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JeromeTouboulArnaudHermant
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Un effectif à repenser à 50%

En 2011, le PSG changera. En effet, les contrats de plusieurs joueurs cadres de l’effectif (Makelele, Giuly, Coupet, Edel ou Traoré) arrivent à échéance en juin prochain. Plusieurs autres éléments importants du groupe actuel (Sakho, Chantôme, Armand, Luyindula, Camara et Clément) seront à un an du terme de leur engagement parisien et devront, pour certains, être prolongés.

A cela s’ajoute le fait que si Paris continue de bien figurer en L 1 et venait à se qualifier pour la Ligue des champions, il lui faudrait se constituer un groupe encore plus compétitif.

Pas d’enveloppe pour le mercato d’hiver.
La direction parisienne ne devrait pas disposer d’enveloppe de recrutement en janvier pour le mercato hivernal. C’est la tendance actuelle. Si les bonnes performances perdurent d’ici à la trêve hivernale et qu’il n’y a pas de blessés majeurs, l’effectif parisien ne devrait pas évoluer. Pourtant, Antoine Kombouaré aimerait renforcer son groupe, qu’il juge trop restreint quantitativement, notamment dans le secteur offensif après les départs de Kezman et Rothen. « Il y a des besoins, confie l’entraîneur. Après, je veux savoir d’ici décembre combien de compétitions on devra encore disputer avant de me décider. » Au moins trois, puisque Paris s’est qualifié mercredi pour les demi-finales de la Coupe de la Ligue en plus de la L 1 et de la Coupe de France. Mais plus vraisemblablement quatre, puisque le PSG est aussi bien parti pour sortir des poules en Ligue Europa. Aujourd’hui, le technicien parisien dispose de 16 joueurs réellement expérimentés. Il en aimerait 20.

Des prolongations et des recrues l’été prochain. De six à huit joueurs devraient être recrutés l’été prochain pour compenser les fins de contrats et renforcer l’effectif. Mais avant cela, le PSG souhaite prolonger certains contrats. Des discussions sont en cours avec Sakho (observé souvent par Arsenal) ou Edel. Les dirigeants souhaitent aussi faire durer l’engagement d’Erding et réfléchissent pour Chantôme, excellent depuis qu’il est titulaire en milieu récupérateur et dont le contrat s’achèvera en juin 2012. Cet été, Paris voudra attirer un milieu défensif, un défenseur central expérimenté et un ou deux gardiens (selon le sort réservé à Edel). Le PSG pourrait avoir besoin d’un milieu droit afin de faire face au possible départ de Giuly. Un apport dans ce secteur sera une obligation si, comme le souhaite la direction du club, Sessegnon partait en juin. Enfin, Paris espère l’arrivée d’un bon attaquant. Six renforts : c’est donc le minimum envisagé aujourd’hui.

Le Parisien



Citation
Paris discute avec Edel et pense à Douchez

Qui sera le gardien numéro un du PSG la saison prochaine? Difficile de répondre dès à présent. Même les décideurs parisiens, Antoine Kombouaré en tête, ne savent pas. Mais Paris va devoir se positionner rapidement pour ce poste car le contrat de Grégory Coupet et d’Apoula Edel arrive à son terme en juin prochain. Comme il nous l’a confié dans l’interview du dimanche 7 novembre, l’entraîneur parisien apprécie les performances d’Edel (24 ans) mais souhaite que l’Arméno-Camerounais confirme sa régularité dans les prochaines semaines avant de se prononcer définitivement.

Le club vient à peine de commencer les discussions avec l’entourage du joueur. Ce dernier aimerait prolonger trois ans avec un statut de numéro un et un salaire revalorisé. Aujourd’hui, Paris ne lui propose pas autant. S’il n’obtient pas ce qu’il souhaite, Edel partira vraisemblablement. L’Olympiakos (L 1 grecque) s’est renseigné récemment ainsi que plusieurs clubs de L 1 qui devraient voir leur portier actuel s’en aller en fin de saison.
En attendant de trancher le cas Edel, pour lequel les négociations vont se poursuivre pendant l’hiver, les dirigeants parisiens s’activent. Ils ont pris des informations sur Nicolas Douchez (30 ans), le gardien de Rennes, libre en juin prochain. Natif de Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), Douchez a envie de signer à Paris. En déplacement au Brésil, Alain Roche, responsable de la cellule recrutement, a supervisé plusieurs autres gardiens. Mais recruter à ce poste un étranger ne parlant pas le français n’est pas la solution prioritaire du PSG.

Le Parisien
HHA
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«Gourmands» mais «candidats à rien»

Après deux victoires marquantes (2-1 contre Marseille et 3-1 à Valenciennes) et avant de prendre la direction de Lorient, dimanche (17h00), Antoine Kombouaré a soigneusement calibré samedi son discours sur l'ambition du Paris-SG, 3e de L1 à l'orée de la 13e journée. «On est gourmands, on a envie de continuer sur notre lancée mais on n'est candidats à rien, a dit l'entraîneur parisien. De la même façon qu'il fallait faire abstraction l'an passé de ceux qui nous enfonçaient quand on était au plus bas, on ne doit pas prêter attention à tout ce qui se dit sur nous et notre possible place de candidat au titre.»

Garder la tête sur les épaules et pas seulement dans les mots, voilà la priorité du coach parisien et de ses adjoints, selon Kombouaré. «Le travail du staff, c'est de faire garder aux joueurs leur humilité. Souvent, on dit qu'on ne s'enflamme pas et qu'on garde les pieds sur terre mais à l'entraînement on fait preuve de nonchalance. Là, je vois des joueurs qui restent sérieux et qui bossent. C'est ce que je veux voir.»

«Jouer vers l'avant»

Lorient ? «C'est une équipe qui excelle dans le contre, décrypte Kombouaré. Les Lorientais restent sur deux victoires dont une à Saint-Etienne, ils sont en confiance. On part avec l'idée de ramener un résultat positif mais au-delà de ça, même si cela se passe mal, je veux au moins que dans l'esprit on réponde présent. J'attends de l'équipe qu'elle soit conquérante et joue vers l'avant.»


lequipe.fr
Baghib!
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LIGUE 1/LORIENT - PSG.

Paris doit s’accrocher au sommet

Les Parisiens restent sur une série de sept matchs sans défaite en déplacement. S’ils s’imposent en Bretagne, ils peuvent prendre la tête du championnat.


Avec le PSG, on sait depuis des années qu’il est souvent contre-productif de claironner trop fort ses ambitions. Pourtant, en fin d’après-midi, les Parisiens peuvent prendre la tête du championnat! Après le match nul de Brest hier soir contre Sochaux (1-1), une victoire à Lorient offrirait la place de leader à Paris (à condition que Rennes ne gagne pas à Auxerre dans le même temps).

L’exploit ne serait pas mince quand on sait que Paris premier de la classe après treize journées, cela ne s’est pas vu depuis… dix ans. Mais se cabrer au moment de franchir un obstacle décisif est une spécialité parisienne. Ainsi, il y a presque un mois, les coéquipiers de Sakho, après un succès à Toulouse (2-0), avaient réussi à grimper sur le podium. La semaine suivante, ils s’inclinaient bêtement contre Auxerre au Parc des Princes (3-2) et redescendaient dans le ventre mou. Cet après-midi, à Lorient, sur une pelouse synthétique, les hommes de Kombouaré devront donc éviter d’enclencher une nouvelle fois la marche arrière.

Plusieurs raisons poussent à l’optimisme. En quelques semaines, le PSG a gagné en densité et en certitudes. S’imposer à Lyon, tenir en échec le Borussia Dortmund qui plane sur la Bundesliga et battre l’OM au Parc, cela donne quelques repères. Et ce n’est pas la série en cours du PSG à l’extérieur qui va doucher les enthousiasmes. Toutes compétitions confondues, les Parisiens sont invaincus depuis sept matchs (cinq succès et deux nuls)!
Désormais, la marge de progression du PSG réside dans sa capacité à assumer son nouveau statut. Il n’est pas scandaleux d’affirmer que l’équipe de la capitale fait partie des candidats sérieux pour le titre. Même lorsque Kombouaré calme les rêveurs. « On travaille énormément avec les joueurs pour prendre du recul sur ce qui se dit autour de nous, explique l’entraîneur parisien. C’était déjà le cas quand on nous enfonçait en début de saison. Candidat au titre? Mais nous ne sommes candidats à rien d’autre qu’à gagner le prochain match. » Sauf qu’il ne veut pas se contenter de belles paroles : « J’entends des joueurs dire qu’il ne faut pas s’enflammer, poursuit-il. C’est bien mais ça ne suffit pas. Les vrais signes, on les montre à l’entraînement. Et là, je vois des gars qui ne se relâchent pas et qui savent qu’il faut continuer à travailler. Ça, ça me plaît. »

Un succès à Lorient plairait aussi à Kombouaré pour d’autres raisons. La saison dernière, les Bretons avaient, malgré le match nul (1-1), donné une leçon de foot pendant une mi-temps. Au coup de sifflet final, Christian Gourcuff, l’entraîneur des Merlus, avait critiqué le jeu dur de Makelele. Kombouaré avait répliqué vertement. Ce qui avait valu aux deux hommes une condamnation par le Conseil national de l’éthique. Depuis, les entraîneurs se sont expliqués. Mais il n’est jamais trop tard pour prendre une revanche sur le terrain. Histoire, là aussi, de démontrer qu’à Paris les temps ont changé.
leparisien.fr
sylvain
Résumé de l'article de l'Equipe du jour.

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On ne voit ça qu'à Paris.

Le PSG est la seule équipe des grands championnat européens à évoluer avec deux défenseurs centraux gauchers. Avec réussite.

Au début de saison, la situation était simple. Un gaucher (Sakho) et un droitier (Camara). Mais les performances de ce dernier ont amené Kombouaré a changé la donne. Depuis Arles, c'est un autre gaucher, Armand, qui officie avec Sakho en défense centrale. Le PSG est devenu une exception en Europe. Aucune équipe de première division anglaise, italienne, espagnole ou allemande n'évolue dans cette configuration. La plupart alignent un duo droitier-gaucher, une minorité se satisfait de 2 droitiers, mais aucune ne s'appuie sur 2 gauchers. Seul l'Inter, de temps en temps, lorsque Materazzi-Chivu ou Samuel sont associés, quand Bentiez ne peut pas se débrouiller autrement.

Analyse de cette situation par divers "spécialistes".

Hadzibedgic, entraineur d'Arles-Avignon: "S'il n'y a pas de paires de gauchers en défense centrale, c'est parce que les gauchers sont rares. Ca ne me gêne pas. Du moment qu'ils ont une bonne lecture du jeu."
Guidolin, entraineur de l'Udinese: "Je préfère avoir deux droitiers. Les gauchers sont rarement bons du droit alors qu'un droitier sera toujours à l'aise avec son mauvais pied. Regardez la meilleure défense de l'histoire du Calcio est celle du Milan AC avec Tassotti, Baresi, Costacurta et Maldini. Que des droitiers."
Jean Fernandez, entraineur d'Auxerre: "On l'a fait l'an passé en alignant Grichting et Mignot quand Coulibaly est parti à la CAN. Et on avait pas pris beaucoup de buts. Avant les gauchers avaient un pied droit catastrophique. C'est moins vrai aujourd'hui. C'est la complémentarité qui l'emporte. A Paris, je pense que Camara est moins complémentaire avec Sakho que ne l'est Armand. Camara a des qualités qui se rapprochent de celles de Sakho. Armand parle plus, repositionne davantage. Quelque part, il contribue à l'épanouissement de son coéquipier."

Armand analyse lui aussi ce nouveau poste.

"C'est avant tout une question de concentration et d'appuis différents." C'est aussi une question de relances. Et donc, d'orientation de jeu. Le jour où le PSG a évolué dans cette configuration, il a penché un peu plus souvent à gauche. Cela peut relever d'un désir tactique si l'entraineur estime que c'est par Nenê que le danger est le plus flagrant. En contrepartie, le jeu parisien devient plus prévisible. Du coup, contre l'OM, les joueurs ont varié davantage les zones d'attaque. "Au début, je cherchais systématiquement à relancer à gauche, c'est vrai, convient Armand. Maintenant, je vais d'abord à droite, car c'est plus facile ensuite de me retourner si je ne trouve pas de solutions." Le sfaits le confirment.
Alain Perrin, l'ancien entraineur de Lyon qui a commenté PSG-OM pour Al-Jazeera, assure "ne pas avoir été choqué par les relances." Et poursuit: " Par moment, la défense centrale parisienne a été prise dans son dos. Peut-être à cause de problèmes d'appuis mais je pense que c'est surtout lié à une moins bonne lecture du jeu à ces moments de la rencontre." Là, rien à voir avec la qualité du pied.

D.Degorre.
sylvain
PSG.FR

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Communiqué du Club


Le PSG a décidé de se priver des services de son gardien Edel Apoula pour la rencontre face à Lorient.

En effet, le joueur suit actuellement un traitement médical qui nécessite une AUT (Autorisation d'Usage Thérapeutique) pour poursuivre la compétition. Celle-ci avait été demandée en bonne et due forme il y a plusieurs semaines par le professeur Rolland, Médecin du Paris Saint-Germain.

Le traitement a été autorisé par les instances de l'UEFA, mais pas par les instances françaises qui régissent le Championnat de France. Le club ayant été informé samedi matin, par le joueur, de la notification de ce refus, il a été décidé d'un commun accord entre le club et le joueur de prendre les dispositions pour éviter toute infraction mais également de solliciter, dès lundi, une harmonisation des décisions des instances européennes et françaises.
Biz Markie
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Paris a tout donné

Malgré un nombre d'occasions incalculable, le Paris-SG n'a pas gagné dimanche à Lorient (1-1) et manque l'occasion de prendre la tête du Championnat.

