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Paris n’oubliera pas Marrakech
Le PSG a fait ses adieux à Marrakech hier après-midi après quatre jours d’un stage intense. Arrivés dimanche soir, Kombouaré et ses hommes se sont entraînés deux fois par jour et ont fait match nul (1-1) contre le WAC Casablanca mercredi soir. De l’avis de tous, ces cinq jours ont surtout permis de renforcer la cohésion au sein du groupe. Avant de reprendre le chemin de la compétition, demain au Parc face à Lens en 32es de finale de la Coupe de France, voici le récit en photos de ce stage.
Resserrer les liens était l’objectif principal de ce stage.
Et la bonne ambiance était bel et bien au rendez-vous lors des séances d’entraînement. De retour à leur hôtel, les joueurs parisiens ont pu passer quelques heures ensemble, souvent par petits groupes, à jouer aux cartes, discuter ou encore faire du shopping dans les boutiques de luxe de l’établissement. Ils n’ont eu qu’une seule soirée de libre, mercredi soir après le match, au cours de laquelle ils se sont rendus dans les quelques discothèques de leur quartier avant de regagner leur chambre à 2 heures du matin maximum.
Grégory Coupet a égayé le séjour de sa bonne humeur. « Ce stage s’est super bien passé, raconte-t-il. J’espère qu’il va nous aider à aller le plus haut possible. Moi, en tout cas, j’ai pris du plaisir. »Mais en ce début d’année, l’exinternational ne songe plus trop à regagner une place de titulaire. « Dans six mois, j’arrête ma carrière. Je suis donc plutôt dans une optique de passer la main. Une fois que j’aurai raccroché les crampons, peut-être que je deviendrai entraîneur des gardiens, mais des jeunes. » Au PSG ? « Surtout pas », répond-t-il dans un éclat de rire.
Mercredi soir, lors du match amical contre le WAC Casablanca (1-1), Nene a été victime d’une vilaine béquille la cuisse. Le Brésilien n’a pas pu s’entraîner hier matin mais le staff médical se voulait rassurant à son sujet.
Hier matin, l’entraîneur parisien a réuni ses joueurs pour leur faire part de sa satisfaction quant au travail effectué pendant ce stage. Antoine Kombouaré a également profité de ces quatre jours pour leur fixer des objectifs: « Retrouver une solidité défensive (NDLR : 15 buts encaissés lors des 10 derniers matchs) et être capable d’enchaîner plusieurs victoires de suite dans cette seconde moitié de championnat. » Son seul regret du stage : l’absence de Stéphane Sessegnon. « Je l’attends », répétait-il encore mercredi soir.
Le PSG a fait ses adieux à Marrakech hier après-midi après quatre jours d’un stage intense. Arrivés dimanche soir, Kombouaré et ses hommes se sont entraînés deux fois par jour et ont fait match nul (1-1) contre le WAC Casablanca mercredi soir. De l’avis de tous, ces cinq jours ont surtout permis de renforcer la cohésion au sein du groupe. Avant de reprendre le chemin de la compétition, demain au Parc face à Lens en 32es de finale de la Coupe de France, voici le récit en photos de ce stage.
Resserrer les liens était l’objectif principal de ce stage.
Et la bonne ambiance était bel et bien au rendez-vous lors des séances d’entraînement. De retour à leur hôtel, les joueurs parisiens ont pu passer quelques heures ensemble, souvent par petits groupes, à jouer aux cartes, discuter ou encore faire du shopping dans les boutiques de luxe de l’établissement. Ils n’ont eu qu’une seule soirée de libre, mercredi soir après le match, au cours de laquelle ils se sont rendus dans les quelques discothèques de leur quartier avant de regagner leur chambre à 2 heures du matin maximum.
Grégory Coupet a égayé le séjour de sa bonne humeur. « Ce stage s’est super bien passé, raconte-t-il. J’espère qu’il va nous aider à aller le plus haut possible. Moi, en tout cas, j’ai pris du plaisir. »Mais en ce début d’année, l’exinternational ne songe plus trop à regagner une place de titulaire. « Dans six mois, j’arrête ma carrière. Je suis donc plutôt dans une optique de passer la main. Une fois que j’aurai raccroché les crampons, peut-être que je deviendrai entraîneur des gardiens, mais des jeunes. » Au PSG ? « Surtout pas », répond-t-il dans un éclat de rire.
Mercredi soir, lors du match amical contre le WAC Casablanca (1-1), Nene a été victime d’une vilaine béquille la cuisse. Le Brésilien n’a pas pu s’entraîner hier matin mais le staff médical se voulait rassurant à son sujet.
