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Kombouaré : «Au Mercato, il faudrait un joueur important»
Propos reccueillis par Romain Schneider

Antoine Kombouaré : «On peut encore prétendre aux cinq, six premières places. Je n'ai aucun doute là-dessus. Plus haut, c'est autre chose.»

À mi-parcours, l'entraîneur du Paris SG se confie au «Figaro» avant de recevoir Grenoble mercredi.

Après 18 journées de L1, le club de la capitale, 9e (avec déjà six défaites), traîne loin des objectifs initiaux. S'il refuse encore de dresser un bilan, Antoine Kombouaré attend encore plus de ses joueurs.


LE FIGARO. - Quel est le sentiment qui prédomine aujourd'hui ?

Antoine KOMBOUARÉ. - De la frustration. Je suis déçu et en recherche de solutions. On ne fait pas de mauvais matchs. On en fait même de bons. À Bordeaux, on s'est créé plus d'occasions que le champion de France. Mais au final on perd... Depuis le début de saison, sur six défaites, on ne s'est incliné qu'une seule fois avec deux buts d'écart (à Monaco). Prendre une bonne claque, ça remet des fois les pendules à l'heure. Ça remobilise tout le monde. Quand tu t'inclines 1-0, il y a toujours un décalage, car les joueurs se disent : on n'est pas loin, ça va passer, on n'est pas encore en situation d'urgence...

Qu'attendez-vous de vos joueurs ?

J'aimerais leur faire comprendre que, quand tu es à Paris, tu dois élever ton niveau de jeu et ton mental, car tu sais que tous les week-ends tu vas te faire rentrer dedans. Le PSG est toujours considéré comme un grand club. Quand j'entraînais Strasbourg ou Valenciennes, Paris faisait partie, au même titre que Lyon, Bordeaux ou Marseille, des équipes qu'on avait envie de «taper». Depuis que je suis entraîneur, j'essaye d'inculquer la culture de la gagne. Mais ce n'est pas toujours la chose la plus facile...

Le PSG pointe en milieu de tableau. Quelles peuvent être ses ambitions d'ici à la fin de saison ?


On peut encore prétendre aux cinq, six premières places. Je n'ai aucun doute là-dessus. Plus haut, c'est autre chose. Chercher la première place sera très compliqué. Chercher les places européennes, cela reste dans nos cordes, car les équipes avec qui on lutte sont largement à notre portée.

Vous aimez les équipes qui jouent. De ce point de vue, êtes-vous satisfait par le jeu produit par votre équipe ?


Globalement oui, car presque tous nos buts ont été inscrits dans des phases de jeu. On se crée des occasions mais on ne peut pas toujours tout demander à des garçons comme Péguy Luyindula ou Mevlut Erding. On fait le dos rond depuis le début de saison. En attaque, je ne peux pas faire jouer la concurrence. Luyindula a dû jouer tous les matchs en raison de la blessure de Guillaume Hoarau. On attend le retour d'Hoarau avec impatience (il est prévu en janvier, NDLR).

Allez-vous recruter au mercato ?


J'y pense beaucoup, mais on ne va pas faire n'importe quoi. Une certitude, il va falloir améliorer l'équipe. Il faudra prendre un joueur qui apportera un plus. Il ne faut pas prendre pour prendre. On a déjà eu des expériences malheureuses. Il faut quelqu'un qui fédère. Un joueur important. Après, on fera en fonction des moyens qu'on aura. On pourra de toute façon frapper plus facilement à la porte de l'actionnaire si ça se passe bien lors du dernier match. Mais des joueurs de haut niveau, ça coûte cher, et disponibles, ça ne court pas les rues…

Alors que Sessegnon va partir pour la Coupe d'Afrique des Nations, les retours de Kezman et de Rothen sont-ils envisageables ?

Pour Kezman, le Zénith Saint-Pétersbourg décidera. Je ne suis pas décideur. Si le joueur doit revenir, il reviendra. Je ne vais pas à l'encontre des lois. Quant à Jérôme Rothen, il voulait quitter le PSG, il est toujours à ma connaissance aux Glasgow Rangers.

Quel regard portiez-vous sur Paris avant votre arrivée ?

C'est un club qui a besoin de stabilité. Il a été fragilisé car il n'a plus les mêmes moyens qu'il y a quelques années. Il reste fragilisé par l'extérieur. Je ne suis pas parano du tout, mais la pression médiatique demeure forte. C'est un club qui se doit d'être costaud en interne, avec des joueurs solides pour le pérenniser en haut du tableau. J'arrive, il faut du temps, même si en football il n'y en a pas.

Défendre Makelele , attaqué par l'entraîneur de Lorient, Christian Gourcuff, vous a renforcé auprès de vos joueurs ?

J'ai aussi défendu Edel. C'est l'essence même de mon travail. Quand on vient agresser un membre de votre famille, vous n'êtes pas content. Je les protège quand on les attaque. Je suis en même temps très dur avec eux, car j'ai beaucoup d'exigences. Je les protège. J'attends d'eux des victoires. Même si on n'est pas toujours d'accord au quotidien. C'est la famille PSG.

C'est plus compliqué d'entraîner aujourd'hui que lorsque vous étiez joueur ?

C'est sûr. À l'époque, on travaillait sans la pression médiatique. Il n'y avait pas l'urgence d'aujourd'hui. Et puis les joueurs gagnaient beaucoup moins d'argent. L'éducation était différente. Mais c'est l'évolution de la société, ce n'est pas propre au football. On pourrit nos enfants aujourd'hui. Quand j'étais jeune, avant de parler aux parents, il fallait lever le doigt. Quand vous êtes en tête à tête avec les mecs, ça se passe très bien, mais après, il y a tout ce qu'il y a autour. Les agents par exemple. Le mercato d'hiver, c'est souvent un désastre. Les joueurs ne sont plus concentrés. À l'époque, quand j'étais sur le banc, je travaillais pour gagner ma place. Maintenant en septembre-octobre, certains joueurs pensent déjà au mercato. C'est le business. C'est comme ça. Il faut en faire abstraction. C'est le plus dur.


Le Figaro
sylvain
CR de l'article de l'Equipe du jour.

Citation
Paris manque de talent.

Les résultats et le classement actuel du PSG posent la question de la valeur intrinsèque de ses joueurs.

Pour motiver son groupe face à Paris, Jean-Louis Gasset, l'entraineur adjoint des Girondins de Bordeaux, avait dessiné 2 formations sur le tableau. La première, celle de 1996 avec Lama, Roche, Le Guen etc..., l'autre le PSG d'aujourd'hui. Gasset leur a ensuite dit: "Vous joueriez la première, vous pourriez la craindre. Elle avait le talent. Mais les joueurs que vous allez jouer, ils n'ont que le maillot du PSG. Rien d'autre".
Les faits ne lui donne pas torts. A de rares exceptions près, les joueurs de Kombouaré n'ont pas le niveau aujourd'hui pour, porter les couleurs du 4ème budget de Ligue 1.

Ceux qui sont au niveau
- Les gardiens d'abord. Edel et Coupet ont fait du bon boulot. On peut leur reprocher de ne pas être plus décisif mai aucun n'a failli.
- Erding. 6 buts, 2 passes décisives en 13 matchs. il est déjà devenu indispensable dans l'équipe.
- Clément. Par son activité et son abattage, l'ancien Lyonnais est indispensable même si il a connu quelques passages à vide.
- Makélélé. Sa présence rassure le groupe, ainsi que sa lecture du jeu et son expérience, malgré des performances en dents de scie.
Ces 5 joueurs seraient, au regard de leur début de saison, les seuls à pouvoir postuler dans l'un des quatre meilleurs clubs Français du moment. Jallet la bonne surprise du recrutement n'en est pas là, mais il donne satisfaction à chaque entrée en jeu. Un bon joker.

Ceux qui ne sont pas au niveau
- Les jeunes. Les espoirs suscités par Chantome en 2006 n'en finissent plus de s'évanouir. Sankharé et NGoyi? Pas mieux. On attend toujours un match où ils pourraient montrer qu'ils ont leur place à Paris. Peut être est ce plus compliqué pour les jeunes de s'imposer à Paris. Mais en attendant, ils composaient les 3/5ème du milieu de terrain de départ à Rennes.
- Traoré. Il n'a jamais été brillant cette saison. il a beau être apprécié dans le vestiaire, il n'a pas les qualités pour jouer titulaire à Paris. On est passé de défenseurs centraux comme Roche, Kombouaré Ricardo, puis plus tard Heinze ou Déhu à Traoré..

Ceux qui ne sont pas à leur niveau
- Sessegnon. Son inconstance déçoit. il est doté d'un potentiel énorme, mais il lui manque toujours ce brin de lucidité, de perspicacité, d'altruisme.
- Sakho. Il peut se révéler incroyable. Mais aussi très agaçant quand il se complique la vie et avec la qualité de ses relances.
Mais ces deux joueurs peuvent rêver de jouer dans de grands clubs européens si ils gagnent en régularité.
- Céara. Quel est son vrai niveau? Celui correct affiché l'an passé ou celui qu'il montre depuis plusieurs semaines? Il est assez loin en ce moment de joueurs comme Chalmé, Bonnart, Debuchy ou Fanni.
- Armand. Il a manqué on début de saison. Du mieux depuis quelques journées mais il n'a toujours pas retrouvé son niveau de l'an passé.
- Giuly. Où est passé l'attaquant virevoltant capable de faire des différences sur un seul dribble en août? Le fait d'être régulièrement remplacé l'a affecté. Aujourd'hui, il n'aurait pas sa place dans des clubs comme Bordeaux, Marseille, Lyon, Lille ou Rennes.
- Luyindula non plus. Deux bons mois puis il s'éteint petit à petit à l'exception de rares fulgurances.
- Camara. Longtemps bléssé, il peine depuis à retrouver ses marques.

Le problème sur certains joueurs portent sur leurs ambitions. A quoi rêvent ils? Achever leur carrière à Paris où y briller?

L'article a été écrit par Damien Degorre.
Biz Markie
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Erding : «On peut finir fort»

Mevlut Erding se montre optimiste pour la deuxième partie de saison du Paris-SG, qu'il croit capable du Top 5.(EQ)


Même s'il estime ne pas encore être «à 100%» et «ne pas avoir encore montré ce qu'(il) valait vraiment», Mevlut Erding, auteur de six buts et deux passes décisives, est l'une des quelques satisfactions parisiennes de la première partie de saison. L'Equipe a rencontré l'attaquant avant la réception de Grenoble, ce mercredi, lors de la 19e journée de Ligue 1.

Erding y confie ses espoirs pour la seconde partie de Championnat et avoue ne pas regretter d'être venu dans la capitale («Paris est un grand club»). «On a les joueurs pour finir dans le top 5, explique-t-il. On a aussi l'entraîneur pour y arriver car il sait nous motiver.» Conscient des erreurs à gommer, le Turc attend également beaucoup d'une association avec Guillaume Hoarau pour le moment retardée en raison des blessures successives des deux attaquants. Et définit bien entendu, une victoire contre Grenoble comme «une obligation».

lequipe.fr
Hari
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Antoine Kombouaré : « Un match piège »

L’entraîneur parisien évoque les points à améliorer en seconde partie de saison et la réception de Grenoble, mercredi à 19h00.

Coach, la trêve approche… Quel bilan tirez-vous de cette première moitié d’exercice ?

« Il faut attendre le match contre Grenoble, avec un résultat qui sera, je l’espère, probant. Je pourrai ensuite faire un bilan. Pour le moment, j’attends mieux de mon équipe. »

Que faudra-t-il améliorer en 2010 ?

« Il faudra des résultats positifs. Les victoires, c’est ce qu’on espère tous. Pour cela, il faut travailler et il faut que les joueurs comprennent qu’il y a un certain niveau d’exigence qui doit être présent au quotidien, une culture que l’on doit avoir tous les jours. Toutes les équipes ont envie de nous battre, il faut donc répondre présent. Jouer le PSG, c’est motivant. Il faut qu’on soit prêt à ça. Tous les week-ends, c’est un combat qu’il faut livrer. »

Cela va encore être le cas face à Grenoble…

« C’est l’exemple type du match piège. L’adversaire va venir avec beaucoup d’ambition, de motivation. Si nous ne sommes pas prêts, ça peut être compliqué. J’attends une réaction des joueurs après le match à Rennes. Il faut une victoire pour partir en vacances la tête haute. »

L’investissement des joueurs est-il insuffisant ?

« Ils sont investis mais ne se rendent pas compte qu’ici, la tâche est plus dure qu’ailleurs. C’est important. Quand tu portes le maillot du PSG, tous les week-ends, c’est très compliqué. Tout le monde souhaite briller au Parc. Et à l’extérieur, je n’ai jamais vu un club autant détesté. Les supporters sont déterminés et motivent leur équipe. Cela donne des matches très tendus où on se doit d’être prêt. »

Le club va-t-il recruter au mercato ?


« Je vais voir le match de demain. Une victoire nous placerait dans une bonne position pour la seconde moitié de saison. Je verrai après ce qu’il est possible de faire avec les gens concernés. On a le potentiel pour être dans les six premiers. Il faut le démontrer. »


PSG.fr

Citation
Même Grenoble réussit à faire peur à Paris

Face à la lanterne rouge grenobloise, Paris n’a plus de marge de manoeuvre. Dans un contexte assez tendu, il lui faut s’imposer sous peine de vivre des fêtes agitées.



Le 10 novembre, 48 heures après la défaite au Parc face à Nice (1-0), Robin Leproux était venu au camp des Loges pour secouer son équipe. Le discours était resté courtois, mais le président avait prévenu ses interlocuteurs : « Aujourd’hui, je dis les choses calmement, mais j’espère ne pas avoir à revenir cette saison car je n’aurais pas le même ton.»
Le président a tenu parole. Il est revenu à Saint-Germain-en-Laye hier et s’est adressé aux joueurs de manière beaucoup plus sèche. Selon lui, avec ses résultats irréguliers et son classement actuel (9e), « le PSG n’est pas à sa place ». Il ne l’accepte pas, pas plus que certains comportements observés à Rennes. Il a donc rappelé aux intéressés qu’au PSG, « un joueur n’a pas le droit de manquer de motivation », surtout au Parc des Princes. Le président a également rappelé qu’aucun joueur ne bénéficierait d’un bon de sortie cet hiver et que les intérêts individuels ne prendront jamais le dessus sur les objectifs collectifs. L’allocution présidentielle, la veille d’un match, montre à quel point le dernier rendez-vous de l’année est crucial. Après l’équipe expérimentale alignée à Rennes, Kombouaré devrait minimiser les risques et revenir à une composition et une organisation plus classiques.

Kombouaré : « Quand je regarde mes joueurs, ils sont tous motivés »


Certaines rencontres valent plus que trois points. C’est le cas de ce PSG - Grenoble. Ce soir, à l’issue de la phase aller, Paris peut se retrouver sixième ou… treizième. La tension est palpable à tous les étages du club. « Jusqu’ici, c’est un gâchis, c’est rageant, lâche ainsi un proche de Sébastien Bazin. C’est une équipe compliquée, nous n’arrivons pas à comprendre. » Un membre du conseil de surveillance confirme l’impatience générale : « Nous ne sommes pas très contents. Certains joueurs n’ont pas le niveau. Cela dit, l’ambiance à l’intérieur du groupe reste bonne et personne ne critique l’entraîneur. Tout est encore jouable pour finir dans les cinq premiers. »
Certes… Mais ce PSG n’offre pas assez de garanties pour aborder l’obstacle grenoblois avec sérénité. « C’est le match piège par excellence, estime Kombouaré, qui refuse d’envisager le pire. Avec une victoire, on se retrouverait en bonne position et après, on verra… Pour le titre, il ne faut pas rêver, mais je reste persuadé qu’on a le potentiel pour terminer dans les six premiers. » Selon lui, les mauvais résultats ne viennent pas d’un problème de motivation.
« Quand je regarde mes joueurs, ils sont tous motivés. Mais il faut savoir le traduire sur le terrain en ayant la capacité de se surpasser. »
Et c’est bien là les limites de cette équipe… Pourtant, rien ne semble inéluctable. On peut encore croire au Père Noël.

Laurent Perrin (avec A.H.)


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Pas de vacances pour Hoarau


Guillaume Hoarau restera en France pour les fêtes qu’il passera avec sa belle-famille. Au menu du buteur parisien : du travail et encore du travail. A l’exception de demain et d’après-demain, l’ancien Havrais va continuer son programme de réhabilitation. « J’ai hâte de revenir et d’en finir avec 2009. Là, ça va mieux.
Je n’ai plus de douleurs, ce qui n’était pas le cas il y a encore deux ou trois semaines. Je veux être prêt pour le stage (NDLR : du 3 au 6 janvier à La Baule) », confie le meilleur buteur parisien de la saison 2008-2009. « J’attends son retour avec impatience. Les deux matchs de coupe, début janvier, doivent lui servir de préparation pour la rencontre de L 1 contre Lille le 16 », espère son entraîneur, Antoine Kombouaré.
Le Réunionnais met les bouchées doubles, à raison de deux séances quotidiennes. Hier matin, il a travaillé en compagnie de Raphaël Fèvre, le préparateur physique. Les deux hommes se sont entraînés sur l’un des terrains synthétiques du camp des Loges. Courses, appuis : le genou droit d’Hoarau répond bien. Son retour constituera le premier recrutement parisien de ce mercato hivernal.

A.H. (avec L.P.)

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L’avertissement des supporteurs


Un avertissement. Voilà ce que la quinzaine de supporteurs du PSG, issus principalement des Lutèce Falco, a voulu adresser aux joueurs et aux dirigeants du club en se déplaçant hier au Camp des loges à l’heure de l’entraînement. Initialement, ces ultras souhaitaient rencontrer les joueurs et leur parler après la défaite à Rennes (1-0).
« Il y a une grosse lassitude au sujet des résultats et du contenu des matchs. Les déclarations des joueurs après Rennes ont été inacceptables, annonce Amar, des Lutèce. S’ils se bougeaient un peu plus, l’équipe serait mieux classée. » « Cette sortie au camp des Loges ne constitue pas une démarche officielle de notre part, avance un autre leader. On ne souhaite pas lâcher l’équipe ni faire grève, mais juste que les résultats s’améliorent afin que l’on ne reste pas dans le ventre mou de la L 1. »
A défaut des joueurs, les supporteurs ont pu s’entretenir avec le président ,Robin Leproux, Alain Roche, le responsable de la cellule recrutement, et Bruno Skropeta, le directeur de la communication. Cette entrevue, de quelques minutes, s’est déroulée dans un climat jugé « serein » par les parties. « On leur a rappelé qu’il y avait un problème d’adéquation entre les objectifs et l’effectif », poursuit Amar. Ce soir pour la réception de Grenoble, les fans parisiens vont manifester leur mécontentement envers l’actionnaire par des chants et peut-être des banderoles. Les associations parisiennes ne souhaitent pas privilégier une attitude radicale.
Pour l’instant du moins…

A.H.


Citation
« On ne vient pas faire du tourisme »
DANIJEL LJUBOJA, attaquant grenoblois et ancien joueur du PSG


« Ce n'est pas le huis clos au moins ? » Danijel Ljuboja s’inquiète de trouver un Parc vide ce soir pour PSG - Grenoble. Rassuré, l’ancien Parisien (de janvier 2004 à août 2005) annonce la couleur. Son équipe, lanterne rouge de L 1, n’a pas abdiqué.

Quel sentiment prédomine au moment de retrouver Paris et le Parc des Princes ?

Danijel Ljuboja. Je pense ressentir beaucoup d’émotion en entrant sur la pelouse.
C’est un match important, dans un stade qui m’a porté chance. Les supporteurs sont fantastiques et ont toujours été derrière moi. Je n’ai pas connu ça dans d’autres clubs, même en Allemagne.

Pourtant, vous aviez quitté le PSG en froid avec l’entraîneur de l’époque, Vahid Halilhodzic…

Je ne me suis jamais embrouillé comme ça avec un entraîneur. Il ne me faisait pas confiance et j’ai senti dès le début que ça n’allait pas marcher. Après chaque match, même quand je marquais, il fallait que je prouve encore et encore. Malheureusement pour moi, Alain Roche me voulait mais Halilhodzic n’était sûrement pas très chaud.

Grenoble est dernier avec 7 points. Avez-vous encore quelque chose à espérer ?

Sincèrement, on n’a pas le niveau d’un dernier du classement. On a l’effectif pour figurer au milieu du tableau. En début de saison, on a pris du retard à cause des blessures, mais un changement s’est produit depuis Monaco ( 0-0, 13 e journée ). L’équipe s’est libérée et, aujourd’hui, on n’a rien à perdre. Ça va être un match engagé. Les deux équipes ont besoin de points et on ne vient pas pour faire du tourisme ou visiter Paris.

Quel souvenir conservez-vous d’Antoine Kombouaré, qui a été votre entraîneur à Strasbourg ?