C'est presque à croire qu'ils l'ont fait exprès. Attendre la dernière minute pour marquer alors qu'ils ont eu tout le match pour le faire avant, les Parisiens jouent avec les nerfs de leurs supporters. Après leur victoire contre Marseille (2-1) et leur qualification en demi-finales de Coupe de la Ligue, Antoine Kombouaré attendait une confirmation de la part de ses joueurs. Le coach parisien l'a eue en quelque sorte, avec ce match nul arraché à Lorient (1-1). Il sait que son équipe est solide mentalement, elle qui n'a plus perdu désormais à l'extérieur depuis huit matches consécutifs toutes compétitions confondues. Mais il en aurait préféré une autre. Il aurait préféré ne pas avoir de regrets.
Car sur une pelouse synthétique qu'ils n'affectionnent pas, ce sont pourtant bien ses hommes qui ont dominé la majeure partie de la rencontre. Mais comme souvent depuis le début de saison, ces derniers ont cruellement manqué de réalisme. L'entame énergique du Paris-SG, sous l'impulsion d'un Clément Chantôme toujours aussi incisif, laissait croire que la partie allait être à sens unique. A peu de choses près, ce fut le cas. Seulement voilà, ni Giuly (1e), ni Hoarau (9e), ni Chantôme (14e), ni même Nenê (18e) ne sont pas parvenus à ouvrir le score. Du coup, à force de voir leurs adversaires tergiverser, les Merlus se sont réveillés. Gameiro a d'abord trouvé la transversale de Coupet d'un magnifique lob (24e), avant que Kitambala ne fasse payer l'addition au PSG, à l'affût sur corner (32e).
Déjà menés à Valenciennes en milieu de semaine, les joueurs de la capitale sont néanmoins encore revenu à la marque, au prix d'un ultime effort. Symbole du nouveau PSG, plein de caractère. Et comme souvent, c'est Nenê qui sorti son équipe d'affaire (90e), sur une belle remise de Bodmer. A défaut de mieux, à défaut d'avoir transformé une occasion de plus, une des quatorze qu'ils se sont créées au final (36, 40e, 45e, 55e, 61e et 82e), se heurtant souvent à un Fabien Audard des grands soirs, les Parisiens terminent la semaine rassurés. Même s'ils quittent le podium au profit de Montpellier, ils savent cette saison qu'ils sont de taille à lutter. - H.S.

lequipe.fr
ZéroQuatorze
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PSG : Malaise pour Hoarau


Giullaume Hoarau, l'attaquant du PSG, a été victime d'un malaise vagal lors de l'égalisation du PSG face à Lorient. Titulaire au coup d'envoi, il se trouvait alors sur le banc.
L'égalisation de Nenê sur la pelouse de Lorient dimanche n'a pas uniquement provoqué une immense joie dans le camp parisien. Elle a également causé un malaise chez Guillaume Hoarau, qui s'est senti mal quelques secondes seulement après s'être levé pour fêter la frappe gagnante de son coéquipier brésilien.

L'attaquant parisien, alors présent sur le banc de touche après avoir été remplacé en fin de match, a tout de suite été pris en charge par les équipes de soins. Mais rien de grave pour l'ancien Havrais, qui a reçu des nouvelles rassurantes un peu plus tard.

FOOT365
HHA
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Nez fracturé pour Ceara

Titulaire sur le flanc gauche de la défense parisienne, dimanche à Lorient (1-1), Marcos Ceara a quitté le terrain en fin de match (73e), remplacé par Siaka Tiene, en raison d'une blessure au visage. Après la partie, le staff parisien a indiqué que le Brésilien souffrait d'une fracture du nez.

Par ailleurs, sur l'égalisation de Nenê en toute fin de rencontre, Guillaume Hoarau a subi un léger malaise vagal, sans gravité. Immédiatement pris en charge par le personnel soignant, l'attaquant international a rapidement repris ses esprits. «Guillaume avait reçu un choc à la tête en première mi-temps, a expliqué son coach Antoine Kombouaré. Il a continué à jouer à l'énergie mais ça a gonflé. Mais cela va mieux»


lequipe.fr
HHA
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«La haine de la défaite»

«Je l'aurais très mal pris si on avait perdu ce match, car je pense qu'on a fait une très bonne partie.» Comme le dit Antoine Kombouaré, Paris est passé tout près d'une énorme déception ce dimanche à Lorient (1-1). Dominateurs une bonne partie de la rencontre, mais butant à de nombreuses reprises sur un Fabien Audard «en état de grâce», les joueurs du PSG ont sauvé les meubles, grâce à un but de Nenê, dans les dernières minutes du match. Assez pour contenter l'entraîneur parisien : «Je suis super content, car on a vu une grande équipe du PSG avec des ressources mentales très solides, qui nous ont permis de revenir au score et ça, c'est une énorme satisfaction. On voit que cette équipe ne lâche rien et à la haine de la défaite. On a joué notre 10e match en 28 jours et dans le dur, on a fait de gros résultats ces derniers temps. On va s'appuyer sur cette série, ça va nous faire avancer», a poursuivi Kombouaré. Relayé par son capitaine du soir Mamadou Sakho : «On voit qu'on a une force mentale qui a changé par rapport à la saison dernière et c'est très bien. Il faut continuer comme ça.»

Armand : «Bien de rester caché»

Pourtant, Paris est passé tout près de quelque chose de grand ce dimanche à Lorient. En cas de victoire, les hommes du président Robin Leproux se seraient emparés de la première place de la Ligue 1. «On vient chercher un résultat en fonction de ce qu'on montre. Aujourd'hui, bien sûr que sûr qu'on a des occasions, mais on n'a pas été assez réaliste dans le dernier geste», a estimé Kambouaré. «Dommage», comme le dirait Christophe Jallet, mais «c'est peut-être bien de ne pas prendre le pouvoir trop tôt non plus. C'est bien de rester caché», a lâché avec le sourire Sylvain Armand. En continuant dans cette voie, Paris ne devrait pas le rester longtemps.


lequipe.fr
NeiBaF
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Paris ne lâche rien mais laisse des plumes



Les Parisiens ont trouvé les ressources pour égaliser à la dernière minute.Mais ils reviennent éprouvés :Ceará a le nez cassé,Hoarau a fait un malaise, et Sakho et Chantôme seront suspendus à Lyon.


Sur un plan strictement comptable, les Parisiens peuvent nourrir quelques regrets. Le nul concédé hier soir à Lorient les prive d’une place de leader qui leur tendait les bras, avec la défaite de Rennes à Auxerre (2-1) à la même heure. Pourtant, après le coup de sifflet final, c’était bel et bien la satisfaction qui dominait du côté du PSG.

Menés dès la 32e minute de jeu, les joueurs d’Antoine Kombouaré ont encore fait preuve d’une belle force de caractère, en égalisant en toute fin de match (90e) grâce à un Nene décisif pour la septième fois cette saison en Ligue 1. « Marquer dans les arrêts de jeu, c’est fantastique, se félicite le technicien parisien. Cette saison, on ne lâche rien. Cette équipe a la haine de la défaite. » Et avant Lorient, elle l’avait déjà prouvé à Dortmund (1-1), à Lyon (2-1) et à Valenciennes (3-1) en Coupe de la Ligue. « L’année dernière, dès qu’on encaissait un but, on baissait rapidement les bras, raconte Sylvain Armand. Cette saison, non. On est capables de réagir. C’est une grande force. »
Certes, Lorient aurait pu alourdir le score en seconde période, notamment à la 87e minute avec ce lob magnifique de Kevin Gameiro. On pourra aussi regretter le manque de réalisme de cette équipe du PSG, notamment en début de rencontre, alors qu’elle dominait outrageusement.

Un match intense


Mais ce résultat obtenu avec rage par les Parisiens reflète parfaitement la physionomie de ce match, intense, voire captivant. « Le nul est logique, analyse Christian Gourcuff, l’entraîneur lorientais. Les Parisiens se sont créé de nombreuses occasions, leur pressing nous a causé beaucoup de problèmes. Mais c’est dur d’encaisser un but dans les arrêts de jeu. »
Après avoir enchaîné neuf matchs en moins d’un mois — et en ne concédant qu’une seule défaite, contre Auxerre au Parc (3-2) —, les Parisiens vont désormais profiter de six jours pour se ressourcer avant leur prochain rendez-vous face à Caen, samedi au Parc des Princes. Et ce ne sera pas de trop! Car, hier soir, le PSG a perdu bien des forces dans la bataille. Avant le coup d’envoi, Edel avait dû déclarer forfait pour un problème médical. Mais ce n’est pas tout : « Ce match nous a fait très mal. Ceará a le nez cassé, Hoarau a fait un malaise vagal et deux joueurs, Sakho et Chantôme, seront suspendus (NDLR : à Lyon le 28 novembre), énumère Kombouaré. Notre situation est encore fragile. Et c’est bien pour cela qu’il ne faut surtout pas s’emballer. La route est encore longue. »


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Edel souffre de la toxoplasmose



Edel a été sorti du groupe parisien hier matin à quelques heures du match contre Lorient. Le gardien parisien suit actuellement un traitement médical qui aurait pu lui valoir un contrôle antidopage positif. Edel souffre depuis des années de toxoplasmose, une infection parasitaire bénigne qui touche parfois les humains mais plus généralement les… chats.
Edel est sujet à des crises aiguës, comme jeudi dernier où cette affection lui a occasionné une lésion à un œil. Le traitement consiste notamment en une injection d’un produit à base de cortisone.

Le PSG a demandé aux autorités sportives européennes et françaises une autorisation thérapeutique pour le traiter. Si l’UEFA a donné son accord dès vendredi, l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) a envoyé hier par fax un avis négatif. « Dans le doute, on a retiré Edel du groupe, explique Eric Rolland, le médecin du club. Normalement, l’avis de l’UEFA aurait pu suffire. Mais il faut résoudre ce problème avant le match contre Caen samedi. On va revenir dès ce lundi (aujourd’hui) devant l’AFLD pour voir si elle maintient ou non sa décision. »


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Nene est bien l’homme providentiel

Obligé de se passer d’Edel dans les buts, Antoine Kombouaré avait également choisi de laisser souffler Tiéné et de redonner du temps de jeu à Ceará sur le côté gauche.Mais malgré un excellent début de rencontre, le PSG s’est fait bêtement piéger sur une erreur de marquage. Il n’a néanmoins jamais abdiqué.

6 COUPET. Sauvé par sa barre sur un lob de Gameiro (28e), il est un peu abandonné sur l’ouverture du score. A son actif, un bon réflexe pour s’opposer à un centre-tir d’Amalfitano (27e) et des arrêts décisifs devant Gameiro (64e) et Diarra (78e).

5 JALLET. Comme il connaît parfaitement la vitesse des contres lorientais, il a surtout pensé à rester bien en place sur son côté droit. Très correct dans son travail défensif.

5 ARMAND.
La vitesse de Diarra l’a parfois fait souffrir. A son crédit, des interventions judicieuses et toujours opportunes. Sa seule erreur est d’oublier Kitambala sur le but (32e) même s’il n’est pas aidé par ses coéquipiers sur ce coup-là.

5,5 SAKHO. Toujours autant à l’aise dans son axe central. Face à la puissance des contres bretons ou à l’intelligence de Gameiro, le capitaine parisien a pourtant eu du travail. Averti (13e).

5 CEARÁ.
On sent qu’il a des affinités dans le jeu comme dans la vie avec Nene et a plusieurs fois dédoublé avec l’autre Brésilien du PSG. Un bon centre (14e). En défense, il s’est moins amusé. Nez cassé par Coquelin, il est remplacé par Tiéné (73e).

5 GIULY.
Il n’était pas dans les meilleures dispositions, mais il a animé, avec l’expérience plus qu’avec le talent, son flanc droit. Une frappe au bout de trente secondes et des bons centres. Fatigué, il est remplacé par Luyindula (61e).

6 CHANTÔME.
A gauche, à droite, au centre. Il était encore partout. Un nombre impressionnant de kilomètres parcourus à toute vitesse. Malgré une baisse après l’heure de jeu, c’est vraiment la bonne pioche de l’automne. Averti (73e).

5,5 BODMER.
Comme il ne joue que par intermittence, il manque logiquement de rythme. Sa lecture du jeu est pourtant intéressante. Après une jolie frappe néanmoins (56e), il manque de marquer d’un coup de tête hargneux (62e). Mais il offre l’égalisation à Nene (90e).

6 NENE.
Une tête à côté (18e), un bon centre (30e). Sans avoir son poids habituel sur le jeu parisien, il a eu l’immense mérite d’égaliser (90e).

4,5 ERDING.
Il aurait pu marquer de la cuisse (30e) mais, malgré une évidente combativité, le Franco-Turc n’a pas pesé sur la défense lorientaise.

5 HOARAU. Ses coups de tête ont d’abord soulagé sa défense avant de mettre souvent Audard à l’ouvrage. Ce fut notamment le cas à la 45e minute, où le portier breton a dû s’employer pour empêcher le Réunionnais de marquer. Après son remplacement par Sessegnon (69e), il a été victime d’un léger malaise.

À LORIENT, derrière la vitesse de Gameiro et Kitambala, il y a aussi un collectif précis et intelligent, mais aussi trop frileux en fin de match.

6 M. CASTRO, l’arbitre, a surfé sur le bon esprit des deux équipes même s’il aurait pu accorder un penalty à Erding (78e).


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Mamadou Sakho : « Cette haine de la défaite est une bonne chose »



Capitaine en Ligue 1 pour la troisième fois de sa carrière, Mamadou Sakho a forcé sa nature après le match. Le prometteur défenseur parisien a pris son temps et accepté de s’épancher un peu.

Perdre à Lorient aurait-il été rageant ?

Bien sûr, car on a fait un très bon match.
Nous nous sommes créés beaucoup d’occasions. Hélas, on encaisse un but sur une erreur d’inattention. Et une fois de plus sur un coup de pied arrêté… Ce n’est pas que de la faute de Sylvain Armand. C’est collectif, car il y a eu des erreurs bien avant ce duel avec le Lorientais. Et ce but est arrivé à un moment où l’équipe n’était pas très bien dans le match.

Néanmoins, le PSG n’a jamais baissé les bras…
Depuis la saison dernière, notre mental a changé. L’équipe est plus rageuse. C’est parfait. Il n’y a plus qu’à continuer ! Mais cette haine de la défaite est une bonne chose.

Avec la défaite de Rennes (2-1) à Auxerre, le PSG aurait même pu se retrouver leader du championnat. Une occasion de ratée ?
Bien entendu. Mais contentons-nous de ne pas partir battus de Bretagne. L’objectif était de gagner mais, vu le scénario du match, on s’en sort bien. Nous avons quand même raté pas mal d’occasions avant de réussir à marquer.

A titre personnel, vous allez manquer le déplacement à Lyon (dimanche 28 novembre) pour avoir pris un troisième carton jaune en moins de dix matchs…
Je viens de l’apprendre. C’est vraiment un gros match que j’aurais adoré jouer. J’ai clairement les boules. Mais, depuis le début de saison, tous ceux qui prennent la place des autres sont à la hauteur. Je suis sûr que ça va continuer.

Sans langue de bois, peut-on dire que le PSG vise le titre ?

