Avignon. Deux buts par mi-temps pour une soirée sans peur face à un adversaire inoffensif.

5,5 EDEL. Titulaire surprise, il a bien fait ce qu’il devait faire en première période.
Idem après la pause, il n’a jamais été inquiété sauf sur un corner à la 84e minute où il est sauvé sur sa ligne par Nenê.
6 JALLET. Le latéral droit a, comme ses partenaires défensifs, vécu une rencontre tranquille. Bonne participation offensive avec plusieurs centres ajustés.
6,5 ARMAND. Aligné défenseur axe droit à la place de Camara, il a répondu présent. Auteur d’une partie solide face à des attaquants provençaux discrets.
6 SAKHO. Le jeune défenseur central a marqué son deuxième but en L 1 hier soir d’une belle volée du gauche. Défensivement, il n’a pas eu grand-chose à faire. Toujours des approximations qu’il pourrait facilement gommer avec plus de concentration.
6 TIÉNÉ. Pour sa première titularisation, l’international ivoirien a eu une partie facile dans son couloir gauche. Mais il a su rester attentif. Un bon centre pour Hoarau (69e).
7 GIULY. Le milieu droit a confirmé son bon début de saison. Disponible, en jambes et inspiré, il sert intelligemment Hoarau d’une balle piquée sur le premier but. A multiplié les bonnes passes (18e, 68e). Aurait mérité de marquer un but. Suppléé par Maurice (73e).
6,5 CHANTÔME. Associé à Makelele à la récupération, le jeune Parisien a fait preuve d’une belle activité. Il a pressé haut et récupéré pas mal de ballons. A joué juste et a été également présent offensivement.
6 MAKELELE. Le capitaine a géré sereinement et n’a pas eu à trop s’employer. Plusieurs ouvertures bien senties.
8 NENÊ. Le milieu gauche est clairement un atout de poids pour le PSG. Hier soir, il a marqué deux fois : un superbe coup franc direct (49e) et une pichenette tout en finesse (56e). C’est lui aussi qui sert Sakho sur corner pour le deuxième but. Un match plein. Remplacé par Luyindula (87e) sous une ovation.
6 HOARAU. L’attaquant réunionnais a inscrit son 3e but en L 1 d’une superbe reprise du gauche. Il s’est créé plusieurs occasions (11e, 13e , 21e, 66e). Remplacé par Kezman (73e).
5,5 ERDING. Pas mal de situations de but (57e , 59e , 78e , 82e , 90e + 2) mais il est toujours en manque de réussite depuis plusieurs semaines. Sa prestation d’ensemble est malgré tout correcte car il a délivré plusieurs bonnes passes, dont une décisive pour Nenê (56e).

ARLES-AVIGNON a proposé un jeu d’une faiblesse rarement vue en L 1. Difficile d’imaginer aujourd’hui que le promu parvienne à se maintenir en fin de saison.

5,5 L’ARBITRE, M. MOREIRA a bien tenu la rencontre même s’il n’a pas toujours été aidé par ses assistants.

Citation
CHIFFRE
4


La dernière victoire du PSG par quatre buts d’écart en Ligue 1 remonte au mois de décembre 2009 face à Grenoble. A l’époque, le PSG s’était déjà imposé 4-0 et Christophe Jallet avait marqué le dernier but du PSG sur coup franc.

Citation
Edel relancé, Coupet fragilisé

Grégory Coupet (37 ans), relegué sur le banc contre Arles-Avignon, a-t-il perdu sa place de gardien titulaire au profit d’Apoula Edel (24 ans) ? Antoine Kombouaré l’a laissé entendre hier soir en conférence de presse même si l’entraîneur a mis les formes pour le dire. « Il y a deux numéros un, a expliqué le technicien parisien.
Greg avait pris de l’avance. Aujourd’hui, il connaît une période difficile comme tous les sportifs de haut niveau peuvent en rencontrer. C’est la règle, la concurrence. »
Kombouaré a pris le temps de justifier ce changement, qui a été commenté hier soir dans les salons présidentiels par certains dirigeants. « Quand on prend neuf buts en trois matchs, il faut faire évoluer les choses. A la vue des entretiens que j’ai eu avec les joueurs et des séances d’entraînement, j’ai pris cette décision. Edel a répondu présent. »
On peut donc penser qu’il sera à nouveau dans les buts dimanche prochain contre Rennes en championnat. Qu’en sera t-il jeudi en Ligue Europa à Séville ? En début de saison, il avait été décidé que Coupet jouerait la L1 pour sa dernière année professionnelle et qu’Edel serait titularisé pour les coupes. Aujourd’hui, pour une question de repères et de rythme, l’ancien joueur du Punyk Erevan devrait aussi être aligné en Espagne.
L’Arméno-Camerounais a appris dans le courant de la semaine qu’il jouerait contre Arles-Avignon. « Je n’avais pas d’appréhension particulière, nous a confié Edel à l’issue du match. J’ai la confiance des dirigeants ainsi que celle de Grégory. Je le remercie car, malgré ce changement, il m’encourage et me donne confiance. Il m’a dit de saisir ma chance. » A un an du terme de son contrat, Apoula Edel sait que s’il enchaîne les bonnes performances, il devrait se voir proposer une prolongation de contrat intéressante. Sollicité, Coupet est parti sans dire un mot.

Citation
« Il y avait une obligation de résultat »
NENÊ milieu de terrain gauche du PSG.


Il est sorti le dernier des vestiaires. Souriant et détendu, le Brésilien Nenê est revenu sa très belle prestation personnelle avec deux buts et une passe décisive. Son bon début de saison l’avait laissé poindre, le PSG n’est pas le même avec ou sans l’ancien Monégasque. Paris semble déjà sujet à une « Nenê-dépendance ».


Quelle est votre analyse de cette soirée ?
NENÊ. On a été très solides derrière. On n’a pas pris de buts, c’était très important. Comme c’était très important de renouer avec la victoire. Maintenant, il ne faut pas s’enflammer et continuer ainsi. Mais c’est vrai que c’est une superbe soirée pour le club et pour moi.

Le PSG avait une grosse pression avant cette rencontre. L’avez-vous ressenti ?
Il n’y avait pas de grosse pression mais une pression normale. Tout le monde savait qu’il y avait une obligation de résultats. Que l’on devait marquer pour renouer avec le succès. Il fallait relancer la dynamique. C’était très important pour la confiance.

Doutiez-vous avec cette rencontre ?
Non, même si on sortait de trois défaites. Le coach nous a beaucoup parlé et nous a remis en confiance. Il fallait gagner. Je savais que le groupe en était capable.

Vous avez été le meilleur joueur du match...
Tout le monde aurait mérité de marquer, tant on a eu d’occasions où beaucoup de joueurs ont pris part aux offensives. C’est la victoire de tout le groupe. Ce soir (hier) c’est moi qui ait marqué grâce au travail de mes partenaires. C’est très très bien.

Est-ce votre meilleur match avec le PSG ?
Je dirai que c’est mon match le plus complet. J’ai marqué deux fois et j’ai réussi à faire une passe décisive ce que je n’avais pas fait contre Bordeaux malheureusement.

Votre corner victorieux pour Sakho semble avoir été travaillé à l’entraînement...
Oui, on a travaillé les corners cette semaine. J’ai essayé de mettre le ballon toujours au même endroit pour mes coéquipiers.

Interrogé sur l’état de santé de Stéphane Sessegnon, Antoine Kombouaré ne s’est pas montré très rassurant. « J’espère que ce n’est pas trop grave mais Stéphane a pris un gros tacle lors du match avec la sélection du Bénin. Malheureusement, il a pris le tacle très tôt à la 10e minute de jeu et il a continué à jouer. Il s’est fait mal. » Concernant Mathieu Bodmer, qui souffre du mollet droit, Kombouaré a indiqué que le milieu parisien a passé une échographie vendredi qui « n’a rien montré ».
Le Parisien . FR

Citation
Kombouaré : «On fait du jeu»

Facile vainqueur d'Arles-Avignon (4-0), le Paris Saint-Germain espère désormais commencer une nouvelle série de victoires. C'est en tout cas le souhait de son entraîneur, Antoine Kombouaré qui veut que son équipe arrive à «enchaîner». (Photo Presse-Sports)

«Le match a été assez facile, peut-être plus que prévu ?

Je m'attendais à un match difficile. Avant le match, on n'était pas si en confiance que ça. Si on ne fait pas le boulot, si on n'est pas sérieux, qu'il n'y a pas de rigueur, on peut perdre. Surtout, on ne prend pas de but, enfin. On fait du jeu et on marque quatre buts. C'est bien de repartir de l'avant. Défensivement, il y a une équipe qui fait tout pour ne pas prendre de but et ensuite, devant, il y a du talent. Les joueurs ont répondu présent, il faut enchaîner et on va essayer de travailler pour cela.

Quel bilan pouvez-vous dresser après cinq journées ?
Il y a eu de bonnes choses malgré le classement. Les intentions sont bonnes. Malheureusement, on n'a pas été efficace, défensivement notamment. Mais aussi offensivement parce que contre Bordeaux (défaite 2-1), on doit faire au moins match nul. Maintenant, j'attends de l'équipe qu'elle soit régulière dans la performance. Il faut enchaîner.

Jeudi, c'est Séville et la C3...
Je n'en ai pas encore parlé aux joueurs. On a pris Arles-Avignon avec le plus grand sérieux. Mais Séville sera un grand rendez-vous. Il faudra être solide.» (AFP)

France Foot.Fr
Dready14
Citation
Interpellations au Parc

L'opération de sécurisation du Parc des Princes continue. Samedi soir, en marge de la victoire (4-0) du Paris-SG sur Arles-Avignon, les forces de police ont interpellé huit supporters pour violence et état d'ivresse dans l'enceinte du stade, par ailleurs peu rempli pour la venue de la lanterne rouge (19 025 spectateurs).


lequipe.fr
Nicolcho
Citation
Bodmer touché à un nerf

Touché au mollet depuis une semaine, non convoqué pour affronter Arles-Avignon, Mathieu Bodmer serait touché à un nerf, d'après les examens effectués. Le milieu de terrain va passer une IRM ce lundi pour préciser le diagnostic mais va probablement déclarer forfait pour le match de Ligue Europa jeudi à Séville.


L'équipe.fr
Hari
Citation
Kombouaré ne fait plus de sentiments

Finalement, quelques noms couchés sur une feuille de papier auront provoqué bien plus d’émoi qu’un coup de gueule dans un vestiaire. En choisissant de se passer des services de Zoumana Camara et de Grégory Coupet avant-hier face à Arles-Avignon, Antoine Kombouaré a adressé un message fort à son équipe, réaffirmant au passage son autorité.


Il n’a pas peur de déplaire

Depuis son arrivée au PSG à l’été 2009, Antoine Kombouaré clame haut et fort qu’il fera jouer la concurrence à tous les postes. Faute de moyens humains, le coach parisien n’a pas vraiment pu mettre ce précepte en pratique la saison dernière. Ceará et Armand ont été mis en balance lors du dernier championnat. Mais sans leur faire offense, leur statut comme leur influence au sein du groupe n’égalent pas celles d’un Coupet ou d’un Camara. A propos de ce dernier, il faut se souvenir que Paul Le Guen comme Kombouaré l’avaient toujours maintenu à son poste même lorsqu’il était au creux de la vague. « Antoine Kombouaré est capable de changer des choses quand il faut le faire et pour cela il n’a pas peur de déplaire, souligne Bernard Guignedoux, son ancien adjoint à Strasbourg et à Valenciennes. Mais il le fait toujours dans le respect du joueur en l’informant le premier pour le préparer. Et ce ne sont jamais des sanctions définitives. »

Des choix réfléchis

En agissant de la sorte samedi soir, Kombouaré a pris des risques. Armand n’est pas un spécialiste du poste d’arrière central (même s’il a débuté sa carrière comme stoppeur) et Edel restait sur deux prestations mitigées en préparation, notamment face au Sporting Portugal. Autre point qu’il faut noter, le PSG alignait une défense avec trois gauchers (Sakho, Armand et Tiéné), ce qui doit être très rare en Europe. Avant le match, certains joueurs se montraient d’ailleurs sceptiques quant aux choix de leur coach. « Quand il prend ce genre de décisions, c’est qu’il les a bien mûries. Et en général, il les prend tout seul », se souvient Guignedoux.

La nouvelle donne


Ce qui n’était pas tout à fait vrai la saison dernière le devient un peu plus cette année avec l’arrivée de trois recrues (Bodmer, Nenê et Tiéné). Kombouaré a des solutions de rechange et, comme le résume Mevlut Erding : « Personne n’est intouchable. Le coach l’a prouvé en faisant sa composition et, à vrai dire, ça ne m’a pas vraiment surpris. » A l’exception peut-être de Claude Makelele, dont le PSG n’a pas encore appris à se passer, aucun joueur n’est aujourd’hui à l’abri d’un passage sur le banc. On pense entre autres à Sessegnon, inconstant depuis le début de la saison, et qui voit poindre la concurrence d’un Giuly performant avant-hier.

FRÉDÉRIC GOUAILLARD



Citation
Mevlut Erding : « Je ne suis pas un tricheur »

Mevlut Erding, meilleur buteur du club la saison dernière (15 réalisations en L 1), revient sur la période délicate qu’il traverse et sur les critiques qui l’ont visé.


Quel sentiment vous laisse ce large succès face à Arles-Avignon ?

Mevlut Erding. Cette victoire me satisfait et, surtout, je n’ai pas envie d’entendre que Arles-Avignon était mauvais.
Personnellement, j’ai manqué d’efficacité, mais même si je n’ai pas marqué, j’ai fait marquer (NDLR : Erding a délivré une passe décisive pour Nenê sur le 4e but). Je suis fier d’avoir fait un match comme celui-là.

Vous n’avez plus marqué depuis la 1re journée face à Saint-Etienne. C’est dur à vivre ?


Je suis frustré, en ce moment je ne suis pas en réussite. Je me console en me disant que chaque attaquant vit ce genre de passage à vide. J’ai rencontré quelques problèmes, mais je suis en train de répondre.

Les critiques qui vous décrivent comme étant trop personnel vous ont-elles touché ?

Ce qui a été dit est injuste. Je ne suis pas un tricheur et je n’ai rien à me reprocher. Je n’ai pas changé mon jeu et je ne le changerai pas. De toute façon, le coach ne le veut pas. Je suis rempli d’ambitions et, hier, c’était un début de réponse sur le terrain.

PROPOS RECUEILLIS PAR F.G


Citation
PSG Express

Hier. Décrassage pour Sessegnon et les titulaires face à Arles-Avignon. Travail devant le but et opposition pour les remplaçants. Bodmer a couru avec un kinésithérapeute.
Aujourd’hui. Repos. Reprise demain à huis clos.
Infirmerie. Sessegnon (cheville), Bodmer (mollet), Ceará (hanche), Areola (hanche). Un point sera effectué demain sur la participation de Sessegnon et Bodmer au déplacement à Séville.
Suspendu. Clément (face à Rennes).
Rendez-vous. FC Séville - PSG, 1re journée de la phase de poule de la Ligue Europa, jeudi 16 septembre à 21 h 5 au stade Sanchez Pizjuan (W 9).



leparisien.fr



Citation
Hoarau : «Notre petite Ligue des Champions»

Auteur du premier but face à Arles-Avignon ce samedi, Guillaume Hoarau est revenu sur la victoire des Rouge et Bleu avant d’évoquer le déplacement à Séville et la réception de Rennes cette semaine.


