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Avec Lucas Moura, le PSG se repique à la folie du mercato
Et un prodige de plus! Celui-là n’a que 20 ans (la semaine prochaine), n’a jamais joué en Europe et reste méconnu du public, mais tous les spécialistes s’accordent sur son sort : c’est un futur crack, un milieu au potentiel explosif. Lucas Rodrigues Moura da Silva s’est donc engagé pour quatre ans et demi et près de 45 M€, bonus compris, avec le PSG.
La 5e recrue parisienne débarquera dans la capitale en janvier, une fois son championnat avec São Paulo conclu. Il viendra alors conforter le secteur offensif, en qualité de joueur de couloir, droit de préférence.
Lucas Moura, son diminutif, voire Lucas tout seul, compte déjà 14 sélections avec le Brésil, pour 1 but. Samedi, il disputera la finale des Jeux olympiques face au Mexique. Son transfert à Paris rappelle celui de Ronaldinho. On est dans le même registre de promesses, avec des caractéristiques parfois communes : dribbleur fou, rapide et technique.
Si Bisevac signe à Lyon, Réveillère arrive
Pour autant, parmi la jeune génération des Brésiliens que l’Europe s’arrache (Pato, Ganso, Oscar, Damiao), il est moins fort que Neymar, possède moins de talent et de titres que l’attaquant qui se rêve en Espagne. Il est même parfois contesté à São Paulo. Il faudra aussi, au cœur de l’hiver parisien parfois rude, qu’il s’adapte à sa nouvelle vie et aux conditions de jeu, de rythme et d’ambiance de la L 1. Il reste qu’une fois encore la puissance financière des Qatariens alliée au savoir-faire de Leonardo a frappé. Le PSG s’impose comme l’acteur majeur de ce mercato, le club le plus passionnant à suivre en Europe.
D’autres mouvements ne feront pas la une des journaux, mais l’actualité hexagonale du PSG continue de s’agiter dans tous les sens. Milan Bisevac et Anthony Réveillère pourraient rapidement échanger leurs couleurs. Lyon « travaille dans ce sens-là », a reconnu hier l’entraîneur rhodanien, Rémi Garde sur OLTV.
Le Lyonnais était attendu hier soir à Paris, mais l’affaire n’a pas pu se conclure aussi vite que les Gones l’espéraient. Car la transaction bloque sur les conditions salariales du Serbe à Lyon. Selon des sources lyonnaises, des considérations extra- sportives sont également venues ralentir l’opération. Tant que les deux parties ne trouveront pas de terrain d’entente, le latéral droit, 32 ans, 18 sélections, ne pourra effectuer le chemin inverse. Les deux formations ont, elles, avancé plus rapidement : Paris et Lyon sont d’accord sur deux transferts secs où l’OL devra débourser 2,5 M€ pour récupérer Bisevac.
Sans vraie doublure depuis le départ de Marcos Ceará, Christophe Jallet, promu nouveau capitaine parisien, trouverait un client. Rompu aux joutes de la Ligue des champions, Réveillère compte 76 rencontres dans cette épreuve à son compteur, dont 70 avec Lyon. Il pourrait découvrir le quatrième club de sa carrière (après Rennes, le FC Valence et l’OL). Le départ de Bisevac, lui, ouvrira une 4e place d’extracommunautaire à Paris. Pour Lucas. La boucle est bouclée.
Et un prodige de plus! Celui-là n’a que 20 ans (la semaine prochaine), n’a jamais joué en Europe et reste méconnu du public, mais tous les spécialistes s’accordent sur son sort : c’est un futur crack, un milieu au potentiel explosif. Lucas Rodrigues Moura da Silva s’est donc engagé pour quatre ans et demi et près de 45 M€, bonus compris, avec le PSG.
La 5e recrue parisienne débarquera dans la capitale en janvier, une fois son championnat avec São Paulo conclu. Il viendra alors conforter le secteur offensif, en qualité de joueur de couloir, droit de préférence.
