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Paris échoue si près du rêve...
Paris sort la tête haute mais pleine de regrets, au regard d’un match où il aura poussé les Catalans dans leurs derniers retranchements.
Le rêve d’une vie aura donc duré 21minutes, ce qui est vraiment court pour le rêve d’une vie. Entre la 50e minute et la 71e, le PSG a cru à son étoile, propulsé vers un destin magique par l’ouverture du score de Javier Pastore. Paris, qui aurait dû passer, n’aura donc été qualifié que pendant vingt longues minutes.
Il est à parier qu’il trouvera dans cette forme d’injustice les ressorts pour revenir plus for t , plus armé, plus dangereux encore la saison prochaine dans la plus prestigieuse des compétitions de clubs.
« On ne mérite pas cette élimination, confirme Ancelotti. On est déçus mais heureux de la performance. L’objectif est de nous améliorer en Ligue de champions. Des joueurs ont gagné beaucoup d’expérience cette saison dans cette épreuve. » Il faudra également rouvrir le débat des buts inscrits à domicile et à l’extérieur dans un football qui a complètement changé depuis l’établissement de cette règle, Paris quittant la scène sans perdre - un comble -, qui plus est devant le Barça.
En attendant, son équipe aurait tort de croire que ce songe avorté d’une nuit catalane est dû à l’adversité trop puissante du Barça et de ses qualificatifs ronflants du style « la meilleure équipe du monde ». Paris peut s’en mordre les doigts car il aura dominé dans des proportions inimaginables le Barça.
Ne pas atteindre les demi-finales un soir où le PSG était manifestement plus fort que son hôte conduit ce matin à une incroyable sensation d’amertume, de déception et de frustration. « Rien n’a manqué, on a fait tout notre possible », affirme l’entraîneur italien du leader de la Ligue 1. Lequel regrettera, quand même, le manque de réalisme de ses attaquants, qui aurait changé le décor du match, bien plus que l’entrée de Messi (62e). A 2-0, Paris aurait possédé une marge qui aurait ressemblé à un gouffre pour Barcelone.
Reste qu’il a fait vibrer la France, gagnant en un soir des mois de sympathie auprès du public. En ne perdant qu’une seule rencontre sur dix de C1 cette saison (son premier déplacement, à Porto, 1-0), le PSG a donné rendez-vous à tous pour la suite dans la plus prestigieuse des Coupes d’Europe. «C’est la première saison complète que je suis ici, souligne le Mister, et c’est souvent la plus difficile. On a montré de la solidarité, une bonne identité de jeu. C’est le projet d’un club, pas le mien. On doit être plus compétitifs à l’avenir mais ce match est une bonne étape.»
Score : FC Barcelone 1 PSG 1
Mi-temps : 0-0.
Spectateurs : 99 000.
Arbitre : M. Kuipers (Pbs).
Buts : Barcelone : Pedro (71e) ; PSG : Pastore (50e).
Avertissements : Barcelone : Adriano (42e) ; PSG : Lavezzi (80e), Thiago Silva (86e), Beckham (90e).
Barcelone : Valdés - D. Alves, Piqué, Adriano (Bartra, 62e), Jordi Alba - Xavi (cap.), Busquets, Iniesta - Pedro, Fabregas (Messi, 62e), Villa (Song, 84e). Entr. : Vilanova.
PSG : Sirigu - Jallet (Van der Wiel, 88e), Alex, Thiago Silva (cap.), Maxwell - Lucas, Verratti (Beckham, 83e), Thiago Motta, Pastore - Lavezzi (Gameiro, 81e), Ibrahimovic. Entr. : Ancelotti
Paris sort la tête haute mais pleine de regrets, au regard d’un match où il aura poussé les Catalans dans leurs derniers retranchements.
Le rêve d’une vie aura donc duré 21minutes, ce qui est vraiment court pour le rêve d’une vie. Entre la 50e minute et la 71e, le PSG a cru à son étoile, propulsé vers un destin magique par l’ouverture du score de Javier Pastore. Paris, qui aurait dû passer, n’aura donc été qualifié que pendant vingt longues minutes.
Il est à parier qu’il trouvera dans cette forme d’injustice les ressorts pour revenir plus for t , plus armé, plus dangereux encore la saison prochaine dans la plus prestigieuse des compétitions de clubs.
« On ne mérite pas cette élimination, confirme Ancelotti. On est déçus mais heureux de la performance. L’objectif est de nous améliorer en Ligue de champions. Des joueurs ont gagné beaucoup d’expérience cette saison dans cette épreuve. » Il faudra également rouvrir le débat des buts inscrits à domicile et à l’extérieur dans un football qui a complètement changé depuis l’établissement de cette règle, Paris quittant la scène sans perdre - un comble -, qui plus est devant le Barça.