Guillaume, comment vas-tu au lendemain de la victoire face à Arles-Avignon (4-0) ?
« Ca va bien. Cette victoire fait plaisir et surtout beaucoup de bien au moral. Nous restions sur trois défaites. Je ne vais pas répéter ce qui a déjà été dit, mais c’était très important de gagner samedi. Nous avons une semaine difficile en perspective avec deux gros matches et il fallait se mettre en confiance pour aborder ces deux rendez-vous du mieux possible. »

En début de semaine, tu étais incertain, finalement, tu as joué et marqué le premier but…
« J’étais blessé à l’épaule et nous avons réalisé ce qu’il fallait avec le staff médical pour que je puisse participer à ce match. Ensuite, je sais si je suis capable de jouer ou pas. Une fois sur le terrain, il faut faire en sorte que les choses se passent bien. J’ai marqué ce but qui fait du bien pour la confiance. Nous faisons tous des efforts pour être le plus régulier possible. Le compteur buts tourne, on gagne, donc tout le monde est content. C’est parfait. »

Ce jeudi, le PSG a un déplacement délicat à Séville, comment abordes-tu cette rencontre ?

« Séville est une équipe qui est armée pour disputer la Ligue des Champions. Malheureusement pour eux, ils ont perdu lors du tour préliminaire. Cette rencontre est en quelque sorte notre petite Ligue des Champions à nous. Il fallait absolument gagner samedi pour faire le plein de confiance. Il faut essayer de faire un gros résultat en Espagne. Pour être plus fort en championnat, il faut jouer et prendre de l’expérience dans ce genre de rendez-vous. »

Le PSG achèvera ensuite sa semaine par une autre rencontre difficile, avec la réception de Rennes...

« Rennes est en pleine bourre et va vouloir prendre des points chez nous afin de monter sur le podium. De notre côté, nous voulons confirmer notre bon match de samedi. Il y a pas mal d’attentes autour de nous, nous avons montré que nous avions du potentiel, mais il faut toujours confirmer. C’est toujours la même histoire, il ne faut pas lacher, rester humble quand on gagne et bosser quand ça va moins bien. Là, ca va, il faut donc en profiter. »
JR


PSG.fr
Hari
Citation
Sessegnon très incertain

Si le forfait de Mathieu Bodmer (mollet gauche) pour le déplacement à Séville lors de la première journée de la phase de poules de la Ligue Europa est déjà acté, celui de Stéphane Sessegnon ne devrait pas tarder à l'être aussi. Le Béninois est blessé à la cheville droite (entorse) et devrait être préservé pour cette partie même si la situation évolue «favorablement», selon le club parisien. Antoine Kombouaré ne devrait prendre aucun risque pour son milieu de terrain, qui peut très bien être remplacé par Ludovic Giuly. Autre absence assurée en Andalousie, celle de Marcos Ceara, qui ne sera pas non plus disponible dimanche contre Rennes en Championnat.


lequipe.Fr
Hari
Citation
Sylvain Armand : « Une belle équipe »

Titularisé face à Arles-Avignon, Sylvain Armand évoque son repositionnement dans l’axe de la défense parisienne et le déplacement du PSG à Séville ce jeudi.

Sylvain, la victoire face à Arles-Avignon a-t-elle fait du bien au groupe ?
« Oui. Cette victoire nous a rassuré. On restait sur trois défaites de suite avant la trêve de deux semaines et nous avions l’obligation de l’emporter. On l’a fait en produisant du jeu et en marquant des buts sans en encaisser. J’espère que c’est le début d’une longue série. »

Depuis le début de la saison, tu évolues au poste de défenseur central. Y as-tu trouvé tes marques ?

« C’est un poste que j’affectionne. J’ai réalisé ma formation (à Saint-Etienne) dans cette position. C’est en arrivant à Nantes (en 2000) que j’ai glissé sur le côté gauche où j’ai réalisé la suite de ma carrière. Je dois m’adapter rapidement car je n’ai pas spécialement eu le temps de travailler à ce poste à l’entraînement, même si je me retrouve de plus en plus dans l’axe. Il y a des repères à trouver avec les différents joueurs avec lesquels je peux évoluer. Mais c’est un plaisir, ne serait-ce que parce que je suis dans le onze de départ. »

Le PSG se déplace jeudi à Séville. Comment abordes-tu cette rencontre ?
« La victoire face à Arles-Avignon nous permet d’aborder ce match plus sereinement. Y aller après un succès, c’est important. Maintenant, on sait que le contexte et l’adversaire seront différents. Séville est une belle équipe. L’Europa League est un championnat différent où ça joue vite. Ce sera aussi l’occasion de se tester au niveau européen. Tout le monde est excité de se déplacer là-bas. »

Vous conclurez cette semaine par la réception de Rennes…
« Il n’est jamais facile de jouer les Rennais. C’est une équipe en pleine bourre et qui est invaincue (trois victoires et deux nuls). Ce sera un autre match mais, pour le moment, on prend les matches les uns après autres. Nous verrons après la rencontre à Séville comment aborder celle face à Rennes. En tout cas, ce sera un bon match à disputer. »
JR/VG


psg.fr
Duffman
Citation (Leparisien.fr)




Le Parc des Princes s’offre à Colony Capital


Le verdict ne sera connu qu’au début de l’année 2011. Mais tout suspense semble dès aujourd’hui levé. Le bail emphytéotique du Parc des Princes, soumis à un appel d’offres de la mairie de Paris depuis quelques mois, ne devrait plus échapper à Colony Capital, propriétaire du PSG. En effet, le projet de Jacky Lorenzetti, mené par sa structure Stadome, a été retoqué par la Ville de Paris.
« On a été sortis de la compétition pour le Parc des Princes il y a quelques semaines, nous a confirmé le patron du Racing-Métro 92. On se pose la question d’un éventuel recours devant la justice. C’est la raison pour laquelle je ne peux pas en dire plus pour l’instant. »

Un succès important pour Bazin

Les deux candidats retenus en début d’année, Stadome et Colony associé à Vinci Concessions, devaient remettre leur projet le 1er juin dernier à la commission de la Ville de Paris. Cette dernière était censée désigner le vainqueur du bail dont la durée sera comprise entre dix-huit et soixante ans. Les premières constatations, cet été, avaient laissé poindre que le dossier Lorenzetti, selon des proches des débats, ne remplissait pas toutes les attentes du cahier des charges. Les équipes de l’ancien propriétaire de Foncia avaient jusqu’au 15 août pour améliorer leur copie. Vraisemblablement, ils n’ont pas su ou pu donner satisfaction.

Initialement, les deux candidats devaient remettre un volet technique avec des plans des travaux prévus mais aussi un business plan économique. Ensuite devait avoir lieu une phase d’auditions précédant l’attribution du bail début 2011. Ces dernières n’ont pas encore commencé. Et aujourd’hui, seul Colony Capital devrait être auditionné. Contactée, la mairie de Paris n’a pas souhaité faire de commentaires. Pas plus que le fonds d’investissement dont le prix des travaux pour ce projet est estimé entre 60 et 80 M€.

Confronté à des difficultés sportives et financières récurrentes depuis son arrivée au PSG en 2006, Sébastien Bazin va enfin connaître un succès important. Son rachat du club à Canal + avait été guidé par deux aspects : le faible prix de vente (NDLR : 26 M€ à diviser entre les trois repreneurs, Colony Capital, Butler Capital Partners et Morgan Stanley) et les perspectives immobilières liées au Parc. Ce ne seront peut-être pas celles envisagées au départ. L’intérêt de Colony est aujourd’hui ailleurs : disposer au moment de la revente du club d’un actif solide que le fonds voudra valoriser auprès du futur propriétaire. A condition bien sûr de le trouver. Ce n’est pas chose aisée, comme le prouvent les recherches vaines de Sébastien Bazin depuis plusieurs mois.

ARNAUD HERMANT ET MATTHIEU LE CHEVALLIER
Hari
Citation
PSG Express

Hier. Séance à huis clos à base de duels et de jeux. Sessegnon a couru.
Aujourd’hui. Départ en matinée pour Séville et entraînement à 18 h 30 au stade Sanchez-Pizjuan.
Infirmerie. Sessegnon (cheville), Bodmer (mollet), Ceará, Areola (hanche).
Suspendu. Clément (face à Rennes).
Rendez-vous. FC Séville - PSG, 1re journée de la phase de poule de Ligue Europa, demain à 21 h 5.
Antoine Kombouaré a convoqué un groupe de 19 joueurs pour le déplacement de Ligue Europa demain à Séville. Bodmer, Sessegnon et Ceará seront absents.
Une trentaine de supporteurs du PSG ont décidé de voyager à Séville dans le cadre du déplacement organisé par le club parisien. Ils seront accompagnés d’une demi-douzaine de stadiers. Par ailleurs, le PSG craint la présence demain d’anciens membres de la tribune Boulogne qui pourraient acheter leur billet une fois sur place.


leparisien.fr

Citation
PSG : La dernière saison de Giuly

Ludovic Giuly fait le point sur son avenir. Libre en juin prochain, l'attaquant parisien va faire ses valises.

Libre en juin prochain, l'attaquant parisien Ludovic Giuly (34 ans) ne va pas rempiler. « C'est ma dernière saison à Paris, explique l'ancien Barcelonais sur RMC. J'essaie d'en profiter au maximum et surtout de ne rien regretter. Ce qui est important dans une fin de carrière, c'est de partir la tête haute. Je suis plus libéré dans ma tronche. Aujourd'hui, je m'éclate sur le terrain comme si j'avais 20 ans. Ma dernière saison tout court ? On verra dans la tête et dans les jambes où j'en serai en juin prochain. Pour le moment et vu comme c'est parti, je n'ai pas trop envie d'arrêter. On verra aussi en fonction des propositions que j'aurai ou pas ou si je décide de me consacrer davantage à mes enfants. Je prendrai la bonne décision en février ou en mars. Avec une bonne hygiène de vie et de bons entraînements, on peut jouer aujourd'hui jusqu'à 35, 36 ans. Mais il ne faut pas faire la saison de trop. Je vais déjà essayer de bien finir celle là d'autant qu'il y aura beaucoup de matchs à disputer. »


football365.fr
sylvain
CR de l'article de l'Equipe du jour concernant le match de demain.

Citation
Côté PSG, Sessegnon souffre toujours de son entorse à la cheville gauche. Même si l'évolution de cette entorse est jugée favorable, on ne veut pas prendre de risque du coté du club et on le préserve pour le match de dimanche face à Rennes considéré comme le match le plus important de la semaine. Il devrait être remplacé sur le côté droit par Giuly. Makélélé devrait lui aussi être ménagé demain et on pourrait se retrouver avec un duo Clément-Chantôme au milieu de terrain.
Nenê et Hoarau pourraient être eux aussi ménagés en vue du match face à Rennes. Le PSG surveille toujours l'épaule droite de Hoarau. Enfin, Camara devrait reprendre sa place dans l'axe de la défense tandis qu'Edel devrait être confirmé pour les 2 matchs de la semaine.
Les Parisiens se sont envolés ce matin pour Séville où ils s'entraineront à 18H30.

Côté Séville, il devrait y avoir du changement par rapport à l'équipe alignée ce week-end à la Corogne (match nul 0-0).
Dabo pourrait être titularisé au poste de latéral gauche. Une autre recrue, Luca Cigarini, remis d'un problème aux cervicales, pourrait lui aussi être aligné d'entrée. La surprise pourrait venir de la défense où l'entraineur andalou, Antonio Alvarez, pourrait choisir d'aligner l'Uruguayen Martin Caceres à la place d'Escudé.

Les équipes possibles:

PSG
Edel- Jallet, Camara, Sakho (cap), Tiené- Giuly, Chantôme, Clément, Maurice- Erding, Luyindula.

Séville
Palop (cap)- Konko, Alexis, Escudé ou Caceres, Dabo- Jesus Navas, Zokora, Cigarini, Capel- Luis Fabiano, Negredo.
Beuzech
Citation
FC Séville-PSG inquiète

Quelques centaines de supporters du Paris Saint-Germain sont attendus jeudi à Séville pour le match du club de la capitale en Ligue Europa. Le PSG a bien affrété un avion pour une quarantaine de supporters, qui seront rassemblés dans une tribune particulière du stade Ramon Sanchez-Pizjuan, mais environ 350 autres, issus pour la plupart du virage Boulogne, ont prévu de s'y rendre par leur propres moyens.

«Si les autorités espagnoles identifient des supporteurs à risque, ils seront pris en compte et ne pourront pas accéder au stade», a prévenu Antoine Boutonnet, à la tête de la division nationale de lutte contre le hooliganisme. «Je déconseille aux interdits de stade de venir à Séville et je leur conseille même de pointer dans les commissariats pour montrer qu'il n'y sont pas».

«Tout peut se passer»

Les autorités des deux pays redoutent des troubles susceptibles de créer ensuite des incidents diplomatiques, comme celui déclenché en 2008 à Madrid par l'interpellation du supporter de l'OM Santos Mirasierra. «Séville a l'un des deux plus gros groupes de supporters en Espagne. Ils sont assez présents dans la rue et c'est assez rare dans ce pays. Donc tout peut se passer», redoute un supporter parisien. De plus, l'UEFA vient d'ouvrir une enquête pour vandalisme contre certains supporters du club andalou après leur déplacement à Braga, en août dernier. Cette action de l'instance européenne pourrait entraîner un mouvement de protestation des fans sévillans. (Avec AFP)


sylvain
L'Equipe.fr

Citation
Foot - C3 - PSG
Clément à les « boules »

Le milieu du PSG Jérémy Clément pourrait enfin être titulaire ce jeudi à Séville en Ligue Europa. Le Parisien, qui n'a que très peu de temps de jeu cette saison, est amer. Il se confie.

Le FC Séville


« Je trouve que c'est une belle équipe. Ce sera intéressant et je suis content de jouer des matches comme ça. On ne connaît pas leur niveau actuellement même s'ils ont joué la Ligue des Champions (le tour préliminaire, ndlr). Il faudra qu'on soit à un bon niveau pour faire quelque chose. Notre objectif, c'est le Championnat, c'est clair, mais les coupes, il faut les jouer à fond. Ça permet de faire une revue d'effectif ».

Le niveau du PSG

« Je dirais qu'il est intéressant mais on doit corriger quelques éléments notamment notre défense. On est capable de bien attaquer mais on sait qu'on se relâche aussi. Moi, je pense que c'est un travail de cohésion d'équipe, d'équilibre. C'est vrai qu'on a pris sept buts en deux matches mais il faut défendre tous ensemble et ça, on l'oublie un peu. Je crois que pour bien préparer la venue de Rennes, il faut faire un bon résultat contre Séville ».
La victoire contre Arles-Avignon

« C'était important de gagner surtout après notre revers à Sochaux (défaite 3-1, ndlr). J'ai trouvé que le contenu de leur match était encore moins bon que d'habitude. On s'est rendu le match facile, on a fait ce qu'il fallait, on a pris les trois points. J'ai entendu parler de nouvelle crise du PSG mais on fait quand même de bonnes choses. Dans le contenu, c'est intéressant même si mathématiquement, on n'est pas au top ».