Il m’a associé à Mamadou Niang, l’attaquant avec qui j’ai pris le plus de plaisir dans ma carrière. Offensivement, il nous laissait beaucoup de liberté. C’est quelqu’un qui est toujours derrière ses joueurs et qui n’abandonne jamais son équipe. J’ai même failli signer à Valenciennes quand il était entraîneur.

A Paris, Kombouaré s’illustre aussi par ses colères. Cela vous surprend-il ?

Il est entier et, ce qu’il pense, il te le dit en face. A Strasbourg aussi il a piqué des colères, mais c’était vite oublié. Il ne trahit jamais un joueur et c’est ce qui fait que les joueurs ne le lâchent pas. Je suis certain que Paris peut faire quelque chose avec Antoine.

Propos recueillis par Frédéric Gouaillard


leparisien.fr
11G
Citation
Kombouaré: «Le PSG est détesté»

Avant d'accueillir Grenoble mercredi soir (19h00), Antoine Kombouaré explique le manque de régularité du PSG par la haine qui entoure le club de la capitale.
Sept victoires, six nuls et cinq défaites. A l'heure de recevoir Grenoble mercredi soir (19 heures), lors de la 19e journée de Ligue 1, le constat est sans appel : Paris souffle le chaud et le froid en cette première partie de Championnat. Un manque criant de régularité que son entraîneur, Antoine Kombouaré, explique par le comportement de ses joueurs, qui n'ont pas compris « le niveau d'exigence quotidien du PSG ».

«Les autres pensent qu'on a le melon, le cigare»
Mais aux yeux du technicien kanak, le malaise est plus profond. « Quand on joue à Paris, toutes les équipes ont envie de nous taper, insiste-t-il dans les colonnes de L'Equipe. Ici, c'est plus dur qu'ailleurs. Je n'ai jamais vu un club aussi détesté (...) Il faut entendre les insultes, quand on joue à l'extérieur. Les autres pensent qu'on a le melon, le cigare. »

Kombouaré fustige également le comportement de certains supporters parisiens, «qui ne donnent pas le bon exemple». «Quand on entend que les trains de supporters n'arrivent pas en bon état ou qu'ils cassent tout en arrivant en ville, la haine des gens se porte sur l'équipe.»


Lequipe.fr
Vasco
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PSG - Aubervilliers : Eurosport et la Fédé persistent

Patrick Goddet, le directeur général adjoint d’Eurosport France, nous a confirmé hier que le 32 e de finale entre le PSG et Aubervilliers (CFA 2) se déroulera comme prévu le dimanche 10 janvier à 20 h 45. « Il n’y a pas d’autre créneau horaire. Je viens d’avoir les responsables de la Fédération, qui m’ont confirmé que la date et l’horaire ne changeront pas », souligne le dirigeant de la chaîne sportive diffuseur de l’événement.

Les deux clubs sont hostiles à cette programmation tardive. Le PSG a menacé de ne plus mettre le Parc des Princes à disposition pour ce rendez-vous francilien. « Quel que soit le terrain, ça fonctionnera, estime Goddet. L’attrait du PSG prime avant tout. Nous comprenons les contraintes des dirigeants parisiens mais nous sommes là face à deux équipes qui jouent à domicile . »
Aubervilliers a réagi par la voix de son directeur sportif, Karim Belkebla : « A partir du moment où le PSG a accepté le principe d’inversion du match, la responsabilité d’organiser lui incombe désormais. De toute façon, il n’y a aucun stade homologué pour recevoir une équipe comme le PSG dans le 9-3. »


Le Parisien.fr
Kiolm
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Les nouvelles ambitions du Paris-Saint-Germain

Qui ne connaît le PSG ? Même à l'étranger. Mais soyons honnêtes, le PSG est aussi le club que l'on adore détester. Et que bon nombre de préjugés défigurent. Je préside donc un club qui ne laisse personne indifférent. Pas facile. Toujours passionnant. Au-delà du sport, c'est une vraie responsabilité dans la cité. Il est temps pour nous de donner à voir le PSG tel qu'il est réellement. Et tel qu'il sera dans les années à venir. Car le PSG gagne à être connu. Il vous surprendra.

Le PSG, c'est avant tout une fidélité et un lieu : le Parc des Princes. Lieu d'exception dont quarante années n'ont altéré ni la beauté, ni la modernité architecturale, ni l'extraordinaire ambiance. Nous y avons construit notre palmarès : deux titres de Champion de France, sept Coupes de France, une Coupe européenne, trente-cinq saisons de suite en première division - record en cours - pas mal en 40 ans !

Nous y avons vécu nos plus belles émotions. Il me vient l'image des exploits de nos formidables brésiliens, des gestes d'exception des meilleurs techniciens du championnat, des têtes rageuses d'Antoine Kombouaré en Coupe d'Europe... Au Parc, s'ancre la fidélité du club à une histoire déjà riche, et le club, ce sont des joueurs, des dirigeants et un public.

Le Parc où transparaît l'héritage de mes prédécesseurs - Daniel Hechter, Francis Borelli, Michel Denisot... - et où reviennent nos anciens joueurs : Luis Fernandez, Raï hier, Alain Roche et tant d'autres aujourd'hui. Le Stade de France, ses 80 000 places et ses recettes de billetterie nous tendaient les bras ? Le club est resté au Parc. C'est notre stade, là où nous voulons voir jouer le PSG.

Arc-en-ciel francilien

Le Parc est un creuset où fusionnent les identités et les statuts. Chaque quinzaine, plus de 35 000 supporters assistent à nos matches. "Au Parc, on est chez nous", pour y vivre notre passion, tous ensemble.

Car le PSG porte la mixité sociale et ethnique de notre région. Nos équipes, nos tribunes, nos 200 salariés et nos actions revendiquent le melting-pot francilien. Un tiers de l'effectif professionnel est composé de jeunes de la région, pour beaucoup formés au club. L'arc-en-ciel francilien - ensemble et différents -, nous le défendons aussi avec la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme, aux côtés du Paris Foot Gay et d'autres. Les récents événements ne peuvent que nous y encourager. Nous serons fermes sur ces valeurs. Elles sont les nôtres.

Le club a 40 ans. Il se sent capable de dérober un peu du feu de Barcelone pour dire, comme lui, qu'il est "plus qu'un club". En 2000, nous étions les premiers à créer une fondation. Depuis, 50 000 enfants ont bénéficié de ses 130 actions annuelles. La Fondation PSG favorise l'insertion sociale et professionnelle des jeunes, organise des animations éducatives et sportives, apporte réconfort aux enfants placés et malades. Nous avons recruté et formé plus de 50 jeunes comme éducateurs sportifs. Par ailleurs, l'Association PSG oeuvre en faveur des footballs amateur et féminin, et permet à ceux qui le désirent de côtoyer le club de plus près et d'en devenir bénévoles.

Le Comité national olympique et sportif français a souligné récemment notre "attitude active et responsable ainsi qu'une réelle volonté de lutter contre les incivilités". En revanche, nous ne pouvons pas prendre en charge ce qui est un problème de société. Nous vivons et jouons au coeur d'un bassin de population de 12 millions d'habitants et les stades sont parfois le triste reflet de ce qui peut s'y passer. Le PSG prend toute sa part à la résolution des problèmes. Mais nous ne relèverons pas seuls ces défis du "vivre ensemble".

Fidélité, engagement citoyen, vivre ensemble... Ces mots définissent le PSG depuis quarante ans. Et ce n'est pas fini. Il est temps d'offrir à l'Ile-de-France un Parc du XXIe siècle aux normes internationales. Avec, à terme, une grande équipe-leader. Car enfin, le PSG est le club de football de Paris. Il ne s'agit pas seulement d'assurer la compétitivité sportive de la capitale, mais de contribuer à l'aura de la France à l'étranger. Parce que le football est un sport universel, Paris la ville la plus visitée au monde, et que le PSG associe football et Paris. Là réside la spécificité du club : jouir d'une position unique en France. Comment ne pas en tirer parti et devenir plus ambitieux pour nous montrer dignes de ce privilège ?

On pourra toujours contester l'équipe ou son management, mais pourquoi ne déciderions-nous pas ensemble - particuliers, entreprises, institutions - d'être "pour" le PSG ?

Robin Leproux, président du Paris-Saint-Germain.

Le Monde
Baghib!
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Foot - Coupe

PSG-Aubervilliers maintenu à 20h45


La Fédération française (FFF) a confirmé mercredi au Paris-SG, juste avant le coup d'envoi de sa recontre face à Grenoble (4-0), qu'il devrait bien affronter Aubervilliers, le 10 janvier à 20h45, en 32es de finale de la Coupe de France, indique jeudi L'Equipe. L'horaire initialement choisi ne convenait pourtant absolument pas aux deux clubs, qui s'en étaient plaints. Le pensionnaire de CFA2 souhaitait pouvoir jouer dans l'après-midi pour favoriser la venue de ses supporters. Le PSG quant à lui, aurait préféré jouer la veille, en vue de son 8e de finale de Coupe de la Ligue, le mercredi suivant à Guingamp. Mais peine perdue : le diffuseur et l'organisateur ont eu gain de cause. Les deux formations devront se rendre à l'évidence. Reste à savoir si le club de L1 va mettre à exécution sa menace d'envoyer sa réserve pour protester contre cette décision.
lequipe.fr
Beuzech
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Le tournoi de Paris va renaître

Le Paris SG organisera de nouveau en juillet prochain le Tournoi de Paris, une compétition amicale servant de préparation à quatre équipes qui n'avait plus lieu depuis 1993. «A l'occasion de l'année des 40 ans du club (créé en 1970, NDLR), on va relancer le Tournoi de Paris de ma jeunesse qui sera un centre de profit une fois par an», a indiqué Robin Leproux, le président du Paris-SG, qui a gardé un souvenir ému de la visite des équipes brésiliennes (Fluminense, Santos...) qui ont fait la notoriété de l'épreuve entre 1957 et 1993.

Ce tournoi, sur le modèle de l'Emirates Cup que dispute régulièrement le PSG à Londres, opposera quatre équipes au Parc des Princes sur deux jours. Le PSG a déjà commencé à discuter avec de possibles adversaires. Après le RC Paris (1957 à 1966), le Paris FC (1973) puis le PSG (1975 à 1993) ont pris le relais en participant à l'épreuve. Par ailleurs, toujours dans le cadre des festivités des 40 ans, le PSG proposera à partir de mars une offre «d'urban football» dans l'enceinte même du Parc des Princes.

Partenariats en attente

Avec le développement des produits dérivés et des projets audiovisuels, ces activités, qui vont «évidemment amener de l'argent au club», sont censées contribuer à hauteur de 40% des 15 à 20 millions d'euros supplémentaires que souhaite attirer le président parisien chaque année. Celui-ci espère trouver les 60% restants en nouant des partenariats financiers avec des grandes marques de l'automobile, la distribution ou la banque. «Aucun de ces annonceurs n'est significativement partenaire du PSG aujourd'hui. Quand vous vous retrouvez 13e (NDR : après sa victoire sur Grenoble, le PSG est 7e), c'est presque même contre-productif d'aller discuter avec des grandes marques. Elles viendront dès lors que le club sera stable et régulièrement dans les quatre premiers», a-t-il poursuivi. (Avec AFP)


léquipe.fr
Hari
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Paris s’offre un petit cadeau qui ne règle pas tout

Net vainqueur de Grenoble, le PSG sauve un peu les apparences à mi-championnat. Les Parisiens sont désormais septièmes au classement.

Sans forcer ni exceller, le PSG s’est défait d’un Grenoble déjà mené 2-0 au bout de dix-huit minutes. « Je ne pensais pas que l’on aiderait autant cette équipe de Paris », soufflera un Mecha Bazdarevic dépité après coup. Ce carton (4-0) aux allures de cadeau de Noël pour les supporteurs ne dit pas l’exacte vérité du jour sur le niveau de la formation d’Antoine Kombouaré.

« J’avais insisté pour respecter Grenoble et la respecter, c’était tout de suite prendre ce match au sérieux avec un gros pressing pour vite se projeter, faire douter sa défense et pourquoi pas la faire craquer, analyse le technicien parisien. On a géré le match d’une bonne façon, même si on a été un peu en difficulté. L’important était de se racheter. J’attendais une révolte après la piètre performance à Rennes (défaite 1-0). Les joueurs ont du caractère. »
A l’heure du bilan, il convient de regarder une équipe de Paris 7e, à cinq points de la deuxième place (Lille) et à quatre du PSG de la saison passée à la même époque, avec lucidité. Avec 16 buts inscrits contre les quatre derniers du championnat (Le Mans, Saint-Etienne, Boulogne, Grenoble), soit 51 % de son total global, Paris aura surtout dynamité les défenses les plus anecdotiques de la Ligue 1. Quant au classement, Kombouaré douche immédiatement le début d’enthousiasme, en puisant dans son parcours personnel : « Une fois, Strasbourg était 6e à la trêve, puis est descendu. »

« On est à notre place »

L’entraîneur résume cette demi-saison d’un : « encourageant, mais peut mieux faire ». Conscient des lacunes encore criantes de son groupe, il développe : « On aurait pu beaucoup mieux faire, mais on est à notre place. C’était important de bien se placer avant de faire une deuxième partie canon. Avec le retour de Guillaume Hoarau, j’aurai plus de solutions. J’attends des joueurs qu’ils s’améliorent. N’oubliez pas que je ne suis là que depuis six mois.
Ma méthode de travail se met en place. »
Le Kanak s’est fixé en début de saison un objectif simple : réaliser un meilleur parcours que le Paris de la dernière année de contrat de Paul Le Guen qui a fini 6e. Son équipe possède-t-elle le potentiel pour exaucer son voeu ? Il ne répond pas, mais trace la feuille de route : « Après ces 19 matchs, c’est interdit de finir au-delà de la 10e place. Vu les bobos et l’effectif restreint, je n’ai pas un banc avec beaucoup de possibilités. Il faut voir où l’on en sera en mars-avril pour lancer le sprint final. On attend beaucoup de nous. » Le PSG sera vite fixé : en L 1, il attaquera 2010 par un déplacement chez le nouvel épouvantail français : Lille.

Dominique Sévérac


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LA QUESTION

Le PSG fait-il toujours recette ?

Avec 32 548 spectateurs, le PSG a connu hier soir sa deuxième plus mauvaise affluence de la saison après la réception du Mans (30 548 spectateurs) au coeur de l’été. Avec une moyenne de 36 108 spectateurs à mi-parcours, Paris est loin derrière la saison dernière où il tournait à un peu plus de 41 000 billets à la même époque.
Cela peut s’expliquer par le fait que seuls Saint-Etienne et Lyon, parmi les équipes à forte notoriété, se sont déplacés dans la capitale pour l’instant. Mais aussi par l’effet Makelele et Giuly qui avaient joué à plein l’an dernier.


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Erding porte bonheur au PSG


Pour ce dernier match de la phase aller, Antoine Kombouaré a aligné sa meilleure équipe dans son traditionnel 4-4-2. Bien en place, le PSG a vite pris le contrôle de la rencontre. Et s’est mis à l’abri en marquant deux buts en dix-huit minutes. Ensuite, Paris a contrôlé. Une large victoire qui ne peut cacher la faiblesse de Grenoblois inoffensifs.


Edel (7). Une première période tranquille. Des prises de balle sûres. Une double parade (50e) devant Courtois. Encore attentif sur un coup franc de Ljuboja (56e). Un brin de chance aussi avec sa barre (77e).

Ceará (6). Le latéral droit a vécu, comme l’ensemble de la défense, une soirée sans souci. Il n’a été pris en défaut qu’une fois par un dribble de Matsui.

Camara (6). Avec Sakho, il a eu à surveiller Ljuboja, bien esseulé. Plutôt à son aise. Une seconde période paisible.

Sakho (6). De retour dans l’axe, il s’est montré vigilant et a bien coupé plusieurs trajectoires devant Ljuboja. Un peu lâche au marquage sur un corner (59e). A failli marquer contre son camp. Averti (85e).

Armand (6,5). Le latéral gauche a inscrit un joli but de la tête (18e). Plusieurs montées intéressantes mais quelques soucis défensifs dans son dos devant Courtois ou Matsui.

Jallet (6,5). Une nouvelle fois milieu droit, il a réussi une belle remise pour Luyindula sur le premier but. De bonnes choses mais aussi du déchet et des pertes de balle. Un but sur coup franc grâce à un rebond qui a surpris Le Crom (80e). Suppléé par Bourillon (86e).

Makelele (6). Quand le capitaine est là, le milieu de terrain est mieux tenu. Même s’il a parfois fait preuve d’imprécisions dans ses relances.

Clément (7). De retour lui aussi dans l’entrejeu, il a maîtrisé sans trop forcer. Un bon match et une ouverture millimétrée pour Erding sur le troisième but (65e).

Sessegnon (6). Milieu gauche, il a délivré une passe décisive sur le deuxième but et un centre efficace pour Jallet à l’origine du premier. Il a été présent dans la construction du jeu mais s’est aussi dispersé. A trop porté le ballon après le repos. Remplacé par Maurice (86e).

Luyindula (6). Un but et une activité intéressante en première période. Plus discret après la pause. Par sa vélocité et ses dribbles, il peut faire la différence à tout moment.

Erding (6,5). Il a inscrit son septième but (65e) de la saison au terme d’une prestation correcte même s’il perd un duel face à Le Crom (16e). Quand il est là, Paris va mieux. Remplacé par Giuly (73e) sous les applaudissements.

A Grenoble, Ljuboja a montré qu’il pesait toujours sur les défenses. La lanterne rouge développe un jeu agréable, mais manque de précision autant en attaque qu’en défense.

L’arbitre, M. Lannoy (6), a été à la hauteur de la rencontre.

Arnaud Hermant



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Christophe Jallet : « On pointe le bout de notre nez »


La plupart des joueurs parisiens ont fui les questions, trop pressés de partir en vacances. Christophe Jallet s’est montré courageux, en acceptant de dresser le bilan de la première partie de saison du PSG.

Que penser de cette large victoire aux dépens de Grenoble ?


Christophe Jallet. Quatre buts marqués, aucun encaissé, on recolle au peloton de tête : c’est une bonne opération.
Ce n’était pas facile, on a vu que beaucoup d’équipes ont chuté à domicile lors de cette 19e journée. C’est vraiment bien d’avoir pris les trois points.

Le sermon de votre président, ce mardi, était-il nécessaire pour remobiliser l’équipe ?

Il nous a dit de prendre conscience de nos qualités et de donner un autre visage de Paris que celui montré face à Rennes. Il a remis les choses en place. Ça fait du bien de temps en temps.

Quel bilan tirez-vous de ces dix-neuf premiers matchs ?


On a eu un parcours un peu cahotant avec de bonnes périodes comme au début de la saison ; mais on a mal enchaîné derrière. Il nous manque un peu de régularité pour s’installer durablement dans les cinq premières places. A nous de bosser mais on sait qu’on n’en est pas loin.

Vous avez eu beaucoup de mal contre les « gros » du championnat. N’est-ce pas inquiétant pour la suite ?


On n’a pas fait de mauvais matchs contre Lyon ( 1-1 ) et Bordeaux ( défaite 1-0 ) même si, en termes de points, ça ne s’est pas soldé par une grosse moisson. On sait que ça se joue contre les gros, mais personne n’est à l’abri. On pointe le bout de notre nez et, si on arrive à bien redémarrer, on a les moyens et l’épaisseur pour figurer dans les cinq premiers. En allant à Lille à la rentrée (16 janvier), on va affronter un concurrent direct. Ce sera un match pour s’étalonner.

A titre personnel, quel sentiment prédomine ?


Beaucoup de bonheur : j’ai du temps de jeu et je n’avais jamais autant marqué en une saison ( 3 buts ). J’ai plus de responsabilités et, mentalement, je me sens bien. Je n’ai aucun regret d’être venu à Paris.

Propos recueillis par Frédéric Gouaillard et Laurent Perrin

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Colony pris à partie par les supporteurs



Les virages Auteuil et Boulogne ont à plusieurs reprises scandé des « Colony démission » durant le match. Au coup d’envoi, les Lutece Falco, association du virage Auteuil, ont déployé trois banderoles : « Joueurs à l’image de l’actionnaire… Sans ambition, sans réaction… Vous tuez le PSG, Dégagez ! » A la fin du match, Sébastien Bazin, patron de Colony Capital, très heureux de la victoire de son équipe, n’a pas souhaité faire le moindre commentaire sur l’attitude des supporteurs.


Jérôme Rothen
a assisté au match hier soir dans une loge du Parc des Princes. Prêté un an aux Glasgow Rangers, il est dans l’incertitude concernant son avenir puisque son entraîneur ne compte plus sur lui. Libre de trouver un club dès cet hiver, il attend les propositions. Il se verrait bien rejouer avec le PSG mais les dirigeants ne souhaitent pas le réintégrer dans le groupe.