En attendant, son équipe aurait tort de croire que ce songe avorté d’une nuit catalane est dû à l’adversité trop puissante du Barça et de ses qualificatifs ronflants du style « la meilleure équipe du monde ». Paris peut s’en mordre les doigts car il aura dominé dans des proportions inimaginables le Barça.
Ne pas atteindre les demi-finales un soir où le PSG était manifestement plus fort que son hôte conduit ce matin à une incroyable sensation d’amertume, de déception et de frustration. « Rien n’a manqué, on a fait tout notre possible », affirme l’entraîneur italien du leader de la Ligue 1. Lequel regrettera, quand même, le manque de réalisme de ses attaquants, qui aurait changé le décor du match, bien plus que l’entrée de Messi (62e). A 2-0, Paris aurait possédé une marge qui aurait ressemblé à un gouffre pour Barcelone.
Reste qu’il a fait vibrer la France, gagnant en un soir des mois de sympathie auprès du public. En ne perdant qu’une seule rencontre sur dix de C1 cette saison (son premier déplacement, à Porto, 1-0), le PSG a donné rendez-vous à tous pour la suite dans la plus prestigieuse des Coupes d’Europe. «C’est la première saison complète que je suis ici, souligne le Mister, et c’est souvent la plus difficile. On a montré de la solidarité, une bonne identité de jeu. C’est le projet d’un club, pas le mien. On doit être plus compétitifs à l’avenir mais ce match est une bonne étape.»
Score : FC Barcelone 1 PSG 1
Mi-temps : 0-0.
Spectateurs : 99 000.
Arbitre : M. Kuipers (Pbs).
Buts : Barcelone : Pedro (71e) ; PSG : Pastore (50e).
Avertissements : Barcelone : Adriano (42e) ; PSG : Lavezzi (80e), Thiago Silva (86e), Beckham (90e).
Barcelone : Valdés - D. Alves, Piqué, Adriano (Bartra, 62e), Jordi Alba - Xavi (cap.), Busquets, Iniesta - Pedro, Fabregas (Messi, 62e), Villa (Song, 84e). Entr. : Vilanova.
PSG : Sirigu - Jallet (Van der Wiel, 88e), Alex, Thiago Silva (cap.), Maxwell - Lucas, Verratti (Beckham, 83e), Thiago Motta, Pastore - Lavezzi (Gameiro, 81e), Ibrahimovic. Entr. : Ancelotti
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Le bel hommage du Barça aux Parisiens
La performance du PSG hier au Camp Nou a fait trembler le grand Barça. A la sortie des vestiaires, les joueurs espagnols admettaient que les Parisiens les avaient fait douter. «On sentait que dès qu’ils touchaient le ballon il y avait danger, commentait le jeune Marc Bartra, entré en cours de match. C’est une bonne équipe, complète et offensive. Nous avons vraiment eu beaucoup de mal.
»
Andres Iniesta abondait dans le sens de son défenseur. « Paris a fait un très grand match et le mérite qui nous revient est de les avoir éliminés, soufflait le milieu international, visiblement marqué par l’effort. Leurs milieux et attaquants ont intelligemment joué le coup, ils se sont mis entre les lignes et nous avons eu du mal à contrôler le match. Nous avons beaucoup couru après le ballon. C’était très compliqué.»
D’une manière générale, chaque Barcelonais reconnaissait que Paris avait été l’un des adversaires les plus redoutables qu’ils aient rencontrés. Et qu’ils avaient eu besoin de Lionel Messi pour se sortir du guêpier. «Léo nous apporte autre chose dans le jeu, plus de mobilité, plus de vie et un match comme celui-ci nécessitait Messi même sur une jambe, admettait de son côté Daniel Alves. Je le remercie pour ce qu’il a fait pour nous. Paris a plutôt bien joué le coup, notamment dans leur pressing. Les Parisiens n’hésitaient pas à balancer car leur taille les avantageait. Ils n’avaient rien à perdre. Mais je pense que le meilleur a gagné.»
Alors que le PSG, au tirage au sort, avait été vu comme une bande de mercenaires recrutés à coups de millions, l’intensité mise par les partenaires d’Ibrahimovic a surpris jusqu’en Catalogne, où le Barça est connu comme l’équipe la plus aboutie collectivement du monde. Jordi Roura, l’adjoint de Tito Vilanova, ne paraissait pas surpris par la prestation du PSG comme équipe, et non comme une somme d’individualités. «L’argent ne garantit rien, c’est l’utilisation que vous en faites qui détermine votre réussite. Si le PSG continue dans ce sens, ce sera l’une des équipes du futur.»