Kombouaré et la concurrence


« Je pense que c'est bien qu'il y ait plus de concurrence. Il fait jouer la meilleure équipe. Je ne vais pas vous dire qu'il est «réaliste» car je ne joue pas ! Je ne vais pas forcément être objectif sur ce point là mais ce sont ses choix. Ça me fout les boules de ne pas jouer ! J'ai 26 ans et si on était cinq ans en arrière, je l'aurais mal pris comme un petit c... Maintenant, je m'entraîne à fond et je donne le maximum. Si je dois jouer cinq ou quinze minutes ok mais j'ai besoin de jouer. Je ne vous cache pas que j'aurais préféré commencer la saison mais c'est la dure loi du milieu. Et puis, ça va vite dans le foot ! »

L'affaire de la tenue vestimentaire

«C'est un peu des bêtises tout ça. Si on nous avait dit :«Mettez le costume » et bien on le mettait. C'est un manque de communication avant tout. On s'en fout (sic) de venir en civil ou pas, de toute façon, on avait emmené notre costume. Qu'on le mette avant ou après, qu'est-ce que ça changeait ? ».

Propos recueillis par Christophe MICHEL
Krozac
Citation
LIGUE EUROPA/ SÉVILLE - PSG

Les Parisiens n’ont pas envie de plaisanter

Les Parisiens, à l’effectif remanié, entament en Espagne leur campagne européenne. Une compétition qu’ils n’entendent pas brader au profit du championnat.

Séville 4 - PSG 0. Sur le tableau d’affichage du stade Sanchez Pizjuan, les Espagnols ont déjà joué le match. C’est le score qu’ont découvert hier les joueurs du PSG à leur arrivée sur la pelouse pour leur dernier entraînement. Arrogance, facétie ou maladresse des responsables sévillans ? Impossible à savoir.

Le président Robin Leproux n’a pas vraiment apprécié cette forme d’humour andalou, pestant contre ce qu’il a qualifié de « manque de respect ». Qu’il se rassure, le PSG n’a pas encore perdu son premier match de poule de cette Ligue Europa. Oui, Séville étouffe sous la chaleur (37 °C hier après-midi), et malgré l’heure tardive du match (21 h 5), cela pourrait jouer en défaveur des Parisiens. « Ce sera notre premier obstacle », a confié Antoine Kombouaré. Oui, l’arène de Sanchez Pizjuan est un stade à part pour le football tricolore depuis la défaite légendaire de l’équipe de France, en demi-finales de la Coupe du monde 1982 face à l’Allemagne. Ces murs décrépis rouge et blanc semblent d’ailleurs dater de cette époque où Platini tenait la main de Battiston quittant le terrain inconscient sur une civière. Oui, le PSG se retrouve loti au sein d’une poule où Séville, 4e de la dernière Liga et double vainqueur de la Ligue Europa, ainsi que Dortmund ont de sérieux arguments à faire valoir. « C’est une poule difficile, convient Ludovic Giuly. Mais cette Coupe d’Europe, c’est beau pour le club et c’est beau pour le groupe. Alors on va la jouer à fond. »

Un vrai objectif

Au sortir d’une triste saison, le PSG n’a pas l’intention de brader l’Europe aux dépens du championnat, pourtant considéré comme l’objectif suprême. Ce qui peut apparaître risqué ne l’est pas tant que ça. Deux ans après avoir atteint les quarts de finale de cette Ligue Europa, l’effectif de ce PSG version 2010-2011 semble plus adapté à une compétition au long cours. « Le banc a plus d’expérience », rappelle Giuly. Et aussi plus de joueurs. Les départs de Landreau, Bourillon et la mise à l’écart de Rothen ont été remplacés par les arrivées de Coupet, Erding, Jallet, Bodmer, Nenê et Tiéné. Kombouaré a du choix là où Le Guen gérait la pénurie. L’entraîneur parisien a d’ailleurs convenu hier qu’une « rotation » sera effectuée pour ce déplacement à Séville avant d’accueillir Rennes, 2e de la Ligue 1 dimanche au Parc des Princes. En revanche, le PSG ne devra pas compter sur cette Ligue Europa pour renflouer ses comptes déficitaires. Le vainqueur de cette édition, le 18 mai prochain à Dublin, n’empochera au mieux que 6,44 M€ plus une part variable. Et encore, on parle là d’une équipe performante qui aura réussi une phase de poules quasi parfaite. Les Parisiens n’en sont pas là et il s’agit déjà de bien débuter ce soir à Séville. Au moins pour rendre le sourire à leur président.




Citation
Plusieurs centaines de supporteurs parisiens attendus

Les autorités espagnoles sont en alerte. Plusieurs centaines de supporteurs parisiens sont en effet attendues aujourd’hui dans les rues de Séville. Une quarantaine, seulement, se sont conformée aux règles désormais en vigueur au PSG en voyageant à bord d’un avion affrété par le club. Ils pourront ainsi occuper la tribune visiteurs du stade Sanchez Pizjuan.

Mais d’autres fans certaines sources évoquent entre 200 et 300 personnes, essentiellement issus du Kop de Boulogne se sont déplacées par leurs propres moyens. Faute de pouvoir accéder à la tribune visiteurs, la plupart espèrent se procurer des billets pour le match une fois sur place. Des membres du Virage d’Auteuil sont également annoncés. Afin de prévenir tout risque de débordement et d’accueillir au mieux les 30 000 spectateurs attendus, les autorités espagnoles ont décidé de renforcer leur dispositif de sécurité. Une réunion s’est tenue hier matin entre le PSG, des représentants du ministère de l’Intérieur français et des membres de la préfecture de la province de Séville.

Des policiers français présents

Les autorités françaises ont notamment communiqué à leurs homologues espagnoles les identités des quelque 300 fans parisiens interdits de stade ainsi qu’une liste de noms d’individus susceptibles d’être des « fauteurs de troubles ».
« Si nous avons des supporteurs qui sont clairement identifiés comme des adeptes habituels de la violence, ils ne rentreront pas dans le stade », annonce le commissaire Antoine Boutonnet, chef de la division nationale contre le hooliganisme. Pour ce faire, des contrôles d’identité seront effectués à l’aéroport, dans la ville et aux abords de l’enceinte sportive. Des policiers français des physionomistes notamment seront également présents. « Les autorités espagnoles ne plaisantent pas. Au moindre incident en tribunes, ils séviront, prévient le PSG. Ici, le trouble à l’ordre public est en effet sous le coup de la loi antiterroriste. » En 2008, un supporteur marseillais, Santos Mirasierra, avait ainsi été condamné à trois ans et demi de prison par la justice espagnole après des incidents lors d’un match de Ligue des champions entre l’Altetico Madrid et l’OM.


Le Parisien.fr
orel
L'Equipe du 16.09

Citation
SEVILLE FC - PARIS-SG 21h05

Stade Sanchez-Pizjuan, en direct sur W9. Arbitre : M. Schörgenhofer (AUT)

SEVILLE FC: Palop (cap.) - Konko, Alexis, Caceres, Dabo - Navas, Zokora, Cigarini, Capel - Luis Fabiano, Negredo. Remplaçants: Varas (g.), José Carlos, F. Navarro, Alfaro, Guarente, Perotti, Kanouté. Entraîneur : A. Alvarez.

PARIS-SG: Edel - Jallet, Z. Camara, Sakho (cap.), Tiéné - Giuly, Chantôme, Clément, Nenê - Luyindula, Erding. Remplaçants: Coupet (g.), Armand, S. Traoré ou Makonda, Makélélé, Hoarau, Kezman, Maurice. Entraîneur : A. Kombouaré.

Citation
L'été nourri de Sakho

Appelé chez les Bleus, promu vice-capitaine du PSG, le jeune défenseur central vient de poser ses crampons sur un tremplin.

C'EST PLUTOT le silence qui enveloppe la trajectoire de Mamadou Sakho. Et on peut s'en étonner tant son été l'a porté vers un nouveau cap. En juillet, Antoine Kombouaré lui a conféré ce statut de vice-capitaine jusqu'alors attribué à Sylvain Armand. En août, Laurent Blanc l'a convoqué pour la première fois chez les A, à l'occasion du match amical en Norvège (1-2, le 11 août). Avant de le convier, début septembre, à préparer avec les Bleus le début des qualifications de l'Euro 2012 contre la Biélorussie (0-1, le 3 septembre) et la Bosnie-Herzégovine (2-0, le 7 septembre).
A vingt ans, le défenseur central n'a pas encore porté le maillot de l'équipe de France. Mais ses récentes invitations à Clairefontaine autant que sa promotion interne au PSG nourrissent l'idée que le natif de Paris vient de glisser, même discrètement, dans une autre dimension. "Etre vice-capitaine de son club formateur, c'est quelque chose de très fort pour Mamadou, assure-t-on dans son entourage. Mais il garde la tête sur les épaules."

Il ne lui reste "que" deux ans de contrat

Il y avait un risque sensible mais finalement une intuition intéressante dans le choix de Paul Le Guen d'en faire le capitaine du PSG, le 20 octobre 2007, à Valencienne (0-0), le jour... du premier match de Sakho en L1. Le signe, déjà, d'un début de carrière à lire en mode "avance rapide". Du centre de formation du PSG aux Espoirs, dont il fut longtemps capitaine, il ressort invariablement cette image d'un joueur taillé pour le leadership, même s'il esquive souvent les lumières médiatiques. On dit toujours de Sakho qu'il manque parfois de concentration et que ses relances manquent de sobriété ; on n'a jamais dit de lui qu'il pouvait manquer de caractère, ni de mordant dans les duels. "Je pense qu'en lui confiant cette responsabilité de vice-capitaine, il va grandir encore plus, estime son entraîneur, Antoine Kombouaré. Cela peut l'aider à gommer certaines lacunes dans son jeu mais aussi dans son comportement général, un point sur lequel il y a du boulot... Et puis, c'est un signal important qu'on envoie, parce qu'il est issu de notre centre de formation."
Soixante-dix matchs de L1 avec le PSG à vingt ans : cette seule statistique érige Mamadou Sakho en exception parisienne. S'il est aligné, ce soir, à Séville, le gaucher disputera son onzième match européen (tous en C3). A l'heure où Camara est contesté et où Armand tente de trouver un nouveau souffle dans l'axe, Sakho fait figure d'indéboulonnable. En interne, on glisse que "sa présence sur le terrain diffuse de la confiance". Et on espère, un jour, qu'elle rapportera près de 10 M€. Celui qui a marqué contre Arles-Avignon (4-0), samedi dernier, a un contrat qui ne court "que" jusqu'en 2012. Paris n'aurait pas encore entamé de démarche en vue d'une prolongation. Le joueur d'origine sénégalaise, lui, a déjà évoqué publiquement ses envies de Ligue des champions. Et avec Sakho, les ambitions n'ont pas pour habitude de traîner...

JEROME TOUBOUL

Citation
Hoarau ménagé ?

SEVILLE - de notre envoyé spécial

SI ANTOINE KOMBOUARE a laissé planer le doute, hier, sur la composition de l'équipe qu'il alignerait ce soir, l'entraîneur parisien a assuré qu'il procéderait "certainement" à une rotation, à trois jours de la réception de Rennes en Championnat. En défense centrale, Armand devrait donc être ménagé et remplacé par Camara. Au milieu, c'est Makélélé qui pourrait être laissé au repos. En l'absence de Bodmer, blessé (mollet gauche), Kombouaré pourrait associer la paire Clément - Chantôme, comme ce fut le cas lors du match retour de barrages à Tel-Aviv (3-4, le 26 août). Mais le technicien kanak a prévenu : s'il y a rotation, il ne veut pas "les mêmes résultats que ceux obtenus à Tel-Aviv puis à Sochaux (1-3) derrière." Contrairement au déplacement en Israël, Hoarau, touché à l'épaule lors de France - Biélorussie (0-1, le 3 septembre), pourrait être préservé. "On le fait jouer tant qu'il le peut en espérant à chaque fois qu'il va franchir l'obstacle et qu'il n'aura pas à passer sur le billard", a dit Kombouaré. L'obstacle sévillan devrait être contourné, au moins en partie, pour l'attaquant international français. - D.D.

Citation
Sécurité renforcée

QUELQUES CENTAINES de supporters du Paris-SG sont attendus aujourd'hui à Séville, alors que les autorités françaises et espagnoles ont renforcée le dispositif de sécurité en raison d'un contexte tendu. Le club parisien a affrété un avion avec, à bord, une quarantaine de supporters qui seront rassemblés dans une tribune particulière du stade Sanchez-Pizjuan. Environ 350 autres, qui avaient jusqu'à la fin de saison dernière leurs habitudes dans le virage Boulogne, prévoiraient de se rendre en Espagne par leurs propres moyens.
Hari
Citation
Le PSG réussit le coup parfait à Séville (0-1)

Pour son premier match de poule de la Ligue Europa, Paris a parfaitement manoeuvré pour l'emporter à Séville, 4e du dernier championnat espagnol (0-1).

Depuis le début de la saison, Paris alterne le bon et le moins bon contre des équipes aux profils très différents. Mais le PSG a réussi, jeudi soir au stade Sanchez Pizjuan, son premier test européen de l'année.
Avec une équipe remaniée dans les grandes largeurs (Bodmer, Sessegnon et Ceara à l'infirmerie; Makelele, Sakho, Hoarau, Giuly sur le banc), Antoine Kombouaré a en effet gagné la première manche de son pari: vaincre à Séville tout en ménageant ses troupes en vue du match contre Rennes, dimanche au Parc des Princes.

Le premier quart d'heure des Parisiens fait pourtant craindre le pire, tant les partenaires de Sylvain Armand, capitaine en Espagne, semblent d'abord dépassés par le jeu dans les intervalles des Sévillans, vainqueurs de la Coupe de l'UEFA en 2006 et 2007. Mais peu à peu, avec son bloc très bas, Paris va gêner les Espagnols et les occasions s'équilibrent. Alexis (7e), José Carlos (17e), Luis Fabiano avec classe (20e), ou Cigarini (29e) inquiètent Edel, qui s'interpose à nouveau sur un coup franc dangereux (36e). En face, Paris réplique par des tentatives de Chantôme (13e, 27e) qui manque le cadre. Mais le PSG rate surtout le coche par deux fois. Comme autant de duels perdus par Mevlut Erding devant Palop, le portier du FC Séville (31e, 42e).

Nênê encore décisif

En deuxième période, le public de Sanchez Pizjuan monte le volume d'un cran mais Capel trouve le petit filet (61e). Erding croise trop une nouvelle frappe (65e) et cède sa place à Claude Makelele (66e), chargé de densifier le milieu pour conserver ce score de parité.
Paris va pourtant faire mieux que match nul et profiter d'une passivité incroyable de Séville sur toute la longueur du terrain. Chantôme adresse ainsi une longue passe plein axe à Luyindula. L'attaquant parisien avance et décale Nênê côté gauche qui trompe Palop (76e). Le Brésilien bénéficie d'une petite touche de chance car son ballon piqué est dévié par un défenseur espagnol ce qui empêche un des coéquipiers de dégager sur la ligne.