Le PSG a de nouveau changé la musique
qui accompagne l’entrée des joueurs sur la pelouse. Adieu « Eye of the Tiger » du film « Rocky 3 » qui aura été diffusé deux fois contre Saint-Etienne (3-0) et Lens (1-1) la semaine passée et retour du tube de Phil Collins « Who Said I Would ». Une consultation est prévue auprès des supporteurs. Un morceau de musique existant ou une création pourrait être retenu pour l’avenir.

Les quelque cent supporteurs grenoblois
qui avaient fait le déplacement sont arrivés dans leur tribune du Parc au début de la seconde période. Ce retard est dû à l’intense circulation en Ile-de-France hier soir.


leparisien.fr

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Kombouaré : « Un beau cadeau de Noël »


Antoine Kombouaré est revenu sur le dernier match de l’année 2009 et la victoire du PSG face à Grenoble (4-0).

Coach, le PSG a obtenu une belle victoire face à Grenoble, cela permet de partir en vacances sur une note positive…

« C’est une victoire très importante. De plus, nous marquons quatre buts et gagnons avec la manière. C’est un beau cadeau de Noël pour nos supporters. Nous avons bien vu, sur tous les terrains, qu’il était difficile de gagner son dernier match à domicile avant la trêve. Les joueurs ont accompli un super boulot et ils peuvent partir en vacances la tête haute. J’ai vu une belle révolte après le match de Rennes. Tout est bon à prendre. Je souhaite aux joueurs de passer de très bonnes vacances et de revenir en forme pour attaquer 2010 et réaliser les meilleures prestations possibles. »

A l’image de la rencontre face à Saint-Étienne, la bonne entame de match a fait la différence…

« L’idée était de respecter cette équipe de Grenoble. La respecter, c'est-à-dire, la prendre au sérieux d’entrée, aller de l’avant, presser haut, lui faire mal et essayer de la faire craquer. Nous avons été capables de le réaliser. Une entame de match comme celle-là, permet de donner confiance et de gérer la rencontre, comme nous l’avons très bien fait. »

En cette période de fête, que peut-on vous souhaiter et souhaiter au PSG ?


« La santé, c’est le plus important. Si nous travaillons bien, nous serons récompensés en fin de saison, c’est tout le mal que je souhaite aux joueurs et aux supporters. Avec beaucoup d’énergie et de solidarité il y a de quoi faire. Avec beaucoup d’humilité, nous allons nous atteler à bien bosser. Il faut faire ce qu’il faut pour que 2010 soit une belle année. »


PSG.fr
Hari
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Leproux : « La vraie place de Paris, c’est dans les quatre premiers »

Le président du PSG pose un regard empreint de lucidité sur le parcours de son équipe, 7e à la trêve. Il affiche une exigence qui colle parfaitement au standing du club.

Au lendemain du large succès obtenu face à Grenoble (4-0), Robin Leproux nous a reçus hier matin au siège du club, au Parc des Princes, afin de dresser le bilan de cette première moitié de saison. Il reconnaît les manques de son équipe mais martèle son ambition.

A l’heure du bilan, Antoine Kombouaré a dit : « Encourageant, mais peut mieux faire. » Quel est le vôtre ?

Encourageant et peut faire beaucoup mieux ! On doit être beaucoup plus ambitieux. Il faut que l’on prenne conscience de nos qualités. On est 3es à la différence de buts, 3e attaque, 3e défense (NDLR : 4e en fait) mais on n’est pas 3es au classement général. Où est l’erreur ? On a connu des contre-performances face à des équipes moins fortes que nous. On s’est battus nous-mêmes ! Contre Grenoble (4-0), on a vu des joueurs concentrés, solidaires et engagés. On ne l’a pas vu dans tous les matchs. Si on le corrige, on peut atteindre facilement nos objectifs de finir dans les quatre premiers.

Mais si l’on comprend bien, c’est la 3e place que vous visez ?

Je veux que l’on soit au moins 4es . Mais je dis aux joueurs : la 3e et la 2e place ne nous sont pas interdites ! Comment Lille, que l’on a battu 3-0, obtient-il ses performances qui le classent 2e ? C’est interdit au PSG ? Pas du tout ! On a avancé un peu en crabe jusqu’à présent. Maintenant, on doit foncer tout droit ! La vraie place de Paris, c’est dans les quatre premiers.

Vous êtes à 5 points du 2e mais aussi à 4 points du 14e. Comment être sûr que votre saison bascule du bon côté ?


Je ne suis pas venu au PSG pour finir8e ou 9 e . Je ne veux pas en entendre parler. Ce n’est pas possible ! Pour que ce soit inenvisageable, il faut pallier les errements et les manquements observés sur certains matchs. On a joué nos jokers mais on a notre destin en main.

Comprenez-vous les choix de Kombouaré de se passer des cadres à Rennes (défaite 1-0) ?


Je ne suis surpris de rien parce qu’avec Antoine on discute en temps réel et de manière naturelle. Après ce match, j’ai parlé aux joueurs parce que j’ai vu des absences. C’est cela que l’on ne doit pas retrouver lors de la seconde partie de saison.

Formulez-vous des reproches à votre entraîneur ?

Aucun. On reproche aux gens de ne pas donner le meilleur d’eux-mêmes. Antoine vit à 130 % pour le club, travaille comme un fou, motive ses joueurs et a un effet d’entraînement formidable.

Que pensez-vous de son management ?

Il a un style, et moi un autre. Il est très direct, mais très chaleureux. Les joueurs ont confiance en lui, il est proche d’eux. Il leur explique bien ce que l’on attend en termes d’engagement à Paris. On est très complémentaires. J’emploie des mots différents mais les joueurs entendent deux discours qui se rejoignent.

Le caractère sanguin de Kombouaré ne nuit-il pas à son fonctionnement ?


Antoine est le garant de la défense du groupe tout en se montrant intransigeant avec les joueurs. Je me range à ses côtés : dans un autre style, j’ai la même intransigeance.

Les supporteurs ne croient pas aux lendemains qui chantent et réclament le départ de Colony Capital…


On veut tous un PSG qui gagne. La saison dernière, on parlait du départ de Stéphane Sessegnon et de Guillaume Hoarau. Colony a permis qu’ils restent. Trois joueurs sont arrivés à l’intersaison. Aujourd’hui, le public s’est pris d’amour pour Mevlut Erding. Christophe Jallet s’est tout de suite adapté et réalise un très bon début de saison. Grégory Coupet est un joueur clé de l’effectif. Ces trois recrues, c’est l’argent de Colony qui les a permises. Vous pouvez me dire le contraire, mais je suis convaincu que cet effectif-là a largement le talent de finir dans les quatre premiers. A nous de le faire !

Propos recueillis par Laurent Perrin et Dominique Sévérac

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Kombouaré s’est déjà installé

Mercredi, malgré la raclée contre Grenoble (4-0), Antoine Kombouaré a réclamé un peu d’indulgence : « N’oubliez pas que je ne suis là que depuis six mois. Cela ne vient pas du jour au lendemain. » L’entraîneur a raison : débarquer dans un nouveau club, qui plus est en même temps qu’un nouveau président, dans une place aussi spéciale que le PSG, nécessite un temps d’adaptation.
Après les mornes années Le Guen, sur et en dehors du terrain, Kombouaré opère une vraie rupture de style. Par séquences seulement et sans une maîtrise véritable, son PSG joue mieux tandis qu’en coulisse le Kanak prend le temps de s’expliquer, laissant au public le choix d’être d’accord ou non. Du vestiaire remontent les échos d’un homme à poigne, franc et honnête avec son groupe. Tout le monde a sa chance. « Je ne juge pas sur la carte de visite », nous a-t-il confié récemment.
Parfois, le ton monte, mais pas plus qu’ailleurs. Là où le technicien a moins convaincu, c’est dans sa perception de l’effectif et de l’environnement. Comme tout nouvel arrivant au camp des Loges, Kombouaré n’a pas semblé avoir pris l’entière mesure de son groupe. Il a sans doute surestimé la vraie valeur d’une équipe qui manque notamment d’impact athlétique et de force mentale.

D.S.


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NRJ Paris diffusera, à partir du lundi 18 janvier, une émission quotidienne sur le PSG. D’une durée de quarante-cinq minutes, celle-ci sera programmée chaque soir à 19 heures avec des images tournées pour PSG TV. La direction du PSG, désireuse de disposer d’un programme quotidien sur une chaîne de la TNT francilienne, avait aussi discuté avec IDF 1 et Cap 24. NRJ Paris possède déjà une émission bihebdomadaire, « Paris est magique ».



leparisien.fr
aleksandre08
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Paris, les raisons d'y croire

Irrégulier lors de la phase aller du championnat, le PSG reste malgré tout à portée de tir du podium de la L1. Une position qu'il entend bonifier dès la reprise en s'appuyant notamment sur le retour en forme de ses cadres.


Depuis plusieurs semaines, les interrogations accompagnent chaque sortie du PSG. Et la principale concerne la vraie valeur de cette cuvée 2009-10. Que vaut réellement l'équipe d'Antoine Kombouaré ? Une place en milieu de tableau comme certaines prestations insipides (à Rennes récemment) peuvent le laisser penser ? Ou une position plus flatteuse dans le quinté de tête d'une L1 désormais survolée par Bordeaux ? « On a les moyens de viser haut mais il va falloir le prouver », a estimé mercredi soir Stéphane Sessegnon. Ça va être difficile mais j'y crois. » Le milieu de terrain béninois n'a pas forcément tort. D'autant que plusieurs facteurs peuvent pousser à l'optimisme dans les rangs parisiens.

Des cadres qui semblent monter en puissance

Auteur d'un début de championnat médiocre, Sylvain Armand est le symbole de ces joueurs cadres parisiens en nette progression. Mercredi soir face à Grenoble, le défenseur latéral a sans doute réalisé l'un de ses meilleurs matchs de la saison, confirmant sa montée en régime depuis quelques semaines. Son but a récompensé sa belle activité et il devrait aborder 2010 avec un vrai capital confiance. Le constat est le même pour Ceara et surtout Zoumana Camara, de retour après une longue blessure et qui retrouve progressivement le rythme. Quant à Claude Makelele, il a lui aussi réalisé de bons matchs en décembre (face à Lens et Grenoble notamment), prouvant au passage qu'il pourra encore rendre service au PSG. C'est cependant du côté de Stéphane Sessegnon que les progrès sont les plus flagrants depuis quelques journées. Le Béninois, trop souvent branché sur courant alternatif, a visiblement trouvé le bon rythme. Décisif face à Grenoble, il sera sans aucun doute l'un des baromètres de la seconde moitié de saison. Et si l'ancien Manceau réussit à retrouver son meilleur niveau, le PSG peut clairement espérer se rapprocher du podium.

Edel, un intérimaire convaincant
Quand Grégory Coupet s'est fracturé le péroné le 28 novembre dernier, Apoula Edel s'est retrouvé dans la peau d'un titulaire sans expérience. Aucun match de L1 dans les jambes et de nombreuses interrogations au-dessus de la tête. Mais en l'espace de sept rencontres, le Camerounais a chassé tous les doutes. Malgré une sombre affaire de faux-papiers qui aurait pu le déstabiliser, le gardien parisien a pris ses marques et rassuré l'ensemble des supporteurs en se montrant décisif à plusieurs reprises. En attendant le retour de Coupet, le PSG peut donc se reposer sur un gardien de qualité.

Le retour annoncé de Hoarau
Trainant des soucis aux adducteurs depuis le printemps dernier, Guillaume Hoarau n'a pas encore vraiment débuté sa saison. L'attaquant parisien n'a joué que 428 minutes depuis le début du championnat (un but marqué face à Lorient) avant de se blesser sérieusement à un genou à Toulouse le 17 octobre. Conséquence, son association prometteuse avec Mevlut Erding n'a pas encore pu être mise en place par Antoine Kombouaré (les deux joueurs n'ont que 19 minutes de temps de jeu en commun). Tout cela devrait changer à la reprise puisque le Réunionnais, auteur de 17 buts l'an dernier, est attendu sur les terrains début janvier. Une bonne nouvelle pour ce PSG qui a surtout pêché par un manque d'efficacité offensive lors de la phase aller.


Foot365
keyzer söze
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La reprise avec Kezman

Luciano Spalletti, le nouvel entraîneur du Zénith Saint-Pétersbourg, n'ayant pas demandé la levée de son option d'achat, Mateja Kezman, qui vient de passer quatre mois en prêt dans le club russe, est attendu le samedi 2 janvier au Camp des Loges pour la reprise du Paris-SG. L'Equipe rapporte samedi que la porte de son départ restera ouverte lors du mercato hivernal, du 1er au 31 janvier. L'attaquant serbe de 30 ans, transferé de Fenerbahçe pour 3,5 millions d'euros l'été dernier, est sous contrat au PSG jusqu'en juin 2011.


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Lequipe.fr
Dude
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Foot - L1 - PSG
Hoarau veut «tout casser»


Orphelin des terrains depuis le 18 octobre et son entorse du genou droit dans un choc avec le défenseur de Toulouse Dany Nounkeu (0-1, 9e journée), Guillaume Hoarau pense pouvoir rejouer «vers la dernière quinzaine de janvier». Mais le meilleur buteur parisien la saison dernière (17 buts) ne veut pas brûler les étapes. «Mon objectif est de figurer dans le groupe qui partira en stage à La Baule, le 3 janvier, confie le Réunionais à L'Equipe, samedi. Mais il faut que tous les voyants soient au vert pour que je rejoue. Cette fois, je vais écouter mon corps, je ne veux plus de pépins.» Blessé aux adducteurs la saison dernière, Hoarau, «à vouloir revenir trop vite», avait rechuté en juillet.

«Quand je vois comment Coupet vit sa blessure...»

«Disons que cette première blessure m'a appris à relativiser, explique-t-il. Et puis, quand je vois comment Greg (Coupet) vit sa blessure (fracture-luxation de la cheville gauche), quand je vois qu'il a la banane tous les matins, ça ne te donne pas envie de tirer la tronche, au contraire, ça te donne le moral. En fait, le plus chiant, c'est d'être là et de ne servir à rien. A chaque match dans les tribunes, je me sentais frustré.» Son moral, le joueur de 25 ans le cultive avec humour. «Quand j'arrive le matin aux entraînements, je viens toujours avec mes petites blagues.»
«Une nouvelle histoire va commencer»

Auteur d'un but lors de ses sept apparitions seulement en L1 cette saison, l'attaquant aborde 2010 avec un féroce appétit. «J'ai manqué la première moitié de saison, je veux réussir la seconde. Il faut que je fasse profiter le PSG de ma fraîcheur, que je tire tout le monde vers le haut. J'ai envie de tout casser. Une nouvelle histoire va commencer.»

Hoarau et les Bleus

Convoqué deux fois par Raymond Domenech avant sa blessure, contre la Lituanie (1-0, les 28 mars et 1er avril 2009), Guillaume Hoarau garde l'équipe de France dans un coin de la tête. «Aujourd'hui, penser aux Bleus semble un peu prématuré. Je dois avant tout penser à mon club car c'est grâce à lui que j'ai progressé. Et puis, j'ai pris du retard par rapport à d'autres attaquants. Maintenant, ça doit rester un objectif, une ambition. Mais pas une obsession.»


L'équipe.fr
Golazo
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L1 / PSG : Quelle solution à gauche?

Pour la reprise du championnat, Antoine Kombouaré sera privé de Stéphane Sessegnon, qui dispute la CAN en Angola avec le Bénin. Mais l’entraîneur parisien dispose de plusieurs solutions pour pallier l’absence de son milieu gauche.

Qui pour remplacer Sessegnon ? C’est la question que se pose actuellement Antoine Kombouaré qui va être privé de son milieu de terrain parti disputer avec le Bénin la Coupe d’Afrique des Nations 2010 en Angola du 10 au 31 janvier 2010. Même s’il ne réalise pas une saison fantastique (deux buts et deux passes décisives en 17 matchs de L1), l’ancien Manceau est une des pièces maîtresses de l’équipe de la Capitale et l’animateur de son côté gauche. En son absence, l’entraîneur parisien dispose néanmoins de plusieurs solutions. Externes et internes.

Déjà évoqué il y a plusieurs mois, la piste Royston Drenthe vient de ressurgir du côté de la Porte de Saint-Cloud. Rapide et technique, le jeune international néerlandais de 22 ans correspond au profil recherché par Kombouaré pour remplacer Sessegnon. Mais l’ancien milieu de terrain du Feyenoord Rotterdam a par le passé refusé de rejoindre le club parisien. Son temps de jeu famélique au Real Madrid (seulement cinq matchs de Liga dont trois titularisations) pourrait cette fois-ci le faire changer d’avis. Mais en cas de refus, le PSG pourrait se tourner vers un ancien de la maison.

Retour de Rothen ?

Prêté en début de saison au Glasgow Rangers, Jérôme Rothen n’a pas convaincu et le club écossais est disposé à s’en séparer. Le joueur de 31 ans n’a jamais caché son amour pour Paris et serait prêt à revenir. Sa présence dans les tribunes du Parc des Princes lors du match contre Grenoble mercredi dernier a d’ailleurs alimenté la rumeur d’un retour. Mais les dirigeants parisiens ne seraient pas disposés à lui offrir cette opportunité. Ses déclarations en fin de saison dernière envers le club et plus particulièrement Alain Roche, chargé de la cellule de recrutement, n’ont semble-t-il toujours pas été digérées.

Antoine Kombouaré pourrait alors chercher au sein même de son effectif la solution à son problème. Le coach parisien peut faire reculer Péguy Luyindula d’un cran et le placer sur le côté gauche avec la paire Erding-Hoarau en attaque. Younousse Sankharé est également une option pour occuper le poste laissé vacant par Sessegnon. Mais le jeune milieu parisien ne semble pas avoir la confiance de son entraîneur. Buteur contre Grenoble, Sylvain Armand revient en forme après un petit passage à vide. D’un naturel porté vers l’avant, l’ancien Nantais peut évoluer milieu gauche. Tripy Makonda prenant alors sa place de latéral. A moins que ce dernier n’évolue enfin à son vrai poste : celui de milieu gauche.

Football365.fr
Dante
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Edel attend des documents pour porter plainte
Frédéric Gouaillard (avec A.H.) | 28.12.2009, 07h00


Dans l'affaire qui l’oppose à Nicolas Philibert, son ancien entraîneur, Apoula Edel, le gardien titulaire du PSG en l’absence de Grégory Coupet, n’a toujours pas porté plainte. Selon son entourage, le portier d’origine camerounaise attend encore deux documents administratifs pour étayer son dossier.
Celui-ci doit lui permettre de démonter les accusations de son entraîneur à Yaoundé en 1999 et 2000, qui conteste l’âge et l’identité d’Edel.
Lundi dernier, le gardien parisien avait déjà repoussé son passage au commissariat pour le dépôt de plainte. Avant de se lancer dans une action qui peut avoir des conséquences judiciaires non négligeables, il avait décidé de consulter au préalable un avocat pénaliste parisien. Très récemment, certains de ses proches lui ont aussi conseillé de laisser tomber cette affaire qui, selon eux, ne manquera pas de se tasser avec le temps.
Mais Edel a réagi avec véhémence. Il a déclaré se sentir sali par les déclarations de Philibert et, surtout, il a réaffirmé son intention de prouver sa bonne foi face à des propos mensongers. Pour l’instant, son attentisme donne malgré tout raison à son détracteur, qui répète à qui veut l’entendre que le gardien du PSG ne déposera pas plainte. Mais, si cela doit arriver, Philibert se montre serein et même impatient. Il est persuadé que cela lui permettra de prouver qu’Edel s’appelle en réalité Ambroise Beyamena et a bien plus que les 23 ans de ses papiers d’identité.
Sur le site Internet du club, Edel, actuellement en vacances, a indiqué qu’il ne séjournerait pas au Cameroun pendant ces fêtes, mais qu’il rendrait visite à des amis pendant trois jours à Montélimar. Une fois revenu à Paris, il compte se remettre rapidement au travail pour préparer le match de reprise, programmé le 10 janvier en Coupe de France face à Aubervilliers. Avant cela, peut-être, trouvera-t-il le temps de faire un crochet par le commissariat.


Le Parisien
Red-Dwarf
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Hoarau présent à la reprise ?

En phase de reprise, l’attaquant du Paris SG, Guillaume Hoarau, espère pouvoir être présent avec ses coéquipiers pour la reprise de l’entraînement collectif samedi après-midi.

Guillaume Hoarau est sur la voie du retour. Blessé depuis deux mois et demi à un genou, l’attaquant du Paris SG a repris la course il y a quinze jours. Il confie, sur le site du club, son espoir d’être présent samedi 2 janvier pour la reprise de l’entraînement collectif avec ses coéquipiers. «Au mieux, je serai disponible pour la reprise avec mes coéquipiers (…) Je retoucherai sûrement le ballon en fin de semaine donc cela suit son cours», explique l’ancien Havrais.


http://www.sport24.com/football/ligue-1/cl...reprise-337489/

Sport24
whynot
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Guillaume Hoarau : « Monter en puissance »
Entretien | 28/12/09 | 16:00
Pas de vacances pour l’attaquant réunionnais ! Après une longue séance en compagnie du préparateur physique Raphaël Fèvre, le numéro 9 parisien évoque le travail accompli au quotidien pour revenir en force.

