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sylvain
L'Equipe

Citation
Paris, stop ou encore??

Ce quart de finale présente un double enjeu pour le PSG: redorer son image et éviter surtout que sa saison ne s'achève ce soir.

Parfois, à Paris, on cause de foot, d'ambition sportive, de palmarès à enrichir. Oui, oui, c'est vrai, même si depuis plusieurs semaines, ce n'est pas ce qui a monopolisé les conversations. Ce quart de finale de Coupe de France ouvre ainsi une parenthèse pour le douzième de Ligue 1 qu'une élimination ce soir refermerait aussi sec. Antoine Kombouaré refuse de l'envisager, une façon comme une autre de positiver. Il a suffisamment broyer du noir pour ne pas anticiper une quatorzième défaite cette saison, qui plongerait son équipe dans des vacances par anticipation. Plus de Coupe, plus rien à jouer en Championnat, les deux derniers mois s'annonceraient bien longs...

L'entraineur Parisien sait que ce quart à Auxerre revêt des allures de finale même si le contexte de huis clos viendra rappeler que ce n'en est pas une. "On joue gros, convient Kombouaré. C'est le dernier joker entre nos mains car on a grillé tous les autres. Quelle que soit la manière, il faut se qualifier. On en a les moyens." Il y a bien longtemps que la manière n'obsède plus les Parisiens. Les rares fois où elle fut au rendez-vous, ce n'était pas toujours le cas des résultats. En même temps, quand le PSG n'a pas bien joué, ce qui fut assez fréquent, il n'a jamais gagné non plus. "On peut très bien faire un nul et se qualifier aux tirs aux but, ça m'ira.", précise le Kanak.

Dans le vestiaire, le climat s'est dégradé

Ca lui ira pour autant plus qu'il sent son groupe guetté par l'usure physique et mentale. Paris n'a pas été épargné par les blessures et, souvent, Kombouaré a été obligé d'aligner des joueurs atteints physiquement. Deux jours avant Nice (0-1, samedi), on a vu Sakho, l'élément le plus utilisé, se toucher un genou douloureux pendant une séance de centres. Il a malgré tout joué sur la Côte d'Azur, ce qui a permis de préserver Camara. Début décembre, c'est Erding qui contractait une entorse du genou droit. La semaine suivante, il jouait contre Saint-Etienne (3-0, le 13 décembre). Et 3 jours après contre Lens (1-1, le 16 décembre). Et le match d'après encore. "Il a joué blessé pendant trois mois", confiait son entraineur , dimanche.

Cela n'a pas empêché certains de ses coéquipiers de stigmatiser son égoisme par la suite, ce qui parait dans ces circonstances, un peu déplacé. Parce qu'avec la crise des résultats le climat dans le vestiaire s'est dégradé. on est plus dans l'ambiance bon enfant de l'été et l'automne dernier, quand chacun se revendiquait le meilleur copain de l'autre. Les "Bisounours" se sont procuré des flingues et les petites phrases assassines, au détour d'un couloir, sur une faute d'Untel ou les défauts d'Untel deviennent fréquentes. Se qualifier contre un adversaire du calibre d'Auxerre permettrait alors au groupe de se remobiliser autour d'un projet commun. "On doit aussi gagner pour redorer l'image du club", insiste Kombouaré, qui, en laissant Camara, Hoarau, Giuly et Makélélé au repos ce week-end, a érigé ce match en priorité absolue. Cela suffira t'il?

Damien Degorre
sylvain
Extrait du Top 20 des joueurs les mieux payés de Ligue 1 en 2010 par France Football.

Citation
8ème: Makélélé avec 3.6 millions d'euros.
Fort d'une prime généreuse octroyée par son club la saison passée, le capitaine du PSG qui avait consenti des sacrifices financiers à l'époque pour revenir en france, occupait la troisième place de notre classement. Si il a reculé dans la hiérarchie hexagonale, il demeure néanmoins l'un des joueurs de Ligue 1 les mieux rémunérés grâce à ses 300 000 euros bruts mensuels.

12ème: Giuly avec 3.2 millions d'euros.
Auteur d'une nouvelle saison décevante, le PSG possède toujours une masse salariale de club du haut du tableau, comme en témoigne la présence dans ce top 20 de quatre de ces joueurs, dont Ludovic Giuly qui perçoit chaque mois 270 000 euros brut.

15ème: Kezman avec 3 millions d'euros.
L'attaquant Serbe, doté d'un salaire mensuel de 250 000 euros bruts, possède des émoluments inversement proportionnés à son temps de jeu, famélique cette saison, marqué en fin d'année 2009 par un prêt en Russie. Au terme de l'exercice en cours, ses dirigeants vont forcément chercher une nouvelle fois à le faire partir pour alléger leur masse salariale.

17ème: Hoarau avec 2.8 millions d'euros.
En s'intégrant la saison dernière dans la caste des meilleurs buteurs de L1, l'avant-centre Réunionnais a obtenu une belle revalorisation salariale: il perçoit environ 230 000 euros brut mensuels, alors qu'il émergeait à 80 000 lors de son arrivée dans la capitale.



A signaler, vu qu'on en parlait cet été, que Heinze, joueur de l'OM est premier du classement. Il émerge donc à 4.5 millions d'euros annuels pour un salaire de 380 000 euros bruts mensuels..
whynot
Citation
Paris sauve sa place en demi-finale (0-0)

Grâce à un arrêt d'Edel lors de la séance de tirs au but, le PSG s'est qualifié pour les demi-finales de la Coupe de France en dominant Auxerre, 6 tirs aux buts à 5 (0-0 à l'issue du temps réglementaire).

Il s'en est fallu de très peu pour que le PSG ne se retrouve en vacances largement avant l'heure. En fait, le dernier objectif du club parisien s'est joué à un arrêt. Celui d'Apoula Edel sur la tentative de Quercia, lors de la séance des tirs au but venue ponctuer 120 minutes de jeu stériles. En remportant leur quart de finale de Coupe de France à Auxerre, les Parisiens restent ainsi en course pour ce qui constitue le dernier objectif du club cette saison.
Cette victoire, méritée bien que longue à se dessiner, les Parisiens l'ont obtenue dans un stade quasi-désert et dans une ambiance digne d'un match de promotion de première. Huis clos oblige, les supporteurs auxerrois, qui n'avaient pourtant rien demandé à personne, étaient en effet privés de ce quart de finale à domicile. Seule une banderole (« Tu ne seras jamais seul / Nous serons toujours là ») venait témoigner de leur soutien. Comme trois jours plus tôt à Nice, et probablement comme dans cinq jours lors de la venue de Boulogne dans un Parc des Princes vide, les quelques personnes présentes à l'Abbé-Deschamps ont donc pu profiter des discussions entre joueurs ou des sifflets d'Antoine Kombouaré pour replacer ses troupes...

Sur le terrain, le PSG et Auxerre ont livré une partie équilibrée et ennuyeuse, parsemée de quelques occasions de but. Pendant les 45 premières minutes, seul Niculae s'illustre sur une tentative lointaine et culottée. Mais le lob de l'attaquant roumain est claqué en corner par Edel (23e). Paris fait jeu égal avec le troisième de Ligue 1 sans parvenir à s'approcher des buts de Riou. Les multiples corners parisiens ne donnent rien et Grichting coupe du bout du pied une ouverture de Sessegnon à destination d'Erding (38e).

Kezman effleure le poteau pendant la prolongation

La première occasion parisienne intervient eu retour des vestiaires mais Hoarau, lancé par Sakho, manque le cadre (51e). Paris domine alors légèrement les débats. Erding tergiverse devant Adama Coulibaly et voit son tir capté par Riou (59e). Avant et après l'occasion du Turc, Stéphane Sessegnon fait étalage de toute sa panoplie. Irritant d'abord, quand il écope d'un carton jaune mérité pour s'être vengé sur Ndiga (56e). Brillant ensuite, quand il s'offre un numéro de soliste ponctué par un centre qu'aucun parisien ne peut finalement reprendre (66e). En fin de match, une parade de Riou sur un coup-franc de Sessegnon (85e) répond à un arrêt d'Edel devant Jelen (75e).

La prolongation s'ouvre sur le même rythme jusqu'à ce que Giuly enrhume Grichting côté droit et centre pour Kezman tout juste entré en jeu. Mais la tête de l'attaquant serbe effleure le poteau droit des cages de Riou (105e). Mateja Kezman s'offre une nouvelle occasion après la changement de côté mais sa frappe passe juste au-dessus (107e). La soirée s'étire et les tirs au but se profilent.

Quercia bute sur Edel lors de la séance des tirs au but

Les Auxerrois Hengbart, Pedretti, Mignot, Ndinga et Dudka ne tremblent pas. Hoarau, Jallet, Chantôme, Kezman et Giuly non plus. Vient alors le tour de Quercia qui voit son tir repoussé par le pied d'Edel. Makelele finit le travail et envoie le PSG en demi-finale de la Coupe de France. Non, Paris n'est pas encore en vacances. Les joueurs disputeront une demi-fianle de Coupe de France le mardi 13 ou mercredi 14 avril. Le tirage au au sort de ces demies sera effectué dimanche.

leparisien.fr


Edit Rjay: Déplacé, le PSG n'est pas encore un ancien du club unsure.gif
Biz Markie
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Kombouaré : «Belle si on va au bout»

Soulagé, Antoine Kombouaré estime que la qualification pour les demi-finales de la Coupe de France n'aura d'intérêt que si son équipe remporte l'épreuve.

«Antoine Kombouaré, le PSG s'est qualifié et sa saison n'est finalement pas terminée...
C'est un soulagement. Ce fut un match fermé, compliqué, et je félicite les joueurs. Nous avons eu quelques occasions, surtout lors de la prolongation, et l'équipe a su faire preuve d'envie. C'était le match de la saison à ne pas perdre. Face à une équipe comme Auxerre, qui possède la seconde meilleure défense du championnat et qui excelle dans l'art du contre, nous avons bien défendu. Ce soir, on a très peu vu Jelen... Je pense que c'est une victoire méritée.

Le Paris SG est-il une vraie équipe de Coupe ?
Je ne sais pas... Cette qualification ne sera valable et belle que si nous allons au bout. Si nous allons en demi-finale et que nous ne gagnons pas, ou si nous atteignons la finale pour la perdre, cela n'aura servi à rien. C'est seulement si nous remportons cette Coupe de France que nous pourrons dire que le Paris SG est une équipe faite pour cette compétition.

«SI CELA PEUT PERMETTRE D'ÉRADIQUER LA VIOLENCE...»

Cette qualification peut-elle vous aider à mieux terminer le Championnat ?
Bien sûr que cela peut aider ! Une qualification, c'est toujours bon pour la confiance, à quelques jours d'affronter Boulogne-sur-mer chez nous. Cela va rendre la fin de la saison un peu plus intéressante et alléchante...

Un match que vous disputerez une nouvelle fois à huis-clos, pour la troisième fois consécutive...
Ce ne sont pas des conditions pour disputer un match de football. Mais si cela peut permettre d'éradiquer la violence...»

Propos recueillis par Alexis BILLEBAULT, à Auxerre


Citation
Jallet reconnaît sa main

La franchise et l'humour de Christophe Jallet ont fait tilt mardi soir face à l'auditoire médiatique Avec sa bouille d'étudiant, le défenseur du Paris SG a su animer la conférence de presse grâce à ses réponses dénuées de langue de bois. Après avoir vite glissé sur les banalités d'usage - « cette victoire est un peu poussive, mais nous n 'avons pas encaissé de but et cela va nous faire du bien au moral » - Jallet a immédiatement reconnu qu'il avait bien fait main sur la frappe de Mignot (118e).

« J'AI FAIT UNE BELLE PARADE, NON ?»

« J'ai fait une belle parade, non ? Ce sont des réflexes de joueur de rugby... Oui, il y a une belle main. Je l'ai dit quelques secondes plus tard à l'arbitre pendant que les Auxerrois gueulaient, mais il m'a répondu qu'il n'avait rien vu. S'il avait vu ma main, il aurait sifflé, sans aucun doute. » Puis Jallet a ironisé sur le huis-clos, en exagérant un brin sur le nombre de personnes autorisées à assister à la rencontre, soit une cinquantaine, toutes installées en tribune d'honneur.

« Pour un huis-clos, il y avait presque toute la ville d'Auxerre... Ils étaient cinquante ? On avait l'impression qu'ils étaient beaucoup plus nombreux... Mais au moins, on a entendu tout ce qu'ils disaient. » Le latéral parisien a également précisé qu'il aimerait jouer la demi-finale au Parc des Princes, « et si possible pas à huis-clos. Maintenant, peu importe l'adversaire, qu'il s'agisse d'une CFA ou d'une DH (sic). Les mecs vont se sortir les tripes pour nous éliminer. » - A.B (à Auxerre)

lequipe.fr
NumeroStar
Citation
Rothen va probablement revenir au PSG

Prêté l’été dernier par le Paris Saint-Germain aux Glasgow Rangers, puis au club turc d’Ankaragücü, Jérôme Rothen a reconnu que dans quelques mois il allait probablement revenir au PSG. Mais l’ancien monégasque veut trouver une solution avec les dirigeants parisiens afin de ne pas végéter sur le banc. « C'est parti pour que je revienne à Paris. J'ai un prêt de six mois sans option d'achat ici. Après, il va falloir faire le point avec les dirigeants parisiens. Je pense qu'ils ne sont pas pour un retour de ma part, mais il va falloir faire un choix, admet Jérôme Rothen avant de confier qu’il ne souhaitait pas revenir pour jouer les seconds rôles. Il me reste un an de contrat, je ne suis pas un mercenaire, je ne vais pas venir prendre mon salaire comme ça et ne pas jouer. »


Foot01
Hari
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Makelele offre un sursis au PSG

Vainqueurs de l’AJA aux tirs au but grâce à leur capitaine, les Parisiens peuvent toujours sauver leur saison grâce à cette compétition.

Le « Vieux » est resté immobile face au ballon, a respiré un dernier coup puis s’est élancé. Au bout de sa frappe victorieuse, la douzième d’une séance de tirs au but marquée par un seul raté ou arrêt, c’est selon, il a envoyé le PSG en demi-finale de la Coupe de France, horizon doux d’un Paris dans le dur depuis le début de l’année civile.

Le Vieux, comme le surnomment ses coéquipiers, c’est Claude Makelele, le capitaine, symbole d’un PSG qui rigole enfin un peu.
Sûr qu’à son âge « canonique » (37 ans), le milieu se délecte encore de vivre ces moments, surtout quand ils viennent aussi peu fréquemment.
Après Hoarau, Jallet, Chantôme, Kezman, Giuly, tireurs parfaits, Make a expédié une grosse mine dans la lucarne, terme d’une séance maîtrisée techniquement et mentalement. On ne pourra plus dire que cet exercice relève de la loterie. « Cela fait bien un mois qu’on travaille les penaltys à l’entraînement », commente Antoine Kombouaré sans forfanterie puisqu’il parle, lui, de « roulette russe ».
Qu’importe. A l’issue d’une rencontre crispante, irrespirable et très souvent ennuyeuse, le PSG a sauvé une partie de sa saison, avec le droit, joli comme un cadeau printanier, de disputer une demi-finale de l’épreuve légendaire du football français. Une partie seulement car, comme le précise Kombouaré, « la qualification ne sera intéressante que si on va au bout ». A huis clos ou non, il ne reste qu’une marche pour s’ouvrir les portes du Stade de France.
Ce matin, il y a toujours de l’espoir au PSG. C’est la principale et presque miraculeuse nouvelle de l’actualité parisienne au regard des événements dramatiques (décès d’un supporteur) ayant touché le club récemment. « Je suis super heureux, enchaîne le Kanak. Cela sourit enfin ! On parle en bien des joueurs et du club et puis on a une fin de saison alléchante, excitante. » Jusqu’à mi-avril (le 13 ou le 14) et cette demi-finale, l’équipe de Kombouaré va pouvoir, en effet, vivre avec un but.
Les jambes lourdes, il va même se replonger avec un peu plus d’entrain dans le championnat. Ce sera dimanche au Parc face à Boulogne, qui a fait exactement l’inverse de Paris hier (une élimination piteuse face aux amateurs de Quevilly), toujours dans le silence glauque du huis clos. « Cette qualification méritée ne peut que nous aider en championnat, confirme Kombouaré. Elle redonne confiance. » Il y a dans le vocabulaire parisien ce matin des mots que l’on n’entendait plus depuis longtemps.