Sans langue de bois ? Oh non ! (Sourires.) Disons que, si les supporteurs peuvent le penser, on a aussi cette idée dans un petit coin de notre tête. Ça vous va comme ça ? (Rires.)


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Le malaise spectaculaire d’Hoarau



Au moment de l’égalisation parisienne, Guillaume Hoarau, alors sur le banc de touche, a fait un spectaculaire malaise vagal. « Il a pris un gros coup sur une orbite en première période avec quelques troubles visuels mineurs, a expliqué Eric Rolland, le médecin du PSG. Après son remplacement, il était prostré sur le banc. Quand on a égalisé, il s’est levé d’un seul coup. Ce qui a occasionné son malaise. »

Hoarau, conscient mais encore sonné, a repris l’avion avec ses partenaires. Normalement, il devrait rejoindre l’équipe de France à Londres ce matin. Le docteur Rolland va demander au médecin des Bleus de le surveiller de près.

Beuzech
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Leproux veut «l'argent du beurre»

A l'occasion des Entretiens du Parc, un rendez-vous de réflexion sur l'avenir du football, le président du Paris-SG, Robin Leproux, est revenu sur la bonne forme de son club, quatrième du Championnat. « On joue mieux, on est déterminés. On a un groupe qui n'accepte plus la défaite, c'était les mots de Mamadou (Sakho) et il a raison. Il faut conserver ça » a-t-il expliqué.

Pour le dirigeant parisien, le match nul contre Lorient (1-1) illustre bien l'état d'esprit actuel qui règne dans l'équipe de Kombouaré. « Rien n'est acquis comme après la défaite contre Auxerre (3-2) mais hier (contre Lorient, ndlr), on a une belle entame de match et quand on voit le nombre d'occasions, on aurait pu tuer le match... ».

Robin Leproux s'est également félicité du plan sécurité d'un Parc des Princes redevenu fréquentable. «On a des acquis. La cohabitation se passe bien et les abords du Parc sont pacifiés. Maintenant, on doit faire revenir la ferveur, les chants et le meilleur du supportérisme. Il faut organiser le retour des abonnés, des tifos et des banderoles. Oui, on veut l'argent du beurre, la sécurité et tout cela. » - Propos recueillis par Christophe MICHEL, au Parc


NumeroStar
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Quand le Parc se penche sur son public 15/11/2010 16:35



Une journée de réflexion sur l'avenir du football est organisée ce 15 novembre au Parc des Princes. Au centre des préoccupations : la gestion des supporters.

Deux semaines après les Etats Généraux du foot, qui ont lancé la réforme de la gouvernance de la Fédération, Robin Leproux a lancé ?'les Entretiens du Parc'', un cycle de conférences destinées à éclairer la «période de transition» que vit le monde du ballon rond.

Dans l'amphithéâtre du Parc des Princes, rempli de nombreux abonnés - triés sur le volet -, de quelques dirigeants de clubs et de journalistes, le président du club de la capitale a lancé un débat consacré au public dans les stades.
Mais en introduction, il a fait le point sur le plan mis en place par le PSG pour éradiquer la violence au Parc : «Nous sommes à mi-chemin. On a réussi à pacifier l'environnement du Parc et a montré que notre public peut cohabiter. On doit travailler avec l'ensemble des personnes qui représentent les supporters afin d'organiser les modalités de leur retour. C'est pour cela que nous avons nommés deux médiateurs, Alain Cayzac et Franck Borotra.»
Thuram : «Aux joueurs de faire le spectacle»

«Il faut chasser le fantasme des deux cents ou quatre cents mauvais supporters, a renchéri Philippe Boindrieux, vice-président du club parisien. Il y a une dramaturgie telle que les supporters sont chauffés à mort. Il faut gérer les débordements, des gens ??normaux'' peuvent avoir l'impression d'être victimes d'une injustice majeure, par exemple suite à une décision d'arbitre.» A un abonné qui déplorait une ambiance désormais trop aseptisée, il répondra : «La question est de savoir comment faire pour que les tifos reviennent et que des animations se mettent en place...» Pour Lilian Thuram, invité en tant que président de sa Fondation contre le racisme, ce n'est pas aux supporters de faire le spectacle, mais aux joueurs : «A Barcelone, les gens viennent voir un spectacle !»
Le préfet de police veut faire revenir les supporters

Prix des places, matches en diurne, diction plus rapide du speaker pour empêcher les joueurs de l'équipe adverse d'être insultés... de nombreux sujets ont été débattus. Mais aucun intervenant ne s'est risqué à donner une réponse miracle au problème de la violence : «Nous sommes partis en guerre contre les violences, pas contre les supporters, a expliqué le préfet de Police de Paris Jean-Louis Fiamenghi. Nous espérons, par le dialogue, les faire revenir au Parc.»

Rachel Pretti


FranceFootball
Schultzy
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Bazin est pour le rapprochement

Le patron de Colony Capital Europe et actionnaire majoritaire du PSG, Sébastien Bazin, sait s'affranchir volontiers des usages quand il veut faire passer ses messages. «Il faut rapprocher le spectateur de l'acteur, a-t-il déclaré ce lundi dans le cadre des Entretiens du Parc. Dès lors qu'on va lui donner des valeurs (des joueurs, ndlr), la marque (PSG) va prendre de la valeur. Je suis heureux quand je vois dans la rue des personnes qui portent le logo PSG. Cela veut dire que ces personnes partagent nos valeurs ».

Et pour illustrer ce rapprochement souhaité, Sébastien Bazin a pris un exemple très concret. «Je crois que Chantôme et Sakho sont suspendus contre Lyon. Et bien, au lieu de regarder le match qui sera joué par les autres, il faudrait rapprocher ces joueurs des jeunes, des fondations, pour partager ces valeurs». - C.M., au Parc des Princes.

L'Equipe.fr
11G
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Bazin veut réduire les salaires

Sébastien Bazin, l'actionnaire du Paris-SG, déplore la fragilité du modèle économique actuellement en vigueur dans le foot. Il souhaiterait d'une part réduire les salaires de joueurs et de leurs agents, et d'autre part améliorer les recettes de sponsoring du club.

Ce lundi, Sébastien Bazin, président de Colony Capital Europe, a plaidé en faveur du système américain du «salary cap», qui limite la masse salariale des clubs de foot : «Deux tiers des richesses dégagées vont aux joueurs ou à leurs agents. Je n'aurais aucun problème à avoir un rapport de forces avec les joueurs pour qu'une part de leur salaire soit variable. Et les joueurs n'y sont pas forcément hostiles.» Une option qui ne serait toutefois pas valable «sans une volonté européenne.»

«Augmenter les recettes de sponsoring»


Le financier a ensuite donné ses solutions pour permettre d'améliorer la situation comptable des clubs, insistant sur la notion de «marque». «Le merchandising, le sponsoring doivent être des relais de croissance pour aller plus loin, vendre du rêve. On perçoit aujourd'hui 10 à 15 millions d'euros de sponsoring, là où nos cousins allemands sont à 200 ou 300 millions».

«Au PSG, ça prend du temps»

«Après avoir fait tous les efforts du monde depuis quatre ans, on n'a pas encore rétabli l'équilibre économique du club», a reconnu Bazin, à propos du PSG. «Les choses se mettent en place tout doucement. Il faut garder ses meilleurs éléments et se renforcer avec deux-trois nouveaux joueurs par an. Mais ça prend du temps. Ça a pris 12 ans à Lyon, 17 à Bordeaux. Ici, ça en prendra moins!»

Bazin cherche aussi depuis plusieurs mois à attirer de nouveaux pattenaires dans le capital du club et aimerait créer des liens commerciaux «avec l'Asie, le Moyen-Orient ou les Etats-Unis. Aller à l'étranger, c'est une source de revenus, mais ça ne sert à rien si on finit 17e», a-t-il conclu. (Avec AFP)


France Football.fr
NeiBaF
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Le modèle économique idéal de Bazin



Sébastien Bazin, le propriétaire du PSG, a participé hier aux entretiens du Parc des Princes. Le patron de Colony Capital Europe s’est exprimé sur ce qui était pour lui le modèle économique idéal d’un club : « Il faut que les recettes droits télé et billetterie soient égales au coût de fonctionnement et, surtout, que la masse salariale des joueurs ne leur soit pas supérieure, a expliqué Bazin.
Le sponsoring et le merchandising doivent être des relais de croissance pour investir ou vendre du rêve, a-t-il ajouté. Actuellement, le PSG perçoit 10 M€ à 15 M€ de sponsoring par an là où les clubs allemands peuvent atteindre 100 M€ ou 200 M€ ».
Par ailleurs, au sujet de la rémunération des joueurs, le dirigeant du fonds d’investissement est favorable, comme il l’avait dit à son arrivée au club en 2006, à augmenter la part variable et baisser la part fixe : « Les deux tiers des richesses des clubs vont aux joueurs et aux agents. Aucune autre société ne fonctionne ainsi. »


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Salaires des joueurs : l'actionnaire du PSG prêt à un rapport de forces



L'actionnaire du Paris SG, Sébastien Bazin a indiqué lundi qu'il souhaitait diminuer la masse salariale des clubs qui fragilise leur économie. «Deux tiers des richesses dégagées vont aux joueurs ou à leurs agents, a stigmatisé le président de Colony Capital Europe lors d'une journée de réflexion sur «l'avenir du football» au Parc des Princes.
Je n'aurais aucun problème à avoir un rapport de forces avec les joueurs pour qu'une part de leur salaire soit variable. Et les joueurs n'y sont pas forcément hostiles. »

Un message qui ne peut passer selon l'actionnaire du PSG sans une volonté européenne. C'est ce qu'ont réussi à faire les USA dans leurs championnats fermés avec les «salary cap» toujours selon lui. «Nous sommes dans une économie fragile car il n'y a pas suffisamment de partage des richesses entre les acteurs, les dirigeants qui prennent les responsabilités, les spectateurs et l'actionnaire qui comble les pertes ou profite de ce qui peut être dégagé», a-t-il ensuite argumenté.

«Si on se repose sur les droits télés pour assurer l'économie du foot, on ira nulle part, a-t-il encore livré. Un actionnaire doit faire en sorte que les revenus droits plus billetterie soient équivalents au coût de fonctionnement du club car la masse salariale ne doit pas être supérieure aux revenus».

Créer des liens «avec Asie, Moyen-Orient ou USA»

«Après avoir fait tous les efforts du monde depuis quatre ans, on n'a pas encore rétabli l'équilibre économique du club», a cependant reconnu M. Bazin. Le financier a ensuite donné ses solutions pour permettre d'améliorer la situation comptable des clubs, insistant sur la notion de «marque».

«Pour le PSG, la seule manière d'aller plus loin, c'est de donner à la marque plus de force qu'aujourd'hui. Le merchandising, le sponsoring doivent être des relais de croissance pour aller plus loin, vendre du rêve. On perçoit aujourd'hui 10 à 15 millions d'euros de sponsoring, là où nos cousins allemands sont à 200 ou 300 millions». «Il y a des moyens pour pallier des pertes de 20 millions d'euros par an. Il faut garder ses meilleurs éléments et se renforcer avec deux-trois nouveaux joueurs par an. Mais ça prend du temps. Ca a pris 12 ans à Lyon, 17 à Bordeaux. Ici, ça en prendra moins !»

Sébastien Bazin, qui cherche depuis plusieurs mois à attirer de nouveaux partenaires dans le capital du club et aimerait créer des liens commerciaux «avec l'Asie, le Moyen-Orient ou les Etats-Unis», a assuré que le PSG «intéressait beaucoup de gens, mais pas grand monde pour y aller à fonds perdus». «Aller à l'étranger, c'est une source de revenus, mais ça ne sert à rien si on finit 17e», a-t-il conclu.

furet
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En marge des premiers « Entretiens du Parc » qu'organisaient le PSG, Robin Leproux, le président du club parisien, s'en est ouvertement pris à la Ligue de football professionnel (LFP), critiquant son mode de fonctionnement.

«Monsieur Leproux, que reprochez-vous exactement à la LFP ?
Je constate que tous les clubs n'y sont pas représentés, que trois des quatre grands (ndlr : Bordeaux, Marseille, Paris) ne figurent pas dans les instances. C'est une situation qui n'est pas nouvelle mais qui dure. La force d'inertie de la Ligue est extraordinaire. Par ailleurs, tout se passe dans les commissions et, sur des sujets fondamentaux (comme les droits télés par exemple) on est dans l'ignorance totale du suivi des dossiers. On est nombreux à faire ce constat et rien ne change. La Fédération française se remet en cause, annonce des changements majeurs dans son mode de fonctionnement. A la LFP, le silence est assourdissant.

Que proposez-vous ?
Que tous les clubs participent aux travaux, qu'ils soient en prise directe avec les différents services de la Ligue pour travailler en temps réel avec eux, dans la transparence et l'efficacité. Qu'on ait une vision claire, avec des échéances précises. La Ligue doit faire son travail de remise en cause, elle doit bouger.

Êtes-vous prêt à vous présenter aux prochaines élections au Conseil d'administration pour faire avancer vos idées ?
Je ne me présenterai pas pour un poste à la LFP car je ne me reconnais pas dans cette démarche électoraliste. Ce qui me motive c'est le football, tous les footballs, et je suis prêt à me dépenser pour ça. »

France football.fr

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«un dysfonctionnement total»

Robin Leproux s'en est pris directement à la Ligue de football professionnel (LFP) et à son président Frédéric Thiriez, dénonçant «un dysfonctionnement total». «Le président de la Fédé vient de dire qu'il était prêt à changer. C'est bien et ça n'est pas le cas à la Ligue. Il ne faut pas mettre en avant les "ego" mais les compétences au service du football. On a besoin de gens d'expérience, oui, mais on doit aussi apporter un certaine énergie. On doit progresser sur tout ça», a déclaré le président du PSG. Les personnes visées apprécieront... (Avec AFP)

L'équipe.fr
sylvain
France Football

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Ceara opéré jeudi

Ceara, victime d'une fracture du nez à la 72e minute dimanche à Lorient (1-1, 13e j. de L1), va être opéré ce jeudi. Mais, le défenseur brésilien du Paris Saint-Germain sera opérationnel pour la réception du Stade Malherbe de Caen ce samedi (19h00) pour le compte de la 14e journée de Ligue 1.
Hari
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PSG Express

Hier. Footing en forêt puis travail et soins en salle.
Aujourd’hui. Entraînement à huis clos à 10 h 30, au camp des Loges.
Infirmerie. Ceará (nez cassé) doit être opéré demain et devrait être disponible samedi.
Suspendus. Sakho et Chantôme pour Lyon - PSG (15e journée de L 1).
Rendez-vous. PSG - Caen, 14e journée de L 1, samedi 20 novembre, au Parc des Princes à 19 heures (Foot +).
PSG - Brest, 16 e journée de L 1, a été décalé au dimanche 5 décembre à 17 heures.


leparisien.fr
Vita
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Le 17/11/2010 à 09:38
Foot - L1 - PSG
Le retour des abonnements au Parc ?

