Aide - Recherche - Membres - Calendrier
Version complète : [Club] Revue de presse
Forum de Culture PSG > Les forums du Haut : L'actualité du PSG et du football > L'actualité du PSG
Pages : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50, 51, 52, 53, 54, 55, 56, 57, 58, 59, 60, 61, 62, 63, 64, 65, 66, 67, 68, 69, 70, 71, 72, 73, 74, 75, 76, 77, 78, 79, 80, 81, 82, 83, 84, 85, 86, 87, 88, 89, 90, 91, 92, 93, 94, 95, 96, 97, 98, 99, 100, 101, 102, 103, 104, 105, 106, 107, 108, 109, 110, 111, 112, 113, 114, 115, 116, 117, 118, 119, 120, 121, 122, 123, 124, 125, 126, 127, 128, 129, 130, 131
HHA
Citation
Paris n’oubliera pas Marrakech

Le PSG a fait ses adieux à Marrakech hier après-midi après quatre jours d’un stage intense. Arrivés dimanche soir, Kombouaré et ses hommes se sont entraînés deux fois par jour et ont fait match nul (1-1) contre le WAC Casablanca mercredi soir. De l’avis de tous, ces cinq jours ont surtout permis de renforcer la cohésion au sein du groupe. Avant de reprendre le chemin de la compétition, demain au Parc face à Lens en 32es de finale de la Coupe de France, voici le récit en photos de ce stage.

Resserrer les liens était l’objectif principal de ce stage.
Et la bonne ambiance était bel et bien au rendez-vous lors des séances d’entraînement. De retour à leur hôtel, les joueurs parisiens ont pu passer quelques heures ensemble, souvent par petits groupes, à jouer aux cartes, discuter ou encore faire du shopping dans les boutiques de luxe de l’établissement. Ils n’ont eu qu’une seule soirée de libre, mercredi soir après le match, au cours de laquelle ils se sont rendus dans les quelques discothèques de leur quartier avant de regagner leur chambre à 2 heures du matin maximum.

Grégory Coupet a égayé le séjour de sa bonne humeur. « Ce stage s’est super bien passé, raconte-t-il. J’espère qu’il va nous aider à aller le plus haut possible. Moi, en tout cas, j’ai pris du plaisir. »Mais en ce début d’année, l’exinternational ne songe plus trop à regagner une place de titulaire. « Dans six mois, j’arrête ma carrière. Je suis donc plutôt dans une optique de passer la main. Une fois que j’aurai raccroché les crampons, peut-être que je deviendrai entraîneur des gardiens, mais des jeunes. » Au PSG ? « Surtout pas », répond-t-il dans un éclat de rire.

Mercredi soir, lors du match amical contre le WAC Casablanca (1-1), Nene a été victime d’une vilaine béquille la cuisse. Le Brésilien n’a pas pu s’entraîner hier matin mais le staff médical se voulait rassurant à son sujet.

Hier matin, l’entraîneur parisien a réuni ses joueurs pour leur faire part de sa satisfaction quant au travail effectué pendant ce stage. Antoine Kombouaré a également profité de ces quatre jours pour leur fixer des objectifs: « Retrouver une solidité défensive (NDLR : 15 buts encaissés lors des 10 derniers matchs) et être capable d’enchaîner plusieurs victoires de suite dans cette seconde moitié de championnat. » Son seul regret du stage : l’absence de Stéphane Sessegnon. « Je l’attends », répétait-il encore mercredi soir.



Citation
« Les négociations pour prolonger sont en bonne voie »

Le portier parisien dresse un bilan collectif et personnel à l’issue de ce stage au Maroc.

Comment s’est déroulé ce séjour à Marrakech ?
EDEL. Magnifiquement bien! C’était la première fois que je venais à Marrakech. Et j’ai été agréablement surpris par le climat, l’accueil. Les gens sont très gentils ici. Mais surtout, l’ambiance qui régnait au stade lors de notre match (NDLR : contre le WAC Casablanca, 1-1) était assez impressionnante. C’était une ambiance de folie, à l’africaine. Ça m’a plu. Ce stage nous a permis de bien travailler et, surtout, d’être entre nous, de resserrer les liens afin de retrouver la dynamique qui était la nôtre avant la trêve pour repartir de plus belle.

Quels sont les objectifs de cette deuxième partie de saison ?
Il faudra répondre présent dès samedi contre Lens parce qu’on veut absolument remporter un titre cette saison et bien figurer sur les tableaux. Ce serait magnifique d’être champions. Si Dieu le veut, on le sera. Je suis déterminé à donner le meilleur de moi-même pour qu’on aille le plus haut possible. Il y a un coup à jouer, on a un bon effectif, on est solides. A titre personnel, je me sens bien et épanoui à Paris.

Votre contrat avec le PSG prend fin en juin. Où en sont les négociations pour votre prolongation ?
Les négociations pour prolonger sont en bonne voie. Mais je ne peux pas en dire plus. Tout ce que je désire, et ce du plus profond de mon cœur, c’est aider mon club à obtenir un titre. Evoquer mon cas personnel n’est pas à l’ordre du jour.



Citation



Sessegnon poursuit son boycott. Sessegnon n’avait pas, hier, l’intention de se rendre au camp des Loges ce matin pour la reprise de l’entraînement avec ses partenaires. Le Béninois s’est entraîné seul à l’Insep hier. Malgré les messages de ses coéquipiers, sa position ne change pas. Il refuse toujours de retravailler avec Kombouaré.
En début de semaine prochaine, Robin Leproux devrait organiser une réunion entre les différentes parties .

Banderole anti-Ch’tis : verdict aujourd’hui. Le tribunal correctionnel de Bobigny rend aujourd’hui son verdict dans l’affaire de la banderole anti-Ch’tis. Outre des amendes, les cinq prévenus risquent de la prison avec sursis et jusqu’à cinq ans d’interdiction de stade.


Beuzech
Citation
Bastos : «Nenê mérite plus que moi»

Au début du mois de décembre, Michel Bastos nous confiait son admiration pour la première partie de Championnat réalisée par Nenê au PSG. Aujourd'hui, le milieu offensif brésilien de l'Olympique Lyonnais voit clairement son compatriote comme un concurrent pour une place en Seleçao.

D'ailleurs, l'ancien Lillois, réaliste sur ses performances depuis le début de l'exercice 2010-2011, estime que le meilleur buteur parisien possède une longueur d'avance sur lui. «Un joueur comme Nenê mérite plus que moi d'être appelé en sélection», juge froidement Bastos dans Le Parisien. Reste à savoir ce qu'en pense le sélectionneur brésilien Mano Menezes, qui n'a convoqué aucun des deux joueurs depuis sa prise de fonction en juillet dernier.


Francefootball.fr
Dready14
Citation
Communiqué du Club

Le PSG ne peut laisser passer la partialité et les erreurs figurant dans le reportage diffusé jeudi soir par France 2 dans le cadre de son émission Envoyé Spécial.

Le PSG ne peut laisser passer la partialité et les erreurs figurant dans le reportage diffusé jeudi soir par France 2 dans le cadre de son émission Envoyé Spécial intitulé « La Sécurité au Rabais » le club a bien au contraire pris des décisions fortes afin que le Parc des Princes et ses abords ne soient plus un terrain de violence, tous ceux qui le fréquentent depuis le début de la saison s’accordent à reconnaître la métamorphose opérée qui permet de dire qu’au PSG aujourd’hui « la sécurité n’est pas au rabais » !

Le Club dépense chaque année près de 5 millions d’euros pour assurer la sécurité de plus d’1 million supporters qui assistent aux matches tout au long de la saison.

Le Club emploie sur chaque match au Parc des Princes en moyenne 650 agents de sécurité qui disposent d’agréments préfectoraux et qui sont régulièrement employés par des sociétés de sécurité reconnues au niveau national et sous contrat avec le Club.

Le Club s’étonne que dans le reportage, Mme Linda Bendali affirme accéder au stade avec des places acquises par un Interdit de stade à l’occasion de la rencontre PSG / Auxerre alors que cette dernière a souscrit au Programme d’Identification Tous PSG afin obtenir 4 billets dans la même tribune. Nous nous interrogeons donc sur les places réellement utilisées par la journaliste pour entrer dans l’enceinte

Le club conteste la véracité des témoignages des deux personnes se présentant comme deux stadiers ayant déjà travaillé au Parc des Princes. Après vérification, il s’avère que ces derniers n’ont jamais collaboré directement ou indirectement avec le PSG. Ils ne peuvent donc pas connaitre les mesures et les procédures de sécurité mises en place par le PSG.

Le PSG regrette aussi que la journaliste n’ait pas pris la peine de vérifier :

* Que la loi permet à un Interdit de Stade d’acheter des billets librement.
Cette même loi lui interdit seulement de se rendre au stade ce qui est d’ailleurs souligné dans le reportage. Les billets nominatifs permettent principalement d’identifier les spectateurs et leur positionnement grâce aux 146 caméras de vidéo surveillance mis à la disposition de la Police au Parc des Princes.

* Qu’en cas d’incivilités avérées en tribune la mission des stadiers est d’assurer la sécurité des personnes présentes et d’extraire les fauteurs de trouble pour les présenter à la Police comme ce fut le cas pour la personne incriminée dans le reportage.

* Que le Plan Tous PSG comprend d’autres volets qui n’ont pas été évoqués dans le reportage et qu’il a permis depuis le début de la saison une pacification dans et aux abords au Parc des Princes. Le PSG rejette la stigmatisation de ses supporters et tient avant tout à assurer leur sécurité, le progrès est tangible.

Le Club tient aussi à rappeler qu’il mène d’importante actions de prévention en partenariat avec SOS Racisme, La LICRA ou le Paris Foot Gay afin de réduire les violences et les actes à caractères racistes ou homophobes.
La Direction du Club
Biz Markie
Citation
Kombouaré recadre les choses
«Le club d'abord, les soucis perso après» : tel est le mot d'ordre du coach parisien Antoine Kombouaré avant d'affronter Lens, samedi (20h45), en coupe de France.

Le Maroc : Les Parisiens ont effectué leur stage de reprise à Marrakech cette semaine, où ils ont disputé mercredi un match amical contre la WAC Casablanca (0-0). Les joueurs sont-ils requinqués ? «Le groupe, je le sens bien, mais je pense que tous les entraîneurs, quand ils reviennent de stage, sont satisfaits. On s'est retrouvé entre nous, on a bien bossé, on a resserré les liens, on a fait un bon match amical. On a le sentiment qu'on a fait de bonnes choses maintenant, on revient à la compétition et c'est là que ça se joue. Si on gagne (samedi), on dira qu'on a fait un bon stage. Au retour de stage, on est souvent content mais il y a la compétition, il faut dissocier les deux».

Lens et la Coupe de France : «On s'attend à une opposition très relevée mais la meilleure façon de lancer 2011, c'est de gagner ! Nous sommes les tenants du titre, c'est une compétition importante et c'est le premier match de l'année. Maintenant, si ce n'était pas le cas et bien, on repartirait de l'avant, il ne faut pas oublier que nous sommes engagés sur les trois autres tableaux. Bolonï va certainement booster Lens, je connais un peu, on a souvent fait avec Valenciennes des matches amicaux contre le Standard de Liège. Il a été champion avec le Standard. Ils ont fait 2-2 contre Dortmund, c'est une très bonne performance».

«IL PARAÎT QU'IL Y A DES INVESTISSEURS QUI VONT VENIR, ILS VONT CERTAINEMENT EMMENER UN ENTRAÎNEUR... ET BIEN MOI, JE N'AI QU'UNE ENVIE, C'EST DE PORTER HAUT LES COULEURS DU CLUB. JE ME FOUS DE MA SITUATION, QUE CELA SOIT TRÈS CLAIR.»

Le mercato et le cas Sessegnon : «C'est toujours zéro départ», a martelé le «coach». «Je travaille avec l'effectif que j'ai. Avec les joueurs, on ne parle que du match qui vient. Je vais vous donner un exemple concret : mon staff technique, ils sont tous en fin de contrat, ils n'ont pas les mêmes salaires que les joueurs, ils ont des familles aussi et bien, aujourd'hui, on fait abstraction de nos soucis perso et on pense qu'à une chose, c'est de gagner, gagner !».

Les investisseurs étrangers : «Je peux parler de ma situation si vous voulez. Il paraît qu'il y a des investisseurs qui vont venir, ils vont certainement emmener un entraîneur... Et bien moi, je n'ai qu'une envie, c'est de porter haut les couleurs du club. Je me fous de ma situation, que cela soit très clair. On est tous concernés par des situations personnelles, il y a des joueurs en négociation de contrat, des joueurs qui sont libres mais il ne faut pas que ça nuise au collectif. Attention, on n'est pas à plaindre, on joue au PSG et tout ce que j'entends sur ces investisseurs, ça me motive »
- Propos recueillis par Christophe MICHEL, au camp des Loges.


lequipe.fr
sylvain
RMC

Citation
Paris est toujours bloqué

Toujours dans l’attente de l’arrivée de nouveaux actionnaires, le club parisien ne peut réaliser aucune opération de transfert. Plusieurs joueurs dont notamment Stéphane Sessegnon sont concernés. Explications.


Depuis la fin de l’année, Paris ne peut officiellement réaliser aucune opération en matière de transferts. Ni vente, ni achats, ni même prolongation de contrat. La raison ? L’arrivée sans doute imminente désormais de nouveaux investisseurs minoritaires au sein du club parisien. Le président du PSG, Robin Leproux, avait clairement exprimé sa position sur ce sujet pendant la trêve hivernale.
« Mon souhait le plus cher est que cette parenthèse dure le moins longtemps possible car, aujourd’hui, toutes les discussions pour des prolongations de contrat ou des revalorisations salariales sont suspendues. Il faut rapidement que le club puisse faire ses opérations habituelles. »

« Ce n’est qu’une question de temps » dit l’agent d’Edel

Quatre dossiers sont notamment bloqués. Ils concernent les prolongations de contrat souhaités par la direction du club de Mamadou Sakho, Clément Chantome et Edel. Des discussions avaient été amorcées ces dernières semaines. Des accords étaient même proches pour Edel et Sakho. Christophe Henrotay, qui s’occupe des intérêts du gardien parisien, revient sur le cas de son poulain. « On a eu de très bonnes discussions avec les dirigeants du PSG, notamment Alain Roche. Nous ne sommes pas loin d’un accord affirme t-il. Je ne connais pas ce qui se passe au niveau de l’actionnariat mais il me semble que c’est un processus normal. Je ne suis pas inquiet. C’est le message qu’Alain Roche nous a fait passer. On aimerait que les choses avancent. Mais cela va se régler. Le PSG aussi souhaite avancer mais ils sont aussi respectueux de ce qui se passe. Alain Roche ne m’a pas donné l’impression d’être inquiet. Un peu embêté, c’est logique. Si ça devait s’éterniser, ça commencerait à devenir embêtant. Mais je n’ai pas ce sentiment là. Les choses vont à mon sens se régler rapidement. »
Autre dossier en suspens, Stéphane Sessegnon. Le joueur béninois, qui vient d’aller au clash avec son club, souhaite quitter le club parisien. Dans le cas où Paris recevrait prochainement une offre, elle serait, pour un temps, mise de côté. Au sein du club, les décideurs espèrent tous que les choses puissent évoluer au plus vite pour agir.
HHA
Citation
Paris attaque l’année en défendant son trophée

De retour du Maroc, les Parisiens vont chercher à bien lancer leur deuxième partie de saison. C’est aussi l’occasion de mettre entre parenthèses l’affaire Sessegnon.