DOMINIQUE SÉVÉRAC


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Les Parisiens s’étaient-ils préparés aux tirs au but ?


Oui. Jeudi, les Parisiens avaient conclu une longue séance d’entraînement par une série de tirs au but. Tous les joueurs y étaient passés, avec un taux de réussite assez impressionnant. La dernière séance de penaltys du PSG en match officiel remontait au 30 juillet 2006 lors du Trophée des champions perdu face à Lyon à Gerland.


Citation
Sylvain Armand : « Un peu de bonheur »

Des cris de joie s’échappent du vestiaire du PSG. Tandis qu’Edel, Sakho et Hoarau se soumettent à un contrôle antidopage, l’effectif parisien fête cette qualification en demi-finale de la Coupe de France. Sylvain Armand ne cache pas non plus son bonheur.

Le PSG a encore prouvé qu’il était une équipe de Coupe…
Sylvain Armand. (Sourires.) On savait bien que s’imposer ici n’allait pas être évident.
Auxerre est dans le trio de tête de la Ligue 1, c’est une équipe très solide. On est très heureux de cette qualification, même si elle arrive au terme d’une séance de tirs au but.

La Coupe de France est plus que jamais l’objectif prioritaire du PSG…
On veut cette Coupe ! Mais la route est encore longue. Il nous reste encore un match avant le Stade de France.
Et ensuite, si on y est, on aura une finale à jouer et à gagner. Mais le PSG est toujours en lice dans cette compétition. On s’est qualifiés contre une très bonne équipe. On ne s’est pas cachés pour dire que ce match était le plus important si on voulait sauver une saison difficile. L’important, c’était de se qualifier. Cela nous fait du bien et nous permet d’offrir un peu de bonheur.

Est-ce une qualification méritée, selon vous ?

Oui, c’est une qualification méritée. Nous avons eu la mainmise sur le match. On s’est procuré pas mal d’occasions qu’on n’a pas su concrétiser, malheureusement. Mais on a dominé, surtout en seconde période et pendant les prolongations.

Avez-vous douté, notamment à la fin de la prolongation lorsque Jallet fait main dans la surface de réparation ?

(Il hésite.) Si l’arbitre avait sifflé penalty à ce moment-là, cela aurait été compliqué pour nous. C’est comme ça. Tant mieux pour nous.

Comment avez-vous vécu la séance des tirs au but ?
C’est toujours intense. C’est notre capitaine, Claude Makelele, qui nous qualifie. Il a l’habitude des grands rendez-vous. On savait qu’il n’allait pas trembler.

PROPOS RECUEILLIS PAR SYLVIE DE MACEDO


Citation
PSG Express

Hier. Qualification à Auxerre en quarts de finale de la Coupe de France 0-0 (6 tirs au but à 5).
Aujourd’hui. Décrassage à 10 h 30 au camp des Loges.
Infirmerie. Luyindula (genou), Coupet (convalescent), Ceara (adducteurs droits).
Rendez-vous. PSG - Boulogne, 30e journée de L1 (huis clos), dimanche 28 mars à 17 heures (Foot+).



leparisien.fr
11G
Citation
Paris accroché à sa bouée

À la peine en Championnat, le PSG peut encore rêver à un titre cette saison.

IL FALLAIT BIEN qu’il en arrête un. Après avoir effleuré les tirs de Pedretti et de Mignot, Edel a détourné celui de Quercia et offert au PSG son billet pour les demi-finales de la Coupe de France. Makelele n’avait plus qu’à confirmer, ce qu’il fit d’un penalty en pleine lucarne et voilà Paris toujours en lice dans la dernière compétition qui peut lui permettre de retrouver les chemins de l’Europe la saison prochaine. Au regard de sa saison, ce serait une bénédiction. Au regard de sa prestation d’hier, ce ne serait pas illogique. Sans être géniaux, loin de là, les Parisiens se sont révélés supérieurs à de bien pâles Auxerrois qui pourront désormais concentrer leurs efforts sur le Championnat dont ils occupent actuellement la dernière place du podium.

Mais ce qu’Auxerre a montré hier ne lui donnait pas le droit de rêver à un nouveau doublé, après celui de 1996. Entre une première période d’une incroyable misère technique et une seconde animée par les rares éclairs de Sessegnon, on s’est longtemps demandé si la décision de faire jouer ce match à huis clos n’était pas, avant tout, un bon moyen de préserver le football. Au moins, Antoine Kombouaré pourra se dire que son équipe a eu le contrôle du jeu et le plus grand nombre d’occasions. On ne sait pas si, chez lui, ce sera une source de satisfaction ou un argument supplémentaire à mettre au débit de son équipe, incapable de tuer un match qu’elle domine.

Une main de Jallet non sanctionnée

Que ce soit sur ce tir de Hoarau (51e), cet exploit individuel de Sessegnon (66e) ou cette tête de Sakho (86e), le PSG avait l’occasion d’arracher la qualification à l’issue du temps réglementaire. Au cours de la prolongation, il aurait également pu s’offrir un avantage quasi décisif juste avant la pause après ce débordement de Giuly et ce service pour Kezman dont la tête percuta l’extérieur du poteau (105e) ou juste après avec ce tir trop enlevé du Serbe (107e) ou celui trop croisé de Hoarau (112e).

Mais si Auxerre occupe la troisième place de la L1, ce n’est pas pour la flamboyance de son jeu. Sa faculté à abandonner le ballon à l’adversaire, à patienter dans sa moitié de terrain et à capitaliser sur ses rares coups offensifs n’est pas nécessairement une publicité pour le spectacle mais peut s’avérer redoutable. En quatre-vingt-dix minutes, l’AJA n’a pas eu une occasion et pourtant, sur cette frappe de 45 mètres de Niculae, elle aurait pu ouvrir le score (23e). À part ça ? Un coup franc de Pedretti repoussé par une main de Jallet dans la surface (119e) non sanctionnée.

Finalement, pas grand-chose ne rapproche ces deux équipes à part, peut-être, le déchet dont elles ont fait preuve lors de cette rencontre. Hier, leurs leaders techniques habituels avaient davantage le profil de porteurs d’eau, surtout côté auxerrois, à l’image de Niculae ou de Pedretti, qui jouait en marchant. Les tirs au but auront récompensé la moins mauvaise des deux.

DAMIEN DEGORRE



Edel sur un nuage


L’HOMME CLÉ : EDEL (Paris-SG)

Il s’était déjà illustré en première période en détournant du bout des doigts un lob magnifique de Niculae (23e), il sera le héros de la série des tirs au but. En stoppant la frappe de Quercia, le gardien du Paris-SG offre non seulement la qualification à son équipe, mais surtout une bouffée d’oxygène à son club pour la fin de saison.

Au cours d’une rencontre aussi fade qu’insipide et particulièrement pauvre techniquement, les individualités ont éprouvé énormément de difficultés à s’illustrer. À Auxerre, COULIBALY a une nouvelle fois dominé le jeu aérien en défense centrale. À ses côtés, MIGNOT a rempli son contrat, même s’il a failli se faire surprendre sur une longue course de Hoarau (51e).

GRICHTING eut du mal à entrer dans la rencontre, tout comme PEDRETTI qui, pour une fois, ne pesa pas sur le jeu. Heureusement pour l’AJA, NDINGA a abattu un énorme travail, surtout en première période. Devant, NICULAE n’a pas toujours effectué les bons choix dans la dernière passe et JELEN fut trop souvent privé de bons ballons.

À Paris, CAMARA a tenu la baraque défensivement et JALLET, sur la droite, fut un atout de poids dans le jeu offensif. GIULY se montra particulièrement effacé, malgré un centre superbe pour Kezman (105e), tout comme MAKELELE, irrégulier dans sa performance. SESSEGNON alterna pour sa part le bon et le moins bon. Comme d’habitude. Mais il fut au moins l’un des rares à prendre des initiatives. ERDING fut remuant mais eut du mal à conclure ses actions. Quant à HOARAU, il traversa la rencontre en faisant preuve d’une très -trop ? - grande discrétion. – J.-Ph. C.



Une si tranquille préfecture

À côté d’un important dispositif policier pour couper la route aux supporters parisiens, la vie s’est écoulée paisiblement hier à Auxerre.


FIN D’APRÈS-MIDI, ciel de Turner et pas l’ombre d’un supporter parisien, persona non grata, hier, à Auxerre. Le huis clos décrété par les autorités a fait couler de l’encre et l’Yonne républicaine en a fait sa une : « Sous haute tension. » Sept cents CRS et gendarmes mobiles sur le pied de guerre sont restés une partie de la journée en position dans le triangle des Bermudes auxerrois, stade de l’Abbé-Deschamps - pont Paul-Bert - rue de la Noue. Ils ont attendu bardés et casqués. Le feu ne s’est jamais déclaré. Tôt, hier matin, Jérémy et Cédric, deux Ultras auxerrois, ont continué à préparer leurs banderoles. Six heures de boulot pour deux tifos accrochés tribune nord, à leurs places vacantes. « Tu Ne Seras Jamais Seul » et « Nous Serons Toujours Là », en haut et en bas d’une tête de lynx, leur symbole. En traînant en ville, dans l’après-midi, il leur a semblé reconnaître, à deux ou trois reprises, des « Ultras du virage Auteuil » sous leurs blousons qui rasaient les murs.

Place des Cordeliers, les terrasses bourdonnent de conversations ordinaires. Il est question de la manif du matin et de ces milliers de mécontents qui craignent pour leur boulot et leur retraite. Question des prochaines vacances, du soleil sympa qui caresse les jambes des filles, mais jamais du huis clos qui privera, ce soir, l’amateur de football d’un quart de finale de Coupe. Auxerre aime sans aucun doute son AJA, son esprit de « patro », sa culture atypique. Et Auxerre éduque aussi ses jeunes, « en invite mille à chaque match, les loge dans une tribune qui porte le nom de « Famille AJA », explique Alain Hébert, le président des Clubers, l’une des associations sympathisantes du club.

La journée s’est donc étirée en douceur jusqu’à l’heure de l’échauffement. La sono de l’Abbé-Deschamps a fait hurler Eye of Tiger mais ça faisait tout bizarre d’entendre les voix des Auxerrois et des Parisiens. Au coup d’envoi, les quatre tribunes sont restées vides. En ville, les cafés avaient baissé leurs rideaux. La famille de l’AJA, devant sa télé, attendait sans impatience que ses joueurs terminent le boulot.

GUY ROGER


L'Equipe
NumeroStar
Citation
Laup (Quevilly) : On va continuer de rêver »

Invité de BFM TV ce matin, Anthony Laup a vécu une soirée exceptionnelle hier soir avec Quevilly. Double passeur décisif, il a été le grand artisan du succès contre Boulogne-sur-Mer (3-1) et de la qualification en demi-finale de la Coupe de France.

Anthony Laup (joueur Quevilly) : « Je ne suis pas un héros national. Je ne sais pas expliquer ce succès. C’est le succès d’un groupe et de tout Quevilly. On est allé au restaurant, certains sont allés en boîte de nuit mais moi je suis rentré me coucher. Maintenant qu’on est à une marche du Stade de France on va continuer de rêver. Le rêve ce serait d’éviter le PSG parce qu’avec les normes de sécurité on ne pourrait pas jouer à Robert-Diochon. Hier soir c’était extraordinaire cette communion avec le public. »
sylvain
So Foot

Citation
PSG : entrainement annulé

Les Parisiens ont livré un triste spectacle hier soir à l’Abbé-Deschamps.

Une prestation qui a pourtant ravi un Antoine Kombouaré explosant de joie à la fin de la rencontre, satisfait de l’assise défensive de son équipe.

Il faut dire que la tactique était simple : « Balancez sur les quatre de devant et après, c’est leur problème de faire la différence », lança-t-il à Jérémy Clément avant d’entamer la prolongation.

Avec autant d’efforts, les joueurs de la capitale avaient bien droit à un peu de repos. Tonton Antoine est un bon gars et a supprimé l’entrainement de jeudi pour permettre à ses protégés de récupérer tranquillement.

Vu la qualité du jeu parisien cette saison, ce n’est surement pas la première séance annulée.

SM
Biz Markie
Citation
13e demie pour Paris

Ce n'est pas un secret, le Paris Saint-Germain a toujours aimé les Coupes. En s'imposant à Auxerre (0-0, 6-5 t.a.b.), mardi en quarts de finale de la Coupe de France, le club de la capitale a atteint pour la treizième fois de son histoire les demi-finales de l'épreuve.

Le futur adversaire du PSG aura d'ailleurs les statistiques en sa défaveur, puisque sur les douze précédents, les Parisiens ont atteint la finale à dix reprises, soulevant sept fois le trophée. (Photos Presse-Sports)
Les douze demi-finales du PSG

1975
Lens - PSG : 3-2 a.p.

1982
PSG - Tours : 0-0 (2-1 t.a.b.)
Finale : PSG - Saint-Etienne : 2-2 (6-5 t.a.b.)

1983
PSG - Tours : 4-0, 3-3
Finale : PSG - Nantes : 3-2

1985
Toulouse - PSG : 2-0, 0-2 (3-5 t.a.b.)
Finale : Monaco - PSG : 1-0

1986
PSG - Bordeaux : 1-1, 1-2

1993
PSG - Laval : 1-0
Finale : PSG - Nantes : 3-0

1995
PSG - OM : 2-0
Finale : PSG - Strasbourg : 1-0

1998
PSG - Guingamp : 1-0
Finale : PSG - Lens : 2-1

2003
PSG - Bordeaux : 2-0
Finale : Auxerre - PSG : 2-1

2004
Nantes - PSG : 1-1 (3-4 t.a.b.)
Finale : PSG - Châteauroux : 1-0

2006
Nantes - PSG : 1-2
Finale : OM - PSG : 1-2

2008
Amiens - PSG : 0-1
Finale : Lyon - PSG : 1-0 a.p.

aleksandre08
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Paris n’est pas condamné aux huis clos


La fin de saison du PSG ne se résumera pas à une litanie de matchs sans saveur. Qualifié pour les demi-finales de la Coupe de France, Paris peut même rêver d’un trophée à l’issue de ce nouvel exercice délicat et tendu aussi bien sportivement qu’en coulisses avec la mort d’un de ses supporteurs. La présence de Paris dans le dernier carré suscite toutefois des interrogations, voire des inquiétudes.

« Ça nous préoccupe beaucoup », confie-t-on à la Fédération française de football (FFF). Même son de cloche chez les dirigeants de Quevilly (CFA), qualifié surprise à ce stade de l’épreuve : « Le PSG, on ne veut pas en entendre parler mellow.gif . On souhaite faire une belle fête. Rencontrer le club parisien poserait des problèmes. Il faudrait aller jouer à Caen, alors qu’on veut continuer à Rouen. »
Si le tirage, dimanche, offre un duel entre Paris et le club amateur, le match se déroulera en effet à Caen ou au Havre.
Mais il n’est pas certain, si c’est un autre adversaire, qu’il n’en aille pas de même. « On a prévenu les dirigeants de Quevilly mardi soir, poursuit-on à la FFF. Pour nos partenaires, il nous faut un stade idoine en termes d’infrastructures et de places. Ce n’est pas totalement le cas à Rouen. » Quoi qu’il en soit, des questions se posent après la qualification du PSG.

