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Hari
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Le PSG frappe un grand coup

Pour le premier grand choc de la saison, les Parisiens, appliqués, ont impressionné. Avec un Pastore inspiré, ils ont battu sans discussion leur rival lyonnais et s’échappent en tête du classement.


En prenant l’aile gauche du désir, Javier Pastore a conclu un mouvement personnel lumineux, offrant la victoire aux siens, avec l’aide de Jallet au crépuscule de la partie (2-0). Le patron de la Ligue 1, c’est le PSG. Le génie du Championnat de France, c’est Pastore. Lui, c’est le maître du prêt-à-jouer, la haute couture du football.

C’est un orfèvre du beau, du délicat et du subtil. Etre le contemporain de ce genre de joueur rend l’existence forcément plus belle. Françaises, Français, ceci est un message pour vous. Il faut se rendre sur les stades de Ligue 1 le week-end où le PSG se trouve. Vous y verrez l’un des plus grands joueurs que le Championnat de France ait abrités en son sein. Vous avez forcément déjà entendu parler de lui. Il s’appelle Javier Pastore, affiche seulement 22 ans au compteur et sa grâce vaut le déplacement toutes affaires cessantes. Bon pied, belle gueule, il illumine le football en général et le jeu du PSG au passage. Vous ne serez pas déçu, on vous le promet.

Une vraie marge de progression

Avec un tel joueur, le PSG voit l’horizon se dégager. Sans forcément donner la leçon à Lyon, le club de la capitale s’affirme chaque jour un peu plus comme « le» candidat au titre. Avec le retour de ses blessés, principalement en défense — un secteur qui tangue à Paris —, le PSG peut même prochainement s’échapper et laisser les équipes humaines, celles qui ne possèdent pas Pastore, à quai. Il y en a dix-neuf sans Pastore.

Pour durer encore plus longtemps, les hommes d’Antoine Kombouaré devront encore se méfier d’eux-mêmes, d’une inefficacité devant le but parfois troublante, et attendre l’amélioration athlétique de joueurs encore trop en difficulté comme Lugano. Mais, surtout, pour la première fois depuis des lustres, le PSG va très tôt dans la saison découvrir la position du club chassé. Il faut des épaules de déménageurs et un mental de vainqueur pour supporter ces allures de gibier.

« Etre en tête au bout de neuf journées, c’est une agréable surprise, concède l’entraîneur parisien. Beaucoup, beaucoup de joueurs effectuent leur préparation dans la compétition. Il faut rester très vigilant. Moi, je reste attentif et je joue mon rôle de Père Fouettard. On est toujours en construction. »

Voilà encore une bonne nouvelle : les petites scories parisiennes indiquent que cette équipe possède une vraie marge de progression. C’est donc une saison où le PSG risque de faire mal. Ce n’est pas grave, Pastore se chargera de faire le bien.

DOMINIQUE SÉVÉRAC



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Salvatore Sirigu : « L’équipe a fait un match parfait »

Pour le portier italien, pas question de s’enflammer sous prétexte que le PSG est seul en tête du championnat. Cependant, il savoure quand même.

Comment analysez-vous ce succès ?

Salvatore Sirigu. C’est un résultat vraiment intéressant, mais il ne faut pas oublier que l’équipe est vraiment neuve.

Le match a été vraiment dur et on peut encore faire mieux. Bon, maintenant, il y a une nouvelle trêve internationale qui débute et beaucoup d’entre nous vont rejoindre leurs sélections respectives. Ce sera donc compliqué de continuer à travailler pour améliorer le collectif. Car Paris est encore en construction et doit bosser.

A quel type de match vous attendiez-vous ?

A celui qui s’est joué. Plus le match a duré, plus le niveau de jeu a monté et il a fallu se montrer vigilants. Lyon a quand même eu quelques opportunités d’obtenir le match nul, et cela a été un match assez compliqué pour nous. Mais l’équipe a mis tout son coeur pour arracher ce succès. Il faut continuer ainsi. Mais, quand on voit le résultat, j’ai envie de dire que l’équipe a fait un match parfait. Car il y a eu du talent et du courage.

Est-ce le match le plus marquant de Paris cette saison ?


Je ne sais pas trop. J’avais bien aimé la façon dont nous avions ramené le nul a Evian après une première période ratée. Cette réaction nous avait beaucoup appris sur nous-mêmes. Ce point rapporté ce jour-là aura son importance. Le championnat ne se gagnera pas contre Lyon, mais contre toutes les équipes.

Qu’avez-vous pensé du match de Javier Pastore ?

(Petit sourire.) Il a fait le même match que les autres. Il ne faut pas ramener Paris à seulement Pastore, car ce serait injuste. Javier s’est livré et est allé au sacrifice comme tout le monde. Il s’est battu sur beaucoup de ballons. C’est, bien entendu, un joueur de grande qualité, mais il faut aussi dire qu’il évolue avec d’autres joueurs de qualité autour de lui. Quand tout le monde sera au maximum de ses capacités, les choses deviendront plus simples pour Paris.

Certains comparent déjà Pastore à un extraterrestre. Et vous ?

Quoi ? Sûrement pas. Pour moi, c’est un garçon comme tous les autres. Il est normal.

Comment se passe votre intégration en France ?

Comme je me mets à la disposition totale de l’équipe, il n’y a que les résultats qui m’importent. Paris gagne, alors tout va bien et le reste, c’est « basta » (sourires) ! Je ne pense qu’au football pour le moment. Mon équipe est en tête du championnat, alors je ne vais pas me plaindre.

PROPOS RECUEILLIS PAR CHRISTOPHE BÉRARD


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Gameiro et Gomis terminent dos à dos

Il y a un duel, un match à distance, qui a marqué hier cette grande affiche de Ligue 1. Au travers de ce PSG - Lyon, se déroulait un vrai défi entre deux attaquants rêvant des Bleus. Kévin Gameiro, côté parisien, et Bafétimbi Gomis, côté lyonnais, avaient encore plus intérêt à briller que leurs coéquipiers.

Une bonne performance ou un but sous l’œil des caméras et c’était peut-être une place d’avant-centre en sélection — vendredi au Stade de France contre l’Albanie — qui était promise. Selon toute vraisemblance, Karim Benzema, touché aux adducteurs, ne sera pas en état de jouer. Et Gameiro et Gomis, avec le Marseillais Loïc Rémy, apparaissent comme les candidats naturels à la succession, même provisoire, du Madrilène.

A priori, Gameiro possède une légère avance. Mais le crédit du néo-Parisien n’est pas assez conséquent pour le mettre à l’abri d’une prestation sans relief face aux Lyonnais. A l’inverse, Gomis, l’invité de dernière minute de Laurent Blanc, est l’homme en forme du dernier mois.

C’est Kevin Gameiro, pourtant moins habitué que son confrère aux sommets du championnat, qui se met le premier en évidence. Il ne lui faut que cinq minutes pour, à l’entrée de la surface, décocher une frappe puissante écartée avec vigilance par Lloris (5e). Dans un match qui peine à trouver une justesse technique, Gameiro a du mal à peser sur la défense. Pourtant, c’est par l’une de ses belles accélérations que s’initie la plus franche occasion parisienne de la première période. C’est en effet l’ex-Lorientais qui sert Pastore en pleine surface avant que l’Argentin ne bute sur le poteau de Lloris (20e).

La suite cet après-midi à Clairefontaine

Manifestement inhibé par l’enjeu, Gameiro souffre. Sa puissance physique, souvent utile en ce début de saison, a du mal à se hisser au niveau des rugueux défenseurs de l’OL. A l’image de sa tentative de feinte sur Lovren qui se termine par une récupération de balle du Croate (28e).

Côté lyonnais, Gomis n’est pas mieux loti. Il faut dire que l’ex-Stéphanois livre un bras de fer face à l’Uruguayen Diego Lugano. Et ce dernier, qui a entendu ses coéquipiers lui parler toute la semaine de Gomis, apparaît surmotivé. Le duel reste viril mais correct. Lugano tamponne, Gomis résiste. Mais, excepté une frappe à côté (24e), il a du mal à se mettre en valeur.

Après le repos, le duel à distance est plus probant. A un joli centre de Gameiro (48e), Gomis répond aussitôt d’un coup de tête juste à côté (49e). Hélas pour eux, aucun des deux buteurs n’a pu marquer hier, contrairement au génial Pastore. Le duel à distance reprendra dès cet après-midi lors du premier entraînement des Bleus… à Clairefontaine.

CHRISTOPHE BÉRARD


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Du beau monde en tribune

Il y a ceux qui y étaient et ceux qui n’ont pas pu y être. Même chez les people, les retardataires qui voulaient assister à ce PSG - OL se sont retrouvés fort marris. C’est la mésaventure survenue au joueur de l’équipe de France Marvin Martin, dont la demande tardive de places n’a pas pu être satisfaite. Son illustre aîné Zinedine Zidane n’a pas connu ce genre de problèmes.

L’ancien numéro 10 a débarqué dans les couloirs du Parc des Princes à 20h5. Non loin de lui, son ancien sélectionneur, Raymond Domenech, chahuté quelques minutes plus tôt par des supporteurs hors du stade, discute avec un dirigeant de l’OL.

Zidane, Domenech et Chabal


Autant de scènes auxquelles les fans regroupés à l’entrée du carré VIP n’ont pas pu assister. Ces infortunés ont quand même eu droit au passage de l’ancien entraîneur du PSG Luis Fernandez, qui a gardé une belle cote auprès des supporteurs. Photos, autographes, l’ex-coach s’en est donné à cœur joie. Dans ce registre, les anciens champions du monde 98 Thuram et Karembeu, ainsi que les acteurs François Cluzet, Clovis Cornillac et François-Xavier Demaison, ont aussi donné de leur personne.

Du côté des joueurs en activité, Samir Nasri, en compagnie de son agent, Jean-Pierre Bernès, Hatem Ben Arfa, Nicolas Anelka Yohan Cabaye, assis à côté de Mamadou Sakho, n’ont pas voulu rater cette affiche. Pierre Botton et Pierre Sarkozy sont assis côte à côte en tribune. Roselyne Bachelot, la ministre aux Solidarités, fait, elle, une entrée tambour battant encadrée par des gardes du corps, pendant que son ancien collègue au gouvernement Hervé Morin pénètre dans le stade sans que personne ne le remarque. Luc Chatel, le ministre de l’Education, lui non plus, ne fait pas recette auprès des supporteurs. Ces derniers attendent du « gros ». Ils vont l’avoir avec Sébastien Chabal, loin d’être un habitué du Parc des Princes, qui débarque au stade cinq minutes avant le début du match. Son arrivée aurait sûrement provoqué un peu plus d’émoi si elle n’était intervenue aussi tardivement.

Frédéric Gouaillard




leparisien.fr
girlinlove
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PSG : la presse étrangère salue le phénomène Pastore

Publié le 03.10.2011, 17h25 | Mise à jour : 19h14


ARCHIVES. De l'Italie au Brésil, en passant par l'Espagne, le Portugal et l'Argentine, la presse étrangère est impressionnée par les débuts parisiens du javier Pastore.
LP / Frédéric Dugit

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Depuis dimanche soir et la victoire sur Lyon (2-0), les supporteurs comme la direction du PSG ont senti le phénomène grandir encore. L'Argentin Javier Pastore est bien la nouvelle star annoncée du championnat de France (5 buts, 2 passes décisives en 5 matches) et ses exploits commencent à franchir les frontières.


Au point que le quotidien italien Gazzetta dello sport se laisse aller à une pointe d'amertume : «Depuis la Joconde, c'est toujours la même histoire. On le tenait, nous, les Italiens, et maintenant ce sont les Français qui en profitent».

Révélé à Palerme, «El Flaco» ("Le Maigre", son surnom) a choisi cet été d'être transféré au PSG plutôt que vers un des grands clubs d'Italie, l'AC Milan, la Juve ou l'Inter Milan. D'où les regrets. Titrant "PastoRe di Francia" (littéralement : "PastoRoi" de France), la Gazzetta, quotidien sportif de référence, estime encore que sa progression peut l'amener à dépasser Zinédine Zidane ou Kaka. Le journal italien compare son but décisif contre Lyon dimanche à ceux de Ronaldinho, lui aussi passé par Paris et l'Italie (AC Milan): «Montée côté gauche, le latéral effacé et la frappe surprise au premier poteau».

Salué en Italie, en Espagne, au Portugal...

L'ancien président du joueur à Palerme, Maurizio Zamparini, coutumier de déclarations tapageuses, avait prédit qu'e Pastore deviendrait «le meilleur joueur du monde». A l'ouverture du marché des transferts, il en voulait 100 millions d'euros et non les 42 qu'a déboursés le PSG (plus gros transfert jamais réalisé en championnat de France). La chaîne SportItalia, qui détient en exclusivité les droits de la Ligue 1 pour la péninsule et diffuse un ou deux matches français par journée, choisit quasi systématiquement le PSG de Pastore.

L'Espagne aussi s'enflamme. Le quotidien sportif Marca a ouvert à son sujet son réservoir de superlatifs. «Pastore appartient à cette catégorie des artistes du ballon, comme Zidane, Riquelme, Aimar, Valeron ou le Brésilien Ganso (...) il appartient à cette espèce rare de footballeurs qui élèvent ce sport au rang d'art». Le journal espagnol fait l'apologie de sa science des «crochets», parlant au sujet de l'ancien joueur de Palerme «d'un football exquis».

Au Portugal, plutôt que l'art, on invoque l'Histoire. Le journal sportif Record a comparé le but de Pastore inscrit contre Brest le 11 septembre (1-0) au «chef d'oeuvre de Deco en finale de Ligue des champions face à Monaco en 2004 (3-0, Deco inscrit le 2e)».

«Au rythme "del Flaco"»

En Argentine, son pays d'origine, la presse suit bien évidemment les exploits de l'ex-joueur d'Huracan, membre d'une sélection nationale en convalescence après un Mondial 2010 et une Copa America ratés. «Au rythme "del Flaco"» (au rythme du maigre), titrait ainsi dans la nuit de dimanche à lundi le quotidien sportif "Ole", avec évidemment, un lien vidéo vers son but contre Lyon dimanche soir. «Il est le recrutement le plus cher du football français et il le vaut bien. Javier Pastore a montré pourquoi le PSG l'avait payé autant», écrivait récemment le quotidien généraliste Clarin.

Au Brésil, pays du football roi, le géant de la presse O Globo a d'abord suivi le PSG en s'intéressant à Leonardo, ex-international brésilien devenu directeur sportif. Mais depuis les premières fulgurances de Pastore face à Toulouse (mené 1-0, le PSG a gagné 3-1), ses colonnés saluent les «grosses performances» de «l'étoile».


LeParisien.fr
Varino
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L’homme qui change tout

Javier Pastore, buteur magnifique contre Lyon, est le joueur rare qui pourrait hisser Paris au sommet du foot français.


PLUS TARD, on se souviendra peut être du PSG-Lyon (2-0) du 2 octobre 2011 comme du match qui a fait basculer un club et un joueur dans une autre dimension. Figure de proue du Paris version Qatar, Javier Pastore est une star discrète dont la technique ravageuse esquisse, match après match, une nouvelle hiérarchie de la L 1. Avec lui, Paris finit toujours par briller. Redevient un club redouté. Méconnu avant son arrivée de Palerme, pour 42 M€ début août, l’Argentin est devenu l’attraction d’un Championnat dont le PSG, désormais, est le seul leader.

IL A CHANGÉ LE JEU DU PSG. – « El Flaco » ne s’attendait pas à une intégration aussi fulgurante. Javier Pastore parle comme il joue, avec évidence, comme si la pression de son transfert record en France de Palerme à Paris (42 M€) n’existait pas. « On sent qu’il est encore un peu juste physiquement pour prendre tout le jeu à son compte, témoigne Youri Djorkaeff, présent au Parc des Princes dimanche, mais c’est le genre de joueur qui transforme le pâté en caviar (rire). Il a la tête haute, il joue vite, et il est très direct, il ne fait pas de touche inutile. Il sait pointer son adversaire et le dribbler sur un seul crochet, une seule feinte. J’adore ! » Pour l’instant, l’international argentin (22 ans, 10 sélections, 1 but) a quand même du déchet. Le virtuose qu’il est peut même parfois disparaître au cours d’un match. Mais il a ce quelque chose de « spécial » (Rémi Garde) qui lui permet, à tout moment, de porter l’estocade par un éclair de génie, comme face à Toulouse (3-1, le 28 août, deux passes décisives), Brest (1-0, le 11 septembre, un but), l’Évian-TG (2-2, 18 septembre, un but), Montpellier (3-0, le 24 septembre, un doublé) et Lyon (2-0, un but) dimanche. En six matches, cinq buts et deux passes, tous décisifs, le milieu parisien qui allie technique et efficacité maximum a déjà fait très mal à ses adversaires. Et énormément de bien à un PSG qui cherche encore son harmonie collective.

IL A CHANGÉ LES AMBITIONS DU PSG. – Officiellement, le PSG vise au minimum une troisième place en Championnat, synonyme de qualification pour les barrages de la Ligue des champions. Mais les ambitions secrètes du cheikh Tamim ben Hamad al-Thani, propriétaire à 70 % du club de la capitale via Qatar Sports Investments, n’ont pas de limites. Le prince héritier du Qatar peut-il raisonnablement rêver du titre de champion dès cette année ou d’un succès en Ligue Europa ? La réponse est oui. Avec Pastore, Paris, qui court après le titre depuis 1994, a désormais les moyens de ses ambitions. C’est le joueur de classe mondiale qui, s’il confirme sa montée en puissance, peut faire basculer à lui seul une rencontre, un résultat, une saison. « Je n’ai aucun doute là-dessus, a confié Massimiliano Allegri, l’entraîneur de l’AC Milan, à France Football (édition du 30 septembre). C’est l’un de ces joueurs qui marquent une époque. Il fera du PSG un grand club (…) j’aurais bien aimé l’attirer à Milan. Mais je n’avais pas les moyens de rivaliser avec le PSG. » Avec lui, le PSG est entré dans une autre dimension, celle des clubs dont tout le monde parle en Europe. L’effet Pastore a aussi des conséquences indirectes. Car l’Argentin devrait contribuer à attirer d’autres stars.

Il A CHANGÉ L’IMAGE DU PSG. – Magique sur le terrain, simple et discret en dehors, le meneur de jeu incarne désormais l’image d’un PSG parti à la reconquête du Championnat sans verser dans l’esbroufe, malgré les 85 M€ dépensés sur le dernier marché des transferts. En mal d’une idole depuis le départ de Pedro Pauleta en 2008, les supporters parisiens reportent désormais leurs espoirs sur Pastore. Et leurs achats ? Pour l’heure, le PSG se refuse à communiquer le nombre de produits vendus grâce à la star argentine, mais deux constats ressortent : 1. Le nombre de maillots vendus est en augmentation sensible comparé à la saison dernière. 2. Plus des deux tiers de ces maillots portent le nom de Pastore dans le dos. Derrière, seuls Jérémy Ménez et Kevin Gameiro stimulent un peu les fans.

Au club, on se refuse à faire de l’Argentin le seul facteur d’un merchandising désormais plus florissant. La hausse des résultats commerciaux est attribuée à l’impact global de l’arrivée de Qatar Sports Investments, de la nomination de Leonardo au poste de directeur sportif et, bien sûr, au phénoménal effet Pastore. Le PSG ne cherche pas à mettre sa recrue phare sur un piédestal, ce que le joueur, par nature, veut d’ailleurs éviter, au contraire de Nene la saison dernière. Le discours reste axé autour du thème « la star, c’est l’équipe » . Il n’empêche: Pastore est pour beaucoup dans le réveil du Parc des Princes. L’affluence moyenne depuis le début du Championnat (39 918) est remontée au niveau des meilleures années parisiennes (voir par ailleurs). Tombé à 7 000 la saison dernière, le nombre d’abonnés est déjà remonté à 16 000.
ALEXANDRE CHAMORET et JÉROME TOUBOUL


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LE DERNIER CONSEIL DE SURVEILLANCE A EU LIEU. – Comme prévu, un conseil de surveillance du PSG a eu lieu, hier matin. Les membres présents ont essentiellement examiné les comptes du club de la saison passée, close le 30 juin. Ces comptes, remis à l’équilibre entre-temps, font apparaître des pertes d’environ 20M€. Une assemblée générale extraordinaire des actionnaires a également été convoquée pour le 21 octobre. À cette date, le PSG repassera à une structure juridique en conseil d’administration. Nasser al-Khelaïfi, le patron de QSI, en sera le président. D’ici là, Benoît Rousseau quittera, le 14 octobre, ses fonctions de président intérimaire du directoire, et laissera les clés du club à Jean-Claude Blanc, le futur directeur général du PSG. – J. T.


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5 Javier Pastore a inscrit ses cinq buts depuis la surface de réparation : quatre du pied droit et un du gauche.

29.41% Comme son ratio buts tirs. Il est le troisième joueur le plus efficace derrière le Sochalien Modibo Maïga (36,3 %) et l’Ajaccien Frédéric Sammaritano (30,77 %).

16 Pastore est à l’origine de seize occasions de but pour le PSG depuis le début de la saison en L 1, ce qui en fait le meilleur joueur du Championnat dans ce domaine, devant les Auxerrois Alain Traoré et Dennis Oliech (15).
Avec Opta


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« Il gagnera le Ballon d'Or »

Maurizio Zamparini, le président de Palerme, adore son ancien joueur. Qu'il voit aller très haut.


« J’AI APPELÉ LEONARDO ce matin pour le complimenter sur ce que Pastore a fait contre Lyon. » Hier, Maurizio Zamparini, président de Palerme, qui a vendu cet été le joueur argentin au PSG pour 42 M€, était souriant. « J’ai regardé en même temps PSG-Lyon (2-0) et Juve-Milan (2-0), raconte-t-il. Lyon a été meilleur collectivement, il fallait donc le génie de Pastore pour débloquer la situation. Il gagnera le Ballon d’Or dans quelques années. »

La saison passée, il avait marqué onze buts en trente-cinq matches de Serie A alors qu’il en est déjà à cinq en sept apparitions en L 1. « Le foot français est plus ouvert que le foot italien, estime Zamparini. La Serie A est plus difficile que la L 1 au niveau tactique. Il y a plus d’espace en France, ça favorise les qualités de Pastore. »

Walter Mazzarri, entraîneur de Naples, troisième de la Serie A, lui tresse également des lauriers: « C'est un fuoriclasse (un joueur de classe mondiale). Ce qu’il réalise en France n’est pas surprenant. Il est mis dans les meilleures dispositions. Il a ce rapport de confiance avec Leonardo. C’est depuis qu’il est à Naples que Cavani marque beaucoup (26 buts en 35 matches la saison dernière), parce qu’il évolue dans un cadre où il se sent bien. Ça doit être ça aussi pour Pastore. J’avais établi un plan pour le contrer quand on jouait contre Palerme (l’Argentin n’a effectivement jamais marqué contre Naples en quatre confrontations de Serie A). Mais je ne vous le dévoile pas (sourire). » – Y. Ri.