Les vacances de fin d’année et le délicieux soleil marocain ne sont plus désormais que de doux souvenirs. Ce soir, dans un Parc qui sonnera creux, le PSG remet sa Coupe de France en jeu. La saison dernière, ce prestigieux trophée n’était qu’un joli cache-misère des insuffisances parisiennes. Cette année, Paris s’avance dans l’épreuve avec plus de certitudes.
Les joueurs n’ont rien à se faire pardonner. Juste à confirmer, dès l’entame de 2011, une excellente première partie de saison.

Ne pas négliger Lens

Une qualification permettrait aussi de bien se relancer après la défaite en championnat subie à Nancy, la première en treize rencontres toutes compétitions confondues, lors de la dernière journée avant la trêve.
Lens n’est pas pour autant un adversaire à négliger. Certes, il n’y a aucune raison objective de penser que les hommes de Kombouaré, si sérieux et si denses dans leur jeu depuis cinq mois, doivent craindre à excès des Nordistes dont l’avenir en L 1 est loin d’être acquis. Cependant, Lens vient de se choisir un nouvel entraîneur, le Roumain Laszlo Bölöni, pendant la trêve. Ce changement n’est pas forcément une bonne nouvelle pour Paris. En effet, le phénomène est vieux comme le football : quand un nouvel entraîneur arrive, ses joueurs courent souvent beaucoup plus vite au match qui suit afin de gagner sa confiance…

« Il va y avoir une réaction lensoise, confirme Antoine Kombouaré. Je m’attends forcément à rencontrer une équipe avec des intentions très fortes et extrêmement motivée. »

La qualification espérée ce soir n’aurait pas que des avantages sportifs. Elle servirait aussi à éloigner le seul nuage qui menace l’atmosphère apaisée du camp des Loges. On parle évidemment de Stéphane Sessegnon, qui a séché une nouvelle fois l’entraînement hier. En effet, un joueur qui boude dans une équipe qui gagne est juste un capricieux solitaire qui ne punit que lui-même. Indirectement, l’entraîneur parisien lui a adressé un message : « Mon staff technique est en fin de contrat dans six mois, cela ne l’empêche pas de travailler et de penser au collectif. Et, moi, j’entends des bruits annonçant de nouveaux investisseurs qui viendraient avec un nouvel entraîneur. Mais je me fous de ma situation personnelle! Tous les problèmes personnels doivent être mis de côté. Je ne veux aucune excuse avant le match de Lens. Nous ne sommes pas des gens à plaindre. Surtout pas. »


HHA
Citation
Jallet, nouveau Francis Llacer

Sans faire de bruit, il s'est fait une place au Paris-SG. Arrivé dans l'anonymat en juin 2009 en provenance de Lorient, Christophe Jallet est aujourd'hui incontournable. Une évolution dont il est fier, il ne s'en cache pas. «Les gens s'aperçoivent que ça ne se passe pas trop mal pour moi au niveau sportif. Je reçois pas mal de compliments, ça fait plaisir», déclare-t-il samedi dans L'Equipe, avant d'affronter Lens en 32es de finale de la Coupe de France.
«Des joueurs comme Francis Llacer, il en faut»

Bien calé dans l'ombre des Nenê et autres Hoarau ou Makelele, l'ancien Lorientais ne recherche pas pour autant la lumière. «Dans une équipe, on a besoin de stars et de besogneux. Les stars sont exposées, c'est normal, estime-t-il, lui qui dit ne pas avoir changé. Moi, je préfère qu'on me laisse tranquille finalement. (...) Des joueurs comme Francis Llacer, il en faut. Je suis dans la catégorie des joueurs qui ne doivent pas lâcher sinon le coup de bambou derrière la nuque arrive aussi sec.»


lequipe.fr

Trop modeste le Jallet...
Homer
Citation
Paris lance bien 2011

Dans un Parc des Princes aux trois quarts vide, le Paris-SG a bien débuté l'année en se qualifiant facilement aux dépens de Lens (5-1).

Antoine Kombouaré et le Paris Saint-Germain ne négligent aucune épreuve cette saison. Pour preuve, l'équipe alignée par le Kanak au coup d'envoi face au RC Lens et l'application que les coéquipiers de Claude Makelele ont mis tout au long de la rencontre à poursuivre sur leur lancée d'un automne plutôt bien négocié. Il n'y eu pas longtemps de suspense entre le 2e et le 19e de L1. Et Laszlo Bölöni, le nouvel entraîneur des Nordistes, n'y a rien changé.

Camara mieux qu'un remplaçant

Paris se montrait entreprenant dès les premières minutes de jeu et concrétisait sa domination grâce à un but de Zoumana Camara, remplaçant plus que crédible de Mamadou Sakho. Le défenseur parisien bénéficiait d'un ballon repoussé par Kasraoui, le gardien lensois, pour ouvrir la marque d'une superbe reprise (1-0, 20e). Les Parisiens savaient qu'il leur fallait trouver la faille une seconde fois pour éviter toute mauvaise surprise et une inutile dépense d'énergie avant de retrouver la L1, samedi prochain, face à Sochaux dans ce même Parc des Princes.
Lens coule

Revenus après la pause sur une pelouse qui elle, prenait l'eau, les Parisiens n'eurent besoin que de treize minutes pour alourdir un score qui n'en demandait pas tant. Nenê, que la trêve n'a pas arrêté, et un doublé de Hoarau, dont un penalty transformé suite à une faute de Yahia sur Erding annihilaient toute possibilité de révolte des coéquipiers d'Hermach. Réduits à 10, Lens encaissait un nouveau but sur une tête de Luyindula (75e), entré depuis peu en jeu. Eduardo sauvait l'honneur nordiste en transformant un penalty accordé après une faute d'Edel sur Maoulida, le plus en vue des Lensois (80e). Lens sombre et va devoir faire preuve d'une grande solidarité pour éviter le naufrage. Paris, de son côté, entretient sa forme, ses envies de conquêtes et un moral toujours au beau fixe en ce début d'année 2011

L'Equipe.FR

Citation
Paris-SG - Lens : 5-1

Auteur d'une prestation de très haut-niveau lors de la seconde période sous la houlette de l'excellent Nenê, le Paris-SG va défendre son trophée au moins un tour supplémentaire. Pour sa première sur le banc lensois, Laszlo Boloni aura vécu un cauchemard.
NeiBaF
Citation
Paris démarre en fanfare contre Lens



Les Parisiens se sont qualifiés pour les 16es de finale de la Coupe de France en étrillant Lens (5-1) samedi au Parc des Princes. Visiblement, la trêve hivernale et le stage à Marrakech (Maroc) ont vite fait oublier la triste fin de 2010 sur la pelouse synthétique de Nancy (0-2) le 22 décembre.

Le PSG est reparti sur les chapeaux de roues dans une année où il vise une place dans les trois premiers du championnat et une victoire dans une des trois coupes où il est toujours en course.
Malgré les absences de Sakho, Tiéné, Bodmer et la mise hors-jeu de Sessegnon, les coéquipiers de Makelele ont montré qu'ils avaient l'envie d'assumer ces ambitions.

A Paris, l'année a peut-être changé mais Nene reste l'homme capable de faire basculer un match. Le Brésilien est le premier dangereux en poussant Kasraoui à détourner en corner une bonne frappe du droit (14e), avant de frôler le montant sur un coup franc de 20 mètres (17e). D'un nouveau coup franc, il dépose le ballon sur la tête de Hoarau qui oblige Kasraoui à détourner en catastrophe. Camara en embuscade n'a plus qu'à pousser le ballon le ballon dans le but (1-0, 20e). Lens ne craque pas à l'image de cette percée de Maoulida dont la frappe est détournée par Edel (35e) mais Paris a bien le match en main.

Les Lensois qui évoluent pour la première fois sous les ordres de leur nouvel entraîneur Laszlo Bölöni s'agacent, s'énervent et haussent le ton plus souvent qu'il ne le faudrait. Paris, de son côté, affiche le calme et la certitude des équipes à qui (presque) tout sourit.

Dès la reprise, Giuly chipe un ballon à la défense sang-et-or et sert immédiatement Erding dont la reprise du plat du pied est hors de portée du gardien lensois (2-0, 50e). Deux minutes plus tard, Yahia est débordé par Erding. Le défenseur arthésien fauche le Turc en position de dernier défenseur. L'arbitre siffle logiquement penalty et expulse le défenseur tunisien. Hoarau transfome (3-0, 53e) avant de signer un doublé en reprenant de la tête un corner de Nene malgré une parade désespérée de Kasraoui (4-0, 62e). A peine entré, Luyindula s'invite lui aussi à la fête en devançant de la tête la sortie de Kasraoui sur un long centre de Jallet (5-0, 76e).

La réduction du score d'Eduardo sur penalty après une faute d'Edel sur Maoulida (5-1, 80e) ne suffit pas à masquer l'abîme devant lequel se trouve Lens. L'opération maintien prend de plus en plus l'ampleur d'un chantier pharaonique.

Mais Paris n'en a cure et ne boude pas son plaisir. Quelques jours après le réveillon, le PSG démontre qu'il a très envie de ne pas attendre une année complète pour déboucher de nouveau les bouteilles de champagne.

Biz Markie
Citation
Elongation pour Ceara

Remplacé à la mi-temps du 32e de finale de Coupe de France contre Lens (5-1), samedi, le défenseur du Paris-SG Ceara souffre d'une élongation à la cuisse gauche. Il passera des examens dimanche afin de connaître la durée de son indisponibilité. - S. B., au Parc des princes.

lequipe.fr
Biz Markie
Citation
Nenê sur sa lancée

Nenê a démarré 2011 comme il avait terminé l'année 2010 : en marquant et en se montrant décisif. De quoi se rapprocher de son rêve d'intégrer la sélection du Brésil.


Pour Nenê, la trêve hivernale s'est faite en douceur. D'abord sous le soleil de son Brésil natal, à Jundiai, dans l'état de Sao Paulo où il a passé du bon temps en famille, puis sous le ciel bleu de Marrakech où le PSG s'est entraîné toute la semaine. Oubliée la vilaine béquille contre le WAC Casablanca, c'est un Nenê en pleine forme qui a retrouvé, face à Lens (5-1), son jardin : le Parc des Princes, théâtre de ses exploits répétés lors de la première moitié de saison. Le Brésilien a encore régalé, malgré une pelouse délicate, en étant passeur décisif et buteur. «On a bien commencé l'année, c'est vrai, a-t-il reconnu. Cette large victoire nous donne de la confiance, ça nous lance idéalement. Face à Lens, on a tous eu de très bonnes sensations.»

Tenant du titre, le Paris-SG a donc fait un pas vers un nouveau voyage au Stade de France. Une pelouse que Nenê aimerait fouler avant la finale de la Coupe. En février, l'enceinte dyonisienne sera en effet l'hôte d'un match amical de prestige entre l'équipe de France et le Brésil. A un mois du rendez-vous, une question brûlait toutes les lèvres : «Avez-vous eu des nouvelles du sélectionneur lors de votre séjour au pays ?» Réponse de l'intéressé : «Non, mais en général il réserve des surprises. C'est peut-être bon signe, je ne sais pas. Il faut y croire en tout cas. L'an passé pour la Coupe du monde, c'est arrivé à Grafite. Il ne s'y attendait pas et il a été pris... On verra bien. France-Brésil, j'espère que j'y serai. Avant c'était un rêve pour moi, maintenant c'est devenu un véritable objectif ce match contre la France et une première sélection avec le Brésil. En tout cas je vais tout mettre en oeuvre pour y être.»

- Olivier SCHWOB, au Parc des Princes

lequipe.fr
NeiBaF
Citation
Nenê donne rendez-vous en mars

A l'image de son Brésilien Nenê, le Paris-SG, pourtant deuxième du Championnat à la trêve, reste traumatisé par les saisons passées, nettement plus décevantes. Aucun de ses joueurs ne veut reconnaître que l'équipe est cette année armée pour jouer le titre. «A Paris, c'est compliqué de parler de ça, a expliqué le meilleur buteur parisien, dimanche dans l'émission Stade 2 sur France. On va essayer de gagner chaque match. En mars, on pourra en dire plus, a-t-il ajouté. Je pense qu'on peut aller loin.»

Également interrogé sur son incroyable réussite personnelle (18 buts toutes compétitions confondues), le gaucher a confirmé qu'il resterait bien au club la saison prochaine, même s'il était sollicité par d'autres formations plus huppées. «Paris est un grand club. Je suis très heureux d'être là, a assuré l'ancien Monégasque. Si j'arrive à être appelé en Seleçao en jouant à Paris, je n'aurai pas besoin de plus.»

Julio94
Citation
Hoarau, bientôt dans le Top 10 du PSG

Ce samedi au Parc des Princes lors des 32es de finale de la Coupe de France face au Racing Club de Lens (5-1), Guillaume Hoarau a inscrit ses 39e et 40e buts pour le Paris Saint-Germain. L'attaquant réunionnais de 26 ans ne compte désormais plus que trois longueurs de retard sur Toko, le 10e meilleur buteur de l'histoire du club de la capitale. Ce classement est toujours dominé par Pedro Miguel Pauleta (109 buts). Le Portugais devance Dominique Rocheteau (100 buts).