Que se passera-t-il après le match contre Boulogne ?

Face aux Nordistes, Paris jouera dimanche au Parc, pour le compte de la 30e journée de Ligue 1, son troisième match sans spectateur en huit jours. Programmé depuis plusieurs semaines en raison d’une sanction infligée par la commission de discipline de la Ligue, celui-ci devrait être le dernier à huis clos pour le PSG cette saison. « A moins qu’il n’y ait d’autres incidents d’ici là, prévient Gérard Gachet, porte-parole du ministère de l’Intérieur. Mais cette mesure n’a rien de systématique. Trois matchs dans ces conditions, ça doit faire réfléchir. » Si ceux contre Nice et Boulogne l’ont été sur décision de la commission de discipline de la Ligue, celui à Auxerre procédait de la seule volonté de Brice Hortefeux, le ministre de l’Intérieur. « C’était après le décès de Yann Lorence afin de calmer les esprits », précise Gérard Gachet. Le déplacement du PSG à Auxerre, le 4 avril, en L 1 cette fois, ne devrait donc pas se tenir à huis clos. En revanche, ce sera sans ses supporteurs, comme pour le reste des rencontres du PSG à l’extérieur jusqu’à la fin de la saison. Et avec un dispositif policier très renforcé.

Avec ou sans supporteurs parisiens pour une éventuelle finale ?

Cette interrogation est dans toutes les têtes. Mais un consensus sur ce sujet se dégage. Au PSG, bien sûr, où l’on pourrait décider de vendre les places réservées au club de manière individuelle et sur présentation d’une pièce d’identité. Mais aussi à la FFF : « Ce serait inimaginable qu’une moitié du Stade de France soit vide. » Au ministère de l’Intérieur, on abonde dans ce sens. « On ne peut pas considérer que le Stade de France soit un déplacement pour le PSG, appuie Gérard Gachet. Et ce stade est plutôt bien adapté, même mieux que le Parc sur certains aspects. »


Le Parisien
NumeroStar
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Voyage au bout de l'effroi

Evidemment, après la ferveur de Diochon, l'ambiance de l'Abbé-Deschamps ressemblait à celle d'un terrain communal un dimanche matin de janvier - ou à celle de Louis II, au choix : c'est-à-dire glaciale. Ce huis-clos décidé par Brice Hortefeux est évidemment injuste, mais il est aussi inutile, inefficace et particulièrement électoraliste, ce qui est sans doute le pire (surtout vu le résultat des régionales). Les seuls punis dans l'histoire, ce sont les pauvres supporters auxerrois. Tout ça parce que ceux de Paris sèment la panique partout où ils passent.

Le souci, c'est que c'est encore une décision unilatérale de "politiques" qui ne comprennent rien aux tenants et aux aboutissants du sport de haut niveau. Une façon de faire de l'esbroufe et de la démagogie en donnant l'impression d'avoir fait quelque chose, d'avoir "agi". Et d'ouvrir le parachute bien grand, au cas où... Et si le PSG va en finale - ce qui est largement envisageable désormais - on fait quoi ? On joue la finale au Stade de France à huis-clos ? C'est comme les limitations de vitesse : descendons-les à 0 km/h, il n'y aura plus de tués sur les routes. Alors tant qu'à faire, faisons jouer tous les matchs à huis-clos ou non, mieux encore : supprimons carrément le foot ! Le problème sera réglé... Tout ça, c'est du Mercurochrome sur une jambe de bois...

J'avais prévu de vous parler du match, mais peut-on appeler ça un match ? Jusqu'à l'entrée de Kezman et cette tête sur le poteau, il n'y a quasiment rien eu. Alors je veux bien que les équipes aient pu être perturbées par cet environnement assez particulier mais bon.... Et puis cette séance de tirs-au-but surréaliste, dans un silence total... C'était vraiment "Voyage au bout de l'effroi", ce match. Avec une petite particularité souriante tout de même : je crois bien que c'est le premier péno ou tir-au-but inscrit par Makelele dans toute sa carrière. De mémoire, il en avait raté un avec les Espoirs contre l'Italie à Montpellier et un autre avec Chelsea alors que l'équipe était déjà championne. Cette fois encore, Riou n'était pas loin de la sortir... Sacré Claude.

Côté auxerrois, la pilule était déjà difficile à avaler avec ce match dans un stade vide et cette élimination leur laissera sans doute un goût sacrément amer, d'autant que la main de Jallet en fin de prolongation aurait pu valoir un pénalty. Encore que. Pour moi, il y a charge de Contout sur Edel juste avant, donc l'action aurait dû s'arrêter à ce moment. Pour le coup, les deux erreurs s'annulent. Pour le PSG, cette qualif' est un énorme bol d'air et une occasion inespérée de sauver une saison noire. C'est injuste pour l'AJA mais vu le contexte parisien en ce moment, c'est sans doute mieux comme ça...


Blog Pierre Ménès
NumeroStar
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PSG EXPRESS


25.03.2010, 07h00

Hier. Footing et soins pour les titulaires d’Auxerre. Pour les autres, ateliers puis mini-opposition sur terrain réduit. Deux jeunes du centre (També et Kamghain) ont participé. Coupet s’est entraîné et Luyindula a couru.
Aujourd’hui. Repos et reprise demain à 10 h 30 au camp des Loges.
Infirmerie. Luyindula (genou), Ceará (adducteur droit).

Rendez-vous. PSG - Boulogne, 30ejournée de L 1 (huis clos), dimanche 28 mars à 17 heures au Parc des Princes (Foot +).

Auxerre - PSG, match de la 31e journée de L 1, a été décalé au dimanche 4 avril et sera diffusé à 21 heures sur Canal +.



Le Parisien
11G
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Quand les grands clubs complotent contre la Ligue

Tension maximum au sommet du football français ! Le calendrier des matchs très serré devient insupportable pour les responsables des quatre plus grands clubs du championnat : Bordeaux, Lyon, Marseille et le Paris Saint-Germain, dont les dirigeants se sont réunis discrètement, hier (mercredi) soir, dans un hôtel parisien pour préparer une stratégie face à la Ligue... C'est une indiscrétion RTL signée Christian Ollivier.

Les présidents de Lyon, Bordeaux, Marseille et Paris se sont rencontrés dans le plus grand secret, mercredi soir à Paris, pour remettre en cause l'organisation du football français

Le mécontentement gagne du terrain. Le football français est en état de crise de nerfs et il ne faut fiez pas aux apparences du conflit qui oppose actuellement les dirigeants lyonnais et bordelais sur leurs problèmes de calendrier pour croire que les deux clubs ne sont pas capables de se parler, de se réunir et même de s'entendre sur une stratégie anti-Frédéric Thiriez, président de la ligue du football professionnel.

Mercredi soir, dans un salon de l'hôtel Bristol, palace du 8ème arrondissement de Paris, un diner a rassemblé quatre convives prestigieux. Nicolas de Tavernost, propriétaire des Girondins de Bordeaux. Jean-Michel Aulas président de l'Olympique Lyonnais, Robin Leproux et Jean-Claude Dassier, présidents du Paris St-Germain et de l'Olympique de Marseille. Au menu : les incohérences du calendrier, problème récurrent !

Mais plus largement il s'agit d'une remise en cause de l'organisation du football français : un retour à 18 clubs en championnat, la protection des équipes engagées en Ligue des champions, la mauvaise répartition des droits télé et la représentation minoritaire des grands clubs aux différents conseils d'administration et assemblées générales du football français.

Bref, les sujets de contestation n'ont pas manqué hier soir dans cet hôtel du Faubourg St Honoré. Ce n'était pas un putsch mais le début d'une fronde et surtout l'amorce d'une stratégie pour contester la gestion globale de la Ligue du football français et de son président Frédéric Thiriez.


whynot
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AJA-PSG le 4 avril : ce ne sera pas à huis clos mais...

Le match de championnat le 4 avril entre l'AJA et le PSG aurait pu se tenir à huis clos à l'Abbé-Deschamps, comme celui qui a opposé les deux équipes mardi en quart de finale de la Coupe de France. Ça ne sera pas le cas.

Depuis ce jeudi, l'AJ Auxerre sait que la rencontre de la 31e journée de Ligue 1 (décalée du samedi 3 au dimanche 4 avril) face au Paris Saint-Germain se disputera en présence du public. Mais lequel?


Le club icaunais redoutait que le match ait lieu à huis clos, comme le quart de finale de coupe de France perdu par les Auxerrois mardi face aux mêmes Parisiens. Les dirigeants ajaïstes se sont longuement entretenus avec le préfet de l'Yonne, aujourd'hui. Car si la billetterie sera bel et bien ouverte, il semblerait que tout le monde ne puisse pas acheter de places. Le club devrait imposer certains critères pour limiter au maximum l'intrusion de supporters parisiens dans le stade.


Une nouvelle rencontre entre l'AJA et la préfecture demain après-midi devrait arrêter les modalités de ce dispositif. S'il devrait satisfaire les joueurs et une majorité des supporters, il ne sera cependant pas totalement rentable pour l'AJA.

Sabrina Huard
Journal du Centre
sylvain
L'Equipe.fr

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L'appel à l'unité de Clément


Jérémy Clément sent que le PSG n'aurait pas digéré une élimination en quart de finale de la Coupe. Boulogne débarque dimanche au Parc.


La qualification pour les demi-finales de la Coupe de France a été une véritable bouffée d'oxygène, qui a sauvé la fin de saison parisienne de la morosité, a reconnu vendredi Jérémie Clément, le milieu parisien. «Ce n'est pas évident de se motiver, on est douzièmes, on est assez loin des places européennes, a-t-il lâché en conférence de presse. Si on avait perdu contre Auxerre, franchement, ça aurait été dur de se motiver avec plus rien à jouer».

Les huis clos, «franchement, c'est un peu fatiguant »

Cette qualification pour les demi-finales chasse le vide, en quelque sorte. «Si on étaient passés à côté, la saison aurait été plus longue. Là, on a une demi-finale à jouer c'est important de faire ce qu'il faut en championnat et essayer de revenir à une place plus honorable avant de faire cette demie finale». «Contre Boulogne », a-t-il enchaîné en référence au match de dimanche, «ce sera compliqué ». Le match aura lieu à huis clos, le troisième consécutif.

Les saisons qui se suivent et se ressemblent. «Oui, franchement, c'est un peu fatiguant » reconnaît Clément. Il veut croire que les joueurs de l'effectif peuvent encore penser à autre chose que leur avenir personnel. «Le piège, prévient Clément, ce serait de ne pas penser au groupe. Les cas personnels viendront plus tard. La saison se termine tôt, le 15 mai. Chacun aura le temps de penser à soi ». Ou le 13 avril, si le PSG chute en demi. - Ch. M. au Camp des Loges
Baghib!
Les articles du jour du Parisien :

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LIGUE 1/PSG-BOULOGNE J - 1

Paris déjà tourné vers l’avenir


L’effectif parisien de la saison prochaine se prépare activement. Alain Roche, le responsable du recrutement, prospecte actuellement au Brésil. Eric Pécout, un de ses adjoints, était en Argentine il y a une quinzaine de jours.
D’autres dossiers sont à l’étude en France et en Europe. Le club a ciblé trois postes prioritaires : un défenseur axial coté droit expérimenté, un milieu gauche offensif qui pourrait être Nenê et un milieu défensif au profil de relayeur.
Même si l’enveloppe budgétaire pour le recrutement n’est pas encore connue elle dépendra aussi du déficit de fin de saison , les recruteurs parisiens font comme s’ils allaient disposer d’une manne comprise entre 6 M € et 10 M€ par poste…

CEUX QUI POURRAIENT PARTIR

Clément Chantôme. Extrêmement déçu par son faible temps de jeu, parfois dubitatif devant les choix de son entraîneur, le jeune milieu veut quitter son club formateur pour d’autres cieux. A Monaco, par exemple, Guy Lacombe le tient en haute estime. Toulouse l’apprécie toujours.

Ludovic Giuly. Après un automne délicat, il est revenu à un bon niveau. Il se plaît à Paris, mais si, à un an de la fin de son contrat, une offre intéressante lui parvient, il pourrait s’en aller. Et le PSG le laisserait partir.

Mateja Kezman. Comme cet été puis cet hiver, Paris souhaite que le Serbe, avec ses 250 000 € mensuels, quitte le club.

Sylvain Armand. Outre sa saison globalement décevante, le vice-capitaine est lassé de vivre des années compliquées. Il souhaite s’en aller. Le PSG ne le retiendrait pas contre 2 M€ ou 3 M€ d’indemnité de transfert et cherche déjà des solutions de remplacement. L’international ivoirien de Valenciennes, Saka Tiéné, pourrait débarquer cet été.

Jérôme Rothen. Complètement perdu en Turquie du côté d’Ankara, il est encore sous contrat avec le PSG jusqu’en 2011. Mais personne au club ne souhaite le voir porter à nouveau le maillot parisien.

CEUX QUI DEVRAIENT RESTER

Mevlut Erding et Guillaume Hoarau. Paris croit énormément en la complémentarité de son duo offensif et souhaite garder les deux hommes.

Christophe Jallet et Marcos Ceará. L’ex-Lorientais a été la bonne surprise de la saison en étalant une grosse combativité et en distillant des passes décisives. Le Brésilien a également réalisé une saison correcte. Le club compte sur ses deux latéraux.

Mamadou Sakho. Pour les décideurs parisiens, c’est le joueur à conserver absolument. Malgré quelques imperfections dans son jeu, sa marge de progression est énorme.

Stéphane Sessegnon. S’il doit rester, ce n’est pas en raison de ses prestations cette saison où il a manqué de justesse dans le jeu et souvent de sang-froid. Mais le PSG refusera de le céder à moins de 15 M €. Une somme presque surréaliste au vu de ce qu’a montré le Béninois cette saison.
leparisien.fr

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DÉLINQUANCE.

Enquête sur les supporteurs violents du football

Alors que les obsèques du supporteur du PSG tué ont lieu ce matin, la police craint des affrontements dans la capitale à l’occasion de la finale de la Coupe de la Ligue.


Deux événements se télescopent aujourd’hui. Comme un symbole du climat dans lequel baigne le football français. Ce matin à 10 heures ont lieu les obsèques de Yann Lorence, habitué de la tribune Boulogne du PSG, tabassé à mort le 28 février dernier par des supporteurs de la tribune d’en face, celle d’Auteuil. Plus tard dans la soirée, au Stade de France, se jouera la finale de la Coupe de la Ligue, OM - Bordeaux.

Une affiche alléchante sur le plan sportif mais inquiétante en termes de sécurité.