Guillaume, comment se passe ta préparation avec Raphaël Fèvre, le préparateur physique ?« C’était "the" grosse séance ! On a travaillé la puissance et les appuis dans le but de retrouver de la force, de l’explosivité. C’était donc vraiment dur ce matin. Nous allons monter en puissance progressivement jusqu’à la reprise pour que je sois compétitif dans les plus brefs délais. »

Quand comptes-tu réintégrer les entraînements avec le groupe ?« Au mieux, je serai disponible pour la reprise avec mes coéquipiers. Nous avons bien bossé ce matin, sans brûler les étapes. On peut donc passer à autre chose. En tout cas, ça fait du bien de retrouver le terrain. Je retoucherais sûrement le ballon en fin de semaine donc cela suit son cours. »

Comment te sens-tu physiquement ?« De mieux en mieux. Cela fait deux semaines que j’ai recommencé à courir. Plus ça va, plus on augmente les charges. Je me sens bien. C’est ma troisième préparation dans l’année donc j’ai pas mal de choses en réserve. Je vais bien me préparer, dans la sérénité et la tranquillité. Ça va le faire. »

Es-tu impatient de reprendre l’entraînement collectif ?« Oui. J’ai hâte de reprendre mais n’en fais pas une obsession. Je reviendrai en temps voulu. Le programme suit son cours et tous les voyants sont au vert pour passer aux étapes supérieures. Je suis impatient de reprendre l’entraînement avec mes potes. »
psg.fr
whynot
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Erding, Parisien de décembre

Jamais deux sans trois. Déjà élu meilleur Parisien au mois d'août et au mois de novembre, Mevlut Erding (Photo Presse-Sports) a récidivé. Il a été désigné meilleur joueur au sein du Paris Saint-Germain pour le mois de décembre. Il devance Apoula Edel et Christophe Jallet. Cette saison, l'attaquant turc a inscrit 7 buts en 14 rencontres de Ligue 1.
francefootball.fr

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Les décisions du 29 décembre 2009
Réunie le 29 décembre 2009, la Commission de Discipline de la LFP a pris les décisions suivantes :
LIGUE 1


Un match ferme + un match avec sursis :
Efstathios Tavlaridis (AS Saint-Etienne)

Un match ferme :
Joël Sami (AS Nancy-Lorraine), Asamoah Gyan (Stade Rennais FC), Cheik MBengue (Toulouse FC), Etienne Didot (Toulouse FC), Miralem Pjanic (Olympique Lyonnais), Maxime Gonalons (Olympique Lyonnais), Chu Young Park (AS Monaco FC), Sébastien Puygrenier (AS Monaco FC), Nenad Dzodic (Montpellier Hérault SC), Cyril Jeunechamp (Montpellier Hérault SC), Stéphane Grichting (AJ Auxerre), Drissa Diakité (OGC Nice), Christophe Landrin (AS Saint-Etienne), Mamadou Sakho (Paris Saint-Germain), Marc Planus (Girondins de Bordeaux), Albin Ebondo (Toulouse FC), Moussa Sissoko (Toulouse FC)
lfp.fr

ndw:le joueur est suspendu contre Aubervilliers en CDF.
Madi$kwale
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PSG : Bourillon sur le marché

Grégory Bourillon, le défenseur central ou milieu récupérateur du PSG, serait en instance de transferts.

A l'image de Mateja Kezman, Loris Arnaud et Albert Baning, Grégory Bourillon (25 ans) a été placé sur la liste des transferts par les dirigeants parisiens. En mal de temps de jeu, l'ancien Rennais - qui peut évoluer en défense centrale ou à la récupération - aurait notamment quelques touches en France. L'ancien international Espoirs français est sous contrat jusqu'en juin 2011 avec le club de la capitale.



Source: Foot365.fr
GANGLION man
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PORTE FERMEE POUR ROTHEN

Désireux de quitter les Glasgow Rangers avant le terme de son prêt, Jérôme Rothen ne repassera pas par la case PSG, qui ne veut plus de lui. Alors quelle sera la prochaine destination de l'ex-Monégasque ? C'est le flou.

En mal de temps de jeu aux Glasgow Rangers, Jérôme Rothen (31 ans) a émis le souhait de changer d'air. Au plus mal financièrement, « The Light Blues » en ont pris note et ne s'opposeront pas au départ d'un joueur qui ne sera jamais parvenu à s'imposer aux côtés d'Allan McGregor, Madjid Bougherra, Sasa Papac, Pedro Mendes, Kris Boyd et Kenny Miller. Mais la situation de l'ancien Monégasque se révèle tout de même relativement complexe. L'international français a récemment tenté de renouer les ponts avec le Paris Saint-Germain mais le club de la Capitale ne veut plus entendre parler de l'ex-Troyen, qui est censé rester en Ecosse jusqu'à la fin de la saison, date à laquelle expire son prêt avec option d'achat.

Sous contrat jusqu'en juin 2011 avec le club du président Robin Leproux, Jérôme Rothen va devoir se trouver un nouvel employeur sous peine de terminer la saison sur le banc des « Gers », voire carrément en tribune. Mais il n'est pas question de repasser par la case Paris Saint-Germain. Les dirigeants parisiens et notamment Alain Roche ne veulent plus entendre parler de lui et de son imposant salaire. Certains clubs français de seconde partie de tableau seraient intéressés. Mais Jérôme Rothen est-il prêt à consentir d'aussi gros sacrifices sur le plan salarial ? Rien n'est moins sûr.

Le Paris Saint-Germain, lui, réclamerait près d'un million d'euros pour le lâcher et ainsi financer sa campagne de recrutement. Pour lui succéder dans le couloir gauche, les Parisiens auraient notamment un regain d'intérêt pour le Néerlandais Royston Drenthe (22 ans, Real Madrid). Un prêt serait à l'étude. Le Paris Saint-Germain dispose des moyens nécessaires à une telle opération. Mais plusieurs autres pistes seraient également à l'étude (Zec, Dzsudzsak, Danic, Audel, Payet). La cellule de recrutement parisienne aurait d'ailleurs déjà essuyé un premier échec avec Ricardo Quaresma (Inter Milan). Le Paris Saint-Germain est donc bien décidé à se renforcer lors du Mercato. Mais le retour de Jérôme Rothen, lui, n'est absolument pas envisageable.


Source: Football365.fr
Baghib!
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Guillaume Hoarau : « Je ne veux plus revivre ça »

Absent des terrains depuis le 18 octobre, le meilleur buteur parisien de la saison passée se sent prêt pour relever, avec son club, tous les défis de la nouvelle année.


Victime d’une rupture des ligaments du genou droit, Guillaume Hoarau a été le grand absent de la première partie de saison du PSG. Avec sept apparitions en L 1 et un but seulement, l’attaquant de 25 ans a beaucoup manqué à son équipe. Le meilleur buteur parisien de la saison dernière (17 réalisations) aperçoit enfin le bout du tunnel.

Il attendait ce moment avec impatience. Son club aussi…

Comment vous sentez-vous à l’heure de la reprise ?
Guillaume Hoarau. Je monte en puissance. J’ai de bonnes sensations et chaque jour j’ai atteint les objectifs demandés. Je me suis arrêté les 24 et 25 décembre. Le 26, j’ai fait une séance et deux par jour ensuite. J’ai la haine de la période que je viens de vivre. Je revis maintenant.

Comment avez-vous réagi après votre blessure au genou droit contractée à Toulouse le 18 octobre 2009 ?
Sur le coup, ça a été dur, j’avais les boules. Ensuite, ça s’est transformé en frustration, car mes coéquipiers jouaient alors que moi j’étais impuissant et inutile. Au total, en 2009, j’ai été absent des terrains presque six mois (NDLR : de mai, sa première blessure, à fin août, puis d’octobre à aujourd’hui). Le moment le plus dur a été ma rechute, je me suis dit : « Ça s’enchaîne. » Même si je suis optimiste, j’ai cru que j’avais la poisse. Après, je ne suis pas du genre à faire la gueule bien longtemps, je ne peux pas tenir plus de deux jours (sourire) .

Aujourd’hui, dans quel état d’esprit êtes-vous ?
Il paraît que ça rend plus fort, ce genre d’expérience. Aujourd’hui, je veux montrer ce que je sais faire. J’ai faim, je veux revenir meilleur et tirer mes partenaires vers le haut.

Vous avez retrouvé le moral…
Oui. J’aurais pu faire ma rééducation aill eurs, mais j’ai préféré rester au camp des Loges. Ça a été un avantage d’être auprès des gens du club. Je remercie les kinés, le préparateur physique et le médecin qui se sont occupés de moi pendant la trêve alors qu’ils auraient pu profiter de ces vacances. On s’est donné mutuellement le sourire et on est en passe d’atteindre les objectifs que l’on s’est fixés.

Quels sont-ils ?
Terminer la saison à une place européenne pour l’équipe et participer au stage de La Baule, puis rejouer en janvier pour moi.

Rester aux côtés de vos partenaires a été un élément important de votre rééducation ?
Certains me chambraient en me demandant quand je revenais ou si je restais encore en vacances. J’avais besoin d’être près d’eux. On a démarré une histoire ensemble, j’aurais aimé écrire celle de ces six derniers mois avec eux. Maintenant, ça touche à sa fin. Je ne veux plus revivre ça, même si la blessure fait partie de la vie du footballeur. Je sais que je ne suis pas le seul blessé longue durée. Ce n’est pas un soulagement, mais ça permet de relativiser.

Vous faites référence à la blessure de Coupet ?
Je me suis inspiré de Grégory. Quand on voit comment il vit la chose, ça aide.

Vos blessures à répétition cette saison sont-elles dues à votre intense année précédente ?
Je ne sais pas. J’ai sûrement commis des erreurs. Comme partir à Barcelone avec des coéquipiers quatre jours avant un match important… Ma blessure est certes arrivée trois jours après ce voyage à Barcelone, mais là-bas j’ai regardé un match assis au stade et j’ai voyagé en avion. Ça n’a rien à voir. Je connais mon corps. L’an passé, parfois, j’en faisais peut-être un peu trop par rapport à mes capacités.

Pendant votre absence, avez-vous parfois rêvé que vous marquiez ?
Oui, j’ai eu des flashs de buts ou d’actions. J’ai regardé quelques DVD de la saison dernière, mais je n’aime pas le passé.

Comment avez-vous vécu la première partie de saison du PSG ?
On est tous dans le même bateau. On a vécu six mois de frustration et de regrets. Mes partenaires ont pu profiter de cette trêve pour décompresser et revenir à bloc pour la seconde partie de saison. On est passé à côté de plein de trucs, mais il ne faut pas vivre avec des regrets. Ça ne mène à rien.

Votre ami Edel a été au coeur d’une polémique, qu’en avez-vous pensé ?
Je ne lui en ai pas parlé, cela aurait été lui manquer de respect. Cette histoire est absurde, je n’y crois pas une seconde. Ces polémiques sur l’âge, c’est courant avec les Africains. Là, pas de chance, ça tombe sur Edel, comme par hasard au moment où il est titulaire au PSG. Il vaut mieux que la personne qui a lancé cette affaire ne vienne pas au camp des Loges…

Que peut-on vous souhaiter pour 2010 ?
La santé et rien d’autre. L’année 2009 est terminée, tant mieux. J’attendais 2010 avec impatience.
leparisien.fr
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Reprise samedi pour le PSG


Les joueurs du PSG n'auront eu qu'une journée pour se remettre des agapes du réveillon. Antoine Kombouaré les a, en effet, convoqués samedi à 15 heures au Camp des Loges pour la reprise de l'entraînement.

Au repos depuis le soir du 23 décembre et leur large victoire sur Grenoble (4-0), les Parisiens se préparent à une reprise tonique, avec un départ programmé dimanche pour un stage de quatre jours à La Baule (Loire-Atlantique)

Mardi, les coéquipiers de Claude Makelele y affronteront Vannes (L2) en match amical. Le premier match d'une série qui s'annonce longue en janvier. En cas de qualification en Coupe de France et en Coupe de la Ligue, le PSG jouerait en effet sept rencontres : quatre en coupes et trois en championnat.

Face à cette avalanche de matchs, Antoine Kombouaré doit envisager avec soulagement le retour de Guillaume Hoarau. Absent depuis le 18 octobre en raison d'une entorse du genou droit, l'attaquant réunionais a poursuivi sa préparation durant les vacances et doit reprendre l'entraînement collectif samedi. Seul Grégory Coupet continue désormais de soigner sa cheville.

Le prochain rendez-vous officiel des Parisiens est le 32e de finale de la Coupe de France, dimanche 10 janvier (20h45), au Parc des Princes, face à Aubervilliers (CFA2). Un rendez-vous que manquera Mamadou Sakho, suspendu pour cette rencontre.

leparisien.fr



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Un PSG mention passable

A mi-parcours, le Paris Saint-Germain occupe la septième place du classement de Ligue 1, un rang en-deçà des attentes des dirigeants et des supporters. Trop irrégulier dans ses résultats, le club de la capitale a dû aussi gérer avec un effectif limité, au sein duquel les recrues ont fait leur trou. La deuxième partie de saison est néanmoins placée sous le signe de l'ambition.

Au Paris Saint-Germain, rien n'est simple. Et cela s'est une nouvelle fois vérifié lors de la première moitié de saison. Au terme des matches allers, le PSG occupe la septième place du classement de Ligue 1, un rang qui résume bien la situation du club à mi-parcours, quelque part entre regrets et espérances. Regrets parce que l'équipe entraînée par Antoine Kombouaré s'est parfois pénalisée elle-même en abandonnant de nombreux points face à des formations plus faibles sur le papier, notamment contre Nancy (1-1) et Nice (0-1) au Parc des Princes. Espérances parce qu'au niveau comptable, tout est encore jouable avec seulement quatre points de retard sur le podium.

Pour le président du club, Robin Leproux, "la vraie place de Paris, c'est dans les quatre premiers". Interrogé dans les colonnes du Parisien, il a réaffirmé l'ambition du PSG de remonter au classement: "Je veux que l'on soit au moins quatrièmes. Mais je dis aux joueurs: la troisième et la deuxième place ne nous sont pas interdites ! On a avancé un peu en crabe jusqu'à présent. Maintenant, on doit foncer tout droit ! Je ne suis pas venu au PSG pour finir huitième ou neuvième." Leproux s'appuie sur des statistiques pour étayer son argumentation: "Il faut que l'on prenne conscience de nos qualités. On est troisième à la différence de buts, troisième attaque, troisième défense (quatrième en fait, ndlr) mais on n'est pas troisième au classement général. Où est l'erreur ?"

Kombouaré: "Le PSG se doit de mieux figurer"

La faute peut-être à des blessures à répétition qui ont fragilisé l'effectif. A celle de Guillaume Hoarau se sont ajoutés la longue indisponibilité de Grégory Coupet, le mois d'absence de Mevlut Erding en septembre et le début de saison manqué par Zoumana Camara. Le retour de l'ancien Havrais, programmé en janvier, devrait apporter plus de sérénité à l'attaque parisienne, secteur où Erding, élu meilleur joueur de la première moitié de saison par les supporters, s'est parfaitement acclimaté dès son arrivée au club. Parmi les autres recrues, Christophe Jallet donne pleinement satisfaction sur le côté droit, au point de reléguer Ludovic Giuly sur le banc des remplaçants. Ces deux joueurs jouent le rôle de locomotive pour le groupe, aiguillé aussi par les cadres comme Makelele et Armand.

Malgré des résultats en dents de scie, les dirigeants gardent confiance en Antoine Kombouaré. Les six premiers mois de l'ancien entraîneur valenciennois ont parfois été marqués par des coups de gueule mémorables, mais sa gestion du groupe est louée par Leproux: "Antoine est le garant de la défense du groupe tout en se montrant intransigeant avec les joueurs. Je me range à ses côtés: dans un autre style, j'ai la même intransigeance. Il vit à 130% pour le club, travaille comme un fou, motive ses joueurs et a un effet d'entraînement formidable." Kombouaré, conscient des lacunes de son équipe, veut croire au réveil de ses joueurs dès la reprise: "Si le début de saison fut décevant, le PSG se doit de mieux figurer en France et la seconde partie de championnat peut nous permettre d'y parvenir. Espérons que la réussite soit de notre côté mais soyez certains que nous travaillerons fortement en ce sens", a-t-il expliqué sur le site officiel du club. C'est tout le mal qu'on leur souhaite.
sports.fr

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PSG : Le bon souvenir de Sakho

Dans les colonnes du Parisien, Mamadou Sakho, le défenseur central du PSG est revenu sur le match où il avait porté le brassard de capitaine pour la première fois. C'était à Valenciennes en 2007.


Mamadou Sakho garde un bon souvenir de son premier match en Ligue 1. Ce 20 octobre 2007, il avait hérité du brassard de capitaine. « J'avais 17 ans, et le coach (NDLR : Paul Le Guen) m'a confié le brassard de capitaine, a-t-il déclaré dans Le Parisien. C'est quelque chose qui a beaucoup marqué les gens à l'époque. Je n'avais pas l'impression de jouer ma carrière sur ce match. Évoluer au milieu de tous mes copains me rassurait. »

C.L (Rédaction Football365.fr)
Biz Markie
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Kezman s'est entraîné

Il était attendu. Mateja Kezman était bien présent au Camp des Loges ce samedi à l'occasion de la reprise du Paris Saint-Germain après la trêve hivernale. L'attaquant serbe revient d'un prêt de quatre mois au Zénith Saint-Petersbourg. Il a inscrit 2 buts en 10 rencontres avec le club russe.

lequipe.fr
sylvain
L'Equipe.fr

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Kezman et Hoarau à l'entraînement


De retour de prêt du Zénith Saint-Petersbourg, Mateja Kezman était au rendez-vous du Camp des Loges, pour la reprise de l'entraînement du PSG, samedi.


Il était attendu. Mateja Kezman était bien présent au Camp des Loges ce samedi à l'occasion de la reprise du Paris-SG après la trêve hivernale. L'attaquant serbe revient d'un prêt de quatre mois au Zénith Saint-Petersbourg. Il a inscrit 2 buts en 10 rencontres avec le club russe.

Kezman a participé à l'intégralité de la séance qui a vu les Parisiens - sans Sessegnon (parti à la CAN avec le Bénin), Yannick Boli (en instance de prêt) et Claude Makelele (resté en salle avec Grégory Coupet entre autres) - enchaîner footing, ateliers techniques et oppositions. Parti sans dire un mot du camp des Loges, Kezman fait partie des vingt-quatre joueurs retenus par Antoine Kombouaré pour participer au stage à La Baule (Loire-Atlantique). Il pourrait même entrer en jeu quelques minutes lors de la rencontre amicale prévue mardi face à Vannes.

Les «bonnes sensations» d'Hoarau

«"Mate" fait partie de la famille, il a retrouvé sa place dans le vestiaire et dans le groupe sans problème», a déclaré Guillaume Hoarau, qui était revenu dès lundi avec un préparateur physique afin de retrouver sa place dans le groupe le plus rapidement possible. Blessé au genou droit en octobre, Hoarau a trottinéet participé samedi à quelques ateliers avant d'écourter sa séance et rentrer en salle. «Ca va de mieux en mieux, j'ai hâte de reprendre la compétition, mais je ne veux prendre aucun risque», a expliqué le Réunionnais à la sortie de l'entraînement. «Pour l'instant, les sensations sont bonnes mais je vais être à l'écoute de mon corps. J'ai passé six derniers mois difficiles, je suis heureux que 2009 se termine enfin», a-t-il ajouté. (Avec AFP)
sylvain
Le Parisien

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Kezman revenu mais pas fixé


Après neuf jours de vacances, les hommes d’Antoine Kombouaré ont repris hier le chemin de l’entraînement. Trois Parisiens manquaient à l’appel : Stéphane Sessegnon, retenu par le Bénin pour la Coupe d’Afrique des Nations, Yannick Boli, prêté à Nîmes (L 2) et Claude Makelele, autorisé à ne reprendre qu’aujourd’hui.


Mais c’est un autre visage qui a retenu l’attention : celui de Mateja Kezman, de retour d’un prêt de quatre mois au Zenit Saint-Petersbourg (NDLR : le club russe n’a pas levé l’option d’achat) . Le Serbe est passé directement de l’aéroport de Roissy au camp des Loges, avec trois grosses valises dans le coffre. Il a récupéré la place qu’il occupait dans le vestiaire jusqu’à l’été dernier, entre Traoré et Camara, et non loin de Hoarau.