Dans un groupe où figurent également le Borussia Dortmund (L1 allemande) et Lviv (L1 ukrainienne), Paris réalise une entrée en matière idéale. De quoi aborder avec confiance la venue de Rennes, dimanche en championnat.


Composition des équipes.


Séville: Palop (cap.)- Konko, Martin Caceres, Alexis, Dabo- Jesus Navas, Zokora, Cigarini (Kanouté, 46e), Capel (Perotti, 62e)- José Carlos (Guarente, 46e)- Luis Fabiano. Entr : Alvarez
PSG: Edel- Jallet, Camara, Armand (cap.), Tiéné (Sakho, 90e)- Maurice, Chantôme, Clément, Nênê (Hoarau, 77e)- Luyindula, Erding (Makelele, 66e). Entr: Kombouaré.


leparisien.fr


Citation
Paris, la confiance retrouvée


Après Arles-Avignon, le PSG enchaîne un 2e succès d'affilée sur la pelouse du FC Séville (1-0). Nenê a inscrit le but de la victoire.


Pas fiers au moment du tirage au sort, lorsqu'ils avaient découvert leurs futurs adversaires, les Parisiens sont, après leur premier match, beaucoup plus sereins sur leurs chances de qualification pour les seizièmes de finale. Même si tout reste à faire, ils savent désormais qu'ils ont le niveau pour finir parmi les deux premiers. Parce qu'il y a quelques jours encore, personne n'en était vraiment sûr. Après leur succès jeudi à Séville (1-0), les joueurs de la capitale occupent une deuxième place encourageante dans le groupe J, à égalité de points avec Dortmund, vainqueur de Carpates Lviv dans le temps additionnel (4-3). Dans les têtes, tout va beaucoup mieux depuis la victoire contre Arles-Avignon, samedi dernier (4-0). Ça s'est vu au stade Sanchez-Pizjuan, où malgré une équipe remaniée, le PSG a très rarement été inquiété.

Nenê buteur providentiel

Toujours privé de Stéphane Sessegnon, Mathieu Bodmer et Marcos Ceara, blessés, Antoine Kombouaré avait à nouveau fait tourner son effectif contre le quatrième du dernier Championnat d'Espagne. Après Armand titulaire dans l'axe face à l'ACA, l'ancien Nantais était cette fois capitaine, en l'absence de Sakho et Makelele, ménagés. Egalement laissé sur le banc, Guillaume Hoarau a pu assister à la bonne prestation d'ensemble de ses partenaires. A commencer par celle de Nenê, buteur pour la troisième fois en cinq jours, au terme d'une belle contre-attaque en fin de match (76e). Avec le Brésilien, le PSG ne s'est vraiment pas trompé. Non seulement il a retrouvé un véritable ailier côté gauche, mais en plus il s'est offert un homme capable d'être décisif, ce qui lui manquait terriblement l'an dernier.

Car même s'il a fini meilleur buteur du club (15 buts en Ligue 1), Mevlut Erding n'est décidément pas en réussite depuis la reprise. Face aux Andalous, déjà battus à domicile en barrages de la Ligue de champions par Braga (3-4) et dont la défense était amputée de Julien Escudé, l'international turc a encore vendangé (42e et 65e). En manque cruel de réussite, il a pourtant beaucoup tenté. Comme toute son équipe, qui a bien cru ne jamais finir par mettre la balle au fond (26e et 74e). Mais à force d'insister et d'y croire, le sérieux et la volonté ont été récompensés. Avant la venue de Rennes, dimanche au Parc pour son deuxième match à domicile d'affilée en Championnat, Paris ne pouvait pas mieux espérer. - H.S.


lequipe.fr
NeiBaF
Citation
Kombouaré : «Largement mérité»




Heureux de la performance de son équipe, qui est allée s'imposer jeudi soir à Séville (1-0), Antoine Kombouaré s'est montré très élogieux envers ses joueurs après la partie. «J'aurais été très frustré de repartir avec un 0-0. Il y a eu une énorme solidarité. En première mi-temps nous avons eu les meilleures situations. Mais on ne s'est pas découragé. C'est une victoire largement méritée, s'est félicité l'entraîneur du PSG. Séville a eu beaucoup de soucis mais parce qu'on a fait un grand match. On a super bien défendu. Plus le match se déroulait, plus on a pris l'ascendant. On a fini le travail. Le but marqué par Nenê c'est la récompense du travail fourni pendant tout le match. Le score aurait pu être plus large car on a vraiment eu beaucoup d'occasions.»

«Il y a l'envie de bien figurer dans cette compétition.»


D'ordinaire plutôt avare de compliments, Kombouaré n'a cette fois pas compté au moment de saluer la prestation collective et l'état d'esprit affiché par son groupe, qui a répondu à toutes ses attentes. «A la fin du match je ne dis pas que c'est une surprise de gagner ici. Dans le jeu, on a bien verrouillé. Je peux vous dire qu'à la mi-temps on est frustré de rentrer avec un 0-0. Il y a l'envie de bien figurer dans cette compétition et l'envie de revenir d'ici avec un résultat positif, a-t-il poursuivi. Les joueurs ont répondu présent aujourd'hui, bravo à eux. Enfin j'ai un groupe plus consistant et ce sont les meilleurs qui jouent. C'est la performance collective d'ensemble qu'il faut féliciter. La concurrence est fantastique quand les joueurs acceptent les choix».

Tiéné : «De mieux en mieux»


Parfait exemple de joueur qui a répondu présent, Siaka Tiéné était lui aussi ravi après sa deuxième victoire d'affilée, lui qui avait déjà joué dans le couloir gauche contre Arles-Avignon (4-0), pour sa première apparition avec le maillot du PSG. «Gagner à Séville ça fait vraiment plaisir. On ne peut qu'être content de ce résultat, a estimé l'international ivoirien. C'est une continuité. Il faut avancer match après match. Il y a eu Arles, maintenant Séville, après il y aura Rennes. On apprend. Je me sens de mieux en mieux (dans cette défense). Ça se passe super bien».

succo
Citation
Edel, le retour des soucis ?

Le 10 Sport va publier vendredi des documents remis à la justice qui, selon la publication, étayent les accusations de falsification d'identité et d'âge visant Edel, le gardien arméno-camerounais du Paris SG, portées par Nicolas Philibert qui affirme être son ancien entraîneur.

L'hebdomadaire publie notamment une attestation sur l'honneur d'un joueur camerounais qui certifie avoir connu le joueur du PSG au Cameroun et l'a ensuite reconnu en France.

Hari
Citation
Nenê tire encore le PSG vers le haut

Grâce au Brésilien Nenê, une nouvelle fois décisif, les hommes de Kombouaré ont parfaitement géré leurs débuts en Coupe d'Europe.

Pour Paris, l'Europe est le révélateur de son état de forme... du week-end précédent. A Tel-Aviv (défaite 4-3), le PSG restait sur un revers face à Bordeaux à domicile. Hier, en s'imposant (1-0) à Séville au terme d'un match solide, le PSG a fait fructifier son large succès de samedi face à Arles-Avignon (4-0). Le club de la capitale a préparé avec sérieux la réception de Rennes, dimanche au Parc des Princes.

Face à une équipe bâtie pour disputer la Ligue des champions, les Parisiens ont attendu, et leur poignée de supporteurs aussi, avant de planter un contre redoutable conclu par l'inévitable Nenê à un quart d'heure de la fin du match. Au passage, le Brésilien confirme son excellent début de saison et son rôle de buteur dans une équipe qui aura de plus en plus de mal à se passer de lui. Dans son sillage, Paris s'offre un succès face au favori de la poule et s'ouvre la voie pour une qualification dans une Ligue Europa où les succès à l'extérieur vaudront cher.

Un début de match poussif


Les déclarations d'intention des partenaires de Makelele vis à vis de l'Europe ne sont pas restées lettres mortes. Beaucoup de Parisiens avaient déclarer leur flamme à cette compétition. Pour être franc, cela ne s'est pas vu d'emblée. Entre mercredi et jeudi, la température était retombée sur la capitale andalouse et l'enthousiasme des Parisiens aussi. A Tel-Aviv, comme un effet de miroir inversé, c'est la dernière demi-heure qui avait fait éclater au grand jour les carences parisiennes. Hier, les trente premières minutes ont fait craindre le pire. Paris, nanti d'un secteur défensif défaillant, a souvent plié mais sans rompre. Dans cette terre pieuse, cela révèlerait presque du miracle tant Luis Fabiano et ses coéquipiers se sont montrés maladroits. Les rotations (Camara, Clément) et le manque de rythme de certains (Luyindula, Maurice) ont pesé de tout leur poids dans l'apathie manifeste des Parisiens. Finalement, c'est dans les ballons de récupération que Paris a trouvé les moyens de s'offrir quelques respirations. Les Parisiens ont manié l'art du contre avec dextérité mais sans l'efficacité requise dans ce genre d'exercice. Erding, en déficit de confiance en ce début de saison, est le Parisien le plus blamable. Par deux fois (31e et 42e), l'attaquant turc s'est retrouvé en position de donner l'avantage au PSG mais il n'a pas su tromper Palop. Un tir trop croisé, un autre repoussé, Erding avait la possibilité de se relancer à Seville mais, comme face à Arles-Avignon, il n'a pas su saisir l'occasion. Dommage pour lui. Heureusement, Nenê veillait.

Frédéric Gouaillard



Citation
Sylvain Armand : « Notre solidarité a payé »

Les Parisiens sont restés longtemps sur la pelouse du stade Sanchez-Pizjuan hier soir. Non pour savourer leur victoire mais pour effectuer un décrassage. Vers minuit, Sylvain Armand, capitaine d’un soir, est revenu sur le succès probant de son équipe.

Comment accueillez-vous ce succès à Séville ?
Sylvain Armand. C’est la récompense d’un très gros match.
Au départ, on s’était dit qu’il était important de ne pas perdre car c’est un mini-championnat que nous disputons. Et chaque point compte. Mais l’équipe a su être solide et produire un très bon football. On savait que le match serait difficile mais notre solidarité a payé. Cette victoire est un gros bonus pour une équipe qui a besoin de travailler dans la sérénité.

Le moral est-il revenu au PSG ?
Tout va très vite à Paris. Trois défaites Et on nous annonce que la crise est de retour. Deux victoires d’affilée et on nous demande de nous enflammer. Ne tombons pas dans ce piège et gardons la tête froide. Maintenant, il faut bonifier ce succès européen par une victoire dimanche contre Rennes. Si c’est le cas, nous passerons une semaine tranquille avant d’aller à Lens.

Quelle a été la clé de ce succès ?
Il fallait avant tout bien défendre et tenter ensuite d’exploiter d’éventuelles failles espagnoles en contre-attaque. C’est ce qui est arrivé. Au delà du but, il faut retenir que nous avions tenu Séville en échec avant de marquer. Il y a un gros potentiel dans notre équipe. Le groupe est plus étoffé que l’an dernier, la concurrence est plus forte. C’est une des raisons de la victoire de ce soir (NDLR: hier soir).

Comment vous êtes-vous senti dans votre rôle de défenseur central ?
Cela ne sert à rien de regarder les cas personnels. La victoire est collective. Pas individuelle.

PROPOS RECUEILLIS PAR CH.B. ET S.D.M.



Citation
Chantôme, mieux qu’une doublure

Dans l’esprit d’Antoine Kombouaré, il figure toujours au quatrième rang dans la hiérarchie des milieux récupérateurs, derrière Makelele, Bodmer et Clément. Mais Clément Chantôme, 23 ans, a montré hier soir au stade Sanchez Pizjuan qu’il valait bien mieux qu’une simple doublure.

Dès le début du match, il se montre, en effet, le joueur le plus en vue. Solide à la récupération, Archavine — son surnom dans le vestiaire parisien en raison de sa ressemblance avec l’attaquant russe d’Arsenal — manifeste également de l’audace en attaque. Il est le premier des Parisiens à porter le danger devant le but adverse. Il dribble ainsi deux de ses adversaires avant d’adresser un centre à Nenê qui sera repoussé de la tête (8e). Cinq minutes plus tard, il est aussi l’auteur d’une belle frappe flottante qui passera juste au-dessus des cages de Palop. Après la pause, les assauts répétés de Séville l’amènent à réduire sa participation offensive. Il continue toutefois à se signaler par une belle combativité.

Pour sa quatrième titularisation de la saison, Chantôme rend donc, au final, une copie propre. Avant cette soirée andalouse, Kombouaré lui avait seulement offert du temps de jeu lors des matchs de barrage contre le Maccabi Tel-Aviv ainsi que face à Arles-Avignon (4-0). Trois rencontres au cours desquelles ce pur produit du centre de formation avait déjà fait le métier avec sobriété. En fin de saison dernière, Chantôme, frustré par son faible temps de jeu (1017 minutes en Ligue 1 pour seulement 11 titularisations) n’avait pas caché à ses dirigeants ses envies d’ailleurs. Son entraîneur n’avait d’ailleurs rien fait pour le retenir. Flairant le bon coup, Auxerre, s’était même positionné mais les 5 M€ réclamés avaient de quoi dissuader plus d’un club.

Et c’est tant mieux pour le PSG. Car l’abattage de ce joueur ne sera pas un luxe cette saison pour permettre aux Parisiens de réapprendre, enfin, à conjuguer le verbe gagner au présent.

Sylvie De Macedo



Citation
LES JOUEURS
Edel a tenu son rang


6 EDEL Rassurant dans les airs, il repousse joliment un coup franc excentré de José Carlos (35e).

5,5 JALLET Une frappe de près de 30 mètres au-dessus (30e) témoigne de sa bonne volonté offensive. Généreux dans la prise de risque. Moins en vue après la pause.

5 CAMARA Il a joué avec le frein à main tout le match et n'a pas toujours bien suivi les déplacements de Luis Fabiano. Manque de marquer sur un centre de Maurice (74e).

4,5 ARMAND Toujours aussi lent, il a également failli dans le placement. Mais est-ce vraiment l'aider que de l'aligner en défense centrale où il n'a aucun repères ?

4,5 TIÉNÉ Sa vaillance est louable mais elle flirte parfois avec l'agressivité. L'Ivoirien a multiplié les interventions répréhensibles sur Navas. Il s'en sort bien avec un seul carton jaune (47e). Remplacé par Sakho (90e)

4 MAURICE Le jeune Parisien court mais pas toujours à bon escient. Il se bat mais sans réelle lucidité.

6 CHANTÔME Toujours aussi pugnace, il ne se contente pas de ratisser des ballons. Il tente surtout de les bonifier rapidement. Il se précipite trop sur un centre de Nenê (27e).

5 CLÉMENT En manque de rythme, l'ex-Lyonnais n'a pas semblé prendre beaucoup de plaisir. Il a passé son match à essayer de colmater les brèches au lieu d'apporter le surnombre.