Appel à la raison

La venue de dizaines de milliers de fans du club marseillais à Paris pose en effet un sérieux problème. Le dispositif policier devrait être à la mesure des risques, les autorités craignant des affrontements. Que ce soit autour du Stade de France à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) ou dans la capitale, près de 2 000 policiers seront mobilisés, c’est-à-dire dix fois plus que la semaine dernière pour encadrer le match de rugby entre la France et l’Angleterre.
Dans cette ambiance lourde, « le Parisien » et « Aujourd’hui en France » ont réuni deux supporteurs du PSG. Des ultras. Deux hommes qui soutiennent le même club, mais depuis deux tribunes qui se font face au sens propre comme au sens figuré. Leur antagonisme résonne encore plus fort après la mort de Yann Lorence. Beaucoup espèrent que le choc de son décès entraînera une prise de conscience collective.
Me Thierry Marembert, avocat de la famille de Yann Lorence, joint hier, appelle lui aussi à la raison : « Mes clients souhaitent enterrer leur fils dans la plus stricte intimité. Ils souhaitent simplement appeler au calme les supporteurs des deux camps. » Le message est clair. Mais personne ne peut parier ce matin qu’il sera entendu. La venue à Paris de « l’ennemi marseillais » peut raviver une haine ancestrale et fédérer ceux qui au PSG se sont violemment battus le 28 février dernier. « Tout cela paraît irrationnel, lâche un haut responsable policier. Et malheureusement, c’est irrationnel. »
leparisien.fr

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Les obsèques de Yann, supporteur du PSG, ont lieu ce matin

Ce matin à 10 heures ont lieu les obsèques de Yann Lorence, le supporteur du PSG décédé le 28 février dernier. Cet habitué de la tribune Boulogne du Parc des Princes avait été tabassé à mort par des supporteurs de la tribune d'en face, celle d'Auteuil.

La cérémonie intervient dans un climat d'extrème tension entre supporteurs du club de la capitale. Autre inquiétude des autorités, la finale de la Coupe de la Ligue ce soir entre Marseille et Bordeaux. Des milliers de supporteurs phocéens sont attendus à Saint-Denis avec crainte.
leparisien.fr
Titi'
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Le face-à-face de deux ultras du Parc des Princes
ANNE-CÉCILE JUILLET | 27.03.2010, 07h00

L’un est né à Paris, l’autre en Seine-Saint-Denis. Malgré presque quinze ans d’écart, ils nourrissent la même passion, le PSG, et vibrent à l’unisson au gré du classement de leur club, vrai baromètre de leurs vies. Mais chacun de son côté. Eric*, dans le virage Boulogne. Jérôme*, en face, côté Auteuil.
Deux tribunes opposées, deux mentalités différentes. Frères ennemis au Parc, mais copains dans la vie, ils ont accepté pour « le Parisien » et « Aujourd’hui en France » de revenir ensemble sur la mort de Yann Lorence, 37 ans, sur la violence au Parc des Princes et leur vie de supporteur « à 3 000 % ».

Ce que signifie être ultra

JÉRÔME (Auteuil) : « Pour moi, le PSG, c’est une passion, une religion, un mode de vie ! Je vis PSG, je dors PSG, je bouffe PSG. Ma prochaine copine, faudra qu’elle fasse avec ! Un match, ça commence avec les copains autour de quelques pintes, puis on va au Parc, et là c’est un autre monde, avec les chants, les tifos (NDLR : banderoles géantes), l’ambiance. C’est unique ce qu’on y ressent. Le lendemain d’une victoire, c’est beaucoup plus facile d’aller bosser… »

ÉRIC (Boulogne) : « Un ultra, il a le sang chaud, il se défend si on l’attaque, mais il vient avant tout au stade pour soutenir son club. Un hooligan, il ne vient au stade que pour la baston. Le Parc, c’est un exutoire pour beaucoup, comme si on laissait son cerveau dans la voiture… Chaque virage a son look, ses marques de vêtements fétiches. Et ça continue dehors : sur nos lieux de vacances ou sur les aires d’autoroutes, on sticke et on contre-sticke.
C’est-à-dire qu’on recouvre les autocollants des autres clubs ou des autres virages, on se fait recouvrir les nôtres… C’est sans fin ! On marque notre territoire. »

Auteuil contre Boulogne

JÉRÔME (Auteuil) : « La différence, elle est politique. Le kop Boulogne est composé à 99 % de Blancs. Les ultras de Boulogne sont nationalistes, voire carrément fachos. Leurs slogans, c’est la France est blanche, la France aux Français… Auteuil est, au départ, apolitique, voire à gauche. Aujourd’hui, il y a de plus en plus de mecs d’extrême gauche, des pro-Besancenot. Il y a aussi de plus en plus de petits jeunes des cités qui veulent faire parler d’eux. Ils ont apporté une autre mentalité, ils provoquent. Ils n’ont peur de rien. »

ÉRIC (Boulogne) : « Quand on voit une banderole Blacks Blancs Beurs, la France, on l’enc… déployée virage Auteuil, on peut pas laisser faire. On défend notre ville, notre club, mais aussi notre drapeau et notre pays. Le problème, c’est que les nouveaux petits gars d’Auteuil se croient au Parc comme dans leurs cités, ils jouent les caïds et veulent prendre le contrôle du Parc. Mais ça, à mon avis, ça ne se passera jamais. »

La violence des supporteurs


JÉRÔME (Auteuil) : « J’ai honte que ce soit des gars de chez moi qui aient tué Yann. Ils n’ont plus rien à faire au Parc. Je n’aime pas la baston pour la baston, mais si on attaque mon virage, je le défends. Ce soir-là, je me suis battu moi aussi. Je me suis pris un coup de matraque de la part d’un flic. J’en ai assez de cette violence, parce qu’on tue le club à petit feu avec nos histoires. On l’enfonce plus qu’on ne l’encourage à remonter la pente, alors qu’il en a besoin. »

ÉRIC (Boulogne) : « Ce soir-là, les gars de chez nous ont chargé Auteuil à cause d’une banderole insultante déployée quelques semaines plus tôt. Le problème, c’est que les racailles d’Auteuil n’ont pas respecté le code d’honneur selon lequel on ne frappe pas un homme à terre. Même les gars les plus violents de Boulogne n’auraient jamais lynché un mec, quel qu’il soit, comme ça, à plusieurs contre un. Ce qui est certain, c’est qu’il y aura une vengeance et qu’elle sera terrible. »

L’Olympique de Marseille

JÉRÔME (Auteuil) : « C’est l’ennemi héréditaire, et PSG - OM, c’est LE match de l’année, le seul à ne pas manquer. A la limite, il n’y a que contre un Marseillais que je pourrais aller chercher la bagarre. Samedi soir (NDLR : ce soir), je suis à 2 000 % pour Bordeaux ! »

ÉRIC (Boulogne) : « Je suis persuadé que si, le 28 février, les supporteurs marseillais étaient montés à Paris au lieu de boycotter le match, Yann ne serait pas mort. Auteuil et Boulogne se seraient unis contre eux comme on s’était unis contre Twente (NDLR : en décembre 2008, un supporteur de ce club néerlandais a été grièvement blessé à coups de hachette lors d’affrontements à Paris avant le match contre le PSG pour la Coupe de l’UEFA). Quand deux supporteurs marseillais s’étaient tués dans un accident de bus en rentrant d’un match, le monde des ultras, quel que soit le club, s’était montré solidaire. Ennemis dans la vie, unis dans la douleur. »

* Les prénoms ont été changés.


sylvain
Le Parisien

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Kombouaré : « Kezman pointe à nouveau le bout de son nez »


Luyindula et Ceara blessés, Coupet en phase de reprise... C'est donc un groupe sans surprise qu'Antoine Kombouaré a convoqué pour la réception de Boulogne, dimanche (17h), à huis clos au Parc des Princes. Concernant Grégory Coupet, qui espère être de retour pour le déplacement à Saint-Etienne, le 17 avril prochain, Antoine Kombouaré a déclaré, samedi lors de son point presse d'avant-match : « Il s'entraîne, ça évolue bien.
Maintenant on attend le feu vert médical. Il a commencé à reprendre le travail avec le groupe mais il faut du temps [...] Il n'a pas encore de très bonnes sensations. Ca va bien, ça va mieux, mais il n'est pas encore prêt ».

Kombouaré : Kezman est «revenu dans les petits papiers...»

Au coup d'envoi dimanche contre Boulogne, la seule surprise pourrait venir de l'attaque et de Mateja Kezman. De l'aveu même de l'entraîneur parisien, l'attaquant serbe « est revenu dans les petits papiers. Il fait des bonnes séances, il est volontaire et il pointe à nouveau le bout de son nez. Après... C'est la capacité qu'il aura à être efficace. Mais c'est vrai qu'à Auxerre, à son entrée, il a deux très belles occasions ». De quoi en faire un titulaire dimanche contre Boulogne-sur-Mer ? Antoine Kombouaré élude dans un sourire: « Moi-même je ne sais... ».


Le groupe parisien pour Boulogne :

Gardiens : Edel, Grondin.
Défenseurs : Armand, Camara, Jallet, Sakho, Traoré.
Milieux de terrain : Chantôme, Clément, Giuly, Makelele, Sankharé, Sessegnon, Ngoyi.
Attaquants : Erding, Hoarau, Kezman, Maurice.
sylvain
Le Parisien

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Mateja Kezman : « Si je dois partir, ce sera la tête haute »


Sans doute encore remplaçant ce soir face à Boulogne, pour le troisième match d’affilée à huis clos du PSG, Mateja Kezman refuse de renoncer. A 30 ans, l’attaquant serbe, qui a repeint sa voiture en rouge pour « qu’elle soit plus flashy et m’apporte un peu de joie », croit encore pouvoir s’imposer à Paris.

Vous n’avez jamais été titulaire cette saison. Pensez-vous que le PSG vous offrira cette chance ?
Mateja Kezman. Je montre beaucoup de détermination mais c’est difficile pour moi.
Je vais continuer à travailler dur et j’aimerais que les choses changent. J’espérais vraiment être titulaire à Nice et j’ai été très déçu. Après, ce sont les choix du coach, mais ça m’a fait mal.

Selon vous, votre statut de remplaçant n’est pas mérité.
Etant donné la condition dans laquelle je me trouve actuellement, je pourrais apporter beaucoup à l’équipe. C’est dommage. Depuis que je suis ici, je n’ai jamais vraiment eu la chance de montrer ce que je pouvais faire. Certains joueurs, que je respecte, ont eu plus d’opportunités… (Silence.) C’est le football.

Espérez-vous jouer davantage grâce à votre regain de forme ?
Il reste pas mal de matchs dont la coupe de France. Plusieurs joueurs sont fatigués, d’autres un peu blessés. Mevlut a un genou douloureux depuis pas mal de mois. Certains ont besoin de repos et d’autres de jouer plus. Ce dimanche (aujourd’hui), j’espère jouer quelques minutes et peut-être encore un peu plus la semaine suivante. Avec la réception de Bordeaux et la demi-finale, on jouera deux matchs en quatre jours… Je pense donner confiance à mes partenaires en ce moment. C’est dommage que l’équipe ne m’utilise pas plus.

Il vous reste encore un an au PSG. Comment envisagez-vous votre avenir ?
Ce n’est pas le moment d’aborder mon avenir. Ce serait égoïste, et le club n’a pas besoin de cela. J’ai deux mois pour donner le meilleur. Je sais que le club voudra encore me céder cet été. C’est comme ça. C’est difficile de comprendre pourquoi car on ne m’a jamais donné ma chance. J’adore le PSG. J’aimerais prouver que je peux y jouer. Si je dois partir, ce sera la tête haute et pourquoi pas après un succès en Coupe de France. Ce serait un rêve.

Pensez-vous disputer la Coupe du monde avec la Serbie ?
Ce sera dur. En ce moment, je n’y crois pas trop car je ne joue pas assez. Mais sait-on jamais… Je serai supporteur de la Serbie quoi qu’il arrive.

PSG - BOULOGNE 17 heures, au Parc des Princes
Arbitre : M. Ennjimi.
PSG : Edel - Jallet, Camara, Sakho, Armand - Sessegnon, Makelele (cap.), Clément, Chantôme - Hoarau, Erding (ou Kezman). Entr : A. Kombouaré.
Boulogne : Bédénik - Lecointe, Bellaïd, Soumaré, Dembelé - Agouazi, Marcq (cap), Da Rocha (ou Ducatel) - Kapo, Yatabaré (ou Thil), Cuvillier. Entr : L. Guyot.


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Les salariés du PSG s’inquiètent



Le comité d’entreprise du PSG projetait vendredi de publier un communiqué en début de semaine. Par cette démarche peu commune, des salariés du club parisien veulent faire entendre leur voix et témoigner de l’inquiétude au coeur d’une période où le PSG et ses supporteurs sont dans la tourmente.
« Le Parisien »-« Aujourd’hui en France » s’est procuré une mouture du document.
Assez long dans un premier temps puis réduit, ce courrier est critique envers les pouvoirs publics et la classe politique : « Il est étonnant et regrettable que (les) déclarations et les décisions stériles (NDLR : concernant le PSG) soient prises depuis des années par ceux-là même qui devraient agir et qui se contentent d’adopter des postures d’indignation et de lancer de vains anathèmes… »
Ces salariés du PSG, inquiets pour leurs emplois, s’en prennent aussi aux instances sportives. « A tous ceux qui imaginent que le règlement de la situation ne passera que par des amendes au club, des huis clos voire la radiation, nous voulons rappeler que le PSG est une entreprise de 200 salariés qui fait vivre plus de 1 000 personnes à chaque match, peut-on lire. Ces décisions affectent la pérennité de l’emploi… »

Le club n’a pas souhaité faire de commentaire

José Moury, secrétaire général du CE et directeur adjoint du service marketing, justifie cette démarche : « Nous voulons rappeler que le PSG est une entreprise avec des salariés et que les gens qui s’expriment sur le club devraient être plus mesurés et ne pas parler de radiation. » Le président Leproux devrait prendre connaissance du texte définitif du CE demain lors d’un entretien avec José Moury. En attendant cette rencontre, le club n’a pas souhaité faire de commentaire.


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LA QUESTION DE LA SEMAINE



Le parcours du PSG en championnat vous intéresse-t-il encore ?
OUI : 39 %
NON : 61 %
3 986 internautes ont voté


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300 spectateurs pour un huis clos


Un match à huis clos ne se dispute pas réellement dans un stade désert. Cet après-midi, près de trois cents personnes assisteront à la rencontre PSG - Boulogne. Et ce, malgré des règles d’accès très strictes qui sont définies par l’article 359 du règlement des compétitions de la Ligue de football professionnel (LFP).

Pour assurer le compte rendu du match, une centaine de journalistes, dont vingt photographes, sont attendus. Il faut y ajouter une cinquantaine de techniciens chargés de la retransmission télé du match sur Foot +. Une cinquantaine de personnes prendront aussi place dans la tribune présidentielle. Outre les officiels, possesseurs d’une carte passe-partout de la Fédération française (au PSG, seuls Robin Leproux et Simon Tahar le président de l’association en ont une), chaque club a droit à vingt invités. Boulogne n’en a demandé que seize. Côté parisien, on a convié Sébastien Bazin et la plupart des 13 autres membres du conseil de surveillance. La liste a été préalablement soumise à la commission d’organisation des compétitions de la Ligue. Près de 70 personnes sont en outre mobilisées pour assurer le contrôle et la sécurité à l’intérieur du Parc. Enfin, dix ramasseurs de balle, issus de l’association PSG, seront au bord de la pelouse. Tout le monde devra conserver un comportement impeccable : en cas de non-respect des règles imposées par la Ligue pour un huis clos, le match est en effet déclaré perdu pour le club fautif.


L'Equipe.fr

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Qui veut signer au PSG ?

En dépit des mauvais résultats et de l'attitude d'une partie de ses supporters, la popularité du PSG auprès des joueurs demeure. Ces dernières semaines, Sidney Govou (Lyon), Kevin Gameiro (Lorient), Johan Audel (Valenciennes), Armand Traoré (Arsenal) ont déclaré que ce club les attirait. Alors, le PSG fait-il toujours rêver ? A l'occasion de PSG-Boulogne ce soir, L'Equipe a interrogé joueurs, entraîneurs et agents et a ouvert le dossier.