Cette saison, le Parc des Princes a retrouvé de la sérénité. En plus des bons résultats du Paris Saint-Germain (Photo Presse-Sports), l'enceinte parisienne fait désormais la part belle aux familles et aux enfants grâce à l'initiative de Robin Leproux, le président, qui avait choisi de supprimer les abonnements. Une décision qui avait fait scandale du côté des supporters. Mais ces derniers pourraient bien retrouver le sourire, comme l'explique dans L'Equipe Philippe Boindrieux, le directeur général du PSG, à l'occasion des entretiens du Parc : «Ce n'est pas un plan anti-ultras. Alain Cayzac et Franck Borotra ont été nommés comme médiateurs pour renouer le dialogue avec les supporters. La reprise d'une campagne d'abonnements (aléatoire) est envisagée.»

Pour l'instant donc, rien n'est entériné, mais cette annonce pourrait être suivie d'actes d'ici quelques semaines ou quelques mois. Désormais, il faut juste faire attention aux «accords occultes entre les dirigeants et les supporters», histoire que ces derniers restent «à leur place», comme l'ont expliqué Nicolas Hourcade, sociologue et auteur du Livre vert du supportérisme, et Lilian Thuram.


L'équipe.fr
NeiBaF
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Négociations avec Apoula Edel

Alors que les rumeurs vont bon train sur le futur portier du Paris Saint-Germain, le club a annoncé mercredi sur son site officiel que des négociations sont en cours avec Edel pour prolonger son contrat. «Le PSG a actuellement dans son effectif deux très bons gardiens et discutent notamment de la prolongation de contrat d'Apoula Edel», a ainsi déclaré le directeur sportif Alain Roche. «Nous démentons catégoriquement tout contact avec Stéphane Ruffier ou tout autre gardien», a-t-il ajouté. Les noms du Rennais Douchez et Du Niçois Ospina ont notamment circulé.

Baghib!
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Foot - Bleus

Sakho «a tenu son rang»


Mamadou Sakho a honoré sa première sélection en équipe de France contre l'Angleterre, mercredi soir. Laurent Blanc s'est dit satisfait de sa prestation.

Les doutes autour de la participation de Philippe Mexès avaient accrédité l'hypothèse d'une première sélection pour Mamadou Sakho. Le mollet du Romain a tenu le coup, mais il n'a pas empêché le défenseur parisien d'honorer sa première cape contre l'Angleterre (2-1), rien que ça. Après s'être imprégné de l'atmosphère de l'équipe de France lors des trois derniers rassemblements, voilà Mamadou Sakho, 20 ans, fraîchement auréolé du statut d'international. «C'était prévu», a révélé Laurent Blanc après le match.

«Les examens passés par Philippe nous a rassurés, mais il fallait aussi penser à son club, a expliqué le sélectionneur. Mamadou était prêt. Avant le match, je lui ai dis : "Tu travailles bien, je suis satisfait de toi, prépare toi bien". Même si je ne savais pas à quelle minute exacte il allait entrer, je savais qu'il allait fêter sa première sélection». Après s'être échauffé juste avant la pause et pendant la mi-temps, Sakho a connu ce privilège au retour des vestiaires. «Ce n'était vraiment pas facile», avoue l'intéressé.

Les premiers ballons internationaux du Parisien se sont soldés par une transversale manquée, et une relance directement en touche. Entre les deux, il est tout de même parvenu à stopper Steven Gerrard, qui filait droit au but. Dans l'ensemble, «il a tenu son rang, s'est réjoui Laurent Blanc. C'est une satisfaction supplémentaire». Le défenseur ne dit pas autre chose. «Après le match, le coach m'a félicité. Je suis très heureux d'avoir pu jouer contre l'Angleterre à Wembley. C'est magnifique». On parierait que ce n'est qu'un début... - E. T. et J. Te, à Londres
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MadininaScal
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Nenê : «On peut être champion»

Sa feuille de stats est remarquable. Avec 7 buts en 12 matches de Ligue 1, 3 en 5 matches de Ligue Europa, 146 centres délivrés, 62 dribbles réussis et 86 duels remportés, Nenê s'affirme comme LE joueur du Paris-SG de ce début de saison. Transfuge de Monaco, le milieu offensif (photo Presse-Sports) s'est parfaitement adapté au club de la capitale, 4e du classement, qui a les moyens selon lui de décrocher le titre de champion de France. «On est bien parti. Les trois premières places du Championnat, c'est l'objectif. Mais je pense qu'on peut être champion, ambitionne Nenê dans L'Equipe, jeudi. On travaille bien ensemble, j'espère qu'on va continuer comme ça.»

«La priorité, c'est d'être efficace»

Les supporters parisiens doivent-il s'inquiéter du fait que le Brésilien avait fléchi la saison passée avec Monaco en deuxième partie de saison ? Non ! «Je ne suis pas d'accord. Monaco a moins bien marché en février-mars. J'ai aussi marqué moins de buts, c'est donc normal qu'il y ait eu des critiques, mais, dans le jeu, je me sentais très bien. Je n'étais pas en bas physiquement», répond à ses détracteurs le Brésilien qui dément aussi être trop individualiste. «Je ne comprends pas ces critiques, et ce n'est pas vrai. C'est moi qui centre et passe le plus en L 1. (...) La priorité, c'est d'être efficace. Mais je joue comme ça. Je contrôle et je provoque. Je l'ai toujours fait. Je ne vais pas changer parce que ça n'irait pas à certains...»

«Diawara, c'est une histoire passée»

Enfin, Nenê, qui vise la Seleçao - «le sélectionneur m'a fait dire que si je continuais comme ça, j'aurai ma chance. Je crois que ce jour-là je vais pleurer» - revient sur son accrochage avec Souleymane Diawara lors du dernier PSG-OM (2-1). «C'est une histoire passée. On était chauds, mais c'est fini. Dans l'action, il a fait un mauvais geste exprès (une semelle). J'ai un peu parlé, c'est normal. Lui aussi, et il a voulu s'expliquer avec moi. Mais ce n'est pas une affaire exceptionnelle.»


Source : francefootball.fr

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Chantôme pense aux Bleus

Clément Chantôme, qui a regardé la victoire des Bleus mercredi contre l'Angleterre (2-1), n'a pas caché jeudi devant la presse que son ambition est bien de s'imposer au PSG : «Je n'ai connu que ce club !» Mais le milieu de terrain pense, dans un coin de sa tête, aux Tricolores. «L'équipe de France va beaucoup mieux et même si elle est en reconstruction, elle a un bon potentiel. N'importe quel joueur a envie un jour de porter le maillot de son pays, ça donne envie forcément !».

Laurent Blanc, après le match contre Marseille, avait fait les éloges de la prestation du Parisien. L'intéressé n'y est pas insensible. «J'ai connu des moments difficiles l'année dernière et déjà de rejouer, c'est important pour moi, reconnaît-il. Si un jour, en continuant avec des performances, ça vient, et bien tant mieux mais je ne me prends la tête avec ça». Chantôme conçoit que «ça fait toujours plaisir d'avoir de beaux commentaires» mais prudent, ajoute aussitôt : «à moi de prouver que je mérite une place en équipe de France car il y a du monde partout !»


Lequipe.fr
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Paris SG
L’AFLD inflexible sur le cas Edel


Quand Apoula Edel pourra-t-il rejouer avec le Paris Saint-Germain ? Retiré par son club à Lorient (1-1) le week-end dernier lors de la 13e journée, il ne devrait pas retrouver les cages parisiennes ce samedi contre Caen : Antoine Kombouaré s’apprêtant à titulariser de nouveau Grégory Coupet. Soigné à la cortisone par le médecin du club, Eric Rolland, alors qu’il souffre de toxoplasmose, le joueur s’est vu refuser le 23 octobre par l’Agence française pour la lutte contre le dopage (AFLD) une demande d’autorisation à usage thérapeutique (AUT). Car la cortisone est interdite par le Code mondial antidopage sauf autorisation dûment accordée par les instances sportives.

Bien que l’UEFA ait donné son aval, l’AFLD n’en démord pas. « Pour obtenir une autorisation, il faut justifier de deux choses, a expliqué jeudi Bruno Genevois, le patron de l’Agence : la première, la justification thérapeutique et il est probable que dans le cas du joueur, il y a une maladie à soigner, ça c'est sûr. Mais il faut aussi que par son ampleur, la substance administrée n'aboutisse pas à améliorer la performance de l'intéressé. Autrement dit, se soigner, ça doit vous permettre de vous mettre à votre niveau mais ça ne doit pas vos permettre d'atteindre un niveau supérieur sinon, on frise le problème du dopage. »

Le groupe de scientifiques indépendants appelés par l’AFLD à se prononcer a-t-il jugé qu’Edel était en infraction ? La question demeure d’autant que le gardien a été contrôlé par l’AFLD, au même titre que cinq autres de ses coéquipiers, au lendemain de PSG-OM (2-1), le 8 novembre. Et le président de l’AFLD de poursuivre : « C'est au club intéressé de tirer les conséquences de la décision. » Juridiquement, il ne reste au club qu’un recours devant le Conseil d’Etat. Ou tout bonnement attendre la fin du traitement d’Edel à la cortisone.


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Ceará : « J’ai dit à Sarkozy : Jésus vous aime »

Le Brésilien explique comment il consacre sa vie à Dieu.

Pourquoi avez-vous décidé d’animer ces réunions d’évangélisation ?
Ceará. Je suis né dans une famille qui croyait en Dieu. Mais c’est surtout à 18 ans, en assistant à une réunion, qu’il est entré dans ma vie.
Une fois qu’on a reçu cet amour extraordinaire, ce serait égoïste de le garder pour soi.

N’est-ce pas compliqué d’être à la fois pasteur et footballeur ?
Je suis joueur de foot. C’est ma profession. Et je connais mes responsabilités en tant que footballeur. Dieu m’aide à être le plus professionnel possible. Mais il est aussi de mon devoir de propager la parole de Dieu. Je pense d’ailleurs que mon statut de joueur du PSG m’y aide. J’ai accès à d’autres personnes. Par exemple, la dernière fois que nous sommes allés déjeuner à la mairie de Paris (NDLR : en octobre), j’ai offert une bible à Bertrand Delanoë. Lors de la finale de la Coupe de France, en serrant la main de Nicolas Sarkozy, je lui ai dit : Jésus vous aime.

Prêchez-vous aussi la bonne parole dans les vestiaires ?
Oui. J’ai été appelé par Dieu pour prêcher la bonne parole. Partout, y compris au PSG. Je dis à mes coéquipiers que Jésus les aime, je les invite à mes réunions. Certains me chambrent en me disant « Ah, c’est jeudi, c’est jour de messe, c’est la fête chez les Ceará! » (Rires.)

Sentez-vous parfois une gêne chez vos coéquipiers ?
Je peux comprendre que ça les mette mal à l’aise. Je ne peux pas forcer les gens à croire, alors j’essaie de ne pas être trop chiant. Le fait que Nene partage ma foi, c’est un plus. C’est le joueur le plus important de l’effectif. S’il parle de Dieu, il sera écouté.


Le Parisien
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L’autre religion de Ceará et Nenê

Depuis son arrivée à Paris, le défenseur Ceará anime à son domicile des réunions d’évangélisation. Nene, l’autre Brésilien du club, y participe désormais. Reportage.

Il est 19 h 30, ce jeudi-là. Au domicile des Ceará, situé à une dizaine de kilomètres de Saint-Germain-en-Laye, l’heure n’est plus au football. Le Brésilien a laissé aux vestiaires ses crampons pour endosser son rôle de pasteur (il appartient à l’Eglise évangélique). Dans l’entrée trône un tableau le représentant sur un terrain de football.


Parmi la foule, un petit garçon, son fils, porte un maillot du PSG. Ceará, lui, accueille ses fidèles debout au milieu de son salon où sont alignées une cinquantaine de chaises.
A 20 heures, la réunion commence. Le défenseur parisien, une bible à la main, commence la lecture d’un verset avant de laisser le micro à son épouse, Fernanda. Pendant une trentaine de minutes, elle entonne des chants à la gloire de Dieu, repris à l’unisson par la quarantaine de fidèles. Tous tapent des mains. Certains sont à genoux, d’autres sont en pleurs.
Au Brésil déjà, Ceará avait l’habitude d’organiser ce type de réunion, notamment lors des mises au vert de son équipe. Depuis son arrivée à Paris, il consacre tous ses jeudis soir (ou vendredi en cas de match de Coupe d’Europe) à prêcher la bonne parole.

A l’heure des prières, ses yeux se remplissent de larmes

Fabrice Pancrate, ex-attaquant du PSG, présent ce soir-là, assiste régulièrement à ces séances. Cette saison, Ceará peut aussi compter sur la participation de son compatriote et coéquipier, Nene. Arrivé avec une demi-heure de retard, le joueur vedette du PSG s’assoit au dernier rang. Comme les autres, il reprend avec ferveur les chants gospel.
Lorsqu’il entame son prêche (en portugais, une femme traduisant ses paroles en français), Ceará semble comme métamorphosé, presque en transe. A l’heure des prières, ses yeux se remplissent de larmes. Nene, lui, lève les mains au ciel et « loue le Seigneur ». La cérémonie prend fin, Ceará rappelle les dates des prochaines réunions, notamment celle du 16 décembre qui se déroulera à l’église protestante évangélique de Chambourcy. « Ce sera une soirée exceptionnelle », insiste-t-il. Chaque fidèle range sa chaise avant de partager un repas et des boissons non alcoolisées. Certains se jettent sur Nene… pour lui demander des autographes. Le foot reprend ses droits…




Nenê: « Grâce à Dieu, j’ai changé »

L’ex-Monégasque évoque ce que Dieu a changé dans sa vie.

Depuis quand croyez-vous en Dieu ?
Nene. Depuis mes 18 ans. A cette époque, je prenais le mauvais chemin. Je buvais, je fumais, je sortais toute la nuit. Du coup, j’étais mauvais sur le terrain. Un jour, je suis allé à une de ces réunions.

