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Coupe de la Ligue : le PSG en finale après sa victoire à Lille (0-1)
Pour la deuxième année d’affilée, les Parisiens, sérieux et réalistes, disputeront la finale de l’épreuve, le 11 avril, au stade de France.
La satisfaction est à la hauteur des ambitions du club de la capitale. Le PSG s’est ouvert, hier soir, la route du Stade de France où il défendra son titre le 11 avril face à Monaco ou Bastia. Il n’y a peut-être pas encore de quoi sauter au plafond.
La Coupe de la Ligue n’arrive en effet, par ordre de prestige et de priorité, qu’en quatrième et dernière position. Mais à cet instant de la saison, les joueurs et la direction du club peuvent encore caresser l’objectif d’un triplé national inédit dans l’Hexagone (Ligue 1, Coupe de France, Coupe de la Ligue).
Une quête qui pourrait bien animer et dynamiser les quatre derniers mois de l’exercice 2014-2015. Même en cas d’élimination contre Chelsea dès les 8es de finale de la Ligue des champions mi-mars, le PSG pourrait ainsi s’appuyer sur ce dessein domestique pour crédibiliser l’idée d’une progression sportive. Et maintenir le groupe en état d’alerte. Dans le cas inverse, si le PSG déjoue les pronostics à Stamford Bridge, cette finale de la Coupe de la Ligue se glissera au forceps entre un match de championnat à Marseille et un quart de finale de Ligue des champions. Un problème de riches. En attendant ces futures échéances, les joueurs de Laurent Blanc peuvent désormais s’appuyer sur un socle de six victoires d’affilée. Celle acquise hier soir aux dépens de Lille, grâce à un but du savoureux Maxwell, étant sans doute la plus maîtrisée de la série.
Une défense redevenue hermétique
Certes, ce PSG version 2015 ne tutoie pas encore le génie et l’insouciance qui l’escortaient aux meilleurs moments de la saison passée. Il retrouve toutefois une marge confortable par rapport à ses congénères du football français. Défendue par un quatuor 100 % brésilien, l’équipe de Laurent Blanc ne concède ainsi plus de but depuis trois rencontres. Hier, le gardien Nicolas Douchez n’a eu qu’un seul arrêt digne de ce nom à effectuer, en toute fin de rencontre. Ensuite, dès que l’équipe parisienne reprend le contrôle du ballon et des opérations, à peu près 75 % du temps, elle imprime à nouveau sa domination. Tout en maîtrise technique, les hommes de Blanc ont ainsi délivré au public lillois un échantillon de leur répertoire qui a fait leur réputation il n’y a pas si longtemps.
Un seul bémol, on regrettera son incapacité, désormais chronique, à se mettre vraiment à l’abri. Il s’agissait hier de la troisième victoire consécutive sur le score de 1-0. Le PSG gagne mais n’écrase jamais son adversaire. Ce n’est même pas de la maladresse tant les occasions de but ont été rares. Tout le monde, dans le camp parisien, s’en contenterait dimanche prochain à Lyon. Mais c’est la preuve que le chantier de rénovation entrepris depuis mi-janvier est encore ouvert.
Pour la deuxième année d’affilée, les Parisiens, sérieux et réalistes, disputeront la finale de l’épreuve, le 11 avril, au stade de France.
La satisfaction est à la hauteur des ambitions du club de la capitale. Le PSG s’est ouvert, hier soir, la route du Stade de France où il défendra son titre le 11 avril face à Monaco ou Bastia. Il n’y a peut-être pas encore de quoi sauter au plafond.
La Coupe de la Ligue n’arrive en effet, par ordre de prestige et de priorité, qu’en quatrième et dernière position. Mais à cet instant de la saison, les joueurs et la direction du club peuvent encore caresser l’objectif d’un triplé national inédit dans l’Hexagone (Ligue 1, Coupe de France, Coupe de la Ligue).
Une quête qui pourrait bien animer et dynamiser les quatre derniers mois de l’exercice 2014-2015. Même en cas d’élimination contre Chelsea dès les 8es de finale de la Ligue des champions mi-mars, le PSG pourrait ainsi s’appuyer sur ce dessein domestique pour crédibiliser l’idée d’une progression sportive. Et maintenir le groupe en état d’alerte. Dans le cas inverse, si le PSG déjoue les pronostics à Stamford Bridge, cette finale de la Coupe de la Ligue se glissera au forceps entre un match de championnat à Marseille et un quart de finale de Ligue des champions. Un problème de riches. En attendant ces futures échéances, les joueurs de Laurent Blanc peuvent désormais s’appuyer sur un socle de six victoires d’affilée. Celle acquise hier soir aux dépens de Lille, grâce à un but du savoureux Maxwell, étant sans doute la plus maîtrisée de la série.