« A l'étranger, les clubs nous connaissent très peu. Lyon, Marseille et Bordeaux qui disputent la Ligue des Champions sont passés devant. Récemment, je discutais avec un dirigeant d'un club turc. Il ne savait pas ce qu'on faisait... » témoigne Eric Pécout, recruteur du PSG. Si à l'étranger, le club ne semble pas très emblématique de la capitale, le PSG jouit toujours d'un immense pouvoir de séduction sur les professionnels français. Et pas seulement en raison de sa politique salariale (« Les salaires versés aux joueurs parisiens sont énormes. Même ceux qui ne sont pas exceptionnels sont bien payés », relève Mickäel Manuello, qui gère entre autres les intérêts de Jérémy Toulalan). Il y a aussi le Parc des Princes, enceinte mythique considérée par beaucoup comme la plus belle de l'Hexagone, et surtout la vie parisienne. Paris sera toujours Paris.

A lire dans L'Equipe de ce dimanche


France Football

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PSG : Sortir du silence


Si le PSG s'est qualifié de justesse pour les demi-finales de la Coupe de France (0-0 a.p., 6 tab à 5), Boulogne, pour sa part, a été éliminé sans gloire par les amateurs de Quevilly (1-3). Face à une équipe relégable, encore plus en difficulté que lui, le PSG parviendra-t-il à réagir dans le huis clos du Parc des Princes ? Réponse dimanche (17h)...


Les enjeux
Pour Boulogne, l'enjeu est simple : gagner pour conserver un mince espoir de se maintenir en Ligue 1 la saison prochaine. Les hommes de Laurent Guyot sont actuellement dix-huitièmes, à six points du premier non relégable, Saint-Etienne. Quant au Paris-SG, il n'aspire plus qu'à sauver l'honneur en cette fin de Championnat. Pour ce troisième (et dernier ?) match à huis clos, les Parisiens peuvent se rapprocher du maintien et surtout se rassurer face à une équipe à leur portée, avant deux gros matches, à Auxerre et face à Bordeaux.


L'état de forme
Pour les deux équipes, le moral est au plus bas. Le PSG part cependant avec un avantage psychologique, puisque lui s'est qualifié pour les demi-finales de la Coupe de France, aux dépens d'Auxerre, même s'il a fallu pour cela aller jusqu'aux tirs au but après un match des plus ennuyeux (0-0, 6 tab. à 5). Boulogne, en revanche, s'est fait sortir par Quevilly, club de CFA (1-3), déclenchant la fureur du président nordiste Jacques Wattez. En Championnat, les Parisiens, en proie à de grandes difficultés sur et en dehors du terrain, n'arrivent pas à enchaîner les résultats. Boulogne, en revanche, reste sur trois matches sans défaite (un nul et deux victoires).


Les précédentes confrontations
C'est la première fois que Boulogne-sur-Mer se déplace au Parc des Princes. Au match aller, les Parisiens l'avaient largement emporté (5-2) au stade de la Libération, grâce notamment à un doublé d'Erding. Chose inhabituelle pour le PSG, les cinq buts ont été inscrits dans la dernière demi-heure de jeu.


Le match dans le match : Makelele vs. Marcq
Le capitaine et doyen du PSG, Claude Makelele (37 ans), en petite forme lors des derniers matches, a repris confiance en inscrivant le tir au but de la victoire face à Auxerre. En face, il devra se méfier de son homologue boulonnais, Damien Marcq, buteur lui aussi en Coupe contre Quevilly. Le jeune défenseur (21 ans), formé au club nordiste, est actuellement le meilleur Boulonnais au classement des Etoiles, avec 5,48 de moyenne. C.T.
sylvain
L'Equipe


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Ils en rêvent toujours

Les mauvais résultats et la violence de certains supporters n'altèrent pas la popularité du PSG auprès des joueurs... français.

"Malgré les mauvais résultats et les voyous qui donnent une mauvaise image du club, le PSG fait encore rêver." La théorie avancée et défendue par Antoine Kombouaré, l'entraineur parisien, ne serait pas totalement exacte. Sorti de l'hexagone, le club de la capitale semble laisser indifférent les joueurs. « A l'étranger, les clubs nous connaissent très peu. Lyon, Marseille et Bordeaux qui disputent la Ligue des Champions sont passés devant", témoigne Eric Pécout, recruteur du PSG. "Pour les étrangers, il y a une véritable différence entre le PSG et Paris, analyse Paul Tavares, intermédiaire actif au Brésil et au Portugal. La ville séduira toujours; le club beaucoup moins." Une pensée atténuée par l'expérience et le propos de Mevlut Erding, l'attaquant international turc du Paris-SG. "Quand je suis en sélection, les mecs n'arrêtent pas de me parler du club. Notamment Kazim qui évolue à Toulouse."

Fait indéniable, en revanche, le PSG jouit toujours d'un immense pouvoir de séduction auprès des professionnels français. Et cela malgré les mauvais résultats du club et la violence de certains supporters. Ces dernières semaines, Sidney Govou (Lyon), Kévin Gameiro (Lorient), Johan Audel (Valenciennes) ou Armand Traoré (Arsenal) ont déclaré que le club les attirait.

"Cela me rappelle ma jeunesse, sourit Pécout, champion de France avec Nantes (1977, 1980) et Monaco (1982). Quand j'étais pro, c'était déjà le cas. Même quand Paris faisait une mauvaise saison, on rêvait de rejoindre ce club. C'est le club de Paris. C'est énorme."

Bernès: "Un énorme gâchis"

A la tête d'une impressionnante écurie de joueurs et d'entraineurs, Jean-Pierre Bernès approuve: "Paris, c'est Paris. Ce club fait toujours envie, même aux grands joueurs. Prenez l'exemple de Claude Makélélé. Sa venue (en 2008) n'est pas anodine." D'autres l'ont suivi comme Ludovic Giuly la même année, et Grégory Coupet, l'été dernier.

Les raisons de cet engouement divergent. Il y a d'abord le Parc des Princes, enceinte considérée par beaucoup comme la plus belle de France. "J'ai déjeuné jeudi avec un joueur, raconte Franck Belhassen, agent. Il m'a beaucoup parlé de ce stade, de l'ambiance. Beaucoup de professionnels l'adorent." Comme ils apprécient aussi la vie parisienne. "Paris est l'une des plus belles villes du monde, très touristique, rapporte Jean-Pierre Bernès. Les joueurs aiment cette ville. Je le sais." "Le côté vie nocturne ne compte pas pour eux, assure Belhassen. A part les soirs de match, vous voyez beaucoup de joueurs parisiens sortir tard le soir en semaine?"

Le Parc des Princes, la ville, c'est bien beau pour attirer les recrues, mais insuffisant... Le Paris-SG possède un autre atout non négligeable: sa politique salariale. La L1 est un petit monde. Tout se sait. "C'est indéniable, analyse Mickael Manuello, qui gère entre autre les intérêts de Jérémy Toulalan. Les salaires versés aux joueurs parisiens sont énormes. Même ceux qui ne sont pas exceptionnels sont bien payés. Et c'est un club qui revalorise régulièrement les émoluments." "La politique salariale est un atout, reconnait Franck Belhassen, mais ça ne va peut être pas durer." " Le Paris-SG, c'est un énorme gâchis quand on voit la place qu'il tient dans le coeur des joueurs", regrette Jean-Pierre Bernés.

Guilaume Dufy
NeiBaF
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Kezman titulaire

Mateja Kezman, qui a disputé seulement 69 minutes en six apparitions avec le Paris-SG, cette saison en L1, va connaître dans le huis clos du Parc des Princes sa première titularisation depuis son retour de prêt de Saint-Petersburg, contre Boulogne-sur-Mer à 17 heures. L'attaquant serbe remplace poste pour poste Mevlut Erding, placé sur le banc des remplaçants, dans une équipe parisienne par ailleurs sans surprise, en 4-4-2, où Traoré a été préféré à Sakho en défense centrale. Côté boulonnais, Laurent Guyot a renforcé sa défense avec Dembélé et Soumaré. En pointe, Yatabaré a été préféré à Moussilou. Kapo est bien titulaire quatre jours après avoir renoncé au quart de finale de la Coupe de France contre Queuvilly.

Les équipes :
PARIS-SG : Edel - Jallet, Z. Camara, S. Traoré, Armand - Giuly, Makelele, Clément, Sessegnon - Hoarau, Kezman.
BOULOGNE-SUR-MER : Bédénik - Levêque, Soumaré, Bellaïd, Dembélé, Lecointe - Marcq, Agouazi, Kapo - Cuvillier, M. Yatabaré.

NeiBaF
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Quevilly recevra le PSG

Le tirage au sort des demi-finales de la Coupe de France, effectué dimanche, a offert une affiche Monaco-Lens. Le Petit Poucet Quevilly (CFA) recevra lui le Paris Saint-Germain. Les matches auront lieu les 13 et 14 avril prochain.


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Le PSG, bien chez lui, au calme

Pour son troisième (et dernier ?) match à huis clos, le PSG n'a pas eu besoin de forcer son talent contre un Boulogne-sur-mer inexistant (3-0).


Le PSG n'a pas pu partager sa joie avec grand monde, mais il a connu dimanche, dans le huis clos du Parc des princes, une soirée comme il aurait aimé en vivre d'autres cette saison : sans histoire, bien maîtrisée sur le terrain. Boulogne-sur-Mer, son adversaire, n'a jamais eu l'entrain d'une équipe qui joue sa survie dans la capitale (3-0). Il ne lui a pas fallu plus qu'une demi-heure pour se liquéfier sous la pression de cette 30e journée. Le temps d'encaisser un but à la 26e minute sur un ''csc'' de Lecointe après un tir de Sessègnon, puis de terminer le match à dix suite à l'expulsion de Soumaré (29e). Le défenseur, après avoir perdu un ballon bêtement devant Hoarau, a directement regagné le vestiaire pour avoir grossièrement retenu le longiligne attaquant qui filait au but.

Paris aime exploser les petits

L'ex-Havrais est celui qui a doublé le score à la 35e sur penalty, et ainsi vidé le match de tout suspense. Le petit événement de la feuille de match, la première titularisation de Kezman cette saison, s'est matérialisé à la 80e par un but du Serbe. C'est lui qui avait provoqué le penalty en première période. A une semaine d'un nouveau déplacement à Auxerre, avec cette fois du monde dans les tribunes (31e journée), le PSG a montré une nouvelle fois qu'il ne craignait pas le Parc sans la pression malsaine de virages rivaux. Lors de sa précédente apparition, il avait battu Sochaux (4-1) dans une ambiance confidentielle. Dans sa si décevante saison, Paris a au moins confirmé qu'il aimait planter des buts aux mal classés. Ses références cette saison sont un 5-2 à Boulogne, un 4-0 contre Grenoble, un 4-1 à Sochaux et un 3-1 face au Mans.

Et le PSG est... onzième

La partie s'est aussi caractérisée par des signes de mauvaise humeur. Celle, très perceptible, de Kapo à sa sortie du terrain pour permettre la rentrée de Perrinelle après l'expulsion de Soumaré. L'ex-Auxerrois, aux efforts visiblement calculés, est rentré au vestiaire sans passer par la case banc de touche. Giuly a lui aussi fait comprendre que son remplacement par Maurice (62e) l'agaçait prodigieusement. Les conséquences au classement sont anecdotiques. Le Paris-SG remonte à la onzième place.



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Le PSG sans forcer

Paris a dominé une faible équipe de Boulogne-sur-Mer (3-0) au terme d'une rencontre disputée à huis clos. Une première au Parc des Princes depuis le 26 février 2005 et un match contre Bastia. Au classement, les Parisiens gagnent une place et sont onzièmes.

C'était un match sans enjeu pour Paris, sans public donc sans ferveur. C'était aussi un match sans véritable adversaire tant Boulogne-sur-Mer a semblé emprunté et inoffensif.
Dans cette ambiance habituellement propre aux matchs d'entraînement ou amicaux, Mateja Kezman, titularisé pour la première fois de la saison, n'a finalement pas dû être dépaysé.

Antoine Kombouaré l'avait dit : il a aimé la rentré en jeu du Serbe mardi soir à Auxerre. La prestation de l'attaquant parisien, dimanche après-midi au Parc, n'a dû faire que confirmer cette impression. Car Kezman, en disgrâce en début d'année, avait logiquement faim et cela s'est vu, notamment en début de rencontre. D'entrée, il alerte Hoarau, qui manque sa tête (3e), avant que son centre tir à destination de l'ancien Havrais ne soit un poil trop long (11e). Hoarau, peu en réussite en début de match, se rate ensuite sur un bon centre en retrait de Sessegnon (13e).

Kezman buteur

Le PSG prend finalement l'avantage sur une accélération de Giuly qui prend Levêque de vitesse et centre en retrait pour Sessegnon. La frappe du Béninois, déviée par Lecointe, termine sa course dans les filets boulonnais (27e). La série de bourdes ne fait que commencer. Dans la foulée, Soumaré hérite d'un carton rouge logique pour une faute sur Hoarau qui partait seul au but (29e). En infériorité numérique, Boulogne va rapidement céder une deuxième fois. Hoarau remise de la tête pour Kezman qui crochète Perrinelle. Le défenseur de l'USBCO, entré à la place de Soumaré, accroche le Parisien et provoque un penalty transformé par Guillaume Hoarau (34e). Voilà comment, en moins de dix minutes, le PSG a plié le match.

Dans un Parc des Princes quasiment vide et, du coup, presque impressionnant, la deuxième période reprend sur le même modèle que la première. Paris domine sans forcer mais sans se montrer véritablement dangereux. Seule occasion nette : une frappe manquée de Giuly pourtant en position idéale (59e). Ensuite, rien ou si peu jusqu'à la 80e minute et ce débordement de Chantôme qui trouve Kezman au premier poteau pour le troisième but parisien.

Dimanche après-midi, Boulogne, qui restait pourtant sur deux victoires et un nul en championnat, a plus présenté le visage d'un relégué que d'une équipe qui va se maintenir. Il faut dire qu'entre temps, les amateurs de Quevilly (CFA) et la Coupe de France étaient passés par là pour mettre un coup de massue sur les Nordistes (3-1). La Coupe et Quevilly, c'est justement ce qui attend le PSG, en demi-finale le 13 ou 14 avril prochain. Cette fois, l'enjeu sera tout autre et, il faut l'espérer, le stade plein.

NumeroStar
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Réagissant au tirage au sort des demi-finales de la Coupe de France, le président de Quevilly, qui verra son équipe recevoir le Paris Saint-Germain, a clairement affirmé qu’il souhaitait que le stade ait lieu à Robert-Diochon. Pour des raisons de sécurité, une délocalisation à Caen est envisagée par la FFF.

« Pour nous, il n’y a aucune ambiguïté, on jouera à Diochon, ou on ne jouera pas (rire) Il faut revenir à la fête, la Coupe de France doit se dérouler dans des stades pleins. Regardez ce qui s’est passé à Auxerre. Infliger une punition au public, aux joueurs et à toute une région, qui plus est quand comme nous, on est amateur, et que les occasions sont rares de jouer des grands matches et de remplir, cela doit inciter les pouvoirs publics à prendre leurs responsabilités (...) Le stade de Caen fait 22.000 places, mais ce n’est pas une histoire d’argent. On veut continuer la fête avec notre public, ce stade nous porte chance car on y jouera notre quatrième match en Coupe, on y a battu Guingamp par le passé, Rennes et Boulogne cette saison. Il faut que tout le monde s’en mêle pour que ce soit le cas », a prévenu Michel Mallet, président de l’US Quevilly.


Hari
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Le PSG tourne la page des huis clos par un succès

Les Parisiens se sont facilement imposés pour leur troisième et normalement dernière rencontre de suite disputée à huis clos.