Lucas Moura, son diminutif, voire Lucas tout seul, compte déjà 14 sélections avec le Brésil, pour 1 but. Samedi, il disputera la finale des Jeux olympiques face au Mexique. Son transfert à Paris rappelle celui de Ronaldinho. On est dans le même registre de promesses, avec des caractéristiques parfois communes : dribbleur fou, rapide et technique.
Si Bisevac signe à Lyon, Réveillère arrive
Pour autant, parmi la jeune génération des Brésiliens que l’Europe s’arrache (Pato, Ganso, Oscar, Damiao), il est moins fort que Neymar, possède moins de talent et de titres que l’attaquant qui se rêve en Espagne. Il est même parfois contesté à São Paulo. Il faudra aussi, au cœur de l’hiver parisien parfois rude, qu’il s’adapte à sa nouvelle vie et aux conditions de jeu, de rythme et d’ambiance de la L 1. Il reste qu’une fois encore la puissance financière des Qatariens alliée au savoir-faire de Leonardo a frappé. Le PSG s’impose comme l’acteur majeur de ce mercato, le club le plus passionnant à suivre en Europe.
D’autres mouvements ne feront pas la une des journaux, mais l’actualité hexagonale du PSG continue de s’agiter dans tous les sens. Milan Bisevac et Anthony Réveillère pourraient rapidement échanger leurs couleurs. Lyon « travaille dans ce sens-là », a reconnu hier l’entraîneur rhodanien, Rémi Garde sur OLTV.
Le Lyonnais était attendu hier soir à Paris, mais l’affaire n’a pas pu se conclure aussi vite que les Gones l’espéraient. Car la transaction bloque sur les conditions salariales du Serbe à Lyon. Selon des sources lyonnaises, des considérations extra- sportives sont également venues ralentir l’opération. Tant que les deux parties ne trouveront pas de terrain d’entente, le latéral droit, 32 ans, 18 sélections, ne pourra effectuer le chemin inverse. Les deux formations ont, elles, avancé plus rapidement : Paris et Lyon sont d’accord sur deux transferts secs où l’OL devra débourser 2,5 M€ pour récupérer Bisevac.
Sans vraie doublure depuis le départ de Marcos Ceará, Christophe Jallet, promu nouveau capitaine parisien, trouverait un client. Rompu aux joutes de la Ligue des champions, Réveillère compte 76 rencontres dans cette épreuve à son compteur, dont 70 avec Lyon. Il pourrait découvrir le quatrième club de sa carrière (après Rennes, le FC Valence et l’OL). Le départ de Bisevac, lui, ouvrira une 4e place d’extracommunautaire à Paris. Pour Lucas. La boucle est bouclée.
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Sakho a un été pour convaincre
L’intérim sera court. Mais tout le challenge pour Mamadou Sakho est de le prolonger. En théorie,Thiago Silva, le joueur le plus cher de l’histoire du Championnat de France (quelque 50 M€, bonus compris), doit rejoindre sa nouvelle équipe en fin de semaine prochaine.
En théorie, il doit former avec Alex la charnière centrale brésilienne du PSG, alliage de muscles et de relances propres, combativité et puissance, sûreté et élégance.
Mais voilà, tout cela reste théorique. Pour Sakho, dégradé par Ancelotti en fin de championnat la saison dernière, il y a un coup à jouer. Sur le papier aussi, il composerait un beau duo avec Thiago Silva, assuré d’une place de titulaire. Le jeune axial tricolore, avec la Coupe du monde 2014 en objectif des deux années à venir, se doit une revanche, nous doit une revanche.
Se débarasser de ses peurs
Il n’a rien à envier à Alex. La multiplication des blessures, des méformes, des suspensions, des compétitions donne autant d’opportunités à Sakho, a priori convaincu de s’ancrer à Paris pour s’imposer dans son club formateur. Et comme le PSG ne veut pas le lâcher — histoire de symboles (la formation parisienne) et de quotas (besoin de lui pour s’inscrire en Ligue des champions) —, il a toutes les raisons de rester.