Une défense redevenue hermétique
Certes, ce PSG version 2015 ne tutoie pas encore le génie et l’insouciance qui l’escortaient aux meilleurs moments de la saison passée. Il retrouve toutefois une marge confortable par rapport à ses congénères du football français. Défendue par un quatuor 100 % brésilien, l’équipe de Laurent Blanc ne concède ainsi plus de but depuis trois rencontres. Hier, le gardien Nicolas Douchez n’a eu qu’un seul arrêt digne de ce nom à effectuer, en toute fin de rencontre. Ensuite, dès que l’équipe parisienne reprend le contrôle du ballon et des opérations, à peu près 75 % du temps, elle imprime à nouveau sa domination. Tout en maîtrise technique, les hommes de Blanc ont ainsi délivré au public lillois un échantillon de leur répertoire qui a fait leur réputation il n’y a pas si longtemps.
Un seul bémol, on regrettera son incapacité, désormais chronique, à se mettre vraiment à l’abri. Il s’agissait hier de la troisième victoire consécutive sur le score de 1-0. Le PSG gagne mais n’écrase jamais son adversaire. Ce n’est même pas de la maladresse tant les occasions de but ont été rares. Tout le monde, dans le camp parisien, s’en contenterait dimanche prochain à Lyon. Mais c’est la preuve que le chantier de rénovation entrepris depuis mi-janvier est encore ouvert.
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Marquinhos va être dur à déloger
Le PSG a obtenu sans trembler son billet pour la finale de la Coupe de la Ligue. Même s'il ne s'est pas créé beaucoup d'occasions, il a diffusé une sérénité et une solidité collective rarement vu cette saison.
5,5 Douchez Un arrêt, un seul, à effectuer en première période (39e). Trois parades aisées après le repos. Pas de quoi se réchauffer pour le gardien parisien.
7 Marquinhos A croire que le poste d'arrière droit est celui qu'il préfère. Hier encore, l'international brésilien a été très bon. Il s'est érigé à plusieurs reprises (78e) en rempart infranchissable. Et des récupérations autoritaires, comme celle de la 66e minute.
7 Thiago Silva Encore une sortie de bon calibre pour le capitaine brésilien. Tranchant dans ses interventions, toujours bien positionné, royal dans les airs.
5,5 David Luiz L'autre défenseur central brésilien a été plus inspiré dans ses duels (même si Origi l'a dominé une fois) que dans ses relances. Globalement, son bilan est correct. Averti (51e).
7 Maxwell Très peu sollicité défensivement, le latéral gauche s'est montré à son aise offensivement avec des centres ajustés (32e) et un très beau but (27e). Deux passes mal ajustées ternissent son rendement.
5,5 Verratti Le jeune Italien a réalisé un bon début de partie dans la récupération. Mais il en a perdu le fil en fin de première période après s'être pris le bec avec Balmont. Averti (45e+1) puis remplacé par Cabaye (59e), accrocheur.
6 Thiago Motta La sentinelle a perdu quelques ballons en débuts de partie (4e, 13e) avant de se ressaisir. Il a été précieux ensuite dans son replacement et son calme.
6 Matuidi Toujours beaucoup d'activité au pressing dans l'entrejeu. Il a pu apporter son soutien devant au moins à deux reprises avec un bon centre (18e) et un décalage pour Maxwell (32e). Une perte de balle (39e) qui aurait pu être dangereuse.
5,5 Lucas Le Brésilien a été très en vue lors des 45 premières minutes. A chacune de ses prises de balles, il a créé le danger. Il réussit notamment une superbe passe en profondeur pour Cavani sur le but. Transparent après la pause, il cède sa place à Lavezzi (77 e).
4,5 Ibrahimovic Discret pour défier Enyeama, il s'est davantage signalé dans la construction du jeu de son équipe. Comme il le fait ces derniers temps, le Suédois a beaucoup décroché et a distillé quelques passes (15e, 47e). Plus discret lors du second acte.