C’est le bon côté de la punition. En huit jours, le club parisien a disputé trois matchs à huis clos avec, in fine, un bilan sportif plutôt positif : défaite à Nice (1-0) samedi dernier, qualification pour les demi-finales de la Coupe de France acquise aux tirs au but mardi à Auxerre (0-0 a.p.) et net succès contre Boulogne (3-0) en L 1 hier soir au Parc des Princes.

Compte tenu de la fragilité évidente de l’adversaire nordiste et de l’étrange ambiance dans laquelle la rencontre s’est déroulée, aucun triomphalisme n’a envahi le vestiaire parisien après le match. Il a plutôt flotté un sentiment de devoir accompli : « On a fait le métier », affirment en choeur Sammy Traoré et Antoine Kombouaré. « C’est une satisfaction d’avoir inscrit trois buts sans en encaisser, poursuit l’entraîneur. On compte maintenant 40 points. C’est bien avant d’aborder Auxerre. »

Dimanche prochain, les coéquipiers de Makelele, désormais 11es au classement, se déplaceront à nouveau dans l’Yonne où, cette fois, les tribunes seront garnies. Mais avant cela, les Parisiens vont goûter à deux jours de repos. Ils ne se plongeront qu’à partir de mercredi dans la préparation de cette 31e journée de L 1. Le PSG doit s’attendre à une opposition plus coriace que celle proposée par Boulogne-sur-Mer. Hier, l’expulsion du Boulonnais Soumaré cent vingt secondes après un premier but chanceux a rendu la tâche aisée aux joueurs du PSG. Avec le penalty obtenu dans la foulée par Kezman et transformé par Hoarau, la messe était dite.

Déjà la tête à Quevilly


Même si la L 1 revêt encore un intérêt financier non négligeable pour les Parisiens (une place dans la première partie du tableau assure des droits télé plus élevés en fin d’exercice), il est clair que c’est désormais la Coupe de France qui va les mobiliser. Hier, au coeur de la seconde période, dans un Parc sans vie où régnait une ambiance qualifiée d’« atroce » par Kombouaré, les joueurs et l’entraîneur du PSG ont pu entendre l’un des rares spectateurs hurler « Antoine, c’est Quevilly ! » à la seconde où le tirage a été connu.

Cette rencontre face aux amateurs de CFA, déjà tombeurs de Rennes (1-0) et de Boulogne (3-1), est programmée pour le 14 avril . Ce match contre le Petit Poucet de la Coupe de France sera, après le déplacement d’Auxerre et la réception de Bordeaux au Parc (le 11 avril), le troisième de rang du PSG devant un public. Si tout va bien, les « Sors ! », « C’est pas vrai » et autres « Ça fait deux fois M. l’arbitre…. », lancés hier par les deux bancs de touche et amplifiés dans le stade quasi désert, seront alors couverts par les chants et les encouragements de vrais spectateurs. « Pourvu que ce soit la dernière fois que l’on joue à huis clos, espère Antoine Kombouaré. Ce fut lourd et pesant. J’ai hâte que l’on retrouve une belle ambiance, une fête. Le foot, c’est ça. » C’est aussi des victoires. Et le PSG vient de prouver que cette notion ne lui est plus totalement étrangère…

ARNAUD HERMANT


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Stéphane Sessegnon : « On ne peut que se réjouir »

L’International béninois n’a pas réalisé un grand match hier. Cela ne l’empêche pas d’être ravi du succès et, surtout, de la perspective de rejouer à nouveau dans des stades remplis.

Etait-il compliqué de se motiver dans un Parc des Princes désert ?


Stéphane Sessegnon.Bien sûr. Ce n’est jamais évident. Depuis que je suis ici, j’ai l’habitude de voir le stade plein ou presque et d’entendre beaucoup de bruit. Là, il a fallu faire un effort supplémentaire pour entrer dans le match. Mais, au final, cela nous fait trois buts marqués et aucun encaissé. Certes, le match n’a pas été spectaculaire. Mais le plus important, c’était de gagner. Peu importait la manière. Vu le contexte compliqué, on ne peut que se réjouir.

Maintenant, les huis clos sont derrière vous…


(Large sourire.) Ça, c’est une très bonne chose. Il était temps d’en finir avec ces huis clos ! Un footballeur professionnel se doit d’évoluer devant un public. C’est important de ressentir le soutien des gens, d’entendre des cris quand vous touchez un ballon ou quand vous réussissez un tir. Là, il n’y avait rien.

Que peut encore espérer Paris en championnat ?

Pas grand-chose. Le maintien est acquis. Maintenant, ce qu’il faut, c’est remonter le plus possible au classement. Notre place est clairement dans la première partie du tableau. Désormais, la Ligue 1 doit nous servir à préparer au mieux la demi-finale de Coupe de France contre Quevilly (CFA). Seule une victoire en Coupe pourra compenser notre mauvais championnat.

Que pensez-vous de la prestation de Mateja Kezman ?


Je suis très content pour lui. Il fait de gros efforts à l’entraînement. Il a vécu des choses difficiles, mais il n’a jamais lâché. C’est un grand professionnel. Depuis quelque temps, il avait droit à des bouts de matchs, genre les dix ou quinze dernières minutes. Et, à chaque fois, il faisait des choses intéressantes. Cela lui a redonné confiance. Le coach a commencé à avoir confiance en lui. Il sera peut-être celui qui va amener ce qui nous manquait : un supplément de hargne et de combativité.

PROPOS RECUEILLIS PAR CHRISTOPHE BÉRARD


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LA QUESTION

Depuis quand Paris n’avait-il pas gagné deux matchs d’affilée à domicile en L1 ?

Depuis le mois d’août 2009. Le 15 août, les Parisiens avaient battu Le Mans sans trembler (3-1) puis, deux semaines plus tard (le 30 août), ils récidivaient en s’imposant facilement devant Lille (3-0). Mais depuis, les coéquipiers de Makelele avaient été incapables d’enchaîner deux succès de rang à domicile en championnat.
Il aura donc fallu patienter près de sept mois, jusqu’aux succès face à Sochaux (4-1, le 13 mars) et Boulogne.



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PSG Express

Hier. Victoire 3-0 contre Boulogne.
Aujourd’hui. Repos. Reprise de l’entraînement mercredi matin au camp des Loges.
Infirmerie. Luyindula (genou), Ceará (adducteur droit).
Suspendu. Clément (pour PSG-Bordeaux).
Rendez-vous. Auxerre- PSG, 31ème journée de L1, dimanche 4 avril à 21 heures (Canal +).


Leparisien.fr
sylvain
France Football

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L'ordre des demi-finales


Suite au tirage au sort, effectué dimanche soir, la Fédération Française de Football (FFF) a établi le calendrier des demi-finales de la Coupe de France. L'AS Monaco accueillera le Racing Club de Lens le mardi 13 avril à 20h30 (Eurosport). La seconde demi-finale, opposant l'US Quevilly (CFA) au Paris Saint-Germain, se déroulera le mercredi 14 avril à 20h45 (France Télévisions).
sylvain
L'Equipe

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L'avis de l'envoyé spécial

Il ne faut plus rire de Kezman.

Depuis son arrivée au PSG, à l'été 2008, Mateja Kezman a été sifflé, hué, raillé, insulté, critiqué, écarté et prêté. De retour à Paris en janvier après six mois passés en Russie, le Serbe n'est plus le même. Concentré, appliqué et motivé à l'entrainement, il a d'abord eu droit à quelques minutes par-ci, par-là, avant de débuter pour la première fois, hier. Le stade tait vide mais les dirigeants et les journalistes présents ont vu un bon joueur, inspiré, disponible, mordant et buteur. Un bon joueur qui pourrait et mériterait de troubler la hiérarchie des attaquants parisiens à un moment où Guillaume Hoarau et Mevlut Erding connaissent quelques difficultés.

Guillaume Dufy



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Les notes de L'Equipe

Edel:5
Armand: 6 La défense mérite un 6 collectif pour avoir géré tranquillement les événements.
Traoré: 6
Camara: 6
Jallet: 6
Clément: 5
Makélélé: 6 A régulé le milieu de terrain, protégeant la défense.
Sessegnon: 4 Son tir contré sur le premier but ne fait pas oublier son déchet important.
Giuly: 6 Il était en jambes dans le couloir droit , où il s'est promené devant Lévêque pour amener l'ouverture du score (26e). Il aurait cependant pu marquer s'il avait mieux gérer un face à face avec Bédenik (59e).
Hoarau:4 Malgré son pénalty, il tient difficlement la comparaison avec Kezman. Statique, maladroit, il a accumulé les mauvais gestes.
Kezman: 7 Dommage pour lui que la rencontre se soit tenue à huis-clos. Peu utilisé depuis son retour de prêt au Zénith Saint-Petersbourg, le Serbe n'a pas pu mesurer au près du public l'efficacité de son coup de pub d'hier. Pour sa première titularisation depuis le 30 mais 2009 (contre Monaco 0-0), l'attaquant a travaillé efficacement. Collectif, disponible, il a provoqué un pénalty (35e) et même marqué le troisième but (80e). De quoi lui faire éspérer mieux qu'une place sur le banc.
Sinon, bonne rentrée de Chantome qui a délivré une passe décisive.
aleksandre08
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Quevilly - PSG : le choix du stade sera étudié mercredi


Où se jouera Quevilly - PSG le 14 avril prochain ?
Les dirigeants de l’équipe de CFA ont demandé hier à la commission de la Coupe de France de disputer cette demi-finale au stade Robert-Diochon de Rouen, théâtre de leurs exploits contre Rennes et Boulogne-sur-Mer. Mais cette enceinte ne répond pas aux normes de sécurité et d’accueil exigées pour une telle rencontre.
Une réunion doit donc se tenir avec les différents protagonistes (clubs, FFF, pouvoirs publics et forces de l’ordre) demain pour déterminer le lieu de ce match. A la Fédération, on préférerait voir le match se tenir à Caen ou au Havre. Idem au PSG, même si le club parisien n’aura pas son mot à dire dans la décision finale.



Le Parisien
Nicolcho
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Où jouer Quevilly-PSG ?

Quevilly a peu de chances d'être entendu. Pour la demi-finale de Coupe de France du 14 avril, le club de CFA souhaitait recevoir le Paris-SG en au stade Robert-Diochon de Rouen, théâtre de ses exploits contre Rennes en 8e (1-0) et Boulogne en quart (3-1). Mais les conditions de sécurité paraissent insuffisantes dans le vieux stade (absence de caméras de surveillance notamment) pour accueillir une rencontre du PSG dans le contexte que l'on sait, même si le club parisien n'organisera pas de déplacement. Une réunion doit se tenir mercredi au ministère de l'Intérieur avec les différents protagonistes (clubs, FFF, pouvoirs publics et forces de l'ordre) pour déterminer le lieu de ce match. Ce sera sans doute Caen ou Le Havre.


L'équipe.fr
sylvain
So Foot

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PSG : Traoré kiffe Kezman


Une titularisation, un but, un penalty provoqué, Mateja Kezman a rendu une belle copie contre Boulogne.

Ok, c’était Boulogne au Parc et à huis clos, rien d’extraordinaire. Pourtant le Serbe a fait le bonheur de son entraîneur et de ses coéquipier.

Sammy Traoré a d’ailleurs encensé son coéquipier dans L’Equipe : « Kezman n’est ni Hoarau, ni Erding. Il est plus expérimenté, moins rapide. Ses courses sont intelligentes. Et il ne joue jamais pour sa gueule ».

Un phrase qui amène deux conclusions hâtives. Un, Traoré est fan du numéro 14. Deux, Hoarau et Erding jouent pour leur gueule. Sympa le PSG.
MF
NeiBaF
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Billets nominatifs pour AJA-PSG

Il faudra montrer patte blanche pour assister à Auxerre-PSG, dimanche au stade Abbé-Deschamps (21h00, 31e journée). Seuls pourront pénétrer dans l'enceinte icaunaise les spectateurs munis de billets nominatifs. «Le point important (du dispositif de sécurité, NDLR) sera la maîtrise totale des personnes venant au stade, avec une liste nominative des spectateurs présents. Tout cela, pour une question d'ordre public», a souligné Pascal Lelarge, préfet de l'Yonne lors d'une conférence de presse, mardi matin à Auxerre.

Mardi dernier, le PSG s'était imposé (0-0, 6 tab à 5) en quarts de finale de la coupe de France aux dépens d'Auxerre dans un stade Abbé-Deschamps frappé d'une mesure de huis clos imposée par le ministère de l'Intérieur après le décès d'un supporter, victime d'incidents entre fans parisiens le 28 février. «Il y a une forte demande de la part des supporters auxerrois privés du match de coupe de France mardi dernier en raison du huis clos», a reconnu le président de l'AJA, Alain Dujon. Les abonnés (environ 3.000) bénéficieront d'une place supplémentaire pour chacun d'entre eux, gratuite au titre de dédommagement. Le préfet a annoncé un dispositif de sécurité «proportionné», sans en précisr l'importance. Il y a huit jours, pour le match à huis clos, cinq compagnies de CRS avaient notamment été mobilisées.

NumeroStar
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Luis Fernandez n'était pas le bienvenu


La présence de Luis Fernandez aux obsèques de Yann L., le supporter du Paris Saint-Germain, samedi dernier, n'a pas fait l'unanimité, loin de là. Selon l'Equipe, les parents du supporter décédé, après une agression d'autres fans parisiens, n'ont clairement pas apprécié la présence de l'ancien entraîneur du Paris Saint-Germain, qualifiée d'inopportune.


sylvain
Résumé de l''article sur Kezman dans l'Equipe du jour..

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Kezman a la tête dure


Après, le match il aurait dit à ces proches "I'm still a good player."
Sinon, il a reçu les félicitations d'Armand " Je l'ai senti très heureux. il a connu tellement d'histoires depuis son arrivée au PSG." et de Traoré "C'est un Serbe. Il ne lâche rien, il est fier."

Ensuite, il retrace son parcours depuis son arrivée au club. Victime de la lutte entre Roche qui l'a fait venir alors que PLG qui n'en voulait pas. Ils parlent ensuite de son prêt au Zénith. Un ancien coéquipier, Nicolas Lombaerts reveint sur son passage là-bas. "Il n'a pas eu de chance. Il pensait pouvoir rester. il a fait de bons matchs même si il ne débutait pas tout le temps. Mais l'entraineur a changé. Le nouveau, monsieur Spaletti, n'a pas souhaité le garder".
Son agent confirme qu'à ce moment là, Kezman a pris un gros coup sur la tête. Mais Lombaerts dit aussi qu'il pensait encore à Paris "Il n'avait pas fait une croix sur le PSG. il adore ce club. il me parlait souvent du PSG, du stade, des supporters."

Il revint donc à Paris au début de l'année où il eut une discussion avec Kombouaré. Il lui a fait comprendre "qu'il n'était pas un premier choix, ni un deuxième, ni un troisième, mais que si il se comportait bien, il aurait sa chance." Il a eu depuis un comportement irréprochable et en a été récompensé dimanche.
Traoré ajoute "Mateja n'a pas changé. Je dirais juste qu'il accepte un peu mieux les choix du coach. Maintenant, j'espère qu'il gérera bien les prochains. "Car si Hoarau, Erding, Luyindula -quand il reviendra de blessure- et Kezman sont compétitifs, le coach devra trancher" déclare son agent.
"Kezman n'est ni Hoarau, ni Erding, reprend Traoré. Il est plus expérimenté, moins rapide. Ses courses sont intelligentes. Et il ne joue jamais pour sa gueule.
"Mateja est content d'avoir marqué, conclut son agent, mais ils ait qu'en face c'était Boulogne sur Mer..."
sylvain
L'Equipe.fr

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Foot - Coupe : Fabius défend Quevilly

Le député de la Seine-Maritime et ex-Premier ministre Laurent Fabius s'est ému, mardi, de l'idée que la demi-finale de Coupe de France entre Quevilly et le Paris-SG puisse avoir lieu ailleurs qu'à Rouen, où l'équipe normande a réalisé jusqu'ici son parcours. «J'ai l'impression qu'on nous prend pour des ploucs» a déclaré à L'Equipe TV le représentant de la circonscription du club.