Hier matin, l’entraîneur parisien a réuni ses joueurs pour leur faire part de sa satisfaction quant au travail effectué pendant ce stage. Antoine Kombouaré a également profité de ces quatre jours pour leur fixer des objectifs: « Retrouver une solidité défensive (NDLR : 15 buts encaissés lors des 10 derniers matchs) et être capable d’enchaîner plusieurs victoires de suite dans cette seconde moitié de championnat. » Son seul regret du stage : l’absence de Stéphane Sessegnon. « Je l’attends », répétait-il encore mercredi soir.
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« Les négociations pour prolonger sont en bonne voie »
Le portier parisien dresse un bilan collectif et personnel à l’issue de ce stage au Maroc.
Comment s’est déroulé ce séjour à Marrakech ?
EDEL. Magnifiquement bien! C’était la première fois que je venais à Marrakech. Et j’ai été agréablement surpris par le climat, l’accueil. Les gens sont très gentils ici. Mais surtout, l’ambiance qui régnait au stade lors de notre match (NDLR : contre le WAC Casablanca, 1-1) était assez impressionnante. C’était une ambiance de folie, à l’africaine. Ça m’a plu. Ce stage nous a permis de bien travailler et, surtout, d’être entre nous, de resserrer les liens afin de retrouver la dynamique qui était la nôtre avant la trêve pour repartir de plus belle.
Quels sont les objectifs de cette deuxième partie de saison ?
Il faudra répondre présent dès samedi contre Lens parce qu’on veut absolument remporter un titre cette saison et bien figurer sur les tableaux. Ce serait magnifique d’être champions. Si Dieu le veut, on le sera. Je suis déterminé à donner le meilleur de moi-même pour qu’on aille le plus haut possible. Il y a un coup à jouer, on a un bon effectif, on est solides. A titre personnel, je me sens bien et épanoui à Paris.
Votre contrat avec le PSG prend fin en juin. Où en sont les négociations pour votre prolongation ?
Les négociations pour prolonger sont en bonne voie. Mais je ne peux pas en dire plus. Tout ce que je désire, et ce du plus profond de mon cœur, c’est aider mon club à obtenir un titre. Evoquer mon cas personnel n’est pas à l’ordre du jour.
Le portier parisien dresse un bilan collectif et personnel à l’issue de ce stage au Maroc.
Comment s’est déroulé ce séjour à Marrakech ?
EDEL. Magnifiquement bien! C’était la première fois que je venais à Marrakech. Et j’ai été agréablement surpris par le climat, l’accueil. Les gens sont très gentils ici. Mais surtout, l’ambiance qui régnait au stade lors de notre match (NDLR : contre le WAC Casablanca, 1-1) était assez impressionnante. C’était une ambiance de folie, à l’africaine. Ça m’a plu. Ce stage nous a permis de bien travailler et, surtout, d’être entre nous, de resserrer les liens afin de retrouver la dynamique qui était la nôtre avant la trêve pour repartir de plus belle.
Quels sont les objectifs de cette deuxième partie de saison ?
Il faudra répondre présent dès samedi contre Lens parce qu’on veut absolument remporter un titre cette saison et bien figurer sur les tableaux. Ce serait magnifique d’être champions. Si Dieu le veut, on le sera. Je suis déterminé à donner le meilleur de moi-même pour qu’on aille le plus haut possible. Il y a un coup à jouer, on a un bon effectif, on est solides. A titre personnel, je me sens bien et épanoui à Paris.
Votre contrat avec le PSG prend fin en juin. Où en sont les négociations pour votre prolongation ?
Les négociations pour prolonger sont en bonne voie. Mais je ne peux pas en dire plus. Tout ce que je désire, et ce du plus profond de mon cœur, c’est aider mon club à obtenir un titre. Evoquer mon cas personnel n’est pas à l’ordre du jour.
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Sessegnon poursuit son boycott. Sessegnon n’avait pas, hier, l’intention de se rendre au camp des Loges ce matin pour la reprise de l’entraînement avec ses partenaires. Le Béninois s’est entraîné seul à l’Insep hier. Malgré les messages de ses coéquipiers, sa position ne change pas. Il refuse toujours de retravailler avec Kombouaré.
En début de semaine prochaine, Robin Leproux devrait organiser une réunion entre les différentes parties .
Banderole anti-Ch’tis : verdict aujourd’hui. Le tribunal correctionnel de Bobigny rend aujourd’hui son verdict dans l’affaire de la banderole anti-Ch’tis. Outre des amendes, les cinq prévenus risquent de la prison avec sursis et jusqu’à cinq ans d’interdiction de stade.