Et là, j’ai senti la présence de Dieu, j’ai compris qu’il avait d’autres projets pour moi. Grâce à Dieu, j’ai changé. Deux semaines après, j’ai été pris dans l’équipe A (NDLR : il évoluait alors au Paulista FC au Brésil), et j’ai marqué deux buts. Depuis cette date, je participe régulièrement aux réunions. Ici, à Paris, le fait d’avoir Ceará à mes côtés m’aide beaucoup. Il m’encourage, il me soutient, il fait en sorte que je reste sur le bon chemin.

Comment réagissent vos coéquipiers ?
C’est surtout Ceará qui en parle dans le vestiaire. Mais nous ne sommes pas différents des autres joueurs. La seule différence peut-être, c’est qu’on est toujours en train de positiver, de regarder la vie du bon côté. On est des mecs gentils. Donc, où est le mal ? Pourquoi les gens se sentiraient-ils mal à l’aise ?

Pourquoi avez-vous ce besoin d’afficher votre croyance ?
Pour que les gens voient que si je suis devenu ce que je suis, c’est grâce à Dieu. Certains peuvent penser que c’est facile pour moi de dire ça parce que je gagne bien ma vie. Mais j’ai galéré…

Vous ne collez pas trop à l’image des footballeurs brésiliens…
C’est vrai. En France, les Brésiliens ont plutôt la réputation d’être des « fêtards ». Bien sûr qu’il m’arrive de sortir, d’aller au resto. En revanche, je ne bois pas d’alcool. Et ça, ça choque vraiment beaucoup les Français (rires) ! Comme si c’était un défaut…


Le Parisien
Dagoberto
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Edel dans l'expectative


Apoula Edel ne sait pas encore s'il pourra jouer contre Caen samedi (19h00). «J'attends une réponse du médecin de la fédération et une autorisation de la commission des compétitions de la Ligue», a expliqué Antoine Kombouaré vendredi, en conférence de presse. Le gardien camerounais du PSG est toujours sous traitement pour soigner la toxoplasmose qu'il a attrapé. Etant donné que les médicaments qu'il prend peuvent être considérés comme dopants, Edel n'a pas joué la semaine dernière à Lorient (1-1).

«Edel est dans le groupe, a poursuivi l'entraîneur du PSG. Il mérite de jouer (...) Il a un problème de santé et le club a un problème administratif. On est toujours dans l'incertitude. J'attends une décision ce soir (vendredi), voire demain (samedi) matin.» Et Kombouaré de reconnaître son impatience : «Plus vite mes gardiens seront au courant, mieux ce sera». Si Apoula Edel est finalement écarté pour la réception de Caen, c'est le jeune Alphonse Areola, 17 ans, qui le suppléera dans le groupe. Grégory Coupet, lui, sera titulaire.


A2V
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Paris ne doit pas rater la marche

Les Parisiens, qui ont l’avantage de jouer à domicile, contrairement à Brest et à Montpellier, peuvent s’emparer ce soir du fauteuil de leader. Par expérience, ils préfèrent rester prudents.

C’est souvent un sujet tabou à Paris. Mais après treize journées de championnat, le doute n’est plus permis. Le PSG est candidat au titre. Ce soir, si elle parvient à s’imposer au Parc face à Caen et si les résultats de Brest et de Montpellier, en déplacement, lui sont favorables, l’équipe de Kombouaré prendra provisoirement la tête du championnat.
Ce ne serait qu’un symbole, tant l’épilogue du championnat est encore loin. Mais un symbole fort, qui ferait couler beaucoup d’encre et marquerait un peu plus les esprits. En attendant l’issue de cette 14e journée, un constat s’impose.

Personne ne semble pressé de jouer les premiers rôles

Actuellement, le PSG est la formation française la plus séduisante. La seule à avoir une stature de leader. Pourtant, personne ne semble pressé de jouer les premiers rôles. Au club, l’expérience incite à la prudence. Pour durer et atténuer la pression, ne vaut-il pas mieux être chasseur que chassé? « Peu importe, répond Antoine Kombouaré. Mais même en n’étant pas premiers, je trouve qu’on en fait déjà trop sur nous. On parle du jeu, mais on n’a rien gagné! Tout ça, ce ne sont que des mots et je veux que les joueurs restent concentrés sur le terrain. Quoi qu’on dise sur nous, il faut garder les pieds sur terre. On a de grandes ambitions, mais on est humbles. » Et quand on lui demande si Paris peut être champion, Kombouaré esquive : « Je ne sais pas où tout ça va nous mener, moi, je veux déjà gagner le prochain match. Bien jouer, c’est une chose, mais vous avez vu le nombre de points qu’on a perdus à domicile ? »
Effectivement, Paris a deux problèmes, intimement liés : le manque d’efficacité de ses attaquants et son inconstance à domicile (11 points pris sur 21 au Parc). Caen est le candidat idéal pour rééquilibrer la balance. Le club normand est l’invité préféré du PSG (82% de victoires au Parc face à cet adversaire), mais Kombouaré s’en méfie. « Il ne faut pas croire que parce que tout baigne pour nous, le seul fait de venir sur le terrain va nous faire gagner. Je suis très inquiet. Caen a pris quinze buts lors de ses quatre derniers matchs. Ils viennent pour défendre comme des fous. On aura peu d’espaces. Ce serait un piège si mes joueurs ne savaient pas ce qui les attend. Là, ils le savent. »
Si l’état de grâce de Nene perdure, si Hoarau et Erding retrouvent le sens du but, le PSG devrait surmonter l’obstacle normand. Et s’il se retrouve en tête, il faudra assumer. On mesurera alors la force de ce groupe et on saura s’il a réellement l’étoffe d’un champion.


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Le flou autour d’Edel

Apoula Edel figure dans le groupe retenu par Antoine Kombouaré. Hier soir, l’entraîneur ne savait toujours pas qui il allait aligner dans le but contre Caen. « On attend la réponse du médecin de la FFF et de la Commission d’organisation des compétitions (COC) de la Ligue, a-t-il expliqué. Il y a un problème administratif.
» Atteint de toxoplasmose, Edel était soigné à la cortisone depuis plusieurs semaines. L’AFLD (Agence française de lutte contre le dopage) ne lui a pas délivré d’autorisation d’usage à des fins thérapeutiques (AUT), jugeant que sa prise de cortisone pouvait améliorer ses performances. Son traitement a pris fin jeudi, mais, en cas de contrôle antidopage ce soir, il pourrait être épinglé. Le PSG assure avoir tenté un ultime recours auprès des deux instances. « Nous n’avons reçu aucune demande officielle », rétorque pourtant André Préaud, le président de la COC. La Fédération ira-t-elle à l’encontre de l’avis de l’AFLD? Si la situation ne se débloque pas aujourd’hui, Coupet sera titulaire et Aréola sur le banc.


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Aréola, 17 ans, gardien d’avenir

Le PSG est parti semettre au vert à Versailles hier soir avec trois gardiens dans le groupe retenu par Antoine Kombouaré. En plus de Coupet et d’Edel — que l’entraîneur parisien espère toujours pouvoir aligner (voir ci-dessus) — figure également Alphonse Aréola, 17 ans, troisième gardien du club. Ce jeune homme d’origine philippine, né à
Paris le 27 février 1993, a pour principal fait d’armes d’avoir été remplaçant à Lorient dimanche dernier. Une
situation qu’il pourrait revivre de nouveau ce soir si Paris n’obtenait pas l’autorisation d’aligner Edel dont le traitement médical a été arrêté jeudi.
« C’est un garçon pétri de qualités. Il est imposant, ce qui le rend très bon dans les airs, se félicite Kombouaré.
Et au contact de Coupet et Edel, il progresse vite. Je n’ai aucun souci quand il est numéro deux car j’ai pleinement confiance en lui. »
Aréola est annoncé comme un phénomène. En raison de sa taille (1,93m) et de sa précocité puisqu’il a signé son premier contrat professionnel peu après ses 15 ans. C’est Charles Villeneuve, alors président, qui avait su le conserver malgré l’intérêt marqué, entre autres, de Manchester United et de Chelsea. « Je l’ai retenu pour la première fois en août dernier contre le Danemark. Alphonse a d’énormes qualités physiques, confie Pierre Mankowski, son sélectionneur en équipe de France des 18 ans. Il m’a paru tout de suite assez complet avec une bonne lecture du jeu, de la présence et de la vivacité pour sa taille. En plus, il a la tête sur les épaules, il est lucide et
simple. »
Aréola a été recruté par le PSG alors qu’il portait les couleurs du club des Petits Anges dans le VIIe arrondisse-
ment de Paris. Il a ensuite fait sa formation à l’INF Clairefontaine. Depuis cette saison, il est le numéro trois
du PSG où il est sous contrat jusqu’en juin 2012. « J’ai d’abord commencé latéral gauche mais durant un tournoi en salle à Romainville en 2000, il manquait un gardien, je me suis proposé pour aller dans le but », racontait il y a peu l’adolescent sur le site Internet du club. Celui qui a deux idoles,EdwinVan der Sar et Iker Casillas, entend continuer sa formation au PSG où il espère, un jour, être le titulaire à part entière.




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Jeudi soir, dans un pub irlandais, place de la Nation à Paris (XIIe). Mamadou Sakho, 20 ans, arrive avec un peu de retard. Englué dans les bouchons, il téléphone trois fois pour s’excuser de ce contretemps. International depuis la veille, le jeune défenseur parisien commande un chocolat chaud avant d’évoquer son début de saison.

Quel est votre sentiment après avoir connu votre première sélection internationale face à l’Angleterre ?

Mamadou Sakho. Je l’ai vécu avec un peu d’euphorie, en me disant aussi que ce n’était qu’une étape.
Quand le coach m’a demandé de m’échauffer à la mi-temps, je n’en revenais pas. Je me disais : « Enfin, je vais jouer! » J’étais un peu impressionné mais les autres m’ont vite mis en confiance.

Vous voilà à nouveau dans la peau du petit nouveau…

C’est un peu ça. A Wembley, je me suis cru à Valenciennes en 2007 quand j’avais fait mes débuts en professionnel (NDLR : avec le brassard de capitaine du PSG). La pression était forte. C’est quand même un autre monde que la Ligue 1. J’ai pris lentement la température du match avant de me sentir bien. Mais c’est vrai que je me suis retrouvé à nouveau comme un apprenti. Celui qui est là pour regarder le niveau au-dessus. Ça a été mon lot dans les équipes de jeunes où j’étais toujours surclassé.

En quoi est-il important dans votre progression d’être régulièrement appelé par Blanc ?

Je me frotte aux meilleurs attaquants français. Que dire de plus? Dans leurs déplacements et leur lecture du jeu, ils m’apprennent plein de trucs. Je n’ai pas fini mon apprentissage. Et quand Blanc me parle, je le revois en train de soulever la Coupe du monde. Ça inspire tout de suite le respect.

Allez-vous offrir votre premier maillot bleu ?

Il est pour ma maman. Elle est au Sénégal en ce moment, alors je lui garde au chaud. Il finira encadré à côté de celui de mon premier match pro. Il est archicollector : le dernier maillot Adidas et le premier maillot Sakho (rires) !

Au PSG, on vous sent plus ouvert cette saison…

C’est vrai que les deux premières saisons, j’ai énormément observé. Maintenant que j’ai une place de titulaire, je laisse désormais parler mon caractère. J’aime prendre les devants et assumer mes responsabilités sans me cacher. Je parle pour le bien de l’équipe. Si j’avais fait ça au début, on aurait dit que j’étais prétentieux. Mais j’écoute toujours les anciens.

Quel est le meilleur conseil que vous ayez reçu ?

Celui de Grégory Coupet pas plus tard que ce matin autour d’une table de massage. Il m’a dit que j’avais désormais une nouvelle étape à franchir depuis ma sélection. Et que je devais, pour cela, me rappeler la manière dont j’avais résisté à la pression autour du PSG pour être titulaire ici. J’écoute aussi régulièrement Lilian Thuram. Il a toujours un discours positif avec moi et me parle sans arrêt de rigueur et d’anticipation. Quand Thuram parle, j’écoute sans bruit.

Avec Sylvain Armand, vous formez un duo axial composé de deux gauchers. Est-ce compliqué ?

Non, car nous sommes assez complémentaires. Je crois que ça se voit sur les derniers résultats. On se parle énormément et chacun essaie de compenser les problèmes de l’autre. Il me semble que cela ne marche pas trop mal.

Depuis l’épisode du but de Knysna, essayez-vous de changer le regard du public sur les footballeurs professionnels ?

Je me dis qu’on gagne à plus s’ouvrir aux autres. Beaucoup de jeunes nous voient comme des modèles et il faut être à la hauteur. On a des devoirs dans la société. Il faut notamment être disponible pour des photos, des autographes ou des opérations caritatives. Dans la rue, ça ne me dérange pas d’être interpellé, même si, de temps en temps, comme tout le monde, je soulève un peu la capuche pour être discret (sourire).

Face à Caen ce soir, tout le monde attend une victoire…

C’est le piège. Il y a des matchs que tout le monde nous voyait gagner comme celui de Nice (0-0). Alors qu’on n’a aucune marge.



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Les équipes probables :
Thébaux - Sorbon - Leca - Heurtaux - Raineau - Hamouma - N'diaye - Seube (cap.) - Mollo - El Arabi - K.Traoré
Coupet - Jallet - Armand - Sakho - Tiéné - Giuly - Chantôme - Makelele (cap.) - Nene - Erding - Hoarau




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Kombouaré est «très inquiet»

Prudence est mère de sûreté pour Antoine Kombouaré. Le coach du PSG se méfie grandement de la tactique de Caen, son adversaire samedi (19h00).


Affronter une équipe qui va mal sportivement n'est pas du goût de l'entraîneur calédonien. En tout cas, pas en ce moment. Antoine Kombouaré se méfie en effet du Stade Malherbe comme du lait sur le feu. «Je suis très inquiet, a-t-il dit en conférence de presse, vendredi. Il ne faut pas croire que parce que tout baigne aujourd'hui pour nous, qu'on va nous donner les trois points. Il faut être prêt à faire un très grand match.» Simple mesure de précaution ou réelle inquiétude ? Kombouaré poursuit : «Nous ne sommes pas premiers et je trouve qu'on en fait trop sur nous, a-t-il insisté. On nous parle de notre jeu, on parle de beaucoup de choses mais on n'a rien gagné jusqu'à preuve du contraire ! C'est le match le plus difficile et le plus important», assure le «coach» du PSG.