La performance du PSG hier au Camp Nou a fait trembler le grand Barça. A la sortie des vestiaires, les joueurs espagnols admettaient que les Parisiens les avaient fait douter. «On sentait que dès qu’ils touchaient le ballon il y avait danger, commentait le jeune Marc Bartra, entré en cours de match. C’est une bonne équipe, complète et offensive. Nous avons vraiment eu beaucoup de mal.
»
Andres Iniesta abondait dans le sens de son défenseur. « Paris a fait un très grand match et le mérite qui nous revient est de les avoir éliminés, soufflait le milieu international, visiblement marqué par l’effort. Leurs milieux et attaquants ont intelligemment joué le coup, ils se sont mis entre les lignes et nous avons eu du mal à contrôler le match. Nous avons beaucoup couru après le ballon. C’était très compliqué.»
D’une manière générale, chaque Barcelonais reconnaissait que Paris avait été l’un des adversaires les plus redoutables qu’ils aient rencontrés. Et qu’ils avaient eu besoin de Lionel Messi pour se sortir du guêpier. «Léo nous apporte autre chose dans le jeu, plus de mobilité, plus de vie et un match comme celui-ci nécessitait Messi même sur une jambe, admettait de son côté Daniel Alves. Je le remercie pour ce qu’il a fait pour nous. Paris a plutôt bien joué le coup, notamment dans leur pressing. Les Parisiens n’hésitaient pas à balancer car leur taille les avantageait. Ils n’avaient rien à perdre. Mais je pense que le meilleur a gagné.»
Alors que le PSG, au tirage au sort, avait été vu comme une bande de mercenaires recrutés à coups de millions, l’intensité mise par les partenaires d’Ibrahimovic a surpris jusqu’en Catalogne, où le Barça est connu comme l’équipe la plus aboutie collectivement du monde. Jordi Roura, l’adjoint de Tito Vilanova, ne paraissait pas surpris par la prestation du PSG comme équipe, et non comme une somme d’individualités. «L’argent ne garantit rien, c’est l’utilisation que vous en faites qui détermine votre réussite. Si le PSG continue dans ce sens, ce sera l’une des équipes du futur.»
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Le Camp Nou a tremblé jusqu’au bout
Peu de VIP hier soir au Camp Nou. Pas de Victoria Beckham, ni de Shakira (retenue pour la version américaine de « The Voice »)… mais un Bertrand Delanoë aux anges dans la corbeille aux côtés de son homologue barcelonais Xavi Trias, et des dirigeants parisiens Leonardo et Nasser Al-Khelaifi. Non présents « officiellement », Frédéric Thiriez, le patron de la Ligue nationale, entrevu dans les travées du Camp Nou, ainsi que Luis Fernandez, dont les caméras de télévision espagnole avaient vite repéré la présence.
L’un des gros intérêts d’être au stade hier soir était de ressentir l’atmosphère, pesante, lourde et emplie de peur chaque fois que Pastore, Lucas ou Ibrahimovic touchaient le ballon. Rien à voir avec l’ambiance électrique qui avait pénétré le stade du FC Barcelone il y a un mois, lorsque le Barça, acculé après une défaite 2-0 au match aller, avait réussi à renverser la tendance grâce à son public.
Ovation monstre pour Messi
Hier, quelques minutes avant le coup d’envoi, il restait encore quelques sièges vides au Camp Nou. Le public était venu voir un spectacle, pas une mise à mort. Un attentisme qui se transforma bien vite en angoisse face à la facilité technique du PSG et les banderilles de ses attaquants. A la 50e minute, le cauchemar devenait réalité pour les 96000 spectateurs blaugrana. Pastore glaçait l’atmosphère. Et seul un homme pouvait redonner la foi au Barça. Lionel Messi. A la 63e minute, le génie argentin, touché à la cuisse depuis le match aller, faisait son entrée sous une ovation monstre.
L’égalisation barcelonaise faisait exploser le Camp Nou. Le public entonnait le « ser del Barça es il millor que hi ha » (« Etre du Barça est le mieux qui soit »), un grand classique des soirs de victoire. Cette fois, il n’y avait pas eu victoire. Mais qualification. Dans l’angoisse tout de même
Peu de VIP hier soir au Camp Nou. Pas de Victoria Beckham, ni de Shakira (retenue pour la version américaine de « The Voice »)… mais un Bertrand Delanoë aux anges dans la corbeille aux côtés de son homologue barcelonais Xavi Trias, et des dirigeants parisiens Leonardo et Nasser Al-Khelaifi. Non présents « officiellement », Frédéric Thiriez, le patron de la Ligue nationale, entrevu dans les travées du Camp Nou, ainsi que Luis Fernandez, dont les caméras de télévision espagnole avaient vite repéré la présence.