En France, il ne pourrait jouer la Ligue des champions qu’à Montpellier ou Lille, pas aussi rutilant que de la disputer avec Paris, même en doublure. Pour retrouver son lustre, Sakho doit se débarrasser de ses peurs : celle de mal faire, celle d’être convaincu qu’Ancelotti ne l’aime pas. Il se met souvent une pression qui le paralyse, l’amène à déjouer. Il doit simplement renouer avec le fil de sa progression, celle d’un défenseur prometteur, appelé à devenir l’un des patrons de l’arrière-garde tricolore.
Il y a deux ans, il y avait du Thuram et du Desailly chez lui alors que la fébrilité et le doute ont escorté ses dernières sorties parisiennes. Dès ce samedi, contre Lorient, il passera un test majeur face à des seconds couteaux d’une attaque de Ligue 1. C’est le genre de match à ne pas rater. C’est le genre de match qui peut tout relancer.
L’intérim sera court. Mais tout le challenge pour Mamadou Sakho est de le prolonger. En théorie,Thiago Silva, le joueur le plus cher de l’histoire du Championnat de France (quelque 50 M€, bonus compris), doit rejoindre sa nouvelle équipe en fin de semaine prochaine.
En théorie, il doit former avec Alex la charnière centrale brésilienne du PSG, alliage de muscles et de relances propres, combativité et puissance, sûreté et élégance.
Mais voilà, tout cela reste théorique. Pour Sakho, dégradé par Ancelotti en fin de championnat la saison dernière, il y a un coup à jouer. Sur le papier aussi, il composerait un beau duo avec Thiago Silva, assuré d’une place de titulaire. Le jeune axial tricolore, avec la Coupe du monde 2014 en objectif des deux années à venir, se doit une revanche, nous doit une revanche.
Se débarasser de ses peurs
Il n’a rien à envier à Alex. La multiplication des blessures, des méformes, des suspensions, des compétitions donne autant d’opportunités à Sakho, a priori convaincu de s’ancrer à Paris pour s’imposer dans son club formateur. Et comme le PSG ne veut pas le lâcher — histoire de symboles (la formation parisienne) et de quotas (besoin de lui pour s’inscrire en Ligue des champions) —, il a toutes les raisons de rester.
En France, il ne pourrait jouer la Ligue des champions qu’à Montpellier ou Lille, pas aussi rutilant que de la disputer avec Paris, même en doublure. Pour retrouver son lustre, Sakho doit se débarrasser de ses peurs : celle de mal faire, celle d’être convaincu qu’Ancelotti ne l’aime pas. Il se met souvent une pression qui le paralyse, l’amène à déjouer. Il doit simplement renouer avec le fil de sa progression, celle d’un défenseur prometteur, appelé à devenir l’un des patrons de l’arrière-garde tricolore.
Il y a deux ans, il y avait du Thuram et du Desailly chez lui alors que la fébrilité et le doute ont escorté ses dernières sorties parisiennes. Dès ce samedi, contre Lorient, il passera un test majeur face à des seconds couteaux d’une attaque de Ligue 1. C’est le genre de match à ne pas rater. C’est le genre de match qui peut tout relancer.
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Ils ont tous hâte de se frotter à Ibrahimovic!
Il sera bel et bien l’attraction de ce début de championnat. Zlatan Ibrahimovic, la nouvelle grande star de la Ligue 1, recruté à prix d’or par le PSG (avec un salaire de 14 M€ net par an), attire tous les regards. Surtout ceux des défenseurs qui vont croiser sa route. « Pour nous, se frotter à un joueur comme ça, c’est un super défi, se réjouit d’ores et déjà le défenseur central de l’OM, Nicolas Nkoulou.
Sa venue va révolutionner le championnat. » Son coéquipier, Souleymane Diawara, victime d’une rupture des ligaments fin mars, s’est même fixé le 7 octobre, jour du clasico, comme date de son retour sur les terrains. « C’est l’un des meilleurs attaquants du monde, j’espère être opérationnel pour ce match face au PSG », dit-il.