Aucune offre pour l’instant

« Il est revenu comme s’il n’était jamais parti », souligne Sammy Traoré. « Je suis très, très heureux de le revoir car c’est un ami », confie Peguy Luyindula. A l’entraînement, Kezman a lâché à ses coéquipiers quelques phrases sur son périple en Russie. « Il nous a dit que c’était une très bonne expérience, que tout s’était bien passé, raconte Guillaume Hoarau. Nous n’avons pas été surpris de le voir aujourd’hui (NDLR : hier) . Il a retrouvé sa place comme si de rien n’était. Il fait partie de la famille PSG. Je ne sais pas ce qui se passera pour lui dans les prochaines semaines. Mais pour l’instant, il est là avec nous. »
Hier, Kezman n’a pas souhaité s’exprimer sur son avenir. Quelques jours plus tôt, dans la presse serbe, il avait simplement confié : « Je suis Parisien... pour l’instant. Le mois de janvier est long. » A l’évidence, le Serbe ne se voit pas passer les six prochains mois dans la capitale. Un souhait partagé par les dirigeants parisiens. Mais aucune offre, même indirecte, n’est parvenue à Paris. Son salaire de 250 000 euros brut mensuels est particulièrement dissuasif. Même si le PSG ne demande qu’un million d’euros pour finaliser la transaction, un transfert sec semble hypothétique.
En revanche, un nouveau prêt peut être envisagé. Légalement cette possibilité existe. Au cours d’une même saison, un joueur ne peut pas être prêté deux fois consécutives mais le championnat russe venant de s’achever, les compteurs sont remis à zéro. La seule certitude, c’est que Kezman partira pour La Baule ce matin avec tout le groupe parisien. Antoine Kombouaré, soucieux de jauger son état d’esprit, l’alignera certainement quelques minutes mardi en amical contre Vannes (L 2). L’opportunité pour le Serbe de démontrer qu’il peut encore rendre des services à Paris cette saison.
11G
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Le PSG vient refaire ses gammes à La Baule

Les Parisiens sur la pelouse de Moreau-Desfarges dès dimanche après-midi.
Les footballeurs du Paris Saint-Germain sont arrivés. L’Union sportive de La Baule/Le Pouliguen, avec une centaine de bénévoles, s’active pour que la réception soit belle.

L’expérience, ça paye. Habitué à organiser des matches de football professionnel, le plus souvent avec le FC Nantes, l’USBP reçoit un hôte prestigieux. Le Paris Saint-Germain. Les joueurs et l’encadrement du PSG sont arrivés dimanche midi en gare sud de La Baule. Ils ont pris leurs quartiers à l’hôtel Royal du groupe Barrière où ils resteront jusqu’au mercredi 6 janvier.

Décrassage. Dès dimanche, de 15 h à 17 h, ils ont chaussé les crampons et foulé la fragile et inquiétante pelouse du stade Moreau-Desfarges pour un premier décrassage. C’est bien utile pour éliminer les méfaits des réveillons. Chaque jour, les footballeurs de la capitale, sous la direction d’Antoine Kombouaré (ex-FC Nantes) nostalgique de la région, s’entraîneront à huis clos de 10 h à 12 h et de 15 h à 17 h.

Supporters attendus. En point d’orgue, pour les passionnés de foot, demain mardi 5 janvier, à 18 h 30, le PSG disputera une rencontre de préparation contre les voisins du Vannes OC. Le club breton évolue en milieu de tableau de la ligue 2 et a été le finaliste malheureux de la Coupe de la Ligue 2009 contre Guingamp. La foule est attendue.

Riche mais généreux. Ce bel événement oblige les dirigeants de l’USBP à se motiver pour soigner son image. « La venue du PSG, ce n’est pas anodin. C’est un gros truc », souligne Daniel Lemaine, chargé de la communication. Cela est d’autant plus vrai que l’USBP est pour l’occasion organisatrice en direct de cette manifestation. « C’est la première fois que nous organisons un tel match sans passer par une société événementielle. Tous les frais (billetterie, sécurité, arbitres…) sont à notre charge. Cela représente un investissement de 5 000 € environ », précise Daniel Lemaine.

Une vingtaine de stadiers prévus. Dépense supplémentaire, pour la première fois aussi, une vingtaine de stadiers seront en mission. Pour peu qu’une « horde sauvage » de supporteurs parisiens vienne à troubler la quiétude de la station balnéaire… Si le club de la Côte d’Amour prend ce risque financier, c’est en raison du peu d’exigences des deux clubs. Le Voc, tout proche, ne demande que le remboursement de ses frais de déplacement. Quant au PSG, il n’est point question d’exigence particulière.

Sans ces beaux gestes, l’USBP n’aurait pas pu présenter une affiche si prestigieuse…

Pratique : place en vente au Café des Sports, avenue de Lattre-de-Tassigny à La Baule. Prix : 10 € en tribune et 6 € pourtour du stade. Tarif réduit à partir de 10 places achetées.


Ouest France
Hari
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Paris s’offre un bol d’air frais


« Antoine, il ne faut rien lâcher cette année ! » Il est 8 h 50, hier matin, sur le quai de la gare Montparnasse. Un supporteur vient de reconnaître l’entraîneur parisien qui s’apprête à monter dans le train pour La Baule avec ses vingt-quatre joueurs. Dans les wagons 9 et 10, les Parisiens devisent tranquillement. Camara, Traoré et Luyindula sont de corvée pour ramener, du bar, des boissons chaudes à leurs coéquipiers.
Trois heures plus tard, c’est le vent glacial de La Baule qui saisit la délégation à sa sortie de la gare. Au Royal Thalasso Barrière, un des fleurons de l’hôtellerie bauloise, le décor un rien suranné et boisé de l’établissement thermal réchauffe un peu les joueurs.

Kombouaré peste après la pelouse


La quiétude voulue par le staff technique est au rendez-vous. « Je suis venu ici car je suis un peu le régional de l’étape, sourit Kombouaré. Quand j’étais joueur à Nantes, je m’entraînais à La Baule. Comme entraîneur de Strasbourg et de Valenciennes, j’y ai systématiquement emmené mes troupes. » C’est la basse saison. En conséquence, seuls quelques curistes tiennent compagnie aux joueurs du PSG. L’hôtel offre néanmoins une magnifique vue sur les 14 km de la plage froide et déserte de la célèbre station balnéaire. Sylvain Armand connaît également parfaitement les lieux. Il y a deux ans, il s’est marié à quelques centaines de mètres de là.

A 16 heures, le bus est prêt à quitter l’hôtel. Kombouaré s’agace pourtant de voir qu’un joueur manque à l’appel. Il fait signe au chauffeur de démarrer. Quelques secondes plus tard, celui-ci freine net. Mamadou Sakho vient de sortir du hall et a juste le temps de rejoindre ses partenaires en s’excusant pour son retard ! Seul Grégory Coupet, toujours blessé à la cheville, mais qui a tenu à participer au stage, est logiquement autorisé à rester au chaud.


C’est par une température glaciale, sur une pelouse annexe du petit stade Moreau-Desfarge, que les Parisiens effectuent une séance de quatre-vingt-dix minutes avec une opposition à onze contre onze. Une dizaine de spectateurs y assistent , dont Pierre Menès, l’animateur trublion de Canal + en vacances. « C’est bien de se remettre au travail, souligne Kombouaré. L’idée, c’est vraiment de se retrouver entre nous pour repartir sur de bonnes bases. Car je n’ai pas peur de dire que la seconde partie de championnat va être très difficile. » Toujours aussi exigeant, l’entraîneur parisien interpelle poliment les responsables du stade pour se plaindre de la piètre qualité de la pelouse. « Serait-il possible, Messieurs, de rouler un peu le terrain pour demain car il est impossible de travailler correctement les appuis ? » Les intéressés obtempèrent avant que l’un d’eux glisse à son collègue : « Tu vois, c’est à ce genre de détail qu’on reconnaît les vrais pros… »

Christophe Bérard


leparisien.fr

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Programme de la semaine

Dimanche 3 janvier 2010

Départ en matinée en stage à La Baule (Loire Atlantique)

Lundi 4 janvier 2010
Stage à La Baule

Mardi 5 janvier 2010
18h30 : VANNES / PSG
Stade Moreau Desfarges (La Baule)

Mercredi 6 janvier 2010
Stage à La Baule
Retour à Paris dans l'après-midi.

Jeudi 7 janvier 2010
15h15 – Entraînement. Séance ouverte aux médias et au public.

Vendredi 8 janvier 2010

10h15 – Entraînement. Séance ouverte aux médias et au public.

Samedi 9 janvier 2010

14h15 – Conférence de presse d'Antoine Kombouaré. Salle de presse du Camp des Loges
15h15 – Entraînement. Séance à huis clos.

Dimanche 10 janvier 2010

20h45 – PSG / AUBERVILLIERS
Parc des Princes
32ème de finale de Coupe de France
Match diffusé en direct sur EUROSPORT


PSG.fr
Hari
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Antoine Kombouaré : « Beaucoup d’envie »


L’entraîneur parisien revient sur la reprise de l’entraînement et le retour de Guillaume Hoarau et Mateja Kezman au sein du groupe.

Coach, sentez-vous vos joueurs d’attaque pour la deuxième partie de saison ?

« Il y a en tout cas beaucoup d’envie. L’état d’esprit est bon. Les joueurs sont contents de se retrouver. Les conditions d’entraînement sont difficiles mais nous sommes là pour travailler. C’est important parce que ça forge le caractère. J’aime bien voir le comportement des gens dans la difficulté. On n’a pas le choix, il faut bosser ! Il faut être prêt pour cette deuxième partie de saison. C’est intéressant parce qu’on va être amener à jouer sur des terrains difficiles au cours des mois de janvier et février. »

Comment Guillaume Hoarau se sent-il ?


« Guillaume est en phase de reprise. Il a repris avec nous et a encore du travail à faire au niveau des appuis. Mais c’est très encourageant. Les délais sont respectés. Il progresse chaque jour. »


Mateja Kezman a réintégré le groupe. Le sentez-vous impliqué ?

« Mate est un très grand professionnel. Il n’y a aucun souci de son côté. Le seul problème est que le championnat russe s’est terminé fin novembre. Il a donc bénéficié de plus d’un mois de vacances. Il a travaillé avant de revenir ici et est en phase de reprise. Il fait partie de l’effectif. »

Vous avez pensé à faire jouer une équipe réserve face à Aubervilliers. Votre réflexion a-t-elle évoluée ?


« C’est la fête du football francilien. On était d’accord pour que ce match ait lieu samedi. On a accepté de jouer dimanche. Après, il y a des heures auxquelles on ne souhaite pas jouer. Pour avoir un maximum de monde au Parc, jouer à 15h, 16h, 17h voire 18h était parfait. Nous faire jouer à 20h45, c’est une aberration. On rejoue mercredi puis samedi, ce qui fera trois matches en six jours. Je pense à la santé de mes joueurs et à leur récupération. Nous avons essayé de mettre un peu la pression sur la Fédé, mais on nous a répondu que les télés décidaient. »


Allez-vous être attentif au marché des transferts ?


« Oui, mais le plus important pour moi reste l’effectif que j’ai sous la main. Le mercato est une aberration. C’est un gros problème pour les entraîneurs. On travaille avec l’idée de préparer la suite du championnat. Les joueurs de tous les clubs pensent à leur avenir, ce qui est néfaste pour la qualité du travail. J’aimerai que ce système change pour travailler dans les meilleures conditions possibles. »


PSG.fr
Hari
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Giuly : « J’étais isolé et perdu »

Privé d’une place de titulaire en décembre, le milieu du PSG n’avait jamais connu une aussi mauvaise période. Il sort de son silence pour faire son autocritique.


Ludovic Giuly avait fini l’année avec le moral en berne. En perte de vitesse sur le terrain, il avait perdu sa place de titulaire et refusait de s’exprimer publiquement. En stage avec le PSG à La Baule, il a accepté de se confier dans un entretien vérité.

Quel souvenir gardez-vous de ce mois de décembre qui vous a vu perdre votre place de titulaire ?


Ludovic Giuly. Je le vois comme un petit moment de faiblesse, mais qui m’a beaucoup affecté.
Aujourd’hui, je suis bien décidé à me reprendre en main. Car, même à mon âge (NDLR : 33 ans), je sais que rien de bon ne m’arrivera si je ne me replonge pas dans le travail.

Qui est responsable de cette mauvaise passe ?


Moi ! Si vous pensez que je vais m’amuser à critiquer le choix du coach de ne plus me titulariser, vous vous trompez. Personne ne m’a entendu dans cette mauvaise période car il était hors de question de me lancer dans des polémiques inutiles. Je connais ma vraie valeur et il est évident que ce n’est pas celle du dernier mois.

Mais pourquoi avez-vous été aussi affecté ?

Parce que c’est la première fois qu’un tel truc me tombait dessus. Je n’avais jamais eu un tel creux dans une saison et je n’avais jamais été sorti d’un groupe. Il a fallu me refaire une santé morale.

Comment ?

Je suis resté en famille, à Lyon, pendant dix jours. Là, j’ai pu à nouveau m’exprimer et me lâcher au milieu de mes proches. Tout le monde sait que je suis un affectif et que, pour que le joueur soit bon, il faut que l’homme se sente bien. Même avec tout mon palmarès et mes titres, j’ai besoin de ressentir de la confiance. A un moment, j’avais perdu le fil. Là, en famille, j’ai pris du recul et je me suis posé les bonnes questions.

Lesquelles ?

Par exemple, j’ai réalisé que je m’étais trop renfermé sur moi. A un moment, j’avais fermé toutes les portes autour de moi. J’ai cogité tout seul au lieu de m’ouvrir. J’étais isolé et perdu. Le vrai Ludo, ce n’est pas celui qui souffre en silence, c’est celui qui déconne pour évacuer la pression. Je me suis débloqué. Maintenant, le vrai Giuly est de retour. Et tant pis pour ceux à qui cela ne plaît pas. Je me rends compte qu’il y a quand même une mentalité spéciale autour de ce club. Certains me voyaient déjà à la porte et m’annonçaient en fin de carrière. Désolé pour eux !
(Rires.)

Qu’espérez-vous de cette seconde partie de saison ?

Il reste quatre mois et demi et je maintiens que je veux finir en beauté avec Paris. Même si nous avons encore tout à prouver, je ne vois pas pourquoi on s’interdirait de rêver à finir sur le podium. Mais le dire ne sert à rien si on ne fait pas, moi le premier, les efforts pour confirmer nos ambitions. Je crois toujours en la qualité du groupe.

Propos recueillis par Christophe Bérard



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Kombouaré ne veut plus du mercato hivernal

La Baule

Antoine Kombouaré n’attend pas grand-chose du match amical de ce soir contre Vannes (L 2) à La Baule (Loire-Atlantique). Avec une séance d’entraînement programmée le matin même, il s’agira avant tout de retrouver des repères dans le jeu et de faire tourner au maximum l’effectif. Les 21 Parisiens valides devraient jouer.
« L’objectif est surtout de faire un gros travail physique », concède le coach du PSG.

Hier, malgré le froid, Kombouaré avait le sang chaud. Le Kanak est notamment revenu sur l’horaire du 32e de finale de la Coupe de France PSG - Aubervilliers, programmé dimanche à 20 h 45, qu’il ne digère toujours pas. « C’est une aberration, lâche-t-il, agacé. Cela devait être la fête du foot francilien. J’aurais accepté 15 heures ou 17 heures. Mais là… On a essayé de mettre la pression, mais à la Fédération on nous a expliqué que celui qui commandait était celui qui diffusait (NDLR : Eurosport). » Le PSG ne devrait néanmoins pas aligner son équipe réserve, comme il l’avait menacé fin décembre. Une équipe mixte entre cadres et espoirs est attendue.
L’autre colère de Kombouaré concerne l’existence même du mercato hivernal. « Là aussi, c’est n’importe quoi, peste-t-il. Je suis pour sa suppression. Ça fausse tout. Je ne suis pas naïf, je sais comment cela se passe, à Paris ou ailleurs : les bons joueurs sont sollicités et ceux qui jouent moins veulent partir. Donc tout le monde y pense. En plus, les tarifs sont prohibitifs. C’est n’importe quoi. Tout est faussé. »

Ch.B.




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PSG Express

Hier. Double séance d’entraînement au stade Moreau-Desfarges (La Baule). Ateliers physiques et techniques le matin. Tests de résistance puis opposition l’après-midi. Hoarau n’a pas participé à celle-ci. Il sera encore trop juste pour jouer contre Aubervilliers et Guingamp.
Aujourd’hui. Entraînement à 10 heures, puis PSG - Vannes (L 2), match amical, à 18 h 30 à La Baule.
Absent. Coupet (cheville), Sessegnon (sélection du Bénin).
Suspendu. Sakho pour PSG - Aubervilliers.
Rendez-vous. PSG - Aubervilliers, 32e de finale de la Coupe de France, dimanche 10 janvier à 20 h 45 (Eurosport).


leparisien.fr
whynot
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PSG - Aubervilliers : Steve Marlet se ménage

Seules les quelques caméras de télévision présentes tranchent avec le décor habituel du stade Karman d’Aubervilliers. Pour le reste, aucun signe d’agitation n’est visible. La perspective d’affronter le PSG, dimanche à 20 h 45 au Parc des Princes, ne change rien aux habitudes du club de CFA 2, qui a repris le chemin de l’entraînement dès le 29 décembre.
« Ce sera une semaine normale, prévient l’entraîneur, Abdellah Mourine. On reste des amateurs, on ne va pas devenir des pros en huit jours. Les joueurs risquent de jouer le match cinquante fois dans leur tête avant. Cela ne sert donc à rien de leur ajouter du stress supplémentaire. Il n’y aura pas de mise au vert. On se retrouvera, comme d’habitude, deux heures avant le match. »

Une défaite en amical

Désireux de « préparer tranquillement » la rencontre, l’entraîneur d’Aubervilliers a néanmoins décidé de limiter les sollicitations médiatiques en ce début de semaine.
Pour rester dans le rythme, l’équipe aux 17 matchs sans défaite (11 en championnat, 6 en Coupe de France) a affronté samedi Saint-Ouen-l’Aumône (DH), autre rescapé francilien de la Coupe de France, qui sera opposé à Sedan (L 2) en 32es de finale. Ce match amical, perdu 3-2, a laissé des traces. Stéphane Boulila (ex-Guingamp, Le Mans, Metz, Club africain, Angers) souffre d’une entorse à une cheville. Steve Marlet a, lui, ressenti une alerte aux ischio-jambiers. Si l’échographie passée hier par l’ex-international n’a rien révélé, il s’est ménagé lors de la séance du soir. « Je vais insister sur le renforcement musculaire, on verra comment ça évolue », explique l’attaquant d’Aubervilliers.

Le Parisien
Jalletinho
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Edel va porter plainte contre Philibert

Edel devrait bien porter plainte jeudi contre Nicolas Philibert, son ancien entraîneur qui l'accuse d'avoir changé de nom et d'âge.
La Fédération camerounaise a récemment envoyé des documents à la FFF prouvant la bonne foi d'Edel et retraçant son vrai parcours. Ces documents mettraient même en cause Nicolas Philibert. Les avocats du joueurs peaufinent actuellement les derniers détails avant le dépôt de plainte.


RMC.FR
Hari
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Vannes-PSG : 0-4 (0-4)

Les Parisiens s’imposent 4-0 face à Vannes en match amical à La Baule, grâce à des buts signés Giuly, Leugueun (csc), Maurice et Erding. Les hommes d’Antoine Kombouaré entament ainsi l’année 2010 de la meilleure des manières.
Une large revue d’effectif. C’est ce à quoi Antoine Kombouaré voulait se prêter lors de cette rencontre amicale opposant son équipe à Vannes, onzième de Ligue 2. 21 joueurs parisiens vont en effet prendre part au match. Et les 11 premiers réalisent une belle entame. Sur la première occasion Giuly trompe Gnanhouan sur un bon service de Jallet (0-1, 2e).

Les Parisiens mettent alors une pression folle sur le but vannetais, pression qui pousse Leugueun à marquer contre son camp après une parade de Gnanhouan sur une frappe de Maurice (0-2, 29e). Incontrôlable dans son couloir droit, Jallet centre quelques minutes plus tard pour Maurice qui cette fois-ci trompe lui-même le portier vannetais (0-3, 38e).

Les hommes de Stéphane Le Mignan ont à peine le temps de souffler que Mevlut Erding s’en va tout seul tromper Gnanhouan, en deux temps (0-4, 41e). L’arbitre siffle la pause qui sonne comme une libération pour les Vannetais, asphyxiés au milieu de terrain par les Parisiens.

Antoine Kombouaré procède alors à de nombreux changements : 10 Parisiens entrent en jeu à la pause, et seul Maurice conserve sa place sur le terrain. La détérioration de l’état de la pelouse et le froid empêcheront alors ces nouveaux acteurs de totalement s’exprimer. Mais l’essentiel est là, une belle victoire, quatre buts inscrits, aucun encaissé, et de belles promesses pour la nouvelle année !