5 Cavani L'Uruguayen a été bien meilleur que face à Rennes. Il s'est montré très disponible et a obtenu quelques bonnes situations (5e, 15e). Il centre en retrait pour Maxwell sur le but. Et un repli défensif permanent.
A Lille, Enyeama a maintenu son équipe à flots et Corchia a fait son match. Mais devant, les attaquants ont été trop timorés.
L'arbitre, M. Jaffredo (6), a su hausser le ton en sortant des avertissements quand les débats ont été plus tendus.
Le PSG a obtenu sans trembler son billet pour la finale de la Coupe de la Ligue. Même s'il ne s'est pas créé beaucoup d'occasions, il a diffusé une sérénité et une solidité collective rarement vu cette saison.
5,5 Douchez Un arrêt, un seul, à effectuer en première période (39e). Trois parades aisées après le repos. Pas de quoi se réchauffer pour le gardien parisien.
7 Marquinhos A croire que le poste d'arrière droit est celui qu'il préfère. Hier encore, l'international brésilien a été très bon. Il s'est érigé à plusieurs reprises (78e) en rempart infranchissable. Et des récupérations autoritaires, comme celle de la 66e minute.
7 Thiago Silva Encore une sortie de bon calibre pour le capitaine brésilien. Tranchant dans ses interventions, toujours bien positionné, royal dans les airs.
5,5 David Luiz L'autre défenseur central brésilien a été plus inspiré dans ses duels (même si Origi l'a dominé une fois) que dans ses relances. Globalement, son bilan est correct. Averti (51e).
7 Maxwell Très peu sollicité défensivement, le latéral gauche s'est montré à son aise offensivement avec des centres ajustés (32e) et un très beau but (27e). Deux passes mal ajustées ternissent son rendement.
5,5 Verratti Le jeune Italien a réalisé un bon début de partie dans la récupération. Mais il en a perdu le fil en fin de première période après s'être pris le bec avec Balmont. Averti (45e+1) puis remplacé par Cabaye (59e), accrocheur.
6 Thiago Motta La sentinelle a perdu quelques ballons en débuts de partie (4e, 13e) avant de se ressaisir. Il a été précieux ensuite dans son replacement et son calme.
6 Matuidi Toujours beaucoup d'activité au pressing dans l'entrejeu. Il a pu apporter son soutien devant au moins à deux reprises avec un bon centre (18e) et un décalage pour Maxwell (32e). Une perte de balle (39e) qui aurait pu être dangereuse.
5,5 Lucas Le Brésilien a été très en vue lors des 45 premières minutes. A chacune de ses prises de balles, il a créé le danger. Il réussit notamment une superbe passe en profondeur pour Cavani sur le but. Transparent après la pause, il cède sa place à Lavezzi (77 e).
4,5 Ibrahimovic Discret pour défier Enyeama, il s'est davantage signalé dans la construction du jeu de son équipe. Comme il le fait ces derniers temps, le Suédois a beaucoup décroché et a distillé quelques passes (15e, 47e). Plus discret lors du second acte.
5 Cavani L'Uruguayen a été bien meilleur que face à Rennes. Il s'est montré très disponible et a obtenu quelques bonnes situations (5e, 15e). Il centre en retrait pour Maxwell sur le but. Et un repli défensif permanent.
A Lille, Enyeama a maintenu son équipe à flots et Corchia a fait son match. Mais devant, les attaquants ont été trop timorés.
L'arbitre, M. Jaffredo (6), a su hausser le ton en sortant des avertissements quand les débats ont été plus tendus.
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Le PSG va disputer sa sixième finale de Coupe de la Ligue. Un record que le club parisien partage avec les Girondins de Bordeaux.
Le PSG va disputer sa sixième finale de Coupe de la Ligue. Un record que le club parisien partage avec les Girondins de Bordeaux.
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« Pour l'instant, on n'a rien gagné »
Thiago Motta, milieu de terrain du PSG
Satisfait de la qualification de son équipe, l'international italien prend la défense de Marco Verratti et assure que son compatriote ne méritait pas d'être averti.
Vous venez d'enchaîner une sixième victoire consécutive. Le PSG est-il enfin de retour?
THIAGO MOTTA. Aujourd'hui, on a fait un beau match. J'espère qu'on fera encore mieux lors des prochains rendez-vous et qu'on arrivera d'ici la fin de la saison à pratiquer un football encore meilleur. On va défendre notre titre, c'est bien.