La Gazzetta le compare à la Joconde
« PASTORE DI FRANCIA » (*) titrait hier la Gazzetta dello Sport, le grand quotidien sportif italien, qui avait dépêché un envoyé spécial pour PSG-OL. Si celui-ci estime que l’Argentin peut progresser au point de dépasser Zinédine Zidane ou Kaka, il regrette aussi que le joueur ait rejoint Paris plutôt qu’un grand club de Serie A. « Depuis la Joconde, c’est toujours la même histoire. Nous l’avions, nous, les Italiens, ce phénomène, et maintenant ce sont les Français qui en profitent. »
(*) « Pastore, roi de France », avec un jeu de mots sur la fin du nom de l’Argentin, signifiant roi en italien.



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Le PSG leader aussi à l'audimat

SELON CYRIL LINETTE, patron des sports de Canal +, le PSG n’avait pourtant séduit que 1,3 million d’abonnés lors de sa première sortie sur la chaîne cryptée, le 11 septembre (PSG-Brest, 1-0, 5e journée). Un score en deçà de la moyenne enregistrée par Canal + sur les neuf premières journées de L 1 (1,41 million). Dimanche soir, le PSG a enfin justifié sa place de numéro 1 dans les « charts ». Sa victoire face à l’OL (2-0) a conquis 2,02 millions d’abonnés, soit la meilleure audience depuis la reprise. Jamais un match de L 1 entre les deux clubs n’avait réalisé un tel score sur Canal +. La saison dernière, seules quatre affiches de L 1 avaient dépassé la barre des 2 millions d’abonnés : les deux OM-PSG et les deux OL-OM (avec sommet à 2,43 millions pour Marseille-Lyon, 1-1, de la 12e journée). La force d’attraction du PSG version qatarienne se vérifie aussi en Ligue Europa, pour laquelle W 9 enregistre des audiences en progression sensible. Sur les deux premiers matches de groupes du club de la capitale, la chaîne de la TNT a ainsi attiré 230 000 téléspectateurs de plus que la saison dernière. – J. L.



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Dans la lignée des cracks parisiens

DEPUIS LA CRÉATION du club en 1970, plusieurs joueurs offensifs ont marqué l’histoire du PSG. Une caste qui va de Mustapha Dahleb à Pedro Pauleta, en passant par Carlos Bianchi, Dominique Rocheteau, Valdo, David Ginola, George Weah et Youri Djorkaeff. À ces noms s’ajoute un trio d’élite, dont le talent a laissé une empreinte éternelle : Safet Susic, Rai et Ronaldinho. À ce rythme, Pastore deviendra le quatrième membre de ce cercle lumineux.

Safet SUSIC (Bosnie Herzegovine, décembre 1982-1991, 287 matches, 66 buts en D 1 avec le PSG)
Pour beaucoup d’« anciens », il reste encore le plus grand joueur de l’histoire du club. Véritable numéro 10, il n’a débarqué qu’à vingt-sept ans : en ce temps, les Yougoslaves ne pouvaient pas quitter leur pays avant d’avoir atteint cet âge. Pendant huit ans et demi, ce meneur au centre de gravité très bas a illuminé le Parc des Princes par son extraordinaire talent de dribbleur, son sens inné de la passe et sa redoutable adresse devant le but. Il aura été capital dans la conquête de la Coupe de France 1983 et du titre de champion 1986, ses deux trophées avec Paris.

RAI (Brésil , 1993-1998, 147matches, 51 buts en D 1 avec le PSG)
Il a été sacré champion dès sa première saison à Paris, en 1993-1994. Mais il s’était alors montré emprunté et décevant. Sa Coupe du Monde remportée avec le Brésil en 1994 marque un tournant : dès lors, le capitaine parisien alliera au plus haut niveau l’élégance et l’efficacité dans un rôle de meneur-passeur-buteur puissant et raffiné. Il glanera deux Coupes de France (1995, 1998), deux Coupes de la Ligue (1995, 1998) et une Coupe des Coupes (1996).

RONALDINHO (Brésil, 20012003, 55 matches, 17 buts en D 1 avec le PSG)
Il a plus ébloui le PSG par des fulgurances inoubliables que par son palmarès parisien, resté vierge. Soupçonné par Luis Fernandez, son entraîneur, de choisir ses matches, il atteignait parfois un niveau stratosphérique. Feintes variées, passes à l’aveugle, accélérations balle au pied... : le champion du monde 2002 était celui qui faisait la différence. Trois chefs d’oeuvre, au passage. Ses matches contre l’OM, au Parc (3-0, 26 octobre 2002) et au Vélodrome (3-0, 9 mars 2003). Et son but à Guingamp (2-3), le 22 février 2003, au bout d’un rush enragé et étourdissant. – L. Ha. et J. T.



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Il les a impressionnés

Les adversaires, qui ont été victimes du talent de Pastore lors de ses cinq buts en L 1, se montrent admiratifs.


« UN GRAND JOUEUR, c’est celui qui sait s’adapter aux situations et accomplir le geste juste », estime Steeve ELANA. Le gardien de Brest a vite compris qu’il en avait un en face de lui, lorsqu’il a encaissé le premier but inscrit par Javier Pastore en L 1, à la 68e minute de PSG-Brest (1-0, le 11 septembre). « Au moment de son contrôle, il a trois adversaires sur lui (Gentiletti, Culma et Makonda). Je m’attends à un tir puissant et placé dans un coin. Mais il réalise une frappe en rupture, et je suis scotché sur mes appuis. Je ne comprends pas ce qui se passe ! Pour oser cela et le réussir, il faut à la fois une grande qualité technique et une immense confiance en soi. Ses autres buts, empreints d’une maîtrise exceptionnelle, l’ont confirmé : il n’est pas un simple feu de paille. » Comme la réduction du score par Paris à Annecy, contre l’Évian-T.-G. (2-2, le 18 septembre), où l’Argentin a conclu en finesse, du pied droit, après avoir résisté à Rippert, Rabiu et Aldo ANGOULA (43e). « Sur les premiers mètres, il explose, se souvient ce dernier. Il n’est pas tellement costaud. Pourtant, dès qu’il touche le ballon, on sent de la puissance. J’avais l’image d’un mec super technique. Mais comme il a aussi ce coup de reins, il est capable de dribbler, arrêté comme lancé. Son jeu est difficile à lire. »

Geoffrey JOURDREN, le gardien de Montpellier, qui a dû s’incliner à deux reprises devant Pastore (0-3, le 24 septembre), peut en témoigner : « Il a toujours le geste juste, comme sur la galette qu’il reçoit de Tiéné pour son premier but (43e). Il reprend le centre comme à l’entraînement, c’est la marque d’un grand. Sur son second but (80e), même s’il est excentré et qu’il la redresse bien, c’est d’abord moi le fautif. Paris a fait une bonne pioche avec lui, mais à 42 M€, heureusement qu’il possède toutes les qualités ! »

Anthony RÉVEILLÈRE, le latéral droit de Lyon, a vu ses équipiers Koné et Lloris souffrir sur le premier but parisien (64e) dimanche (2-0). « C’est un joueur très intéressant, très intelligent tactiquement, dit-il. Il se place toujours par rapport à l’équipe adverse. Quand on attaquait côté gauche, il se positionnait dans ce secteur pour être complètement libre, et tranquille à la récupération du ballon. Même chose, côté droit. Il est vraiment pas mal... »

L'Equipe
Homer
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Paris, un leader qui peut mieux faire

C’est un paradoxe qui laisse entrevoir plus de promesses que de signes d’inquiétude. Après deux mois de compétition et neuf journées de Ligue 1, le PSG occupe seul la tête du championnat avec trois points d’avance sur ses poursuivants. Au Parc des Princes, l’opération séduction fonctionne à merveille. Les victoires s’enchaînent et le spectacle est au rendez-vous.

Pourtant, dans le jeu, l’équipe d’Antoine Kombouaré est encore très perfectible. Elle affiche même certains défauts qui jettent comme l’ombre d’un doute. Est-elle vraiment au-dessus du lot par rapport à ses congénères de la L1 ? Ou masque-t-elle ses carences par la grâce de Javier Pastore — capable à lui seul de débloquer des matchs mal engagés — et par un brin de réussite ?

« Le PSG a encore du boulot, estime l’ancien gardien parisien Bernard Lama. Le souci principal, c’est le replacement défensif des quatre joueurs de devant. Globalement, c’est insuffisant. Je remarque que Nene et Ménez font désormais plus d’efforts en ce sens, mais cela reste largement perfectible. » Une analyse partagée et complétée par Luis Fernandez. « L’équipe doit défendre beaucoup plus en bloc, demande l’ancien entraîneur du PSG. Jusqu’à maintenant, elle le fait seulement sur certaines rencontres. A Montpellier par exemple, c’était très bien. A domicile, c’est souvent moins bon. » Le quatuor offensif parisien, dont la puissance de feu est sans équivalent à l’échelle du Championnat de France, a donc aussi ses petits défauts. « Ce problème de repli défensif a des conséquences sur la gestion d’une rencontre, ajoute Lama. En dépit de sa supériorité technique, on a l’impression que le PSG ne contrôle jamais vraiment le rythme du match. »

Une équipe toujours en construction


Dimanche face à Lyon, après l’ouverture du score de Pastore, la dernière demi-heure a effectivement ressemblé à une succession d’attaques-défenses dont le PSG est sorti finalement indemne, un peu grâce à la maladresse de Gomis. Antoine Kombouaré n’a pas l’habitude de se laisser abuser par les flonflons de la victoire. Il le dit et le répète : son équipe est toujours en construction. Notamment dans le secteur défensif. Remaniée à de nombreuses reprises, l’arrière-garde parisienne tarde encore à se stabiliser. Comment évoluera-t-elle avec les retours de blessure de Sakho et Bisevac? Un problème de riches, sans doute. Mais c’est tout l’équilibre d’une équipe qui en dépend. « Ce PSG-là n’est pas encore à 100%, assure l’ex-attaquant parisien Laurent Robert. Mais en novembre, on devrait voir un très très grand PSG. » Attention les yeux.

Record pour PSG - Lyon sur Canal +.
Le choc de la 9e journée de Ligue 1 entre le PSG et Lyon, diffusé par Canal + dimanche soir, lui offre sa meilleure audience de ce début de championnat avec 2,02 millions d’abonnés selon la chaîne et 2,4 millions sur toute la France si l’on tient compte de tous les câblo-opérateurs. Il s’agit de la meilleure audience entre ces deux équipes dans toute l’histoire de la chaîne. Le PSG version Qatar développe un vrai pouvoir d’attraction.


Citation
L’Italie compare Pastore à « la Joconde »

Au lendemain de la victoire du PSG contre Lyon (2-0), la presse étrangère s’est enflammée pour Javier Pastore, une nouvelle fois buteur dimanche. « Depuis la Joconde, c’est toujours la même histoire, regrette La Gazzetta dello Sport en Italie. On le tenait, nous, les Italiens, et maintenant ce sont les Français qui en profitent. » « La Gazzetta », quotidien sportif de référence, qui titre « PastoRe di Francia » (« PastoRoi de France »), estime que sa progression peut l’amener à dépasser Zidane ou Kaka.

En Espagne, « Marca », un des grands quotidiens sportifs du pays, compare également l’Argentin aux plus grands joueurs : « Pastore appartient à cette catégorie des artistes du ballon, comme Zidane, Riquelme, Aimar, Valeron ou le Brésilien Ganso […]. Il appartient à cette espèce rare de footballeurs qui élèvent ce sport au rang d’art. »


Citation
Plus de 20 M€ de pertes en 2010-2011

Un conseil de surveillance du PSG s’est tenu hier matin. Les administrateurs parisiens ont abordé lors de cette réunion deux sujets principaux : les comptes de l’exercice 2010-2011 et le futur changement de structure juridique de l’entité. Les finances sont dans le rouge une nouvelle fois à hauteur d’une vingtaine de millions d’euros environ.

Ensuite, il a été évoqué par les décideurs parisiens l’assemblée générale des actionnaires (avec Colony Capital et Butler Capital Partners) qui se tiendra aux alentours de la mi-octobre et qui va permettre le retour au conseil d’administration et l’abandon du système en conseil de surveillance et directoire qui prévaut encore aujourd’hui. Le nom de Jean-Claude Blanc, le futur directeur général du club révélé dans nos éditions du 28 septembre dernier, n’a pas été évoqué hier lors de ces échanges. Et l’ancien dirigeant de la Juventus Turin ne sera intronisé dans ses fonctions parisiennes que d’ici une quinzaine de jours et l’assemblée générale des actionnaires.


Le Parisien
Dagoberto
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Pastore dans le onze type européen

Javier Pastore figure dans le onze type européen du quotidien L'Equipe. Une nouvelle disctinction, dans la lignée de sa prestation face à l'OL, ce dimanche, avec un but à la clé pour l'Argentin.

Onze européen du week-end : Neuer (Bayern Munich, All) - Boulahrouz (VfB Stuttgart, All), Campagnaro (Naples, Ita), Ballesteros (Levante, Esp), José Enrique (Liverpool, Ang) - Lampard (Chelsea, Ang), Pastore (Paris Saint-Germain, Fra), Marchisio (Juventus Turin, Ita) - Agbonlahor (Aston Villa, Ang), Higuain (Real Madrid, Esp) - Lewandowski (Borussia Dortmund, All).


psg.FR
Schultzy
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Matuidi absent de trois à six semaines

Après deux jours de repos, le PSG, leader de la Ligue 1, a retrouvé hier après-midi le chemin de l’entraînement. En l’absence des internationaux, une dizaine de joueurs seulement, dont Nene, Ceará, Jallet ou encore Douchez, étaient présents au camp des Loges. Blaise Matuidi, forfait pour les deux matchs des Bleus en raison d’une lésion au muscle postérieur de la cuisse gauche contractée dimanche face à Lyon (2-0), est, lui, resté aux soins.

Il devrait passer une nouvelle IRM, en début de semaine prochaine, à l’issue de laquelle son indisponibilité exacte sera connue. Mais déjà, au club, on évoque une absence allant de trois à six semaines. Plutôt six que trois d’ailleurs.

Sakho avec la réserve dimanche

En revanche, Mamadou Sakho, a, lui, quitté l’infirmerie. Avant d’effectuer le footing avec le reste du groupe l’après-midi, l’international français, comme Sissoko, Landre et Kebano, s’est entraîné dans la matinée avec la réserve du PSG. Absent depuis la mi-août (ischio-jambiers), le défenseur central doit d’ailleurs retrouver la compétition dès dimanche. Le joueur a en effet demandé à participer au match de CFA opposant Paris à Auxerre au camp des Loges. Un point devrait également être fait en fin de semaine au sujet de Milan Bisevac. Le Serbe, parti en sélection pour faire constater sa douleur à l’adducteur, doit effectuer un test dès son retour afin de savoir s’il est apte à s’entraîner avec ses coéquipiers.

Le Parisien.fr
Varino
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Pastore, et maintenant l’Argentine

APRÈS SON EXCELLENT début de saison avec le PSG (5 buts, 2 passes décisives en L 1), Javier Pastore se tourne désormais vers les qualifications à la Coupe du monde 2014 que l’Argentine entamera demain, à Buenos Aires, contre le Chili. Hier, le meneur de jeu international (22 ans, 11 sélections, 0 but) est revenu sur les ambitions de l’Albiceleste après son élimination en quarts de finale de la Copa America par l’Uruguay (1-1 a.p., 4-5 aux t.a.b., le 16 juillet) : « Nous avons changé d’entraîneur (Alejandro Sabella à la place de Sergio Batista) et devons penser à de nouveaux objectifs, a-t-il déclaré à l’AFP. Les gens seront sûrement un peu différents parce qu’ils espéraient gagner la Copa America comme nous. Mais on est tranquilles, on sait qu’il faut faire le mieux possible pour être à la Coupe du monde, qui est très importante pour l’Argentine. » Interrogé sur l’hypothèse d’être titulaire ou remplaçant, Pastore a répondu : « Il y a beaucoup de concurrence, mais chacun doit essayer d’apporter quelque chose. Si je devais être sur le banc, j’essaierais de soutenir les autres. Si je devais jouer d’entrée, j’essaierais de donner mon meilleur pour que l’équipe gagne. »



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Luyindula réintégré?

Privé du droit de se battre sur un terrain, Peguy Luyindula (32 ans) a décidé de se bagarrer en coulisses. Contestant le bien-fondé de sa mise à l'écart de l'effectif pro depuis le début de la saison, l'attaquant parisien (recruté en janvier 2007 et sous contrat jusqu'en juin 2012) a saisi la commission juridique de la Ligue. Cette dernière a décidé de convoquer les deux parties, mardi prochain.

Et il se pourrait bien que Luyindula obtienne gain de cause. Dans un courrier de deux pages en date du 27 septembre, adressé par fax à l'avocat du joueur et celui du Paris-SG, Philippe Piat, coprésident de l'UNFP (Union nationale des footballeurs professionnels), dénonce l'interprétation faite par les clubs du nouvel article 507 de la charte deu football professionnel, relatif à la gestion de l'effectif. Les aménagements prévus (notamment « l’hypothèse où un second groupe de travail serait constitué du 1er septembre au 30 juin » ) ont pour « but de faciliter la tâche des entraîneurs bénéficiant d’un effectif pléthorique, non de sanctionner ou d’écarter quelque joueur que ce soit, écrit Philippe Piat. Il est fondamental de rappeler que le contrat de footballeur professionnel, homologué par la LFP, a pour objet la pratique du football professionnel en vue de participer aux compétitions organisées par la LFP, en toute égalité de traitement et sans aucune discrimination. L’objectif n’étant assurément pas de “mettre au placard” un joueur ».

Surtout, d’un point de vue strictement juridique, M. Piat rappelle qu’« imposer au joueur sa participation permanente aux entraînements du deuxième groupe et aux rencontres de l’équipe réserve évoluant en CFA reviendrait à lui imposer une modification substantielle de son contrat de travail. Ce qui, en droit, ne saurait être possible sans l'accord du salarié ».

En clair, le respect d’un contrat de travail ne se résumerait pas pour un club au seul paiement du salaire du joueur. Il impliquerait aussi le respect de son objet, à savoir de lui permettre de jouer avec les pros. Sauf cas exceptionnels (retour de blessures, mise à l’écart provisoire…) ou accord express du salarié, un club ne pourrait donc pas confiner un professionnel au seul CFA pendant toute une saison. Ce qui est actuellement le cas de Luyindula et des neuf autres lofteurs de Ligue 1 (*) (voir L’Équipe d’hier).

Joint hier soir, Philippe Piat a confirmé l’envoi de cette lettre, qui pourrait également être expédiée aux autres clubs. « Commetous les textes, il y a ceux qui veulent les appliquer et ceux qui veulent trouver la faille pour les détourner, déplore-t-il. Les clubs ont détourné l’esprit de l’article 507 pour sanctionner les joueurs. » Le coprésident de l’UNFP ne doute pas, dès lors, de l’issue de la procédure intentée par Luyindula : « S’il fait constater sa mise à l’écart, il est sûr de gagner et d’être réintégré dans le groupe 1. » Cette décision ferait alors jurisprudence et plongerait les autres clubs qui ont créé des lofts de joueurs – Saint-Étienne, notamment – dans l’embarras.
BERNARD LIONS

(*) Mickaël Isabey, Alexis Zywiecki (Dijon), Julien Rodriguez (Marseille), Jean Calvé (Nancy), Jonathan Quartey (Nice), Loris Arnaud ( Paris-SG), Moustapha Bayal Sall, Sylvain Monsoreau et Boubacar Sanogo (Saint-Étienne).

L'Equipe
Peyton
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PSG : Jean-Claude Blanc DG (officiel)

Jean-Claude Blanc (48 ans) sera bel et bien le nouveau directeur général délégué du Paris-SG, a confirmé Qatar Sports Investments (QSI), le propriétaire du club, vendredi dans un communiqué. Cette nomination, que la presse avait déjà annoncée fin septembre, sera entérinée le 21 octobre lors d'une Assemblée Générale du club. Cette AG se prononcera sur la modification du mode d'administration et de direction du club par l'adoption d'un Conseil d'administration. «Jean-Claude Blanc prendra ses fonctions à l'issue dudit conseil», précise QSI dans son texte.
Harvard, FFT, Juventus...

Jean-Claude Blanc, 48 ans, ancien président de la Juventus Turin, sera en charge de l'ensemble des activités du club hormis le secteur sportif, indique encore QSI. «Il travaillera en étroite collaboration avec Leonardo», le directeur sportif parisien. Jean-Claude Blanc, diplômé de Harvard et qui fut également directeur général de la Fédération française de tennis, avait démissionné de son poste d'administrateur délégué de la Juve en mai dernier après cinq ans passés au club. (Avec AFP)


Lequipe.fr
Biz Markie
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Pastore joueur du mois UNFP

La distinction ne surprendra aucun amateur de beau jeu : Javier Pastore vient de se voir décerner le trophée UNFP-RMC-L'Equipe du joueur de Ligue 1 du mois de septembre. Le milieu argentin du Paris-SG affole les stats (5 buts et 2 passes décisives en 6 titularisations) et a déjà mis le public du Parc des Princes à ses pieds (élu par les supporters meilleur joueur du PSG en août et septembre). La star modeste a engrangé les 3/4 des votes, loin devant le Lyonnais Bafé Gomis (18%) et l'Auxerrois Alain Traoré (7%).
Le dernier joueur à avoir décroché le titre de joueur du mois dès son arrivée s'appelait Lisandro Lopez. L'Argentin de l'OL, distingué en août 2009, avait été désigné meilleur joueur de l'ensemble de la saison au printemps suivant. Pastore devrait recevoir son trophée lors de la réception de Dijon au Parc des Princes le 23 octobre (11e journée de L1).


lequipe.fr
Beuzech
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Léo double la prime, QSI la triple

La victoire (2-0) sur Lyon dimanche dernier n'a pas seulement offert au Paris-SG d'être seul en tête de la L1, elle a aussi enrichi le vestiaire trois fois plus que prévu, la direction du club accordant aux joueurs et au staff une prime de 12 000 euros, contre les 4000 habituels en cas de succès. Dans l'euphorie de l'après-match, Leonardo, le directeur sportif, a d'abord doublé la prime. Peu de temps après, comme le raconte le Parisien, dimanche, Nasser al-Khelaïfi, le patron de QSI et du conseil de surveillance du PSG, est à son tour venu féliciter le groupe... et lui a alloué une triple récompense ! Le quotidien francilien a calculé que cette largesse financière coûtera au club entre 300 000 et 4000 euros.


HHA
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Bisevac trop court, Sakho paré

Blessé aux adducteurs avec la Serbie le 6 septembre face aux Îles-Féroé (3-1), Milan Bisevac, le défenseur axial du Paris-SG, ne devrait pas figurer dans le groupe qui affrontera Ajaccio dimanche prochain 16 octobre en Corse (17h00). Le joueur de 28 ans, qui reçoit toujours des soins, avait prévenu le 29 septembre, avant le déplacement des Parisiens à Bilbao en Ligue Europa (0-2), qu'il en avait «encore pour trois semaines».