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Kombouaré : « Reprendre les bonnes habitudes »

Antoine Kombouaré (Entraîneur du PSG)

« C'est une victoire importante. Nous sommes en stage pour travailler physiquement et reprendre les bonnes habitudes. Les conditions étaient difficiles, mais il fallait jouer et prendre les victoires comme elles viennent. C'était l'occasion de voir tout le monde et de réaliser une revue d'effectif. J'ai aimé ce que j'ai vu, car en janvier et février nous allons aussi jouer sur des terrains difficiles et il faudra s'adapter. J'ai apprécié le comportement de mes joueurs ce soir. »


PSG.fr
Hari
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Première victoire de l'année pour le PSG en amical (4-0)


Le PSG débute 2010 par une victoire. Les Parisiens se sont facilement imposés (4-0) mardi soir devant Vannes (L2) lors d'un match amical disputé à la Baule. De quoi réchauffer un peu les corps meurtris par le froid polaire et valider le travail effectué depuis dimanche lors du stage qui se termine mercredi dans la cité de Loire-Atlantique.

Considérant cette rencontre comme une véritable séance de travail, Antoine Kombouaré avait décidé d'aligner deux équipes distinctes lors de chaque mi-temps.

La première a largement marqué plus de points que la seconde.

Dès la deuxième minute, Giuly créditait le petit millier de spectateurs d'une subtile déviation du pied gauche pour ouvrir le score (1-0, 2e). Paris doublait le score grâce à un but contre son camp de Leugueun après un tir de Maurice repoussé par le gardien (2-0, 29e).

Face à une équipe de Vannes dépassée, Maurice enfonce le clou sur un service du serial-passeur Jallet (38e) avant qu'Erding ne renvoie tous ses coéquipiers de cette première période vers une séance réchauffante de balnéothérapie avec un but tout fait, seul face au gardien (4-0, 41e).

Le premier événement de la deuxième mi-temps est le retour de Mateja Kezman sous le maillot parisien après un prêt de quatre mois au Zenit Saint-Petersbourg (Russie). Dès son entrée en jeu, le Serbe s'illustre d'une belle frappe détournée par le gardien breton. Le principal fait d'armes de l'avant-centre avant une ultime tentative au ras du poteau jute avant la fin du match.

Le stade à demi plongé dans le noir

Le second événement se produit à la 67e minute lorsque qu'un des quatre projecteurs du stade Moreau-Desfarges s'éteint juste après un penalty manqué par les Vannetais. M. Bernard, l'arbitre de la rencontre, veut alors interrompre la rencontre mais l'intervention d'Antoine Kombouaré calme les ardeurs du trio arbitral. « C'est bon, ça joue », tonne l'entraîneur parisien, visiblement contrarié. Les débats reprennent donc avec une partie du terrain plongée dans une inhabituelle pénombre.

La lumière reviendra finalement au bout d'un quart d'heure mais n'éclairera jamais le jeu de Parisiens tout heureux de se précipiter dans leur car pour rejoindre leurs coéquipiers dans les bains à remous de leur hôtel. Pour espérer voir des éclairs jaillir sur la pelouse, il faudra attendre dimanche et la venue d'Aubervilliers (CFA2) au Parc des Princes (20h45) en 32es de finale de la Coupe de France.

La fiche du match


PSG - VANNES 4-0 (4-0)
Buts. Giuly (2e), Leuguen (29e,csc), Maurice (38e), Erding (41e).
PSG (1ère mi-temps). Edel - Jallet, Traoré, Baning, Sakho - Giuly, Makelele (cap), Chantôme, Maurice - Arnaud, Erding.
PSG (2ème mi-temps). Grondin, Ceara, Bourillon, Camara, Armand (cap.) - Ngoyi, Clément, Sankharé, Maurice - Luyindula, Kezman.

Bertrand Métayer



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Mateja Kezman signe un retour glacial

Mateja Kezman a de nouveau revêtu le maillot du PSG, hier, près de cinq mois après sa dernière apparition sous les couleurs parisiennes, le 15 août 2009 lors de PSG - Le Mans (3-1). A l’époque, il faisait très chaud et le match était important.
Hier soir, à La Baule, il faisait très froid, la pelouse était gelée, et la rencontre face à Vannes (L2) n’avait aucun intérêt sportif.
Quand Kezman est entré en jeu, après la mi-temps, le match était déjà plié grâce notamment au trio Giuly, Maurice et Erding. L’important était surtout de montrer de la combativité, plus que du beau jeu. Et pour le Serbe, de retrouver (un peu) ses marques aux côtés de Peguy Luyindula. Pour être tout à fait clair, il ne s’est fait remarquer qu’à l’ultime minute avec une jolie accélération, suivie d’un tir trop croisé. Sa dernière course, il l’a gardée pour fuir les micros et foncer se réchauffer dans le bus parisien. Si Kezman n’a rien montré balle au pied, il ne souhaite pas non plus s’exprimer en ce moment. Qu’aurait-il d’ailleurs à dire excepté qu’il est sous contrat avec le PSG jusqu’en juin 2011 ? Il veut évidemment toujours quitter le club de la capitale si une opportunité se présente. Mais pour l’heure, aucune offre, même indirecte, n’est parvenue au PSG ou aux représentants du joueur. Les dernières rumeurs l’envoyant en Grèce, du côté de Salonique, ont même été démenties hier.

« Il faut qu’il comble son retard physique »

Si Antoine Kombouaré voulait surtout jauger la capacité de ses troupes à évoluer sur un terrain très gelé, il n’avait aucune exigence précise avec Kezman. « C’est particulier, explique-t-il. Mateja a fini le championnat russe il y a cinq semaines et il a eu presque un mois de vacances. Même si c’est un grand professionnel, il faut qu’il comble son retard physique. » Kezman sera donc logiquement dispensé du match contre Aubervilliers dimanche au Parc, en 32es de finale de la Coupe de France. Un rendez-vous qui tracasse d’ailleurs plus Kombouaré que le cas Kezman. « Ce soir (hier), les joueurs ne se sont pas plaints sur un terrain difficile, note-t-il. Ils ont recommencé l’année comme ils ont fini 2009, avec un 4-0 (contre Grenoble). Mais rien ne dit que tout ira aussi bien dimanche… »


leparisien.fr

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Ludo Giuly (Attaquant du PSG)
« Ce match ne s'est pas déroulé dans de superbes conditions, mais il était important de s'imposer car nous jouons toutes les rencontres pour cela. Nous avons livré une belle prestation, pour un match de reprise dans le froid et sur un terrain gelé. C'est toujours important de marquer même lors d'un match amical, c'est bien de concrétiser les occasions. C'est bon pour le moral et nous commençons bien l'année. »


PSG.fr
Hari
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J.-E. Maurice : « Une victoire collective »

L’attaquant parisien revient sur la victoire du PSG face à Vannes (4-0) ainsi que sur les prochaines échéances du club.

Jean-Eudes, la fin du stage à La Baule approche… Comment s’est-il déroulé ?

« Le stage s’est très bien passé. On a fait ces quatre jours à fond. Je pense que ce stage a été dur pour tout le monde, mais nous avons tous bien bosser et j’espère que cela portera ces fruits. »


Comment t’es-tu senti lors du match de mardi face à Vannes (4-0) ?


« Ça a été difficile sur un terrain gelé. On a su faire la différence en inscrivant quatre buts en première période. Ça facilite les choses ! D’un point de vue personnel, je marque un but mais c’est d’abord une victoire collective. Ça a été un peu difficile de jouer pendant 70 minutes, mais je commence à retrouver du rythme. »

Ce stage dans le froid est-il bénéfique pour préparer les rencontres de janvier et février ?


« J’espère ! On va déjà préparer le match face à Aubervilliers (dimanche) qui risque de se dérouler dans les mêmes conditions que face à Vannes, sur un terrain gelé. Nous affronterons ensuite Guingamp et Lille, et je pense que ce stage va nous permettre de bien repartir. »


Le PSG va enchaîner trois matches en une semaine. Y en a-t-il un que tu redoutes particulièrement ?

« La rencontre face à Aubervilliers. C’est une équipe de niveau inférieure donc les joueurs vont nous attendre de pied ferme. C’est un match piège qu’il va falloir bien négocier. Il faudra mettre de l’intensité d’entrée, que ce soit un calvaire pour eux. Nous devrons marquer rapidement pour les empêcher de prendre confiance. La rencontre a lieu au Parc, chez nous. Nous sommes archi-favoris donc il va falloir prouver. »

Que peut-on te souhaiter pour 2010 ?


« Marquer des buts et enchaîner les matches ! »


PSG.fr
Hari
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40 ans, enfin l’âge de raison pour le PSG ?

Pour fêter ses 40 ans, le PSG a prévu en 2010 une série de manifestations. Ceux qui ont participé à la création du club parisien racontent les coulisses d’une naissance.



Cette année, le PSG fête ses 40 ans. Un âge qui fait du club de la capitale la quatrième formation la plus jeune de la Ligue 1, derrière Grenoble (1997), Le Mans (1985) et Montpellier (1974). Les Girondins s’apprêtent à célébrer leur 129e anniversaire, Marseille ses 111 ans et Lyon ses 60 ans. Né le 12 août 1970, une date d’ailleurs contestée par certains, le PSG, à l’échelle du football français, n’est donc qu’un grand enfant.
Mais un enfant dont beaucoup envient la popularité !

Le faste des décennies 1980 et 1990

Pierre-Etienne Guyot et Guy Crescent, les pères fondateurs, peuvent se féliciter d’avoir donné à Paris un grand club. Les décennies 1980 et 1990 notamment sont fastes. A cette époque, le PSG accumule les titres : cinq Coupes de France (1982, 1983, 1993, 1995, 1998), deux Coupes de la Ligue (1995, 1998), deux titres de champion de France (1986, 1994) et un titre européen (Coupe d’Europe des vainqueurs de Coupe en 1996).
Un enfant doué donc, mais parfois bien turbulent. La trentaine ne lui réussit pas : les crises à répétition ont remplacé les titres (seulement deux Coupes de France en 2004 et en 2006, une Coupe de la Ligue en 2008, et vainqueur de la Coupe Intertoto en 2002). Les années 2000 signent la fin d’un cycle. Au fil des saisons, Paris perd ses lettres de noblesse et frôle même la relégation à deux reprises (2007 et 2008).
Une nouvelle décennie s’ouvre désormais pour le PSG. Cet anniversaire sera d’ailleurs célébré en grande pompe par le club. Comme une envie de tourner enfin une page, d’écrire une nouvelle histoire plus paisible et glorieuse. Quarante ans, enfin l’âge de raison ?

Sylvie De Macedo


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Débat sur un acte de naissance

Le PSG a quarante ans. Peut-être plus, peut-être moins. Les avis divergent et trois courants s’affrontent.

Pour les historiens, il a été fondé en 1904.
L’historien Thierry Berthou estime que le PSG aura 106 ans en juin prochain car il n’est que la prolongation du Stade sangermanois, fondé en 1904. En 1970, il évoluait en Troisième Division et s’est transformé avec l’arrivée des investisseurs du PFC.
Selon lui, changer de nom n’entraîne pas la naissance d’un nouveau club. Quand un club se crée, il débute forcément tout en bas de la hiérarchie. Or, en 1970, le PSG joue ses premiers matchs en Deuxième Division.

Officiellement, il a 40 ans. En 1991, Canal +, le nouvel actionnaire, décide que le club est né le 27 août 1970, jour de la publication des statuts du club au « Journal officiel ». Seul problème, à cette date, le PSG avait déjà disputé son premier match officiel. Pas très logique… Alors, en 2000, les dirigeants optent pour le 12 août 1970, correspondant au dépôt des statuts du nouveau club à la préfecture de police. « Si on veut prendre la fusion de 1970 comme référence, c’est la date du 26 juin 1970 qui est la plus significative, estime Thierry Berthou. Elle correspond à l’assemblée générale extraordinaire nommant le nouveau bureau, mélange du PFC et de Saint-Germain. »

Sous l’ère Borelli, il était né en 1973.
Durant sa présidence entre 1978 et 1991, Borelli avait retenu 1973 comme date de fondation car il estimait que son arrivée aux côtés de Daniel Hechter, Charles Talar et Jean-Paul Belmondo, avait non seulement sauvé le club mais lui avait aussi donné sa véritable identité. Car cette année-là, le PSG FC devient le PSG tout court.

L.P.


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Un large programme de célébrations

A l'occasion de son quarantième anniversaire, le club de la capitale a mis au point tout un programme de festivités. En voici le détail.

Une émission sur NRJ 12 dès janvier
Le 18 janvier, un programme quotidien d’une heure (de 19 heures à 20 heures) sur le PSG sera diffusé sur NRJ 12. Les dirigeants parisiens se sont ainsi associés à une chaîne de la TNT, accessible à tous les Franciliens, afin d’offrir à l’équipe professionnelle, au centre de formation mais également à la fondation PSG une exposition médiatique d’envergure.

Un documentaire en juin
La société de production Elephant & Cie d’Emmanuel Chain finalise actuellement un documentaire sur l’histoire du PSG. Ce film, d’une heure et demie environ, traitera des épisodes marquants du club depuis sa création à travers les témoignages d’anciens joueurs ou dirigeants. Il sera retransmis en juin sur Canal +, puis commercialisé en DVD. Les dirigeants parisiens espèrent également organiser des Nuits du PSG au cours desquelles le documentaire serait projeté dans des salles de cinéma à Paris et en Ile-de-France.

Un maillot rouge la saison prochaine
En juin, le PSG et Nike lanceront le maillot de la saison 2010-2011 qui s’inspirera de celui porté par les Parisiens en 1970-1971, autrement dit un maillot rouge au col et aux manches bleues à bandes blanches.

Un tournoi de foot fin juillet
En mars, le club proposera une offre d’Urban Football au sein même de l’enceinte du Parc des Princes. Le PSG va également organiser, lors du dernier week-end de juillet, le Tournoi de Paris. Un événement qui n’avait plus eu lieu depuis 1993. Le club aimerait y inviter quatre grandes équipes européennes, dont une portugaise (Porto ou Benfica), une espagnole, italienne ou anglaise.

Une cérémonie à l’automne
La grande fête d’anniversaire devrait avoir lieu la saison prochaine, certainement en octobre au Parc des Princes, à l’occasion d’un match. Par ailleurs, le PSG réfléchit également à mettre sur pied une action sociale auprès des jeunes Franciliens, éventuellement sur le thème de l’intégration.

S.D.M.


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« Mon émission a servi de déclic »
PIERRE BELLEMARE, ex-animateur d’Europe 1


Le 1er Février 1970, Pierre Bellemare lançait sur les ondes d’Europe 1 un appel en faveur de la création d’un grand club de football à Paris. Quarante ans plus tard, le célèbre animateur revient sur la genèse de cette initiative.

Avez-vous conscience d’avoir contribué à la création du PSG ?

Pierre Bellemare. Pendant longtemps, je ne me souvenais plus que tout était parti d’Europe 1.
Et il y a un ou deux ans, quelqu’un m’en a reparlé. J’espère que d’autres choses resteront de ma carrière (rires) . Je suis plus fier d’avoir aidé à la création de blocs opératoires pour opérer des enfants à coeur ouvert. Mais je me rappelle bien des circonstances de l’époque. Il y avait un gros blocage pour la création d’un club à Paris. Et on nous a demandé un coup de main.

Pourquoi ?

L’émission s’appelait « Vous êtes formidables ». Elle était diffusée le mardi soir à 20 heures et avait une audience considérable. Le but était de livrer un problème à l’antenne et de demander aux auditeurs de le résoudre. Cette fois-là, nous avions consacré toute l’émission au football à Paris. L’émission a servi de déclic pour créer le club. Ensuite, je me suis rendu plusieurs fois au Parc des Princes. J’étais même un peu supporteur. Mais l’époque a bien changé…

Aviez-vous déjà parlé de football à l’antenne ?

Absolument. Quelques années plus tôt, Le Havre, le plus vieux club de foot de France (NDLR : fondé en 1872) , était menacé de disparition en raison de problèmes financiers. A la suite de l’émission, le club havrais a été sauvé. C’est pourquoi des gens qui voulaient fonder un club à Paris nous ont demandé de refaire le même coup.

Si le PSG vous invitait pour commémorer les 40 ans, iriez-vous au Parc ?

Avec grand plaisir. Cela me rapprocherait de ma belle-mère qui vit à 200 m du Parc. A cause des nuisances les soirs de matchs, le PSG lui offre deux places chaque année. Mais elle n’y va jamais. Il faut dire qu’à 95 ans on n’est pas très motivée par le foot (rires énormes) !

Propos recueillis par Christophe Bérard


Citation
« J’ai été l’un des pionniers »
JEAN DJORKAEFF, capitaine du PSG FC de 1970 à 1972


« J’étais en fin de contrat avec Marseille. A l’été 1970, Guy Crescent, le vice-président du PSG FC, m’a contacté. C’était un personnage atypique, un gars extraordinaire, animé d’une grande passion pour le foot. A l’époque, j’étais international français. Je prenais donc le risque de perdre ma place chez les Bleus si je jouais pour un club qui évoluait en Division 2.
J’ai hésité. Je ne savais pas où je mettais les pieds. Mais Crescent s’est montré très persuasif. Je ne regrette pas. J’ai vécu deux années extraordinaires. Marseille était une ville qui vivait pour le foot. A Paris, ce n’était pas encore le cas. Tout était à construire. Nous disputions nos matchs au camp des Loges ou au stade Jean-Bouin. Les équipements étaient assez vétustes. Cette équipe ne comptait que cinq joueurs professionnels. L’ambiance dans l’équipe était fantastique. Le PSG, c’était notre bébé. Entre joueurs, les liens étaient très forts. A l’issue de chaque match, nous allions tous dîner. On parlait de foot, on discutait des mesures à prendre pour faire grandir le club. Je suis évidemment très attaché au PSG parce que j’ai participé à sa création. J’ai été l’un des pionniers. »

Propos recueillis par S.D.M.

Citation
« Nous étions plein d’espoir »
GUY ADAM, simple supporteur à l’origine, devenu dirigeant du club


« En 1970, Pierre-Etienne Guyot (NDLR : vice-président du Racing Club de France) et Guy Crescent (patron d’un groupe de transport Calberson) voulaient sortir le football francilien du marasme dans lequel il se trouvait depuis des années et donner à Paris un club digne de ce nom. Ils ont créé le Paris FC. Mais pour que ce club existe, il fallait qu’il puisse se reposer sur une équipe d’amateurs.
Le stade saint-germanois a été choisi. A l’été1970, les deux structures ont fusionné et donné naissance au Paris-Saint-Germain Football Club, qui jouera en Deuxième Division dès la saison 1970-1971. J’ai aussitôt adhéré à ce projet. J’organisais notamment les déplacements. Nous étions plein d’espoir. Puis, il y a eu la Nuit du méridien en 1972 (le PSG FC s’est divisé en deux : le Paris FC d’un côté, qui garde la section professionnelle, le PSG de l’autre, qui conserve les amateurs). Le PSG tombe alors en Troisième Division. J’ai pris un grand coup derrière la tête, mais j’ai continué à supporter le club. Dès 1973, grâce à l’aide de Borelli, d’Hechter, Talar et de Belmondo, le club remonte en D 2 puis en D 1 l’année suivante. C’est la deuxième naissance de Paris. »

Propos recueillis par SDM


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« Les joueurs étaient accessibles »
DANIEL GERMON, supporteur depuis la création du club


«J’habitais porte de Clignancourt, à Paris. Pour assister à des matchs, j’allais voir le Red Star à Saint-Ouen.
J’avais 23 ans. Quand j’ai entendu l’appel de Pierre Bellemare à la radio, j’ai tout de suite répondu. On s’est retrouvés à 16 000 cotisants. Nous avons tous versé 40 F de l’époque pour constituer le premier capital du club.
Je me souviens du premier match officiel. C’était au camp des Loges car le Parc des Princes était encore en construction. Les maillots étaient rouges avec des shorts blancs et des chaussettes bleues. Ensuite, on a même joué à Jean-Bouin, juste en face du Parc, là où évolue maintenant le Stade Français !
Pour le PSG, j’ai fait beaucoup de bénévolat. J’ai tenu la buvette et vendu des tickets de tombola. Les joueurs venaient en majorité de Saint-Germain-en-Laye et étaient complètement accessibles. Ça change de maintenant… Dès la première saison, on organisait des repas de sections de supporteurs et les joueurs venaient manger avec nous. J’étais responsable du 9e secteur, qui regroupait les supporteurs qui habitaient le XVIIIe arrondissement. En quarante ans, je n’ai jamais lâché club. »

Ch.B.