Cette série de victoires peut-elle vous aider en vue du déplacement à Lyon dimanche ?
Évidemment que cela donne plus de confiance, de tranquillité. Mais quand tu joues au PSG, il faut gagner tout le temps. Si on perd dimanche, on va parler de crise. On doit affronter ce déplacement à Lyon comme une finale. L'objectif est de prendre la première place. Lyon mérite d'être leader et on doit démontrer sur le terrain que nous sommes meilleurs qu'eux.
Le PSG est toujours en lice dans quatre compétitions...
Continuons comme ça. Pour l'instant, nous n'avons rien accompli. Nous sommes 3es de Ligue 1, qualifiés dans les autres compétitions. On a l'opportunité de décrocher des titres mais, pour l'instant, on n'a rien gagné. Il faut garder les pieds sur terre.
Votre coéquipier, Marco Verratti a été sanctionné d'un carton jaune...
(Il coupe.) Il n'y a pas carton jaune. Il n'y a pas faute. Tous les joueurs parlent avec Marco parce que c'est un grand joueur. Il sait quand il fait bien, il sait quand il fait mal. Mais ce soir (hier), il n'y avait rien. J'étais à côté et il ne l'a pas touché.
Blanc a pourtant affirmé en conférence de presse qu'il en avait assez du comportement de son joueur, de ce côté sanguin..
Marco n'était pas énervé. C'est un joueur essentiel pour notre jeu et qui veut toujours gagner. Il a ce caractère. J'espère qu'il ne le perdra jamais. Ce soir, je le répète, il ne mérite pas de carton. Le coach a été joueur. Il sait comment cela se passe. On peut parler encore et encore. Mais regardez bien les images à la télé. Si vous voulez créer une polémique entre le coach, Marco et moi, évidemment c'est plus facile. Mais la vérité, c'est qu'il n'y a pas faute.
Thiago Motta, milieu de terrain du PSG
Satisfait de la qualification de son équipe, l'international italien prend la défense de Marco Verratti et assure que son compatriote ne méritait pas d'être averti.
Vous venez d'enchaîner une sixième victoire consécutive. Le PSG est-il enfin de retour?
THIAGO MOTTA. Aujourd'hui, on a fait un beau match. J'espère qu'on fera encore mieux lors des prochains rendez-vous et qu'on arrivera d'ici la fin de la saison à pratiquer un football encore meilleur. On va défendre notre titre, c'est bien.
Cette série de victoires peut-elle vous aider en vue du déplacement à Lyon dimanche ?
Évidemment que cela donne plus de confiance, de tranquillité. Mais quand tu joues au PSG, il faut gagner tout le temps. Si on perd dimanche, on va parler de crise. On doit affronter ce déplacement à Lyon comme une finale. L'objectif est de prendre la première place. Lyon mérite d'être leader et on doit démontrer sur le terrain que nous sommes meilleurs qu'eux.
Le PSG est toujours en lice dans quatre compétitions...
Continuons comme ça. Pour l'instant, nous n'avons rien accompli. Nous sommes 3es de Ligue 1, qualifiés dans les autres compétitions. On a l'opportunité de décrocher des titres mais, pour l'instant, on n'a rien gagné. Il faut garder les pieds sur terre.
Votre coéquipier, Marco Verratti a été sanctionné d'un carton jaune...
(Il coupe.) Il n'y a pas carton jaune. Il n'y a pas faute. Tous les joueurs parlent avec Marco parce que c'est un grand joueur. Il sait quand il fait bien, il sait quand il fait mal. Mais ce soir (hier), il n'y avait rien. J'étais à côté et il ne l'a pas touché.
Blanc a pourtant affirmé en conférence de presse qu'il en avait assez du comportement de son joueur, de ce côté sanguin..
Marco n'était pas énervé. C'est un joueur essentiel pour notre jeu et qui veut toujours gagner. Il a ce caractère. J'espère qu'il ne le perdra jamais. Ce soir, je le répète, il ne mérite pas de carton. Le coach a été joueur. Il sait comment cela se passe. On peut parler encore et encore. Mais regardez bien les images à la télé. Si vous voulez créer une polémique entre le coach, Marco et moi, évidemment c'est plus facile. Mais la vérité, c'est qu'il n'y a pas faute.