Autre central du PSG, absent, lui, depuis mi-août, Mamadou Sakho, de retour d'une blessure à la cuisse droite, a joué (et perdu), samedi, avec la réserve du PSG en CFA contre Auxerre (1-2). Il postule à une place de titulaire dans une semaine, d'autant que Diego Lugano, double buteur avec l'Uruguay vendredi contre la Bolivie en éminatoires AmSud du Mondial 2014 (4-2), sera suspendu à Ajaccio. «Je serai à l'entraînement lundi, a expliqué Sakho. Je me sens bien, je suis prêt, mais c'est au coach de décider.»
Gameiro aux soins, entraînement pour Ménez

Pendant que l'international faisait son galop d'essai, ses coéquipiers du PSG et des Bleus, Kevin Gameiro et Jérémy Ménez, ont connu samedi à Clairefontaine une journée consacrée aux soins pour le premier nommé (genou gauche) et à l'entraînement pour le second, resté sur le banc contre l'Albanie, vendredi (3-0). Javier Pastore, pas entré en jeu non plus avec l'Argentine contre le Chili, vendredi (4-1), aura peut-être sa chance contre le Venezuela, deuxième match de qualification pour l'Albiceleste d'Alejandro Sabella, dans la nuit de mardi à mercredi à Puerto la Cruz (03h20)


lequipe.fr
ZéroQuatorze
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Les supporters privés de clasico

Comme l'année dernière, les supporters marseillais et parisiens seront privés de déplacement pour Marseille-PSG, le 27 novembre, et PSG-Marseille, le 7 ou le 8 avril 2012. Selon Le Parisien ce lundi, le Ministère de l'Intérieur paris cette décision jeudi 6 octobre, en concertation avec les forces de l'ordre et de la Préfecture de Paris. Les responsables policiers avaient déjà opté pour cette mesure forte la saison dernière. Cette année, les pouvoirs publics craignent encore des débordements encore plus difficiles à gérer dans un Vélodrome en travaux.

Sarconzie
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Sakho, retour imminent

Après avoir effectué son retour à la compétition le week-end dernier avec la CFA, Mamadou Sakho devrait être du déplacement à Ajaccio ce dimanche (17h00).

C'est la bonne nouvelle de la semaine au Camp des Loges : le retour programmé du capitaine Mamadou Sakho en Ligue 1, après deux mois d'absence dûe à une blessure aux ischio-jambiers. «Mamad', ça fait du bien de le retrouver, témoigne Christophe Jallet, interrogé à l'issue de la séance de ce mercredi matin à huis-clos. C'était un taulier la saison passée. Son retour, c'est un grand espoir pour nous d'avoir justement de meilleures performances encore.» Sur le parking du Camp des Loges, le taulier en question patiente gentiment derrière la voiture de son latéral droit. La vitre se baisse, on en profite pour prendre des nouvelles. «Si je vais être dans le groupe dimanche ? Il faut demander ça au coach, répond Sakho dans un large sourire. Tout va bien pour moi...On verra bien.»

«Moi, un taulier ? Non, vous rigolez. Le taulier, ils l'ont recruté cet été...»

On lui fait remarquer que c'est une grande nouvelle pour son équipe, qu'il risque de récupérer son brassard de capitaine sous peu, et sa place de cadre sur le terrain et dans le vestiaire, de taulier, malgré son jeune âge. «Moi, un taulier ?, s'exclame-t-il. Non, vous rigolez. Le taulier, ils l'ont recruté cet été...» Diego Lugano ? «Oui, il est là, le taulier... », rétorque Sakho avant de s'éclipser. Jeudi, Antoine Kombouaré récupèrera ses latins Sirigu, Pastore et Lugano justement, de retour de sélections. Ce mercredi matin, le Kanak a fait travailler son équipe sur le replacement défensif avec une quinzaine de joueurs sous ses ordres, pendant que Bisevac peaufinait son physique avec le préparateur et que Gameiro et Menez se contentaient de soins.- Olivier SCHWOB, au Camp des Loges



Lucciste



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Le jour où l’organisation de la Coupe du monde 2022 a été confiée au Qatar, le football en a été transformé. Le Moyen-Orient, région mal comprise par l’Occident après des années de frictions politiques, a ainsi bénéficié d’une occasion de rectifier les idées reçues et de sortir de l’isolement. Cette conquête des cœurs et des esprits se déroule principalement en Europe.

Les investissements en provenance du Golfe ont transformé l’avenir de plusieurs clubs dans toute l’Europe, parmi lesquels Málaga, le Racing Santander, le Getafe, le Paris Saint-Germain et, pour le cas le plus célèbre, Manchester City. Les apports de fonds à des clubs n’ayant que peu ou pas de grandes réussites à leur actif met sens dessus dessous le marché des transferts. Au cours des deux dernières décennies, Emirates Airlines [compagnie aérienne des EAU] est devenue l’un des plus grands sponsors commerciaux du monde en matière d’événements sportifs et, alors que le Qatar a été désigné pour accueillir la Coupe du monde en 2022, une question se pose : l’avenir du football – et du sport en général – repose-t-il entre les mains de quelques millionnaires moyen-orientaux ? Et si tel est le cas, est-ce un problème ?

Le propriétaire qatari de Málaga, Abdullah Al-Thani, a déclaré qu’il constatait une collaboration grandissante entre le Moyen-Orient et l’Europe, et, vu l’irrépressible envie de nombreux clubs d’attirer les plus grands noms et de payer les plus gros salaires, ce phénomène se traduit par une dépendance croissante de beaucoup de clubs à l’égard de leur papa gâteau. Málaga et le Racing Santander ont reçu suffisamment d’argent en quelques mois pour rêver devenir les Manchester City espagnols – d’où les sommes colossales proposées cette année pour débaucher Wesley Sneijder et Javier Pastore.

Si l’acquisition de petits clubs obscurs comme le FC Anzhi Makhachkala russe par Suleyman Kerimov, investisseur milliardaire [et ancien député du Parlement russe], peut attirer quelques stars vieillissantes en quête d’un dernier gros chèque, l’argent qui afflue du Golfe en direction des grosses formations établies pourrait finir par provoquer des dégâts. Au début de cette année, Qatar Airways avait annoncé son premier gros accord commercial sportif en devenant la ligne aérienne officielle du Tour de France 2011. Même le FC Barcelone s’y est mis, marginalisant son accord caritatif avec l’Unicef pour permettre à la Qatar Foundation de figurer en bonne place – pour un montant de 150 millions d’euros – sur les maillots de l’équipe.

Si Mastercard, Heineken ou Coca-Cola restent des acteurs majeurs dans le sponsoring sportif européen, plusieurs grandes marques moyen-orientales les ont rejoints – et elles continueront à progresser jusqu’à la Coupe du monde 2022 au Qatar.

La vague d’acquisitions de clubs de football européens permet aujourd’hui au Moyen-Orient de jouer des muscles. Les plus spectaculaires de ces acquisitions ont lieu en France, où l’on sent comme un petit air de révolution. A la différence de Londres, Rome ou Madrid, la capitale française ne possède qu’une seule grande équipe : le Paris Saint-Germain. Le problème, c’est que le PSG n’est pas vraiment brillant. Or, selon leurs nouveaux propriétaires qataris, là n’est pas la question. “Nous voulions acquérir le PSG parce que c’est le seul club de la capitale française. C’est un grand club, avec toute une histoire derrière lui et des fans enthousiastes”, a expliqué le Qatari Nasser Al-Khelaifi le jour où on lui a remis les clés du Parc des Princes. “Acquérir le PSG est un rêve”, a-t-il ajouté.

Michel Platini [président de l’UEFA], à qui Wenger [entraîneur d’Arsenal] fait confiance pour faire respecter l’équité financière, craint que des opérations telles que le rachat du PSG ne finissent par changer l’identité culturelle des équipes. “Je ne suis pas fan, a déclaré Platini. Le football a été formé sur l’identité. Quand le PSG jouait contre Marseille, c’était les gens de Paris qui jouaient contre les gens de Marseille. Aujourd’hui, les Qataris viennent. Je ne suis pas fan. Ils sont là, tant mieux, mais le jour où ils vont partir, ils vont mettre le club en faillite.”

Bien entendu, ceux qui tirent profit du changement de propriétaire du PSG, et qui viennent de recruter Leonardo, ancien entraîneur de l’Inter Milan, comme directeur sportif, sont convaincus qu’ils tiennent entre leurs mains une occasion d’accéder à la gloire. “Ça ouvre des possibilités”, souligne Robin Leproux, président du PSG. “C’est la meilleure chose qui pouvait arriver au club. C’est une excellente nouvelle d’avoir ce partenaire financier solide à un moment où le football français, comme chacun sait, se débat dans les difficultés financières.” En effet, le football français a été incapable de récolter les fruits juteux que rapporte le championnat de ligue 1 depuis que Rupert Murdoch [magnat australien des médias] a commencé à le financer il y a une vingtaine d’années, ouvrant ainsi la voie à de très lucratifs contrats télévisés.
Homer
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Nene ne dit pas non aux Bleus

Toujours pas convoqué en Seleçao, le milieu brésilien du PSG Nene pense à demander la nationalité française... pour jouer avec les Bleus.

Interrogé mardi soir sur RMC sur la possibilité qu'un jour il porte le maillot bleu plutôt que celui du Brésil, Nene (30 ans) n'a pas fermé la porte. «Je vais tout donner pour le Brésil pour essayer de jouer la Coupe du monde 2014 qui se disputera dans mon pays, a déclaré dans un premier temps le joueur du PSG. Mais au bout d'un moment, si je vois que je ne peux pas y arriver avec le Brésil... Une Coupe du monde, c'est quand même beau. Donc si c'est pour disputer un Mondial, oui, je penserai à l'équipe de France. A mon avis, il n'y aura pas de problème. C'est une chose importante et ça peut arriver. J'ai la double nationalité (brésilienne, espagnole, NDLR). Et j'espère avoir bientôt la triple». L'an dernier, malgré son excellent début de saison avec le club parisien, il n'avait pas été appelé en Seleçao pour affronter les Bleus en amical au Stade de France.

L'Equipe.fr
Homer
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Paris est-il hors concours?

Leader de la Ligue 1 avec trois points d’avance à la veille de son déplacement à Ajaccio, le PSG suscite de la part de ses concurrents des réactions diverses et extrêmes. Admiration, fascination, irritation voire exaspération, selon les interlocuteurs. Ce n’est pas nouveau, mais le phénomène a pris une ampleur inédite depuis depuis la reprise du club par les fonds souverains qatariens en juin.

La nouvelle surface financière du PSG interpelle le landerneau et offre un nouvel angle de tir à ses détracteurs. « Chez nous, l’argent ne sort pas du robinet ou des puits de pétrole », tacle par exemple le Marseillais Benoît Cheyrou, en référence aux 86 M€ dépensés par le PSG lors du dernier marché des transferts. Vice-champion d’Europe du mercato, juste derrière Manchester City, le PSG a bouleversé la hiérarchie économique du Championnat de France. Et, comme par magie, l’argent a fait son bonheur. Aujourd’hui, Paris domine la L1 et s’affirme comme le favori au titre de champion, alors que l’équipe est encore en rodage. Dans ces conditions, peut-on dire que le PSG est déjà hors concours, voire surdimensionné par rapport au niveau hexagonal? Nous avons posé la question dans les quatre derniers clubs champions de France. Dans l’ordre : Lille, Marseille, Bordeaux et Lyon.

« Rien n’est fait » MICHEL SEYDOUX, PRÉSIDENT DE LILLE

Le simple fait d’aborder le sujet sous cet angle hérisse le président du Losc, champion en titre. « Les Parisiens ne seront pas forcément champions, répond Michel Seydoux. Ils n’écrasent pas du tout le championnat, je ne suis pas d’accord avec ceux qui disent ça. Ils font partie des favoris, mais rien n’est fait. » Quant aux joueurs lillois, loin de s’avouer battus d’avance par le PSG, ils sont sur la même longueur d’onde que leur président. « Paris, c’est très, très fort, souffle Benoît Pedretti. Les Parisiens ont un onze de qualité et aussi beaucoup de bons joueurs sur le banc. » Avant d’ajouter : « Ils seront assurément dans les cinq premiers. » Drôle de pronostic… « La saison est longue, le PSG a une énorme pression qu’il va falloir gérer », complète Florent Balmont.

« C’est le candidat numéro un au titre » DIDIER DESCHAMPS, ENTRAÎNEUR DE MARSEILLE

L’entraîneur Didier Deschamps a peut-être déjà compris que son équipe ne se mêlera pas cette année à la lutte pour le titre. En tout cas, il se montre beaucoup plus élogieux que les Lillois au sujet du PSG. « Les Parisiens sont les candidats numéro un au titre de champion de France, affirme le coach de l’OM. Ils ont un effectif riche en qualité et en quantité. Et leur mentalité me semble intéressante. Non seulement les joueurs ont beaucoup de talent, mais ils sont aussi habités par l’esprit de compétition. »

« Pas au-dessus du lot » FRANCIS GILLOT, ENTRAÎNEUR DE BORDEAUX

Comme Deschamps à l’OM, Francis Gillot, l’entraîneur des Girondins, observe pour l’instant depuis les profondeurs du classement la lutte qui se dessine au sommet de la Ligue 1. « Il est trop tôt pour dire que Paris est au-dessus du lot, estime Gillot. Les Parisiens sont à la lutte avec les deux autres favoris, Lyon et Lille, et ils le resteront jusqu’au bout de la saison. Je ne les vois pas dominer les débats de la tête et des épaules. »

« Il faut rester mesuré » BERNARD LACOMBE, CONSEILLER DU PRÉSIDENT DE LYON

Même son de cloche à Lyon, où Bernard Lacombe, le conseiller du président Aulas, relativise la réussite actuelle du PSG. « Après seulement neuf journées, il faut rester très mesuré. Que Paris soit favori pour le titre, oui, mais Lille, Rennes, et nous-mêmes, seront là aussi. » Au sujet du phénomène Javier Pastore, déjà auteur de cinq buts tous plus beaux les uns que les autres, de deux passes décisives et d’une myriade de gestes classieux, une pointe d’agacement affleure dans les propos de Bernard Lacombe. « Quand on achète un joueur à 42 millions, on a plus de chance de gagner des matchs, dit-il. Heureusement qu’il fait quelques passes et qu’il marque quelques buts, sinon ça ferait cher! »


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Sirigu : «Pastore me rend nerveux»

Pour la première fois de la saison, Salvatore Sirigu, le gardien parisien, est venu vendredi en conférence de presse à l'issue de l'entraînement. S'il comprend de mieux en mieux le français, il préfère néanmoins s'exprimer dans sa langue maternelle.

Interrogé sur Javier Pastore, son ami qu'il connait depuis trois ans et leur passage à Palerme, Sirigu ne s'est pas voulu dithyrambique.

«Javier est un bon joueur mais il est encore jeune. Parfois quand je le vois faire des conneries (sic) avec le ballon, il me rend nerveux. J'aimerais qu'il soit plus lucide. Il doit se mettre encore plus au service du collectif. Mais il possède un énorme potentiel.»

A l'idée que David Beckham puisse signer au PSG, Sirigu s'est montré enthousiaste. «C'est une idée fascinante et qui serait très bonne pour l'image du club. Elle prouverait que Paris peut attirer de très grands joueurs. Beckham en est toujours un. Je l'ai affronté quand il jouait à l'AC Milan et je peux vous assurer qu'il possède toujours un très bon niveau. Ce serait fantastique de le voir ici.»

Le Parisien.FR

Citation
Sirigu : «Rien n'est établi»

Auteur d'un très bon début de saison, Salvatore Sirigu, le gardien italien du PSG, a accepté de balayer pour la première fois toute l'actualité de son club avant d'aller dimanche à Ajaccio (17h00).

« Buffon est intouchable »

« Je suis très heureux d'appartenir à la Nazionale. Je vis ma situation de doublure de Buffon, vraiment tranquillement, car en Italie tout le monde sait que Buffon est le meilleur. Il est intouchable. Maintenant, derrière lui, la situation est un peu particulière car tous les autres gardiens doivent toujours être performants et être prêts à le remplacer. Tout se passe bien pour le moment, l'équipe crée de l'émotion et je vis cette période avec enthousiasme.»

« Au PSG, rien n'est établi dans le but »

« On me pose tous les jours la même question (avec Douchez). Mais tout se passe bien (sourire). La concurrence est normale comme dans n'importe quel club. Il n'y a rien d'établi à Paris. Et je ne me sens pas intouchable. Je m'attache à donner le meilleur, je fais mes matches et le plus important c'est que l'équipe gagne, continue d'avancer. Personne n'est indispensable à Paris. Notre force, c'est le groupe, c'est l'équipe. Personnellement, je me suis bien intégré à la Ligue 1. Cela fait deux mois que je suis là, le bilan est plutôt positif. Les résultats sont là et c'est l'essentiel pour moi. »

« Kombouaré met toujours le positif en avant »

« J'ai connu pas mal d'entraîneurs en Italie, chacun est différent, a son style et sa philosophie de jeu. Kombouaré, lui, est une personne qui cherche à intégrer tous les joueurs dans le projet du club. Il nous parle pas mal, il nous encourage. Il préfère toujours ressortir le côté positif plutôt que de souligner ce qui ne va pas. Il a toujours le bon mot et nous met en garde sur les nombreux dangers qui peuvent nous guetter. Surtout dans une période de victoires comme celle que nous connaissons. Il faut continuer à travailler beaucoup pour garder le cap et savoir rester concentrés. »

« Pastore peut encore s'améliorer »

« Pastore est jeune, il n'a que 22 ans. Il peut encore progresser, devenir meilleur. Il a toutes les qualités et le potentiel pour, en tout cas. Il peut faire encore mieux je pense, il peut jouer davantage pour l'équipe. Il a son style de jeu, spectaculaire, son caractère, mais moi je préfère l'efficacité pour dire la vérité. Cette saison, par exemple, il m'a déjà un peu "énervé" gentiment sur le terrain avec quelques gestes (sourire). Mais ça reste un très bon joueur, agréable à voir jouer c'est sûr. »

« Beckham peut changer l'image du club »

« Se dire que c'est possible que Bekham signe à Paris, c'est fascinant. Faire venir un joueur comme lui dans cette période serait significatif pour le club, sur le plan international. C'est à travers ce genre de joueur que l'on peut encore changer l'image du Paris-Saint Germain. Son arrivée serait une grande satisfaction pour tout le monde, car je me souviens du joueur de l'AC Milan, il est encore bon. Ça me fascine de me dire que je pourrais jouer avec lui. Ce serait vraiment un honneur, car il a marqué l'histoire du football. »

L'Equipe.fr
NainSG
Citation
Caïazzo balance les dessous du transfert de Matuidi


Ce n'est pas 10 mais 11,5 millions ou plus exactement 9,5+2 millions d'euros de bonus que le Paris Saint-Germain a versé à l'ASSE cet été, pour le milieu de terrain international Blaise Matuidi. L'information donnée ce samedi par le 10Sport ne serait qu'anecdotique si son auteur ne l'avait pas obtenu de la bouche de Bernard co-président du club stéphanois aux côtés de Roland Romeyer.

Le PSG a demandé à l'ASSE de mentir sur le prix de Matuidi

Car selon ce dernier, ce n'est pas par hasard que le chiffre de 10 millions d'euros a circulé jusque-là dans les médias. "Le PSG nous avait demandé de rester discret sur le montant du transfert. Mais maintenant, il y a prescription" balance Bernard Caïazzo. L'arrangement ainsi que nous le décrit le 10Sport se décompose en une indemnité fixe de 9,5 millions d'euros. Plus deux millions d'euros potentiels, selon le nombre de participation du joueur à des matches de Ligue des Champions sous les couleurs parisiennes.

Les Qatariens souhaitaient-ils éviter de passer pour des flambeurs ?

Mais alors, quel intérêt QSI (Qatar Sport Investment) a-t-il eu à mentir sur une telle somme, sachant ses propriétaires immensément riches ? Peut-être faut-il se rappeler les propos de l'époque donnés par l'ex-président Robin Leproux - "Les Qatariens ne vont jeter leur argent par les fenêtres" avait-il dit dans Le Parisien en juin - et relayés avec force de conviction par le directeur sportif Leonardo et le patron de l'ensemble, Nasser al-Khelaifi. Même très riches, le Qatar ne voulait surtout pas donner l'image d'un flambeur. Ceci pourrait alors expliquer la demande plutôt insolite faite à Bernard Caïazzo.


Sportune qui cite le 10Sport
Homer
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Jallet : « Nous sommes obligés de penser au titre de champion »

Christophe Jallet s’attend à un déplacement difficile, aujourd’hui, en Corse. Après deux semaines de coupure, le PSG va tenter de repartir de l’avant pour conforter sa place de leader du championnat.

Fils de viticulteurs, originaire du Sud-Ouest, Christophe Jallet garde les pieds sur terre et ne se laisse pas griser par la réussite actuelle du club parisien, leader de la Ligue 1. Après un début de saison contrarié par une blessure à la cuisse, son but face à Lyon début octobre lui a redonné confiance. En l’absence de Jérémy Ménez, suspendu, Jallet devrait être titulaire cet après-midi à Ajaccio.


Que pensez-vous de la possible arrivée de Beckham au PSG?

CHRISTOPHE JALLET. C’est un honneur qu’un joueur comme Beckham s’intéresse au PSG. Pour ma part, je n’ai jamais évolué aux côtés d’une star interplanétaire comme lui! On doit sûrement apprendre beaucoup à ses côtés. Sinon, nous savons tous que le recrutement de joueurs à très forte notoriété fait partie de la nouvelle politique du club. Mais pour l’instant, rien n’est fait, à ce que je sache. Entre nous, Beckham n’est pas un sujet de conversation. On en blague de temps en temps, c’est tout.

Vous êtes capable de jouer latéral droit comme milieu droit. N’est-ce pas cette polyvalence qui vous empêche de vous installer cette année comme titulaire?
Je ne vois pas les choses de cette façon. Depuis mes premières années de pro à Niort jusqu’à aujourd’hui au PSG, c’est justement ma polyvalence qui m’a permis d’avoir toujours du temps du jeu. Bon, ensuite, c’est vrai : je me sens plus à l’aise au poste d’arrière droit où je peux faire valoir mes qualités de contre-attaquant. En milieu de terrain, face à une équipe regroupée, c’est un peu plus difficile pour moi. Je ne suis pas Jérémy Ménez. Lui, même quand il a trois défenseurs sur le dos, il est capable de se retourner et de centrer.

Comment vous situez-vous par rapport à Ceará, le titulaire actuel au poste d’arrière droit?
Honnêtement, Marcos a fait des bons matchs depuis le début de saison et c’est normal qu’il joue. En plus, il est très important dans le vestiaire. Il fait le lien avec les nouveaux qui parlent espagnol ou portugais. Je pense notamment à Lugano.

Etes-vous d’accord pour dire que le PSG est un leader qui peut mieux faire?
La marge de progression est réelle. Dans le jeu, on a encore beaucoup de choses à régler, on a parfois du mal à se trouver sur le terrain, et les victoires sont souvent serrées.