«Je ne peux pas empêcher mes joueurs de parler mais ce que je veux que les joueurs se concentrent sur le terrain, a-t-il expliqué suite aux déclarations dans la presse de Nenê sur le titre de champion. «On a de l'ambition mais il faut gagner les matches». La venue de Caen ne rassure donc pas le technicien kanak et cela, à plus d'un titre. «Il faut valider le point pris à Lorient (1-1) et confirmer la victoire contre Marseille (2-1). L'idée de Franck Dumas sera de défendre comme des fous. Face à une défense très basse, un bloc très bas, il y aura peu d'espaces. Ils ont pris onze buts en trois matches, ça va être compliqué. Demain, il faudra faire un grand match.» - Propos recueillis par Christophe MICHEL, au Parc.


Lequipe.fr
HHA
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Sakho «un peu impressionné»

Interrogé ce samedi dans Le Parisien, Mamadou Sakho est revenu sur sa première sélection en équipe de France contre l'Angleterre (2-1). «J'ai vécu ça avec un peu d'euphorie, en me disant aussi que ce n'était qu'une étape, résume le défenseur du PSG. Quand le coach m'a demandé de m'échauffer à la mi-temps, je n'en revenais pas. Je me disais : "Enfin, je vais jouer !" J'étais un peu impressionné, mais les autres m'ont vite mis en confiance. (...) Je n'ai pas fini mon apprentissage. Et quand Laurent Blanc me parle, je le revois en train de soulever la Coupe du monde. Ça inspire tout de suite le respect.»


lequipe.fr
11G
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Edel titulaire dans les buts face à Caen

Le PSG a reçu samedi matin un document de la FFF (Fédération Française de Football) autorisant son gardien de but Apoula Edel à jouer ce soir face à Caen, au Parc des Princes (19h). Souffrant de toxoplasmose, le joueur suivait depuis plusieurs semaines un traitement très fort, à base de cortisone. Par précaution, le club ne l'avait pas aligné à Lorient, samedi dernier.

Cette médication s'apparentait à une forme de dopage suivant les critères de l'AFLD (Agence française de lutte contre le dopage), qui avait refusé de délivrer une autorisation d'usage à des fins thérapeutique (AUT). Ce traitement ayant pris fin jeudi dernier, le club a entamé des démarches auprès de la FFF afin de clarifer la situation, l'entraineur Antoine Kombouaré tenant absolument à le faire jouer contre Caen. Ce sera donc Edel qui commandera la défense parisienne, Gregory Coupet retrouvant le banc des remplaçants.



Le Parisien
HHA
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Paris rigole en novembre

Le PSG est célèbre pour ses crises de novembre. Les temps changent et, cette saison, point de turbulences à l'horizon. Au contraire même puisque tout sourit au club de la capitale, qui s'installe en tête du Championnat après sa victoire à domicile face à Caen (2-1). Vainqueur de Marseille (2-1) au début du mois avant d'accrocher in extremis un très bon nul à Lorient (1-1), les Parisiens ont poursuivi sur leur lancée ce samedi dans un Parc des Princes très clairsemé (environ 20 000 personnes). L'équipe d'Antoine Kombouaré n'est pas devenue géniale dans le jeu mais elle a pour elle un réalisme glaçant. Et surtout, c'est de nouveau le duo Erding - Hoarau, celui-la même qui avait fait plier l'OM, qui s'est distingué.

Cette défaite, la cinquième d'affilée, la quatrième en L1, propulse les hommes de Dumas dans la zone de relégation, eux qui n'ont plus gagné depuis deux mois.

Les deux attaquants font enfin taire les critiques après un début de saison où les interrogations pleuvaient sur leur complémentarité et leur état de forme respectifs. Après une première occasion gâchée par Erding (34e), Hoarau a trouvé la lumière sur un centre venu de la gauche signé Tiéné, après une faute non sifflée de Jallet sur Traoré dans sa surface... Bien placée, la tour de contrôle réunionnaise n'a eu aucun mal à tromper Thébaux (40e). Le portier caennais n'était pas au bout de ses peines. Cinq minutes après la reprise, Mevlut Erding a doublé la mise. Le PSG est parti en contre avec Armand et donc l'attaquant turc à la conclusion (50e, 2-0). La réduction du score de l'inévitable El Arabi (85e) restera anecdotique.

Après avoir encaissé pas moins de quinze buts lors de ses quatre derniers matches toutes compétitions confondues, Caen n'a pas franchement réussi à stopper l'hémorragie. Il y avait pourtant de l'espoir en première période pour des Normands bien en place et plus fringants que leur adversaire avec notamment une belle occasion d'Hamouma vendangée (32e). Le Stade Malherbe, qui avait débuté la saison par deux victoires de prestige face à Marseille et Lyon, est aujourd'hui clairement dans le rouge. Cette défaite, la cinquième d'affilée, la quatrième en L1, propulse les hommes de Dumas dans la zone de relégation, eux qui n'ont plus gagné depuis deux mois. Une véritable chute libre.


lequipe.fr
Dagoberto
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Kombouaré : «Décousu»
L'entraîneur du Paris SG Antoine Kombouaré assure qu'il se «fout complètement» du classement, où son équipe joue les tout premiers rôles après sa victoire face à Caen (2-1).

« Antoine Kombouaré, tout va bien pour le PSG...
On joue pour gagner et encaisser les points, c'est ce qui m'intéresse. Ce qui compte, c'est la place en fin de saison. On est en haut du classement, mais c'est fragile, le chemin est encore très long. Je m'en fous complètement du classement. Ca m'intéressera quand en mars, avril on sera bien positionné, mais aujourd'hui on est à la 14e journée, il en reste 24. Quand on voit l'écart entre nous et le 18e, c'est fragile.

La manière vous empêche-t-elle d'être tout à fait content ?
Oui, parce que c'était un match décousu, où des deux côtés ça partait dans tous les sens, et Caen s'est procuré beaucoup de situations. Bien sûr, on est très content de gagner, ça nous permet de creuser l'écart avec les poursuivants. Mais ce soir, il nous a manqué un meilleur équilibre; attaquer c'est bien mais on a trop été mis en danger sur les pertes de balle. Caen nous a causé beaucoup de soucis, ils ont été très bons en contre, avec Mollo et Hamouma qui nous ont fait mal, mais il leur manque l'efficacité.

Est-ce le déclic attendu pour Hoarau et Erding ?
Ca va leur redonner confiance, mais les buts importants sont ceux inscrits face à Marseille, ceux-là donnent beaucoup d'assurance, une confiance énorme. Ce soir, que ce soit Guillaume (Hoarau) ou "Mev" (Erding), ils ont fait techniquement des gestes de grande classe. "Mev", ce qu'il n'arrivait pas à faire avant, quand il était dans le doute et un peu paniqué, là il a fait un superbe geste technique et effacé le gardien. C'est un très beau but, mais j'aurais voulu que l'équipe affiche une plus grande maîtrise, et qu'elle marque un troisième but pour se mettre à l'abri.» (avec AFP)


Slip
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Paris retrouve les sommets




En battant Caen au Parc des Princes (2-1), le PSG prend provisoirement la tête de la Ligue 1. Un nouveau succès qui confirme qu’il faudra compter avec les Parisiens pour le titre. De son côté, Caen s’enfonce inexorablement dans la crise après 4 défaites consécutives.

Paris n’a certes pas été flamboyant mais Paris a encore gagné. C’est le seul enseignement que l’on pourra tirer de la victoire parisienne sur Caen (2-1) au Parc des Princes. Un succès synonyme de première place provisoire en Ligue 1. Car pour le reste, le club de la Capitale aura particulièrement manqué d’inspiration face à une vaillante formation normande. Pourtant, le PSG frappait les premiers par Jallet (4e) avant qu’une mésentente Heurtaux-Thébaux ne manque de profiter à Erding, en embucade (6e). La frayeur passée, la bande à Dumas enclenchait la marche avant, à l’image de cette frappe non cadrée de Mollo (11e). Plutôt discret jusque-là, Youssef El-Arabi n’était pas loin de réussir un enchaînement parfait dans la surface (17e). Paris ne parvenait à rien et Hamouma manquait le dernier geste après avoir passé en revue l’arrière-garde adverse (33e). Le PSG tentait bien une réaction par Erding (34e) mais c’est finalement Hoarau de la tête qui offrait l’avantage au club de la Capitale (1-0, 40e). Sur l’action précédant le but, Caen aurait pu obtenir un pénalty. Un Paris heureux et donc opportuniste à la pause…
Mais tout allait vite rentrer dans l’ordre pour le PSG qui mordait dans la seconde période. Sur une passe millimétrée de Sylvain Armand, Mevlut Erding réalisait un contrôle parfait, mystifiait Thébaux d’un crochet, et concluait du droit (2-0, 50e). La suite voyait les Parisiens gérer ce net avantage. Erding encore (58e), puis Nenê dans la foulée, aurait même pu corser l’addition. En face, Caen n’arrivait pas à relever la tête. Malgré une bonne circulation de balle, le peu de poids offensif handicapait sérieusement le Stade Malherbe. Antoine Kombouaré en profitait logiquement pour faire reposer ses cadres. Nenê en tête. Le Brésilien, pour une fois peu en vue, sortait sans gloire. Jamais résignés, les Normands lançaient une dernière offensive synonyme de 10e but de la saison pour Youssef El-Arabi (2-1, 86e). L’attaquant de Caen prenait seul la tête du classement des buteurs... maigre consolation pour la bande à Dumas qui subissait là une 4e défaite de rang. En revanche, dans les rangs parisiens, tout va bien. Paris leader, on se croirait revenu plusieurs années en arrière.

Le joueur du match
Sylvain Armand et son compère de défense Mamadou Sakho ont été tout simplement énormes malgré le but encaissé en toute fin de match. Le premier a en outre ajouté à sa panoplie parfaite de défenseur une ouverture millimétré sur le but de Mevlut Erding. Quant au second, sa première entrée en jeu avec les Bleus face aux Anglais a semble-t-il boosté sa jeune carrière. A tel point que le défenseur parisien s’impose peu à peu comme l'un des meilleurs stoppeurs de France.

Tactique et coaching
Après deux mois de disette, Caen devait réagir. Pour se faire, Franck Dumas avait un temps hésité à aligner 3 milieux défensifs avant de finalement revenir à du classique, son 4-2-3-1 habituel. Et dans le jeu, on ne peut pas dire que les Normands ont été ridicules, bien au contraire. Mais le manque de poids en phase offensive handicape beaucoup trop cette équipe technique. On saluera tout de même l’entrée en jeu de Yatabaré, passeur décisif sur le 10e but de Youssef El-Arabi. En face, Antoine Kombouaré avait renouvelé sa confiance à une équipe en pleine bourre, Claude Makelele effectuant son retour. Très costaud défensivement, Paris n’a pourtant jamais semblé maîtriser parfaitement son sujet, en témoigne cette frayeur évitable en fin de match. Toutefois, il convient de ne pas minimiser la performance collective parisienne. Et surtout, du côté de la doublette Hoarau-Erding, qui commence à trouver la bonne carburation. A l’avenir, cela pourrait encore faire plus de dégâts !

On n’a pas aimé
Si Clément Turpin est un excellent arbitre, il peut aussi lui arriver de se tromper. En première période, au départ de l’action du but parisien, Romain Hamouma aurait pu bénéficier d’un pénalty pour un tirage de maillot de Christophe Jallet. Oui mais voilà, ni Turpin, ni son arbitre-assistant n’ont signalé cette faute qui aurait certainement changé la donne de ce match. Pour le reste, le plus jeune arbitre français a été plutôt à son avantage, notamment en laissant souvent le jeu se développer.

sport24.com
sylvain
Le Parisien

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Paris se rapproche encore de la tête du championnat

Redoutablement efficaces, les Parisiens occupent ce matin la 2 place de la L 1, à un point du nouveau leader,Montpellier. L’ascension du PSG se poursuit…

Encore raté! En s’imposant sans briller face à Caen (2-1), le PSG s’est emparé de la première place du championnat pendant… deux heures. Juste le temps pour Montpellier de battre Nice (1-0) et de reprendre le fauteuil de leader. Ce matin, les Parisiens sont deuxièmes. Demain, si Lille s’impose face à Monaco, ils seront troisièmes.


Finalement, cette valse des leaders est anecdotique. Le plus important est ailleurs. Il se passe quelque chose cette saison à Paris. Souvent bons, Nene et ses coéquipiers séduisent, prennent du plaisir et en donnent. Et quand la machine tourne moins bien, comme hier, elle gagne quand même.
Malmenés en première période, le PSG a retrouvé ses esprits grâce à un but de la tête de Guillaume Hoarau. Un symbole de la réussite parisienne actuelle. L’attaquant international a marqué trente secondes après une faute de Jallet sur Traoré dans la surface. « C’est rageant, car ce penalty peut tout changer », déclare Franck Dumas. Décrivant l’évidence de la faute pour tirage de maillot, l’entraîneur de Caen a cette formule savoureuse : « Il est passé de la taille S à XL. »
Le plus beau moment de la soirée restera le chef-d’œuvre de Mevlüt Erding, en début de seconde période. Les deux attaquants parisiens ont retrouvé confiance. Et la vraie bonne nouvelle de la soirée, c’est celle-là. Kombouaré, en tout cas, n’en doute pas. Face aux médias, l’entraîneur a repoussé tant bien que mal les questions sur le retour sur le podium de son équipe. « Le classement, je m’en fous complètement, lance-t-il. Cela m’intéressera en mars ou en avril. Nous ne sommes qu’à la 14e journée, il y a encore du chemin. Caen est 18e, mais on n’a pas trop vu la différence. Dans ce championnat, il faut sortir à chaque fois de grandes prestations. Tout reste fragile. »
Kombouaré n’a pas tort. Plus que jamais, Paris devient l’équipe à battre. Parmi les formations de tête, elle est celle qui inspire le plus de craintes. Ses prochains adversaires seront surmotivés et, sans Sakho et Chantôme (suspendus), le match à Lyon dimanche prochain s’annonce très délicat. Les joueurs le savent et leur discours reste mesuré. « On va faire en sorte qu’ils gardent leur humilité, poursuit Kombouaré. J’ai la chance d’avoir des hommes d’expérience qui répéteront aux autres qu’il ne faut pas s’enflammer. » Cela n’empêchera pas les supporteurs de s’enthousiasmer. Vu les galères accumulées par ce club depuis plus de dix ans, le parcours actuel est une vraie source de joie et de fierté pour eux. Et pour certains anciens abonnés, boycotter le Parc va devenir un véritable crève-cœur. Tant d’années de passion et de patience pour ne pas participer au retour au sommet, cela peut faire réfléchir.

