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Gabriel Heinze
Citation
Boindrieux : « On ne va pas changer le maillot »

La rédaction - RMC.fr, le 10/06/2009
Philippe Boindrieux, le Directeur Général du PSG, a réagi à la polémique qui enfle autour des nouveaux maillots du club de la capitale.

Philippe Boindrieux : « Il y a un problème aujourd’hui : on parle des supporters qui se manifestent mais pas du tout des autres, or ils sont plus nombreux. Rien que pour ça, on ne va pas changer le maillot. Même si on voulait le changer, compte tenu des délais de fabrication, le processus serait beaucoup trop long. C’est matériellement infaisable. »

rmc.fr
Baghib!
Deux points de l'article posté dans la revue de presse transferts ne concernent pas que le mercato :

Rmc Info :
Citation
Heinze, trop vieux, trop cher ?
La rédaction - Fabien Lefort (avec M.B.) - RMC.fr, le 10/06/2009

De nombreux obstacles se dressent devant un retour à Paris du défenseur argentin Gabriel Heinze, actuellement en mal de jeu au Real Madrid. Heinze, Coupet, Roche… tour d’horizon des dossiers transferts du club de la capitale.

(...)

Alain Roche – Le patron du recrutement au Paris Saint-Germain traverse une passe difficile. Après les attaques de Paul Le Guen et de Jérôme Rothen, pas tendres envers l’ancien joueur parisien, l’actionnaire principal Colony Capital a ordonné à Roche de ne pas entrer dans l’escalade verbale. L’intéressé va cependant poursuivre Le Guen en diffamation très prochainement. Roche a été très affecté par les sifflets du public du Parc des Princes lors du jubilé Pauleta (Roche jouait dans l'équipe des amis de Pauleta), le dimanche suivant la dernière journée du championnat. Contrairement à ce qu’envisageait initialement Sébastien Bazin, le responsable de la cellule recrutement ne devrait pas voir ses prérogatives élargies.

Organigramme – Le représentant de Colony Capital Sébastien Bazin réfléchit de plus en plus à réinstaurer un président ou un manager en place avant le début de la prochaine saison. Les derniers mois, depuis qu’il a succédé à Charles Villeneuve en janvier, lui ont bien fait comprendre que le PSG, qui ne représente que 10-15% des activités de Colony Capital, a besoin d’un patron à plein temps.
Beuzech
Citation
Foot - L1 - PSG
Fernandez veut faire pression

Luis Fernandez, apparemment, n'a pas été très sensible aux récentes déclarations des dirigeants du Paris-SG, et de Claude Makelele, sur le besoin d'unité autour du club de la capitale, rongé depuis des années par les luttes d'influence. L'ancien joueur et entraîneur du club confie vendredi à L'Equipe Mag qu'il souhaite monter un groupe de pression pour réorienter la politique de Colony Capital

«On va monter un collectif. Je suis en train de m'en occuper, déclare Fernandez. Avec les supporters de tous bords, on va faire en sorte d'avoir du poids et de se mettre en face de dirigeants qui font n'importe quoi. Le PSG, je l'ai dans les veines et j'en ai marre du perpétuel chambardement. Je veux pouvoir donner mon avis. Et s'il faut faire une manif devant le Parc des Princes pour être entendu, je le ferai.»
Bazin, une girouette ?

L'ex-entraîneur du Stade de Reims, qu'il n'est pas parvenu à sauver de la descente en National, a l'impression que le PSG n'a pas de pilote. «Bazin, je le connais. La saison dernière, je l'avais vu car il voulait que je vienne filer un coup de main. Finalement, ils ont pris Michel Moulin. Avec lui, on a l'impression que c'est le dernier à être passé qui a raison.»


léquipe.fr
Cocote
Citation
Interview d'Antoine Kombouaré dans le 10 sport.


Sa vision du métier d'entraîneur



Quels sont les entraîneurs qui t'ont inspiré dans ta carrière ?

Quand j'étais joueur, je me suis beaucoup imprégné de Suaudeau qui m'a fait débuter, de Denoueix aussi. Ils m'ont donné beaucoup et j'ai pris tout ce que je pouvais. J'ai aussi appris d'Arthur Jorge avec qui j'ai gagné des titres. Mais notre experience de joueur est aussi très importante.