Javier Pastore masque-t-il à lui seul les lacunes de l’équipe?
L’an passé, déjà, cette question nous était posée avec Nene quand il marchait sur l’eau. Cela a duré six mois et ensuite, l’équipe a quand même réussi à garder le rythme. Concernant Javier, c’est vrai : il fait la différence à chaque match. Par son talent, il apporte l’étincelle. Mais n’oublions pas qu’il y a autour de lui beaucoup de joueurs qui travaillent dans l’ombre pour lui permettre de briller.

Pouvez-vous désormais viser autre chose que le titre de champion de France ?

Nous sommes obligés de penser au titre de champion. Mais il ne faut pas croire que cela sera facile. Le PSG ne va pas gagner tous ses matchs 4-0. On n’a pas le droit de s’endormir. Tout le monde, en Ligue 1, a envie de se payer Paris. A Ajaccio, par exemple, où le PSG n’est pas venu jouer depuis longtemps, ’accueil sera chaud...


Le Parisien

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Kombouaré ne pense pas à Beckham

Avant d'aller affronter l'AC Ajaccio ce dimanche (17h00), l'entraîneur du Paris-SG Antoine Kombouaré a assuré que David Beckham ne fait pas partie de ses préoccupations.


Ce samedi en conférence de presse, à la veille d'affronter l'AC Ajaccio (dimanche 17h00), Antoine Kombouaré s'est beaucoup plus employé à parler de Beckham et Pastore que de la formation corse. Sur la venue de David Beckham, annoncée comme quasiment acquise par L'Equipe, l'entraîneur du Paris-SG a préféré botter en touche. « Ce qui m'intéresse, c'est l'actualité présente, le match face à Ajaccio, a éludé le technicien. Sur toutes les autres recrues, je n'ai jamais parlé, je ne vais pas changer mon discours, surtout pas.»

« Mes soucis, c'est de savoir si on sera aussi bons sans Lugano, sans Ménez, sans Matuidi, et comment vont se comporter les joueurs de retour de blessure », a-t-il ajouté en citant trois titulaires habituels suspendus. « En début de saison, je ne devais pas être là, c'était compliqué, donc forcément je prends match par match, a ensuite développé un Antoine Kombouaré philosophe. Mon avenir à moi, c'est le match de demain (dimanche). Plus on gagne de matches, plus je suis fort, plus je conforte ma position, et le club peut accroître aussi son avance sur ses poursuivants. Ce qui m'intéresse, c'est les joueurs avec qui je travaille aujourd'hui, point barre. »

Kombouaré défend Pastore

D'autre part, le Kanak a tenu à relativiser les propos de son gardien Salvatore Sirigu sur son coéquipier Javier Pastore. L'Italien s'était dit parfois « énervé » par le jeu de l'Argentin. « C'est l'ami qui parle, a jugé Kombouaré. Il estime que Javier doit faire des progrès à ce niveau-là. Ce qui m'intéresse, c'est que Pastore continue à faire de très bons matches, à être efficace et à faire gagner le PSG. Tous les joueurs ont à améliorer, chacun dans son secteur de jeu, une défaillance, une insuffisance, a-t-il poursuivi. Pour les défenseurs, il faut être plus forts dans les duels. Lui, on va lui demander peut-être d'être meilleur, mais je crois qu'aujourd'hui il a mis quand même la barre assez haut. Après, il faut qu'il maintienne cela. Qu'il continue à aligner les très grosses performances, et je serai content. »

L'Equipe
paseric
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Mamadou Sakho devrait débuter
Antoine Kombouaré avait choisi hier après-midi d’entamer sa causerie par un cocorico afin de saluer la qualification du XV de France en finale de la Coupe du monde. « Je suis comme tous les Français, heureux et fier », a-t-il confié. Ces deux sentiments l’étreindront aussi ce soir vers 19 heures si son équipe dispose de l’AC Ajaccio. Cette opposition, comme on peut le lire sur le site du club insulaire, c’est David contre Goliath. Pareille fin ne plairait ni à Kombouaré ni davantage à Leonardo, le directeur sportif. En conséquence, l’ex-entraîneur de Valenciennes, a martelé hier qu’il fallait « respecter Ajaccio ». « C’est très important. Nous allons jouer un match de coupe. Nous sommes attendus. Nous le savons, a-t-il averti. Nous sommes favoris. » Ce rendez-vous présente des analogies avec le déplacement à Annecy face à Evian-Thonon Gaillard, voici un mois. Devant un autre promu, Paris s’était fait balader pendant la première demi-heure au point d’être mené 2-0. Finalement, il avait réussi à arracher le nul. « Ajaccio est l’une des équipes les plus faibles de L 1, poursuit Kombouaré. Mais elle reste sur deux nuls en déplacement, à Brest et Dijon. Si l’on ne fait pas ce qu’il faut défensivement et offensivement… »
Peu importe la manière
Une deuxième défaite en L 1, après le revers inaugural contre Lorient au Parc (1-0), ferait désordre pour le leader du
championnat qui reste sur deux succès probants à Montpellier (3-0) et contre Lyon(2-0). « Après une trêve internationale, on ne sait jamais si l’on va bien repartir. Je m’interroge, reconnaît Kombouaré. Après celle de septembre, on avait gagné. » Son équipe avait alors battu Brest (1-0). Cet après-midi, plusieurs doutes entourent la formation parisienne, amputée de trois joueurs importants: Matuidi, Ménez et Lugano, tous suspendus. Ces absences s’ajoutent à celles de Bisevac et Hoarau, blessés. Une autre interrogation taraude Kombouaré : dans quel
état de forme se trouve Sakho, vraisemblablement titulaire ce soir, après sa longue indisponibilité. Malgré ces interrogations, le PSG doit s’imposer en Corse. « Plus on gagne de matchs, mieux c’est pour le club et plus je renforce ma position », a glissé Kombouaré. Et, à l’image du succès étriqué du XV de France contre les Gallois, peu importe la manière.
ARNAUD HERMANT

Antoine Kombouaré a évoqué hier son entente avec Leonardo, le directeur sportif parisien. « Ma relation avec Leonardo est bonne, emprunte de respect. Nous sommes deux hommes qui ont compris que ce n’était pas Leonardo ou Kombouaré qui comptaient mais le PSG. On est proches des joueurs pour leur montrer la voie. »

Matuidi pourrait revenir en décembre
Quand reverra-t-on Blaise Matuidi avec le maillot du PSG ? En 2011 ? Il est difficile d’être catégorique aujourd’hui. Blessé à la cuisse gauche contre Lyon (2-0) le 2 octobre, l’ancien Stéphanois doit passer de nouveaux examens en début de semaine afin de juger de l’évolution de sa blessure. Initialement, le club parisien avait communiqué sur une absence d’un gros mois. Mais au PSG, on redoute désormais une indisponibilité aussi longue que celle de Mamadou Sakho. Blessé à une cuisse à Rennes le 13 août, le défenseur international, de retour à Ajaccio, est demeuré absent des terrains neuf semaines.
Si Matuidi rencontrait pareille infortune, son retour n’interviendrait alors pas avant la première semaine de décembre. Au regard de la proximité de la trêve hivernale, fixée cette saison au 21 décembre au soir d’un déplacement à Saint-Etienne, le staff médical ne prendra aucun risque avec le joueur. Matuidi, 24 ans, est en effet une pièce majeure du dispositif d’Antoine Kombouaré, lequel l’a titularisé à neuf reprises en autant dematchs de L 1.
A.H.

Le Parisien
HHA
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Gameiro : «Finir meilleur buteur»

«Kévin Gameiro, votre équipe l'a emporté malgré une première période mitigée...
Même si on prend des buts (à la 24e par Carl Medjani), on sait qu'on est capable d'en mettre un de plus que l'adversaire. Ça peut être notre force cette année. Tout n'a pas été parfait, mais le principal c'est la victoire. Se déplacer à Ajaccio n'est pas toujours facile. On était venu pour rapporter les trois points et c'est ce qu'on a fait. Notre dynamique positive ne s'arrête pas.

Votre triplé vous replace en tête du classement des buteurs...
C'est le deuxième de ma carrière (le premier était le 19 février dernier, avec Lorient, face à Bordeaux, 5-1). J'espère que ça ne sera pas le dernier. J'ai vu les buts d'Olivier Giroud, hier, avec Montpellier (qui l'a emporté 5-3 face à Dijon). Ça m'a donné envie de marquer (sourire). Tant mieux pour moi si je suis repassé devant lui (avec huit buts, contre sept). Mais le principal, c'est d'être devant à la fin du Championnat. L'objectif, c'est de finir meilleur buteur fin mai.

Vos trois buts de la soirée sont similaires, inscrits dans les six mètres...
Il faut que j'adapte mon jeu à l'adversaire et au style de l'équipe. On n'avait pas beaucoup d'espaces à prendre. J'ai su attendre.»

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Antoine Kombouaré : «Le premier sentiment, c'est la satisfaction du devoir accompli. On se savait supérieur à Ajaccio avant le match, on a été professionnel. J'aime quand on respecte l'adversaire, et respecter l'adversaire, c'est avoir la bonne attitude. Ça n'a parfois pas été le cas et c'est pour cela qu'on a permis à Ajaccio de revenir au score. En seconde période, on les a empêchés de jouer et on a marqué assez vite. Il faut rester humble et garder la tête sur les épaules. Gameiro ? C'est quelqu'un qui a un gros mental, qui ne doute jamais. Il est récompensé de ses efforts. Sa qualité première, c'est de prendre les espaces. Mais c'est surtout un formidable buteur, il est là où il faut.»


lequipe.fr
HHA
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Paris voyage en première

La trêve internationale n’a pas freiné l’élan du leader parisien. Sûr de sa force, le club de la capitale a signé son quatrième succès de rang en championnat grâce à un triplé de Gameiro.

La croisière parisienne s’amuse. Hier, à Ajaccio, le PSG a sans doute remporté son succès le plus tranquille depuis le début du championnat. C’est loin d’être le plus brillant, mais il s’agit du quatrième d’affilée en Ligue 1, le septième en dix journées de championnat, et cela suffit au bonheur d’Antoine Kombouaré.

En apparence, le PSG a d’abord tordu le cou à une tendance forte de ce début de saison. On disait en effet que les Parisiens peinaient à entamer leurs rencontres. Hier, Kevin Gameiro a ouvert le score dès la première incursion parisienne et donné l’illusion que cette fin d’après-midi dominicale ne serait qu’une promenade de santé. Mais au lieu d’enfoncer le clou, les Parisiens ont ensuite géré leur avantage, certains d’entre eux donnant même l’impression d’être peu concernés par l’événement. A commencer par l’Argentin Javier Pastore, qui a géré la rencontre au petit trot. « Javier était fatigué par l’accumulation des matchs et son aller-retour en Amérique du Sud », justifie Kombouaré.

Dijon et Caen à domicile : deux occasions de creuser l’écart

Les Corses ne pouvaient compter que sur leur courage et sur cette apathie parisienne pour revenir dans le match. C’est exactement ce qui s’est passé grâce à un but du vaillant Medjani (24e). Quelques minutes plus tard, ils auraient même pu prendre l’avantage sans un sauvetage de Nene (33e). Mais Kombouaré, l’ex-entraîneur de Valenciennes, a trop de respect pour les petites équipes pour laisser son armada s’engluer dans la médiocrité. « Nous avons su réagir en seconde période en imposant enfin un pressing très haut », décrypte le Kanak.

Animé de meilleures intentions au retour des vestiaires, le PSG s’est alors sorti du piège corse grâce à deux réalisations de Kevin Gameiro à trois minutes d’intervalle. L’ex-Lorientais a inscrit le 7e et le 8e but de sa saison dans des positions tout à fait semblables, dans la zone des six mètres, tel un renard des surfaces. Après une longue période de disette, cela devrait lui faire un bien fou. Ce qui est aussi une bonne nouvelle pour le PSG. Désormais, les Parisiens, leaders avec trois points d’avance sur Lyon et Montpellier, ont deux matchs à domicile contre des adversaires de second rang (Dijon et Caen). Deux occasions de creuser l’écart et de poursuivre leur parcours de champion.



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Kevin Gameiro : « Le club a un statut à assumer »

Dans la cité impériale, il a endossé le costume du superhéros d’ordinaire dévolu à Pastore. Premier parisien à signer un triplé depuis Erding (le 13 mars 2010 contre Sochaux), l’international tricolore ne dissimulait pas sa joie à l’issue du match.

Que ressentez-vous après ce coup du chapeau ?

Kevin Gameiro. Cela fait du bien. Après ma petite blessure à un genou, je savoure. D’autant plus que l’équipe a gagné. Ce n’est pas mon premier triplé, j’en avais déjà réussi un avec Lorient. J’espère maintenant que ce ne sera pas le dernier.

Ces trois buts portent le sceau d’un renard des surfaces. Il s’agit d’un registre inhabituel pour vous…

Dans une saison, il faut mettre de tels buts. Ils étaient beaux (sourire). Il faut que je m’adapte au jeu de l’équipe et des adversaires. Comme il n’y avait pas beaucoup d’espaces, je ne pouvais pas prendre la profondeur. J’ai su attendre comme Inzaghi (NDLR : le buteur italien qui évolue à l’AC Milan).

Vous voilà en tête du classement des buteurs. Est-ce un objectif ?

Je ne l’ai jamais caché. J’ai échoué de peu les deux dernières saisons. J’espère que cette année ce sera la bonne.

Le Montpelliérain Giroud a inscrit trois buts samedi. Sa performance vous a-t-elle donné des idées ?

J’ai vu ses buts et c’est vrai que j’avais envie de marquer. Après je pensais plus à en inscrire un que trois.

Votre équipe a affiché beaucoup de sérénité. Vous n’avez jamais eu peur ?

Même si on prend des buts, on sait que l’on peut faire la différence à tout moment. Notre force est de ne jamais nous affoler. Ce serait mieux, aussi, de ne pas se mettre en danger comme on l’a fait hier lorsqu’on n’a pas été capables d’inscrire rapidement un deuxième but.

Paris est-il un solide leader ?

On est sur une bonne dynamique. Il faut continuer ainsi et ne pas nous relâcher. Le club a un statut à assumer, on en a conscience. On sait où on veut aller et pour cela on doit gagner.

A quoi peut prétendre Paris ?

A l’une des trois premières places. Plus haut, on verra.

Un joueur comme vous doit prendre du plaisir avec Pastore, Nene et bientôt Beckham ?

C’est vrai que c’est plaisant d’évoluer avec de tels joueurs. Après, Beckham n’a pas encore signé que je sache. C’est un joueur que je regardais à la télé quand j’étais petit et que j’admirais. Ça me ferait bizarre de jouer avec lui.



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Et en plus, le PSG a un banc…

Au PSG, cette saison, on avait conscience qu’il y avait pléthore de stars : Nene, Ménez, Gameiro, Sirigu et bien sûr Pastore. On sait désormais qu’il existe aussi une véritable profondeur de banc. Ce n’était pas le cas lors des saisons passées, au grand dam d’Antoine Kombouaré. Cette carence avait sûrement coûté au PSG, lors de l’exercice écoulé, une place en Ligue des champions.

Hier, malgré les défections de deux titulaires indiscutables, Matuidi et Ménez, tous deux suspendus, sans oublier l’absence de Lugano pour le même motif, les coéquipiers de Camara ont aisément battu Ajaccio. Hoarau et Bisevac, blessés, manquaient également à l’appel. « Cette saison, on ne peut plus se retrancher derrière les absences des uns ou des autres, au regard de notre effectif, souligne Camara. On a beaucoup de bons joueurs avec des qualités différentes. Mais malgré les changements, le niveau de l’équipe ne bouge pas. »

Le son de cloche est identique chez Sylvain Armand : « On sait que la concurrence est très forte cette année. On a prouvé aujourd’hui que les remplaçants étaient vraiment à la hauteur. Cela donne une idée des ressources du groupe. Et c’est très encourageant pour la suite de la saison. » Momo Sissoko abonde dans ce sens. « Dans tous les grands clubs où j’ai évolué, il y a toujours eu du turnover. C’est très important afin que tout le monde se sente bien. Ça entretient la dynamique quand l’équipe gagne. » Si Paris maintient pareil niveau de performances, au gré des changements opérés par Kombouaré, il ne sera alors pas très éloigné de ses objectifs au printemps 2012.


leparisien.fr
Homer
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Pastore et Leonardo devant le juge

Généralement, Javier Pastrore, le crack argentin du PSG, est serré de près par les défenseurs de Ligue 1. Mais hier, sur les marches du palais de justice de Palerme, le joueur parisien est apparu escorté par un policier italien, une image inhabituelle pour le nouveau chouchou du Parc. Accompagné de Leonardo, son directeur sportif, Pastore a effectué un voyage express en Sicile afin de répondre aux questions d’un juge italien du parquet de Palerme.

Ce dernier voulait entendre les deux salariés du PSG dans le cadre d’une plainte déposée par le président de Palerme au sujet d’une présumée extorsion de fonds de l’agent du joueur, Marcelo Simonian.

Selon Maurizio Zamparini, le président palermitain, l’agent de Pastore aurait exigé de toucher un pourcentage plus élevé que prévu sur la somme du transfert. On évoque 35% des 42 M€ (soit près de 15 M€) déboursés par le PSG, cet été, pour s’attacher les services du joueur. Bien loin du montant évoqué par Zamparini en août dans une interview. « Mon club va toucher 39,8 millions et ses agents environ 3 millions », dévoilait alors le président de Palerme. Zamparini a saisi le Tribunal arbitral du sport (TAS), lequel devrait se prononcer au printemps de l’année prochaine.

A priori, le PSG et ses dirigeants n’ont donc qu’un lien très indirect avec cette affaire de « gros sous ». « Je regrette de devoir expliquer une chose dans laquelle mon club n’est en rien concerné, a tenu à souligner Leonardo hier en Sicile. Le transfert de Pastore de Palerme à Paris, le plus important de l’histoire de la France, a été mené de la meilleure des façons, jusque dans les moindres détails. Nous avons répondu à toutes les demandes du procureur, cherchant à éteindre les moindres doutes. Je ne peux pas dire si Palerme a subi une extorsion. » Pastore semble, lui, en vouloir à son ancien président. « Avec Zamparini, j’avais de bonnes relations, a expliqué l’Argentin. Maintenant, je pense qu’il va trop loin dans ses propos, qu’il exagère. Zamparini peut dire une chose et son contraire. Je ne connais pratiquement rien à cette histoire et ce que je savais, je l’ai dit. »

Le Parisien.fr
Varino
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« Il faudra compter avec moi »
L’attaquant du PSG, revient, pour la première fois, sur son départ avorté à Rennes. Et explique ne pas avoir renoncé à une place de titulaire.

SUR LE BANC, à Toulouse (3-1), le 28 août, Mevlut Erding semble avoir l’esprit occupé. Son départ à Rennes, où l’entraîneur Frédéric Antonetti l’a érigé en priorité, alimente la chronique et lui pense que ce n’est plus qu’une question d’heures. Quand Antoine Kombouaré lui demande d’aller s’échauffer. « À ce moment-là, c’est vrai que j’ai la tête en Bretagne, confie l’attaquant de vingt-quatre ans. Je dois même m’y rendre le lendemain. Tout est réglé à quatre-vingt-quinze pour cent. Mais les derniers cinq pour cent, c’est ce qui s’est passé ensuite. » Une entrée à la 87e minute, un but à la 90e qui donne l’avantage au PSG et une passe décisive dans le temps additionnel qui le creuse. Le lundi midi, Leonardo le convoque dans son bureau du Parc des Princes et lui annonce qu’il n’est plus question de transfert. Erding a beau avoir vécu son match à Toulouse comme si c’était le dernier avec Paris, il confesse ressentir un vrai plaisir pendant six minutes. « Je sais que Pastore a une grosse qualité de passes, explique-t-il. Alors, quand j’entre, je me dis que je vais rester en pointe, à l’affût, car Javier peut meservir à tout moment. Ce fut le cas. Sur le troisième but, c’est encore Javier qui me lance et je sens Jérémy ( Menez) partir dansmondos. Je le connais tellement bien que je lui mets en une touche et il marque. » Au coup de sifflet final, les félicitations pleuvent, les éloges tombent. Menez, son pote de formation à Sochaux, formule un voeu : « J’aimerais qu’Erding reste. » L’écho de cette déclaration a sans doute retenti jusqu’aux oreilles de Leonardo. Qui ne veut ni de Borriello (AS Rome) ni d’Amauri (Juventus), et qui est séduit par ce qu’il a vu.
« Mon objectif ? Devenir champion de France avec Paris »
« Pourtant, quand jemerends au Parc, lundi, j’ai toujours la tête à Rennes, assure Erding. J’avais dit au revoir à mes coéquipiers. Mais je n’ai pas eu le choix. » À trois jours de la clôture du mercato, Leonardo ne veut plus s’en séparer. Il a pu mesurer sa cote intacte au regard du nombre élevé de sollicitations dont il est l’objet, en dépit d’une dernière saison moyenne (8 buts). Newcastle, Sunderland, Galatasaray, Espanyol Barcelone, Chakhtior Donetsk, Saint-Étienne, Lille, Bordeaux et donc Rennes étaient sur les rangs. « C’est flatteur, sourit l’international turc. Ça prouve que je n’ai pas perdu toutes mes qualités. » Gêné, désolé, Erding prévient Anto« Je me rends compte qu’il faut que je sois performant dès qu’on fait appel à moi, explique-t-il. Ça exige une hygiène de vie encore plus irréprochable, de travailler encore plus à l’entraînement. Parce que, quand tu entres, il faut que tu apportes de la fraîcheur et que tu sois décisif. » La Ligue Europa est pour l’instant son principal espace d’expression, mais il ne s’imagine pas s’en contenter : « Je sais que, pour l’instant, je suis derrière Kevin. Mais il faudra aussi compter avec moi. » En sélection, où il a été rappelé en novembre dernier, Guus Hiddink l’a prévenu : « Il m’a dit qu’il voyait tous netti qu’il ne viendra pas. « Tu sais que tu ne joueras pas beaucoup à Paris alors que si tu viens chez nous tu marqueras 20 buts », lui prédit l’entraîneur rennais. Au Parc, quelques jours plus tard, Leonardo lui fait signer une prolongation d’un an (jusqu’en 2014). Au Camp des Loges, son pote Menez, voisin de vestiaire, l’accueille avec le sourire. « Depuis qu’il a signé au PSG, Jérémy n’arrête pas de me dire : “Tu vas voir, on sera champion ensemble, c’est notre destin” », raconte Erding. Mais ce dernier découvre aussi un nouvel aspect de son métier : le rôle de remplaçant (sept entrées en Ligue 1, cette saison). les matches du PSG, mais qu’il fallait que je joue beaucoup plus si je voulais être titulaire avec la Turquie. » Ses coéquipiers, eux, salivent lorsqu’ils évoquent le PSG. « Tout le monde m’en parle, se marre Erding. Ils me disent : "Paris devient un grand club". Je leur réponds qu’ils se trompent.
ARRIVÉE D’UN ITALIEN DANS LE STAFF PARISIEN. – Le quotidien transalpin Tuttosport aannoncé, hier, l’arrivée au PSG d’AngeloCastellazzi, unproche de Leonardo. Castellazzi faisait partie du staff technique d’équipes de jeunes de l’AC Milan de 2003 à 2009. Lorsque Leonardo était l’entraîneur de l’AC Milan (2009-2010) et de l’Inter (janvier-juin 2011), il avait Angelo Castellazzi commecollaborateur sur les questions tactiques. Selon Tuttosport, il s’occuperait de la tactique au sein du club parisien. Il aurait également un rôle au sein de la formation au PSG. – Y. Ri. Paris a toujours été un grand club, sauf qu’il dormait. C’est exceptionnel pour un joueur de faire partie de ce projet. Aujourd’hui, le PSG se réveille et a tout pour devenir un prétendant au titre. C’est mon objectif : devenir champion de France avec Paris. »
DAMIEN DEGORRE


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Sissoko suspendu
LES PARISIENS s’envolent ce matin pour Bratislava sans Mohamed Sissoko, suspendu après son expulsion à Bilbao (0-2, le 29 septembre), ni Blaise Matuidi (cuisse gauche) et Guillaume Hoarau (épaule), en soins. Milan Bisevac, qui n’a repris l’entraînement collectif que depuis lundi, reste également à Paris. Antoine Kombouaré devrait titulariser Mevlut Erding en pointe, Nicolas Douchez dans le but et donc laisser Kevin Gameiro et Salvatore Sirigu au repos. – D. D. L’équipe probable : Douchez – Ceara (cap.), Lugano, Z. Camara, Tiéné – Bodmer, Chantôme – Ménez, Pastore, Nene ou Bahebeck – Erding.