«Quevilly a fait sa progression sans rien demander à personne, relève Laurent Fabius. C'est un club soutenu par une population ravie de l'aventure, qui a des petits moyens. Et maintenant que ça devient sérieux, on nous dit qu'on n'est pas capable et qu'il faut aller ailleurs. C'est incorrect car on va priver une partie des supporters de leur plaisir.»

«Comme disaient les Shadoks : pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? De temps en temps faut faire simple.»

Laurent Fabius, sur le volet sécuritaire, ne voit pas pourquoi le match serait mieux protégé à Caen ou au Havre. «L'Etat doit assurer la sécurité, il peut le faire. Si le match a lieu à Robert-Diochon, nous occupons toutes les places. Il n'y aura pas de gens venus de l'extérieur susceptibles de venir faire des troubles. Si la menace est à l'extérieur, c'est aux forces de police de faire leur travail. Si on va je ne sais où, il risque d'y avoir d'autres places disponibles et cela risque de mal se passer.»

Déplacer le match, prévu le mercredi 14 avril, le député «trouve ça inefficace et inélégant». «Comme disaient les Shadoks : pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? De temps en temps faut faire simple. Et le foot est une affaire de plaisir, pas uniquement de gros sous.» Ces propos sont tenus à la veille d'une réunion au ministère de l'Intérieur, prévue mercredi, visant à étudier la faisabilité du match à Rouen.
Vodka
LEQUIPE.FR
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Des associations d'ultras dissoutes?

Une procédure pourrait être bientôt engagée pour dissoudre trois groupes de supporters du Paris SG soupçonnés d'être impliqués dans la mort d'un homme de 37 ans. Cette hypothèse est «à l'étude au niveau de la préfecture» de police et pourrait être finalisée d'ici un mois, écrit ce mardi une dépêche de l'Agence France-Presse. Des associations d'ultras de Grenoble, Lyon, Montpellier et Nice seraient également visées.

«La mécanique de dissolution est en cours contre les Supras, les Authentiks et la Grinta (composantes du virage Auteuil) et à l'étude au niveau de la préfecture, dit une source policière. Elle sera décidée après une réflexion au plus haut niveau du ministère». Le ministre de l'Intérieur «a demandé au préfet de police (de Paris, pour le PSG), ainsi qu'à des préfets de départements où existent des clubs dont des supporteurs ont participé à des incidents, de lui adresser leurs rapports».

Au vu de ces rapports, la Commission nationale de prévention des violences lors des manifestations sportives - à peine créée - rendra ses avis. Elle procédera aussi à des auditions, jusqu'aux responsables de clubs et les présidents d'associations de supporters. Présidée par le conseiller d'Etat Pierre Bordry (par ailleurs patron de l'AFLD), cette commission est composée d'un autre membre du Conseil d'Etat, de deux magistrats de la Cour de cassation et de personnalités nommées par la ministre de la Santé et des Sports.
Hari
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Point médical du jour

Camp des Loges - mercredi 31 mars 2010 à 15:30

Le point médical du jour concerne Marcos Ceara, Peguy Luyindula, Ludovic Giuly et Grégory Coupet.

Marcos Ceara (élongation adducteurs) est toujours à l'infirmerie. Il poursuit des soins spécifiques cette semaine et sera forfait pour le déplacement ce dimanche à Auxerre.

Peguy Luyindula (genou droit), également en salle cette semaine où il observe des soins, manquera la rencontre de ce weekend.

Ludovic Giuly a de son côté effectué le footing collectif avant de rester auprès du staff médical, mais sera ce jeudi à l'entraînement.

Grégory Coupet poursuit sa remise en forme et a participé à l'intégralité de la séance.


PSG.fr
Dready14
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Partouche pas retenu par Paris

Meilleur buteur de la CFA parisienne, l'international des moins de 19 ans Maxime Partouche quittera le PSG à la fin de cette saison. Ses débuts remarqués le 18 mars 2008 en Coupe de France sous une ovation du Parc semblent loin. Antoine Kombouaré ne compte pas sur son jeune n° 10, dont le contrat stagiaire expire en juin 2010. «Les dirigeants ne m'ont toujours pas fait de proposition, regrette le joueur. Je ne me fais plus trop d'illusion. Je vais devoir quitter mon club de coeur sans avoir finalisé ma formation par un contrat pro. Ça me rend triste mais je ne vais pas arrêter le foot pour autant». Bientôt libre, le capitaine de la CFA pourrait s'engager gratuitement avec son prochain club : «Ce qui m'importe, c'est de rejoindre un entraineur qui compte sur moi». Plusieurs clubs, notamment en Liga, flaireraient déjà la bonne affaire. - P. E.


L'équipe.fr
NeiBaF
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Quevilly - Paris-SG à Caen

La demi-finale de Coupe de France entre Quevilly (CFA) et le Paris SG se disputera le 14 avril à Caen, et non à Rouen, comme l'espérait la formation normande. Ainsi en a décidé mercredi le ministère de l'Intérieur à l'issue d'une réunion entre l'Etat, les deux clubs et la FFF. «Le match se jouera a Caen, en dépit de nos arguments», a annoncé le président de Quevilly Michel Mallet après la réunion. Le principal souci du club amateur est désormais de sécuriser la vente des billets. Le dispositif devrait intégrer le principe de la billetterie nominative.

Un arrêté préfectoral interdirait d'arborer les couleurs du PSG dans la ville de Caen le jour du match, selon une source citée mercredi soir par l'Agence France-Presse. Un tel arrêté avait existé à Lens pour la venue du PSG, le 6 mars en L1. «C'est décevant pour nous, a réagi M. Mallet. Avoir fait tout ce parcours avec notre douzième homme... On regrette profondément de ne pas jouer à Diochon. Mais pas de polémique. On ne va pas se noircir la tête, il faut se mettre au boulot pour que la fête soit belle. Ce n'est pas la décision qui me satisfait le plus, mais on n'est pas là pour pleurer».

whynot
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De combien dispose vraiment Paris pour recruter ?

Trente millions d’euros ? 40 M € ? Voilà les chiffres qui circulent actuellement sur l’enveloppe de recrutement dont disposerait le PSG l’été prochain. Une somme surprenante quand on connaît les difficultés rencontrées par l’équipe de la capitale cette saison encore. Pourtant c’est Alain Roche, le responsable de la cellule recrutement, qui l’annonce lors de ses conversations avec les agents de joueurs.
Même le président Leproux a laissé entendre à certains de ses interlocuteurs que le PSG aurait de l’argent à dépenser cet été. Cette enveloppe financière est-elle envisageable ? Ou s’agit-il d’une tactique de la direction actuelle pour mettre la pression sur Colony Capital Europe, l’actionnaire de référence ? Sollicités, les dirigeants parisiens n’ont pas souhaité s’exprimer.

Une situation économique peu reluisante
A la lecture des informations financières révélées dans nos éditions du 24 janvier, le club tablait au 31 janvier 2009 sur un déficit légèrement supérieur à 16 M€ pour la fin de saison. Et ce, en espérant toujours que le PSG termine, dans un mois et demi, à la 4e place de L 1, position budgétisée en début d’exercice et génératrice de droits TV. Il est certain aujourd’hui que le club parisien ne terminera pas la saison à une aussi bonne place, et donc son déficit va encore se creuser. Désormais, c’est plutôt d’un déficit de l’ordre de 25 M€ dont il faut parler, voire même un peu plus avec la hausse des coûts de sécurité.

Pas de nouveau partenaire financier en vue
La perspective de voir le PSG disposer de 30 M € ou 40 M€ l’été prochain n’est pas d’actualité. Sauf à envisager l’arrivée d’un nouveau partenaire financier, contre une participation dans le club. Colony Capital Europe recherche activement cet oiseau rare, mais il ne l’a pas encore trouvé. Dans l’entourage de Sébastien Bazin, le patron du fonds d’investissement, on se demande plutôt comment financer les pertes actuelles et préparer la saison suivante. « Avant de penser à recruter, il faudra éponger les déficits », dit un administrateur.
Paris disposerait seulement d’une réserve de 4 M € ou 5 M€. Un conseil de surveillance du PSG doit se tenir dans une quinzaine de jours, cette question y sera peut-être abordée…

Des chiffres surprenants selon Colony
« C’est peut-être une tactique pour mettre la pression sur Bazin, dit un familier du club. La direction du PSG s’expose et peut se décrédibiliser si elle n’a pas cette somme. Ce n’est pas très malin d’annoncer qu’on a de l’argent pour négocier au meilleur prix ensuite… » Si Robin Leproux n’a pas eu d’engagement précis de son actionnaire, le président pourrait affaiblir son statut. « On n’est au courant de rien, répond-on chez Colony. Ces chiffres sont surprenants. » En tout cas, au PSG, on fait « comme si » on allait disposer de cette somme…

Le Parisien
aleksandre08
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Sessegnon n’a pas marqué

L’ouverture du score du match PSG-Boulogne (3-0), qui avait été dans un premier temps accordée à Stéphane Sessegnon a finalement été attribuée à Anthony Lecointe, contre son camp.

Le compteur but de Stéphane Sessegnon reste bloqué à 3 cette saison en Ligue 1. La Ligue a effectivement décidé d’attribuer le premier but de PSG-Boulogne (3-0) à Anthony Lecointe, qui a détourné la frappe du Béninois dans ses propres filets.


Sport24
Za£e
Interview d'un ancien du centre de formation qui a joué 6mois à Quevilly

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Christopher Oualembo : "Quevilly est un club familial



Christopher Oualembo (23ans), milieu de terrain congolais de l'A.C. Monza (Italie) nous fait le plaisir de revenir sur son expérience de 6 mois à l'US Quevilly, le petit poucet de la Coupe de France


- Christopher, peux-tu te présenter brièvement ?
Christopher Oualembo, 23 ans et milieu de terrain de l’A.C. Monza (SerieC, Italie). J’ai débuté ma carrière comme attaquant en 1998 au C.S.Achères puis reculé comme latéral droit ou gauche notamment au PSG où j’ai fait toute ma formation entre 2000 et 2006. J’ai alors quitté la réserve du PSG pour jouer six mois à l’U.S. Quevilly (CFA) avant de partir à Levante en D2 espagnole.

- Comment se passe ton début de saison à Monza?
A Monza ça se passe très bien, il reste 6 matchs de championnat donc ce n'est plus vraiment le début (rires). J'ai débuté doucement en tant que remplaçant, puis à partir d'octobre j'ai été titulaire, puis blessure pendant quatre mois. Et depuis mon retour en janvier, j'ai joué tous les matchs en entier jusqu'à présent donc je suis assez content.

Comment vois-tu la fin de saison ?
Nous sommes 11èmes après 28 journées et je pense que l’on terminera en milieu de tableau cette année.

Tu as joué 6 mois à Quevilly, peux-tu nous parler de ton expérience au club?
L'U.S.Quevilly est un club très bien organisé, accueillant et familial. Quand je me suis installé j'ai bien été reçu et accepté de tous. Les dirigeants m'ont fait confiance et je jouais régulièrement, ils voulaient me garder quand Levante m’a sollicité mais c'était difficile car je souhaitais me lancer dans le grand bain.


Es-tu surpris par le parcours de Quevilly en Coupe de France?
Franchement oui. Sortir Rennes et Boulogne ce n'est pas rien. Mais c'est un club qui mérite d'être reconnu pour sa qualité de travail et de service. Donc je leur souhaite d'aller au stade de France et de ramener cette coupe à Lozai.

Connais-tu des joueurs dans l'effectif actuel ?
Oui, j’ai côtoyé avec Fodié Traoré et Nicolas Pallois sous les couleurs de l’USQ. Je fréquentais déjà Fodié au centre de formation du PSG et j’avais déjà affronté Nicolas, né comme moi en 1987, lorsqu’il jouait avec la réserve de Caen.

Quevilly accueillera le PSG pour décrocher son ticket pour la finale…

Oui c'est clair que ça me fait vraiment plaisir de voir mes deux anciens clubs s'affronter. Je supporterai les deux, mais avec un léger avantage pour l' USQ car c'est la surprise de cette Coupe de France donc autant qu'elle le soit jusqu'au bout.

Source : www.spacefoot.com
Hari
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J.E. Maurice : « J’ai beaucoup appris »


C’est à l’issue de la séance du jour que Jean-Eudes est revenu pour PSG.FR et PSG TV sur la victoire de dimanche face à Boulogne ainsi que sur sa première année passée au sein du groupe pro.


Jean-Eudes, après une qualification pour la demi-finale de Coupe de France et une victoire contre Boulogne/Mer (3-0), le groupe attaque-t-il cette nouvelle semaine de travail plus sereinement ?

« C’est toujours plus facile de bosser après une semaine où l’on gagne deux matches. La qualification contre Auxerre était importante. Le match face à Boulogne nous a permis d’engranger trois points. Cette victoire nous a fait du bien. C’est important. »

Comment analyses-tu la prestation de l’équipe contre Boulogne, dans une ambiance particulière…

« C’’est vraiment spécial d’évoluer dans un Parc vide. Ca sonne creux ! L’essentiel était de prendre les trois points. On a su faire abstraction du contexte qui était compliqué et nous avons fait le maximum pour nous imposer. »

Comment juges-tu tes performances cette saison ?
« C’est ma première saison au sein du groupe. J’aurais pu largement mieux faire. J’ai beaucoup appris et je pense savoir ce qu’il faut faire pour travailler mes défauts et être encore meilleur à travers mes entrées ou mes titularisations. »

Tu es souvent performant à l’entraînement mais on sent que tu as parfois du mal à confirmer en match. Comment l’expliques-tu ?
« Je pense que c’est essentiellement dû à un manque de rythme. Quand j'en manque, je suis moins à l’aise. Notamment dans mes crochets et mes passements de jambes. Cela se ressent donc forcément en match. A l’entraînement, je me sens mieux. Il faut maintenant que je sois plus régulier durant les rencontres et trouver le juste milieu. »

Dimanche, le PSG retrouve Auxerre, cette fois en championnat. Comment le groupe va-t-il aborder cette rencontre ?
« Même si nous n’avons plus grand-chose à espérer en championnat nous avons à cœur de bien terminer la saison. Nous voulons gagner à Auxerre. L’AJA espère se qualifier pour la prochaine Champions League, mais nous devons tout faire pour réaliser une bonne partie et prendre des points. »

JR


PSG.fr
keyzer söze
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Quevilly - PSG interdit aux Parisiens

La FFF a publié jeudi le détail des conditions de vente des billets pour la demi-finale de Coupe de France entre Quevilly et le Paris-SG, déplacé à Caen pour des raisons de sécurité. Elles sont drastiques afin d'«interdire l'accès de la billetterie aux supporters du PSG», en conformité à la décision de Robin Leproux de ne plus vendre de places à ses propres supporters.