Arthur Jorge, c'est un peu l'anti-Kombouaré. Il ne parlait jamais aux joueurs et disait " ma porte est ouverte mais ne venez pas pour rien ! ".


C'est clair. Quand il n'y a pas de communication, il faut être très costaud mentalement. J'ai appris à ne compter que sur moi et à gagner, même livré à moi-même. Je savais qu'il me faisait confiance quand il me faisait jouer, c'est tout. Mais en cinq ans, je n'ai jamais vu la couleur de son bureau !

Et aujourd'hui, quels sont ceux dont la philosophie de jeu t'inspire ?

C'est en regardant les équipes jouer qu'on voit la patte de l'entraîneur. J'aime le Bordeaux de Laurent Blanc, qui est un super pote. Il propose du jeu et gagne beaucoup de matches donc forcément il y a un risque de devenir champion ! Mais la référence, c'est Manchester United .
Je rêve de Wayne Rooney, c'est le joueur parfait ! Il a tout, les titres, l'argent, les sélections, mais peu importe ou Ferguson le place, il joue. Je le prends souvetn en exemple aurpès de mes joueurs.

Comment conçois-tu ton rôle ?

Pour moi, c'est être proche des joueurs, ouvert d'esprit. Après ça marche ou pas, mais je veux faire sentir au joueur que je suis proche de lui. Si je vois qu'il ne va pas bien, je n'attends pas qu'il vienne me le dire, je vais lui demander directement !

Son arrivée au Paris-SG


T'attendais-tu à cette proposition du PSG ?

Les projets étaient nombreux à Valenciennes, u centre d'entraînement, un centre de formation et la construction d'un nouveau stade. J'avais prévu de rester encore un an. Mais le projet parisien était plus fort que celui de Valenciennes. Les dirigeants ont tout fait pour me faire venir, je suis ravi.


Après avoir été joueur, tu reviens à Paris comme patron du sportif, c'est un rêve ?


Non, moi je n'ai jamais rêvé d'entraîner Paris,. Par deux fois j'ai eu des contacts, mais ça ne s'est jamais fait, c'est la vie ! c'et un beau défi qui m'attend, pas un aboutissement. Juste une étape, qui me permettra de continuer à grandir. Je mettrai toute ma force pour que ça fonctionne.

D'ici trois ans ( la durée de son contrat ), te sens-tu capable d'entraîner le PSG au niveau des meilleurs clubs français ?

C'est difficile de répondre. Aura-t-on les moyens de faire venir trois ou quatre bons joueurs tout en gardant nos meilleurs elements ? Me laissera-t-on le temps ? Je me concentre sur cette année avec l'objectif de finir cinquième, au minimum. Les joueurs le savent, et je ne vais pas leur mentir ! A Paris, l'entraîneur est très exposé.

Par rapport à tes dernières expulsions, tu vas devoir faire attention...

Quand tu évolues dans un petit club, tu as l'impression qu'il faut crier pour te faire entendre. A Paris, ce sera different. C'est sûr que je vais devoir arrondir les angles. Mais les dirigeants m'ont pris avec mes qualités et aussi mes défauts...En ce concerne l'arbitrage, c'est certain, je dois mettre de l'eau dans mon vin.


Ses ambitions pour le recrutement




Quels sont tes projets pour le PSG en ce qui concerne le mercato ?


C'est un secret pour personne, j'aime bien Grégory Coupet...Je travaille sur le dossier.


Son arrivée signifierait-elle le départ de Landreau ?


Mickael a tellement émis le souhait de partir, qu'aujourd'hui la porte est grande ouverte. après, il a un contrat. Mais je veux prendre quelqu'un qui sera le numero 1. S'il part, tant mieux puisque c'est son souhait. en attaque, je me suis positionné sur Erding, le parfait complément de Hoarau,. On cherche aussi quelqu'un côté gauche.

Michel Bastos ?

On n'a pas les moyens ! Si je dis oui, je vais me prendre une "Bastos" ( balle d'une arme à feu ) par Seydoux ( rire...).



Rothen est-il dans la même position que Landreau ?