L'Equipe
(si qqun veut mettre en page, j'ai pas le temps)
HHA
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Un tacticien italien arrive

Conseiller tactique de Leonardo au Milan et à l'Inter lorsque le directeur sportif du Paris-SG entraînait les deux grands clubs italiens (2009-2010 et janvier-juin 2011), Angelo Castellazzi, 38 ans, va rejoindre le staff technique du club parisien, a annoncé Tuttosport, mardi. Selon le quotidien sportif italien, il s'occuperait également de tactique au PSG où il aurait aussi un rôle dans la formation, un domaine qu'il connaît bien pour avoir travaillé de 2003 à 2009 dans le staff technique des équipes de jeunes de l'AC Milan.


lequipe.fr

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Paris avance à un rythme de champion




C’était il y a vingt-six ans. Le PSG de Gérard Houllier comptabilisait alors 26 unités au soir de la 10e journée. Il devait décrocher son premier titre de champion de France quelques mois plus tard. Aujourd’hui, la formation dirigée par Antoine Kombouaré, solide leader de la L1, totalise 23 points, soit le deuxième meilleur bilan de toute l’histoire du club après 10 matchs.

Seule l’équipe de la saison 1995-1996 avait fait aussi bien, avant d’échouer sur la deuxième marche du podium devancée par Auxerre. Parler d’un PSG avançant actuellement à un rythme de champion (ou de vice-champion) n’a donc rien d’exagéré. Sur les quatre dernières saisons, aucun des futurs lauréats ne possédait pareil pécule à ce stade de la compétition.

La soif de gagner

Lille, primé l’année dernière, affichait même le modeste total de 14 points au terme du premier quart du championnat. Il faut remonter au Lyon hyper dominateur de la période 2004-2008 pour retrouver de telles cadences. En 2006, l’OL de Gérard Houllier (encore lui!) écrasait la concurrence avec 28 points au compteur, soit le meilleur total, et de loin, de ces dix dernières saisons (voir infographie). Personne n’a fait mieux. Ni Monaco en 2003-2004 ni Nancy en 2007-2008, tous deux leaders avec 23 points, mais incapables de maintenir le rythme par la suite.

C’est d’ailleurs tout le paradoxe de ce championnat de Ligue 1. Si on se fie une fois de plus aux quatre dernières saisons, on note que les quatre leaders après dix journées (Rennes, Bordeaux, Lyon et Nancy) n’ont jamais été couronnés en fin d’exercice. Un mauvais signe pour Paris? « Pour être champion, le PSG doit continuer à garder cette soif de gagner chaque match, et cela quel que soit l’écart avec ses poursuivants, analyse Elie Baup, titré avec Bordeaux en 1999 (25 points après dix journées). A l’époque, Marseille était favori et, avec les Girondins, nous nous étions pris au jeu. Avec le PSG cette saison, je crois qu’il existe un challenge personnel et collectif. Personnel car la concurrence est forte et les joueurs ont beaucoup à prouver. On le voit à chaque rencontre où le Paris ne calcule pas et continue à vouloir impressionner ses adversaires. Enfin collectif, car le PSG n’a pas remporté ce titre de champion depuis longtemps (NDLR : 1994) et tout le club attend ça. »


leparisien.fr
Tycoon
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Bodmer forfait pour Bratislava

Mathieu Bodmer est forfait pour le déplacement du Paris-SG à Bratislava contre le Slovan, jeudi pour la 3e journée de la Ligue Europa (21h05), annonce le club parisien, mercredi. Initialement retenu par Antoine Kombouaré dans le groupe parisien, le milieu de terrain, qui n'avait pas pris par à l'entraînement, lundi, doit renoncer en raison d'une «élongation à la cuisse gauche».


L'equipe.fr
ohvillelumière
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Foot - C3 - PSG
Le jour où Erding est resté

Récit L'Equipe. Probable titulaire jeudi en Ligue Europa à Bratislava, Mevlut Erding raconte pour la première fois son départ avorté à Rennes.

Toulouse-PSG, le 28 août, 87e minute. Erding remplace Gameiro... (EQ)

C'était quasiment fait : Mevlut Erding devait être transféré au Stade rennais. Mais l'entrée en jeu de l'international turc en fin de match (87e) à Toulouse, le dimanche 28 août, à trois jours de la clôture du mercato, a convaincu Leonardo, le directeur sportif du PSG, de le conserver dans l'effectif parisien. On connaissait l'histoire, mais pas de la bouche du principal interessé, buteur (90e), passeur décisif (90e+3) et, au final, acteur essentiel d'une précieuse victoire (3-1) qui a changé le cours de sa carrière.

«À ce moment-là (lorsque Antoine Kombouaré lui demande d'aller s'échauffer), c'est vrai que j'ai la tête en Bretagne, confie l'attaquant de 24 ans. Je dois même m'y rendre le lendemain. Tout est réglé à quatre-vingt-quinze pour cent. Mais les derniers cinq pour cent, c'est ce qui s'est passé ensuite.»

Doublure ambitieuse

Erding raconte que même le lundi midi, au lendemain de ses exploits, lorsqu'il se rend au Parc des Princes pour s'entendre dire que Leo ne veut plus le lâcher, il a «toujours la tête à Rennes». Il raconte encore le coup de fil, gêné, à Frédéric Antonetti, le coach rennais, pour lui expliquer qu'il ne viendra finalement pas. Et le soutien constant de Jérémy Ménez, son copain des années de formation à Sochaux, pour qu'il reste à Paris. Lesté quelques jours plus tard d'une prolongation de contrat d'une saison (jusqu'en juin 2014), voilà donc Erding dans le rôle de la doublure (sept entrées en L1, cette saison). Mais il est bien décidé à gagner sa place de titulaire. «Je sais que, pour l'instant, je suis derrière Kevin (Gameiro). Mais il faudra aussi compter avec moi.»

«Il faudra compter avec moi» à lire dans L'Equipe, mercredi.
Teichi
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Foot - C3 - PSG
Les blessés, «un gros souci»


A la veille d'affronter le Slovan Bratislava, lors de la troisième journée de Ligue Europa, Antoine Kombouaré a regretté les nombreuses blessures, comme la dernière en date, celle de Mathieu Bodmer, qui l'empêchent de disposer de son groupe comme il le souhaiterait. «C'est un gros souci. J'ai du mal à aligner deux fois la même équipe, a-t-il pesté en conférence de presse. J'aimerais que tout le monde soit là, qu'il y ait plus de concurrence. Il y a des joueurs que j'aimerais faire souffler. L'objectif, c'est de gagner, gagner, pour que ceux qui reviennent entrent dans une équipe qui est dans une dynamique de victoire».

Le technicien parisien a par ailleurs confirmé l'arrivée prochaine d'un nouveau membre dans le staff (Angelo Castellazzi). «Depuis le début de la saison, on a travaillé avec Leonardo à la venue de quelqu'un pour restructurer le centre de formation, a-t-il indiqué depuis la Slovaquie. En ce qui concerne le groupe pro, il vient pour les montages vidéo, pour les adversaires et des joueurs que je veux superviser. Mais il ne vient pas parler tactique avec moi. Il faut s'ouvrir, c'est intéressant. Il n'y a pas qu'en France qu'on fait du bon travail». (Avec AFP)

L'équipe.fr
parano
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PSG: J.C. Blanc a reçu 3 millions d'euros en partant de la Juventus

ROME — Le Français Jean-Claude Blanc, le nouveau directeur général du Paris Saint-Germain, a touché 3 millions d'euros en quittant la Juventus Turin, selon le bilan du club turinois, coté en bourse, a annoncé l'agence italienne Ansa, mercredi.
Blanc a reçu 1,75 M EUR de primes et bonus, et 1,26 M EUR à "titres divers".

Il avait démissionné le 11 mai 2011, et conservé un siège au conseil d'administration jusqu'au 30 septembre. A la Juve, il était chargé plus particulièrement du projet de nouveau stade, inauguré en début de saison.
Blanc doit devenir le directeur général du Paris SG à compter de vendredi.

Jean-Claude Blanc, 48 ans, qui fut président de la Juve (2009-2010), sera en charge de l?ensemble des activités du PSG hormis le secteur sportif "en étroite collaboration avec Leonardo", le directeur sportif du PSG, a indiqué Qatar Sport Investment, le propriétaire qatari du club parisien.

AFP

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PSG : Kombouaré confirme une arrivée dans le staff

Interrogé sur le sujet, mercredi, en marge du déplacement en Europa League à Brastislava (Slovaquie), Antoine Kombouaré a confirmé la venue d'un Italien dans le staff du PSG. L'information du journal transalpin Tuttosport, relayée par l'Equipe, faisait état de l'arrivée d'Angelo Castellazzi pour s'occuper de tactique et de formation à Paris.

L'entraîneur parisien a détaillé et nuancé les contours du rôle que jouera Castellazzi. « Depuis le début de la saison, nous avons travaillé avec Leonardo sur la venue d'une personne pouvant apporter son expérience, surtout pour restructurer le centre de formation. Que l'on soit bien d'accord. Avec nous (le groupe professionnel, Ndlr), il vient simplement pour tous les montages vidéos concernant les adversaires ou les joueurs que je voudrais superviser. En tout cas, il ne vient pas parler tactique avec moi... »

Angelo Castellazzi a notamment fait partie du staff qui s'occupait des équipes de jeunes de l'AC Milan de 2003 à 2009. « Je trouve que c'est intéressant. Il n'y a pas qu'en France qu'on fait du bon travail et il peut nous faire partager l'expérience qu'il a eue en Italie », a conclu Antoine Kombouaré sur le sujet.

LeParisien.fr
Varino
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Chantôme, le re-bond en avant

Promis à un statut de remplaçant, avec les arrivées de Sissoko et de Matuidi, le milieu défensif figure pourtant toujours dans le onze du PSG.


LES CIRCONSTANCES ne l’ont pas toujours aidé depuis ses premiers pas en pros, les campagnes de recrutement passées non plus, et franchement, cet été, en voyant débarquer Blaise Matuidi et Mohamed Sissoko, les observateurs ne plaçaient pas volontiers Clément Chantôme dans l’équipe type du PSG. Il venait de conclure la saison sur une lésion musculaire à la cuisse gauche au moment où il recevait une préconvocation en équipe de France, avait connu un autre pépin en septembre lorsque Sissoko retrouvait les pelouses et sa position n’en sortait, a priori, pas renforcée.

Pourtant, depuis le coup d’envoi du Championnat, Chantôme, vingt-quatre ans, est l’un des dix joueurs les plus utilisés par Antoine Kombouaré (*) et son statut estival de remplaçant probable s’effrite un peu plus à chaque nouveau rendez-vous.

Encore une fois, c’est à l’heure où il est le moins attendu que Chantôme resurgit. À l’été 2010, il avait été invité à partir en cas d’offre intéressante. À l’arrivée, le Tout-Paris était heureux que ce joueur formé au club y reste, signe de telles performances et, par la même occasion, une prolongation de contrat jusqu’en juin 2015. Titulaire indiscuté sous l’an II de Kombouaré, il avait également tapé dans l’oeil de Laurent Blanc, qui avait donc prévu de l’emmener en Europe de l’Est en juin (face à la Biélorussie, l’Ukraine et la Pologne). L’infirmerie fut plus « convaincante »... Le mercato flamboyant du Paris-SG version Qatar aurait alors pu le reléguer sur le banc et froisser la confiance accumulée. « Mais ça n’a jamais été le cas, assure Serge Kotchounian, son agent d’image. Au contraire, il était content de voir ces renforts arriver. Il a vu ça comme le signe des ambitions du PSG. »

Il rêve d’un destin à la Gerrard

Chantôme répète qu’il « faut être là au bon moment » et, pour lui, ce n’était surtout pas celui de partir. Arrivé au centre de formation à l’âge de treize ans, il s’imagine plutôt un destin à la Steven Gerrard à Liverpool, son modèle, un gars du cru qui porte haut les couleurs de son club auquel il voue fidélité. Il sait aussi que pour vraiment ressembler au leader des Reds, il devra étoffer son bagage technique, davantage prendre sa chance de loin, marquer plus (4 buts en 127 matches de L 1) et mieux gérer ses efforts, son enthousiasme. Il y arrive. En septembre, une douleur à un genou le gênait. « Deux ans plus tôt, il aurait peut-être insisté pour jouer, raconte l’un de ses proches. Mais il a préféré prendre le temps de se soigner pour être à 100 % quand Kombouaré ferait appel à lui. »

Un mois plus tard, l’indisponibilité de Matuidi jusqu’à la mi-novembre (cuisse) et le temps nécessaire à Sissoko pour recouvrer l’intégralité de ses moyens physiques apparaissent comme une aubaine. Au moins par obligation, sinon par conviction, Antoine Kombouaré va l’aligner. Son rendement et son volume de jeu le prouvent : plus Chantôme joue, meilleur il est. Ce soir, à Bratislava, après Ajaccio en L 1 dimanche (3-1), il tient l’occasion d’enchaîner une deuxième titularisation en quatre jours et de démontrer que l’avenir du PSG des Qatariens peut aussi passer par lui.
DAMIEN DEGORRE

(*) Il a été titularisé à six reprises cette saison et est entré deux fois en jeu.



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Kombouaré: « Finir premier? pas forcément »

QUATRE JOURS après le délicieux soleil d’automne qui berçait Ajaccio (3-1), c’est une température proche de 5 qui enrobera le rendez-vous du PSG au stade Pasienky. Du froid, mais aussi une enceinte disgracieuse ceinturée par une piste d’athlétisme et peuplée d’ultras locaux réputés peu accueillants : les 181 fans parisiens attendus dans la capitale slovaque vont avoir droit à un match typique de Ligue Europa dans les pays de l’ex-Europe « rouge ».

Côté terrain, il y aura une curiosité à revoir le PSG, trois semaines après sa nette défaite à Bilbao (0-2), où Sissoko, suspendu ce soir, avait incarné l’échec des Parisiens dans les duels. Si ce match n’a pas affecté la dynamique du PSG en L 1 – deux victoires avant, deux victoires depuis –, il a souligné la fragilité de cette équipe dès lors qu’elle affiche un peu moins d’appétit pour le jeu en mouvement. Bodmer et Matuidi blessés à la cuisse gauche, Kombouaré n’a pas cinquante solutions pour composer l’axe de son milieu à Bratislava : titulaire certain, Chantôme sera a priori associé à Kebano, même si Armand, voire Jallet sont d’autres options à considérer. À gauche, Nene pourrait être ménagé au profit de Bahebeck. Derrière, un ticket Camara-Lugano tient la corde, même si les deux hommes, lors de l’ultime huis clos, n’ont pas évolué côte à côte.

Hier, au cours de la conférence de presse de Vladimir Weiss, à chaque fois que les journalistes slovaques ont parlé de Pastore, ils ont rappelé les 42 M€ de son transfert. Mais c’est Jérémy Ménez que l’entraîneur du Slovan a dit redouter : « J’ai dit à mon équipe qu’il est un joueur fantastique. » Kombouaré, lui, a reconnu que son équipe était « favorite » de ce duel face au dernier du groupe F, qui dessinera aussi le premier face-à-face du PSG avec un club slovaque en 156 rencontres européennes. « L’objectif, c’est de se qualifier, pas forcément finir en tête, a affirmé le technicien parisien. Premier, ce serait du bonus. » Un contraste avec le discours de la saison passée. À l’époque, Paris s’était battu pour le leadership de son groupe afin de recevoir lors du seizième de finale retour, mais aussi pour esquiver l’un des clubs reversés de la Ligue des champions.
JÉRÔME TOUBOUL


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Le Slovan n’a plus les armes

IL Y A QUARANTE-DEUX ANS, le Slovan Bratislava remportait la Coupe d’Europe des vainqueurs de Coupe, face au FC Barcelone (3-2, le 21 mai 1969). Dans ses rangs, le gardien tchécoslovaque Alexander Vencel, père de l’ancien Strasbourgeois du même prénom (1994-2000), ajoutera l’Euro 1976 à son palmarès, avec six autres membres du Slovan. Depuis, le club slovaque n’a jamais renoué avec ces sommets. Relégué en D 2 (1985-1988 puis 2004-2006), miné par des difficultés financières, il retrouve cette saison une certaine compétitivité, après avoir éliminé l’AS Rome (1-0, 1-1) en barrage de la Ligue Europa. L’entraîneur, Vladimir Weiss, qui a mené la Slovaquie jusqu’en huitièmes de finale de la Coupe du monde 2010 (éliminée par les Pays-Bas, 1-2) et obtenu le scalp de l’Italie en phase de groupes (3-2), fait partie d’une dynastie.
Son père, le défenseur Vladimir Weiss, était international tchécoslovaque. Son fils, le milieu offensif Vladimir Weiss, est prêté cette saison par Manchester City à l’Espanyol Barcelone. Contre le PSG, le Slovan Bratislava partira à la conquête de ses premiers points. Son meilleur atout sera l’attaquant Filip Sebo (27 ans), passé par Valenciennes (2007-2010), où il fut dirigé deux saisons par Antoine Kombouaré. « Paris excelle dans la possession de balle », s’inquiète l’arrière gauche Peter Stepanovski. « Partir à l’abordage serait suicidaire », ajoute le défenseur Martin Dobrotka. Bratislava s’attend donc à subir, ce soir, dans le petit stade Pasienky (13 495 places), en attendant la réouverture de l’enceinte historique du Slovan, Tehelné Pole (30 000 places), en mai 2012. – E. Bj.


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SLOVAN BRATISLAVA : Hrosso – Bagayoko, Dobrotka, Dosudil, Stepanovski – Kladroubski – Lacni, Guédé, Grendel, Zofcak (cap.) – Sebo. Remplaçants : Poutnocki (g.), Had, Kolcak, Augustin ou Zé Vitor, Milinkovic, Hartig, Taborskiou Halenar. Entraîneur : V. Weiss.

PARIS-SG : Douchez – Jallet, Camara (cap.), Lugano, Tiéné – Chantôme, Kebano – Ménez, Pastore, Bahebeck – Erding. Remplaçants : Sirigu (g.), Ceara, Armand, Sakho, Landre, Nene, Gameiro. Entraîneur : A. Kombouaré.


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KOMBOUARÉ ET LE MONTEUR ITALIEN… – Antoine Kombouaré a réagi hier à la récente arrivée au Camp des Loges de l’Italien Angelo Castellazzi, proche de Leonardo (voir L’Équipe d’hier). « Il est là pour restructurer le centre de formation (toujours dirigé par Bertrand Reuzeau) et il s’occupe surtout de réaliser des montages vidéo ou de superviser l’adversaire, a insisté l’entraîneur parisien. Mais il ne vient pas pour parler tactique avec moi… » Le PSG avait-il besoin d’aller chercher en Italie un responsable des montages vidéo ? « Il faut s’ouvrir, a répondu Kombouaré, un peu embarrassé. Il n’y a pas qu’en France qu’on travaille bien. » En interne, Castellazzi est parfois décrit comme un oeil de Leonardo sur la vie du Camp des Loges. – J. T.


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PSG-DIJON PRESQUE COMPLET. – Le Parc des Princes a de fortes chances d’être plein dimanche, à l’occasion de PSG-Dijon (11e journée). Plus de 40 000 billets ont déjà été vendus.


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J.-C. BLANC A QUITTÉ LA JUVE AVEC 3 M€. – Jean-Claude Blanc, le nouveau directeur général du PSG, a touché 3 M€ en quittant la Juventus Turin, dont il fut le président (2009-2010). Le Français, qui avait démissionné le 11 mai, conservait un siège au conseil d’administration jusqu’au 30 septembre.

L'Equipe
Poupou70
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Saint-Germain veut garder le PSG

L’hypothèse d’un déménagement du PSG n’est pas saugrenue, loin de là. Soucieux de préserver l’avenir, le maire de Saint-Germain propose un nouveau site : la plaine d’Achères.

L’arrivée de nouveaux dirigeants au PSG fait beaucoup parler à Saint-Germain-en-Laye. Si dans les rues, certains rêvent de croiser un jour la star David Beckham, annoncé au club, en mairie, c’est le projet de création d’un nouveau centre d’entraînement pour le PSG qui refait surface.

Hier, Emmanuel Lamy (UMP), le maire de la commune, a indiqué qu’il était prêt à soumettre le projet aux dirigeants qatariens en cas d’une éventuelle remise en cause des installations du camp des Loges, l’actuel lieu de préparation des joueurs du club de football de la capitale.

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« Ils auront du mal à trouver 40 ou 50 ha »
Le dossier, déjà évoqué voici près de cinq ans, prévoit une implantation des équipements sur des terrains de la plaine d’Achères, à cheval sur les communes de Saint-Germain-en-Laye et d’Achères.

Les installations sont jugées insuffisantes et dépassées

Le camp des Loges est-il indigne d’une grande équipe de Ligue 1 ? Le sujet est relancé après l’arrivée des nouveaux investisseurs puis de Jean-Claude Blanc, le directeur général, ancien président de la Juventus de Turin en Italie, qui veulent hisser le PSG au niveau des grands clubs européens. Les installations du stade Georges-Lefèvre et les stades, aménagés sur environ 3,5 ha à l’intérieur du camp des Loges, sont jugés insuffisantes et dépassées. Même si des travaux ont été effectués récemment, elles sont encore équipées de « préfabriqués de luxe ».

Aujourd’hui, sans un centre d’entraînement digne de ce nom, le PSG n’écarte pas l’idée de quitter Saint-Germain-en-Laye. « Les nouveaux propriétaires du club ont un budget illimité, reconnaît Emmanuel Lamy. Pour l’heure, ils n’ont aucune raison de partir. » Toutefois dans un souci d’anticipation, l’élu est prêt à ressortir le dossier de la plaine d’Achères des cartons. Les terrains de plus de 100 ha sont situés en bordure de la forêt et des étangs du Corra.