PSG - CAEN 2-1 (1-0)
Spectateurs : 26 190.
Arbitre : M. Turpin.
Buts. PSG : Hoarau (40e), Erding (50e) ; Caen : El-Arabi (85e).
PSG : Edel - Jallet, Armand, Sakho, Tiéné - Giuly,Makelele (cap.), Chantôme, Nene (Luyindula, 71e) - Hoarau (Bodmer, 71e), Erding (Sessegnon, 87e). Entr. Kombouaré.
Caen : Thébaux - Sorbon, G. Leca (Barzola, 64e), Heurtaux, Raineau - Is. N’Diaye (Nivet, 55e), Seube (cap.) - Hamouma, El-Arabi, Mollo - K. Traoré (Yatabare, 73e). Entr. Dumas.

LES BUTS
40e. Nene lance Tiéné côté gauche. L’Ivoirien déborde et dose parfaitement un centre vers Hoarau, au coeur de la surface. L’attaquant international place une tête piquée puissante, hors de portée de Thebaux. (1-0)

50e. D’une passe de quarante mètres de l’extérieur du gauche, Sylvain Armand lance plein champ Mevlüt Erding, qui prend de vitesse la défense normande. L’attaquant réussit un magnifique contrôle en extension à la limite de la surface. Seul face au gardien, il l’élimine d’un crochet et marque. (2-0)

85e. Nivet, sur le flanc gauche, trouve Yatabare dans la surface. Ce dernier glisse le ballon à El-Arabi qui reprend sans contrôle. Sa frappe pure se loge dans la lucarne et ne laisse aucune chance à Edel. (2-1)

LE FAIT DU MATCH
40e. A la lutte dans la surface de réparation, Jallet déséquilibre Kandia Traoré en lui tirant le maillot. L’arbitre ne dit rien, il y avait pourtant faute et penalty. Sur l’action suivante, Hoarau ouvre le score.



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Guillaume Hoarau a libéré les siens

Avec son équipe type et un schéma habituel, Paris a eu du mal à entrer dans la partie,manquant parfois de combativité.Mais Hoarau a marqué au bon moment. Et tout a changé.

5 EDEL. Il n’a pas eu beaucoup de travail. S’est un peu troué sur une sortie aérienne devant El Arabi (42e). Le but ne peut lui être imputé.

5,5 JALLET. Un travail défensif effectué sans fioritures, malgré un tirage de maillot sur Traoré dans la surface qui aurait dû coûter un penalty au PSG. Il est celui qui touche le plus de ballons dans l’équipe.

6,5 ARMAND. Son avertissement (24e) pour un engagement jugé excessif prouve surtout que sa combativité n’a jamais été prise en défaut. Parfaitement complémentaire de Sakho, il a tenté d’éteindre tous les incendies caennais qui passaient à côté de lui. Et quelle passe de quarante mètres pour Erding (50e)!

6 SAKHO. Quand il se jette sur un Caennais, le public crie son nom! Physiquement, il a su imposer sa masse musculaire. Un peu court sur le but normand.

6,5 TIÉNÉ. Il s’est senti tellement bien qu’il s’est autorisé quelques incursions dans le camp adverse. Sur l’une d’elles, l’Ivoirien délivre un centre parfait sur la tête d’Hoarau (40e). A l’aise dans ses gestes défensifs, il est néanmoins devancé par El Arabi sur le but (85e). Averti (62e).

5,5 GIULY. Parfois brouillon, il a eu le mérite de tenter de réveiller ses partenaires en jouant à une touche de balle. Comme lorsqu’il lance Erding vers le but (34e). S’il rate un centre aisé pour le même joueur (62e), son altruisme est néanmoins à louer.

4 MAKELELE. Le capitaine a d’abord agacé par quelques ballons perdus. Face à la vitesse d’El Arabi, il a fait son âge. Jamais dans le sens du match, il a complètement déjoué. Moins en difficulté quand les Caennais se sont rués en attaque.

5,5 CHATÔME. Après un bon début, il s’est un peu éteint quand il a senti que tout le monde ne jouait pas dans le même registre que lui. Nettement plus à son aise après le repos quand les autres sont repartis de l’avant.

4 NENE. Il y a le bon Nene, celui qui éclaire les matchs de son talent. Et le mauvais, qui tricote au lieu de jouer simple et tombe à chaque impact. Hier, le Parc a eu droit à la mauvaise facette du Brésilien… Remplacé justement par Luyindula (71e).

7 ERDING. Son envie de bien faire avec des incursions à droite était patente. Son contrôle de balle juste avant d’aller marquer (50e) est un geste de très grande classe qui a fait, à raison, se lever le stade. Remplacé par Sessegnon (87e).

6,5 HOARAU. Jusqu’à son magnifique coup de tête victorieux (40e), il n’avait rien fait. Mais il change le cours du match. C’est cela un buteur. Remplacé par Bodmer (71e).

A CAEN, Youssef El Arabi est clairement le meilleur joueur de la formation normande.

L’ARBITRE, M. Turpin (4) aurait dû accorder un penalty aux Caennais juste avant le but parisien pour une faute de Jallet sur Traoré.



L'Equipe.fr
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A.Edel 5
M.Sakho 6
S.Armand 6
C.Jallet 4
Nenê 4
P.Luyindula (71e)
L.Giuly 5
C.Makelele (c.) 6
S.Tiéné 4
C.Chantôme 6
M.Erding 7
S.Sessegnon (87e)
G.Hoarau 6
M.Bodmer (70e)




RMC
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Jallet : « On peut retomber très vite… »


Passé pendant quelques heures en tête du classement de la Ligue 1 après sa victoire face à Caen (2-1), le PSG a retrouvé le sourire et joue à nouveau les premiers rôles en championnat. Le latéral Christophe Jallet savoure cette situation sans oublier les errements passés du club. « Pour la première fois depuis longtemps, on a eu une semaine pour préparer ce match contre Caen. Pour l'instant on est content d'être là où on est mais on sait qu'on peut très vite retomber en bas de tableau... On a trouvé un vrai esprit collectif. On a ce a capital confiance qui nous permet de marquer des buts. »
Slip
Citation
SOS Racisme veille sur le Parc des Princes

L’association a mis en place depuis le début de la saison une commission de surveillance lors des matches du PSG à domicile. Face à Caen (2-1) ce samedi, ses bénévoles étaient à nouveau à pied d’œuvre. Reportage.

Debout au milieu du Kop de Boulogne, Mickaël est à l’affut. Son regard balaie les gradins avec minutie. Tout en gardant un œil attentif au spectacle proposé sur la pelouse. Lorsque Mevlüt Erding double la mise pour le PSG, il exulte comme toute la tribune. Mais cet étudiant aux cheveux mi-longs n’est pas un supporter comme les autres. Ce samedi soir, il est en mission dans les travées du Parc des Princes. Bénévole pour SOS Racisme, il fait partie d’une commission de surveillance. Son but ? Observer et signaler les éventuels comportements racistes.
Avec son caban, son écharpe grise et son jean brut, il se fond parfaitement dans la masse. Il faut dire que Mickaël est un habitué des lieux. Voilà plusieurs saisons qu’il fréquente l’enceinte de la Porte d’Auteuil. Alors quand SOS Racisme l’a contacté pour intégrer son projet, il n’a pas hésité. « Ça me permet de voir les matches tout en surveillant les tribunes », jubile le grand brun. Un compromis qui ravit de nombreux bénévoles.

Face à Caen, ils étaient une trentaine, plutôt jeunes, répartis sur l’ensemble du stade. Même au sein de la tribune présidentielle, pourtant réputée assez calme. Chacun d’entre eux disposait d’un document à questions ouvertes qu’il a pris soin de remplir à la fin de la rencontre. Une réunion s’est ensuite tenue dans les locaux du Parc des Princes pour faire un bilan de la soirée. Pas grand-chose à signaler. La faible affluence enregistrée (26 190 personnes) n’a accouché d’aucun débordement notable.

« Prendre les gens en flagrant délit »
« C’était une soirée très calme, reconnait Mickaël. Il y a eu quelques insultes envers l’arbitre, mais rien de méchant. Depuis le début de saison, les tribunes sont pacifiques. La sécurité s’est beaucoup renforcée. Donc il y a moins d’ambiance mais aussi moins d’incidents. » Créée au lendemain de la mort de Yann Lorence, en marge de PSG-OM la saison passée, la commission de surveillance pilotée par SOS Racisme mène une action avant tout préventive. Sous l’œil bienveillant du PSG et de son président Robin Leproux, qui met à disposition toute la logistique nécessaire.
« Nous ne jouons pas le rôle de la police, assure Hermann Ebongue, le vice-président de l’association. Nous sommes des militants. C’est une sorte de prolongement de nos actions quotidiennes. Nous signalons tous les comportements déviants. Le but étant de prendre les gens en flagrant délit et de le signaler aux autorités compétentes. »

Dans les cas les plus graves, SOS Racisme peut également engager des poursuites judiciaires. Une réunion a lieu chaque semaine entre les membres de l’association et des représentants du PSG. Reste à connaitre la réelle efficacité d’un tel dispositif.

rmc.fr
sylvain
Le Parisien

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Paris n’est pas pressé d’être premier

Ouf, le PSG n’est pas en tête du championnat ce matin! Depuis que, mathématiquement, cette perspective n’est plus une utopie pour Paris, la première place de la Ligue 1 est vue, du côté du PSG, comme une patate chaude qu’il convient de vite relâcher. Pour les responsables du club de la capitale, à commencer par l’entraîneur, Antoine Kombouaré, le déroulement de ce week-end (une victoire 2-1 contre Caen, qui hisse Paris à la troisième place de la L 1) est donc le scénario parfait.

Ce n’est pas que les joueurs ne croient pas, au fond d’eux, au titre de champion. Surtout pas. Mais Antoine Kombouaré ne veut pas entendre parler de titre… maintenant.

Pour avoir lâché une évidence cette semaine dans « l’Equipe » (« Paris peut être champion »), le Brésilien Nene s’est fait recadrer par le coach du PSG avant une séance d’entraînement. Bien entendu, la prudence de Kombouaré n’est pas à interpréter comme un manque d’ambition. Non, si ce dernier refuse les commentaires trop optimistes, c’est parce qu’il doit faire face à une inconnue : la capacité de ses hommes à résister, le moment venu, à la pression d’une place de leader. Kombouaré craint comme la peste un emballement médiatique — souvent plus fort à Paris qu’ailleurs — autour de ses joueurs après « seulement » quatorze journées de championnat. L’idéal pour le PSG serait de rester en embuscade derrière une ou deux équipes pendant encore une dizaine de matchs. Et si au printemps la qualité de jeu affichée depuis deux mois par les Parisiens perdure, l’équipe pourra alors tomber le masque et afficher ses réelles ambitions.

Dans un discours qui oscille entre prudence forcée et bon sens, les joueurs font donc volontairement profil bas. « Ce succès ne sert que pour la confiance avant le prochain match, lâche ainsi Clément Chantôme. Le classement est anecdotique pour l’instant. Ce qui compte, c’est de pouvoir travailler sereinement dans la semaine. Le championnat est trop serré. Une défaite à Lyon (NDLR : dimanche) et on peut perdre trois ou quatre places. »
Christophe Jallet, un joueur d’un naturel pondéré, est parfaitement à l’aise pour ne retenir que le « mauvais » côté de la victoire face aux Normands. « Nous n’avons pas affiché notre vrai visage et le succès a été compliqué, avoue-t-il. Si on ne se reprend pas de ce côté-là, nous aurons des problèmes. »



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Nene : « Nous n’avons encore rien gagné »

La semaine dernière, il n’a pas eu peur d’afficher ses grandes ambitions pour Paris (lire ci-dessus). Conscient de ne pas avoir livré, samedi soir face à Caen, son meilleur match sous les couleurs parisiennes, le Brésilien Nene se montre désormais plus pondéré. « Nous n’avons encore rien gagné et il ne faut surtout pas s’emballer, lâche le milieu de terrain.

Le plus important, c’est ne pas avoir trébuché contre Caen alors qu’on nous promettait la première place. Nos victoires prouvent juste que nous sommes sur le bon chemin. Il n’y a pas d’autres conclusions à tirer. La saison est encore longue. »


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Bernard Tapie vahid.gif : « Le PSG a une chance sur deux d’être champion »

Pour l’ancien président de l’OM, qui n’a jamais craint d’afficher des ambitions très élevées pour son club, la modestie du PSG est compréhensible, ce qui ne l’empêche pas de croire que le titre se jouera entre Marseille et… Paris.

Les Parisiens ont-ils raison de ne pas afficher leurs ambitions pour le titre ?

Bernard Tapie. Il n’y a pas de règles spécifiques.
L’essentiel, c’est d’être devant le dernier jour. Certains dirigeants n’ont pas peur de dire qu’ils veulent être champions et qu’ils ont d’énormes objectifs. D’autres utilisent la méthode Guy Roux. C’est le fameux : « Quoi qu’il arrive, je dis que je joue le maintien. » C’est juste une question de caractère et de personnalité.

Cette humilité est-elle valable à Paris ?

Mais rappelez-vous de Francis Borelli, l’ancien président du PSG. Il la jouait toujours faux modeste en disant que c’était compliqué chez lui. Et il a été champion aussi. A Paris, il y a aussi des exigences liées à l’histoire récente. C’est quand même un club qui revient de loin et n’a pas connu que des superbes saisons. Les Parisiens ont aussi la lucidité de se dire que quelques grosses équipes ne sont pas à leur niveau et que cela peut changer. Ils ont donc raison de ne pas faire les malins.

Mais le PSG a-t-il une chance de finir champion ?

Figurez-vous que, juste avant PSG - OM (2-1), j’ai fait un pari avec le journaliste Pascal Praud. Je lui ai dit que le titre de champion irait soit à Marseille, soit à Paris. Après la victoire du PSG, je n’ai évidemment pas changé d’avis. Je maintiens que Paris a une chance sur deux d’être champion. Si j’essaie d’être objectif et d’oublier mon cœur, il me semble que le banc de l’OM est plus costaud que celui de Paris. Mais les matchs de Ligue des champions (NDLR : que dispute l’OM), cela peut pomper de l’énergie. Donc, je vous le répète, ce sera le PSG ou Marseille. Je prends tous les paris! »
Baghib!
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Foot - L1 - PSG

Kombouaré veut garder Edel


En fin de contrat avec le Paris-SG en juin et actuellement en pleines négociations avec ses dirigeants pour prolonger, Apoula Edel a reçu un soutien de poids, dimanche, en la personne de son entraîneur. «C'est très simple, le club fait tout pour le garder et personnellement j'ai envie de continuer avec lui», a déclaré Antoine Kombouaré sur M6. Au moins comme ça les choses sont claires. David Ospina (Nice), Stéphane Ruffier (Monaco) et Nicolas Douchez (Toulouse), tous intéressés par le poste, peuvent aller chercher une place ailleurs. Ou se contenter de celle de n°2.