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Blanc allume Verratti
Une nouvelle fois averti, hier soir, après un tacle sur Florent Balmont, Marco Verratti sera suspendu contre Toulouse, le 21 février. L'incident a provoqué la colère froide de Laurent Blanc. « Avec Marco, c'est toujours chaud, a commenté le technicien parisien. Il se pénalise, ce garçon... Tant pis pour lui. Je l'adore, il est bourré de talent, mais s'il n'a pas l'intelligence de comprendre qu'il doit changer son comportement, il va avoir des problèmes, des gros problèmes... Nous faisons de la prévention avec lui depuis deux ans. Carlo (Ancelotti) en avait fait pendant un an avant moi. Apparemment, il ne comprend pas. C'est pour ça que je l'ai sorti et encore, j'aurais dû le sortir avant. »
Informé des propos de son entraîneurs, Verratti a fait profil bas : « C'était un match particulier par rapport au comportement de l'adversaire. il s'est passé des choses. Je peux m'améliorer mais ce soir, j'ai pris beaucoup de coups et je n'en ai pas donnés. »
Une nouvelle fois averti, hier soir, après un tacle sur Florent Balmont, Marco Verratti sera suspendu contre Toulouse, le 21 février. L'incident a provoqué la colère froide de Laurent Blanc. « Avec Marco, c'est toujours chaud, a commenté le technicien parisien. Il se pénalise, ce garçon... Tant pis pour lui. Je l'adore, il est bourré de talent, mais s'il n'a pas l'intelligence de comprendre qu'il doit changer son comportement, il va avoir des problèmes, des gros problèmes... Nous faisons de la prévention avec lui depuis deux ans. Carlo (Ancelotti) en avait fait pendant un an avant moi. Apparemment, il ne comprend pas. C'est pour ça que je l'ai sorti et encore, j'aurais dû le sortir avant. »
Informé des propos de son entraîneurs, Verratti a fait profil bas : « C'était un match particulier par rapport au comportement de l'adversaire. il s'est passé des choses. Je peux m'améliorer mais ce soir, j'ai pris beaucoup de coups et je n'en ai pas donnés. »
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Blanc : «Si Verratti n'a pas l'intelligence de comprendre»
Laurent Blanc n'a pas du tout apprécié le comportement de Marco Verratti mardi soir à Lille et il l'a dit publiquement à l'issue du match. En première période, Verratti a eu plusieurs accrochages avec Florent Balmont et a finalement écopé d'un avertissement.
Après avoir reconnu gentiment que, «avec Marco, c'est toujours chaud», l'entraîneur du PSG s'est lancé dans un monologue où il n'a pas épargné l'international italien.
«Il se pénalise. Je ne plaisante pas avec ça. Et donc tant pis pour lui. Ça va quoi, ça fait deux ans qu'on lui dit et c'est toujours la même chose. S'il n'a pas l'intelligence de comprendre, il va avoir de gros problèmes. Je peux vous le dire, car je lui ai dit à lui aussi. Mais avec lui, on fait de la prévention depuis deux ans et Carlo (Ancelotti) en a fait aussi pendant un an.» Blanc reproche à Verratti d'être incapable de garder son calme sur le terrain et de prendre trop de cartons. «Apparemment il ne comprend pas, se lamente Blanc. C'est délicat. C'est pour ça que je l'ai sorti tôt et j'aurais même peut-être dû le sortir à la pause». Averti à la 46e minute, Verratti a été remplacé par Yohan Cabaye à la 60e minute.
Informé des propos de son entraîneurs, Verratti a fait profil bas : «?C’était un match particulier par rapport au comportement de l’adversaire. il s’est passé des choses. Je peux m’améliorer mais ce soir, j’ai pris beaucoup de coups et je n’en ai pas donnés.?»
Invité à donner son avis sur le petit prodige italien, René Girard, l'entraîneur du LOSC, a simplement reconnu : «Dans le domaine des allumeurs, Verratti est pas mal».
Laurent Blanc n'a pas du tout apprécié le comportement de Marco Verratti mardi soir à Lille et il l'a dit publiquement à l'issue du match. En première période, Verratti a eu plusieurs accrochages avec Florent Balmont et a finalement écopé d'un avertissement.
Après avoir reconnu gentiment que, «avec Marco, c'est toujours chaud», l'entraîneur du PSG s'est lancé dans un monologue où il n'a pas épargné l'international italien.