« La zone est dédiée aux loisirs et au sport dans le schéma directeur de la région Ile-de-France, indique l’édile. Cet espace appartient à la Ville de Paris. » Mais avant de valider le projet, les différents partenaires de l’opération devront résoudre un problème de taille. L’endroit figure parmi les anciennes zones d’épandage de la station d’épuration de l’agglomération parisienne. De fait, il devra être dépol- lué avant un éventuel aménagement.

L’objectif du maire est de garder le club sur son territoire, car il participe à la renommée de la ville. « Je n’ai pas encore évoqué la question d’un déménagement avec les Qatariens, mais aucune décision ne sera prise sans notre accord puisque le club et la ville sont liés dans les statuts de la société anonyme sportive professionnelle du PSG », rappelle Emmanuel Lamy.

Le Parisien.fr
HHA
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Kombouaré sur ses gardes

Antoine Kombouaré, qui considère toujours son équipe «en phase de construction», estime qu'«il faudra un grand PSG à Bratislava», jeudi.

«Antoine Kombouaré, que savez-vous du Slovan Bratislava ?
C'est une très belle équipe. Ils ont fait le tour préliminaire de la C1, en Europa League ils se sont qualifiés brillamment contre la Roma. Ils ont de très bons joueurs, comme Dobrotka, Guédé, Bagayoko, le capitaine Milinkovic et aussi Sebo que je connais particulièrement bien puisque je l'avais fait venir d'Ecosse à Valenciennes. C'est un mec avec une superbe mentalité. Je sais que demain il sera particulièrement motivé.

Après la défaite à Bilbao, la première place reste l'objectif ?
Nous avons perdu le dernier match et ça a été une déception. On a envie de repartir de l'avant. Mais l'objectif c'est de se qualifier. Finir premiers, ce serait un bonus. Il faut respecter les adversaires. Même si on est premiers en L1, on est en phase de construction, il y a des joueurs qui ont besoin de temps de jeu. Je travaille toujours pour savoir quels sont les points faibles et les points forts de mon groupe. L'équipe doit encore progresser.

Vous allez affronter un club modeste, dans un petit stade. Est-ce simple à gérer ?
On a toujours respecté tous nos adversaires. Ajaccio qu'on a affronté dimanche était 18e. C'était des conditions difficiles, avec un terrain pas très praticable, on était largement favoris. On est resté sérieux et professionnels. Ici, on s'attend à un adversaire difficile et on sait qu'il faudra un grand PSG pour faire un résultat.
«La concurrence est obligatoire et les joueurs le savent»

Certains joueurs comme Erding ou Douchez jouent peu. Comment gérez-vous cette situation ?
Très simplement. On est entré dans une nouvelle ère. Le PSG veut jouer sur tous les tableaux. Ça implique un effectif pléthorique. La concurrence est obligatoire et les joueurs le savent. Moi je suis super content de ça. Les meilleurs jouent.»


lequipe.fr
Homer
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Paris ne doit pas s’endormir

Après leur défaite à Bilbao (2-0) le 29 septembre, les Parisiens doivent se relancer ce soir à Bratislava (Slovaquie) dans un contexte propice au match piège.

C’est comme si, en l’espace de trois semaines, le PSG était passé de la cathédrale de San Mamés (Bilbao) à une église de campagne. Ou plutôt une petite chapelle posée au milieu d’une banlieue sans charme. C’est l’impression que laisse le stade Pasienky, à Bratislava, aux abords battus par les vents. Et c’est là, entre trois immeubles de bureaux flambant neufs et un petit étang aux accents bucoliques, que le PSG va tenter ce soir de se remettre dans le sens de la marche européenne face au Slovan Bratislava.

Seulement 3 000 billets vendus

« On a envie de réparer notre dernière sortie et la défaite à Bilbao (0-2) », prévient Antoine Kombouaré. Le Slovan Bratislava, champion de Slovaquie en titre, semble être la victime expiatoire désignée. Ici les millions ne coulent pas à flots et les vedettes locales s’appellent Igor Zofcak, Karim Guédé ou encore Filip Sebo, ancien partenaire de Tiéné et Bisevac à Valenciennes.

Surprenant vainqueur de l’AS Roma (1-0, 1-1), lors des barrages de la Ligue Europa, le Slovan n’apparaît pas vraiment dimensionné pour gâcher la soirée de Javier Pastore et de ses partenaires. « Notre place de leader en Ligue 1 doit nous apporter la confiance nécessaire pour bien aborder la rencontre », affirme Mevlut Erding, titularisé ce soir. « On est favoris donc forcément si on ne les respecte pas, on court au-devant de grosses déconvenues », tempère pourtant l’entraîneur. Plus que l’adversaire, c’est le contexte qui pourrait provoquer la perte des Parisiens. Le stade vétuste de 11000 places ne semble pas adapté aux envolées d’une équipe habituée aux larges espaces du Parc. Et la pelouse est d’une qualité très moyenne, comme ont pu le constater hier soir les joueurs lors de leur entraînement.

Même l’ambiance promet d’être soporifique et les coéquipiers de Mamadou Sakho devront éviter l’endormissement. Hier, à peine 3000 billets avaient été vendus et les organisateurs du club local n’attendaient pas plus de 5000 spectateurs. « La météo prévoit de la pluie et le stade n’est pas couvert à l’exception de la tribune présidentielle », explique un dirigeant du Slovan. Il faut dire que, dans les rues, les jeunes Slovaques ont plus tendance à se promener avec une crosse de hockey à la main qu’avec des crampons aux pieds. Et quand on demande la direction du stade, on vous indique la patinoire. C’est tout dire!


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Marcos Ceará : « Notre ambition, gagner la Ligue Europa »

A Paris depuis l’été 2007, le Brésilien est devenu cette saison l’un des leaders du groupe. Il confie son bonheur d’évoluer enfin dans une équipe capable de jouer les premiers rôles en Ligue 1 et sur la scène européenne.

La défaite face à Bilbao (2-0) a-t-elle jeté un voile sur vos ambitions en Ligue Europa ?

Marcos Ceará. Il est indispensable de gagner à Bratislava pour se relancer dans la course. Car notre ambition est claire, aller le plus loin possible dans cette compétition et gagner la Ligue Europa. C’est notre objectif. Réussirons-nous à l’atteindre? C’est trop tôt pour le dire, car nous sommes encore dans la phase de groupe. Commençons d’abord par ramener les trois points de Slovaquie.

Le PSG peut-il réussir à tout gagner cette saison ?

Ce sera difficile. Nous allons disputer quatre compétitions. Même si nous avons un effectif plus large et que nous jouerons tous les matchs à fond, nous ne gagnerons pas toujours. Il est donc important d’établir des priorités. Les Coupes nationales, nous les avons souvent remportées. A mes yeux, la priorité numéro une, c’est donc le championnat. Et ensuite la Ligue Europa.

En l’absence de Sakho, vous avez été le capitaine de cette équipe. Comment avez-vous vécu cette expérience ?

J’étais évidemment très honoré. J’ai essayé d’être à la hauteur de cette responsabilité. Je suis un homme qui aime en avoir. Et, sur les dix matchs où j’ai été capitaine, on en a gagné huit et fait deux nuls. Ce n’est pas mal, non?

Vous n’êtes pas un titulaire indiscutable à votre poste. Est-ce un handicap pour assumer ce rôle de vice-capitaine ?

Ces quatre dernières années, j’ai toujours essayé d’être le plus professionnel possible. Et du coup, quand je parle, je pense que mes paroles ont une certaine portée parce que mes coéquipiers connaissent mon implication sur le terrain. Aujourd’hui, je me sens comme l’un des leaders de cette équipe, que je sois titulaire ou pas.

Avez-vous craint cet été de ne plus faire partie des plans de ce nouveau PSG ?

Peur? Au contraire. Après toutes ces années difficiles, c’était extraordinaire de se dire que j’allais enfin pouvoir évoluer dans une équipe capable de lutter pour le titre et peut-être disputer la Ligue des champions dans un an. Cela a toujours été mon désir le plus fort. Et, aujourd’hui, on m’offre l’opportunité de réaliser ce rêve. A moi de me montrer digne de cet enjeu.

Vous n’avez donc jamais pensé à partir ?

Un club brésilien, Santos, m’a proposé un contrat de trois ans cet été. Or, avec le PSG, il ne me restait plus qu’un an… Forcément, à mon âge (NDLR : 31 ans), ce genre d’offre fait réfléchir. Nous en avons discuté avec le coach et Leonardo. Ils m’ont assuré qu’ils comptaient sur moi. Finalement, j’ai prolongé d’un an, jusqu’en 2013. Cela suffisait à mon bonheur, car ma priorité était de rester à Paris. Aujourd’hui, je suis un homme heureux !


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Armand en milieu de terrain ?

Antoine Kombouaré a enregistré un forfait de dernière minute : celui de Mathieu Bodmer, victime d’une élongation à la cuisse gauche. « Ce n’est pas trop grave, mais je n’ai pas voulu prendre de risques », a justifié l’entraîneur hier soir avant l’entraînement d’une heure sur la pelouse du vieux stade Pasienky.

« Depuis le début de saison, j’ai du mal à aligner deux fois de suite la même équipe. C’est un gros souci. J’aimerais que tout le monde soit là pour entretenir la dynamique de victoires avec une concurrence plus forte. » Outre l’absence de l’ancien Lyonnais, Kombouaré est privé d’Hoarau, Matuidi, Bisevac (blessés) et Sissoko, suspendu. « J’ai un doute sur deux postes pour demain (ce soir) », a-t-il confié. Les interrogations se portent sur le second milieu récupérateur qu’il alignera avec Chantôme. Armand devrait être préféré au jeune Kebano. L’autre interrogation concerne la défense centrale. Si Lugano doit être titulaire, Kombouaré pourrait lui associer Sakho, qui a besoin de matchs après sa longue absence.


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Des supporteurs parisiens sous surveillance

La rencontre Slovan Bratislava - PSG a été classée à risques en raison du déplacement de supporteurs parisiens considérés comme dangereux. Environ 200 d’entre eux, voire 300 selon certaines sources, sont attendus aujourd’hui à Bratislava. Ils seront majoritairement issus de la tribune Boulogne. Un lien semble unir les anciens Boulogne Boys aux supporteurs du club local.

Pour éviter les débordements, les autorités locales et françaises ont préparé ce match très en amont. Une réunion a eu lieu en septembre à Vienne et une autre jeudi dernier à Bratislava.

Afin de participer à ce déplacement, les ultras parisiens ont accepté d’être identifiés. Malgré cette précaution, et afin d’éviter tout débordement, la police slovaque multipliera les contrôles d’identité. Ceux qui se risqueront à des actes de violence se verront interdits de stade en France comme la loi Lopsi 2 (loi de sécurité intérieure) l’autorise.

Ceux qui le sont déjà, et qui envisagent de venir malgré tout, s’exposent à des sanctions plus lourdes en France. « Si au Parc les choses semblent en ordre, il y a des problèmes à l’extérieur où une poignée d’individus veut toujours en découdre. Avec le ministère de l’Intérieur, on collabore et on sera très vigilant », prévient Jean-Louis Fiamenghi, directeur de cabinet du préfet de Paris. En marge des incidents survenus à Bilbao le 29 septembre, sept fans parisiens arrêtés par les autorités espagnoles ont ensuite été interdits de stade par la préfecture de police

Le Parisien
Dagoberto
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PSG - L'assemblée générale reportée

Qatar Sports Investments (QSI), le nouvel actionnaire majoritaire du Paris SG, a annoncé jeudi le report au 4 novembre de l’assemblée générale du club parisien, initialement prévue vendredi et qui devait entériner la désignation de Jean-Claude Blanc comme directeur général.

Dans un communiqué, QSI évoque "des raisons d'agenda" pour expliquer ce report.

"Initialement prévue le 21 octobre, l'assemblée générale statuera sur la modification du mode d'administration et de direction de la société par l'adoption d'un conseil d'administration qui se prononcera alors sur la nomination de Jean-Claude Blanc au poste de directeur général délégué", poursuit QSI.

QSI est depuis le 30 juin actionnaire du PSG à hauteur de 70%. Jean-Claude Blanc, 48 ans, qui fut président de la Juventus (2009-2010), devrait selon QSI être en charge de l'ensemble des activités du PSG hormis le secteur sportif "en étroite collaboration avec Leonardo", le directeur sportif du club parisien.


HHA
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Ligue Europa, Slovan Bratislava-Psg (0-0) : Paris sauve un petit point

Paris, c’est un peu Marseille à l’envers. Bon en championnat mais décevant depuis deux journées en Coupe d’Europe. On peut en effet s’appeler le Paris Saint-Germain, caracoler en tête de la Ligue1et piétiner en Ligue Europa comme une formation de seconde zone. Dans le début de saison dorée que vit le PSG, la compétition européenne est en train de devenir l’ombre qui gâche la lumière.

Et le match nul (0-0) rapporté hier de Slovaquie face au très modeste Slovan Bratislava y contribue fortement. Paris reste 2e de son groupe mais rate une occasion de prendre le large sur les Autrichiens de Salzbourg auteurs d’un surprenant match nul à Bilbao (2-2). « Je suis très content de la soirée, a pourtant réagi Antoine Kombouaré. Il y a la déception de ne prendre qu’un seul point compte-tenu de la domination totale qu’on a eu sur ce match avec un nombre impressionnant d’occasions. Malheureusement on fait preuve de maladresse et on est tombé sur un grand gardien. »

On ne reconnaît plus Pastore

L’entraîneur parisien relance ici le débat entre la manière et le résultat mais il oublie au passage de tancer l’indiscipline de ses troupes. Passe encore que Chantôme se fasse exclure pour deux avertissements en à peine 14minutes.Mais comment expliquer que Tiéné lui emboîte le pas 16 minutes plus tard. Sans compter qu’après l’expulsion de Sissoko à Bilbao, Paris prend la mauvaise habitude de terminer ses matchs en infériorité numérique en Coupe d’Europe. «Mes joueurs ont les défauts de leurs qualités, soupire Kombouaré. Ils ont du tempérament qu’il va falloir apprendre à maîtriser. Mais c’est comme ça que je veux les voir. » Enfin cette escapade slovaque aura accouché d’un autre mystère. Depuis deux rencontres, on ne reconnaît plus Javier Pastore. L’international argentin était à des années lumières du niveau régulièrement affiché depuis son arrivée. Ce n’était pas le Pastore de Lyon mais celui d’Ajaccio, souvent à contre-temps, manquant de justesse dans ses transmissions et incapable de trouver le cadre à deux reprises, seul dans la surface. « Son influence sur le jeu est très bonne même si on aimerait le voir constant et régulier sur 1h30, analyse Kombouaré. Il a quelques soucis en ce moment pour avoir joué avec la sélection argentine et après sa convocation de lundi dernier (NDLR: face à un juge de Palerme) qui a dû un peu le perturber.» Au final, l’impuissance de l’Argentin à faire basculer ce match a marqué les limites d’un PSG qui, quand il ne peut s’en remettre à sa recrue vedette, a parfois du mal à se faire respecter.



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Nicolas Douchez : « On n’a pas su être efficaces devant »

De retour dans la cage parisienne lors de chaque match de Ligue Europa, Nicolas Douchez a été bon. L’ancien gardien de Rennes n’a pas été trop sollicité. Mais dans une fin de rencontre compliquée en raison des deux expulsions, il a réalisé les arrêts nécessaires. Avec lucidité, il est revenu sur cette soirée slovaque.

Vu le scénario du match, ce résultat nul constitue-t-il un bon point ou au contraire vous avez perdu deux points ?

Nicolas Douchez. C’est un point tout simplement. Après sur la fin de la rencontre, on peut être soulagé d’avoir fait match nul mais sur l’ensemble on aurait dû empocher les trois points. C’est un match que l’on aurait dû se rendre simple.

Avez-vous eu peur que le match vous échappe à la fin lorsque vous étiez réduits à neuf ?

A partir du moment où on finit à neuf, oui cela peut finir mal. Mais j’ai senti notre bloc défensif vraiment en place. Je n’ai pas trouvé que l’on paniquait à neuf contre onze. On a même fait preuve de sérénité. On n’a pas su être efficaces devant, c’est dommage.

Dans quinze jours au Parc des Princes, battrez-vous cette équipe du Slovan Bratislava ?

Ce sera un match tout aussi compliqué. Après à nous de tirer les enseignements de cette soirée, pour prendre les trois points au Parc. Quels sont ces enseignements justement? On a le temps d’en parler entre nous. Mais déjà, il faudra finir le match à onze...

Les deux expulsions de Chantôme et Tiéné sont-elles dûes à de la fébrilité ?

C’est un manque de lucidité ou de maîtrise peut-être mais ce n’est en aucun cas de la fébrilité. On a fait preuve d’un manque d’efficacité encore une fois.

Bilbao a concédé le nul contre Salzbourg chez lui. Votre poule est plus serrée que prévue finalement...

C’est bien pour nous que Bilbao soit revenu. On est à mi-parcours dans cette phase de groupe, il nous reste encore deux matchs au Parc des Princes. A nous de faire le boulot pour prendre le maximum de points et nous qualifier le plus rapidement possible.


leparisien.fr
girlinlove
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PSG sur W9: Encore un carton daudience contre Bratislava

Posté par Nicolas Benardeau on octobre 21, 2011

Le PSG n'a pu faire mieux que 0-0 jeudi sur la pelouse du Slovan Bratislava dans le cadre de la 3ème journée des phases de groupe de l'Europa League 2011. Une performance décevante d'un point de vue sportif. En revanche, côté audience, la chaîne W9 , qui diffusait une nouvelle fois le match en direct TV , à de quoi se réjouir. La rencontre a attiré 1,647 millions de téléspectateurs sur le canal. Comme il y a deux semaines contre Bilbao, W9 caracole en tête des audiences TNT grâce au PSG avec une part d'audience qui grimpe jusqu'à 7%.

Le PSG une nouvelle fois en tête des audiences de la TNT sur W9

Même avec Javier Pastore, les Parisiens rapidement réduits à 10 puis à 9 ont dû concédé le match nul en Slovaquie. Le grand public devant son poste a quand même été séduit puisque W9 se hisse dans le top 5 des chaines nationales derrière France 3 avec un « meurtre parfait » (2 953 000 de téléspectateurs). Au niveau de la TNT, seul TMC avec 1,1 millions de téléspectateurs, grâce aux randonneurs de Saint Tropez, suit la cadence infernale des hommes d'Antoine Kombouaré. Difficile de rêver plus belle visibilité pour la petite soeur de M6, qui semble s'être abonnée aux matches de Paris pour la saison.

Le PSG chez W9, c'est la poule aux oeufs d'or

W9 a trouvé sa poule aux oeufs d'or avec le PSG, puisque même contre Bratislava, les Parisiens réussisse l'exploit de ramener autant de téléspectateurs que dans un match prestigieux comme il y a deux semaines contre l'Athletic Bilbao. Peu importe l'adversaire, c'est Paris qui amène les foules. Dommage pour les supporters du Stade Rennais qui auraient sans doute aimé voir leur équipe affronter à domicile l'un des clubs mythiques d'Ecosse : le Celtic Glasgow. Est ce que dans 15 jours, W9 prendra le risque de mettre de côté le PSG pour diffuser le match retour de Rennes au Celtic Park ? Pas si sûr. Mais affaire à suivre sur sportune...


Source : Yahoo!Sport via Sportune.

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Ligue 1: La meute ne veut pas laisser filer le PSG

Créé le 20/10/2011 à 18h07 -- Mis à jour le 20/10/2011 à 18h51

FOOTBALL - Les Parisiens affrontent Dijon dimanche, mais leurs rivaux ne s'avouent pas vaincus...
La Ligue 1 ne fait pas encore de complexe. Déjà en tête du championnat, les hommes d’Antoine Kombouaré auront une belle occasion de creuser l’écart dimanche lors de la réception de Dijon. Mais les autres formations n’en sont pas encore au point d’offrir le titre aux coéquipiers de Javier Pastore sur un plateau. «Pour l’instant, ils sont biens, tant mieux pour eux. Mais une saison c’est long, et chaque équipe connaît une période où ça va mal», prévient le Marseillais André Ayew.

Alain Casanova: «On est qu’au quart du championnat»

D’autres veulent croire que le suite de la saison ne sera pas forcément autant à l’avantage de Parisiens dont on ne pouvait, de toute façon, pas attendre autre chose. «Par rapport aux investissements et au recrutement, on ne pouvait pas en attendre moins, explique Alain Casanova, l’entraîneur de Toulouse. Ils ont le profil pour être champions, mais on n’est qu’au quart du championnat».

Rudi Garcia: «Ils sont en forte progression»

Au-delà des éventuels accidents de parcours ou d’un essoufflement pendant l’hiver, certains pointent aussi de vraies failles. «Ils ont eu du mal sur certains matchs, comme à Bilbao. Si l’adversaire est très costaud, il est possible de les mettre en danger en contre, car ils peuvent laisser quelques trous», remarque Etienne Didot, le milieu du TFC. Une remarque qui est tout de même de moins en moins vraie. «Au vu des derniers matchs, on sent qu’ils sont en forte progression», souligne Rudi Garcia, l’entraîneur de Lille. Mais pour le moment, ils sont encore à portée de fusil.

—A.M. (avec nos correspondants)


20minutes.fr
Homer
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Les dessous de l’affaire Pastore

Dimanche, sur la pelouse d’Ajaccio, Pastore a joué son plus mauvais match depuis son arrivée à Paris. Traversant la rencontre comme un fantôme, la star du PSG avait la tête ailleurs. On peut le comprendre. Vingt-quatre heures plus tard, il était entendu comme témoin par un juge sicilien au sujet de son transfert record (42 M€) entre Palerme et le PSG.

Au point de départ de cette affaire, une plainte déposée par Maurizio Zamparini, le président de Palerme, à l’encontre de Marcelo Simonian, l’agent de Pastore, pour « tentative d’extorsion de fonds ».

Déjà convoqué par un juge en 2007

Pour démêler les fils de cette histoire de très gros sous, il faut d’abord se pencher sur le profil de Simonian. Agé de 47 ans, cet homme d’affaires de Buenos Aires n’est pas un simple agent de joueur. Il investit sur des jeunes joueurs à fort potentiel et devient propriétaire de tout ou partie de leurs droits. Au printemps 2007, Pastore est l’un des grands espoirs du club de Talleres de Cordoba. Il a 18 ans, mais son talent est déjà évident. Selon un dirigeant de Cordoba de l’époque, Simonian réunit un tour de table de 250 000 $ et obtient 50% des droits sur « El Flaco ». Mais déjà, à cette époque, la justice doute de la légalité de l’opération. Pastore est cité à comparaître le 21 août 2007 par un tribunal de Cordoba. L’affaire se tasse et le prodige quitte sa région natale pour rejoindre l’Atletico Huracan.