«Inquiet pour Lloris»: Antoine Kombouaré a aussi donné son avis sur le gardien de l'équipe de France. «Je suis inquiet pour Lloris. Je trouve qu'il régresse. C'est évident dans les airs. C'était son point fort l'an passé et cette saison il ne rassure pas.»
lequipe.fr
sylvain
PSG.FR
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Chat avec Robin Leproux


A quelques jours du déplacement à Lyon, Robin Leproux répondra à vos questions, mardi à 18 heures, sur PSG.FR.

Afin de pouvoir échanger le plus régulièrement possible avec ses supporters, la direction du Club a décidé d’organiser chaque mois, alternativement un chat, une rencontre avec des supporters ou un rendez-vous sur PSG Radio.

Le Club est en effet parfaitement conscient des contraintes et des désagréments qui sont imposés à ses supporters pendant cette période transitoire nécessaire à la pacification du Parc et entend ainsi échanger avec eux.

Tous les supporters pourront s'inscrire afin de participer à ce chat avec une seule condition : Le respect dans les échanges. Pour cette 4e édition, un chat sera donc organisé avec Robin Leproux ce mardi 23 novembre à 18 heures, pour échanger pendant une heure sur le PSG.
NeiBaF
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Hoarau vise l'Europe

À force d'engranger des points, le Paris-SG commence à nourrir des ambitions. L'attaquant parisien Guillaume Hoarau, invité sur RTL dans le "Club Liza" (ce lundi à partir de 20h00), ne s'en est pas caché. «En championnat, c'est très serré cette année, on a envie d'aller vraiment au bout, a expliqué l'international. On a tous envie de jouer la Ligue des Champions, donc il va falloir être sur ce podium. La Coupe d'Europe nous permet de nous ouvrir, de nous faire connaître. Je ne pense pas qu'il y ait une compétition sur laquelle nous devons faire l'impasse. On a envie, on a faim de titre.»

11G
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Séville sans Fabiano contre le PSG en Europa League

Blessé à la cuisse dimanche lors de la défaite de Séville en championnat face au Real Majorque (2-1), l'international brésilien Luis Fabiano sera éloigné des terrains pendant deux ou trois semaines, a annoncé mardi le club espagnol.

Fabiano manquera ainsi deux matches de Liga contre Getafe et Villarreal, ainsi que la rencontre d'Europa League contre le Paris Saint-Germain le 2 décembre au Parc des Princes.


Nouvel Obs
Golazo
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Foot - L1 - PSG - Yaisien passe pro


Formé au club, Abdallah Yaisien a signé, lundi soir, son premier contrat professionnel en faveur du Paris Saint-Germain, pour une durée de 3 ans. Âgé de 16 ans, le milieu offensif international français chez les 16 ans, puis chez les 17 ans, restera à la disposition des U19 parisiens cette saison.

NeiBaF
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Le PSG et l'OL en amical en janvier

L'Olympique lyonnais et le Paris-SG passeront l'hiver au chaud. Tout au moins le début de l'année 2011, puisque les deux clubs ont annoncé ce mardi leur participation le 5 janvier à un tournoi amical à Marrakech. Ce tournoi verra également la participation du Wydad du Casablanca et du Kawkab, club local. Les matches de ce tournoi seront l'occasion d'inaugurer un nouveau stade de 80 000 places.

HHA
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Une attelle pour Sakho

Suspendu pour le déplacement du Paris-SG à Lyon, dimanche, Mamadou Sakho va profiter de ce repos forcé pour soigner la blessure qu'il s'est donnée à la main droite lors de la victoire parisienne contre Caen, samedi (2-1). Le défenseur central international se fera poser une attelle ce mercredi après avoir passé une radio de contrôle. Mardi, il s'est entraîné en solo pour éviter les contacts. Son retour à la compétition est programmé face au FC Séville en Ligue Europa le jeudi 2 décembre.


lequipe.fr
HHA
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Dernière année pour Makelele

Ce n'est plus la peine de lui demander de prolonger au PSG : à bientôt 38 ans, Claude Makelele a assuré mercredi sur le site du club qu'il disputait bien sa dernière saison chez les pros : «J'avais signé pour une saison et je dispute actuellement ma troisième, explique ainsi le milieu de terrain sur le site officiel du PSG. J'ai dépassé la limite ! C'est ma dernière année, c'est sûr.»

Titulaire à 12 reprises cette saison, le milieu de terrain s'apprête à vivre un duel du haut de tableau dimanche sur la pelouse de Lyon, avec un PSG qui joue enfin les premiers rôles en L1 : «Si nous voulons avancer, il faut faire un résultat là-bas. Il faut rester dans le peloton de tête, s'y installer. On n'a pas le choix, il faut gagner à domicile et à l'extérieur, peu importe l'adversaire. Depuis le début de saison, nous jouons très bien à l'extérieur.»


lequipe.fr
Dagoberto
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Chantôme, «le plaisir» avant tout

Clément Chantôme se considère comme «un milieu relayeur» et non pas seulement défensif(EQ)

Il est l'un des acteurs majeurs du renouveau parisien. Du haut de ses 23 ans, Clément Chantôme n'est plus le même cette saison. Depuis qu'il a saisi sa chance à Séville (1-0, le 16 septembre en Ligue Europa), le jeune milieu formé au club n'est plus sorti du onze titulaire. Une situation qui tranche avec son rôle de remplaçant, au mieux, occupé jusque-là sous l'ère Kombouaré. «J'ai recommencé l'année dans l'idée de prendre du plaisir, explique-t-il jeudi dans L'Equipe, comme l'une des raisons essentielles de sa forte progression. Maintenant, à chaque fois qu'il m'aligne, je cherche juste à m'éclater.»

PSG-Monaco en finale de Coupe de France : «le pire moment de ma carrière».

Pour l'ancien international Espoirs, le problème se situait principalement dans la tête. «Je ne me pose plus de questions. Dans mon approche mentale, je suis plus mature, estime-t-il. C'est bête à dire, mais là, je me sens de nouveau footballeur. L'année dernière, j'étais frustré. Je rentrais chez moi, je n'avais rien fait. J'étais dans la peau d'un gars qui venait simplement voir les matches». La finale de Coupe de France remportée en mai par le Paris-SG contre Monaco (1-0) reste par exemple «le pire moment de (sa) carrière».


«J'ai changé mon jeu»
Mais tout ça est désormais derrière lui. Ce qui compte avant tout aujourd'hui, c'est qu'il est sur le terrain et non plus dans les tribunes. «J'ai changé mon jeu, je prends plus d'initiatives, poursuit-il. Je suis un milieu relayeur, pas seulement défensif. Maintenant, je peux progresser dans la finition. C'est mon gros défaut, je dois marquer plu, c'est ce qui me fera passer un cap.»

Retrouvez l'intrégralité de l'interview de Clément Chantôme, jeudi en page 8 de L'Equipe.


Raptor39
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Edel prêt à quitter le PSG?

Apoula Edel ne se satisfait pas des propositions de contrat du club
Il arrive en fin de contrat en juin 2011...

Depuis qu’il a enchaîné une série de sept matchs sans prendre de buts, Apoula Edel a revu ses ambitions à la hausse. Alors que le club lui propose de renouveler son contrat, qui arrive à expiration en juin prochain, le gardien du PSG ne semble pas satisfait des conditions évoquées par le club, comme le rapporte le Parisien, jeudi.

Des clubs trucs et grecs seraient déjà sur les rangs pour tenter de s’engouffrer dans la brèche. Surtout que le gardien arméno-camerounais souhaiterait aussi que le club parisien lui garantisse une place de titulaire la saison prochaine. Faut peut-être pas pousser le bouchon Apoula…


20minutes.fr
A2V
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Du rab pour Nenê et Ceara

Les Parisiens sont déjà dans leur match contre l'Olympique Lyonnais dimanche, à en juger par leurs engagements dans les oppositions de ce jeudi. A l'issue de la séance, les Brésiliens Nenê et Ceara sont restés sur le terrain pour une séance de coup francs, tirés avec une certaine réussite.

Mamadou Sakho, qui s'est retourné le majeur de la main droite contre Caen samedi dernier, s'est entraîné normalement tout en protégeant son doigt avec une attelle. Le défenseur international français aura le temps de se soigner puisqu'il est suspendu contre Lyon dimanche - C. Mi., au camp des Loges


Lequipe.fr

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Gourcuff out trois semaines ?


Sorti sur civière mercredi en Ligue des Champions sur le terrain de Schalke 04 (0-3), Yoann Gourcuff sera éloigné des terrains durant les trois prochaines semaines, selon Jean-Michel Aulas. Le meneur de jeu international « souffre d’une cheville » (hématome derrière le mollet droit), a expliqué le président lyonnais, informé par le médecin du club. La remise sur pied de Gourcuff serait gênée par de nombreux saignements. Claude Puel s'est montré un peu plus optimiste quant à la durée d'indisponibilité de son meneur de jeu. « Il est forfait pour Paris (ce dimanche à 21h), a indiqué l'entraîneur. On va tout de même essayer de le remettre sur pied pour Montpellier (le 4 décembre). »


RMC.fr


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Giuly ne s’est pas entraîné


Entraînement dans le froid et devant une vingtaine de supporters ce jeudi matin au Camp des Loges. Ludovic Giuly était absent, mais excusé pour raisons personnelles. L'attaquant de poche du PSG sera de retour à l'entraînement demain vendredi. Ce matin, c'était atelier gardiens, travail devant le but et opposition à 11 contre 11. Mevlut Erding a interrompu la séance quelques minutes avant la fin pour cause de douleur à la cuisse droite. Peguy Luyindula, lui, a ressenti une gêne aux adducteurs. Mais tous deux sont jugés opérationnels pour le match à Lyon dimanche soir (21h). Pour rappel, Chantôme et Sakho seront suspendus lors de cette rencontre.

RMC.fr
Arthurooo
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Communiqué du club

| 25/11/10 | 17:47

Robin Leproux et Alain Cayzac se sont entretenus ce mercredi au sujet du rapport de médiation souhaité par le Président et confié à Alain Cayzac (membre du conseil de surveillance du club) et Franck Borotra (Président de la Fondation PSG).

Les échanges ont été constructifs (Franck Borotra était lui retenu a l'étranger). Les modalités d'évolution du plan de pacification sont en cours de finalisation. Alain Cayzac, Franck Borotra et Robin Leproux feront part de leurs décisions à la mi-décembre.


PSG.FR
HHA
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Le PSG reste sur ses gardes

Tous les Parisiens n’étaient pas devant leur poste de télévision mercredi soir pour regarder les Lyonnais sombrer face à Schalke (3-0) en Ligue des champions. Mais ceux qui ont regardé la rencontre demeurent méfiants. « Les problèmes de l’OL ne me concernent pas, commente Guillaume Hoarau. Il est probable que leur défaite les a un peu démoralisés mais il ne faut surtout pas oublier qu’ils ont néanmoins atteint leur objectif : se qualifier pour les huitièmes de finale.

Il ne faut pas juger de leur qualité seulement en fonction du match de mercredi soir. Mais de toute façon, je ne veux pas trop regarder ce qui se passe à Lyon. La seule chose qui m’intéresse, c’est nous. Il faut aller faire une belle performance à Gerland et tenter de reléguer les Lyonnais à quatre points. Mon seul souci, c’est Paris. Pas Lyon. »
De son côté, Ludovic Giuly pense que l’absence de Yoann Gourcuff n’affaiblira pas l’OL. « Le principal danger, c’est l’Argentin Lisandro, analyse-t-il. C’est vraiment le joueur qu’il faudra maîtriser. »

Sammy Traoré est également persuadé que la déroute lyonnaise en Allemagne n’aura pas de répercussions sur la performance de Lyon ce week-end. « L’OL est parfaitement capable de faire la distinction entre la Ligue des champions et le championnat, estime-t-il. Ce sera un match très difficile car Lyon n’est qu’à un point de nous. Leur défaite ne change rien à la méfiance que l’on doit avoir avant le match. » Même son de cloche chez Grégory Coupet. Le remplaçant d’Edel connaît parfaitement les capacités de réac tion de Lyon. « Avec cette défaite, cela va être pire pour nous, lâche-t-il. Je sais comment ça fonctionne là-bas. Monsieur Aulas a annoncé une remise en cause sévère de ses joueurs. Ce qui est sûr, c’est que dimanche les Lyonnais vont être super remontés. Ils seront chauds bouillants! »


Baghib!
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Foot - L1 - PSG

Erding, alerte sans gravité


Mevlut Erding a fait une belle frayeur à son équipe, jeudi. Lors de la séance d'entraînement matinale, l'attaquant turc du PSG a été contraint de quitter prématurément ses partenaires, rapporte vendredi L'Equipe. Mais pour le club de la capitale, qui s'apprête à défier Lyon dimanche à Gerland, c'est une simple «petite gêne à la cuisse droite» qui «n'a rien d'alarmant».
lequipe.fr

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Foot - L1 - Lyon

Aulas : «Paris, peut-être champion»


A deux jours de recevoir le Paris-SG dans l'un des chocs de la 15e journée de Ligue 1, le président lyonnais Jean-Michel Aulas reconnaît que cette saison, le club de la capitale est mieux armé pour lutter avec les meilleurs. «Depuis dix ans, c'est probablement l'année où le PSG vient avec le plus de certitudes, explique-t-il dans Le Parisien. Globablement, c'est une équipe bien équilibrée, qui a beaucoup progressé en termes de maturité. En plus, elle joue bien. C'est bien pour le Championnat de France avec Paris qui n'était plus une place forte et qui le redevient.»

«Bien pour le Championnat»

JMA parle en connaissance de cause. Car cette saison, le PSG a déjà affronté Lyon, en huitièmes de finale de la Coupe de la Ligue. Ce jour-là, l'OL a été éliminé (2-1 a.p.). Une bonne raison pour s'en méfier encore plus en Championnat. «Si Lyon n'est pas champion, ce sera peut-être Paris, ajoute-t-il. Il a la capacité de bien jouer. Je ne sais pas s'il tiendra toute la saison, mais il sera un concurrent de Lyon, de Marseille et de Lille pour le titre.»
lequipe.fr
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