Francefootball.fr
Schultzy
Citation
Sessegnon ne filera pas à l’anglaise

Que Stéphane Sessegnon ait décidé de visiter samedi les installations de Sunderland (L 1 anglaise), comme l’annonçait « l’Equipe » hier, a laissé de marbre les dirigeants parisiens. Ils restent toujours autant décidés à se séparer de Sessegnon… l’été prochain. Ils sont persuadés que la valeur marchande du Béninois ne va pas s’écrouler d’ici là.

Pour une question de principe et de respect, le club parisien est prêt à attendre que Sessegnon retrouve le sens des réalités. D’ici là, libre à lui de visiter les installations de tous les clubs européens. La donne ne change pas : il reste un salarié du club et ne partira pas si le PSG ne le souhaite pas.
Le Parisien.fr
HHA
Citation
PSG : le serment de Marrakech

La facile qualification contre Lens (5-1) ne s’est pas seulement forgée sur la pelouse du Parc des Princes. Sa genèse se situe aussi dans un salon de l’hôtel des Parisiens à Marrakech à l’occasion du stage de reprise. A l’issue d’une journée de travail, Claude Makelele, en bon capitaine, réunit les joueurs dans une salle.
Seulement les joueurs. Aucun membre du staff technique n’est alors convié. Les Parisiens veulent se parler les yeux dans les yeux.

Il ne s’agit pas de s’appesantir sur l’absence de Stéphane Sessegnon, mais bien d’exhumer devant le groupe un souvenir cuisant. « Les gars, explique en substance Makelele, rappelez-vous du mois de janvier 2010. On s’est relâchés et on a tout perdu en championnat. Cela ne doit absolument pas recommencer. » Après une qualification en trompe-l’œil face aux amateurs d’Aubervilliers (5-0), le PSG avait été éliminé de la Coupe de la Ligue à Guingamp (1-0) avant de perdre ses quatre matchs de championnat. Deux fois en déplacement à Lille (3-1) et à Lyon (2-1) et deux fois au Parc contre Monaco (1-0) et Lille (3-0). De retour du stage de La Baule, début 2010, Antoine Kombouaré avait pourtant estimé que c’était « le meilleur stage » de sa carrière d’entraîneur. Il avait notamment mis en exergue « l’ambiance de travail parfaite ». Les Parisiens ont ensuite compris que ce n’est pas parce qu’on rigole que les résultats suivent.

Eviter une nouvelle désillusion

Plus personne ne veut revivre pareille désillusion. Et, à Marrakech, presque tous les joueurs ont pris la parole à la suite de Claude Makelele. Les plus expérimentés comme Giuly et Armand, ou des jeunes tels Sakho ou Chantôme. Tous ont martelé qu’il était hors de question de replonger. Chacun a souligné que, si le PSG a réussi sa première partie de saison, c’était autant grâce aux valeurs humaines du groupe qu’aux qualités techniques des joueurs. Les Parisiens ont ensuite demandé au club de leur organiser une nouvelle tournée pour la fin de saison, à l’image de celle effectuée en mai à New York et à Chicago (voir nos éditions du 4 janvier). Pareille initiative avait alors contribué à resserrer les liens. Les joueurs sont prêts pour cela à rogner sur leurs vacances. Un signe aussi fort que la promesse de ne pas se relâcher formulée au Maroc.


sylvain
L'Equipe.fr

Citation
Bodmer et Tiéné ménagés

Mathieu Bodmer et Siaka Tiéné suivront un travail spécifique cette semaine, a indiqué le PSG. Les deux joueurs ressentent des douleurs au mollet droit. Ils n'ont pas participé à la qualification pour les seizièmes de finale de la Coupe de France aux dépens de Lens, samedi.

De son côté, Marcos Ceara a passé des examens ce lundi qui ont confirmé une élongation aux ischio-jambiers de la cuisse gauche. Le Brésilien devra repasser des examens mardi. Il n'a pas participé au footing en forêt de Saint-Germain pour la reprise de l'entraînement, lundi. - Christophe MICHEL au camp des Loges
HHA
Citation
Leproux laisse Sessegnon à la porte

Hier après-midi, Stéphane Sessegnon et son agent se sont rendus au Parc des Princes pour rencontrer Robin Leproux. Ils ne l’ont pas vu. Le président leur a fait savoir qu’ils devaient, comme tout le monde, prendre rendez-vous avant d’être reçus. Une date devrait être fixée dans les prochains jours. Pour l’heure, chaque partie reste sur ses positions.
Sessegnon est toujours déterminé à partir. Le PSG ne veut pas le lâcher. Si le joueur refuse désormais d’évoquer publiquement ce bras de fer, il se montre, en revanche, beaucoup plus ferme sur un point : « Je vous assure que je n’ai pas quitté Paris ce week-end, nous a-t-il confié. On a annoncé que j’étais allé visiter les installations de Sunderland (NDLR : L 1 anglaise). C’est faux! Je n’ai pas bougé de la capitale. » Selon nos informations, un émissaire de Sunderland se serait déplacé pour le rencontrer. Au camp des Loges, l’absence de Sessegnon fait parler. « Je l’appelle en lui demandant de revenir, lance son ami Edel. On a besoin de lui. » D’autres sont moins compréhensifs : « Sa démarche n’est pas très intelligente, lâche un joueur. C’est bizarre de demander à quitter un club qui est deuxième du championnat. C’est très égoïste. »


sylvain
RMC

Citation
Toujours pas de Sessegnon à l’entraînement


Les joueurs du PSG ont pris part à une grosse séance d’entraînement ce mardi au Camp des Loges. Sans Stéphane Sessegnon. Le milieu de terrain béninois ne s’est plus présenté dans les Yvelines depuis son altercation avec son entraîneur Antoine Kombouaré. Son absence ne semble pas vraiment perturber le groupe parisien. Beaucoup affichaient un large sourire durant la séance. A la fin de l’entraînement, ils ont même eu le droit aux applaudissements nourris de Kombouaré, visiblement ravi du travail fourni par ses hommes durant plus de 2h. Bodmer et Tiéné, touchés au mollet, ont fait des exercices spécifiques en compagnie du préparateur physique. Ceara, blessé aux ischio-jambiers, a passé des examens avec le docteur Rolland. Tandis que Claude Makelele a profité d’un jour de repos supplémentaire accordé par Kombouaré.
HHA
Citation
Sessegnon a rendez-vous avec Leproux

Stéphane Sessegnon doit rencontrer Robin Leproux aujourd’hui, deux jours après avoir été laissé à la porte du Parc des Princes sur ordre de son président. Le rendez-vous était programmé vendredi, mais le dirigeant parisien envisageait hier d’avancer cette rencontre.
Le patron du PSG, accompagné d’un salarié du club (vraisemblablement la DRH), a prévu de s’entretenir avec son milieu de terrain, qui refuse toujours de s’entraîner depuis son entrevue électrique avec Antoine Kombouaré, le 21 décembre dernier.

Ces trois dernières semaines, l’international béninois n’a rencontré aucun dirigeant parisien pour évoquer son avenir, même si des échanges téléphoniques ont eu lieu avec l’agent du joueur.

On s’achemine vers des sanctions

Sessegnon avait notamment refusé de revoir Kombouaré le 23 décembre dernier, au lendemain de Nancy-PSG (2-0). Cet entretien, préalable à de probables sanctions, est donc une première. Mais il semble très peu probable que cette réunion débouche sur un accord entre les deux parties. Le PSG conserve toujours l’espoir de faire changer d’avis Sessegnon pour l’amener à réintégrer l’équipe, alors que l’ancien Manceau est plus que jamais déterminé à changer d’air. Si Paris le retient, Sessegnon serait même disposé à mettre sa carrière entre parenthèses. Il pourrait s’en ouvrir tout à l’heure à son président. Mais Leproux, qui a fermé la porte à tout départ lors de ce mercato hivernal, ne devrait guère s’en émouvoir. On s’achemine donc vers des sanctions, vraisemblablement d’ordre financier, à l’encontre du joueur. Dans les faits, c’est déjà le cas puisque le joueur fait l’objet de retenues quotidiennes sur son salaire depuis son boycott de l’entraînement, le 2 janvier. En revanche, on voit mal comment le PSG pourrait pénaliser son joueur sur le plan sportif. Dans ce type de conflits, une mise à pied comme celles prononcées contre Rothen et Kezman en 2009 ne seraient d’aucun effet. C’est donc en frappant au portefeuille que Paris espère gagner son bras de fer avec son joueur récalcitrant.


Citation
Les nouveaux supporteurs se cherchent un nom

La première association de supporteurs, créée sous l’ère Leproux, fait déjà débat. Déclarée le 28 décembre 2010 à la préfecture de police, elle n’est, pour l’heure, pas reconnue par le club. En cause, le nom choisi par sa dizaine de membres, tous de nouveaux abonnés. En optant pour Red Fighters Paris (les Combattants rouges de Paris), les fondateurs n’ont pas eu une idée très judicieuse… Car même s’ils se disent en accord avec le plan sécurité du PSG, ces supporteurs auront du mal à promettre de combattre la violence en portant le nom de Fighters… « On ne reconnaîtra jamais une association avec un tel nom, affirme d’ailleurs le club.
Avoir déposé les statuts avec un tel nom ne sert à rien. » Le message a déjà été reçu. Après quelques formalités du côté de la préfecture, l’association devrait être rebaptisée Paris Tout-Puissant. Un choix qui ne fera pas l’unanimité puisqu’il rappelle Marseille Trop Puissant, l’une des associations les plus importantes de l’OM. Cela ne va pas atténuer la colère des anciens fidèles de Boulogne et Auteuil, opposés à la création de nouvelles associations.


sylvain
RMC
Citation
Le PSG veut affronter Agen à 18 heures


Le PSG affronter Agen le 22 janvier dans le cadre des 16e de finale de Coupe de France. Eurosport veut diffuser cette rencontre à 20h45 mais le PSG n’est pas de cet avis et a demandé à avancer la rencontre à 18 heures afin de rentrer plus tôt dans la capitale et de bénéficier d’un temps de récupération supplémentaire, selon le quotidien Sud Ouest. La Fédération française de football tranchera ce jeudi.



Citation
Leproux a rencontré Sessegnon

Nouvel épisode dans le feuilleton Sessegnon à Paris. Robin Leproux a rencontré le joueur parisien et son agent mercredi matin au Parc des Princes. Rien n'a filtré pour l'instant de cette entrevue. L'international béninois, qui n'a pas repris l'entraînement avec son club, souhaite être transféré. Remplaçant depuis le début de saison, il accuse Antoine Kombouaré de l'avoir insulté au cours d'une discussion.
paseric
Citation
Hoarau : « On veut finir sur le podium »
Auteur d’un doublé pour le premier match de l’année contre Lens (5-1) en Coupe de France, l’attaquant parisien affiche ses ambitions personnelles et collectives pour cette seconde partie de saison.

Guillaume Hoarau, Paris a bien commencé l’année et vous avec…

Le soleil de la Réunion pendant la trêve m’a fait du bien. On avait terminé 2010 sur une défaite. On a fait un bon match contre Lens. C’est de bon augure pour la venue de Sochaux samedi. On a la possibilité de faire bonne figure sur quatre tableaux. On n’en délaissera aucun. On a hâte de reprendre ce championnat parce que nous sommes encore dans le coup.

Avec quelles ambitions ?
Essayer de rester le plus haut, le plus longtemps possible. On veut finir sur le podium. Je le dis. Il faut être ambitieux. On a besoin de jouer la Ligue des champions pour franchir un palier. On a discuté pendant notre stage au Maroc. On a le potentiel pour aller chercher quelque chose. On se l’est dit. On travaille pour.

Paris peut-il encore s’écrouler ?
On ne se pose pas de questions. On commence vraiment à bien se connaître. On avance. On recommence à faire peur à nos adversaires. Notre pire ennemi, c’est nous-mêmes. On fait attention à tout. Il faut savoir endosser cette panoplie de leader, d’équipe forte. On sera attendus. On en est tous conscients. Le plus dur commence. On est sur de bons rails. A nous de rester dans le bon wagon.

Qu’attendez-vous à titre personnel de cette nouvelle année ?
De faire mieux que la première partie de saison. Je peux faire encore plus. Il y a eu des hauts et des bas. Je vais aussi essayer de marquer le plus de buts possible et aider l’équipe à atteindre ses objectifs. J’aimerais bien jouer la Ligue des champions avec le PSG.

« Nenê mérite amplement la sélection du Brésil »

Etes-vous perturbé par la possible arrivée de nouveaux investisseurs ?
Non pas du tout. On voulait savoir où ça en était. Le président est venu nous annoncer il y a quelques temps qu’il y allait y avoir de nouveaux investisseurs. Au moins, les choses sont claires d’autant que ça concerne l’avenir du club. On préfère que le président nous en ait parlé plutôt qu’on l’apprenne dans la presse

Que vous inspire la situation de Stéphane Sessegnon ?
C’est un cas particulier. Il faut prendre les gants pour en parler. Je ne me permettrai pas de juger ou de prendre partie. Chacun défend sa position. Ce n’est pas toujours évident. Sa réputation est en train d’en prendre un coup malgré lui. Il vit une année difficile au PSG. On verra bien comment les choses évoluent. C’est une situation difficile à gérer pour lui.

Parlez-vous déjà du prochain France-Brésil avec Néné ?
Pas du tout. En ce qui me concerne, il faut faire ses preuves déjà pour y aller. Rien n’est jamais acquis avec les Bleus. Mais c’est vrai que c’est un match que l’on aimerait jouer. Nenê mérite amplement d’aller en sélection avec le Brésil. Sur le plan européen voire mondial, il est loin d’être ridicule. Ce serait sympa si on pourrait se retrouver lors de ce match là.

RMC
HHA
Citation
Le PSG et Sessegnon campent sur leurs positions

La rencontre a duré 105 minutes, soit le temps d’un match de football, pause comprise, mais sans temps additionnel. Robin Leproux et Stéphane Sessegnon se sont vus pour la première fois hier depuis que le joueur, en conflit avec Antoine Kombouaré, refuse de s’entraîner avec son club pour mieux le quitter. Comme annoncé dans nos colonnes hier, cette réunion s’est tenue dans le secret du Parc des Princes, vers 16 heures.
Le milieu de terrain et son agent, Rudy Raba, ont été reçus par le président du PSG et la directrice des ressources humaines (DRH).
Par lassitude, calcul ou pour éviter de donner trop d’importance à l’affaire, le PSG n’a pas souhaité commenter cet entretien. Tout juste concède-t-on au club qu’« une discussion constructive entre deux hommes » a nourri les débats. Robin Leproux, qui affiche un bronzage éclatant après des vacances au Brésil et avait gardé tout son humour à la mi-journée, quelques heures avant la réunion, a rappelé au joueur qu’un départ lors du mercato était impossible, que l’équipe comptait sur lui et qu’il serait sain qu’il revienne s’entraîner avec ses coéquipiers.