Son agent espérait toucher 21 M€

Lors des deux saisons suivantes, « Javi » confirme les espoirs placés en lui. Simonian aurait alors investi une somme de 800000 $ pour devenir le propriétaire à 100% de son « poulain ». « A ce moment de sa carrière, Javier intéresse déjà pas mal de clubs européens, mais personne ne veut rentrer dans le jeu de Simonian. Personne sauf monsieur Zamparini », explique un connaisseur du dossier Pastore. Il est transféré à Palerme en 2009. Le clan Simonian prétend avoir vendu au club de Palerme 50% de ses droits contre une somme de 4 M€ et aurait conservé les 50% restants. Deux ans plus tard, la valeur marchande de Javier Pastore a explosé et le PSG débourse plus de 42 M€ pour s’attacher ses services. En vertu de l’accord de 2009, Zamparini est censé reverser la moitié du transfert à Simonian. Soit la somme énorme de 21 M€. Début août, les négociations se durcissent entre Palerme et le clan Simonian.

Le PSG n’a rien à craindre

Le contrat de transfert entre Palerme et le PSG (signé le 4 août) prévoit la cession totale et complète des droits économiques du joueur au club parisien. Le PSG, qui a « bétonné » le dossier juridiquement, n’a donc en principe rien à craindre le jour de la revente de sa star.

Le 6 août, Simonian et Zamparini, par échanges de fax, seraient ensuite parvenu à un accord. L’agent de Pastore revoyant ses prestations à la baisse : 30% du transfert au lieu des 50% prévus initialement. Maurizio Zamparini, lui, réfute totalement cette version des faits : « Je ne dois que 3 millions d’euros à Simonian. »

Certain de son bon droit, il dépose donc début septembre une plainte au tribunal de Palerme et saisit le Tribunal arbitral du sport. « En déposant plainte, Zamparini cherche simplement à nous faire peur », réagit un conseiller de Simonian. L’audience du TAS doit avoir lieu en février ou mars.

Le Parisien
Homer
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PSG - Dijon. Kombouaré :«Nous sommes favoris»

Alors que son équipe affronte Dijon demain à 17 heures au Parc des Princes, Antoine Kombouaré a tenu ce samedi sa traditionnelle conférence de presse d’avant match. «Nous sommes favoris, indique-t-il. Mais il faut respecter notre adversaire et ne pas s’enflammer. Car les joueurs de Dijon vont être surmotivés. Ce sera un match compliqué car cette équipe a de très bons joueurs et propose un jeu porté vers l’avant», indique-t-il.

Le technicien parisien a également commenté la méforme actuelle de Javier Pastore, transparent à Ajaccio (3-1) en L1 le week-end dernier et à Bratislava (0-0) en Ligue Europa jeudi soir. «Moi je trouve qu’il fait de bons matchs. Mais en ce moment, c’est vrai, il est moins en vue. Mais ce n’est pas un sur-homme. Il n’a que 22 ans. Ce qui compte, c’est que ses coéquipiers soient capables de prendre le relais.»

Equipe probable du PSG face à Dijon : Sirigu - Ceara (ou Jallet), Lugano (ou Camara), Sakho (cap), Tiéné - Chantôme, Sissoko - Ménez, Pastore, Nene - Gameiro.


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Paris est attendu au tournant

Dans un Parc qui sera plein, les Parisiens, toujours leaders du championnat, doivent éviter le faux pas et reprendre leurs distances avec la concurrence.

Ne vous fiez pas aux apparences. Si, à première vue, ce PSG - Dijon n’a rien d’une affiche des plus alléchantes, ce match promet d’être riche en émotions. Car après leur piètre nul (0-0) en Ligue Europa à Bratislava jeudi soir, les Parisiens sont attendus au tournant. Un deuxième faux pas de suite, face à un adversaire largement à sa portée, serait en effet très mal ressenti.

En fin d’après-midi, sur son terrain de prédilection qu’est le championnat, le PSG se doit donc de conforter sa place de leader par une victoire, bien sûr, mais aussi par un spectacle haut en couleur. Le hasard du calendrier lui offre une occasion rêvée de reprendre ses distances avec ses poursuivants, à commencer par le premier d’entre eux, Toulouse, encore une fois irrésistible hier soir à Caen (3-1). Comme dans le même temps, Lille et Lyon, deux autres candidats au titre, s’affrontent dans le choc de la 11e journée, l’opération comptable peut être intéressante pour un PSG triomphant.

La mission n’a rien d’insurmontable. Sur le papier, Dijon, jeune promu et 13e de L1, ne présente que peu de dangers. Avec 20 buts encaissés en dix matchs, les hommes de Patrice Carteron possèdent la 18e plus mauvaise défense du championnat. « Nous sommes évidemment favoris, reconnaît l’entraîneur parisien. Mais il faut savoir respecter son adversaire et ne pas s’enflammer. Les joueurs de Dijon vont être surmotivés. »

Une mise en garde nécessaire : si le PSG peut se montrer éblouissant face aux poids lourds, il lui arrive parfois de lever le pied face à des formations moins prestigieuses. A Bratislava, le coach parisien avait ainsi dû rappeler ses joueurs à l’ordre à la mi-temps, leur demandant de s’impliquer davantage dans le match.

Pour éviter de connaître des déboires similaires, les coéquipiers de Sakho ont donc tout intérêt à faire preuve de sérieux face aux Bourguignons. D’autant plus que leur homme providentiel, Javier Pastore, n’est pas au top de sa forme. A Ajaccio le week-end dernier (3-1) et en Slovaquie jeudi soir, l’international argentin s’est montré peu à son avantage et n’a jamais pesé sur le jeu. « En ce moment, il est moins en vue, concède Kombouaré. Mais ce n’est pas un surhomme. Ce qui compte, c’est que ses coéquipiers soient capables de prendre le relais. »

Si les coups de mou arrivent même aux meilleurs, il serait de bon ton que l’homme aux 42 M€ retrouve vite ses bonnes vieilles habitudes. Sans ses éclairs de génie, Paris pourrait perdre de sa superbe.


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Adel Taarabt, l’international marocain des Queens Park Rangers (L1 anglaise), déjà convoité cet été, intéresse-t-il encore le PSG ? Dans une interview diffusée sur Canal + ce soir, le milieu de terrain affirme que les Qatariens lui ont dit : « Refais-nous six bons mois et en janvier on reviendra. »


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Lugano et Sakho enfin associés en défense?

Antoine Kombouaré a retenu pour PSG - Dijon un groupe très proche de celui emmené à Bratislava jeudi pour le compte de la Ligue Europa. Si Bodmer, Hoarau et Matuidi sont forfaits pour blessure, Bisevac, lui, s’est entraîné avec l’effectif hier au Parc des Princes. Mais il est en phase de reprise. Enfin, Armand est suspendu et remplacé numériquement par Sissoko.

La réception du promu dijonnais pourrait être l’occasion pour le technicien parisien de titulariser pour la première fois la paire Lugano-Sakho en défense centrale. En raison de la longue indisponibilité du deuxième (neuf semaines), jamais cette charnière n’a pu être installée. Mais hier, Antoine Kombouaré n’était pas encore sûr de son choix. « J’hésite, a-t-il confirmé. Papus (Camara) réalise un très bon début de saison… » Et pour cause : le PSG n’a jamais perdu cette saison avec Camara. L’ex-Stéphanois, toutes compétitions confondues, a participé à 10 succès et 3 nuls avec le PSG. Que ce soit aux côtés de Lugano, Bisevac ou Sakho, il a le plus souvent livré des prestations convaincantes. Reste que le duo Lugano-Sakho mérite d’être vu et l’occasion s’y prête.

Gameiro retrouve sa place à la pointe de l’attaque

Des doutes existent aussi pour le second poste de milieu récupérateur. Sans Matuidi, Bodmer — pour lequel le club ne veut prendre « aucun risque et [qu’il] espère pouvoir récupérer en Coupe de la Ligue mercredi », dixit l’entraîneur —, ni Armand, Kombouaré devrait aligner Sissoko avec Chantôme. A moins qu’il ne choisisse Jallet, qui a fini dans ce rôle à Bratsilava et s’y est montré intéressant.

En attaque, après la terne prestation d’Erding en Slovaquie, Gameiro retrouvera, sauf blessure, logiquement sa place de titulaire. Il sera soutenu par la ligne offensive habituelle composée de Nene à gauche, Ménez à droite et Pastore dans l’axe. Même si l’artiste argentin est moins à son aise en ce moment, il reste malgré toutun élément déterminant du PSG comme le prouvent ses statistiques depuis le début de saison.


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PSG - Dijon : Bodmer est forfait

Blessé à la cuisse et déjà forfait à Bratislava cette semaine, Mathieu Bodmer ne fait pas partie du groupe retenu par Antoine Kombouaré pour la venue de Dijon, dimanche au Parc (17h). Cette absence vient s'ajouter à celles de Matuidi (cuisse) et d'Hoarau (épaule), tous les deux blessés. Milan Bisevac est également toujours convalescent et n'a finalement pas jouer samedi en CFA avec l'équipe réserve.

Sylvain Armand est lui suspendu. Paris, leader de la L1, accueille Dijon, 12e avant les premiers matchs de la 11e journée disputés samedi soir.


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Moins d’actes racistes au Parc rolleyes.gif

Les résultats sont positifs. Il ne s’agit pas seulement de football mais des constatations effectuées par SOS Racisme, dans le cadre du plan sécurité lancé au début de la saison passée, sur les potentiels dérapages racistes et antisémites de supporteurs du PSG. « Au Parc des Princes, il y a un vrai mieux, même si ça reste fragile, confie Hermann Ebongue, président de SOS Racisme.
Il y a encore une poche d’une centaine d’irréductibles qui s’oppose au plan sécurité et est prête à basculer dans le racisme et la violence. »

Pour autant, aucune plainte n’a été déposée par l’association pour ce genre de faits la saison dernière. « Il n’y a rien eu de significatif », confirme Ebongue, dont les commissions de contrôle et de surveillance, composées d’acteurs de la société civile et de militants, sillonnent le Parc à chaque match.

Si le président de SOS Racisme est satisfait de l’évolution des comportements dans l’enceinte de la porte de Saint-Cloud, il est plus préoccupé par les déplacements des fans parisiens. Cette saison, des émissaires de SOS sont aussi présents à l’extérieur. Et les tensions constatées jeudi à Bratislava en Ligue Europa ont confirmé ses inquiétudes. « Un dirigeant du club a été menacé de mort jeudi, regrette Hermann Ebongue. C’est inacceptable et j’espère que les pouvoirs publics français vont prendre les mesures nécessaires. Comme au Parc ils se savent surveillés de près, ces individus tentent d’exister en déplacements. »

Laura Flessel, l’ex-championne olympique d’escrime et présidente du Comité de lutte contre les discriminations, donnera le coup d’envoi cet après-midi de ce PSG - Dijon. Un tifo sera aussi déployé dans les travées du Parc pour célébrer la Semaine contre le racisme (du 12 au 25 octobre) coordonnée par la Licra, la Ligue et l’UCPF.


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Une rencontre à guichets fermés

Qui vient jouer au Parc des Princes cet après-midi? Lyon, Marseille, Saint-Etienne ? Non, aucun de ces grands clubs de notre championnat, mais Dijon, promu en Ligue 1 cette saison et qui vit sa première expérience au sommet du football national. Même si ce n’est pas une affiche de la L1, ce PSG - Dijon se jouera à guichets fermés. Vendredi, il restait seulement 1 000 places à la vente, hors contingent de places réservées aux supporteurs visiteurs.
L’enceinte de la porte de Saint-Cloud affichera presque complet avec une prévision minimale de 42 000 spectateurs.

Jusque-là, le record d’affluence au Parc face à un promu disputant sa première saison en Ligue 1 date de la saison 2003-2004 et la réception du Mans avec 41709 spectateurs. Mais la meilleure affluence de toute l’histoire du Parc (44804 spectateurs) contre un promu remonte à la saison 1996-1997 : c’était face à l’OM qui, cette année-là, goûtait de nouveau aux joies de la L1.


Le Parisien

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Nene fait l'effort

Pour rester dans la lumière, le milieu du PSG Nene s'efforce de soigner son image sur le terrain comme en dehors. Explications avant la venue de Dijon (17h00).

A la lecture de ses statistiques, le "Brésilien volant", qui surfait sur la Ligue 1 l'an passé à pareille époque, semble tourner au ralenti cette saison. En 9 matches de Championnat qu'il a toujours débutés (766 minutes jouées), Nene n'a ainsi marqué qu'un penalty contre Valenciennes (2-1, 3e journée) et un autre contre Nice au Parc (2-1, 7e journée). Un penalty presque "volé" à Gameiro, on s'en souvient encore tellement l'image est passée en bloucle. L'image, c'est justement le critère que le natif de Jundiai, a choisi de cultiver, sans doute plus qu'un autre joueur au PSG.

Nene n'évite pas les supporters

« Après les entraînements, c'est l'un des rares joueurs à enchaîner les photos sur le parking, avec le sourire, témoigne un habitué du Camp des Loges. Menez, par exemple, on ne l'a encore jamais vu. Mais on n'est pas dupe, on sait que Nene soigne son image auprès de nous, les supporters, car il aime la lumière. » Dans l'ombre de Pastore et de ses exploits qui éclaboussent la Ligue 1 quasiment chaque journée, Nene sait aussi créer le buzz ou l'actualité, quand il le faut, pour exister. Sa "candidature spontanée" à l'équipe de France lancée dernièrement sur les ondes de RMC en est le plus bel exemple.

Ses rapports avec Kombouaré se sont apaisés

Si, dans le vestiaire, ses rapports avec Antoine Kombouaré se sont apaisés, c'est sur le terrain, que Nene a aussi changé son comportement. Dans son couloir, Nene défend plus, mais cela se voit forcément moins qu'une frappe de 25 mètres dans la lucarne. « Cela fait un an que l'on est dans le même couloir, explique Siaka Tiéné, et c'est vrai que l'on a forcément plus d'automatismes aujourd'hui. Moi, mon job c'est d'abord de défendre et de laisser Nene créer la différence et centrer. Après, quand je viens apporter une solution offensive, Nene comme Menez, quand il est là, assurent des replis défensifs appréciables. » Du coup, l'international ivoirien hésite moins à prendre son couloir. « Ça coulisse bien, c'est vrai », se réjouit Tiéné qui insiste pour rappeler qu'à Paris « on a besoin de Nene comme de Pastore pour faire la différence. » Abondance de biens ne nuit pas, dit-on...


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Kombouaré : « Oui, Nene défend beaucoup plus » Interrogé en conférence de presse juste avant la dernière séance à huis-clos de ce samedi, sur le rendement actuel de Nenê, Antoine Kombouaré a pris la défense de son joueur : « C'est vrai que Nene travaille différemment cette saison, il défend plus, beaucoup plus même, a observé le Kanak. Il est beaucoup plus concerné par le travail défensif, c'est intéressant. Après, c'est comme Pastore depuis deux matches, il est moins décisif. Mais Nene, il marquera des buts décisifs, fera des passes décisives bientôt. Je n'ai aucune hésitation là-dessus. »

L'Equipe
HHA
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Pastore «n'est pas un surhomme»

Au cours de sa conférence d'avant-match, samedi, à la veille de PSG-Dijon ce dimanche (17h00), Antoine Kombouaré a été interrogé sur les deux dernières performances décevantes de Javier Pastore, la star argentine du club parisien, contre le Slovan Bratislava (0-0) jeudi, en Ligue Europa, et à Ajaccio (3-1) dimanche dernier. «Il est peut-être mois efficace mais il est présent, a plaidé l'entraîneur parisien. Il faut qu'il gagne en régularité mais ce n'est pas un surhomme. Il a vingt-deux ans, il ne parle pas français, il habite encore à l'hôtel, ça fait trois mois, ce n'est pas évident. Je comprends aussi ses soucis physiques, avec ses voyages pour la sélection. Mais on l'aide, on le supporte.» Son audition par la justice italienne en début de semaine sur les conditions de son transfert par Palerme a-t-elle pu le perturber ?


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Paris ne faiblit pas

Le PSG engrange une cinquième victoire d'affilée, contre Dijon (2-0), et reprend ses trois points d'avance sur Montpellier en tête du Championnat.

Dans sa quête de reconnaissance, Paris avait peut-être brûlé les étapes. Leader après seulement huit journées, le PSG avait jusque-là montré le meilleur avec du jeu, du spectacle et des buts. Mais en l'espace de quatre jours, après son nul peu glorieux en Ligue Europa à Bratislava (0-0), il n'a pas offert le pire mais presque. Car malgré sa victoire contre Dijon (2-0), dimanche, le club parisien a encore souffert, pratiquement dans tous les compartiments du jeu. Et ça, c'est vraiment nouveau cette saison, surtout en Championnat. Il avait certes perdu en ouverture contre Lorient (0-1), seulement à l'époque l'équipe n'était pas encore au complet. Depuis, grâce notamment à l'intégration éclair de Javier Pastore, les joueurs d'Antoine Kombouaré avaient affiché une certaine assurance. Tout le contraire en somme de ce qu'ils ont montré face au promu dijonnais.

Pour leur première visite au Parc des Princes, les troupes de Patrice Carteron avaient à coeur de bien faire. Conquérants comme à leur habitude, portés vers l'avant et très joueurs, à l'image de Benjamin Corgnet, véritable révélation de ce début de saison au DFCO, les Bourguignons n'ont fait aucun complexe. Avec un peu plus de réussite, ils auraient même mérité d'ouvrir le score (5e ou 8e). Mais si Paris trône aujourd'hui en tête de Ligue 1, ce n'est pas pour rien. Avec sa nouvelle charnière centrale Sakho-Lugano, alignée pour la première fois, le PSG a su faire le dos rond, laisser passer l'orage pour mieux frapper deux fois là où ça fait aux meilleurs moments, juste avant la mi-temps d'abord (42e), puis juste avant la fin (90e). A chaque fois le buteur se nomme Nene, qui avec ses deux premiers buts dans le jeu a bien choisi son jour pour soulager les siens.

Cinq victoires d'affilée, une première depuis 2003


Car si ce match ne restera pas dans les annales, c'est une certitude, son résultat a quand même une forte incidence. Pour la première fois depuis octobre 2003, Paris enchaîne un cinquième succès d'affilée en Championnat. Pour la première fois aussi depuis mai 2004, Paris gagne cinq matches consécutifs à domicile en L1. Qu'importe dans ces conditions si Kevin Gameiro, qui a manqué deux grosses occasions (7e et 69e), n'a pas amélioré son total. Pastore n'a pas non plus brillé mais là encore, ce n'est pas le plus important. Ce qui compte vraiment, c'est la victoire. Et de constater que malgré la difficulté, le PSG continue d'apprendre et d'avancer.


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Le PSG enchaîne un 5e succès de suite

Le propre des ambitieux est d'éviter les accidents de parcours, et d'éviter en tout cas de laisser des points en cours de route contre des promus à domicile. De ce point de vue là, la mission des Parisiens est remplie. Dijon, dimanche après-midi dans un Parc des Princes copieusement garni, avait cependant plus d'arguments à faire valoir qu'Ajaccio la semaine dernière, et a considérablement compliqué le match du PSG.
Mais Paris, à la fin de chaque mi-temps, est venu conforter l'image d'une équipe capable de faire la décision à tout moment.

La première alerte sur le but parisien intervient pourtant dès la 5e minute. Guerbert gagne son duel avec Ménez et sert Corgnet qui bute sur Sirigu. Le meilleur buteur dijonnais donne le signal d'un premier quart d'heure au cours duquel les deux équipes vont se répondre à tour de rôle. Gameiro, seul au point de penalty après un débordement de Ceara, frappe au dessus (7e). Dans la foulée, Corgnet tente encore sa chance mais sa frappe passe de très peu à côté (13e). Guerbert s'essaye à son tour sur un coup franc insuffisamment enroulé (13e). Sans plus de succès. L'expert en coups de pied arrêté, côté parisien, se nomme Nene. Mais le tir du Brésilien ne fait que frôler les montants dijonnais (16e).

Nene délivre Paris

La suite est beaucoup plus soporifique et Paris peine à trouver des espaces et de la profondeur. Il faut finalement attendre l'approche de la mi-temps pour que le PSG accélère de nouveau et que Pastore ne sollicite Reynet (36e). Les hommes de Kombouaré forcent la décision juste avant la pause. Ceara lance Ménez côté droit, là où la défense dijonnaise donne le plus de signes de fébrilité. Le centre de l'ancien Romain trouve Nene qui avait bien senti le coup (42e). Le numéro 10 du PSG inscrit son troisième but de la saison, le premier dans le jeu après ses deux penaltys réussis contre Valenciennes et Nice.

Efficace à défaut d'être flamboyant, Paris se fait également quelques frayeurs en deuxième période. Il y a d'abord une intervention litigieuse de Lugano dans la surface, et pour laquelle Dijon réclame une main de l'Uruguayen (58e). M. Rainville, l'arbitre de la rencontre, ne désigne pas le point de penalty. Et puis il y a surtout cette occasion de Mandanne. Le nouvel entrant dijonnais s'emmêle complètement les crampons sur un service en or de Corgnet (62e). Entre-temps, Javier Pastore avait lui trop croisé sa frappe (60e). Paris n'a pas la main-mise sur ce match mais reste évidemment dangereux. Il faut d'ailleurs un exploit de Reynet pour sortir une tête de Gameiro consécutive à un coup franc de Ceara (69e). Dans une fin de match un peu brouillonne, c'est finalement Nene qui donne le coup de grâce d'une belle frappe croisée (90e).

Malgré la succession de matchs, Paris enchaîne une cinquième victoire consécutive (huit victoires lors des neuf derniers matches, dix matches sans défaites) et garde la tête du championnat avec trois points d'avance sur Montpellier. Prochaines échéances pour Sakho et sa bande: mercredi à... Dijon pour les 8es de finale de la Coupe de la Ligue et samedi en championnat, au Parc, contre Caen


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Mamadou Sakho : « On veut tous faire avancer le club »

Après une prestation de reprise mitigée à Ajaccio le week-end dernier, le défenseur central parisien a été meilleur hier soir contre Dijon. Plus tranchant dans les duels et mieux placé qu’en Corse, Mamadou Sakho (21 ans) est sur le bon chemin. Le capitaine revient sur le cinquième succès de rang de son équipe en L1 et pointe aussi la fatigue qui touche actuellement ses partenaires.

Quelle est votre analyse de ce succès (2-0) face à Dijon ?

Mamadou Sakho. C’est une victoire acquise dans la douleur mais le plus important ce sont les trois points pris. On joue beaucoup de matchs depuis le début de saison, des joueurs étaient en sélection il y a peu. Les organismes sont un peu fatigués.

La fatigue explique-t-elle cette prestation d’ensemble moyenne du PSG ?

Certainement. A un moment, sur le terrain, on s’est regardés et on s’est dit : « on va laisser passer l’orage. » Physiquement, ça a été un peu plus difficile en seconde période. Cette victoire est importante pour la suite et elle nous permet de rester sur notre lancée.

En effet, vous restez sur cinq succès de rang en L1…

On continue de bien travailler et on fera les comptes en fin de saison. On se concentre sur notre série actuelle et on essaie de récupérer au mieux pour rester efficaces.

A titre personnel, vous venez de jouer votre deuxième match depuis votre retour de blessure. Comment vous sentez-vous ?