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Coupe de France
Aubervilliers ne change rien


Au repos hier, les amateurs d’Aubervilliers (CFA 2) se retrouveront ce soir pour leur troisième séance de la semaine, à trois jours de leur déplacement au Parc des Princes . L’entraîneur Abdellah Mourine (35 ans), adepte de la psychologie et de la préparation mentale, ne dérogera pas à sa ligne de conduite. « Je ne changerais pas ma façon de travailler parce qu’on affronte le PSG », prévient-il.
En poste depuis 2005, il n’a ainsi pas prévu de séance vidéo ni de travail tactique en fonction des spécificités du jeu parisien. Mardi soir, sur un terrain gelé, il a répété des exercices de placement avec ses défenseurs pendant que les joueurs offensifs enchaînaient les frappes de balle. « Je n’ai même pas encore vu de matchs du PSG et je ne sais pas si je le ferais, poursuit Mourine. Je raisonne en fonction de mon équipe, pas du PSG. Je n’ai pas envie de donner mal à la tête à mes joueurs en me focalisant uniquement sur le PSG. Le meilleur moyen d’éviter le stress, c’est de faire comme d’habitude. »
Le jour du match, Mourine a ainsi fixé l’heure du rendez-vous à 18 h 30 à Aubervilliers. « En fonctionnant autrement, on aurait été hors-sujet, approuve l’attaquant Nacer Lamamiri. A part nos trois ex-pros (Marlet, Boulila, Doukantie), personne chez nous n’a déjà connu une mise au vert. On a tous nos habitudes, on se lève et on se couche plus ou moins tard, donc ce n’est pas plus mal de ne rien changer. »

Laurent Pruneta


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Fausse alerte pour Camara

Hier, lors de la dernière journée du stage des Parisiens à la Baule, Zoumana Camara a interrompu l’entraînement cinq minutes avant la fin, se plaignant de la jambe gauche. L’inquiétude était vive après la longue absence du défenseur central (de juillet à novembre) à cause d’une phlébite au mollet. Finalement, l’ex-Stéphanois a simplement ressenti une douleur à l’orteil gauche.
Une blessure sans conséquence, assure-t-on au club. Camara et ses coéquipiers ont donc quitté La Baule hier soir après un footing dans la forêt d’Estoublac en matinée, et une opposition dans l’après-midi. De retour à Paris, Edel doit, aujourd’hui ou demain, porter plainte contre Nicolas Philibert, son ancien entraîneur qui l’accuse d’avoir changé de nom et d’âge (28 ans au lieu de 23). La Fédération camerounaise a en effet envoyé des documents prouvant la bonne foi du gardien parisien et retraçant son vrai parcours.

Ch.B. et S.D.M.


leparisien.fr
Baghib!
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Foot - Coupe

Le PSG s'est fait une raison


Après avoir menacé d'aligner son équipe réserve contre Aubervilliers, dimanche, en raison de la programmation du match à 20h45, le PSG s'en remet à Kombouaré. A qui il a été demandé de qualifier le club pour les 16es.

C'était le 18 décembre, juste après la programmation du match PSG - Aubervilliers en clôture des 32es de finale de la Coupe de France, ce dimanche à 20h45. « S'il faut faire jouer l'équipe de CFA le dimanche et les pros le mercredi, on le fera. » Philippe Boindrieux, le directeur général, se disait prêt à employer la manière forte pour faire respecter le droit de son équipe à avoir trois jours de repos complet avant le Guingamp - PSG de Coupe de la Ligue programmé mercredi après-midi (8es de finale).

Depuis, de la neige est tombée et de l'eau a coulé sous les ponts. Si « rien ne dit que ce sera l'équipe-type » souffle-t-on au Parc des Princes, la décision de brader ou pas le match appartient désormais au seul Antoine Kombouaré. « Le coach réfléchit à l'équipe qu'il va mettre et il en parlera à sa conférence de presse, nous a déclaré le directeur de la communication du club, Bruno Skropeta. C'est le coach qui gère le sportif. Et quand on a dit ça à l'époque, c'était en accord total avec lui. » Avant de partir en vacances, le président Robin Leproux avait cependant indiqué que son club jouerait la qualification lors des deux matches. En gros : qu'il n'en sacrifierait aucun pour faire passer son humeur. « Le PSG ne va pas saborder la Coupe de France » confirme Bruno Skropeta. Pour un huitième de finale de la Coupe de la Ligue, ce serait assez peu défendable, quitte à donner l'impression de se déballonner. « Ce n'est pas la question, nous répond Philippe Boindrieux. C'est simplement que c'est à l'entraîneur de faire ses choix avec deux matches très rapprochés. »

Le PSG estime être le grand perdant de l'histoire

Qu'il n'aille pas au bout de son idée initiale ne signifie pas que le PSG a décoléré. « On n'apprécie toujours pas l'horaire ni la façon dont ça s'est déroulé » confirme Bruno Skropeta. « On voulait faire de ce rendez-vous une belle fête francilienne, avec des enfants dans le stade. L'horaire du coup d'envoi fait que ça ne sera pas possible », regrette Philippe Boindrieux. « Le terrain sera gelé et il n'y aura pas une foule énorme, abonde le porte-parole du club. Un dimanche à 15 heures, on pouvait imaginer avoir tous les enfants et 25 à 30 000 personnes. Là, ce sera énorme s'il y en a 15 000. » Le PSG se définit comme « le grand perdant de l'histoire » après avoir inversé l'ordre du match et assumé les frais qui vont avec.

Dans ce dossier, le club s'est senti parfaitement impuissant face à la volonté commune de la FFF et du diffuseur, Eurosport. « Nous sommes obligés de nous incliner », regrette Bruno Skropeta. « On nous explique que même si ce n'est qu'Aubervilliers -et je dis ça sans manquer de respect à ce club- l'affiche, en terme d'audiences, est toujours plus intéressante qu'un Monaco-Tours par exemple, lâche Philippe Boindrieux. Au-delà, c'est hallucinant. Ça fait quatre ans que je suis dans le foot, quatre ans que j'entends qu'il faut moins jouer l'hiver ; Or, systématiquement, on nous colle deux matches par semaine en janvier-février. Tant qu'on aura un L1 à 20 clubs avec une Coupe de la Ligue à jouer, on n'y arrivera pas.» La FFF pourra toujours rétorquer que ce problème n'est pas le sien mais celui de la LFP. - Cé. Ro. et E. T.
lequipe.fr
Hari
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Le PSG ne fait plus rêver les clubs d’Ile-de-France

Sentiment de gâchis, incompréhension, passion déclinante… Avant PSG - Aubervilliers dimanche en Coupe de France, la majorité des dirigeants ou entraîneurs des clubs d’Ile-de-France dresse un constat sévère sur la politique du club de la capitale depuis quelques années. Morceaux choisis avec les acteurs du foot « d’en bas » de la région parisienne.

Une instabilité qui dérange. « Chaque saison on espère un renouveau, mais on est à chaque fois déçus », constate Thierry Aimé (Ozoir-la-Ferrière). L’instabilité dans les sphères dirigeantes et les résultats en dents de scie du PSG ont découragé les plus fidèles qui se désespèrent de « revivre la grande période des années 1990 ». « Plus jeune, j’étais un vrai supporteur, mais ma ferveur est redescendue à cause des résultats », reconnaît Chaïb Daoud (Le Mée). « On est le seul pays d’Europe où le club de la capitale n’a pas un standing digne de la ville, déplore Jean-Louis Gautheron (Montgeron). Ils ont une grosse affluence, des moyens, mais ils n’arrivent pas à avoir quelque chose qui se pérennise. » « Le PSG, c’est comme Ben Arfa : on sent qu’il y a de la capacité, mais on est toujours déçus », ironise Jean-François Niangui (Noisiel). La « frilosité » et le « manque de lisibilité » de l’actionnaire Colony Capital sont aussi largement épinglés. « On est déçus de son manque d’investissement dans le recrutement, regrette Benamar Daoud (Corbeil). Cela fait trop longtemps qu’on n’a pas vu un grand PSG sur le long terme. »

Une équipe peu charismatique. Si les Raï, Valdo, Ginola ou Weah ont marqué leur époque, ils n’ont pas trouvé leurs successeurs. « Le PSG a des noms, mais c’est une équipe ordinaire qui va finir en milieu de tableau », assure Sébastien Penchemel (Linas-Montlhéry). Jean-Claude Sadou (Les Ulis) est plus sévère : « Aujourd’hui, aucun joueur du PSG ne peut être titulaire dans un grand club européen. Paris est devenu une maison de retraite… Tu as le droit de te tromper sur une ou deux saisons, mais là, ça dure depuis 1996… » « Dans les années 1990, le club avait des noms mais n’était pas très structuré, note Eric Michel (Antony). Depuis, les infrastructures se sont améliorées. Maintenant, il faudrait trouver un panachage entre les deux aspects. »

Une image écornée. Marc Vincenti (Lagny) déplore « la mauvaise image donnée par les hooligans et le racisme » autour du club phare de la région. Si beaucoup considèrent « l’arrivée d’un formateur comme Antoine Kombouaré très positive », certains regrettent le manque d’ouverture du PSG. « Il ne fait pas assez attention à tous les petits clubs autour de lui », considère Laurence Demosthene (Savigny-sur-Orge). Même l’action de la Fondation PSG n’échappe pas aux critiques. « Ça marche très bien, mais je trouve les joueurs pas très accessibles lorsqu’on participe en fin de saison à une journée spéciale au Parc. Ils sont très distants avec les supporteurs », lance Laurent Charpentier (Ville d’Evry). « J’admire le PSG, mais autant Paris est la capitale de la France, autant l’OM reste la capitale du football », appuie Philippe Tettamanti (Fontainebleau).

Des partenariats contestés.
La politique de formation du PSG en direction de la banlieue est souvent critiquée, même si Eric Michel (Antony) considère que « le club est de plus en plus rassembleur » et apporte un signe fort « en alignant régulièrement les Sakho, Sankharé, Chantôme, Ngoyi, tous issus de la banlieue ». Abdenor Touil (Vincennes), dont le club a signé un accord avec… le FC Nantes, ne partage pas cet avis. « Le PSG ne se sert pas de la richesse qui peut exister dans la région parisienne. Mis à part des partenariats bidons, il ne fait pas grand chose pour la banlieue… » Il est rejoint par Charles Kissy (Saint-Brice). « En banlieue, on a cette image d’un club qui vient piller les meilleurs 13-17 ans pour ne jamais leur laisser leur chance en Ligue 1 à l’arrivée », considère-t-il. Enfin, Thierry Kilgus (Garges) n’a guère apprécié le manque de dialogue des dirigeants parisiens alors que les deux clubs étaient partenaires : « Nous étions club filiale du PSG. Ce partenariat, où nous n’avions qu’à donner nos meilleurs jeunes, a été interrompu sans aucune explication, par le biais d’une simple lettre. »

Laurent Pruneta



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Philippe Séguin, sa passion du foot et du PSG

Le 5 janvier 2008, Epinal reçoit le PSG en 32e de finale de la Coupe de France. Une forme de déchirement pour Philippe Séguin, fan de foot, supporteur de longue date du PSG mais maire d'Epinal de 1983 à 1997. La veille de la rencontre, le président de la Cour des Comptes, qui vient de décéder le jeudi 7 janvier, avait affirmé, dans les colonnes du Parisien-Aujourd'hui en France, qu'il ne supporterait « aucune (équipe) ou alors les deux.
Avec peut-être une petite préférence pour Epinal ». Une infidélité passagère au Paris-Saint-Germain, son club de cœur.

Il avait une « télé près de sa baignoire pour regarder Téléfoot »

Supporteur du PSG, Philippe Séguin était aussi un acteur du football français. Depuis janvier 2008, il était le président de la commission Grands stades en vue de la candidature de la France à l'Euro 2016 et président de la fondation du football à la FFF. Michel Denisot l'avait vu récemment lors des réunions de cette fondation. Mais le présentateur du Grand Journal sur Canal + l'avait bien évidemment côtoyé quand il était président du PSG (1991-1998) : « Philippe Séguin avait un avis toujours intéressant à écouter. Il recadrait aussi souvent l'histoire du PSG et il était très intéressé par la vie du club. C'était quelqu'un qui avait un avis compétent sur le foot mais il réagissait en simple supporteur », explique Michel Denisot. « Il était très assidu et ratait vraiment très peu de match […] Sur le foot, il était intarissable. Je me souviens d'une anecdote. A une époque, il avait une télé près de sa baignoire pour pouvoir regarder Téléfoot le dimanche matin quand il prenait son bain ».

Philippe Séguin : « un grand club comme le PSG ne meurt jamais. »

Président du PSG de 2006 à 2008, Alain Cayzac s'est également souvent assis à côté de Philippe Séguin dans les tribunes du Parc des Princes. Il se souvient d'un homme discret. « On pouvait passer une heure et demi à regarder un match et ne pas échanger un mot. Il était dans le match […] Il avait ses points de vue comme tout le monde mais il ne les exprimait pas. C'était l'anti café du commerce. Ce n'était pas quelqu'un qui refaisait le match, qui disait « Untel a été nul, il ne faut pas le mettre... ». Jamais. Il était d'une pudeur, d'une discrétion et d'une humilité formidable », confie l'ancien président parisien.

Avant le match entre Epinal et le PSG, Philippe Séguin avait quand même commenté la situation alors difficile de Paris en championnat : « La vie d'un club, ce n'est jamais un long fleuve tranquille. Il y a des hauts et des bas. Mais un grand club comme le PSG ne meurt jamais. »

Guillaume Georges


leparisien.fr
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Rothen sur le marché


Jérôme Rothen, conscient de son échec à Glasgow, espère rebondir pour les six derniers mois de la saison.


Jérôme Rothen, prêté jusqu'à la fin de saison aux Glasgow Rangers par le Paris-SG, est cherche un club. Dans un entretien accordé à L'Equipe, vendredi, il indique que son entraîneur Walter Smith a été clair avec lui sur le fait qu'il devait se trouver un club lors du mercato d'hiver.

« Je n'ai plus joué depuis le 20 octobre et la défaite des Rangers contre Unirea Urziceni (1-4), regrette le gaucher, âgé de 31 ans. J'avais pourtant été élu meilleur joueur de mon équipe par les supporters.» De façon générale, Rothen considère comme «un gros point d'interrogation» l'attitude du club écossais à son égard. «J'ai joué huit matches sous les couleurs de Glasgow cette saison, j'ai été élu homme du match à trois reprises, tout en évoluant côté droit, jamais à mon poste. Mais les Rangers ont 35 millions d'euros de dettes et doivent faire des économies» dit-il. Cette expérience est «un échec» reconnaît Rothen.

L'ex-international dit avoir «des pistes» mais préfère ne pas communiquer dessus avant qu'elles soient concrètes. Il nie en revanche fermement que l'une d'entre elle soit un retour au Paris-SG. «Contrairement à ce que j'ai entendu ou lu, je n'ai jamais demandé au PSG de me reprendre. Et puis, les dirigeants parisiens ont été clairs : mon retour n'est pas envisageable.»


lequipe.Fr
Dante
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Edel a porté plainte
Sylvie De Macedo | 08.01.2010, 07h00

Enfin ! Trois semaines après le début de « l’affaire Edel », le gardien de but du PSG a déposé plainte hier contre Nicolas Philibert, pour diffamation, auprès du tribunal d’instance de Paris. Le club de la capitale doit en faire autant dans les prochains jours.
A la mi-décembre, l’ancien entraîneur d’Edel au Cameroun avait affirmé que le joueur mentait sur son âge (il aurait 29 ans et non pas 23 ans) et sur son identité.
« Edel m’a contacté peu avant Noël et m’a demandé de prendre en main l’affaire, explique son avocat, Maître Christophe Bigot, spécialiste des affaires de diffamation. J’ai aussitôt demandé à la Fédération camerounaise de nous envoyer tous les documents prouvant qu’il avait bien 23 ans. A savoir le suivi de toutes ses licences qui montrent qu’il n’y a aucune zone d’ombre ni matière à se poser de question. Nous avons officiellement déposé plainte aujourd’hui (NDLR : hier). »
Un juge d’instruction va désormais être nommé. Celui-ci convoquera Nicolas Philibert qui pourrait alors être mis en examen. L’affaire pourrait ensuite être renvoyée devant le tribunal correctionnel. La procédure durera un an avant qu’un éventuel procès ait lieu.

« Un homme déterminé à aller jusqu’au bout »


« Je n’ai senti aucune hésitation de la part d’Edel. Lorsqu’il est venu la première fois à mon cabinet, j’ai vu un homme parfaitement déterminé à aller jusqu’au bout pour que la vérité soit rétablie, assure Maître Bigot. A mes yeux, d’un point de vue purement juridique, les accusations portées contre le joueur sont très graves et ne se fondent sur rien. Dès qu’Edel est devenu titulaire, cet homme a commencé à l’accuser de mentir et à réclamer de l’argent. C’est curieux, non ? Mais au regard des documents que nous avons en notre possession, il n’y a aucun doute sur l’âge. » Après cette première plainte en diffamation, Edel pourrait en déposer une seconde très rapidement car Nicolas Philibert lui réclame 30 000 €.


Le Parisien
Baghib!
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Foot - Coupe

Marlet, ça va mieux


Touché aux ischio-jambiers, Steve Marlet a effectué jeudi un test rassurant à trois jours du match que son équipe, Aubervilliers (CFA2) va jouer à Paris en 32e de finale de la Coupe de France. L'ancien Lyonnais, sur lequel son entraîneur était pessimiste en début de semaine, voit ses chances de jouer croître. «C'est encore du 50-50. Je prendrai ma décision samedi», a indiqué à L'Equipe l'ex-international, qui fêtera ses 36 ans le jour du match.
lequipe.fr
Dready14
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Foot - Coupe - PSG
S. Traoré : «Match piège»


Pour préparer leur 32e de finale de Coupe de France contre Aubervilliers, dimanche (20h45), les joueurs du Paris-SG ont dû s'exiler vendredi sur un terrain synthétique proche du Parc des princes, tous les terrains d'entraînement étant gelés et la pelouse du Parc elle-même protégée par une bâche et une soufflerie pour la préserver du gel. Au programme, une petite séance de 45 minutes (ateliers physiques puis travail devant le but) dans le froid, où tout le monde a participé.

«Les dirigeants ont pris les mesures nécessaires pour que la rencontre ait lieu mais nous, joueurs, on sait que l'on aura des conditions difficiles», a commenté Sammy Traoré. «C'est le match piège», a ajouté le défenseur du PSG. Aubervilliers «possède des ex-pros qui amènent de l'expérience. Jouer le PSG au Parc des Princes va les galvaniser. Les conditions avantageront plutôt Aubervilliers: à nous d'élever notre niveau de combativité et d'envie pour passer ce tour», a-t-il dit. Antoine Kombouaré avait déjà protesté cette semaine contre l'horaire du match, estimant que c'était «une aberration» de jouer si tard un soir d'hiver. (Avec AFP)


lequipe.fr
whynot
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S. Traoré : « Un match piège »

Originaire de Créteil (94), le défenseur parisien nous parle de son plaisir d’affronter une équipe de la région parisienne, Aubervilliers, dimanche au Parc des Princes.

Sammy, n’es-tu pas inquiet par rapport à la tenue du match de ce dimanche face à Aubervilliers ?

« Ca va être difficile mais je pense que les dirigeants ont pris les mesures nécessaires. Ca devrait être jouable, mais dans des conditions vraiment difficiles. Si le terrain est gelé, il y a des possibilités de blessure. Mais si la pelouse est praticable, il y aura juste le froid à oublier. »

Comment le groupe aborde-t-il ce match ?

« C’est un match piège. Aubervilliers est une bonne équipe donc il faudra s’en méfier. S’ils sont invaincus en championnat, ce n’est pas un hasard. Il y a des anciens pros dans l’équipe. J’en connais quelques-uns donc je sais que ce ne sera pas facile. C’est une grande chose pour eux d’affronter le PSG au Parc, il faudra donc être attentif. On les respecte, mais on doit se qualifier. »


Connais-tu certains joueurs de cette équipe ?

« Oui. Je connais bien Vincent Doukantie, avec qui j’ai joué en équipe nationale (Mali). Je connais également Steve Marlet et l’entraîneur Abdellah Mourine que j’ai déjà affronté. Connaissant le personnage, j’ai une idée des valeurs qu’il inculque à ses joueurs. Ca a toujours été un gagnant, et il transmet cet état d’esprit à son groupe. »

N’as-tu pas peur d’une éventuelle élimination ?

« Je n’ai peur de rien. Ca reste du football. Après, on va sûrement jouer sur un terrain difficile. Je pense que ça va avantager l’équipe d’Aubervilliers. A nous d’élever notre niveau, de mettre de l’engagement et de montrer notre envie de passer ce tour. Au niveau du jeu, nous sommes supérieurs à cette équipe, malgré tout le respect que nous avons pour eux. »

Toi qui es originaire de Créteil, ce match doit te tenir à cœur…

« Je suis content de jouer contre une équipe de la région parisienne. Pour tout vous avouer, j’aurai même aimé jouer à Auber. ! Il y a un fort engouement là-bas. Ca aurait été intéressant d’évoluer dans un stade plein, avec beaucoup de pression. Pour avoir joué beaucoup de matches dans la région parisienne, je peux vous dire que ça aurait été sympa. »
psg.fr
Hari
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Younousse Sankharé : « Les jeunes nous voient comme des pionniers »

Le jeune Parisien, 20 ans, est un enfant de la Seine-Saint-Denis. Viscéralement attaché à ses racines, il se confie.