Oui, c'est pareil. Je ne l'ai pas eu personnellement, mais j'ai lu ses interviews, et j'ai bien compris qu'il n'avait qu'une seule envie, c'est quitter le PSG. Mais il est sous contrat et s'il ne trouve pas preneur, il reviendra mais devra se plier à mes règles. On n'en est pas là. Les agents s'activent.

Et Patrick Vieira, c'est une piste crédible ?

J'allais dire " je ne rêve pas " ... Mais j'aime beaucoup. Je l'ai eu au telephone, on a discuté. Il a très envie de venir, mais ça coince au niveau financier, et là, ce n'est plus de mon ressort. Mais ce serait un super défi sportif pour lui, avec en ligne de mire la coupe du monde 2010. La balle est dans son camp.

Le PSG a-t-il vraiment les moyens de garder Hoarau et Sessegnon ?

On fait tout pour ! Il n'y pas l'ombre d'un doute mais je ne tiens pas les finances du club. La priorité du recrutement, c'est de garder les meilleurs elements, et je l'ai bien fait comprendre au président.

Sa gestion des conflits internes


Comment tu vas gérer le cas Makelele qui a pris beaucoup d'importance au club ?


De la manière la plus simple qu'il soit. Dès la fin du championnat, j'étais au club pour mettre les choses à plat avec Claude. Pour moi, il n'est bon que quand il est sur le terrain et s'il veut être très bon, il doit se concentrer sur son travail. S'il a des messages à faire passer à la direction, il devra passer par moi. Claude est bien conscient que sa vraie place, c'est celle de joueur. et j'ai besoin de lui à ce niveau-là.

Alain Roche a été vivement critiqué, comment comptes-tu fonctionner avec lui ?


C'est au président de donner une légitimité à Alain. Il doit redéfinir son rôle et j'espère qu'il sera nommé directeur sportif. Aujourd'hui, Alain doit se faire respecter à nouveau. A la fin, on ne savait plus s'il était au recrutement, à la formation ou conseiller du president. J'ai besoin de lui car je ne souhaite plus m'occuper de tout comme à Valenciennes.

Tu souhaiterais qu'on lui fasse confiance pour le recrutement ?

Oui, Alain est salarié du club. C'est mon pote mais si au bout de six mois je ne suis pas content, j'irai voir le president.
Mais donnons-lui les moyens de bien faire son travail.

Propos recueillis par Daniel Bravo.
sylvain
So Foot

Citation
Kombouaré soutient Roche
Ligue 1 Paris Saint-Germain
15 juin 2009

Vivement critiqué par Paul Le Guen ces dernières semaines, Alain Roche a reçu le soutien du nouvel homme fort du PSG, Antoine Kombouaré.

Le responsable de la cellule recrutement devrait ainsi être nommé directeur sportif du club de la capitale. Mais le nouvel entraîneur parisien prévient, il n’y aura aucun traitement de faveur à l’égard de celui qu’il considère comme son ami.

« C’est au président de donner une légitimité à Alain. Il doit redéfinir son rôle et j’espère qu’il sera nommé directeur sportif. Aujourd’hui, Alain doit se faire respecter à nouveau… À la fin, on ne savait plus s’il était au recrutement, à la formation ou conseiller du président. J’ai besoin de lui, car je ne souhaite plus m’occuper de tout comme à Valenciennes. Alain est un salarié du club. C’est mon pote, mais si au bout de six mois, je ne suis pas content, j’irai voir le président » a déclaré Kombouaré.

NE
John Fritzgerald
Citation
Nicolas Dehon au PSG
Comme prévu au contrat liant Nicolas Dehon et le Havre Athletic Club, l’entraîneur des gardiens dispose d’une clause de rupture de convention en cas de relégation du HAC en Ligue 2.

Nicolas Dehon s’est ainsi engagé avec le Paris Saint-Germain.

Le HAC communiquera l’identité de son nouvel entraîneur des gardiens dans la semaine.

http://hac.infoceane.com/

edit:
Citation

PSG : Nicolas Dehon, entraîneur des gardiens

Sylvie De Macedo
INFO LE PARISIEN. Le PSG tient sa première recrue. Il s'agit de Nicolas Dehon, 41 ans, entraîneur des gardiens du Havre (L2), qui quitte son club pour s'engager dans les jours à venir avec le club parisien. «Je romps cet après-midi mon contrat avec le Havre. Mais je n'ai encore rien signé avec le PSG», nous a-t-il indiqué.