Ça me fait plaisir de retrouver le terrain après deux mois d’absence. Quand j’étais blessé, j’étais frustré de regarder mes coéquipiers depuis les tribunes. J’ai la chance d’être rétabli et d’avoir pu faire une bonne préparation pour revenir. Je suis content de faire partie de cette équipe.

Vous en êtes le capitaine. Cette reconnaissance doit vous toucher, d’autant que le PSG occupe la tête de la L1 ?

Oui, car, plus jeune, j’ai été supporteur avant d’être joueur. Aujourd’hui j’ai la chance d’avoir le brassard en équipe première. C’est une grande fierté et j’essaie de donner le maximum pour le collectif et les supporteurs.

C’est la première fois que vous jouiez avec Lugano. Comment s’est passée votre entente ?

Bien pour une première. On s’est beaucoup parlé sur les actions dijonnaises.

Qu’avez-vous pensé de la prestation de Nene, auteur des deux buts ?

C’est très bien pour lui et pour l’équipe. On veut tous faire avancer le club, on a des objectifs en commun. Nene doit être fier de lui mais, sans les efforts de ses partenaires, il n’aurait peut-être pas inscrit son doublé. C’est très bien de penser équipe.



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Lugano remplacé...par prudence

Pour la première fois de la saison, Antoine Kombouaré avait aligné hier soir en défense centrale la paire Lugano-Sakho. «J'ai trouvé l'association plutôt bonne», soutient l'entraîneur parisien. Pourtant, à l'heure de jeu, il a décidé de remplacer l'international uruguayen, averti à la 31e minute, par Zoumana Camara.

«Diego a vite été pénalisé par son carton jaune, explique le coach. C'est devenu compliqué ensuite pour lui sur certaines interventions. J'ai préféré être prudent. Je sentais que cela pouvait le mettre en difficulté.» Le nombre d'avertissements infligés au défenseur central (quatre en cinq matchs de L1) pourrait ainsi bien vite devenir un sérieux problème à gérer pour le PSG.


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HHA
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Qu’arrive-t-il à Pastore ?

Il n’y en avait que pour Javier Pastore hier matin au camp des Loges (Yvelines) Les 200 supporteurs présents l’ont ainsi applaudi longuement lorsqu’il s’est amusé à conduire la voiturette destinée aux jardiniers. C’est aussi sous les vivats des fans qu’il s’est adonné à un exercice de coups francs alors que les autres titulaires du match contre Dijon étaient déjà repartis aux vestiaires.

La cote de Pastore n’a jamais été aussi forte auprès du public parisien. Pourtant, depuis son retour de sélection, le meneur de jeu n’est guère en forme. A Ajaccio (3-1), à Bratislava (0-0) et contre Dijon (2-0), la star du PSG a rendu une copie médiocre, sans jamais se montrer décisif ni même tenter d’animer le jeu de son équipe. Trois matchs décevants qui contrastent avec ses excellentes prestations d’avant la trêve (5 buts, 2 passes décisives).

Interrogé à maintes reprises ces derniers jours à son sujet, Antoine Kombouaré préfère dédramatiser. Il explique ainsi ce petit coup de moins bien par « les longs voyages avec sa sélection » ou encore par sa convocation devant la justice italienne en début de semaine dernière qui l’a « peut-être un peu perturbé ». D’autant plus que l’enchaînement des matchs et la blessure de Bodmer ne lui ont pas permis de souffler. « Il a 22 ans, il ne parle pas français, il habite encore à l’hôtel. Ce n’est pas toujours évident pour lui », ajoute aussi le coach.

« Par son excellent début de saison, il a mal habitué son public, sourit l’ex-Parisien Benoît Cauet, consultant pour la télévision italienne et entraîneur à l’Inter Milan des équipes de jeunes. Mais ce n’est pas une machine, il ne peut pas être exceptionnel à tous les matchs. D’autant plus que les adversaires commencent à mieux connaître son jeu et à s’organiser. »

L’année dernière, en Italie, l’Argentin avait aussi démarré la saison sur les chapeaux de roue, inscrivant 7 de ses 11 buts en Serie A entre la 2e et la 12e journée. Puis il est resté muet pendant plus de deux mois. « A Palerme, il a en effet parfois été moins bon pendant une certaine période. Il fonctionne un peu par cycles, mais comme tous les joueurs très techniques, précise Cauet. Il est encore très jeune et il doit s’adapter à une nouvelle culture. Ce qu’il fait est déjà énorme. » Et tant que ses partenaires, comme Gameiro à Ajaccio (3 buts) ou Nene contre Dijon (2 buts), sauront prendre le relais, Paris n’a en effet aucune raison de s’inquiéter.

Peguy Luyindula sera reçu aujourd’hui à 16h15 par la commission juridique de la Ligue de football professionnel qui doit examiner sa situation. L’attaquant parisien, qui s’entraîne avec la réserve, conteste sa mise à l’écart du groupe professionnel et demande sa réintégration. Le PSG, notamment représenté par son avocat, assistera également à cette audition.


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Biz Markie
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Avec Bodmer, sans Chantôme

Mathieu Bodmer pourrait retrouver les pelouses mercredi contre Dijon.(EQ)

Blessé à une cuisse depuis deux matches, Mathieu Bodmer a été retenu dans le groupe parisien qui affrontera Dijon ce mercredi (17h00) en huitième de finale de Coupe de la Ligue. Ce n'est pas le cas de son coéquipier Clément Chantôme, également touché à une cuisse et préservé par son entraîneur. Siaka Tiéné (genou) est également forfait, comme Blaise Matuidi, Milan Bisevac et Guillaume Hoarau.

Le groupe parisien contre Dijon
Douchez, Sirigu - Armand, Camara, Ceara, Jallet, Lugano, Sakho, L. Landre - Bodmer, Kebano, Nene, Pastore, Sissoko - Ménez, Bahebeck, Erding, Gameiro.


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girlinlove
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PSG: A cause des blessures, Kombouaré fait déjà rouler les Parisiens sur la réserve


Créé le 25/10/2011 à 17h12 -- Mis à jour le 25/10/2011 à 17h12

FOOTBALL - Le coach du PSG compte sur un effectif réduit au moment de défier Dijon en huitième de finale de la Coupe de la Ligue...

«Vous ne vous rendez pas compte, mais il y a du boulot.» En effet, malgré un recrutement à plus de 80 millions d’euros, Antoine Kombouaré est obligé de se creuser très sérieusement le cerveau pour composer son groupe ces dernières semaines. Ce sera encore le cas à Dijon, mercredi, en huitième de finale de la Coupe de la Ligue, où Clément Chantôme, Guillaume Hoarau, Siaka Tiéné, Blaise Matuidi et Milan Bisevac seront absents. «Si vous regardez, depuis un moment, on tourne sur un effectif de 18 ou 19 maximum, donc 14 ou 15 joueurs de champ», déplore Antoine Kombouaré.

Pastore: «Il n’a pas fait de préparation physique, il a besoin de temps de jeu», estime Kombouaré


Moralité, certains cadres commencent à tirer la langue, et surtout en attaque. A ce titre, la forme précaire de Javier Pastore interpelle. «Il n’est pas le seul. Ménez, heureusement qu’il était suspendu à Ajaccio, il a joué tous les matchs. Nenê c’est le cas aussi. Sur les postes de devant, on a moins de solutions. En même temps, quand il (Pastore) part en sélection il ne joue pas, il n’a pas fait de préparation physique non plus, donc il a besoin de temps de jeu», explique Antoine Kombouaré. Qui remarque également que si la star a fait «un début de saison canon», «il a du mal à parler français» et qu’il «habite encore à l’hôtel».

Les jeunes doivent faire plus

Pour le staff parisien, une des solutions consiste à piocher chez les jeunes pousses. Mais Loïc Landre, Neeskens Kebano et Jean-Christophe Bahebeck se contentent pour le moment de grappiller quelques minutes par-ci par-là. «Quand tu es pro au PSG, c’est compliqué. Alors imaginez pour les jeunes. Pour un jeune, arriver ici c’est dur. La chance qu’ils ont, c’est que tous les jours ils s’entraînent avec des joueurs de grande qualité. Il faut faire plus, c’est comme ça», réclame Kombouaré. Alors pour le moment, il se contente de déplacer les plus anciens, comme Jallet sur l’aile ou Armand au milieu. «Les solutions, elles sont dans le groupe», promet Kombouaré. Et peut être même au mercato.

A.M.


20minutes.fr
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Luyindula entendu par la LFP

Peguy Luyindula a été entendu ce mardi par les membres de la commission juridique de la LFP dans le litige qui l'oppose au Paris-SG. «Il y a plusieurs groupes d'entraînement au PSG», a notamment soutenu l'attaquant, rapporte André Soulier, président de la commission. «Si les joueurs, qu'ils fassent partie de l'équipe B ou de l'équipe première, s'entraînent sur deux sites d'entraînement différents, il faudra vérifier si le PSG devait disposer pour cela d'une dérogation et s'il en avait fait la demande», a expliqué M. Soulier, qui se rendra prochainement sur le site d'entraînement du club. La commission juridique de la Ligue de Football Professionnel (LFP) a mis sa décision en délibéré sous une quinzaine de jours. «Je suis assez confiant, ça me paraîtrait un peu logique que je réintègre la place que je n'aurais jamais dû quitter», a quant à lui estimé Luyindula.


lequipe.fr
niramo
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Le père de Cana condamné

Le père de Lorik Cana ainsi que l'ancien agent du joueur, Christophe Mongai, ont été condamnés respectivement à 9 mois de prison avec sursis et à 6 mois avec sursis dans la cadre du transfert irrégulier du footballeur du Paris SG à l'Olympique de Marseille en 2005. Les deux hommes devront de plus payer respectivement 80 000 et 40 000 euros d'amende. Agim Cana, le père de Lorik, était poursuivi pour menaces de mort, faux, usage de faux, complicité de recel d'abus de biens sociaux, et exercice illégal de la profession d'agent.


L'Equipe.fr
HHA
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Kombouaré ne veut pas brader cette compétition

Paris sait à quoi s’attendre. Il y a quatre jours, les hommes d’Antoine Kombouaré ont en effet déjà affronté cette équipe de Dijon en championnat avec, à la clé, un succès (2-0). « J’ai cru comprendre que notre victoire avait laissé beaucoup de frustrations chez nos adversaires. Je m’attends donc à un très bon Dijon, signale l’entraîneur parisien.
Mais cette Coupe de la Ligue nous tient à cœur. C’est le chemin le plus court pour la Ligue Europa. On la jouera donc à fond. Mes joueurs sont conscients qu’il s’agit d’une autre compétition, d’un match couperet avec une sanction immédiate. »

Pourtant, après un début de saison sur les chapeaux de roue, Paris commence à accuser le coup. Du moins physiquement. Clément Chantôme (soucis musculaires) et Siaka Tiéné (cuisse) ont en effet dû déclarer forfait pour ce déplacement. Avec Matuidi et Hoarau à l’infirmerie, ainsi que Bisevac en phase de reprise mais encore inapte à la compétition, Antoine Kombouaré dispose donc de peu de solutions ce soir à Dijon. « Jusqu’à présent, entre les matchs de Ligue Europa et ceux de championnat, j’ai toujours essayé de faire tourner, explique le coach. L’idée étant de toujours aligner la meilleure équipe possible. Le souci aujourd’hui, c’est qu’il y a quelques blessés. Je n’ai pas beaucoup de choix. »

Une titularisation de Pastore n’est pas à exclure

D’autant plus que l’entraîneur se refuse à faire appel à Kebano, Bahebeck ou encore Landre, les jeunes du groupe. « Le niveau demandé actuellement au PSG est très élevé, explique-t-il. Ils progressent. Mais tant qu’ils ne me satisferont pas, ils doivent s’attendre à ne faire que des bouts de matchs. »

Du coup, Paris devrait aligner ce soir au moins quatre des titulaires de dimanche soir, soit Ceará, Sakho, Sissoko et Nene. Et une titularisation de Pastore, qui a pourtant montré des signes de fatigue évidents lors de ses trois dernières prestations, n’est pas à exclure. « Je suis encore en pleine réflexion à ce sujet, assure le coach. Beaucoup d’autres joueurs sont aussi fatigués. Je pense notamment à Nene, Ménez, Gameiro. Mais sur les postes de devant, j’ai moins de solutions. » Patrice Carteron, l’entraîneur de Dijon, devrait, lui, remanier en profondeur son onze de départ. Seuls deux des titulaires de dimanche, Sankharé et Malouda, devraient ainsi entamer le match.



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Armand : « Je n’ai jamais vécu ça en huit ans au PSG »

A Paris depuis huit saisons, Sylvain Armand porte un regard avisé sur le changement de statut du PSG depuis l’arrivée des actionnaires qatariens. Le défenseur parisien, 31ans, pense même qu’avec l’arrivée possible de Beckham Paris peut encore basculer dans une « autre dimension ».

En huit ans au PSG, avez-vous déjà connu un début de saison aussi doré ?

Sylvain Armand. J’ai connu des périodes où ça se passait pas trop mal mais premiers du championnat avec la meilleure défense (8 buts) alors que le club vient de changer de propriétaire, je n’ai jamais vécu ça.

Comment expliquer que Paris possède la meilleure défense de L1 malgré ses nombreux blessés dans ce secteur ?

En début de saison, on a été pas mal critiqués parce qu’on prenait un but par match. Mais on s’exposait beaucoup par rapport à notre potentiel offensif. On a laissé jouer nos attaquants pour qu’ils fassent la différence et ça nous a parfois mis en difficulté. Malgré ça, on s’aperçoit que notre défense n’est pas si mauvaise que ça. Ce qui signifie que l’effectif est de qualité.

Vous visez le championnat et la Ligue Europa, cette Coupe de la Ligue est-elle un objectif ?

Avec l’effectif qu’on a, on ne peut négliger aucune compétition et un succès en Coupe de la Ligue peut être très intéressant.

Vous pensez à Marseille qui avait lancé sa saison il y a deux ans par un succès en Coupe de la Ligue ?

Une victoire peut en effet jouer comme un déclencheur pour le championnat et peut aussi nous permettre d’augmenter le nombre de matchs et de permettre à chacun de jouer plus.

Etes-vous frustré par votre statut de remplaçant ?

En treize ans de carrière professionnelle, j’avais été habitué à jouer régulièrement. Mais je savais à quoi m’en tenir avec le changement de propriétaire et les nombreuses arrivées. Donc je ne me plains pas. Mais c’est vrai que c’est frustrant de ne pas jouer certains matchs comme celui contre Lyon.

Que représenterait l’arrivée de Beckham au PSG ?

J’ai joué contre lui à Manchester avec Nantes en Ligue des champions (2001-2002). On avait perdu 5-1 et il avait mis 1 but et fait 3 passes décisives. Déjà à l’époque, ça faisait quelque chose de le voir car on parlait déjà beaucoup de lui. Aujourd’hui, si il vient, ça sera la découverte d’une légende planétaire, d’un grand footballeur et d’un businessman. Et pour le PSG, ce sera encore quelque chose de nouveau. Est-ce qu’il viendra comme nous tout seul en voiture au camp des Loges ? Est-ce qu’il sera escorté ? Je n’en sais rien. Bref, ça sera encore une autre dimension.

Justement, comment les joueurs assument ce changement de dimension que vous évoquez ?

D’abord, il a fallu en prendre conscience rapidement, ce qui n’a pas été évident pour certains car cela dépasse tout qu’on a vécu avant. Ce sont plein de petits détails. Il y a eu l’arrivée de grands joueurs en très peu de temps cet été, la presse étrangère est plus nombreuse et au Parc, il y a un parking pour les actionnaires qatariens. Les habitudes ont changé mais c’est ce qui fallait pour avoir une grande équipe.


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Foot- Cpe Ligue
Kombouaré :«Une piqûre de rappel»

Battu à Dijon (2-3) après avoir compté deux buts d'avance, le Paris-SG est déjà éliminé de la Coupe de la Ligue. Au-delà de sa déception, Antoine Kombouaré entend se servir de certaines erreurs pour préparer la suite.

« Antoine Kombouaré, comment expliquez-vous que votre équipe perde un match qu'elle semblait maîtriser ?
On mène 2-0, en perd 3-2, il y a deux penalties et deux cadeaux. Et aussi une bonne équipe de Dijon, que je félicite, car elle a fait preuve de qualité technique et a affiché ses ressources mentales. On pensait avoir fait le plus dur. Je suis bien sûr très déçu du résultat qui nous élimine de cette compétition, mais pas du jeu de l'équipe.

Votre composition d'équipe était assez surprenante...
J'ai fait des choix. J'ai un effectif à gérer, je dois tenir compte des matches à répétition, de la santé des joueurs. J'ai toujours assumé mes choix. Mon idée est de toujours trouver les joueurs pour composer la meilleure équipe.


« J'assume toujours mes choix »

Certains de vos joueurs ont semblé en vouloir à l'arbitre...

Je ne parle jamais de l'arbitrage. Et puis, ce n'est pas à cause de l'arbitre que nous perdons. Nous avons commis des erreurs sur les buts dijonnais, nous avons manqué d'efficacité défensivement et offensivement, et nous avons touché la barre et le poteau à plusieurs reprises.

Quelle est selon vous la portée de cette défaite ?
Que nous sommes éliminés de la Coupe de la Ligue. Je ne pense pas que cette défaite laissera des traces. Mais c'est une piqûre de rappel, un avertissement pour les matches à venir. Il va falloir rebondir en Championnat dès samedi contre Caen. Et continuer de travailler pour corriger ces petites erreurs qui causent de gros dégâts.

Craignez-vous que les rumeurs autour des possibles venues de David Beckham et Eden Hazard lors du prochain mercato hivernal déstabilisent votre équipe ?
Non, car quand tu joues au PSG, tu sais qu'il y a un projet de monter une grosse équipe et de faire venir de grands joueurs... »


Recueillis par Alexis BILLEBAULT, à Dijon


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Nene pense toujours à la Seleçao

Nene n'a pas fait une croix sur le Seleçao (EQ)

Dans un entretien accordé au site brésilien O Globo, le milieur offensif du PSG, Nene, a réaffirmé son ambition d'intégrer un jour la sélection brésilienne. «J'ai toujours l'espoir de jouer pour la Seleçao. Je sais que la concurrence est grande, mais si je maintiens mon niveau , je pense pouvoir y parvenir.» Des déclarations qui vont à l'encontre de celles du début d'année où le Brésilien avait fait part de son intérêt pour l'équipe de France, lui qui espère obtenir bientôt la nationalité française. Dans le même temps, le gaucher brésilien a évoqué un retour dans le championnat brésilien «d'ici à trois ans».


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Kombouaré cherche des explications

Dans le secret des vestiaires, hier matin, Antoine Kombouaré est revenu sur l’élimination de son équipe à Dijon (3-2) en 8e de finale de la Coupe de la Ligue. Il a affirmé qu’il n’était pas acceptable de perdre ce match après avoir mené deux à zéro et que cette défaite devait leur servir de piqûre de rappel.

Il a ensuite cherché une explication à cette contre-performance. Il a demandé à ses joueurs pourquoi ils n’avaient pas réussi à se libérer et s’ils « avaient la pression ». Il a également cherché à savoir si les rumeurs concernant l’arrivée de nouveaux grands joueurs à Paris les avaient déstabilisés. L’entraîneur a répété que le PSG était entré dans une nouvelle dimension et qu’à ce titre la concurrence concernait tous les postes. Il a enfin rappelé que lui-même avait dû faire face à des rumeurs sur l’arrivée d’un nouvel entraîneur cet été.



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A quand le vrai Lugano ?

Son recrutement avait accouché d’un fol espoir. Avec Diego Lugano, le PSG tenait enfin son nouveau Ricardo, mâtiné d’un zeste de Gabriel Heinze. Las. Deux mois après son arrivée, l’Uruguayen est loin d’avoir satisfait à toutes les attentes. On est à mille lieues du patron de la défense vanté par les spécialistes du football sud-américains.

Alors, qui est vraiment Lugano? Le défenseur robuste dont il a esquissé le portrait face à Lyon ou le médiocre besogneux qui a sombré à Dijon avant-hier en Coupe de la Ligue (défaite 3-2) ? Et, surtout, faut-il le titulariser demain, en championnat, face à Caen après deux prestations sans éclat? C’est la question posée à Antoine Kombouaré. Jusqu’ici, l’entraîneur parisien a témoigné une confiance quasi aveugle à l’ancien défenseur central de Fenerbahce.

Plutôt avec raison en championnat. En 5 titularisations en L1, Paris n’a concédé que 2 buts face à Evian (2-2). En coupes, le ratio est moins flatteur avec 5 buts encaissés en 4 titularisations. Mais au-delà des chiffres, ce sont les carences personnelles affichées par Lugano qui inquiètent. « C’est vrai que je ne reconnais pas le joueur que j’ai vu évoluer dans ses meilleurs moments », admet Pablo Correa, l’ancien entraîneur uruguayen de Nancy, qui a commenté la dernière Copa America. Trop lent et extrêmement maladroit, Lugano a déjà commis 10 fautes en 5 matchs de L1, là où son partenaire Zoumana Camara totalise 8 fautes en 9 matchs (pour 7 titularisations). De fait, l’Uruguayen cumule 6 avertissements toutes compétitions confondues, avec en prime une suspension d’un match.

Pourtant, Correa ne veut pas enterrer son compatriote ni croire que Leonardo s’est mépris sur la valeur réelle du capitaine de la Celeste. « Cela reste un bon choix, appuie l’ancien Nancéien. Diego connaît un trou à cause d’un défaut de préparation athlétique et d’une méconnaissance du championnat français. C’est normal. Tous les joueurs qui débarquent comme lui ont tôt ou tard un passage à vide. Je me souviens de mon arrivée à Nancy en 1995 (NDLR : en provenance de Montevideo), j’avais marqué lors de mon premier match officiel avant de plonger. C’est très rare de donner un tel élan à son équipe dès ses premiers matchs, comme l’a fait Pastore. » Pour Correa, la barrière de la langue mais aussi l’acclimatation à sa nouvelle vie — Lugano a trois enfants — sont d’autres raisons qui expliquent son manque de compétitivité. « Nous sommes des êtres humains, commente l’ex-entraîneur. Mais Diego a déjà traversé des périodes difficiles. Il est capitaine de la sélection uruguayenne où tout n’a pas toujours été rose. Malgré ça, il a toujours cherché à fédérer et n’a jamais paniqué. Il va prendre ses marques. Le reste, c’est un faux débat. »


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Messi: "Pastore a fait le bon choix en signant au PSG"


Transfert record de l'histoire de la Ligue 1, l'arrivée de Javier Pastore à Paris a suscité un engouement sans précédent. L'adaptation et les performances de haut vol de l'ancien milieu de Palerme ont alors rapidement rassuré fans et dirigeants franciliens quant à l'investissement consenti.



Invité à s'exprimer au sujet de son compatriote, Lionel Messi a confié à Onze Mondial que le club de QSI allait permettre à El Flaco de prendre encore une dimension supplémentaire:« C’est un grand joueur. Il a fait le bon choix en signant au PSG. Cela va lui servir de tremplin pour la suite de sa carrière. Il voulait franchir un cap en rejoignant ce club et il a trouvé ce qu’il était venu chercher »
Footeo.com via Onze Mondial.
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