L’un des gros intérêts d’être au stade hier soir était de ressentir l’atmosphère, pesante, lourde et emplie de peur chaque fois que Pastore, Lucas ou Ibrahimovic touchaient le ballon. Rien à voir avec l’ambiance électrique qui avait pénétré le stade du FC Barcelone il y a un mois, lorsque le Barça, acculé après une défaite 2-0 au match aller, avait réussi à renverser la tendance grâce à son public.
Ovation monstre pour Messi
Hier, quelques minutes avant le coup d’envoi, il restait encore quelques sièges vides au Camp Nou. Le public était venu voir un spectacle, pas une mise à mort. Un attentisme qui se transforma bien vite en angoisse face à la facilité technique du PSG et les banderilles de ses attaquants. A la 50e minute, le cauchemar devenait réalité pour les 96000 spectateurs blaugrana. Pastore glaçait l’atmosphère. Et seul un homme pouvait redonner la foi au Barça. Lionel Messi. A la 63e minute, le génie argentin, touché à la cuisse depuis le match aller, faisait son entrée sous une ovation monstre.
L’égalisation barcelonaise faisait exploser le Camp Nou. Le public entonnait le « ser del Barça es il millor que hi ha » (« Etre du Barça est le mieux qui soit »), un grand classique des soirs de victoire. Cette fois, il n’y avait pas eu victoire. Mais qualification. Dans l’angoisse tout de même
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L’impressionnant retour de Thiago Motta
On avait fini par ne plus l’attendre. Et il est finalement revenu au meilleur moment. Blessé six fois depuis le début de la saison, un record du monde probablement, Thiago Motta ne disputait, hier soir, que son quatrième match de l’année 2013. Après un premier retour à la compétition début mars lors du huitième de finale retour face au FC Valence, le milieu de terrain parisien avait rechuté, victime d’une blessure aux adducteurs.
En l’absence de Blaise Matuidi, suspendu, Carlo Ancelotti avait donc choisi de l’associer à Marco Verratti dans le secteur stratégique de la récupération. Une décision prise après l’ultime entraînement mardi soir.
On pouvait craindre, a priori, que Thiago Motta, formé au FC Barcelone, peine à retrouver ses repères dans son ancien jardin du Camp Nou, qui plus est face à des adversaires directs du niveau d’Iniesta ou Fabregas. Il n’en a rien été. Après un tout début de match hésitant, symbolisé par une perte de balle dangereuse (12e) dans les pieds d’Iniesta, l’Italo-Brésilien a fait ensuite apprécier sa science du placement.
Un jeu simple et efficace
Positionné en première mi-temps dans l’axe droit, dans la zone justement d’Andres Iniesta, il a contrôlé les opérations, sans s’affoler, à l’expérience. Son jeu simple et efficace, à une ou deux touches de balle, rarement plus, est toujours un régal. En seconde période, il a sensiblement reculé pour tenter de contrer les vagues blaugrana mais n’a malheureusement rien pu faire sur l’action qui mène à l’égalisation de Pedro (71e). Impeccable jusqu’au bout, l’Italo-Brésilien n’a rien à se reprocher. Mais comme pour tous ses partenaires, c’est une maigre consolation quand on voit un rêve s’envoler.
On avait fini par ne plus l’attendre. Et il est finalement revenu au meilleur moment. Blessé six fois depuis le début de la saison, un record du monde probablement, Thiago Motta ne disputait, hier soir, que son quatrième match de l’année 2013. Après un premier retour à la compétition début mars lors du huitième de finale retour face au FC Valence, le milieu de terrain parisien avait rechuté, victime d’une blessure aux adducteurs.
En l’absence de Blaise Matuidi, suspendu, Carlo Ancelotti avait donc choisi de l’associer à Marco Verratti dans le secteur stratégique de la récupération. Une décision prise après l’ultime entraînement mardi soir.
On pouvait craindre, a priori, que Thiago Motta, formé au FC Barcelone, peine à retrouver ses repères dans son ancien jardin du Camp Nou, qui plus est face à des adversaires directs du niveau d’Iniesta ou Fabregas. Il n’en a rien été. Après un tout début de match hésitant, symbolisé par une perte de balle dangereuse (12e) dans les pieds d’Iniesta, l’Italo-Brésilien a fait ensuite apprécier sa science du placement.