Cinq conditions exceptionnelles dans le cadre de la mise en vente des billets seront réunies. «La vente se fera uniquement dans des points de vente physiques ouverts à Quevilly, Rouen et Caen, écrit la FFF. Il n'y aura pas de vente par internet et pas de vente aux guichets du Stade Michel d'Ornano le jour du match. L'achat de billets ne sera ouvert qu'aux personnes résidant dans les cinq départements de Haute-Normandie et de Basse-Normandie (Seine-Maritime, Eure, Calvados, Manche, Orne) et l'identité des acheteurs sera relevée au moment de l'achat. La vente sera limitée à quatre billets par acheteur. Le nom de l'acheteur figurera sur chaque billet vendu.»

La FFF précise aussi qu'elle a déplacé la rencontre de Rouen à Caen en conformité avec les règles, et non par disposition exceptionnelle. «Le stade Michel d'Ornano de Caen remplit les conditions de sécurité prévues par le règlement de la Coupe de France (les demi-finales doivent être disputées dans des stades de Ligue 2 ou de Ligue 1), ce qui n'est pas le cas du stade qui a accueilli les précédentes rencontres de l'US Quevilly.»


Lequipe.fr
Titi'
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La FFF tient à sanctionner Paris
Le 01/04/2010 à 18:25

Désavouée en octobre 2008 par le Conseil d'Etat, la FFF n'a pas renoncé à sanctionner le Paris-SG pour la banderole anti-Chtis de la finale de la Coupe de la Ligue, déployée six mois plus tôt contre Lens (2-1). «Avant la fin de la saison», la commission supérieure d'appel de la 3F aura envisagé une autre sanction que l'exclusion de la Coupe de la Ligue, initialement retenue pour l'édition 2008-2009 mais annulée par la plus haute juridiction administrative du pays. «Il nous faut reprendre le chemin disciplinaire au début», a expliqué le directeur juridique de la Fédération (FFF), Jean Lapeyre. Selon lui, l'échelle de la nouvelle sanction peut aller «de l'amende jusqu'au huis clos». (Avec AFP)


NumeroStar
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Vous avez été nombreux à adresser vos questions à Guillaume Hoarau sur le forum de PSG.FR et la page Facebook. Dix ont été retenues et posées à l’attaquant parisien. Vos questions, ses réponses.

Pauleta9 -.Comment juges-tu ton entente avec Mevlut, et ton retour dans l'équipe ?
« J’ai connu une saison « saccadée », car j’ai été longuement blessé. Une histoire a commencé d’un côté et moi, pendant ce temps je regardais les autres jouer et je restais dans mon coin. Il fallait donc revenir et essayer de se mettre au diapason. Quand à mon entente avec Mev’, les gens attendaient et attendent encore beaucoup de nous. Nous avons très peu joué ensemble et cela aurait été trop beau si nous claquions chacun trois buts à chaque match. Plus ça va et plus nous nous trouvons sur le terrain. Nous sommes jeunes tous les deux, il ne faut pas l’oublier. Nous bâtissons quelque chose petit à petit. Il ne reste qu’un mois et demi de compétition mais nous sommes encore tous les deux sous contrat au club pour la saison prochaine, tout est encore possible. »

Jeje374 -. À quel age as-tu commencé le foot ?
« J’ai commencé à 6 ans. Comme j’étais un enfant assez turbulent, il fallait me « caser » quelque part ! Comme mon père était entraîneur de jeunes, j’ai commencé avec lui, sous ses ordres (sourires). »

Parisien93 -. Curieusement, tu as une certaine retenue lorsque tu marques des buts, comment peux-tu l'expliquer ?
« C’est tout simplement de l’humilité. Ce n’est pas dans mes habitudes d’être expressif lorsque je marque. Au fond de moi, je suis super heureux car pour un attaquant c’est un plaisir fou de marquer. Il y en a qui font des tours de terrain ou des trucs sympas. Je me dis pourquoi pas moi ? Mais, je suis comme ça, c’est mon naturel. Cela ne m’empêche pas de faire le clown ou de courir après un gars qui vient de marquer. Chacun a sa façon de célébrer son but. Peut être qu’un jour, il y aura un truc qui me fera « exploser ».

Forum95 -. Peux-tu citer un de tes plus beaux souvenirs durant ta première saison au PSG ?
« Ma signature au PSG ! Je pense que cela reste vraiment un moment important et inoubliable… car c’est le PSG quand même ! Après, l’année dernière nous avons vécu pas mal de moments forts. La victoire à Marseille par exemple, nous avons vraiment « kiffé » ce soir-là. Je dirais également la victoire contre Twente qui nous permet de poursuivre l’aventure en UEFA. Après le quatrième but, tout le monde courrait et sautait partout. C’était vraiment magnifique. »

Chinus974 -. Je suis un Réunionnais comme toi ! Quelle image de la réunion ont les joueurs du PSG qui ne connaissent pas forcément l’île ?
« Pour les gars dans le vestiaire, la Réunion se situe à côté des Antilles, de la Martinique et de la Guadeloupe. Ce n’est pas du tout le cas, La Réunion est dans l’Océan Indien ! En tout cas, ils posent beaucoup de questions. J’essaye de vendre mon île du mieux possible. Il faut bien faire marcher le tourisme (sourires). J’espère en tout cas qu’ils viendront la visiter. Je leur ai dit que nous les Réunionnais, on venait en France et que nous visitions alors ils doivent faire pareil. Et quand tu vas à la Réunion, c’est très difficile d’en repartir. »


psg.fr
Titi'
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Grosse sécurité à Caen
Le 01/04/2010 à 20:32

La demi-finale de Coupe de France de football entre l'US Quevilly et le Paris-Saint-Germain sera placée sous un «dispositif de sécurité de grande ampleur», a annoncé jeudi le ministère de l'Intérieur. C'est la suite logique des violents affrontements «entre pseudo-supporteurs, en marge du match PSG-OM du 28 février, qui se sont notamment traduits par le décès d'un supporter».

Des contrôles seront notamment effectués par les forces de l'ordre en périphérie du stade pour s'assurer de la correspondance entre le nom inscrit sur le billet et l'identité de son titulaire. Tout billet cédé ou revendu sera invalidé. La FFF a publié plus tôt dans l'après-midi une liste de conditions de mise en vente draconiennes pour empêcher la vente de billets à des supporters du PSG.

Le ministre de l'Intérieur a aussi donné instruction au préfet de Basse-Normandie de prendre un arrêté d'interdiction de stationnement et de circulation sur la voie publique de personnes «se prévalant de la qualité de supporter du club du Paris-Saint-Germain» ou «connues» comme telles. Plus de 800 policiers et gendarmes seront mobilisés sur l'ensemble du dispositif. Des contrôles seront effectués sur les voies routières et ferrovières reliant Paris à Caen. (Avec AFP)

aleksandre08
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Et si la finale était décalée…



Initialement prévue le samedi 1er mai, la finale de la Coupe de France pourrait avoir lieu le vendredi 30 avril si le PSG, opposé aux amateurs de Quevilly en demi-finale, était concerné par l’événement. Le climat tendu dans les rangs des supporteurs parisiens oblige les pouvoirs publics à prendre un maximum de précautions.

Pour une finale du PSG à Saint-Denis, il faudrait mobiliser plusieurs centaines de CRS et gendarmes.
Or, le 1er mai, les forces de l’ordre seront sur le terrain dès le matin pour encadrer les manifestations de la Fête du travail. Selon nos informations, le directeur de cabinet de Brice Hortefeux, Michel Bart, a rapidement évoqué ce sujet mercredi avec Jacques Lambert, directeur général de la Fédération, en marge de la réunion qui a décidé du lieu de la demi-finale Quevilly - PSG.
« Aucune décision n’a été prise, assure-t-on au ministère de l’Intérieur. Nous devons juste régler un problème de disponibilité des forces de l’ordre ce jour-là. La concomitance entre le 1 e r Mai et la finale de la Coupe de France nous pose un problème. S’il y a incompatibilité, il faudra le régler avant le 15 avril. Mais on fera tout pour éviter de changer la date. » Du côté de la Fédération, on précise que « déplacer la finale est extrêmement compliqué », notamment à cause de la billetterie.

La Fédération se fait du souci

Même si les services du ministère de l’Intérieur assurent que « ce problème (de date) n’a rien à voir avec le PSG », la réalité du terrain démontre une autre évidence : le dispositif de sécurité d’une éventuelle finale entre Quevilly et Monaco serait certainement beaucoup plus léger que pour un PSG - Lens. D’ailleurs, pour Quevilly - PSG le 14 avril à Caen, 800 policiers et gendarmes sont d’ores et déjà mobilisés même si les fans parisiens ne pourront pas accéder au stade d’Ornano.
Responsable de la sécurité à l’intérieur du Stade de France, la Fédération se fait du souci à l’idée de contrôler et encadrer les supporteurs parisiens. Ils pourraient être près de 20 000, issus essentiellement des tribunes antagonistes de Boulogne et Auteuil, ce soir-là à Saint-Denis. Du côté du PSG, on ne fait aucun commentaire sur l’éventuel changement de date de la finale.

La Ligue a décidé d’avancer au mercredi 28 avril les matchs de championnat des équipes d’élite qui se qualifieront pour la finale de la Coupe de France le 1er mai. Cette décision concerne potentiellement Grenoble - PSG, Monaco - Le Mans ou Saint-Etienne - Lens.


Le Parisien
Hari
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PSG Express

Hier. Sprint, travail devant le but et opposition. Ceará a couru et Luyindula n’a pas participé à l’opposition.
Aujourd’hui. Entraînement à 10 h 30 au camp des Loges.
Infirmerie. Luyindula (genou) et Ceará (adducteur droit) sont forfait dimanche.
Suspendu. Clément (pour PSG - Bordeaux).
Rendez-vous. Auxerre - PSG, 31e journée de L 1, dimanche 4 avril à 21 heures (Canal +).


leparisien.fr


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Makelele devrait... continuer !

«C'est bien ma dernière saison. Mon avenir est derrière moi. Aujourd'hui, c'est ma dernière saison, mais demain, ça peut changer». Ça, c'était la vérité du 25 février au matin concernant l'avenir de Claude Makelele. Un peu plus d'un mois plus tard, la situation aurait effectivement changé. Selon les informations de L'Equipe, le joueur de 37 ans devrait poursuivre sa carrière la saison prochaine au PSG mais cela ne sera officialisé qu'en fin de saison.

Mardi, l'ancien équipier de Zidane chez les Bleus et au Real aurait de nouveau rencontré Robin Leproux, le président parisien. «Il se plaît dans ce club, il y est très attaché», assure un proche du dossier. Makelele aurait demandé un calendrier aménagé qui lui permettrait de se concentrer uniquement sur les matches importants de L1 et de C3 (si le PSG gagnait la Coupe de France). L'ancien international (71 sélections) a déjà obtenu du club un contrat de reconversion jusqu'en 2013. A terme, il voudrait un rôle de conseiller du président. Le PSG aurait répondu à certaines de ses attentes. En contrepartie, le salaire de 350 000 euros bruts mensuels qu'il touche actuellement tomberait à 262 500. Avant deux ans à 95 000 euros pendant sa reconversion. Claude Makelele va donc devenir peu à peu un véritable pilier de l'institution parisienne.


Lequipe.fr
A2V
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AJA-PSG : Billeterie fermée

La vente des billets pour la rencontre Auxerre-Paris SG dimanche soir (21 heures) est terminée. La billetterie du club bourguignon est donc fermée, et le stade Abbé-Deschamps, qui n'accueillera pas de supporters parisiens sera bien garni dans trois jours. Pour cette rencontre, le principe de la billetterie nominative a été retenu. Les personnes détentrices d'un billet - ou leur nom et prénom apparaîtra - ou de leur carte d'abonné devront se présenter au stade munis d'une pièce d'identité. Ceux qui auront oublié ce document officiel s'en verront refuser l'accès. - A.B


Lequipe.fr
sylvain
L'Equipe

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Makélélé est inarrêtable.

Sauf retournement de situation, le capitaine du PSG, âgé de 37 ans, y poursuivra sa carrière la saison prochaine.

Il devait jouer un an au PSG, deux à la rigueur. Selon toute vraisemblance, Claude Makélélé va disputer une troisième et dernière saison parisienne, repoussant un peu plus le terminus d'une carrière haute en couleur. Figure importante du football Français des années 2000, l'ex-coéquipier de Zinedine Zidane au Réal Madrid et chez les Bleus, âgé de 37 ans, aurait décider de porter un an de plus le maillot du PSG, où l'attendra ensuite un contrat de reconversion jusqu'en 2013.

Mardi dernier, le milieu défensif a rencontré Robin Leproux, le président parisien. Les positions des deux hommes se seraient sensiblement rapprochées. Mais ils auraient décider de n'officialiser qu'en fin de saison la décision de "Maké" de poursuivre un an de plus. "Claude se plait dans ce club, auquel il est attaché", assure un proche du dossier. Les discussions du mardi, qui n'étaient pas les premières, ont porté sur des points très précis.

Makélélé espère notamment un calendrier aménagé qui lui permettrait de se concentrer sur les rendez-vous les plus importants de la Ligue 1 ou de la Ligue Europa (si le PSG gagnait la Coupe de France). Paris n'est pas contre. En contrepartie, le club a demandé à l'ancien international de baisser son salaire actuel (350 000 e bruts par mois) d'environ 25%.

Bataille pour Jucilei

Dans sa réflexion, le joueur a intégré un autre paramètre. Continuer à jouer, pour lui, c'est aussi une façon de différer une reconversion au salaire très inférieur (95 000 euros bruts/mois) et aux contours encore très imprécis. A terme, le finaliste de la Coupe du Monde 2006 semble intéressé par un poste de conseiller du président. Un rôle qui pourrait entrer en collision avec la présence d'Alain Roche, le responsable de la cellule de recrutement, proche d'Antoine Kombouaré.

Il a d'ailleurs été confirmé à Makélélé que le Kanak restera l'entraineur du PSG, quel que soit l'épilogue de la saison en cours. Face à Leproux, il se serait aussi interrogé quant au standing du recrutement estival. Il n'aurait pas reçu de réponses définitives à ce sujet, à propos duquel filtrent des dissonances. Les recruteurs du PSG pensent disposer de 20 à 30 millions d'euros; dans les couloirs du club, on suggère plutôt l'idée que si Colony s'apprête à injecter 30 millions d'euros, ce sera uniquement pour combler les pertes redoutées au 30 juin.

Sans certitude absolue concernant ses moyens, le PSG continue de préparer son marché d'été. En France, une piste concrète mène à Saka Tiéné (28 ans), l'international Ivoirien de Valenciennes, pressenti au poste de latéral gauche. Paris apprécie toujours Sylvain Marveaux (23 ans) mais les nombreuses convoitises autour du Rennais ne place pas le PSG en position de force dans ce dossier.

Dans un registre plus axial, le nom de Jucilei da Silva, 22 ans mardi prochain, est venu se poser récemment sur les tablettes du PSG. c'est un milieu défensif qu'Alain Roche a observé fin mars, lors de son dernier séjour au Brésil, où il a été aperçu lors d'un match des Corinthians. D'un gabarit puissant (1.85m, 79kg), Jucilei évolue depuis un an dans le club de Ronaldo et de Roberto Carlos. Il suscite d'autres intérêts appuyés en France (St Etienne, Lille), mais aussi à l'étranger (Hambourg, Porto), sa valeur sur le marché approchant les 7 millions d'euros.

Du Brésil sont aussi remontés les bruits d'un intérêt pour Joao Miranda (25 ans). Passé par Sochaux (2005-2006), le défenseur central international (6 séléctions en 2009) évolue depuis 4 saisons au FC Sao Paulo. C'est un joueur que Lille suivrait également en cas de départ d'Adil Rami. A l'étranger, le Bayern Munich surveille de très près Miranda, vainqueur de la Coupe des Confédérations,avec la Seleçao, à l'été 2009 en Afrique du Sud.

Jérôme Touboul.
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