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Alexpérience
Ce sera donc Alex. Arrivé ce matin à Paris pour passer sa visite médicale, l’ex-défenseur central de Chelsea s’est engagé ce vendredi en faveur du Paris Saint-Germain. Le Brésilien s’est engagé pour trois ans et demi de titres et de gloire à la française.
Une tête qui met des buts. Des bras de déménageurs pour soulever l’Hexagoal. Des cuisses beaucoup trop épaisses pour un short lambda, ce qui lui donne des airs de John Stockton. Et surtout, un statut d’extra-communautaire qui met fin aux spéculations autour de Carlos Tevez. L’arrivée d’Alex au Paris Saint-Germain, c’est l’arrivée d’un gagnant. Pas forcément la victoire du PSG « bling-bling », mais le triomphe d’une certaine idée de l’ambition. Invité à quitter Chelsea, le Brésilien, courtisé par quelques écuries de Premier League, a rejoint le club de la capitale ce vendredi, pour une somme de cinq millions d’euros. L’ancien joueur de Santos et du PSV Eindhoven s’est engagé pour trois ans et demi, avec la ferme intention d’étoffer son palmarès. L’arrivée d’Alex Rodrigo Dias da Costa, où comment le PSG s’offre les services d’un mec qui n’aurait jamais dû foutre les pieds en France, mais qui va rendre de sacrés services.
Grâce à lui, pas de Tevez
A peine arrivé, déjà décisif. Oui, Alex, brésilien sur le passeport et dans l’âme, truste la quatrième place d’extra-communautaire de l’effectif parisien. Les trois premières étant squattés par Maxwell, Bisevac et Ceara. Adieu donc, Carlos Tevez, ses prétendues envies de challenge et son baluchon en satin de baroudeur de luxe. Car si certains trouveront quand même le moyen d’être déçus de voir s’éloigner la promesse d’une recrue quatre étoiles, d’autres, plus rationnels, comprendront aisément que l’arrivée avortée de l’Argentin est une bonne nouvelle. Certes, le PSG abordait ce mercato hivernal comme le premier virage majeur de l’ère qatarie. Mais Alex n’est pas du genre à trainer les pieds à l’heure de fouler la pelouse de Francis Le Blé un soir d’hiver, ou à expliquer à Guillaume Hoarau comment mettre un pied devant l’autre. Lui, dans une langue ou une autre, l’espéranto, peut-être, est plutôt du genre à être un tuteur de luxe pour l’ami Mamadou Sakho. Peinard dans son club de cœur, malgré les autres défenseurs centraux présents à Paris (Lugano, Camara, Bisevac, Armand), le jeune Français se fera un plaisir de partager l’expérience du Brésilien. Oui, Alex, facture 46 matchs de Ligue des Champions, dont quelques uns sous les ordres de Carlo Ancelotti. Dire qu’il est pistonné serait pourtant une connerie.
Enfant du monde
Un physique à scier des troncs d’arbres au Canada, une chemise en flanelle sur le dos. Une puissance de frappe empruntée à Roberto Carlos. Un jeu de tête qui faisait frissonner les fans de Chelsea. Un peu moins de vingt ans après le rival marseillais, le Paris Saint-Germain a enfin trouvé son Carlos Mozer. En mieux. Très costaud au duel, pas débile dans le placement, le Brésilien de 29 ans, que trop considère comme vieux, devrait apporter beaucoup à l’arrière-garde parisienne. La défense, point faible du club de la capitale depuis le début de la saison, va probablement trouver en Alex, le patron qu’elle n’a pas trouvé en Lugano. Moins glamour que l’Uruguayen, le Brésilien qui semble, contrairement à certains, réellement intéressé à l’idée de jouer au Paris Saint-Germain, pourrait rapidement s’installer dans l’axe de la défense avec Mamadou Sakho. Pas de Kaka ni de Pato, donc, mais deux Brésiliens, Maxwell et Alex, qui, dans des rôles bien différents, devraient aider le PSG dans sa conquête de titres et de Ligue des Champions. Et si le doute plane toujours quant à l’arrivée de Thiago Motta, Ronan Le Crom lui, est bien installé.