7 NENÊ Techniquement au-dessus des autres, le Brésilien apporte des solutions sur chaque contre. Bien décalé par Luyindula, il marque avec sans-froid et intelligence (76e) avant d'être remplacé par Hoarau (77e).

3 ERDING En manque évident de confiance. Le Franco-Turc rate deux duels faciles devant Palop (31e, 42e). Il y a aujourd'hui un problème Erding à résoudre sans délai. Remplacé par Makelele (66e).

5 LUYINDULA Malgré un pressing défensif qui a parfois mis Kombouaré hors de lui, il a persévéré. Sa passe sur le but de Nenê (76e) fait passer son match de fade à correct.

SÉVILLE les ex-Stéphanois Dabo et Zokora ont joué avec calme.

PAR CHRISTOPHE BÉRARD



Citation
Les supporteurs parisiens sous surveillance

Un petit incident et c’est tout. Hier soir, à 21 heures, seule une petite échauffourée impliquant des supporteurs de l’ex-tribune de Boulogne était à déplorer dans le centre-ville de Séville. De 150 à 200 fans parisiens étaient venus par leurs propres moyens en dehors du déplacement organisé par le PSG.
L’ambiance est restée calme dans la cité andalouse.
Pour prévenir tout risque de débordement des supporteurs du PSG, essentiellement issus du Kop de Boulogne, les policiers locaux, en collaboration avec les autorités françaises, n’ont pas lésiné sur les moyens. Cinq interdits de stade avaient déjà été interceptés mardi soir à l’aéroport. Hier, chaque vol en provenance de Paris a fait l’objet de nombreux contrôles, un policier français expliquant aux supporteurs les règles à observer pendant leur séjour.
« Ils nous ont dit qu’on n’avait pas le droit d’approcher le stade à plus de 500 m, qu’on pouvait se promener en ville mais qu’au moindre problème, nous serions interpellés, raconte l’un d’entre eux. Ensuite, on a été emmenés dans une petite salle où ils ont relevé notre identité et où ils nous ont pris en photo. Je ne suis pas interdit de stade, je suis simplement venu supporter mon équipe et voilà comment on nous traite… » Une poignée a réussi à échapper à ces contrôles. Mais au total, une petite centaine de personnes a été fichée et photographiée afin d’être facilement identifiable en cas d’incident.

Une centaine d’entre eux maintenue en centre-ville

Ces mesures semblent avoir eu un effet dissuasif pour les supporteurs parisiens. Hier après-midi dans les rues de Séville, hormis l’incident évoqué plus haut, les fans du PSG se sont faits discrets. Une centaine de supporteurs a été maintenue en centre-ville par les forces de l’ordre. Certains ont renoncé d’eux-mêmes au match. D’autres ont réussi à pénétrer dans l’enceinte du stade mais la plupart n’arboraient pas d’écharpe ou de maillot de leur club. Par peur qu’on leur interdise l’entrée, ils ont préféré faire profil bas et se mêler à la foule, laissant à la petite quarantaine de fans du PSG installés officiellement à la tribune visiteurs le soin de défendre leur cause. Au coup d’envoi, ces derniers ont déployé une banderole sur laquelle on pouvait lire : « Sans ses virages, le PSG perd son cœur et sa fierté. »

SYLVIE DE MACEDO (AVEC F.G.)



leparisien.Fr
Pauleta75
Citation
http://www.football365.fr/france/infos-clu...e-fierte-.shtml
Vidéos de réactions d'Armand et Leproux du match à Seville


FOOTBALL365
Axeloo
Citation
W9 réalise la meilleure audience de son histoire grâce au PSG

Diffuseur du match entre le FC Séville et le PSG, la chaîne de la TNT a été regardé par plus de 1,5 millions de téléspectateurs. Un record.

W9 se souviendra longtemps du match entre le FC Séville et le PSG, comptant pour la 1ère journée des phases de poule de l'Europa League. Non seulement, les hommes de Kombouaré ont déjoué les pronostics en allant s'imposer en terre andalouse (1-0), mais en plus, la chaîne de la TNT a réalisé la meilleure audience de son histoire.

C'est au total plus de 1,5 millions de téléspectateurs qui ont suivi la victoire de Clément Chantôme et ses coéquipiers, pour une part d'audience de 7,1%. A noter que ce score est également la meilleur performance d'un match de football depuis la création des chaînes de la TNT en 2005. Autant dire que l'on devrait revoir les hommes d'Antoine Kombouaré très prochainement sur W9.


Chronofoot.com
sylvain
Le Parisien

Citation
Edel n’en a pas fini avec son affaire


Jeudi soir, Edel quitte le stade Sanchez Pizjuan le visage fermé. Son équipe vient pourtant de réaliser une belle performance en s’imposant 1-0 à Séville en Ligue Europa. Mais le portier parisien préfère rester muet. Discret face aux journalistes, le gardien du PSG cherche sans doute à éviter toute question concernant les accusations de falsification d’identité et d’âge portées contre lui par Nicolas Philibert, son ex-entraîneur.
En effet, neuf mois après avoir défrayé la chronique, le gardien pourrait très vite se retrouver à nouveau dans la tourmente.

Où en est l’enquête ? Si ces derniers mois l’affaire était perdue dans les méandres du système judiciaire, elle pourrait bien connaître de nouveaux rebondissements dans les semaines à venir. Certes, la plainte en diffamation déposée par Edel en janvier tarde à aboutir, d’autant plus que le juge d’instruction chargé de l’enquête a changé fin août. En revanche, celle déposée par Nicolas Philibert pourrait enfin être instruite.
En mai, ce dernier avait porté plainte contre Edel pour « substitution de nom et faux et usage de faux » auprès du parquet de Paris, qui a finalement décidé en août, soit trois mois plus tard, de faire suivre le dossier au parquet de Versailles, dans les Yvelines, département de résidence du joueur. Las d’attendre l’ouverture de l’enquête, l’avocat de Philibert a formulé jeudi une nouvelle plainte avec les mêmes accusations, mais cette fois-ci avec constitution de partie civile. Une telle démarche permettra ainsi à un juge d’instruction d’instruire le dossier, de convoquer les protagonistes et de procéder, si nécessaire, à des mises en examen.

Quelles sont les preuves ?
A l’aube d’une éventuelle bataille juridique, les deux protagonistes de l’affaire se montrent « confiants ». « Dans ce dossier, nous avons plusieurs documents —des témoignages, des échanges de mails et des mandats de transfert de fonds— (NDLR : certains de ces documents ont été publiés hier dans « le 10 Sport ») prouvant qu’Apoula Edel et Ambroise Beyaména ne sont qu’une et même personne », affirme ainsi Me Serge Billet, l’avocat de Nicolas Philibert. Des propos qui n’émeuvent guère le clan du portier parisien. « Je détiens la preuve irréfutable qu’il exerce sous sa vraie identité », confie Me Christophe Bigot. Celui-ci posséderait ainsi le passeport original du gardien au nom d’Apoula Edel avec les tampons d’entrée en Arménie, Philibert ayant affirmé que le joueur aurait changé d’identité lors de son deuxième voyage dans ce pays. L’avocat aurait également les actes de naissance du joueur et de ses parents, le tout au nom d’Edel.

Chacun affûte donc sa ligne de défense.
Au moment où Edel semble avoir gagné une place de numéro un dans les buts du PSG, les prochains remous de cette affaire, quelle que soit son issue judiciaire, pourraient bien enrayer cette dynamique sportive.
Julio94
Citation
Réclamation du FC Séville pour Edel !

Si les accusations de falsification d'identité et d'âge portées contre Apoula Edel (Photo Presse-Sports) par Nicolas Philibert refont surface dans Le Parisien du jour, le gardien du club de la capitale semble surtout faire l'objet d'une requête de la part du FC Séville pour le match de Ligue Europa perdu jeudi dernier contre le PSG (0-1). Selon le quotidien espagnol As, les dirigeants andalous auraient en effet porté réclamation, peu avant 21h05 vendredi soir, auprès de l'UEFA contre Paris et son gardien après avoir lu un article du 10 Sport sur la véritable identité de ce dernier. Si les Espagnols sont entendus par les instances européennes, les Parisiens pourraient avoir match perdu. Affaire à suivre...


Francefootball.fr
Tho
Je n'ai pas retrouvé la source RMC, c'est une quote de maxifoot.

Citation
PSG : retour des supporters contre Rennes ? (18/09/2010)

Le match entre le Paris SG et le Stade Rennais programmé dimanche (17h) sera-t-il l'occasion d'assister au retour en tribunes de certaines associations de supporters, qui refusaient jusqu'à présent de remettre les pieds au Parc des Princes suite aux mesures prises cet été et tant que les abonnements ne seraient plus remis à la vente ? Selon RMC, un accord aurait en effet été trouvé entre certains supporters issus des tribunes Boulogne et Auteuil, visant à investir la tribune présidentielle et la tribune latérale, secteurs du stade où le placement n'est pas aléatoire. Une tactique qui leur permettra de se retrouver ensemble dans l'enceinte et de se faire entendre. (Par Nicolas Lagavardan)
Nemeto
Citation
Quand le PSG drague la clientèle bretonne...

Ligue 1. Paris SG - Rennes, dimanche (17 h). Le PSG propose aux entrepreneurs bretons un « pack Bretagne » pour les venues de Rennes, Brest et Lorient.


Des dizaines de chefs d'entreprises bretons ont reçu, début septembre, un drôle de mail leur disant : « Découvrez les loges du Paris Saint-Germain ». En pièce jointe, un joli prospectus orné du drapeau breton, et une proposition commerciale de « pack 100 % Bretagne », comprenant les trois matches opposant l'équipe de la capitale au Stade Rennais, au Stade Brestois et au FC Lorient. Des prestations haut de gamme pour des prix s'étalant de 550 € HT à 1 350 € HT ! La Tour-Eiffel qui drague Bécassine pour remplir son stade et ses loges, voilà qui est cocasse.

Évidemment, vu les prix affichés, ce n'est pas vers le public populaire breton que cette offre est tournée. D'ailleurs, Sportfive, la société en charge de la commercialisation des loges VIP au Parc des Princes (1 500 spectateurs) et des contrats de partenariat avec le PSG, n'a pas en charge le reste de la billetterie, toujours du ressort du club.

« Nous allons essayer d'attirer ponctuellement une nouvelle clientèle, reconnaît Mathieu Garzuel, de Sportfive. Avec les trois clubs bretons, on s'est dit que c'était l'occasion de faire quelque chose de sympathique. Après les deux matches phares, face à l'OM et Lyon, Rennes fait partie pour nous des grosses affiches. »

Mais cette saison, ces grosses affiches ne remplissent plus le Parc des Princes. En entreprenant, enfin, sa grande révolution pour éradiquer la violence, le président Robin Leproux a indirectement vidé le Parc.

50 % de tauxde remplissage !

La suppression des 13 000 abonnements dans les virages n'a pas été compensée, loin de là, par des achats équivalents de places match par match. Et le retour d'une clientèle plus familiale met encore du temps à se ressentir. Résultat : 22 600 spectateurs annoncés contre Saint-Etienne, lors de la première journée (contre 38 500 l'an dernier), 30 000 contre Bordeaux (contre 42 000) et 19 000 (12 000 selon les forces de l'ordre) contre Arles-Avignon, lors de la dernière journée. Du jamais vu depuis 15 ans à Paris.

« On assume totalement cette situation, explique un cadre du club parisien. Notre objectif est de pacifier le Parc. Cela a un coût, et il a été budgétisé. » Sur 25 millions d'euros annuels de billetterie, les 13 000 places de kop ne rapporteraient, selon ce cadre, « que 2 millions d'euros ». « C'est peu finalement, et si cette perte peut favoriser le retour de sponsors ou d'entreprises, l'équilibre sera vite réalisé. »

À Sportfive, en tout cas, on envisage de renouveler l'opération « pack Bretagne » l'an prochain. Et on n'exclut pas d'étendre le concept au Nord, avec Lille, Valenciennes et Lens. Un pack « Bienvenue aux C'htis », trois ans après l'odieuse banderole déployée au Stade de France par les supporteurs parisiens, ça ne manquerait pas de sel.


Source hélas non précisée (MU) mais ça a l'air sérieux et provenir de la presse locale bretonne.
Adr!ano
Citation
Antoine Kombouaré : « Envie d'enchaîner »


Que retenez-vous de la prestation de vos joueurs à Séville ?

« On a montré a Séville que l'on était capable de réaliser un grand match face à un grand d'Europe et un grand d'Espagne. Il faut s'appuyer sur ce match là et être capable de répéter ce genre de performance. Ce qu'on attend de nous maintenant c'est de la régularité. »

Quel sera l'objectif face à Rennes ?
« Nous avons évidemment envie d'enchaîner contre Rennes. Il faudra s'appuyer sur les belles prestations effectuées contre Arles-Avignon et Séville. Rennes est une belle équipe qui reste invaincue. C'est la meilleure défense du championnat et ils seront plus frais que nous. C'est justement la clé de ce match: aurons-nous suffisamment récupéré ? »

De quoi faudra-t-il dse méfier côté rennais ?
« Rennes nous a toujours posé des problèmes, l'année dernière nous avions fait match nul. C'est intéressant pour nous car ce sera un test face à un adversaire qui va jouer crânement sa chance. »

Avez-vous eu connaissance de la réserve posée par Séville à propos d'Edel ?

« Je suis surpris et déçu, car Séville est un grand club et pour moi les matches se gagnent sur le terrain. Concernant l'affaire Edel, je vais être très clair : le dossier est entre les mains de la justice. »


PSG.fr
sylvain
L'Equipe.fr

Citation
Bodmer et Sessegnon encore absents

A l'exception de Jérémy Clément, suspendu, Antoine Kombouaré a convoqué les mêmes joueurs présents jeudi à Séville (1-0) pour affronter le Stade Rennais, dimanche au Parc des Princes. Respectivement touchés au mollet gauche et àla cheville droite, Mathieu Bodmer et Stéphane Sessegnon sont toujours absents. Idem pour Marcos Ceara, pas encore remis de sa blessure à la hanche. Du coup, Tripy Makonda, Sammy Traoré et Mateja Kezman restent dans le groupe.
Le groupe du PSG

Gardiens : Edel, Coupet.
Défenseurs : Armand, Camara, Jallet, Makonda, Tiene, Sakho, Traoré.
Milieux : Chantôme, Makelele, Nenê, Maurice, Giuly.
Attaquants : Erding, Hoarau, Kezman, Luyindula.
corto-news
Citation
Communiqué du Paris Saint-Germain

Le Paris Saint-Germain est consterné par la relance de la polémique entretenue autour de son joueur Edel Apoula, alors que l'article paru hier dans un quotidien n'apportait aucun élément nouveau.

Les allégations de tiers, vieilles de près d'un an, n'ont connu aucune suite, le club ayant fourni aux instances du football l'ensemble des documents d'état-civil du joueur et de ses parents - papiers officiels (cartes d'identité, livret de famille, passeports...) avec lesquels ils ont effectué nombre de voyages dans le monde entier.

Le Paris Saint-Germain rappelle que Edel a déposé une plainte pénale à la suite des accusations portées contre lui sur son identité ; c'est donc à la justice maintenant de s'exprimer sur ce dossier.