Le joueur refuse toujours de retravailler avec Kombouaré

Arrivé le visage fermé, Stéphane Sessegnon serait apparu un peu tendu pendant l’entretien lors duquel sa position n’a pas changé d’un iota. Calmement, mais fermement, il a redit son désir de quitter la capitale, son impossibilité de travailler avec cet entraîneur-là. Le Béninois a aussi expliqué que l’homme qu’il est reste profondément meurtri par la discussion houleuse qu’il a eue fin décembre avec Kombouaré au camp des Loges. Sessegnon a réitéré devant la direction du PSG son souhait d’être transféré pendant ce mercato d’hiver, même s’il lui reste deux ans et demi de contrat à honorer. Evidemment, la requête a été jugée irrecevable.
Officiellement, la question des sanctions n’a pas été abordée, mais la présence de la DRH semble indiquer le contraire. Pour l’instant, seule la retenue sur salaire a été activée (près de 5 000 € par jour d’entraînement loupé et environ 20 000 € pour chaque match public boycotté). Robin Leproux serait désormais assez pessimiste quant à un retour à la normale dans ce dossier. Il ne semblait plus trop croire, hier, après cette réunion, à un assouplissement de la position du milieu béninois. Ce qui laisse entier le mystère Sessegnon une fois le mercato clos (31 janvier). Les clubs européens auront fait leur marché, le joueur pourrait être hors de forme et le PSG sera encore plus avancé dans sa saison. Que deviendra alors le joueur quand le mois de février arrivera?


Titi'
Citation
Le stade d'Agen pas encore homologué
Le 13/01/2011 à 12:10

La Fédération française (FFF) n'a toujours pas délivré l'homologation du stade Armandie, où doit se tenir le seizième de finale de la Coupe de France entre Agen (CFA2) et le Paris-SG, a indiqué jeudi le club lot-et-garonnais. La capacité d'accueil du parking notamment pose encore problème à la commision centrale de la Coupe venue inspecter les lieux mercredi. Pour s'assurer que tout est en règle, les membres de celle-ci doivent bientôt revenir en compagnie des autorités locales. En cas de réponse négative, le SU Agen pourrait se tourner vers le stade Chaban-Delmas de Bordeaux. En attendant l'autorisation nécessaire, la billetterie du match reste fermée. (Avec AFP)

Golazo
Citation
PSG : 3 semaines sans Ceara ?

Le défenseur brésilien Marcos Ceara pourrait être écarté des terrains pendant trois semaines.

Siaka Tiéné en délicatesse avec un mollet, Marcos Ceara victime d'une élongation à une cuisse, Antoine Kombouaré choisira entre Sylvain Armand et Tripy Makonda pour évoluer au poste de latéral gauche contre Sochaux s'il estime risqué de faire revenir l'Ivoirien. Si Armand passait à gauche, Zoumana Camara compléterait la défense centrale avec Mamadou Sakho, de retour de suspension.

Ceara pourrait être absent trois semaines selon nos confrères du Parisien.

ODLB (Rédaction Football365.fr)
HHA
Citation
Sylvain Armand à gauche contre Sochaux ?

Sylvain Armand pourrait retrouver son poste d’arrière gauche samedi contre Sochaux. Antoine Kombouaré ne veut prendre aucun risque avec Siaka Tiéné, sur lequel il compte surtout pour le déplacement à Montpellier (demi-finale de Coupe de la Ligue) mardi prochain. Et le Brésilien Ceará, capable de jouer à ce poste, devrait être absent des terrains trois semaines (élongation aux ischio-jambiers).
Si Armand retrouvait le flanc gauche, Zoumana Camara, très bon contre Lens (5-1) la semaine dernière, pourrait à nouveau évoluer en défense centrale aux côtés de Mamadou Sakho, de retour de suspension.





Citation
La Direction des Activités Sportives de la FFF vient d'envoyer un fax au siège du SU AGEN FOOTBALL afin de nous informer que la Commission Fédérale de la Coupe de France, conformément aux dispositions de l'article 11 du règlement de l'épreuve, a fixé comme suit le calendrier de la rencontre télévisée sur EUROSPORT: AGEN - PARIS SAINT GERMAIN, le samedi 22 janvier 2011 à 20h45.


suagenfoot.fr
Iloved
Citation
Cayzac : «Ne gâchez pas votre plaisir !»



Médiateur à l'automne avec Franck Borotra, président de la Fondation PSG, l'ancien patron du club parisien Alain Cayzac se dit plutôt optimiste quant aux relations avec les supporters du club de la capitale... (Photo Presse-Sports)

«Alain Cayzac, le Paris-SG dispute (samedi 21h00) contre Sochaux son premier match de L1 de l'année 2011 au Parc des Princes. Où en sont les relations du club avec ses supporters ?

Un pas a été franchi avec le retour des abonnements. C'est une bonne chose. L'abonné peut disposer d'un emplacement fixe pour la saison, mais c'est dans l'une ou l'autre tribune (Boulogne ou Auteuil).

Mais pas question, justement, de choisir sa tribune ?

Tout le problème est concentré dans une notion, celle de territorialité. Les supporters historiques veulent venir dans la tribune à laquelle ils sont habitués. Personnellement, je n'y suis pas opposé. Il y a des habitudes, c'est un peu comme l'attachement à un quartier, dans une ville.

Mais on sait aussi sur quoi a débouché ce partage des tribunes du Parc des Princes...

Si on se regroupe pour de bonnes raisons, pour la ferveur, l'animation, d'accord. Si c'est, en revanche, pour de mauvaises raisons, claniques, d'exclusion de l'autre, ce peut être dangereux...

«Quand la justice sera passée, les choses s'apaiseront»



Prendriez-vous le risque aujourd'hui de recréer des «territoires» ?

Il a été jugé que c'était encore trop tôt, car la situation demeure très tendue entre Boulogne et Auteuil. Je prône, moi, un retour par étapes....

C'est-à-dire ?

La première phase du plan Leproux (avec notamment le placement aléatoire des supporters) était indispensable. Mais aujourd'hui, tout le monde, Robin Leproux compris, souhaite une deuxième phase, car manquent l'animation des tribunes, la ferveur et la fréquentation.

Etes-vous optimiste ?

Oui, plutôt. Même si tout n'est pas parfait. Le retour d'associations de supporters est positif : un club sans associations est difficile à gérer. Mais l'enquête à la suite de la mort d'un supporter en mars 2010 n'est pas terminée et cela nous pénalise. Tout le monde soupçonne tout le monde... Quand la justice sera passée, les choses s'apaiseront.

Quel message lancez-vous aux supporters en ce début d'année 2011 ?

Je leur dis : vous qui m'avez soutenu énormément quand le club n'allait pas bien, ne gâchez pas votre plaisir alors que les résultats sont là ! Acceptez la situation actuelle, comportez-vous de la meilleure des manières et ensuite, vous pourrez réclamer plus. »

Propos recueillis pas Dominique Courdier


Citation

Erding: «Je dois être meilleur»




Nettement moins efficace que l'an passé, Mevlut Erding fait son mea culpa avant d'entamer la phase retour samedi, face à Sochaux. «C'est le syndrome de la deuxième saison», affirme l'attaquant parisien. (Photo Presse-Sports)

« Mevlut Erding, cette saison, vous n'avez marqué que 4 buts en 17 matches de Ligue 1. C'est bien loin de votre rendement de l'an passé...
Je ne suis pas autant en réussite que l'équipe, mais tant que l'équipe est bien, je ne m'inquiète pas. J'ai la confiance du coach, mais je dois être meilleur. Je me sens bien en ce moment et j'ai marqué à Marrakech même si ce n'était qu'un match amical. Cela m'a donné confiance. C'est vrai que je n'ai pas fait une bonne première partie de saison, j'en suis conscient mais j'ai l'intention d'être meilleur.


Comment expliquez-vous vos difficultés actuelles ?

C'est le syndrome de la deuxième saison. La saison dernière, j'ai mis 15 buts en 29 matches de Championnat. Mais j'ai remarqué qu'il y avait beaucoup de joueurs qui avaient du mal lors de leur deuxième saison. Donc je ne vais pas lâcher, je vais continuer à travailler et c'est comme ça que je vais remonter la pente.

«Je n'ai jamais pensé à partir»


Etiez-vous prévenu ?

Oui j'ai été prévenu par mes conseillers que la deuxième saison est toujours difficile. Mais je suis venu à Paris pour jouer le haut du tableau, je ne vais pas me plaindre. Quand je suis parti de Sochaux, on m'avait dit que Paris était un club compliqué, difficile mais je savais que si on jouait les premiers rôles, cela pourrait être intéressant. C'est quand même un grand club, ça respire le football et c'est magnifique quand on est en haut du tableau. Il faut le vivre ça. Aujourd'hui, je suis en train de le vivre et c'est énorme.

Souhaitez-vous vous inscrire dans la durée avec le PSG ?

Je n'ai jamais pensé à partir. Quand j'ai signé, c'était avec l'ambition de réussir. Je ne penserai à partir que si un jour il y a un problème. Après il y a toujours des rumeurs parce que je suis très suivi en Turquie, le PSG est très suivi en Turquie parce que c'est un grand club. Mais je n'ai jamais eu envie de partir.» (AFP)


Francefoot
HHA
Citation
« Tout le monde veut se payer Paris »

Attablé au Murat, une brasserie huppée du XVIe arrondissement de Paris, Ludovic Giuly est d’humeur badine. Entre une sole grillée et une salade de fruits, il se livre sur les ambitions parisiennes. Seul, Gérard Houllier, le manageur d’Aston Villa, qui déjeune tout près, l’interrompt pour le féliciter de sa belle saison avec le PSG.

Comment Paris va-t-il aborder cette deuxième partie de saison?
LUDOVIC GIULY. Avec confiance car nos résultats plaident pour nous. Mais il faudra rester extrêmement concentrés car nos erreurs de janvier 2010 doivent nous servir de leçon. On avait quand même concédé quatre défaites d’affilée en championnat… La reprise contre Sochaux (demain soir) sera très importante. L’objectif, c’est d’enchaîner plusieurs victoires, ce que nous n’avons pas trop su faire lors de la première partie de saison.

Est-ce un des mots d’ordre lancés à Marrakech lors du stage de reprise?
Oui car c’est vraiment important. Tout est encore fragile à Paris. Il faudra déjà gérer l’affaire qui nous tombe dessus avec les problèmes de Stéphane (NDLR : Sessegnon, qui boycotte les entraînements pour quitter le PSG). On ne s’est pas crevé le c… pendant six mois pour tout laisser filer ainsi.

Comprenez-vous la position de Sessegnon?
Je peux comprendre le malaise de Stéphane, qui joue moins qu’il l’espérait. Nous ne sommes pas là pour le juger. Il a une histoire particulière qu’on respecte. Il faut qu’il sache que nous avons vraiment besoin de lui car l’effectif n’est pas énorme. Moi, je ne pourrai pas enchaîner tous les matchs. Cela m’est impossible. Ou alors, cela signifierait que j’ai trouvé une seconde jeunesse et il faut vite me refaire signer cinq ans (rires)! S’il revient dans le vestiaire, il sera accueilli sans problème. Nous, on l’attend le plus vite possible.

A Paris, on a l’impression que personne n’ose parler trop fort du titre…
Cela se jouera fin février début mars. Là, on y verra plus clair. Pour l’instant, il ne faut penser qu’à une place en Ligue des champions. Cela signifierait qu’avec Claude (Makelele), nous avions vu juste en pensant qu’il était possible de refaire de Paris une grande équipe. Ce serait la fin heureuse d’un challenge de trois ans.

Paris est-il le favori pour le titre?
Notre problème, c’est que tout le monde veut se payer Paris car nous produisons du beau jeu actuellement et nous avons de l’ambition. Cela va donc être deux fois plus dur qu’en début de saison.

Un titre de champion, est-ce le summum?
Il n’y a pas mieux. J’en ai gagné un avec Monaco en 2000 mais il n’y avait que quelques milliers de personnes pour le voir! A Barcelone (2005, 2006), la ville était en feu. Avec Paris, au Parc, ce serait prodigieux aussi. Voilà le message que j’aimerais faire passer aux autres joueurs : être champion, c’est un moment inoubliable qui reste pour la vie. La chance de le jouer n’arrive pas tous les ans.


HHA
Citation
ACTUALITÉ

Jeudi après-midi, le SU AGEN FOOTBALL et la Ville d'Agen ont collaboré de façon intensive afin de constituer un dossier "béton" pour répondre aux craintes de la FFF concernant la sécurité dans le stade et la mise à disposition de parkings en nombre suffisants.

A la fin de cette journée, le maire d'Agen qui s'est chargé personnellement de ce dossier, était plutôt confiant. Des émissaires de la FFF doivent revenir à Agen pour homologuer définitivement le stade ARMANDIE. Cependant cette homologation n'interviendra pas avant lundi.

La billetterie est donc toujours fermée. Nous aurons plus d'informations à vous communiquer dès le lundi 17 janvier 2011.


suagenfoot.fr
Mike
Citation
NENE, JOUEUR DU MOIS DE DECEMBRE

Après avoir été récompensé en décembre par les internautes de PSG.FR, le milieu de terrain parisien Nene est également élu joueur du mois de décembre par les internautes de UNFP.ORG.

Le numéro 19 du PSG devance avec 62% des suffrages le Lillois Moussa Sow (34%) et le Lyonnais Lisandro Lopez (4%). Il succède à son coéquipier Clément Chantôme, récompensé en novembre, et recevra son trophée avant la rencontre PSG-Sochaux.



PSG.FR
Julio94
Citation
La lettre de Leproux qui sème le trouble

Le président parisien a envoyé un courrier à tous les acteurs de la rencontre afin de reprogrammer le 16e de finale face à Agen (CFA2) plus tôt dans la journée. Il met en garde contre des risques d’incidents.