Ce sera donc Alex. Arrivé ce matin à Paris pour passer sa visite médicale, l’ex-défenseur central de Chelsea s’est engagé ce vendredi en faveur du Paris Saint-Germain. Le Brésilien s’est engagé pour trois ans et demi de titres et de gloire à la française.
Une tête qui met des buts. Des bras de déménageurs pour soulever l’Hexagoal. Des cuisses beaucoup trop épaisses pour un short lambda, ce qui lui donne des airs de John Stockton. Et surtout, un statut d’extra-communautaire qui met fin aux spéculations autour de Carlos Tevez. L’arrivée d’Alex au Paris Saint-Germain, c’est l’arrivée d’un gagnant. Pas forcément la victoire du PSG « bling-bling », mais le triomphe d’une certaine idée de l’ambition. Invité à quitter Chelsea, le Brésilien, courtisé par quelques écuries de Premier League, a rejoint le club de la capitale ce vendredi, pour une somme de cinq millions d’euros. L’ancien joueur de Santos et du PSV Eindhoven s’est engagé pour trois ans et demi, avec la ferme intention d’étoffer son palmarès. L’arrivée d’Alex Rodrigo Dias da Costa, où comment le PSG s’offre les services d’un mec qui n’aurait jamais dû foutre les pieds en France, mais qui va rendre de sacrés services.
Grâce à lui, pas de Tevez
A peine arrivé, déjà décisif. Oui, Alex, brésilien sur le passeport et dans l’âme, truste la quatrième place d’extra-communautaire de l’effectif parisien. Les trois premières étant squattés par Maxwell, Bisevac et Ceara. Adieu donc, Carlos Tevez, ses prétendues envies de challenge et son baluchon en satin de baroudeur de luxe. Car si certains trouveront quand même le moyen d’être déçus de voir s’éloigner la promesse d’une recrue quatre étoiles, d’autres, plus rationnels, comprendront aisément que l’arrivée avortée de l’Argentin est une bonne nouvelle. Certes, le PSG abordait ce mercato hivernal comme le premier virage majeur de l’ère qatarie. Mais Alex n’est pas du genre à trainer les pieds à l’heure de fouler la pelouse de Francis Le Blé un soir d’hiver, ou à expliquer à Guillaume Hoarau comment mettre un pied devant l’autre. Lui, dans une langue ou une autre, l’espéranto, peut-être, est plutôt du genre à être un tuteur de luxe pour l’ami Mamadou Sakho. Peinard dans son club de cœur, malgré les autres défenseurs centraux présents à Paris (Lugano, Camara, Bisevac, Armand), le jeune Français se fera un plaisir de partager l’expérience du Brésilien. Oui, Alex, facture 46 matchs de Ligue des Champions, dont quelques uns sous les ordres de Carlo Ancelotti. Dire qu’il est pistonné serait pourtant une connerie.
Enfant du monde
Un physique à scier des troncs d’arbres au Canada, une chemise en flanelle sur le dos. Une puissance de frappe empruntée à Roberto Carlos. Un jeu de tête qui faisait frissonner les fans de Chelsea. Un peu moins de vingt ans après le rival marseillais, le Paris Saint-Germain a enfin trouvé son Carlos Mozer. En mieux. Très costaud au duel, pas débile dans le placement, le Brésilien de 29 ans, que trop considère comme vieux, devrait apporter beaucoup à l’arrière-garde parisienne. La défense, point faible du club de la capitale depuis le début de la saison, va probablement trouver en Alex, le patron qu’elle n’a pas trouvé en Lugano. Moins glamour que l’Uruguayen, le Brésilien qui semble, contrairement à certains, réellement intéressé à l’idée de jouer au Paris Saint-Germain, pourrait rapidement s’installer dans l’axe de la défense avec Mamadou Sakho. Pas de Kaka ni de Pato, donc, mais deux Brésiliens, Maxwell et Alex, qui, dans des rôles bien différents, devraient aider le PSG dans sa conquête de titres et de Ligue des Champions. Et si le doute plane toujours quant à l’arrivée de Thiago Motta, Ronan Le Crom lui, est bien installé.
So Foot