Il convient désormais à chacun de prendre ses responsabilités au moment où certains souhaitent trouver un prétexte pour inverser un résultat sportif défavorable. Le Paris Saint-Germain, dont la bonne foi ne peut être mise en cause, se réserve toute action judiciaire contre ceux qui poursuivraient leur entreprise de dénigrement et lui causeraient ainsi un grave préjudice.


www.psg.fr
NeiBaF
Citation
Le PSG espère confirmer ses progrès face à Rennes



Avec le PSG, l’expérience incite à la prudence. On se gardera donc bien de tirer toute conclusion hâtive de la belle victoire (1-0) jeudi à Séville en Ligue Europa. Néanmoins, au moment de recevoir Rennes au Parc des Princes, plusieurs tendances se dégagent : la défense résiste de mieux en mieux, Nenê est l’homme providentiel, Chantôme mérite beaucoup plus de temps de jeu et Erding est en plein doute.
Une question aussi : Edel a-t-il laissé une partie de sa sérénité dans les derniers développements de son affaire?
D’Andalousie, Makelele et ses partenaires sont tout de même revenus avec une certitude : s’ils évoluaient toujours avec autant d’envie et de sérieux, ils pourraient espérer jouer les premiers rôles en championnat. « C’est ce que j’ai dit aux joueurs, confie Antoine Kombouaré. On a réussi un grand match face à un grand d’Espagne. Il faut maintenant être capable de le faire souvent. Ce que l’on attend de nous, c’est la régularité. »

Kombouaré craint un coup de pompe

Meilleure défense du championnat, invaincu depuis le début de la saison, Rennes est l’adversaire idéal pour mesurer les progrès accomplis. S’imposer face à cette équipe imbattable au Parc depuis quatre ans serait un message fort. Il pourrait faire comprendre à certains que « parisien » ne rime pas forcément avec « moyen ». La perspective d’un troisième succès d’affilée, ce qui ne lui est pas arrivé depuis août 2009, redonnerait de l’élan à un groupe encore marqué par les séquelles de son cuisant échec à Sochaux le 29 août (1-3). « C’est beaucoup mieux mais rien n’est jamais acquis, soupire Kombouaré. Il faut persuader les joueurs qu’ils peuvent réitérer des gros matchs. J’attends beaucoup de mon groupe car je sais qu’il a le potentiel et la qualité. »
Les Parisiens ont effectivement du talent. Le problème, c’est qu’ils le laissent parfois au vestiaire sans prévenir leur entraîneur. « Je suis comme Claude Puel et Didier Deschamps, on a tous le même souci, déplore Kombouaré. Le groupe travaille bien mais il faut répondre présent en match. » Et si les deux dernières prestations de son équipe poussent à l’optimisme, le coach du PSG reste mesuré : « Physiquement, à Séville, on a été énormes. On a envie d’enchaîner mais on va rencontrer un adversaire plus frais. C’est la clé de ce match et c’est l’élément qui m’inquiète : aurons-nous suffisamment récupéré? ». Préservés en Espagne, Giuly, Makelele, Hoarau et Sakho devront compenser les éventuelles défaillances de leurs partenaires. C’est aussi à cela que l’on évalue la qualité d’un groupe.



Citation
Armand «prend (ses) repères»



Redevenu titulaire au sein de la défense du Paris-SG, mais dans l'axe, Sylvain Armand s'est confié, dimanche dans les colonnes de L'Equipe, sur son nouveau rôle, avant la réception de Rennes (17h00).

De latéral gauche et capitaine, à "dépanneur" dans l'axe de la défense, en passant par le banc de touche, Sylvain Armand a connu des statuts différents depuis quelques mois avec le Paris-SG. Alors que le club de la capitale reçoit Rennes (17h00), prétendant au fauteuil de leader de la L1, l'ancien Nantais s'est confié sur son nouveau rôle, dans les colonnes de L'Equipe, dimanche. C'est «un poste qui ne me déplaît pas», dit-il en parlant de son passage dans l'axe.

«Là, je m'éclate, et l'équipe tourne. Il y a une vraie concurrence qui profite à tout le monde»


«Le coach sait que c'est un poste que j'apprécie et que j'avais déjà occupé sous l'ère Lacombe et l'ère Le Guen», poursuit-il. Ce n'était à l'époque que des piges pour pallier tel ou tel forfait. La situation est un peu similaire actuellement, sauf que l'absence de recrutement d'un défenseur central, pourtant "priorité" du PSG cet été, pourrait cette fois permettre à Armand de s'installer. «Pour l'instant, je n'ai joué que quatre matches (dans l'axe), qui se sont plutôt bien passés». Le débat concernant la présence de deux gauchers côte à côte est écarté du revers de la main. «C'est une question d'automatismes et d'habitudes», estime-t-il, lui qui a vu la paire Fabbri - Gillet, eux aussi gauchers, fonctionner parfaitement à Nantes.

«Je sais que je n'ai pas été régulier»

«Tant que je joue, je suis content», lâche Armand, qui pourrait avoir un temps de jeu plus conséquent que le mois d'août ne le laissait penser. «Je sais que je n'ai pas été régulier la saison dernière et que j'ai coûté quelques buts à l'équipe», admet-il en explication à son passage sur le banc de touche pour démarrer la saison. «Là, je m'éclate, et l'équipe tourne. Il y a une vraie concurrence qui profite à tout le monde», insiste Armand. «On sait qu'on a moins le droit à l'erreur. Dans la tête des joueurs, c'est important». La victoire ramenée de Séville (1-0), jeudi en Ligue Europa, l'est aussi pour le moral, avant d'affronter Rennes.

NeiBaF
Citation
Paris n'a pas trouvé la clef (0-0) contre Rennes



Contre une solide équipe de Rennes, le PSG n'a pas eu les ressources nécessaires pour forcer la décision (0-0). Au classement, les Parisiens sont neuvièmes.

Sans doute émoussé par cette troisième rencontre en une semaine, le PSG a mis une mi-temps à véritablement entrer dans son match contre Rennes. Et il faut sans doute lire ce résultat nul (0-0) à la lumière des deux mi-temps
parisiennes. En première période, Paris a paru bien incapable de rivaliser avec le très technique milieu de terrain rennais et de bousculer la meilleure défense du championnat. Dans ce contexte, avoir pris un point quand il paraissait difficile d'en prendre trois est une satisfaction.
Mais la deuxième période est sans doute venue atténuer ce sentiment, tant le Stade rennais s'est montré inoffensif alors que le PSG a plus et mieux attaqué. Dans les deux périodes en tout cas, dire que la défense parisienne, où Sylvain Armand avait été de nouveau titularisé en défense centrale, a été bousculée serait nettement exagéré. Pour faire court, il n'y eut aucune occasion franche pendant les 45 premières minutes. Ni d'un côté ni de l'autre. Une incursion de Marveaux (7e), un coup franc de Brahimi (23e), une tête de Mandjeck (33e) et une frappe trop enlevée de Montano (45e) côté rennais. Un coup franc de Nênê et une tête d'Hoarau au dessus (12e, 53e) côté parisien. C'est tout et c'est trop peu pour inquiéter une défense bretonne qui n'a encaissé que deux buts depuis le début de la saison.

Un penalty oublié pour Paris


La suite est un peu plus tranchante. Hoarau place d'abord une tête captée par Douchez (53e) avant que Mevlut Erding ne manque la meilleure occasion du match, en ne parvenant pas à cadrer une reprise difficile (57e). Dix minutes plus tard, Mangane contre de la main une remise d'Hoarau dans la surface de réparation (67e). Mais M. Turpin, idéalement placé, ne bronche pas. Une tête de Sakho au-dessus (70e) et un centre vicieux de Théophile capté par Edel (75e) sont venus ponctuer cette partie globalement fermée et peu emballante.
Au classement, le PSG pointe à la neuvième place. Paris a désormais une semaine pour tenter de récupérer ses blessés (Sessegnon, Ceara et Bodmer). Et de récupérer tout court pour aller faire un résultat à Lens.

missPSG
Citation
Deux jours de repos, Jallet touché

Les joueurs du PSG sont terriblement fatigués après leur victoire contre Séville en Ligue Europa (1-0) et le nul contre Rennes (0-0). Du coup, Antoine Kombouaré leur a donné deux jours de repos. Ils ne reprendront l'entraînement que mercredi, sûrement avec Stéphane Sessegnon qui se sent de mieux en mieux.

Par ailleurs, Christophe Jallet a quitté le Parc des Princes avec une grosse béquille. Le défenseur parisien s'est fait mal à une demi-heure de la fin mais a tenu bon. Il boitait bas ce dimanche soir. -



L"EQUIPE
Schultzy
Citation
Kombouaré : «C'est un bon point»

Paris-SG - Rennes : 0-0
Antoine Kombouaré (entraîneur du Paris-SG - Photo Presse-Sports) : «Le déplacement à Séville nous a pompé de l'énergie mais sur le plan défensif on a été énormes et on a concédé zéro occasion. Rennes n'a jamais été dangereux et il nous a manqué de la fraîcheur pour mettre l'étincelle dans ce match. On a été solides et c'est un bon point de pris. Mais il faut aussi poser la question à l'arbitre qui n'a pas sifflé penalty sur une main flagrante. On ne demande pas que l'arbitre nous aide mais quand il y a main ou faute, il faut les siffler.»

Frédéric Antonetti (entraîneur de Rennes) : «Le score reflète parfaitement la physionomie du match. En première période, il y avait plus de place pour nous mais on n'a pas joué simple, on a joué trop compliqué. Paris a eu la mainmise après en seconde période avec un jeu long sur Hoarau et nous on perdait la balle trop vite. Sur le plan athlétique, c'était costaud mais le match a été pauvre sur le plan technique. On a solidifié l'équipe et on a perdu de la créativité. Mais Paris, qui s'était procuré beaucoup d'occasions lors des derniers matches au Parc, n'a pas eu beaucoup d'occasions ce soir. (A propos de la première place que pouvait occuper Rennes en cas de succès) On va attendre la 38e journée. J'ai cru entendre des tribunes qu'on était des paysans. Donc c'est un bon point pour nous, les paysans.» (Avec AFP)

France Football.fr
missPSG
Citation
Hoarau : «Pas de petites économies»

Guillaume Hoarau ne fait pas la fine bouche après le nul (0-0) du Paris-SG contre Rennes, dimanche au Parc. «Il faut savourer ce genre de point.»

«Guillaume Hoarau, quel sentiment domine après ce match nul ?
C'était un match assez fermé, un match d'hommes. On savait que ça se jouerait à pas grand-chose, sur la concentration. On a été solides défensivement. Eux aussi. On peut être satisfaits parce que cela fait trois matches qu'on ne prend pas de but. On n'a pas su trouver la clé, mais on prend un point, il n'y a pas de petites économies. C'est de bon augure pour la suite, il faudra confirmer. Par rapport aux défaites précédentes, on avance petit à petit. Mais ce soir on voulait surtout garder la confiance qu'on avait accumulée sur les deux derniers matches. Il a manqué un peu de fraîcheur dans les vingt derniers mètres.

À cause du match de jeudi à Séville ?
Ce (dimanche) soir, à 17h00, il a fait un beau soleil. Physiquement, pour ceux qui ont joué il y a trois jours, c'était compliqué, oui. On s'est accrochés. Si Rennes est invaincu, ce n'est pas pour rien. Contre eux, c'est toujours un gros défi physique. On l'a relevé.

Ce sont quand même encore des points de perdus au Parc...

A domicile, on aimerait faire le plein. Mais Rennes est vraiment une équipe très difficile à bouger. Il y a quelque temps de cela, on aurait peut-être pris un but à la fin. Il faut rester humble et savourer ce genre de point.

Pensez-vous qu'à un moment donné il y a une erreur d'arbitrage ?
Oui. Moi je suis en plein dans l'action. Je vois une main flagrante. Je n'ai pas vu le ralenti, je ne peux pas confirmer. Mais après, ça va tellement vite. Ce serait un éternel débat. Nous, on est sous tension pendant 90 minutes. Ce genre de situations, quand elles apparaissent flagrantes, on peut dire que c'est un peu une injustice. Maintenant le rôle d'arbitre n'est pas évident tous les jours...

Comment avez-vous retrouvé cette clé défensive après une période difficile ?
Il y a eu un remaniement : l'arrivée de Siaka (Tiené), Sylvain (Armand) qui a été replacé dans l'axe. Pour l'instant, ils font du beau boulot. Après, je ne pense pas que cela se résume à deux joueurs. C'est toute l'équipe qui a pris conscience qu'on avait un réel potentiel offensif, mais que si on encaisse autant de buts qu'on en marque, il est difficile de gagner des matches. On s'est dit les choses. Il faut continuer à ne pas prendre de but et après on sait que devant, on a pas mal de joueurs qui peuvent faire la différence. Ça revient bien mais il y aura des coups de mou. Ces soirs-là, il faudra rester costauds et se reposer sur ce genre de matches.»


L'EQUIPE
Hari
Citation
Paris a besoin de recharger ses batteries

Emoussés après leur succès à Séville jeudi, les Parisiens n’ont pu faire mieux que match nul face à Rennes au Parc, où des supporteurs se sont joués du plan sécurité.



Ce matin, le PSG reste la seule équipe de Ligue 1 à avoir battu l’actuel leader du championnat, Saint-Etienne. C’était lors de la première journée de championnat. Paris s’était imposé (3-1) au cours d’un vrai beau match, plein et séduisant. Hier contre Rennes, les Parisiens ont montré un visage nettement moins attrayant.
A l’issue d’une rencontre bloquée, les deux formations, qui semblaient surtout déterminées à ne pas perdre, ont logiquement fait match nul (0-0).

Certes, après avoir encaissé neuf buts en trois matchs consécutifs fin août (défaits 2-1 contre Bordeaux au Parc, 4-3 à Tel-Aviv et 3-1 à Sochaux), les cages parisiennes sont restées inviolées, comme c’est le cas depuis le début du mois de septembre. « Défensivement, on a été très solides, énormes même. C’est un bon point de pris », se réjouit d’ailleurs Antoine Kombouaré, l’entraîneur du PSG. Des paroles que certains pourront interpréter comme un manque d’ambition. Car Rennes, qui a raté hier soir l’occasion de prendre la tête du championnat, s’est montré bien frileux. « Sur le plan athlétique, c’était un match costaud. Sur le plan technique, c’était en revanche très pauvre », concède Frédéric Antonetti. Dominés en première période, les Parisiens n’ont pas su profiter de la baisse de régime de leurs adversaires après la pause pour s’offrir la victoire. En dehors de la reprise de volée d’Erding sur une déviation de la tête d’Hoarau (57e) qui a frôlé le poteau de Douchez, Paris a globalement manqué de conviction et livré un match d’un faible niveau technique. « On a laissé beaucoup de forces à Séville (victoire 1-0, avec sept des titulaires d’hier).
Ce déplacement et notre bonne prestation ont fait que nous étions un peu émoussés. Il nous a manqué un peu de fraîcheur pour faire la différence », reconnaît Antoine Kombouaré.