Un jeu simple et efficace
Positionné en première mi-temps dans l’axe droit, dans la zone justement d’Andres Iniesta, il a contrôlé les opérations, sans s’affoler, à l’expérience. Son jeu simple et efficace, à une ou deux touches de balle, rarement plus, est toujours un régal. En seconde période, il a sensiblement reculé pour tenter de contrer les vagues blaugrana mais n’a malheureusement rien pu faire sur l’action qui mène à l’égalisation de Pedro (71e). Impeccable jusqu’au bout, l’Italo-Brésilien n’a rien à se reprocher. Mais comme pour tous ses partenaires, c’est une maigre consolation quand on voit un rêve s’envoler.
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Javier Pastore : « La saison prochaine sera meilleure »
Auteur d’un but magnifique et d’un match plein, Javier Pastore a été le meilleur joueur du PSG hier soir. Le milieu de terrain de Cordoba revient sur cette élimination et sur la frustration qu’elle génère dans le camp parisien. Mais il espère maintenant des lendemains meilleurs.
Quel est votre sentiment après cette élimination ?
Je suis triste parce que nous avons joué deux matchs face au Barça sans perdre.
Mais en même temps je reste tranquille parce que c’est notre première participation à la Ligue des champions depuis longtemps et je suis certain que la saison prochaine sera meilleure. Tout ce qui s’est passé cette saison est très positif. Nous sommes en train de grandir et cette partie nous a encore aidés à nous améliorer.
Qu’a-t-il manqué à Paris ce soir pour se qualifier ?
On a eu la possibilité de mener 2-0 et c’aurait tout changé. Mais on n’a pas su le faire, voilà pourquoi nous sommes sortis de la compétition. Vous avez pourtant eu ce deuxième but au bout du pied... C’était un moment crucial. Si je l’avais mieux prise, elle serait allée dedans. A cet instant de la partie, il ne restait plus beaucoup de temps et on aurait peut-être pu se qualifier.
Quel regard portez-vous sur votre but ?
C’est un but magnifique après un une-deux avec Ibra. Marquer au Camp Nou ça n’arrive pas tous les jours, mais je ne m’arrête pas là-dessus, ce qui prédomine c’est la déception.
Qu’avez-vous pensé de l’entrée en jeu de Leo Messi ?
Son entrée a changé le visage du Barça. A partir de ce moment-là, ils ont été plus agressifs. C’est un joueur fondamental pour Barcelone, et il l’a encore prouvé ce soir. Quand il est là, ce n’est pas la même équipe.
Quel est votre favori pour la victoire finale dans cette Ligue des champions ?
J’aime beaucoup le Bayern Munich. C’est une équipe très compacte et forte physiquement. Ils ont l’équipe pour gagner cette année.
Auteur d’un but magnifique et d’un match plein, Javier Pastore a été le meilleur joueur du PSG hier soir. Le milieu de terrain de Cordoba revient sur cette élimination et sur la frustration qu’elle génère dans le camp parisien. Mais il espère maintenant des lendemains meilleurs.
Quel est votre sentiment après cette élimination ?
Je suis triste parce que nous avons joué deux matchs face au Barça sans perdre.
Mais en même temps je reste tranquille parce que c’est notre première participation à la Ligue des champions depuis longtemps et je suis certain que la saison prochaine sera meilleure. Tout ce qui s’est passé cette saison est très positif. Nous sommes en train de grandir et cette partie nous a encore aidés à nous améliorer.
Qu’a-t-il manqué à Paris ce soir pour se qualifier ?
On a eu la possibilité de mener 2-0 et c’aurait tout changé. Mais on n’a pas su le faire, voilà pourquoi nous sommes sortis de la compétition. Vous avez pourtant eu ce deuxième but au bout du pied... C’était un moment crucial. Si je l’avais mieux prise, elle serait allée dedans. A cet instant de la partie, il ne restait plus beaucoup de temps et on aurait peut-être pu se qualifier.
Quel regard portez-vous sur votre but ?
C’est un but magnifique après un une-deux avec Ibra. Marquer au Camp Nou ça n’arrive pas tous les jours, mais je ne m’arrête pas là-dessus, ce qui prédomine c’est la déception.
Qu’avez-vous pensé de l’entrée en jeu de Leo Messi ?
Son entrée a changé le visage du Barça. A partir de ce moment-là, ils ont été plus agressifs. C’est un joueur fondamental pour Barcelone, et il l’a encore prouvé ce soir. Quand il est là, ce n’est pas la même équipe.
Quel est votre favori pour la victoire finale dans cette Ligue des champions ?
J’aime beaucoup le Bayern Munich. C’est une équipe très compacte et forte physiquement. Ils ont l’équipe pour gagner cette année.
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