Le PSG veut avancer l'horaire de la rencontre avec Agen

Le match Agen-PSG aura bien lieu au stade Armandie du SUA Rugby le samedi 20h45 selon la FFF, sous réserve de l'accomplissement de travaux d'aménagement. Une réunion de sécurité est prévue à Agen avec la mairie et la préfecture pour définir les dernières modalités et autres engagements qui devront être pris par le club lot et garonnais évoluant en CFA2. A savoir une tribune de 400 places réservées aux supporteurs parisiens (150 à 200 annoncés). Un espace qui sera grillagé et protégé par des forces de l'ordre ainsi que la mise en place d'une grille tout autour du terrain.
L'homologation officielle du terrain pour la Coupe de France sera donc effective une fois les travaux achevés. Cependant selon nos informations, le PSG ne souhaite pas jouer en soirée. Une demande a été faite auprès de la Fédération pour que le coup d'envoi soit donné à 17h afin de rejoindre la capitale dans la foulée. Les dirigeants parisiens et le Président Leproux travaillent en coulisses auprès des instances, des politiques, des forces de police, du ministère et d'Eurosport pour obtenir gain de cause.

La FFF campe sur ses positions

Une lettre a d’ailleurs été envoyée à toutes les personnes concernées par cette rencontre pour dénoncer « une attitude irresponsable » si le match était maintenu à 20h45. Le club a voulu mettre en garde contre les risques de voir quelques irréductibles contestataires de la nouvelle politique du club, profiter du match pour provoquer des incidents. On se rappelle que la saison dernière, les supporteurs parisiens n'avaient pas eu le droit de se déplacer à Rouen, pour le match face à Quevilly.
La FFF campe sur sa position en estimant que la ville d'Agen et la Préfecture se sont engagées à tout mettre en œuvre pour respecter le cahier des charges. Au PSG, les discussions se poursuivent avec le diffuseur Eurosport qui ne souhaite pas se passer de cette affiche inédite en prime time. D'autant que si le match était avancé, cela impliquerait la modification de la programmation TV des autres rencontres de ces 16es de finales de la Coupe de France. A moins que le salut parisien viennent de très haut puisque qu'au ministère de l'Intérieur ont suit ce dossier de très près et des recommandations devraient être faîtes avant le week-end pour que le match ait lieu à 17 heures tout en réfléchissant à l'idée de jouer la rencontre dans un autre stade.


RMC.FR
HHA
Citation
Bodmer toujours absent

Mathieu Bodmer ne souffre plus du mollet droit, mais il ne sera pas aligné contre Sochaux samedi soir (21h00). La faute à Antoine Kombouaré : «Bodmer, ça y est, c'est bon, mais je freine un peu, a-t-il expliqué vendredi lors du point presse. J'ai envie d'attendre les délais. Ce sera pour le début de semaine prochaine». Bodmer sera donc du voyage contre Montpellier en demi finale de la Coupe de la Ligue mardi.


lequipe.fr
sylvain
RMC

Citation
Agen-PSG : Paris obtient gain de cause


Pour Robin Leproux, c'est déjà une victoire! Selon nos informations, la préfecture du Lot et Garonne a édicté un arrêté obligeant la rencontre Agen-PSG, comptant pour les 16es de finale de la Coupe de France à se jouer en diurne. C'était le souhait des dirigeants parisiens. Le match devrait néanmoins se disputer à Agen. Conséquence de cette décision, Eurosport, la chaîne qui possède une partie des droits de diffusion de l'épreuve, a déjà demandé à la FFF l'inversion des matches Agen-PSG et Lille-Wasquehal qui se déroulerait donc le samedi à 20h45. Agen-PSG étant programmé le dimanche dans l'après-midi.



Citation
Et si Agen-Paris SG était délocalisé?


Les conditions d'organisation du match de 16e de finale de Coupe de France Agen-PSG font grincer des dents dans la cité du Lot et Garonne. La distribution des billets doit en effet suivre un processus très strict: la contenance du stade Armandie devra être ramenée de 14000 à 8000. Autres conditions contraignantes: pas de vente en ligne, par de vente le jour du match, vente unitaire avec présentation d'une pièce d'identité. Par ailleurs, les organisateurs devront faire appel à 200 stadiers et quatre compagnies de CRS. De quoi décourager les dirigeants agenais. Après avoir obtenu gain de cause en faisant avancer le match dans l'après-midi pour des raisons de sécurité, les dirigeants parisiens ne seraient pas contre une délocalisation de la rencontre dans une enceinte plus sûre. C'est en tout cas l'objet de leur appel qui sera examiné ce mardi par la commission d'appel de la FFF.
HHA
Citation
Paris a bien retenu la leçon

« On ne construit rien sur des défaites ». Cette phrase de Laurent Blanc, beaucoup d’entraîneurs y adhèrent. Son ami Antoine Kombouaré a pourtant démontré le contraire après un humiliant revers à Sochaux (3-1) le 29 août. « C’était une défaite cuisante, se souvient le coach parisien. Après coup, on se dit que c’était un mal pour un bien ».
Ce match de la 4e journée, qui a plongé Paris au bord de la crise, est effectivement la genèse du renouveau parisien. Il y a d’abord eu des mots. Un discours d’après-match que Kombouaré qualifie lui-même de « corsé ». Robin Leproux, en quittant Bonal, évoque publiquement une « prestation indigne », « lamentable », « inacceptable ». Des termes qu’il distille au compte-gouttes, dans les jours suivants, auprès des cadres du groupe qui feront ensuite redescendre le message.
La prise de conscience est alors générale, personne ne veut revivre une saison galère et, pour le bien du collectif, chacun accepte de mettre entre parenthèses son intérêt personnel. Grégory Coupet est le premier à passer à l’acte. Il n’a pas été à la hauteur à Sochaux et demande à son entraîneur de titulariser Edel. Les autres décisions viendront du staff.

Entretenir la dynamique

« La solution, on la trouve dans le travail pas dans le discours, rappelle Kombouaré. On avait tous la rage, on a bien analysé ce qui n’a pas fonctionné. On a pris conscience de nos soucis, de nos difficultés à défendre, alors on a chamboulé certaines choses. » Deux semaines plus tard, face à Arles-Avignon, Paris s’avance avec un nouveau visage : Edel est dans les buts, Armand est repositionné dans l’axe, Giuly et Chantôme reviennent en grâce. « Les résultats ont conforté mes choix, dit aujourd’hui Kombouaré. Cette défaite a servi de déclic, c’est la base d’un formidable redressement. » Les chiffres sont éloquents : 2 défaites en 22 matchs et une 2e place au classement à la trêve.
Si le PSG est aujourd’hui candidat au titre, c’est parce qu’il a su négocier ce virage capital. Le match du jour n’est pas un tournant mais il doit permettre d’entretenir l’excellente dynamique. Battre Sochaux, c’est l’occasion de démontrer que le PSG a définitivement changé. Et qu’il est prêt à assumer, un jour ou l’autre, le rôle de leader.


La date, l’horaire et le lieu d’Agen - PSG ne sont toujours pas fixés. Hier, Robin Leproux, le président du PSG, a écrit à la fédération et au préfet du Lot-et-Garonne pour souligner que les conditions de sécurité ne sont, selon lui, pas réunies pour organiser ce 16e de finale de Coupe de France au stade Armandie d’Agen. L’une des solutions envisagées est de faire jouer la rencontre le dimanche 23 janvier, dans l’après-midi, à Agen.


Citation
Mevlut Erding et Marvin Martin, deux « vrais » Parisiens

Amis dans la vie, âgés de 23 ans tous les deux, le buteur parisien Mevlut Erding (4 réalisations en L 1 cette saison) et le Sochalien Marvin Martin, meilleur passeur du championnat (8 passes), se retrouvent ce soir sur la pelouse du Parc. L’occasion pour ces deux copains formés ensemble à Sochaux de raconter leur amitié.

Quelle qualité enviez-vous le plus chez l’autre?
MEVLUT ERDING. Marvin a cette classe de pouvoir faire jouer tout le monde.
Il n’y a aucun égoïsme dans son jeu. Il me fait penser à Özil, le milieu de terrain de l’Allemagne et du Real Madrid. Quand nous évoluions ensemble en CFA, il avait terminé la saison avec 16 passes décisives. Ça m’avait marqué.
MARVIN MARTIN. Son mental. Je m’en suis vraiment aperçu à l’époque d’Alain Perrin (entraîneur en 2006-2007), où il a failli être prêté. Il avait été mis à l’écart mais n’a rien lâché. C’est pour ça que je ne m’inquiète pas pour lui quand il ne marque pas. Il ne cédera jamais.

Quel est votre plus grand moment de football ensemble?
M.E. C’était lors d’un Sochaux - Nantes, à Bonal en 2009. Sur un coup franc, je vais voir Marvin et je lui dis que je vais couper au premier poteau. Il a déposé la balle exactement où je voulais et on a ouvert le score avant de l’emporter 2-1. Ce soir-là, c’était mon dernier match sous les couleurs sochaliennes. Marvin ne le savait pas, mais moi, oui. Il m’a fait un très beau cadeau.
M.M. Ma première en L 1, Marseille - Sochaux, en août 2008. Mev m’a constamment encouragé, on était dans la même chambre à l’hôtel. Cela reste un très bon souvenir.

Et votre meilleur souvenir au centre de formation?
M.E. Lors des PSG - OM, on séparait la salle du réfectoire en deux avec des tables. Il y avait d’un côté les pro-Paris et de l’autre les pro-Marseille. Marvin faisait partie des farouches supporteurs du PSG, c’était incroyable. Comme il est originaire de la porte de Vanves, il me racontait ses soirées au Parc dans la tribune Auteuil. On sentait la magie du stade dans sa façon d’en parler. C’est en partie grâce à lui que je suis devenu fan de Paris.
M.M. Ajaccio - Sochaux, en novembre 2005. J’étais dans un minibus avec les copains de l’équipe des moins de 18 ans pour un déplacement dans la région et on écoutait le multiplex à la radio. Mevlut est entré pour sa première en L 1, on était fous de joie! Et puis le van a explosé quand il a marqué. Il a ensuite bégayé pendant l’interview d’après-match, il disait des choses bizarres. Qu’est-ce qu’on l’a chambré à son retour!

Qui est le plus parisien des deux?
M.E. Il a supporté le PSG avant moi, mais aujourd’hui, c’est moi qui lui fais découvrir des nouveaux endroits dans la capitale, surtout des restos.
M.M. De nous deux, je suis le vrai parisien. Je suis très fier aujourd’hui de représenter le quartier de la porte de Vanves! C’est toujours particulier de revenir dans la capitale. Mon père, ma mère, mon frère, ainsi qu’une vingtaine de copains seront présents au Parc (ce soir).

De vous deux, qui est le meilleur footballeur?
M.E. En ce moment, c’est lui, il suffit de regarder les statistiques. Il n’a pas fini de progresser et a les qualités pour jouer encore plus haut.
M.M. L’an dernier, c’était lui, incontestablement, il n’arrêtait pas de planter. Cette saison, ce serait prétentieux de dire que c’est moi, mais pour l’instant, je suis bien.

Quel est son principal défaut?
M.E. C’est son manque d’expérience. Sur une action litigieuse, il va résister au lieu d’obtenir la faute.
M.M. La gourmandise! Mev adore le chocolat. Avec un seul carré, on a l’impression qu’il prend directement du poids. Ça l’a toujours énervé.





Citation
PSG : Sochaux, le déclic

La venue de Sochaux, samedi au Parc des Princes, ravive des souvenirs. Des souvenirs pas forcément agréables pour les joueurs parisiens comme pour leur coach. Et pour cause. «Je me souviens bien du match aller, oui. Ça avait été une défaite cuisante 3-1 !! reconnaît sans ambages Antoine Kombouaré. C'était la rage sur le moment». Mené 3 à 0 à la mi-temps, le PSG a sombré un soir d'été dans le Doubs. Si les poubelles n'ont pas volé ce soir-là, le coach parisien n'a pas mâché ses mots à l'époque.

«Dans le foot on a rarement des certitudes, mais après Sochaux, on a chamboulé certaines choses et à l'arrivée, ça s'est avéré bénéfique»

«Je me rappelle qu'à la fin du match, j'ai eu un discours corsé, mais ça été un mal pour un bien car on a pris conscience de nos soucis, de nos grandes difficultés à défendre, à jouer, à être efficaces». Un PSG en dessous de tout qui s'est servi de cette claque pour rebondir. «En tout cas, avec le recul, on peut dire que ça a été un nouveau départ, un redressement. Passée la déception, on a bien analysé et bien redressé la barre. Ça a été le déclic».

Le PSG reçoit-il les hommes de Francis Gillot avec un esprit de revanche ? «C'est du passé, balaie d'un revers l'entraîneur calédonien. On avance, c'est un adversaire qui vient chez nous, on veut prendre les 3 points, point barre». Il n'empêche que le match à Bonal a laissé des traces sur le plan du jeu. «Dans le foot on a rarement des certitudes, mais après Sochaux, on a chamboulé certaines choses et à l'arrivée, ça s'est avéré bénéfique. Ça a conforté les choix que j'ai faits. On a rectifié le tir dans les actes de tous les jours, dans les discussions individuelles». Et on connaît la suite, avec un PSG qui a égrené les bons résultats jusqu'à jouer sur tous les tableaux.


lequipe.fr
sylvain
Sud Ouest


Citation
Armandie attend encore

La FFF a homologué le stade sous réserve que la Ville tienne ses engagements. Le PSG a fait appel. Décision ce mardi au plus tard.


Thierry Pellicier aurait bien aimé annoncer le lieu, l'heure et la date du match, hier soir sur la scène du Florida, lors de la soirée des sportifs organisée par la Ville. Mais le président du SU Agen Football n'est sûr de rien. La journée d'hier n'a servi qu'à une chose : alimenter un peu plus une polémique qui n'a plus grand-chose à voir avec un simple match de football.

Premier épisode hier matin : la Fédération française de football a annoncé qu'elle accordait l'homologation au stade Armandie pour accueillir la rencontre sous condition que la Ville tienne tous ses engagements, notamment en terme de sécurité. « On a rempli toutes les conditions, assure le maire adjoint aux sports Thierry Hermerel. Le maire s'est même engagé à installer un grillage autour de la main courante s'il faut le faire. » Un point qui ne figurait pas dans le cahier des charges envoyé par la FFF.