Malgré ce coup de pompe, Paris aurait pu boucler son dimanche avec trois points de plus. La faute à qui ? Sans doute à l’arbitre, M. Turpin. « Quand il y a une main flagrante dans la surface (NDLR : de Mangane à la 67e), il faut la siffler », peste le technicien du PSG.

Au final, ce nul démontre aussi l’incapacité de ce PSG à enchaîner les très bonnes prestations depuis le début de la saison. Si Paris veut se donner les moyens de ses ambitions, le coach parisien devra sans doute établir une hiérarchie entre les différentes compétitions que son équipe dispute. Car en championnat, le PSG stagne.
Neuvièmes, les Parisiens ne comptent que huit points en six matchs. C’est à peine plus que lors des exercices 2006-2007 et 2007-2008 (sept points), deux années au cours desquelles le club de la capitale a fini par jouer le maintien…

SYLVIE DE MACEDO


Citation
Guillaume Hoarau : « On n’a pas trouvé la clé devant »


Comme la plupart de ses partenaires, Hoarau se dit satisfait de ce match nul (0-0). Face à un adversaire robuste et compte tenu de la fatigue accumulée lors du déplacement à Séville, les Parisiens se contentent de ce résultat.


Ce match nul semble satisfaire tout le monde ?
Guillaume Hoarau. C’était un match fermé. Il y a eu beaucoup de duels et, effectivement, on peut être satisfaits. Ce genre de match se joue sur la concentration, on est resté solides défensivement, on ne prend pas de but depuis trois matchs, c’est de bon augure. Il y a quelque temps, on aurait pris un but dans les dernières minutes.

Un match nul au Parc, c’est tout de même deux points perdus…
Non. A domicile, on aimerait faire le plein. On prend un point, il n’y a pas de petites économies. Par rapport aux deux défaites face à Bordeaux et à Sochaux, on avance petit à petit. Il faut rester humbles et savoir savourer ce point. C’est important de garder confiance.

Avez-vous souffert physiquement ?

Oui, c’était compliqué pour ceux qui ont joué à Séville jeudi. Mais on s’est accrochés. On a manqué de fraîcheur dans les vingt derniers mètres. Rennes est une équipe dure à bouger. Contre eux, c’est toujours un gros défi physique, on l’a relevé mais on n’a pas trouvé la clé devant.

Selon vous, y a-t-il penalty sur la main de Mangane ?
Oui, moi, je vois la main. Dans le feu de l’action, ça va très vite mais quand ça paraît flagrant comme ça, on peut parler d’injustice, même si on sait que le rôle d’arbitre n’est pas évident.

Paris n’a pas pris de but depuis trois matchs, comment l’expliquez-vous ?

Tiéné est arrivé à gauche, Sylvain (Armand) est passé dans l’axe et ils font du bon boulot. Mais surtout, je pense que toute l’équipe a pris conscience que le potentiel offensif ne suffisait pas. On s’est dit les choses. Devant, plusieurs joueurs sont capables de faire la différence. Mais si on encaisse autant de buts qu’on en marque, c’est difficile de gagner ! On sait qu’on aura des coups de mou à l’avenir, mais c’est là qu’il faudra rester costauds.

PROPOS RECUEILLIS PAR L.P.


Citation
Edel a gardé la tête froide

Antoine Kombouaré a composé un onze de départ sans surprise, Armand ayant été préféré à Camara dans l’axe de la défense. Marqués physiquement pour leur troisième match en huit jours, les Parisiens ne se sont pas créé d’occasion en première période. Après la pause, le PSG a intensifié la pression sur Rennes, mais s’est heurté jusqu’au bout à la défense rennaise.


6 EDEL. Durant les arrêts de jeu, il stoppe impeccablement un coup franc de Mangane. Rarement mis en danger, il reste maître dans sa surface. Un « joli » contrôle raté (76e) heureusement sans conséquence. Un match bien géré après une semaine délicate où son « affaire » a pris une nouvelle tournure.

4,5 JALLET. Ses trois ballons perdus lors des dix premières minutes donnent le ton à une prestation décevante. Ses centres manquent souvent de précision, comme son coup franc à la 87e.

6 ARMAND. Il est en train de résoudre le souci majeur de Kombouaré en ce début de saison. Ses prestations dans l’axe sont de plus en plus convaincantes. Il anticipe bien et ne se laisse jamais déborder en un contre un.

6 SAKHO. Un match solide, sans la moindre erreur défensive. Une tête au-dessus sur un corner (70e).

5 TIÉNÉ Il laisse beaucoup d’espace à Brahimi en début de match, avant de resserrer son marquage. Il a été attentif en défense, mais sa contribution offensive est quasiment nulle.

4 GIULY. Opportuniste, il est à deux doigts de marquer en chipant un ballon à Douchez (49e). C’est son seul coup d’éclat. Pas dans le rythme, il souffre physiquement face à Théophile-Catherine. Remplacé par Maurice (81e).

5,5 MAKELELE. Il tient un rôle prépondérant dans le bras de fer qui se joue au milieu de terrain. Actif, souvent bien placé, il est toujours aussi précieux.

4 CHANTÔME. Inexistant en première période, il se déchaîne après la pause, mais s’éteint définitivement à l’heure de jeu. Son influence dans l’entrejeu reste cette fois extrêmement limitée.

5 NENÊ. Trop gourmand, il gagnerait à lâcher le ballon plus rapidement. Un coup franc de 20 m largement hors cadre (12e), un autre mieux ajusté (88e), et c’est à peu près tout. Le héros de Séville est fatigué.

4,5 HOARAU. Une timide occasion à la 53e minute, mais sa tête n’est pas assez appuyée. Point de fixation pour ses partenaires, il ne pèse pas suffisamment. Sans doute parce que Mandjeck ne le lâche pas dès qu’il décroche.

4,5 ERDING. Bien servi par Hoarau la seule fois du match , il rate la plus grosse occasion parisienne (57e), mais la reprise n’était pas évidente. Déterminé mais toujours pas déterminant. Remplacé par Luyindula (71e).

RENNES, meilleure défense de L 1, est venu au Parc pour ne pas perdre. Les Bretons sont restés bien organisés autour de l’imposante charnière Mangane Kana-Biyik.

L’ARBITRE. M.Turpin, en ne se montrant pas trop tatillon, a réussi à faire vivre a minima ce match bloqué.

PAR LAURENT PERRIN


leparisien.fr



Citation
Le PSG fête ses 40 ans à Saint-Germain-en-Laye

La Ville de Saint-Germain-en-Laye fête les 40 ans du PSG le mercredi 22 septembre 2010 sur la Place du Marché-Neuf, à partir de 14h00.

Le 22 septembre, le PSG fête ses 40 ans à Saint-Germain-en-Laye ! A cette occasion, la ville de Saint-Germain-en-Laye et le Paris-Saint-Germain vous convient à une grande après-midi festive et familiale avec de nombreuses rencontres et animations.

La plus spectaculaire d’entre elles sera sans doute le terrain de football en gazon synthétique installé sur la place du Marché, sur lequel s’affronteront l’après-midi les équipes constituées de poussins et poussines du Paris Saint-Germain, du FC Saint-Germain-en-Laye et des clubs de certaines communes limitrophes. Autour du terrain, des stands présenteront les différentes entités du club (Fondation PSG, Association PSG, Centre de Formation, SASP, CFA Omnisports) et des animations (maquillage, tir radar, atelier tifo, bâche penalty, baby-foot humain…).

Enfin, une séance de dédicaces sera également organisée avec quatre joueurs de l’effectif professionnel et les joueuses de la section féminine. Venez nombreux souhaiter un “Bon anniversaire” au PSG !


PSG.fr
Pauleta75
Citation
MAKELELE S'EN CONTENTE



A l'issue du nul concédé par le PSG face à Rennes, dimanche, Claude Makelele au micro de Foot +, a fait part de sa satsifaction.
Pour Claude Makelele, le nul face à Rennes n'est pas une contre performance : « C'est satisfaisant dans la mesure où on a été solide face à une équipe qui est invaincue jusqu'à présent, performante à l'extérieur comme à la maison. On aurait aimé continuer sur notre lancée mais c'était positif, ça travaille, on joue ensemble. J'espère vraiment qu'on va conserver cette mentalité là. C'est intéressant. »

Le capitaine parisien continue : « On a mis quinze minutes avant de démarrer mais au fur à mesure on était bien. On a poussé cette équipe de Rennes sur la défensive. Ils ont vu qu'un point pour eux c'était un très bon résultat mais c'est dommage que l'on n'ait pas confirmé sur notre lancée. C'est vrai que le plus important c'était de ne pas prendre de but. On a la capacité à aller de l'avant, à se créer des occasions, et tant qu'on est solide défensivement, on peut faire de bons résultats. »

BC (Rédaction Football365.fr)


FOOTBALL365
ZéroQuatorze
Citation
PSG : Le gardien Edel entendu au commissariat de Poissy |



Edel Apoula Edima Bete, le gardien de but du Paris Saint Germain est actuellement entendu dans les locaux de l’hôtel de Poissy (Yvelines).

La justice entend faire toute la lumière sur une affaire obscure concernant son âge. Le jeune homme officiellement né le 17 juin 1986 devait avoir 24 ans. Or son ex agent Nicolas Philibert, l'ayant emmené en Arménie dans sa jeunesse, l’accuse d’avoir en 28 ans.

L’agent, qui affirme avoir des preuves a déposé une plainte pour faux et usage de faux. Il accuse le joueur d’avoir usurpé l’identité d’un autre homme.

Cette affaire trouve sa source dans une vieille dette impayée jamais remboursé par Edel à hauteur de 30 000 €. Les avocats du PSG ont déposé une plainte en diffamation contre l’agent qui doit être instruite par le parquet de Versailles. Mais en janvier dernier le joueur de PSG a déposé plainte pour tentative d’extorsion

Le Parisien.fr
NeiBaF
Citation
Edel devant les policiers



Soupçonné de falsification d'identité et d'âge, le gardien du Paris-SG Apoula Edel a été entendu lundi après-midi par la police.

Le feuilleton Edel s'est poursuivi lundi devant les policiers : soupçonné de falsification d'identité et d'âge, accusé par un ancien agent, le gardien camerounais du Paris-SG a été entendu dans la journée au commissariat de Poissy (Yvelines) en tant que témoin. Le joueur avait déjà été sollicité par les policiers au mois d'août mais n'avait pu se rendre à l'audition.

Depuis l'automne dernier, son ancien agent Nicolas Philibert accuse Edel de «tentative d'extorsion» et réclame 30.000 euros au titre d'une dette impayée. Il affirme aussi que le joueur, officiellement âgé de 24 ans, se nomme Ambroise Béyamena et est âgé de 29 ans. Il a à ce titre déposé plainte pour «substitution de nom et faux et usage de faux». De son côté, le PSG a porté plainte pour diffamation contre l'agent, mis en examen depuis le 24 août.

«Je pense que tout cela relève de la manipulation. Tout cette affaire part parce que ce monsieur veut de l'argent.»


«Je suis très serein, j'ai des éléments d'état civil concernant Edel qui sont concordants: son acte d'état-civil, celui de ses parents et le passeport camerounais qu'il avait en arrivant en Arménie (en provenance du Cameroun, ndlr), avec ses tampons d'entrée, au nom d'Edel», a déclaré l'avocat du joueur, Me Christophe Bigot. «Je pense que tout cela relève de la manipulation. Tout cette affaire part parce que ce monsieur veut de l'argent et comme par hasard, cette affaire resurgit alors qu'Edel revient sur le devant de la scène sur plan sportif».

L'avocat fait référence aux documents publiés vendredi par Le 10 Sport qui semblent étayer les accusations de Philibert : y figure une copie d'une demande de licence faite pour Ambroise Béyamena, né le 19 avril 1981, pour la saison 1998-1999, validée par la Fédération camerounaise et authentifiée par les autorités camerounaises le 27 janvier 2010. Réponse du PSG «consterné par la relance de la polémique» : «aucun élément nouveau».

HHA
Citation
Edel entendu après son dépôt de plainte

Le PSG était en repos hier. Mais Edel en a profité pour s’occuper de son affaire. Comme nous le révélions hier sur Leparisien.fr , le gardien de but parisien s’est rendu dans l’après-midi au commissariat de Poissy (Yvelines) dans le cadre de la plainte pour tentative d’extorsion de fonds qu’il avait déposée en début d’année contre Nicolas Philibert.
Son ancien agent, qui l’accuse d’avoir falsifié son âge et son identité (selon lui, Edel aurait 29 ans et non pas 24, et s’appellerait Ambroise Beyamena), lui réclame 30 000 € au titre d’une dette impayée.

Un passeport jugé authentique


« En janvier, nous avions déposé plainte au parquet de Montpellier (NDLR : là où aurait eu lieu la tentative d’extorsion de fonds en août 2009). Cette plainte a été transmise au parquet de Versailles (département de résidence du joueur). Et la procédure veut que le plaignant soit entendu par la police », explique l’avocat du portier parisien, Me Christophe Bigot. Entendu en qualité de témoin à 15 heures, Edel a raconté aux policiers que Philibert l’avait menacé de chantage s’il ne lui donnait pas 30 000 €. Selon le joueur auditionné durant une heure, la somme réclamée aurait ensuite augmenté avec sa notoriété grandissante.

Les policiers ont également vérifié son identité et ont conclu que les pièces présentées (le passeport notamment) étaient « parfaitement authentiques ». Ils n’ont cependant pas procédé à une vérification de ses empreintes.
L’autre plainte, celle pour diffamation qu’Edel avait également déposée en janvier contre Philibert, a débouché sur une mise en examen de ce dernier le 24 août. Un procédé habituel dans ce genre d’affaire. Le juge d’instruction se donne désormais un délai de trois mois avant de renvoyer l’ex-agent devant le tribunal correctionnel.
Pour sa part, Edel est lui-même visé par une plainte de Philibert pour « substitution de nom et faux et usage de faux » ainsi que par une réclamation de Séville auprès de l’UEFA pour une « présumée irrégularité d’inscription ».



Arthurooo
Citation
[...]
Le PSG...

«En France, il y a le club de mon coeur, Strasbourg. Ensuite, il y a un club dont le potentiel est aussi énorme qu'inexploité, le Paris-SG. Aujourd'hui, on accuse le PSG à tort. Ils n'ont pas un budget extraordinaire. Ils sont repartis dans une nouvelle aventure avec Kombouaré, il faut le laisser travailler. Il progresse avec son équipe. Pour l'instant, (le challenge ne m'intéresse) pas du tout. Aujourd'hui, le PSG n'a pas les moyens en rapport avec la dimension de sa ville.»
[...]


Wenger sur lequipe.fr
sylvain
Le Parisien

Citation
Le PSG mise sur Internet… faute de mieux

Après l’expérience malheureuse d’une émission de télé sur NRJ Paris, le club parisien tente de lancer sa propre radio. Mais sur Internet.

Le PSG a désormais sa propre radio. Mais sur Internet. Les dirigeants parisiens doivent officialiser ce matin le lancement de leur nouveau média, PSG Radio, conçue en partenariat avec Goom Radio, un bouquet d’une quarantaine de radios numériques, dont celle de Pascal Obispo, du groupe Tokio Hotel ou encore de la SNCF.