Cris, le défenseur de Lyon, est sur la même longueur d’onde que son homologue phocéen. « Je préfère affronter des grands joueurs, donc ça me fait plaisir qu’il arrive en Ligue 1, déclare le Brésilien. Il aime bien les duels et c’est un guerrier. Il faut toujours avoir ce genre de joueur à l’œil : si on l’oublie pendant dix secondes, il fait la décision. Il faudra faire attention à lui, mais pas seulement, parce qu’il n’y a pas que lui à Paris. » « Jouer contre une star mondiale, ça fait un vrai souvenir dans ta carrière, sourit le Niçois Kafoumba Coulibaly. Il y a beaucoup d’excitation, d’envie et d’enthousiasme. C’est un peu comme si tu joues contre Messi. »
Un combat psychologique
Pas question pour autant d’être béat d’admiration devant le géant suédois. « C’est super d’être confronté à des joueurs de cette carrure, mais ça ne va pas nous tétaniser non plus, précise le Lillois Franck Béria. Quand on est sur le terrain, on n’est plus des fans ou des groupies. Et peut-être sera-t-il surpris de voir que les défenses françaises ne sont pas si mal que ça! »
Certains commencent d’ailleurs à échafauder des plans pour le contrer. « Tu dois avoir un œil sur lui en permanence car il peut faire la différence à tout moment, signale Florian Marange, latéral gauche de Bordeaux. La clé, c’est de l’isoler du porteur du ballon pour qu’il en touche le moins possible. Il faudra aussi être présent dans les duels. Comme il mesure presque 2 m (NDLR : 1,95 m exactement) et qu’il est fort de la tête, ce sera difficile. Il faudra défendre en avançant, c’est-à-dire en attaquant avant lui. Si tu recules et qu’il se retourne, c’est fini pour toi. Mais ce sera compliqué, car il fait tout très bien. »
Le Toulousain Jonathan Zebina, qui l’a côtoyé à la Juventus Turin, reconnaît lui aussi qu’Ibra sera un des adversaires des plus coriaces : « Il est imprévisible, il est au-dessus du lot dans tous les niveaux de jeu. Il a pour lui cette graine de champion qui fait la différence, explique-t-il. Mais son jeu, c’est aussi de prendre l’ascendant psychologique sur le défenseur adverse. » Le défenseur du TFC, qui a eu une vive altercation avec le Suédois en 2004, en connaît d’ailleurs un rayon sur son caractère : « Avec lui, si vous êtes un peu rebelle, ça peut facilement finir en friction », prévient-il. Un conseil que Rod Fanni, latéral droit de l’OM, compte d’ailleurs suivre : « Des joueurs qui ont évolué avec lui, comme Thierry Henry, m’en ont beaucoup parlé, raconte-t-il. Apparemment, c’est quelqu’un de très sympa, un chic type, même s’il montre son côté froid. Mais bon, il fait des arts martiaux. On va donc éviter de trop l’énerver… »
Il sera bel et bien l’attraction de ce début de championnat. Zlatan Ibrahimovic, la nouvelle grande star de la Ligue 1, recruté à prix d’or par le PSG (avec un salaire de 14 M€ net par an), attire tous les regards. Surtout ceux des défenseurs qui vont croiser sa route. « Pour nous, se frotter à un joueur comme ça, c’est un super défi, se réjouit d’ores et déjà le défenseur central de l’OM, Nicolas Nkoulou.
Sa venue va révolutionner le championnat. » Son coéquipier, Souleymane Diawara, victime d’une rupture des ligaments fin mars, s’est même fixé le 7 octobre, jour du clasico, comme date de son retour sur les terrains. « C’est l’un des meilleurs attaquants du monde, j’espère être opérationnel pour ce match face au PSG », dit-il.