Le PSG a fait appel

L'affaire aurait pu en rester là. Mais le club parisien a fait appel de cette décision et demande à ce que la rencontre soit délocalisée dans une enceinte plus sûre comme le stade Chaban-Delmas à Bordeaux. Sauf que le président du club parisien, Robin Leproux, a aussi envoyé un courrier à tous les acteurs de ce 16e de finale (politiques, SUA, FFF et le diffuseur Eurosport) pour avancer le coup d'envoi de la rencontre à 17 heures afin de pouvoir regagner la capitale dans la foulée.

Robin Leproux aurait même appelé le directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy pour qu'il fasse pression dans ce sens. Et il semble avoir été entendu. Même si l'information n'était pas confirmée hier soir, la préfecture du Lot-et-Garonne serait ainsi sur le point de publier un arrêté obligeant la rencontre à se jouer en diurne. Comble de l'ironie, la mairie d'Agen a reçu hier soir un coup de fil de la direction générale de la FFF pour faire passer un message : « Si vous êtes prêts à accepter de déplacer le match à dimanche à 17 heures, le PSG serait éventuellement prêt à lever son appel. » Et Robin Leproux oublierait au passage ses craintes concernant la sécurité de ses joueurs...

10 000 demandes de billets

En acceptant de jouer dimanche à 17 heures, Thierry Pellicier et Jean Dionis du Séjour s'épargnerait ainsi un voyage mardi à Paris pour soutenir leur dossier devant la commission d'appel. Encore faut-il qu'Eurosport accepte à son tour de changer sa programmation. Le match Lille - Wasquehal serait alors avancé au samedi à 20 h 45.

Hier soir, la chaîne câblée se demandait même finalement si elle allait diffuser la rencontre. En attendant, le SUA ne peut toujours pas ouvrir la billetterie pour ce 16e de finale. La situation risque de devenir problématique s'il doit attendre jusqu'à mardi. Ce jeudi, le club a reçu 2 500 coups de fil pour l'obtention de billets et 7 500 mails.
HHA
Citation
Le PSG met la pression sur Agen

Ce devait être une fête mais à huit jours du 16e de finale de la Coupe de France entre Agen et le Paris-SG, la rencontre risque finalement de tourner au vinaigre. Par courriers interposés, les deux clubs ont anticipé les débats et s'affrontent déjà sur les thèmes de la sécurité et de l'horaire du match. Après l'homologation de son Stade Armandie, vendredi, par la commission fédérale de la Coupe, le Petit Poucet de CFA2 croyait pourtant avoir fait le plus dur. Mais c'était sans compter sur l'appel du PSG, qui souhaite absolument faire décaler le coup d'envoi à 17h00, initialement prévu à 20h45.

Leproux en appelle à Sakozy ?

«On a rempli toutes les conditions, assure le maire adjoint aux sports de la ville, Thierry Hermerel, samedi dans Sud-Ouest. Le maire s'est même engagé à installer un grillage autour de la main courante s'il faut le faire.» Mais rien n'y fait. Le président du club parisien, Robin Leproux, aurait envoyé une lettre à toutes les parties concernées (politiques, SUA, FFF et le diffuseur Eurosport), selon le quotidien, histoire d'avoir gain de cause. Ce dernier aurait même appelé le directeur de cabinet du président de la République, Nicolas Sarkozy, pour qu'il fasse pression. Dans ces conditions, impossible pour le SU Agen d'ouvrir sa billetterie. Ce qui risque de compliquer sérieusement les choses pour les organisateurs lorsque tout le monde sera enfin tombé d'accord.


lequipe.fr
sylvain
So Foot

Citation
Le Roi Guillaume

Sans faire de bruit, Guillaume Hoarau a réussi à placer son mètre quatre-vingt douze dans l’histoire du PSG. Contre Sochaux, il peut entrer dans le top 10 des buteurs maison.


Pierre Ménès demanda un jour à Francis Borrelli : « « Mais enfin pourquoi vous avez pris cet Autrichien » (en référence à Richard Niederbacher) ? « Je sais, je sais, mais il était tellement beau avec le maillot du PSG… » Nul doute que l’ancien président du Paris-SG aurait dit la même chose de Guillaume Hoarau. Sauf qu’à l’opposé du bide autrichien, le numéro 9 francilien plante des buts. Mieux, l’ancien Havrais est à trois réalisations d’intégrer le top 10 des goléadors parisiens (1). Une sacrée performance pour un joueur débauché de Ligue 2 pour 500 000 euros.

Avant de recevoir Sochaux au Parc des Princes pour la reprise de la Ligue 1, l’international français a pris le temps de s’offrir un doublé contre Lens en Coupe de France (5-1) pour bien entamer le nouveau millésime. Une façon de rappeler aux observateurs que l’armada offensive du PSG compose également avec des mecs sans écarteurs de narines. Surtout, les compas géants du Réunionnais ont pris une autre dimension en trois saisons. Car réussir à faire oublier Pauleta –meilleur buteur de l’Histoire du club– en moins de trois ans, tout en venant de Ligue 2. Il fallait le faire.

Pour autant, il serait réducteur de s’arrêter aux statistiques pures. La grande poutre participe au jeu, aussi bien offensif que défensif. Après une saison 2009/2010 tronquée par des blessures (22 matches, 6 buts), le lascar semble de nouveau sur un nuage.

Un style collectif

Pourtant, son début de saison a été laborieux. Surtout à l’automne où il reste deux mois sans claquer. Il faudra attendre le Clasico pour qu’il retrouve les ficelles. Une disette terrible, surtout pour son moral. « J’ai revu mes galères du Havre. Ces séances à cravacher dans la boue et sous la neige. Et pourtant, le week-end, j’étais sur le banc. J’écoutais la musique de chez moi, je regardais les photos de famille. J’ai été à deux doigts de tout lâcher pour rentrer à la Réunion. Je ne souhaite ça à personne. Même si au final, ça m’a permis de me construire » confiait-il la semaine dernière dans L’Equipe en référence à son automne en carton. Mais depuis début novembre, la forme est revenue. A l’instar de son match à Lyon où le numéro 9 a été énorme dans le collectif (passeur décisif sur le pion de Nenê et buteur sur penalty). Très important sur les premiers ballons, le buteur est un vrai point de fixation. Une sorte de Chamakh francilien. Rien d’étonnant à voir Laurent Blanc s’appuyer régulièrement sur lui en équipe de France malgré des prestations en dedans pour le moment. Mieux, il vient soulager systématiquement sa défense sur les phases arrêtées.

De nombreux observateurs du club insistent de surcroît sur le rôle grandissant pris par le joueur dans le vestiaire. D’humeur égale, ses blagues et son bagout apportent un plus dans le collectif. Et puis, le Réunionnais a un compte à régler avec Sochaux : « C’était une lourde défaite (3-1). On s’était fait balader. Ce match a été un déclic pour nous et nous allons donc remercier les Sochaliens à notre manière ! Nous devons faire une grosse entame de deuxième partie de saison. Nous avons commencé avec la Coupe de France et avons hâte de renouer avec le championnat ». Le message est clair. Suffit d’enfiler trois buts maintenant.

1) 1 Pedro Miguel Pauleta - 109 buts, 2 Dominique Rocheteau - 100 buts, 3 Mustapha Dahleb - 98 buts, 4 François Mpelé - 94 buts, 5 Safet Susic - 85 buts, 6 Raï - 72 buts, 7 Carlos Bianchi - 71 buts, 8 George Weah - 54 buts, 9 David Ginola - 44 buts, 10 Nabatingue Toko - 43 buts, 11 Guillaume Hoarau - 40 buts.
sylvain
Le Parisien

Citation
PSG : les investisseurs prennent leur temps

Annoncée comme imminente, l’arrivée d’un nouvel investisseur au PSG ne devrait, selon nos informations, pas intervenir avant la fin de saison. Les différentes pistes évoquées (Etats-Unis, Europe de l’Est et Qatar) sont « en stand-by », affirme un proche du dossier. Si cette information n’exclut pas la possibilité de voir un partenaire financier minoritaire investir dans le PSG d’ici quelques mois, comme le souhaite Sébastien Bazin, le patron de Colony Capital, elle pose deux questions pour la fin de saison.



Qu’est-ce que cela change pour le club ? Une nouvelle fois, les finances du PSG seront dans le rouge en fin de saison. A l’automne 2010, la direction du club a estimé le déficit à environ 20 M€ au 30 juin. Colony Capital, l’actionnaire majoritaire, assumera ces pertes seul. Cette situation déplaît à Sébastien Bazin, le patron du fonds d’investissement, qui a déjà injecté plus de 100 M€ dans le club. L’homme d’affaires aimerait accueillir un nouveau partenaire pour l’aider à combler le déficit du PSG mais aussi pour investir sur le marché des transferts l’été prochain. Car, si Paris décroche une place en Ligue des champions, et compte tenu du profond remaniement prévu dans l’effectif, la somme à débourser sera importante. Cette stratégie est, pour l’instant, au point mort.

Pourquoi le PSG n’est-il pas plus attractif ? Depuis sa prise de contrôle du PSG en avril 2006, Colony Capital n’a jamais caché son souhait de céder environ 30% du capital. Mais les mauvais résultats sportifs et financiers, les problèmes liés aux supporteurs et le manque d’actifs du PSG (le club n’est pas propriétaire de son stade ni de son centre d’entraînement) constituent un frein pour les investisseurs potentiels. Autre élément : la part de capital que Sébastien Bazin est prêt à céder a évolué au gré de ses humeurs. D’accord pour vendre la majorité en juin dernier, il est aujourd’hui ravi des résultats, plein d’espoirs pour l’avenir, et ne cherche plus désormais qu’une aide minoritaire (une option qui n’est pas du goût des Qatariens par exemple). A quel prix? Il est assez flou, c’est aussi pour cela que Paris peine à attirer de nouveaux investisseurs.
CL
Citation
Agen-PSG, fin de la polémique

«En raison de la demande de la Préfecture du Lot-et-Garonne de faire jouer la rencontre à 17h00, la Commission fédérale de la Coupe de France a décidé de programmer le match Agen SU (CFA2) - Paris-SG le dimanche 23 janvier 2011 à 17h00.» C'est par le biais de ce communiqué laconique que la Fédération française (FFF) a mis fin samedi à la polémique naissante au sujet du 16e de finale entre les deux équipes.
Kombouaré : «Jouer dans la journée, c'est mieux»

Si la FFF fait mention d'une requête en haut-lieu, c'est surtout l'appel du club parisien, qui souhaitait jouer plus tôt pour limiter les risques de débordement de ses supporters, qui a sans doute fait changer d'avis les organisateurs. «Ma position, c'est de jouer et gagner le match, avait annoncé vendredi Antoine Kombouaré, le coach du PSG, sans vraiment se mouiller. Mais on est un club particulier : on a des supporters qui de temps en temps font un peu de bruit quand on se déplace, donc il faut être vigilant. Jouer dans la journée, c'est mieux pour des questions de sécurité». Force est de constater qu'il n'a pas eu besoin de le dire trop fort pour être écouter. (Avec AFP)

Lequipe.fr
Biz Markie
Citation
Les bons voeux du PSG

Antoine Kombouaré exigeait de commencer 2011 par une victoire en Championnat. Ses hommes l'ont exaucé en battant Sochaux (2-1) au Parc.


En cette période de voeux, Antoine Kombouaré a été entendu. Et exaucé. Il y a quelques jours, l'entraîneur du PSG avait formulé à sa manière son premier souhait de l'année 2011 dans les colonnes de L'Equipe : «Sochaux, c'est le premier match de Championnat en 2011, il faut le gagner, point barre !» Trois points, ce fut donc tout contre les Doubiens, samedi, au Parc des princes (2-1). Une victoire pour démarrer 2011 mieux qu'on n'avait fini 2010, et pour rester dans la roue de Lille, vainqueur (2-0) sur la pelouse de Nice.

Ainsi Paris a lavé l'affront du match aller (défaite 1-3), proprement, rapidement, et ce malgré une entame de match qui le prit à froid : sur le premier corner de la rencontre, Maïga trompait Edel d'une puissante déviation croisée de la tête (14e). Mais à la réussite criante des Sochaliens répondit la tout aussi flagrante réussite des Parisiens : dans la foulée, et sur leur première occasion, ils remettaient le score à l'équilibre par Sakho, d'une reprise de volée à mi-hauteur (16e).

Réactif et pro-actif, donc, ce PSG, qui ne desserra pas l'étreinte : un tir à ras de terre victorieux de Giuly (23e) traduisait sans discussion la nette domination du club de la capitale sur la première période. Ce ne fut clairement pas la même histoire en seconde, plus hachée, où Paris se contenta de gérer son avance et de contenir la bonne volonté sochalienne. Mais l'essentiel avait été fait. Deux matches en 2011, deux victoires et du jeu pour saupoudrer l'ensemble : Paris, toujours deuxième derrière Lille, peut légitimement souhaiter passer la première. A.-S.B

lequipe.fr
Dagoberto
Citation
Kombouaré: «On a laissé de l'énergie»

Contrat rempli pour un PSG qui a su réagir rapidement après l'ouverture du score par les Sochaliens en première période. Antoine Kombouaré a salué le «très gros match» de ses troupes.

Antoine Kombouaré s'est dit satisfait de la performance d'Erding, qui n'a pas marqué contre son ancien club.(EQ)

«Antoine Kombouaré, le PSG n'est pas leader, les quatre premiers ont gagné ...
Oui mais l'idée, c'est de gagner nos matches pour augmenter le capital points car il y en a qui vont laisser des plumes. Après, j'ai pour coutûme de dire qu'on ne se préoccupe pas des adversaires. Moi, je m'intéresse à ce qu'on fait, c'est tout.

Que retenez-vous de ce match ?
Il faut féliciter les joueurs, ils ont fait un gros gros match. On a pris Sochaux à la gorge, ça a été dur car on prend un but contre le cours du jeu. On a eu le mental qu'il fallait. Je tire un grand coup de chapeau à mes joueurs, on a été solides défensivemnt car il n'y avait plus rien à un moment dans le réservoir. Vraiment, on a été costauds défensivement mais on laissé beaucoup d'énergie dans ce match.

En fin de match, vos joueurs n'ont pas vraiment temporisé ...
C'est vrai, mais je suis pour aller de l'avant. Il faut continuer de mettre la pression sur l'adversaire pour les faire craquer. Ce que j'aime, c'est quand le match est accroché et qu'on sort vainqueurs.