Pourquoi une radio numérique ?
« C’est le média de l’avenir, indique-t-on au PSG. De plus en plus de gens écoutent la radio avec leur ordinateur. Cela va nous permettre de toucher un public qui est notre cible direct et d’exposer mieux notre marque. » Sur PSG.fr ou Goomradio.com, les fans parisiens auront ainsi accès aux commentaires en direct des matchs, à des interviews des joueurs professionnels ainsi qu’à des émissions dont une sera animée par l’ancien de Fun Radio Max.
Le club prévoit également d’organiser des débats avec ses supporteurs. Enfin, ce sont les joueurs qui choisiront les musiques qui seront diffusées à l’antenne.
Et la « révolution » numérique du PSG ne s’arrête pas là. Depuis le mois d’août, à l’exception des matchs et des résumés des rencontres, le contenu vidéo du PSG.fr, autrement dit PSG TV, est également accessible gratuitement.

Une solution à moindre coût
Mais si le PSG choisit de se développer sur Internet, c’est aussi faute de mieux. La saison dernière, le club avait en effet tenté une expérience à la télévision, en lançant avec NRJ Paris une émission quotidienne. Elle aura duré à peine deux mois. « L’actualité du club n’était pas assez conséquente pour en parler tous les jours pendant quarante minutes », explique ainsi Gérald-Brice Viret, directeur délégué du pôle télévision de NRJ Group.
Et quant à lancer sa propre chaîne, à l’image des trois autres gros de la L 1 (Bordeaux, l’OM et l’OL), le PSG estime que le coût est bien trop important, vu l’état de ses finances. Ce n’est en effet que lors de la saison 2008-2009 qu’OM TV a enfin réussi à enregistrer des bénéfices (400000 €), après plusieurs années de pertes. Mais son rayonnement est bien plus important. Disponible sur plusieurs bouquets (CanalSat, Orange, Numericable…), la chaîne du club phocéen peut être vue par 1,2 million de téléspectateurs. Rien à voir avec les quelque 20000 abonnés de PSG TV.
sylvain
L'Equipe.fr

Citation
Ceara pas encore prêt

Le défenseur du Paris-SG Marcos Ceara, qui soigne toujours sa lésion musculaire à la hanche droite, estime qu'il n'est «pas prêt» à jouer contre le RC Lens en Championnat dimanche (21h00). «J'ai repris il y a trois jours et j'ai perdu physiquement, nous a-t-il confié. Je travaille les appuis, j'ai eu de bonnes sensations mais on va y aller doucement !».

Reprise en douceur donc pour le Brésilien qui se voit revenir plutôt pour le match du 30 septembre en Ligue Europa contre contre Karpaty Lviv. « Pour l'instant, je travaille sans ballon, il faut valider les étapes et que je récupère physiquement avant de rejouer » a confié Ceara, qui s'est blessé tout seul à l'entraînement après la défaite à Sochaux (défaite 3-1, ndlr). Depuis, Siaka Tiéné a fait son trou. L'ancien joueur de Valenciennes a été titulaire à chaque match, contre Arles, à Séville et face à Rennes. - Propos recueillis par Christophe MICHEL, au camp des loges.
NumeroStar
Citation
Le 22/09/2010 à 16:22 | Mis à jour le 22/09/2010 à 16:26

L'optimisme de Leproux

Le président du Paris-SG est intervenu mercredi au camp des Loges à propos du lancement de PSG Radio sur Internet. Le responsable parisien n'a pas caché son optimisme voire ses certitudes quant à l'actuel saison. «On a un vrai coup à jouer cette année, a-t-il dit, les joueurs doivent être conscients de ça. Chacun sent que l'équipe est plus forte. On part dans cet état d'esprit pour faire une belle saison ».

La victoire la semaine dernière contre le FC Séville (1-0) n'est, selon lui, pas «le fruit du hasard », et contre Rennes, malgré le nul (0-0), «on a vu un PSG solide». Pour Robin Leproux, l'équipe dirigée cette saison par Antoine Kombouaré est «plus forte » : elle a «du potentiel» et les joueurs vont «nous montrer de belles choses».Tout un programme. -

Ch. MICHEL,au Camp des Loges


Lequipe.fr
HHA
Citation
Faut-il s’inquiéter pour Bodmer?

Hier matin, Mathieu Bodmer a trottiné sur la pelouse du camp des Loges, avant de rejoindre rapidement les vestiaires. Une habitude depuis quinze jours. Il va sans dire que la présence du milieu de terrain parisien dimanche à Lens est fortement compromise. Victime d’une inflammation de l’aponévrose du mollet gauche, l’ancien Lyonnais ne s’est plus entraîné normalement depuis le mardi 7 septembre, jour de sa blessure.
Il s’est contenté de soins ou de légers footings, rien en tout cas qui lui permette d’être opérationnel dans quatre jours pour un match de Ligue 1.
Souvent blessé lors de ses deux dernières saisons lyonnaises (adducteurs, ischio-jambiers), Bodmer est-il en train de revivre le même cauchemar? En avril, Bernard Lacombe, le conseiller personnel du président de l’OL, avait avoué son incompréhension et ses doutes quant à la santé du joueur : « C’est complètement fou et inquiétant à la fois concernant Mathieu. On ne comprend pas. Il va falloir se poser les bonnes questions à son sujet et surtout savoir pourquoi il se blesse tout le temps. Cela devient un vrai problème. »

Un entraînement trop poussé ?

Officiellement, le PSG, lui, ne doute pas, même si sa recrue a déjà raté trois rencontres et demie, depuis le début de saison, à cause de ses blessures. Son dernier match remonte déjà au 29 août, face à Sochaux. « On n’a pas d’inquiétudes particulières, souligne le staff médical parisien. Simplement, on est plus prudents avec lui qu’avec un autre joueur. Ce ne sont pas des blessures majeures mais on ne veut pas tomber dans quelque chose de chronique. Mathieu sort d’une saison compliquée, mais il n’y a pas de sinistrose. »
Pas de défaitisme donc, mais une attention particulière portée à ce joueur réputé fragile. En réalité, Bodmer n’a pas toujours porté cette étiquette comme une croix. Lors de sa première saison lyonnaise en 2007-2008, le natif d’Evreux était l’un des joueurs les plus utilisés par Alain Perrin (37 matchs de L 1 et 5 de Ligue des champions) devant Toulalan (30 matchs de L 1). L’arrivée de Puel à l’OL, et son nouveau statut de remplaçant, l’a considérablement fragilisé.
« Les remplaçants ont souvent plus de problèmes que les titulaires. Ils ont tendance à en faire plus à l’entraînement », commente un membre du staff médical. C’est peut-être ce qui est arrivé à Bodmer ce 7 septembre. Le néo-Parisien avait prévenu son entourage qu’il comptait faire une grosse préparation pendant la trêve internationale. A-t-il trop forcé cet après-midi-là alors que l


leparisien.fr
sylvain
L'Equipe.fr

Citation
Rothen va passer à l'action

Jérôme Rothen ne veut pas rester plus longtemps à l'écart du groupe pro.

Écarté du groupe pro du Paris-SG depuis le début de saison, Jérôme Rothen souffre de cette situation. «Je ne suis pas content de ce qui se passe. C'est humiliant», a expliqué le milieu de terrain dans un reportage diffusé mercredi sur France 3. Alors qu'il n'a joué que deux matches avec la CFA, Rothen, 32 ans, envisage de passer à l'action. «Je n'irai pas jusqu'au mois de décembre comme ça. Je ferai en sorte de faire valoir mes droits: je suis pro, donc il serait normal que je m'entraîne avec le groupe des pros.» Une situation critique qui ne remet toutefois pas en cause son désir de continuer sa carrière: «Jamais, pour l'instant, je ne me mets dans l'esprit d'arrêter.»
Julio94
Citation
PSG, 40 ans et pas une ride

Rues barrées dans le centre de Saint-Germain-en-Laye, tentes dressées autour de la place du Vieux-Marché, écran géant, pelouse synthétique, ateliers ludiques pour les enfants… Les dirigeants du Paris Saint-Germain ont déployé les grands moyens pour célébrer le 40e anniversaire du club de football, né en 1970 de la fusion du stade Saint-Germain et du Paris Football Club (PFC), reparti depuis sous ses propres couleurs.


Le soleil estival a contribué au succès populaire de la manifestation. Hier, vers 15 heures, plusieurs centaines de supporteurs se sont agglutinés autour de la place afin d’apercevoir la Coupe de France, exhibée quelques instants au milieu du terrain en compagnie d’enfants, de joueurs pros et de personnalités. Peu après, les aficionados ont patienté avec le sourire, malgré un service d’ordre trop zélé, pour recueillir les autographes de cinq professionnels (Nenê, Céarà, Armand, Maurice et Sakho). « C’est un club très populaire. Je suis content de pouvoir rencontrer ainsi le public », a commenté Nenê, l’attaquant brésilien arrivé à l’intersaison, peu avant de quitter les lieux.


Déjeuner à l’hôtel de ville


La journée était riche en nouveautés pour le club qui a officiellement lancé une radio sous ses couleurs. Elle a d’ailleurs émis en direct depuis la place du Vieux-Marché.

A la mi-journée, les joueurs et le président, Robin Leproux, ont déjeuné à l’hôtel de ville avec Emmanuel Lamy, le maire UMP de Saint-Germain-en-Laye. Un témoignage de la relation étroite entre la cité royale et le club. « Les Saint-Germanois aiment le foot. Ils y sont fidèles », déclare Emmanuel Lamy, qui souligne également que les écoles de football, le CFA et les professionnels s’entraînent au camp des Loges, une autre « preuve » des « liens forts » qui unissent, selon lui, le PSG et sa ville.

En soirée, le documentaire « PSG, 40 ans de fièvre », réalisé par Pierre Hurel et Damien Vercaemer, a été projeté à partir de 20 heures au cinéma C2L de Saint-Germain. Ce film revient sur les joueurs (Rai, Ginola, Djorkaeff, Weah) qui ont marqué le club ainsi que les entraîneurs et dirigeants historiques.


Leparisien.fr
Le Cyclone
Citation
Sans Cearà ni Bodmer à Lens

Le Paris-SG a officialisé jeudi matin les absences sur blessure de Cearà et Bodmer pour le déplacement des Parsiiens à Lens, dimanche à Bollaert (21h00). Le club précise que Marcos Cearà, touché à la hanche droite, est toujours en soins. Les exercices spécifiques effectués ces derniers jours par le latéral brésilien avec le préparateur physique du club n'ont pas suffi à le rétablir. Mathieu Bodmer, blessé pour sa part au mollet droit, continue de traiter sa douleur, indique le PSG. Quant à Stéphane Sessegnon, qui souffre de la cheville droite, un point sera fait en fin de semaine quant à son éventuelle participation au match de Lens.


crapule
Citation
Alors qu'Antoine Kombouaré réclamait un groupe étoffé afin de faire jouer la concurrence, son souhait a été exaucé. Mais l'entraîneur du Paris Saint-Germain doit désormais trancher et jongler avec les blessures, les retours ou encore les méformes des uns et des autres.

Edel / Coupet : Edel rattrape son retard
Malgré ses histoires extra-sportives, Apoula Edel (24 ans) est en train de passer devant Grégory Coupet (37 ans) pour le poste de titulaire dans les buts du Paris Saint-Germain. « Il y a deux numéros un, a récemment expliqué Antoine Kombouaré, l'entraîneur du club de la Capitale. Greg avait pris de l'avance. Aujourd'hui, il connaît une période difficile comme tous les sportifs de haut niveau peuvent en rencontrer. C'est la règle, la concurrence. » Titulaire depuis trois matchs, l'ancien joueur du Rapid Bucarest ne fait pas de miracles. Mais l'équipe parisienne enchaîne les bons résultats et n'a pas pris de but sur les trois dernières rencontres, toutes compétitions confondues. La route tourne. Il faut dire que l'Arméno-Camerounais, libre en juin prochain, joue gros dans les prochains mois.

Camara / Armand : Armand passe devant

Alors qu'il pensait être le grand gagnant du marché d'été et des non venues de Marko Basa, Pape Diakhaté, William Gallas et surtout Milan Bisevac, Zoumana Camara doit finalement se contenter d'un simple statut de remplaçant. Car c'est bel et bien Sylvain Armand qui est en train de se faire une place aux côtés de Mamadou Sakho dans l'axe central. Barré par Siaka Tiéné et même Ceara sur le côté gauche, l'ex-Nantais fait progressivement son trou en charnière axe droit, même s'il doit encore effectuer quelques réglages et retrouver certains repères pour son grand retour à son poste de formation.

Jallet / Ceara : Jallet intouchable
Avec l'arrivée du Valenciennois Siaka Tiéné, Ceara se retrouve désormais cantonné à un rôle de doublure, à la fois de Christophe Jallet aujourd'hui indiscutable au poste de latéral droit et donc de l'international ivoirien. Un coup dur pour le Brésilien qui fondait de gros espoirs pour cette saison. Mais il souffre pour l'instant de la comparaison.

Bodmer / Chantôme / Clément : Bodmer inquiète
Victime d'une inflammation de l'aponévrose du mollet gauche, Mathieu Bodmer n'a plus joué depuis la défaite concédée face à Sochaux (3-1, 4eme journée de Ligue 1), le 29 août dernier. Connu pour sa fragilité, l'ex-Lyonnais inquiète et doit se contenter de trottiner jusqu'à nouvel ordre. Une situation qui fait pour l'instant les affaires de Clément Chantôme, qui est à créditer de quelques bonnes sorties, même si sa prestation contre Rennes (0-0, 6eme journée) ne restera pas dans les annales. Trop limité sur le plan de la construction, Jérémy Clément apparaît lui un cran en arrière.

Erding / Kezman / Luyindula / Giuly : Erding sous pression
En panne d'efficacité, Mevlut Erding est en plein doute. Muet depuis son but face aux Verts (3-1, 1ere journée de Ligue 1), le 7 août dernier, l'ancien Sochalien peine à retrouver le chemin des filets. Et ceci malgré une passe décisive pour Nenê face à Arles-Avignon (4-0, 5eme journée). Pire, coupable d'un excès d'individualisme, l'international turc a déjà été repris par son entraîneur. Ainsi que par certains de ses coéquipiers. Pour l'instant, Mevlut Erding garde la confiance d'Antoine Kombouaré. Mais Péguy Luyindula, Ludovic Giuly et dans une moindre mesure Mateja Kezman sont à l'affût.


football365
11G
Citation
La plainte du FC Séville rejetée

Battu par le PSG (0-1) lors de la première journée de la phase de poules de la Ligue Europa, le FC Séville avait déposé une réclamation auprès de l’UEFA pour une présumé irrégularité d'inscription du gardien de but parisien Edel. Mais après examen du dossier, la commission de contrôle et de discipline de l’UEFA a décidé de rejeter la requête du club espagnol. La victoire du PSG sur le terrain du FC Séville est donc bel et bien validée.


RMC
Ceci est une version "bas débit" de notre forum. Pour voir la version complète avec plus d'informations, la mise en page et les images, veuillez cliquer ici.
Invision Power Board © 2001-2024 Invision Power Services, Inc.