«Il se pénalise. Je ne plaisante pas avec ça. Et donc tant pis pour lui. Ça va quoi, ça fait deux ans qu'on lui dit et c'est toujours la même chose. S'il n'a pas l'intelligence de comprendre, il va avoir de gros problèmes. Je peux vous le dire, car je lui ai dit à lui aussi. Mais avec lui, on fait de la prévention depuis deux ans et Carlo (Ancelotti) en a fait aussi pendant un an.» Blanc reproche à Verratti d'être incapable de garder son calme sur le terrain et de prendre trop de cartons. «Apparemment il ne comprend pas, se lamente Blanc. C'est délicat. C'est pour ça que je l'ai sorti tôt et j'aurais même peut-être dû le sortir à la pause». Averti à la 46e minute, Verratti a été remplacé par Yohan Cabaye à la 60e minute.
Informé des propos de son entraîneurs, Verratti a fait profil bas : «?C’était un match particulier par rapport au comportement de l’adversaire. il s’est passé des choses. Je peux m’améliorer mais ce soir, j’ai pris beaucoup de coups et je n’en ai pas donnés.?»
Invité à donner son avis sur le petit prodige italien, René Girard, l'entraîneur du LOSC, a simplement reconnu : «Dans le domaine des allumeurs, Verratti est pas mal».
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Lacazette : « Lyon peut battre Paris sans moi »
Malgré son absence, Alexandre Lacazette est sûr de la force de l'OL, adversaire du PSG dimanche pour le choc de la 24e journée de L 1. « J'ai confiance en mes coéquipiers, je sais très bien qu'ils peuvent battre Paris sans moi », a-t-il confié après avoir reçu le titre de sportif lyonnais de l'année 2014, à l'occasion de la soirée des Lions du sport.
« J'ai su faire le deuil de mon absence, je vais les soutenir et essayer d'avoir un petit mot pour chacun, assure le meilleur buteur de Ligue 1 (21 buts). Ils savent que je suis derrière eux. On parle un peu trop de mon absence, il faut faire confiance aux joueurs présents. » L'attaquant de l'OL espère rejouer le 22 février contre Nantes.
800 supporteurs à Gerland ? 600 supporteurs parisiens sont déjà inscrits pour venir encourager leur équipe dimanche à Lyon. Le club a fait un geste commercial en proposant les billets à 20 € au lieu de 40. Au total, ils pourraient être 800 fans du PSG à Gerland.
L'avion du PSG privé de Bourget. La délégation parisienne n'est plus autorisée à atterrir à l'aéroport du Bourget quand elle rentre de déplacement en pleine nuit. Pour les avions d'au moins 50 places comme ceux utilisés par le club, une dérogation accordée par la Direction générale de l'aviation civile (DGAC) est nécessaire. Ibrahimovic et ses partenaires ont donc dû se poser à Roissy cette nuit et sont ensuite passés par le salon d'honneur du terminal 2A.
Malgré son absence, Alexandre Lacazette est sûr de la force de l'OL, adversaire du PSG dimanche pour le choc de la 24e journée de L 1. « J'ai confiance en mes coéquipiers, je sais très bien qu'ils peuvent battre Paris sans moi », a-t-il confié après avoir reçu le titre de sportif lyonnais de l'année 2014, à l'occasion de la soirée des Lions du sport.
« J'ai su faire le deuil de mon absence, je vais les soutenir et essayer d'avoir un petit mot pour chacun, assure le meilleur buteur de Ligue 1 (21 buts). Ils savent que je suis derrière eux. On parle un peu trop de mon absence, il faut faire confiance aux joueurs présents. » L'attaquant de l'OL espère rejouer le 22 février contre Nantes.
800 supporteurs à Gerland ? 600 supporteurs parisiens sont déjà inscrits pour venir encourager leur équipe dimanche à Lyon. Le club a fait un geste commercial en proposant les billets à 20 € au lieu de 40. Au total, ils pourraient être 800 fans du PSG à Gerland.
L'avion du PSG privé de Bourget. La délégation parisienne n'est plus autorisée à atterrir à l'aéroport du Bourget quand elle rentre de déplacement en pleine nuit. Pour les avions d'au moins 50 places comme ceux utilisés par le club, une dérogation accordée par la Direction générale de l'aviation civile (DGAC) est nécessaire. Ibrahimovic et ses partenaires ont donc dû se poser à Roissy cette nuit et sont ensuite passés par le salon d'honneur du terminal 2A.