Nenê provoque des fautes mais il est accusé de beaucoup simuler...
Nenê a un jeu qui provoque beaucoup et ça apporte des frictions. Il ne faut pas qu'il change, c'est aux arbitres de protéger les attaquants.

Mathieu Bodmer sera t-il opérationnel contre Montpellier mardi ?

C'est possible, il est en train de fournir de gros efferts. Ce n'est que le début, il y a beaucoup de matches à jouer et je ne veux pas faire n'importe quoi.

Erding vous inquiète-t-il ?
Il a fait un très grand match. Il faut qu'il retrouve de l'efficacité, il est en train d'élargir son registre, avec un jeu intéressant, avec des décrochages, un jeu en pivot, il est énorme sur le plan physique. C'est bien, je suis super content.»
- Propos recueillis par C.MICHEL au Parc.


psgmat92i
Citation
Coupe de France : le PSG fait appel
Où se jouera le 16es de finale de Coupe de France entre Agen (CFA) et le PSG ? La décision de la FFF de décaler au dimanche 23 janvier (17 heures) une rencontre précédemment programmée au samedi soir ne satisfait en effet pas encore les dirigeants parisiens. Ces derniers ont fait appel de cette décision, préférant jouer ce match ailleurs qu'au stade Armandie de la préfecture du Lot-et-Garonne.


Robin Leproux avance des problèmes de sécurité pour justifier cette demande. Le président parisien craint en effet des débordements de supporteurs hostiles au plan de sécurité qu'il a mis en place cet été. La configuration du stade agenais où des barrières ont été dressées autour du terrain inquiète les dirigeants parisiens qui préfèreraient que la rencontre soient délocalisée à Bordeaux ou à Toulouse.




« Ma position, c'est de jouer et gagner le match, expliquait de son côté vendredi Antoine Kombouaré. Mais on est un club particulier: on a des supporters qui de temps en temps font un peu de bruit quand on se déplace, donc il faut être vigilant.»



Le Parisien
Dagoberto
Citation
Sakho «content» de son but
Le troisième but de la saison de Mamadou Sakho a remis le PSG en selle et sonné la révolte de son équipe. Encore un match de haut niveau pour le jeune capitaine par intérim.
La joie de Mamadou Sakho.(EQ)


A vitesse réelle et encore plus au ralenti, l'expression de son visage après son but égalisateur traduisait toute sa rage et sa volonté de revenir dans le match, de tirer son équipe vers le succès. «C'est vrai que j'étais content sur mon but, c'est mon troisième cette saison, a fait remarquer celui qui portait le brassard en l'absence de Claude Makelele. Si c'est un geste d'attaquant ? Je ne sais pas. Dans ce genre de situation, on essaie d'être efficace pour le groupe, voilà tout. C'est bien d'avoir gagné pour la reprise du Championnat, juste avant la demi-finale de Coupe de la Ligue et ce match à Montpellier mardi. C'est une façon aussi de montrer que notre match aller à Sochaux, c'était un faux-pas.»
- Olivier SCHWOB, au Parc des Princes


sylvain
Le Parisien

Citation
Paris décroche une précieuse victoire

Larges vainqueurs le week-end précédent en Coupe de France, les Parisiens ont confirmé leur bonne forme en disposant logiquement des Sochaliens. Et restent deuxièmes à un point de Lille.

Au niveau comptable, on appelle ça une journée pour rien. Mais il ne faut pas rester scotché aux apparences. Grâce à leurs succès, Lille, Paris, Lyon et Rennes ont mis une grosse pression sur Marseille. Tout autre résultat qu'une victoire ce soir face à Bordeaux verrait l'OM décrocher du quatuor de tête et plonger dans le doute, voire dans la crise.

Face à cette hypothèse, Antoine Kombouaré feint d'abord l'indifférence : « Ce que font les autres ne m'intéressent pas. »
Mais, finalement, son analyse aboutit à la même conclusion. « Ne dites surtout pas que c'est une journée pour rien. L'idée est de gagner pour augmenter notre capital points et creuser l'écart. Certains vont y laisser des plumes. » Sur un terrain bosselé et sans Makelele, Paris a montré deux visages hier soir. L'un rayonnant, au terme d'une somptueuse première période, intense et riche en rebondissements. La seconde s'est révélée beaucoup plus poussive, les Parisiens payant leur énorme débauche d'énergie du début de match.
Au bout du compte, pas un Sochalien ne conteste la victoire parisienne. « Paris est plus fort, c'est une certitude, estime Francis Gillot, l'entraîneur de Sochaux. On s'est fait manger dans les duels. On a un peu rétabli l'équilibre en deuxième mi-temps. Mais, bon, avec Paris, on a affaire à une équipe qui joue pratiquement le titre.»

Deux jours pour récupérer

Sans occulter les difficultés de ses joueurs en fin de match, Antoine Kombouaré se montre très satisfait. « On a fait un gros match, se félicite-t-il. On les a pris à la gorge. On prend un but contre le cours du jeu, mais il faut une sacrée force de caractère pour revenir puis prendre l'avantage. On y a laissé beaucoup d'énergie, mais en deuxième période, on est restés solides et très costauds. »
Paris devra néanmoins apprendre à mieux gérer ses efforts, même si Kombouaré assume cette stratégie. « Cela peut nous jouer des tours, reconnaît-il, mais sur la durée, ça paye. On doit surtout apprendre à tuer les matchs. »
Les Parisiens ont deux jours pour reprendre des forces et préparer leur demi-finale de Coupe de la Ligue mardi à Montpellier. Obtenir dès le mois de janvier un billet pour le Stade de France serait excellent pour le moral. Et pour la suite de la saison. « On va tout faire pour se qualifier, on mettra la meilleure équipe possible, affirme Kombouaré. Cette Coupe de la Ligue est un objectif important. On a envie de retourner au Stade de France. »

PSG - SOCHAUX 2-1 (2-1)
Spectateurs : 28 201.
Arbitre : M. Bien
Buts. PSG : Sakho (16e), Giuly (23e). Sochaux : Maïga (14e).
Avertissements. PSG : Clément (63e), Armand (74e) ; Sochaux : Martin (11e), Anin (18e).
PSG : Edel - Jallet, Camara, Sakho (cap.), Armand - Giuly (Luyindula, 75e), Chantôme, Clément, Nene (Makonda, 90e +3) - Hoarau, Erding (Maurice, 81e). Entr. : Kombouaré.
Sochaux : Cros - Faty, Perquis, Bréchet (cap.), Sauget - Boudebouz (Tulasne, 87e), Anin (Maurice-Belay, 75e), Carlao, Martin (Dias, 84e) - Ideye, Maiga. Entr. : Gillot.

LES BUTS
14e : corner de Martin au point de penalty. Maïga prend le dessus sur Sakho et décroise sa tête dans le petit filet d’Edel trop loin du ballon. 0-1.

16e : superbe reprise de volée de Sakho dans la surface consécutive à un corner de Nene et à une remise de la tête de Camara. 1-1.

23e : longue ouverture de Nene dans la profondeur. Hoarau est hors-jeu mais pas Giuly, qui jaillit dans le dos de Sauget et s'en va battre Cros d'une frappe croisée à ras du poteau. 2-1.

LE FAIT DU MATCH
42e. Nene à l'entrée de la surface enroule sa frappe. Le ballon file vers la lucarne de Cros mais le portier sochalien dévie en corner. Le PSG rate l'occasion de se mettre à l'abri.


Citation
Mamadou Sakho : « J'avais envie de me rattraper »

« C'est bien Mamadou... » D'une petite tape sur la tête, Sylvain Armand vient congratuler son capitaine Mamadou Sakho en zone médias. Auteur de son troisième but en L 1, le défenseur parisien a été l’un des joueurs clés de la victoire face à Sochaux.

Sur l'égalisation vous réalisez un geste de grande classe. Que se passe-t-il exactement ?
Mamadou Sakho. Je suis là au bon endroit et au bon moment. Sur une remise de Papus (NDLR: Zoumana Camara), je ne me pose pas de questions et je la prends comme elle vient. C'est un geste d'attaquant. On s'entraîne devant le but toute la semaine même s'il ne s'agit pas de notre poste.

Il s'agit de votre troisième but cette saison. Vous visez quelque chose ?
(Sourire) Non, on essaie simplement d'être le plus efficace possible pour le groupe et pour le collectif.

On a le sentiment qu'à titre personnel vous aviez la rage après votre faute de marquage sur le but sochalien ?
Ça fait un moment que je n'ai pas joué et lors du dernier match (à Nancy) je suis sorti sur un carton rouge. C'est vrai que j'avais envie de me rattraper. Et puis ce match-là nous tenait à coeur, ne serait-ce que parce que c'était le premier match de championnat en 2011. On voulait bien commencer.

A 10 minutes de la fin du match, avez-vous craint de revivre le même scénario de l'égalisation que face à Monaco (mi-décembre) ?
Non, très sincèrement, on était assez sereins. Même après le but encaissé. Je crois que les trois points ne sont pas immérités.

Le PSG a-t-il souhaité gérer la seconde période ?
Pas du tout. On a essayé de donner le maximum donc on était peut-être un peu plus fatigués par la suite. Et puis le terrain n'était pas facile. Malgré tout, on a essayé de pratiquer notre football et de jouer sur les côtés.

N'est-ce pas un peu inquiétant de parler déjà de fatigue alors que le championnat vient juste de reprendre ?
On a beaucoup donné en première période. Les attaquants ont fait beaucoup de course et de replis défensifs. Il y a vraiment eu beaucoup d'efforts. On a peut-être un peu levé le pied mais on se sent bien physiquement. Il n'y a aucun problème de ce côté-là.


Citation
LA QUESTION
Pourquoi Makelele était-il remplaçant ?

Antoine Kombouaré a voulu préserver son capitaine dans l'optique de la demi-finale de la Coupe de la Ligue mardi à Montpellier. « Il y a des rendez-vous importants et Maké se tient prêt pour mardi », a-t-il confié. Le milieu parisien aurait également été un peu souffrant durant la semaine, ce qui expliquerait pourquoi Kombouaré lui a accordé trois jours de repos supplémentaires par rapport à ses partenaires.


Citation
Le PSG veut enchaîner à Montpellier

«C'est le match le plus important que l'on va jouer depuis le début de saison.» Les mots de Zoumana Camara, quelques minutes après le succès contre Sochaux (2-1) ciblent le rendez-vous de mardi contre Montpellier en demi-finale de la coupe de la Ligue. Si l'on se qualifie pour la finale au Stade de France, on pourra la mettre de côté quelques semaines (NDLR:elle aura lieu en avril), et une qualification nous ferait énormément de bien pour le championnat afin de continuer sur notre lancée."

Les Parisiens tiennent absolument à l'emporter après demain pour être assurés de disputer une deuxième finale en deux ans (après le succès l'an passé contre Monaco en coupe de France).
« On prend beaucoup de plaisir cette saison dans toutes les compétitions, donc on veut continuer ainsi le plus longtemps possible, enchaîne Clément Chantôme, le meilleur Parisien hier soir. On veut se qualifier. » « Actuellement, on fait le maximum, poursuit Sylvain Armand. On verra où cela va nous mener. Quand on est en demi-finale, l'objectif est évidemment de l'emporter. Ce ne sera pas facile face à l'ambiance et au fait que l'on va jouer dans le sud. On veut aller au Stade de France. »
Paris est encore en course dans les quatre épreuves dans lesquelles il est engagé cette saison. Et il veut que ce sans-faute dure. « Le collectif s'implique. Que ce soient les remplaçants ou les titulaires, tout le monde donne le maximum et tire dans le même sens, analyse Jean-Eudes Maurice. C'est pour cela que l'on parvient aussi bien à enchaîner pour l'instant d'une compétition à l'autre. »


Citation
Les notes

Edel: 5.5
Le gardien ne peut rien sur le but sochalien. Il a été très peu sollicité tout au long du match mais a su répondre présent quand il le fallait (61e, 81e).

Armand: 6
Aligné latéral gauche en raison des absences de Tiéné et Ceará, il a livré une prestation correcte même s'il a parfois été mis sur le reculoir face à Maïga. Une intervention défensive opportune (10e). Averti (74e).

Camara: 6.5
Le défenseur central droit n'a pas été trop gêné par le remuant Ideye et a apporté sa contribution offensive. C'est lui qui remet pour Sakho sur l'égalisation. Solide dans ses interventions.

Jallet: 6
Le latéral droit a vécu un match paisible, étant peu inquiété par Boudebouz. Il a ainsi pu participer aux phases d'attaque de son équipe.

Sakho: 6.5
Le capitaine a commencé par le mauvais : il est battu dans les airs par Maïga qui marque sur corner. Il a ensuite été bon en égalisant d'une belle reprise de volée rageuse et en étant impeccable en défense, surtout dans les duels.

Chantôme: 7
Milieu de terrain axial, il a été bon tout simplement. Aussi bien à la récupération comme devant Maïga (67e) que dans l'animation du jeu où on l’a beaucoup vu

Clément: 6
Remplaçant de Makelele à la récupération, il a assumé la relève. Il n'a jamais relâché son pressing. Averti (63e).

Nenê: 6
Le milieu gauche n'a pas marqué hier soir, ce qui ne lui est pas arrivé souvent cette saison. Mais il a encore été déterminant. C'est lui qui délivre la passe décisive pour Giuly sur le second but, synonyme de victoire. Remplacé par Makonda (90e + 3).

Giuly: 6.5
Le milieu droit a été décisif puisqu'il a inscrit le but de la victoire en jouant bien le coup devant Sauget. C'est beaucoup. Dans le jeu, il a été bien présent en première période avant de se montrer plus discret ensuite. Beaucoup d'efforts. Remplacé par Luyindula (75e).

Erding: 5.5
Très combatif, il a cherché au maximum à jouer collectif. Mais il n'a pas toujours eu la réussite ni parfois la clairvoyance a moment du dernier geste. Suppléé par Maurice (81e).

Hoarau: 5.5
Le grand attaquant a été emprunté dans ses choix, peut-être en raison de l'état de la pelouse. Mais toujours aussi précieux dans le jeu aérien offensif et défensif.
sylvain
L'Equipe

Citation
Les notes du match

A.Edel 6
Z.Camara 6
M.Sakho (c.) 6
S.Armand 6
C.Jallet 6
Nenê 7
T.Makonda (90e)
L.Giuly 8
P.Luyindula (75e)
C.Chantôme 7
J.Clément 7
M.Erding 5
J.Maurice (81e)
G.Hoarau 6
sylvain
Le Parisien

Citation
Cinq questions clés sur les ambitions de Paris

Demain à Montpellier, le PSG tentera d’obtenir son billet pour le Stade de France. Une qualification pour la finale de la Coupe de la Ligue serait un premier pas vers une saison réussie. Deuxième de L 1, toujours engagée dans trois coupes, l’équipe d’Antoine Kombouaré entretient le rêve d’une saison exceptionnelle. A condition d’éviter certains écueils et de préserver ce qui fait sa force.