De quelle banlieue venez-vous ?


Younousse Sankharé. J’ai grandi à Pierrefitte, dans le 93. Jusqu’à 12 ans, j’habitais dans la Cité-Rose. C’était un peu chaud.
Mes parents y vivent toujours et j’y reviens très fréquemment.

Enfant, quelle image aviez-vous du PSG ?

C’était le club phare de la région et c’était surtout un immense honneur quand on les affrontait. J’ai joué contre le PSG en benjamins dans notre stade Roger-Fréville. On voulait tous se faire remarquer. Le PSG, c’était le rêve.

Quel regard portent les jeunes de votre cité sur votre parcours ?

Ils nous voient comme des pionniers. Aujourd’hui, il y a Sakho, Ngoyi ou moi. Mais, à notre arrivée au PSG, il n’y avait pas beaucoup de jeunes issus des banlieues dans le groupe pro. On leur démontre que c’est désormais possible de venir d’une cité et de porter le maillot parisien. A chaque fois, je dis aux gamins : « Croyez en vos rêves. » Maintenant, je refuse d’être un modèle : je ne me suis pas encore imposé au PSG et j’ai encore beaucoup à prouver.

Est-ce plus difficile pour un jeune de banlieue parisienne d’intégrer le centre de formation du PSG ?


Non, mais il faut immédiatement se mettre dans le moule et respecter les consignes. Je n’avais pas non plus les écouteurs en permanence branchés sur les oreilles quand les éducateurs me parlaient.
Ce sont des petits détails mais c’est important d’y penser.

Le match de demain contre Aubervilliers est-il un symbole pour vous ?


C’est surtout un symbole pour les gens d’Aubervilliers. Pour moi, c’est un match à gagner. Je suis parisien maintenant (sourires) !

Propos recueillis par Christophe Bérard



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Ce que fait le PSG pour la banlieue


Le club de la capitale n’est pas très populaire en Ile-de-France, surtout auprès du foot amateur (voir nos éditions d’hier). « Certains clubs estiment que nous ne faisons rien. On nous reproche de ne pas aider assez, de ne rien faire pour les jeunes Franciliens, regrette-t-on au PSG. Mais que pouvons-nous faire de plus ? Nous sommes vraiment très présents dans la région.»

Etat des lieux.

99 % de Franciliens au centre de formation. Sur la soixantaine de jeunes évoluant actuellement au centre de formation du PSG, 99 % sont originaires d’Ile-de-France. Mais peu parviendront à éclore en Ligue 1. En trente-cinq ans, seulement 70 jeunes formés à Paris ont disputé au moins un match en L 1. « Parvenir jusqu’à l’élite du football est très difficile, explique Bruno Skropeta, directeur de la communication du club parisien. C’est pour cette raison que nous nous concentrons aussi beaucoup sur leur scolarité. L’année dernière, le taux de réussite au bac au sein de l’effectif de la formation était de 88 %. »

13 000 jeunes participent à des opérations. La Fondation PSG, à qui le club donne une subvention annuelle de 800 000 €, finance 140 opérations sociales par an : insertion professionnelle des jeunes en grande difficulté, animation sportive dans les quartiers difficiles, soutien aux enfants malades… Les joueurs professionnels du PSG ne participent qu’à une douzaine de ces opérations. Les actions phares menées par le club sont : les Journées PSG (auxquelles 3 000 enfants sont conviés chaque année), les challenges du foot (menés au sein d’une dizaine de collèges des Yvelines), des stages d’une semaine au centre de formation du PSG ou encore l’accueil de 3 200 jeunes au Parc des Princes dans le cadre du championnat régional interquartiers. Sur une saison, les opérations de la Fondation PSG touchent ainsi 13 000 enfants ou adolescents franciliens.

25 clubs partenaires en Ile-de-France. Le PSG offre un millier de places par match à la Ligue Paris et de l’Ile-de-France, permettant ainsi d’inviter au Parc des Princes des entraîneurs ou joueurs du foot amateurs. Par ailleurs, cette année, Paris a noué des contrats de partenariat avec 9 clubs franciliens et 16 clubs parisiens.

Sylvie De Macedo


leparisien.fr
furet
Je me permets de mettre ici un petit résumé du numéro de Capital de ce mois-ci. Comme a chaque fois il y a une double page intitulée «les petits secrets de...» Et cette fois Ça tombe sur S. Bazin (mon papa comme chacun sait). Désolé si les modEs estiment que Ça n'a pas sa place icic.
Je fais une restranscription uniquement de la partie qui concerne le PSG

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il dit que le club c'est «5% de son temps, 95% de ses ennuis»
On apprend que quand il est arrivé au club en 2006 il pensait mettre la main sur le Parc avec l'idÉe de construire un complexe immobilier autour: des bureaux, une crèche, des retaurants...
Malheureusement rien ne s'est passé comme prévu:
- Taillibert renacle à accepter à ce que l'on touche au Parc
- le terrain de la rue Claude Farrère ou CC avait l'intention de construire un parking n'a toujours pas pu être acquis
- Delanoe a lancé un appel d'offre public pour un bail longue duré sur le stade. D'ailleurs Bazin au rait répondu «Nous ne serons peut-être pas candidats». Info ou intox ?

Sinon son fils Martin est un inconditonnel du club et fait des déplacement avec les ultras, notamment à Marseille.
whynot
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Avec les meilleurs

Le Paris-SG, qui avait menacé fin décembre d'affronter Aubervilliers (CFA2) avec son équipe réserve, pour protester contre la programmatioin du match dimanche à 20h45, a finalement délégué ses meilleurs joueurs disponibles pour affronter les Franciliens en 32e de finale de la Coupe de France. En dehors de Guillaume Hoarau (reprise), Mamadou Sakho (suspendu) et Stéphane Sessègnon (CAN), Antoine Kombouaré a retenu de quoi composer une équipe A, même si la titularisation de jeunes joueurs comme Younousse Sankharé ou Grandi Ngoy est une possibilité.

Le groupe : Edel, Grondin - Armand, Bourillon, Z. Camara, Ceara, Jallet, S. Traoré - Arnaud, Chantôme, Clément, Makelele, Ngoyi, Sankharé - Erding, Giuly, Luyidula, Maurice.
letorchon.fr
Mathis
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Contre Aubervilliers, coup de froid interdit pour Paris

Si la météo le permet, le PSG accueillera son voisin d’Aubervilliers ce soir au Parc des Princes. Pour les Parisiens, tous les ingrédients d’un match piège sont réunis.


La fête du football francilien n’aura pas lieu. La Fédération française en a décidé autrement. A cause d’un horaire aberrant, le PSG et Aubervilliers (CFA2) vont en découdre dans un stade qui sonnera creux (moins de 10 000 spectateurs) et dans une ambiance glaciale. Si on ajoute à cela la forte probabilité de voir le terrain se transformer en patinoire, le spectacle s’il peut avoir lieu s’annonce bien triste.
« La fête aurait été plus belle si on avait disputé ce match en banlieue mais la fédération a refusé, déplore Antoine Kombouaré. Si on avait joué l’après-midi, on aurait pu avoir beaucoup plus de monde, des familles, des enfants… Mais à 20 h 45, c’est compliqué pour tout le monde. Malheureusement, ce sont les télés qui décident…»

Entre - 1 et - 7 degrés

Joueurs et spectateurs doivent se plier à la volonté du diffuseur et lutter tant bien que mal contre le froid. Pendant le match, les températures devraient osciller entre - 1 et - 7 degrés, à la limite de l’acceptable pour une rencontre de football. « Nous sommes des exécutants et il y a des décideurs, lâche Kombouaré avec fatalisme. Ce sera jouable mais dans des conditions très compliquées. Je serai attentif à ce qui se passera. » L’entraîneur parisien est préoccupé par les risques de blessure. Et avant de choisir ses onze titulaires, il a pris en compte l’avis de tous. « Il faut mettre des joueurs qui vont s’adapter aux conditions de jeu, dit-il. Je ne vais pas forcer les joueurs, certains ne sentent pas ces surfaces. » Il s’agit de préserver les cadres tout en alignant une équipe assez solide pour assurer la qualification. Car pour le PSG, qui n’a jamais affronté un adversaire de si faible niveau au Parc, une élimination est inenvisageable. Pourtant, Kombouaré est méfiant: « Sur un terrain difficile, il y a un nivellement des valeurs. C’est un match piège. Face à un adversaire surmotivé, le risque est d’arriver les mains dans les poches. »
Quand la Fédération a fixé la date et l’horaire de ce 32 e de finale, Kombouaré a envisagé d’aligner l’équipe réserve. Il ne le fera pas, l’enjeu est trop important. « On ne peut pas se permettre de choisir des compétitions, dit-il aujourd’hui. Une qualification serait la meilleure façon de préparer le déplacement à Guingamp mercredi en Coupe de la Ligue. » L’objectif est de monter en puissance lors des deux prochains matchs de Coupe pour reprendre le championnat, samedi prochain à Lille, gonflé à bloc. Le moindre écart de conduite est donc interdit. « Une défaite pourrait avoir un impact terrible, surtout sur le moral des joueurs, conclut Kombouaré. On ne veut pas être la risée de la France. »

Le Parisien
Dready14
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La fête du foot... parisien

Pas plus que Lyon, Bordeaux et Marseille, autoritaires chacun à leur façon en ce week-end de 32es de finale, le Paris-SG a refusé net d'endosser le mauvais rôle dimanche en Coupe de France. Si fête du football francilien il y a eu au Parc des Princes, celle-ci n'a été ressentie qu'à l'intérieur du périphérique parisien. Le PSG n'a jamais vacillé face à Aubervilliers, son voisin de CFA2, qu'il a puni de toutes ses insuffisances par un score de gala (5-0). Nice restera comme la seule équipe de L1 sortie ce week-end par un plus petit, Plabennec, club de National, vainqueur dans son coin de Bretagne de l'équipe de Didier Ollé-Nicolle (2-1).
Le PSG se régale contre Aubervilliers

Avec une équipe aussi belle qu'elle pouvait l'être, loin des menaces brandies en décembre sur un possible boycott avec équipe de CFA (Erding, Makelele, Luyindula, Camara, Luyindula, Clément, Edel titulaires), le Paris-SG a très vite ouvert le score (Luyindula, 10e) et s'est régalé à avaler les espaces que les équipes de L1 lui refusent tous les week-ends. Quant Luyindula et Erding ont l'un et l'autre assez de champ pour prendre de la vitesse et le loisir de se servir à la limite du hors-jeu, cela donne une pluie de buts et un échange de bons procédés : but de l'international turc (22e) puis deuxième réalisation de l'ex-Lyonnais avant la pause (38e). Chantôme (64e), reprenant un centre de Jallet, puis Maurice (80e), sur penalty, ont clos la marque.

Le PSG va légèrement '''monter en puissance'' au tour prochain avec Evian-Thonon-Gaillard (National), son adversaire dans deux semaines. Quant au huitième de finale de Coupe de la Ligue de mercredi à Guingamp, nul doute qu'il ne posera plus de problème. La victoire appelle la victoire, dit souvent Antoine Kombouaré. Steve Marlet, titulaire à Aubervilliers après un ultime essai, se souviendra de son côté qu'il a reçu une valise pour son trente-sixième anniversaire. - Cé. Ro.


lequipe.fr
Biz Markie
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Kombouare : «Très sérieux»

«Antoine Kombouaré, vous êtes qualifiés pour les seizièmes de finale de la Coupe de France...
Oui, on a fait un match très sérieux. On n'a pas baissé la garde face à une équipe d'Aubervilliers qui eu a quelques occasions. C'est bien de démarrer l'année avec une victoire. On se qualifie avec la manière alors que les conditions étaient dificiles, pas beaucoup de monde, le froid mais on savait tout ça.

J'AI HORREUR DES MECS QUI SE LA RACONTENT. ON A FAIT LE BOULOT ET ON A RESPECTÉ CETTE ÉQUIPE JUSQU'AU BOUT.

Qu'est-ce qui vous a le plus séduit chez vos joueurs?
Il fallait respecter cette équipe d'Aubervilliers. J'ai horreur des mecs qui se la racontent. On a fait le boulot et on a respecté cette équipe jusqu'au bout. Il y avait des solutions offensives, de la solidarité et de l'humilité, c'est ça le plus important et c'est ce que j'avais demandé aux joueurs. On a bien bossé à la Baule malgré des conditions difficiles aussi. Je suis content mais le plus dur sera de garder cela sur la durée.

Vous jouez Guingamp mercedi en coupe de la Ligue et Lille samedi en championnat...
J'espère qu'il n'y aura pas de blessés, on fera un point demain (lundi) car il y a des joueurs qui ont pris des coups comme Claude (Makelele). Place à la récupération car Guingamp, ce sera un match diffiile, mais on espère revenir avec une qualification là aussi.»

Propos recueillis par Christophe MICHEL, au Parc des Princes

lequipe.fr
aleksandre08
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Paris sans pitié face à Aubervilliers

Du travail de pro ! Dans un Parc des Princes peu garni, le PSG s’est qualifié sans trembler pour les 16 e s de finale de la Coupe de France en s’imposant 5-0 face aux valeureux amateurs d’Aubervilliers.


En alignant une équipe solide, avec notamment Makelele, Erding et Luyindula, Antoine Kombouaré n’a pas pris cette partie à la légère.
Et après le coup de sifflet final, il se félicite du sérieux avec lequel ses joueurs l’ont abordé. « J’ai horreur des mecs qui se la racontent, dit-il. Alors j’ai beaucoup insisté sur le fait qu’il fallait respecter l’adversaire. Je suis satisfait de l’état d’esprit de mes joueurs. Ils ont été très sérieux et n’ont jamais baissé la garde. On se qualifie avec la manière, en marquant cinq buts sans en encaisser. »
Sous les yeux de Rama Yade et de Nicolas Anelka, la victoire du PSG se dessine dès la 10e minute et l’ouverture du score de Luyindula. Ce dernier, avec deux buts et une passe décisive en quarante-cinq minutes, permet à son équipe de passer une soirée tranquille. Très tôt dans ce match, on comprend que la large pelouse du Parc des Princes, en bon état, ne laissera pas beaucoup d’espoirs aux joueurs du 9-3. Elle sera encore l’atout principal des Parisiens au tour suivant face à Evian (National), le 23 ou le 24 janvier. En attendant ce prochain rendez-vous, le PSG va s’offrir une parenthèse en Coupe de la Ligue, mercredi à Guingamp, avant de reprendre les choses très sérieuses en championnat, samedi prochain à Lille.

« Ne pas se prendre pour ce qu’on n’est pas »

Le premier match de l’année au Parc se résume en une bonne mise en jambe en vue de ces prochaines échéances. « Le plan était de bien aborder 2010 avec une qualification, poursuit Kombouaré. C’est la meilleure façon de préparer notre déplacement à Guingamp. Les victoires appellent les victoires. »
Ce message, Kombouaré l’a répété à ses joueurs. A aucun moment ils n’ont fait preuve de suffisance face aux amateurs d’Aubervilliers. Ces derniers ont concédé leur première défaite de la saison. Mais elle n’a rien de déshonorant. Elle pourrait même se révéler très utile pour atteindre leur véritable objectif, à savoir monter en CFA.
Du côté parisien, on se félicite d’avoir passé sans encombre et sans blessure ce match piège. Mais on prend garde à ne pas lui conférer trop d’importance. « Ce succès donne confiance, mais il ne faut surtout pas se prendre pour ce qu’on n’est pas », lâche l’entraîneur parisien. Septième de L 1, le PSG ne tire aucune gloire d’une belle victoire face à des amateurs. On ne peut pas lui donner tort.



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Les notes des joueurs


Kombouaré avait choisi de prendre les joueurs d’Aubervilliers au sérieux en alignant son équipe-type, toujours disposée dans un désormais classique 4-4-2. Et comme ses joueurs ont abordé le match avec un vrai professionalisme, le suspense n’a jamais existé.

Edel (5,5). Il n’a eu longtemps que quelques prises de balles à se mettre sous les gants.
Et il a, à chaque fois, démontré une belle autorité. Décisif devant Marlet (58e).

Ceará (5). Comme la pression des attaquants d’Aubervilliers était loin d’être insupportable, il a pu peaufiner ses gammes dans les montées offensives et les centres.

Camara (5). Correct dans son placement, il n’a toujours pas retrouvé sa puissance de la saison dernière. Quelques ballons rendus à l’adversaire attestent qu’il faudra encore patienter avant de le revoir à son meilleur niveau.

Traoré (5,5). Une vilaine semelle de Marlet ne l’a pas empêché de couper sans trembler les ballons aériens qui passaient tout près de son crâne.

Armand (5). L’entrée du remuant Djedj lui a donné un peu de travail. Mais pas de quoi le faire vaciller dans le froid ambiant.
Jallet (7). Ce n’était qu’une formation de CFA 2 mais il a distillé hier ses 6e et 7e passes décisives de la saison. Toujours percutant et perforant dans son couloir droit, il est un modèle de combativité.

Makelele (5,5). Dès les premiers impacts, on a senti que ses adversaires l’entouraient d’un immense respect. Dans un tel contexte, il a pu réussir quelques passes en profondeur. Evidemment, le capitaine a perdu son habituel lot de ballons. Mais cela n’a eu aucune importance. Remplacé par Maurice (75e) auteur du 5e but (81e).

Clément (5,5). Dans un pressing adverse loin d’être étouffant, il a rendu une copie classique. Donc satisfaisante.

Chantôme (6,5). Placé milieu gauche, il a démontré un état d’esprit pugnace. Souvent dans les bons coups, à l’image de son magnifique but (65e), il a clairement envie de réussir une belle seconde partie de saison.

Erding (6,5). D’entrée, il a imposé sa puissance physique et les défenseurs de CFA 2 ont vite compris que le niveau était trop élevé pour eux. Un but tout en vitesse et en finesse (23e) et une passe décisive (38e) ont récompensé son travail. Son entente avec Luyindula est intéressante. Remplacé par Giuly (62e) qui a obtenu un penalty.

Luyindula (6,5). Il commence 2010 de belle manière : là où il lui fallait dix occasions pour marquer, il a inscrit deux buts sur ses deux premières opportunités. En finesse (11e) et en puissance (38e). Remplacé par Sankharé (71e).



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Erding : «Il fallait être costaud»


Auteur d’un but et d’une passe décisive, Mevlut Erding est ravi de son bilan personnel et de la qualification sans trembler de Paris pour les 16es de finale.

Est-ce une soirée parfaite pour le PSG ?


Mevlut Erding. Oui. Nous avons écouté le discours du coach qui voulait absolument qu’on respecte cette équipe.
Au final, la victoire est logique. Il fallait aborder cette rencontre comme un match de championnat. Avec le même engagement et le même sérieux.

La Coupe de France est-elle un objectif ?

Bien sûr qu’on veut gagner cette coupe ! Mais on va d’abord penser au prochain tour contre Evian (National). Je connais un peu cette équipe car j’ai lu quelques articles sur elle. Je sais qu’elle monte en puissance et qu’il faudra la respecter autant qu’Aubervilliers.

La faible affluence au Parc vous a-t-elle gêné ?


Pas du tout. Dès l’échauffement, nous avons essayé de nous mettre à fond dans le match. On a fait abstraction des tribunes pour se concentrer sur notre début de rencontre. Nous savions que c’était crucial pour la confiance. Ensuite, dans le match, je suis content de mon entente avec Peguy (NDLR : Luyindula). Il me fait marquer. Je le fais marquer. C’est très bon pour la confiance.

Affronter une équipe de CFA 2 est-il compliqué ?


C’est quelque chose de différent au niveau de l’engagement physique. On reçoit plus de coups que d’habitude et il faut répondre dans le même registre pour se faire respecter. On a su le faire rapidement. Il fallait être costaud.


Le Parisien
11G
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Le match En Avant - PSG menacé




La pelouse du stade du Roudourou est recouverte d’une couche de neige de plus de 10 cm.
Le match En Avant de Guingamp - Paris SG qui doit se dérouler mercredi à 17 h est sérieusement menacé par les intempéries. La pelouse du stade de Roudourou est recouverte d’une couche de neige de plus de 10 cm. Le sol est gelé en dessous. Sur son site internet, le club en appelle d’ailleurs à la bonne volonté des bénévoles d’En Avant « pour déneiger la pelouse du stade de Roudourou ce lundi à partir de 14 h. » Une bâche doit être posée sur la pelouse cet après-midi. Un système de soufflerie complétera le dispositif.

Par ailleurs, c’est toute la ville de Guingamp qui demeure paralysée ce matin. L’accès aux écoles n’a pas été dégagé, la plupart des rues secondaires sont impraticables et la circulation reste difficile jusque dans le centre-ville.


Ouest France
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