Cris, le défenseur de Lyon, est sur la même longueur d’onde que son homologue phocéen. « Je préfère affronter des grands joueurs, donc ça me fait plaisir qu’il arrive en Ligue 1, déclare le Brésilien. Il aime bien les duels et c’est un guerrier. Il faut toujours avoir ce genre de joueur à l’œil : si on l’oublie pendant dix secondes, il fait la décision. Il faudra faire attention à lui, mais pas seulement, parce qu’il n’y a pas que lui à Paris. » « Jouer contre une star mondiale, ça fait un vrai souvenir dans ta carrière, sourit le Niçois Kafoumba Coulibaly. Il y a beaucoup d’excitation, d’envie et d’enthousiasme. C’est un peu comme si tu joues contre Messi. »
Un combat psychologique
Pas question pour autant d’être béat d’admiration devant le géant suédois. « C’est super d’être confronté à des joueurs de cette carrure, mais ça ne va pas nous tétaniser non plus, précise le Lillois Franck Béria. Quand on est sur le terrain, on n’est plus des fans ou des groupies. Et peut-être sera-t-il surpris de voir que les défenses françaises ne sont pas si mal que ça! »
Certains commencent d’ailleurs à échafauder des plans pour le contrer. « Tu dois avoir un œil sur lui en permanence car il peut faire la différence à tout moment, signale Florian Marange, latéral gauche de Bordeaux. La clé, c’est de l’isoler du porteur du ballon pour qu’il en touche le moins possible. Il faudra aussi être présent dans les duels. Comme il mesure presque 2 m (NDLR : 1,95 m exactement) et qu’il est fort de la tête, ce sera difficile. Il faudra défendre en avançant, c’est-à-dire en attaquant avant lui. Si tu recules et qu’il se retourne, c’est fini pour toi. Mais ce sera compliqué, car il fait tout très bien. »
Le Toulousain Jonathan Zebina, qui l’a côtoyé à la Juventus Turin, reconnaît lui aussi qu’Ibra sera un des adversaires des plus coriaces : « Il est imprévisible, il est au-dessus du lot dans tous les niveaux de jeu. Il a pour lui cette graine de champion qui fait la différence, explique-t-il. Mais son jeu, c’est aussi de prendre l’ascendant psychologique sur le défenseur adverse. » Le défenseur du TFC, qui a eu une vive altercation avec le Suédois en 2004, en connaît d’ailleurs un rayon sur son caractère : « Avec lui, si vous êtes un peu rebelle, ça peut facilement finir en friction », prévient-il. Un conseil que Rod Fanni, latéral droit de l’OM, compte d’ailleurs suivre : « Des joueurs qui ont évolué avec lui, comme Thierry Henry, m’en ont beaucoup parlé, raconte-t-il. Apparemment, c’est quelqu’un de très sympa, un chic type, même s’il montre son côté froid. Mais bon, il fait des arts martiaux. On va donc éviter de trop l’énerver… »
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Zlatan à 100% début septembre
Retenez bien la date du 2 septembre : non seulement c’est un Lille - PSG de folie qui s’annonce, mais c’est surtout le jour où Zlatan Ibrahimovic sera fin prêt. Pour encaisser une première partie de saison où il s’agira principalement de disputer le championnat et la Ligue des champions, « il lui faudra six semaines », indique-t-on au club. Débarqué le 24 juillet à New York pour le stage dans le New Jersey, le Suédois devrait commencer à donner sa pleine mesure début septembre.
Ses deux matchs de préparation (38 minutes contre Washington DC et 61 face à Barcelone) l’ont montré : l’attaquant n’est pas prêt. Vitesse de course poussive, appuis lents, manque d’impact physique, il doit encore attendre avant de retrouver la plénitude de ses moyens. Joueur hors norme sur le plan physique (1,95 m pour 95 kg), il met toujours plus de temps à déployer ses ailes.
Retenez bien la date du 2 septembre : non seulement c’est un Lille - PSG de folie qui s’annonce, mais c’est surtout le jour où Zlatan Ibrahimovic sera fin prêt. Pour encaisser une première partie de saison où il s’agira principalement de disputer le championnat et la Ligue des champions, « il lui faudra six semaines », indique-t-on au club. Débarqué le 24 juillet à New York pour le stage dans le New Jersey, le Suédois devrait commencer à donner sa pleine mesure début septembre.
Ses deux matchs de préparation (38 minutes contre Washington DC et 61 face à Barcelone) l’ont montré : l’attaquant n’est pas prêt. Vitesse de course poussive, appuis lents, manque d’impact physique, il doit encore attendre avant de retrouver la plénitude de ses moyens. Joueur hors norme sur le plan physique (1,95 m pour 95 kg), il met toujours plus de temps à déployer ses ailes.
Le Parisien.fr