1- Nene peut-il tenir jusqu’au bout ?
Le rendement spectaculaire du meilleur joueur de L 1 (13 buts, 3 passes) permet au PSG de jouer les premiers rôles. Va-t-il tenir le rythme? « On va l’aider à faire une deuxième partie canon », confie Kombouaré. Mais le staff a une crainte : Nene est focalisé sur France - Brésil du 9 février. Il donne tout pour attirer l’attention du sélectionneur auriverde. Comment réagira-t-il s’il n’est pas retenu? Moralement, il pourrait accuser le coup. Paris en ferait les frais.

2- Erding retrouvera-t-il le chemin du but ?
Meilleur buteur du club la saison dernière, Erding plafonne à quatre réalisations en L 1. C’est insuffisant, mais Antoine Kombouaré le défend avec ardeur : « Il a été énorme face à Sochaux. Il élargit son registre. Techniquement, il est de plus en plus solide et il est énorme au niveau physique. Tout son travail, Guillaume (Hoarau) et Nene en profitent. »

3- Sessegnon reviendra-t-il ?
Le feuilleton de l’hiver pourrait avoir des incidences fâcheuses sur le rendement de l’équipe. Même si Sessegnon n’était plus titulaire, le PSG est moins fort sans lui car Giuly, sur le côté droit, n’a plus de doublure digne de ce nom. « On l’attend quand il aura retrouvé la raison », a déclaré Kombouaré hier sur RMC. Son retour est espéré à la fin du mercato (fin janvier). Dans quel état physique et mental se présentera-t-il? C’est une énigme.

4- La défense va-t-elle retrouver sa solidité?
De septembre à mi-octobre, Paris avait enchaîné sept matchs sans prendre de but. C’est sur cette solidité défensive que s’est construit son retour au sommet. En retrouvant confiance dans ses capacités offensives, l’équipe s’est peu à peu déséquilibrée. Lors de ses treize derniers matchs, le PSG a encaissé au moins un but. Même si Kombouaré assume ce déséquilibre, il va falloir resserrer les lignes. Et si Edel peut sauver une ou deux fois ses coéquipiers, personne ne s’en plaindra.

5- Est-il possible de jouer sur quatre tableaux?
« L’idée est de jouer la gagne à chaque match », répond Kombouaré, qui refuse de choisir, outre le championnat, entre les Coupes d’Europe (Ligue Europa), de France et de la Ligue. C’est encore possible, mais, au printemps, si Paris est toujours bien placé en L 1, il faudra trancher. Quantitativement, l’effectif est limité et la fatigue va se faire sentir : le PSG va enchaîner quatre déplacements, peut-être cinq s’il dispute un 8e de finale de Coupe de France à l’extérieur. Même s’il est détenteur du trophée, c’est sans doute la compétition à sacrifier.



Citation
La pelouse du Parc énerve Kombouaré

La pelouse du Parc des Princes a beaucoup de mal à se remettre des intempéries de décembre. Samedi, le match s’est joué sur un terrain gras et bosselé, à la limite du praticable. Antoine Kombouaré ne le supporte pas et veut changer ce maudit gazon : « Les dirigeants le savent, ils ont les oreilles qui sifflent parce que ça me gonfle.

» Il devra néanmoins patienter. Changer une pelouse coûte plus de 150000 € et le faire en plein hiver pourrait s’avérer inutile en cas de nouvelle vague de froid. Mieux vaut attendre le printemps. En outre, puisque le prochain match au Parc est le 12 février (le 1er ou le 2 si Paris dispute les 8es de finale de Coupe de France à domicile), la pelouse aura largement le temps de se régénérer, surtout si la météo reste clémente.
Golazo
Citation
Foot - C.Ligue - PSG : Tiéné apte, Bodmer forfait


L'arrière gauche du Paris-SG Siaka Tiéné est apte pour la demi-finale de Coupe de la Ligue, mardi à Montpellier, tandis que Mathieu Bodmer (mollet droit) et Ceara (ischio-jambiers) sont toujours forfait. «Il est trop juste pour ce match-ci, a dit Antoine Kombouaré lundi en conférence de presse en parlant de Bodmer, blessé depuis le 15 décembre. Il lui reste quatre ou cinq jours pour se préparer, j'espère qu'il rentrera dimanche en Coupe de France contre Agen.»

Concernant Ceara, «il a recommencé à trottiner aujourd'hui» (lundi), a précisé Kombouaré. Le Brésilien s'était blessé le 8 janvier lors du 32e de finale de Coupe de France remporté contre Lens (5-1). Tiéné, qui avait été touché au mollet droit contre Monaco (2-2) le 18 décembre, avait été ménagé par précaution samedi dernier contre Sochaux (2-1). (Avec C. M. au camp des Loges)

Le groupe parisien


Edel, Coupet - Armand, Camara, Jallet, Sakho, Tiéné, Traoré - Chantôme, Clément, Makelele, Makonda - Erding, Giuly, Hoarau, Maurice, Nenê, Luyindula.

HHA
Citation
Le seizième de finale de Coupe de France, Agen -PSG devrait théoriquement se jouer, le dimanche 23 janvier, à 17 heures, à Armandie. Théoriquement….

Mais à quel jeu joue donc le Paris Saint-Germain ? Si c'est à celui de mettre le maximum de bâtons dans les roues des amateurs du SUA foot, le club parisien devrait décrocher la palme d'or. Si c'est à celui de multiplier les tacles par-derrière, les actes d'antijeu et les procédures politico-juridiques, le PSG devrait à coup sûr, décrocher le pompon. Si c'est à celui de gâcher, de pourrir la fête programmée à Armandie, que tout le peuple lot-et-garonnais attendait, le Paris Saint-Germain, rebaptisé par nos soins, « Paris Sans Gêne », a déjà réussi son entreprise de démolition.

Minable, pitoyable, irrespirable… Carrément insupportable, c'est le cas de le dire.

À l'heure où nous mettions sous presse, on ne savait pas encore si le choc Agen-PSG se déroulerait, ou non, le dimanche 23 janvier, à 17 heures, à Armandie. La Fédération Française de Football l'avait pourtant confirmé, la veille, par un communiqué laconique. Mais, hier soir, le PSG, qui s'était pourtant engagé à le faire (si la rencontre initialement prévue à 20 h 45 était reprogrammée en diurne), n'avait toujours pas levé son appel. Et il n'y a aucune raison que les dirigeants parisiens le fassent aujourd'hui. Tout devrait donc se jouer dans la journée de mardi. D'abord à Armandie, avec la nouvelle visite d'inspection pour l'homologation définitive (ou non) du terrain. Les grillages de sécurité devront être posés. Ensuite ou dans le même temps, à Paris, au siège de la Fédé, quand Jean Dionis, premier magistrat de la ville, et Thierry Pellicier, président du SUA, défendront leur bifteck devant la commission d'appel de la « 3F ». L'appel du PSG porte sur le fait que le stade Armandie n'était pas officiellement homologué, le jour du tirage au sort (dimanche dernier). Petit !

Tous les coups sont permis

La vérité, c'est que le PSG, qui court encore quatre lièvres à la fois (championnat, Europa Ligue, coupe de la Ligue et Coupe de France) ne voulait pas jouer à Agen. Prétextant d'abord l'horaire trop tardif (20h45) selon eux. Brandissant, ensuite, la menace de ses « pseudos » supporters, paraît-il, incontrôlables à l'extérieur. Mettant enfin une terrible pression sur la préfecture, via le ministère de l'Intérieur, pour décourager l'ennemi. Tous les coups étaient permis pour tenter de faire inverser le match. On comprend mieux pourquoi aussi les dirigeants du PSG, bons princes (sic), ont carrément proposé à leurs homologues suavistes de venir jouer ce seizième au Parc, moyennant peut-être un dédommagement…

Voilà où nous en sommes ce matin. Dans le meilleur ces cas, le SUA sera fixé demain soir voire mercredi matin. Dans le pire des cas (Armandie pas homologué, appel du PSG entendu), le petit poucet agenais devra se résoudre à aller jouer au Parc des Princes le mal nommé. Paul Michaux,père de la Coupe de France, doit se retourner dans sa tombe.


http://www.suagenfoot.fr/
HHA
Citation
Kombouaré soutient ses dirigeants

Antoine Kombouaré n'avait pas apprécié l'état de la pelouse du Parc des Princes, samedi, contre Sochaux et l'avait fait savoir. L'entraîneur du PSG ne doute pas qu'il aura des réponses très vite en la matière : «De toutes les façons, comme on a des dirigeants responsables, je sais qu'ils travaillent à améliorer nos conditions de jeu. Je ne me fais pas de soucis, il y aura des solutions de trouvées», a t-il estimé lundi devant la presse, avant d'ajouter, non sans malice : «Je suis derrière (eux), je suis là aussi, on en parle souvent, peut-être trop à leur goût mais ce n'est pas grave, c'est que pour le bien de l'équipe, du club.»


lequipe.fr
HHA
HHA
Citation
Luyindula : « Les six mois à venir peuvent être formidables »

A 31 ans, Peguy Luyindula a tout gagné : trois championnats, deux coupes de France, une coupe de la Ligue... Pourtant, il rêve encore du Stade de France. Selon lui, Paris est favori de la première demi-finale ce soir à Montpellier. Et la perspective d’une éventuelle finale face à Marseille, en déplacement demain à Auxerre, lui donne déjà le frisson.

René Girard, l’entraîneur montpelliérain, a prévenu : « Attention les Parigots ! » A quel accueil vous attendez-vous ?
PEGUY LUYINDULA. Ils nous attendent de pied ferme ? Eh bien, on arrive ! S’il y a défi physique, on y répondra, on a des arguments. On s’adaptera à ce qu’ils nous imposeront ou on leur imposera quelque chose. On sait que ce sera compliqué, l’enjeu est important.

Etes-vous favoris ?
Oui, forcément, il ne faut pas se voiler la face. Avec Marseille, on est les deux gros de ces demi-finales. Notre parcours a été un peu plus compliqué, on a éliminé Lyon dès le premier tour, on joue bien. Alors oui, on est favori.

Une qualification en finale aurait-elle des répercussions positives pour le championnat ?
Oui, forcément. On aura déjà accompli quelque chose et ça nous permettra de passer à la suite beaucoup plus sereinement. C’est bon pour le moral. Après, il y a une hiérarchie dans les compétitions : championnat, coupe d’Europe, coupes nationales.

Pouvez-vous vraiment jouer sur les quatre tableaux ?
Physiquement, c’est super compliqué, surtout avec notre effectif restreint.

Quand on a tout gagné comme vous, le Stade de France fait-il encore rêver ?
Oui. Mais entre le rêve et la réalité, on peut vite passer au cauchemar s’il y a une lourde défaite.

En championnat, on ne fait pas encore du PSG un vrai favori. Ça vous arrange ou ça vous agace ?
Je pense que beaucoup de gens se demandent « Quand Paris va-t-il craquer ? » Il y a deux ans, on a fait un bon parcours et on a fini par craquer, alors les gens se disent peut-être qu’on va faire pareil. A nous de prouver le contraire. Il faut tenir et lors du sprint final, on verra. Moi, je pense qu’on restera bien placés.

L’absence de Stéphane Sessegnon est-elle un vrai handicap ?
Ceux qui disent « il n’est pas titulaire donc il n’est pas important » disent n’importe quoi. On a forcément besoin d’un bon joueur. Stéphane n’est pas un joueur nul qui faisait ch... Il a toujours répondu présent. Après, il a son problème avec le club, il a absolument envie de partir, il y a eu une discussion tumultueuse, on ne connaît pas les tenants et les aboutissants.

Avez-vous été contacté par des clubs anglais, West Ham notamment ?
Les gens qui s’occupent de moi ont été contactés. Ils doivent en discuter avec le PSG. Mais le club a été assez clair quant à la politique de recrutement. Je pourrais faire la gueule, aller au bras de fer... Ce n’est pas mon état d’esprit. Mais il y a des discussions à avoir.

Seriez-vous tenté ?
Dire le contraire serait faux. West Ham, c’est Londres, et j’ai la moitié de ma famille à Londres. Dans le foot, il n’y a rien d’impossible. Si un club propose quelque chose que le PSG ne peut pas refuser... A mon agent de régler tout ça. Moi, je me sens bien à Paris. Les six mois à venir peuvent être formidables et je pense avoir une part entière à jouer. Il peut y avoir quelque chose de très bien à la fin.



Citation
Bodmer encore forfait

Ce soir à Montpellier, le PSG dispute la 19e demi-finale de son histoire (dont 15 remportées!). Un match jugé « capital » par Antoine Kombouaré : « Si on veut gagner un titre le plus vite possible, ça passe forcément par la Coupe de la Ligue. » Le technicien parisien, qui s’attend à une rencontre « musclée dans une ambiance chaude », devrait aligner son onze habituel à l’exception d’Edel.
Après un mois d’absence, Tiéné est de retour dans le groupe. En revanche, Bodmer est à nouveau forfait. « Il est encore trop juste, précise le coach. J’espère qu’il pourra rentrer dimanche » à Agen en 16e de finale de Coupe de France.
A Montpellier, René Girard doit composer avec les absences de Spahic, Stambouli (suspendus) et Dzodic (blessé). La défense centrale devrait ainsi être composée des jeunes Yangambiwa (21 ans) et El Kaoutari (20 ans).



Citation
1,08 MILLION D’EUROS

Si le PSG obtient, ce soir, son billet pour la finale de la Coupe de la Ligue, il est assuré de toucher un minimum de 1,08 million d’euros. C’est en effet le montant de la dotation attribuée par la Ligue aux finalistes, celle versée au vainqueur étant de 1,7 M€. En cas d’élimination ce soir, Paris devra « se contenter » de 600 000 €.


Ceci est une version "bas débit" de notre forum. Pour voir la version complète avec plus d'informations, la mise en page et les images, veuillez cliquer ici.
Invision Power Board © 2001-2024 Invision Power Services, Inc.