Dans un communiqué publié sur son site mardi matin, le club normand semble s'être avancé en annonçant d'ores et déjà l'arrivée de Dehon à Paris.

«Vous savez comment c'est dans le foot, poursuit l'i ntéressé. Tant que ce n'est pas signé, on ne peut pas dire que c'est fait. C'est en bonne voie. Nous sommes presque tombés d'accord. Il reste encore quelques détails à régler. Mais j'attends des nouvelles de Paris. Un nouveau rendez-vous doit être fixé. Mais je n'ai pas de date encore. C'est évidemment un challenge qui m'intéresse. C'est un gros club de L1.»

Nicolas Dehon avait commencé sa carrière d'entraîneur des gardiens à Troyes, club dans lequel il a également évolué en tant que joueur. Au Havre, il a notamment veillé sur la formation de Steve Mandanda, le goal de l'OM et des Bleus.
Dabeu
Citation
Hoarau prolonge


La rédaction - M.B et L.B - RMC.fr, le 16/06/2009
Le PSG et Guillaume Hoarau sont tombés d’accord sur une prolongation de contrat d’un an de l’attaquant réunionnais, désormais lié au club de la capitale jusqu’en 2013.
Notamment convoité par Lyon, Guillaume Hoarau sera toujours parisien la saison prochaine. L’attaquant réunionnais de 25 ans, deuxième meilleur buteur de L1 avec 17 buts, prolonge son contrat d’un an, soit jusqu’en 2013, avec une nette revalorisation salariale à la clé. Le PSG devrait confirmer officiellement la nouvelle dans les heures à venir.


Source : RMC
sylvain
Le parisien

Citation
Bertucci sera l’adjoint de Kombouaré
Arnaud Hermant (avec S.D.M.) | 17.06.2009, 07h00


Après trois semaines de réflexion et de multiples entretiens, Antoine Kombouaré a tranché. Yves Bertucci, l’ancien entraîneur du Mans, sera son nouvel adjoint. Agé de 46 ans, Bertucci a effectué une honorable carrière professionnelle (Cannes, Tours et Dunkerque notamment), avant de devenir responsable de la formation du Mans en 1998. Il a ainsi participé à l’éclosion de joueurs comme Didier Drogba, Olivier Thomert, Laurent Bonnart ou Yohann Pelé.

Face aux résultats décevants du MUC cette saison, il avait laissé sa place à Daniel Jeandupeux en janvier après seulement six mois à la tête de l’équipe première. Il devait intégrer la cellule recrutement mais, le week-end dernier, il a annoncé aux dirigeants sarthois qu’il ne souhaitait pas honorer sa dernière année de contrat.

Le staff est au complet

Avec cet éducateur reconnu par tous ses pairs, Kombouaré sera bien épaulé. Désormais, le staff parisien est au complet. Car hier matin, Le Havre a officialisé le départ à Paris de son entraîneur des gardiens, Nicolas Dehon, prenant de court la communication du PSG et l’intéressé. « Je n’ai encore rien signé avec le PSG mais c’est en bonne voie, nous a-t-il déclaré. C’est évidemment un challenge qui m’intéresse. »
Nicolas Dehon, 41 ans, avait commencé sa carrière d’entraîneur des gardiens à Troyes, club dans lequel il a également évolué en tant que joueur. Au Havre, il a notamment veillé sur la formation de Steve Mandanda. Pour la préparation physique, Kombouaré va renouveler sa confiance à Raphaël Fèvre, professeur de sport diplômé, qu’il a rencontré au PSG quand il entraînait la réserve du club. En revanche, Kombouaré a décidé de ne pas poursuivre sa collaboration avec Bernard Guignedoux, son adjoint depuis le début de sa carrière d’entraîneur.



Citation
Un match à Florence
17.06.2009, 07h00

Pendant sa préparation d’avant-saison, le PSG affrontera la Fiorentina, à Florence, le 29 juillet. Ce match amical de prestige se jouera trois jours avant l’Emirates Cup. Après, Paris rencontrera à l’Emirates Stadium, les 1er et 2 août, les Glasgow Rangers et l’Atletico Madrid
Mathis
Citation
Nantes: Alonzo retrouvera le PSG en amical

Relégué en Ligue 2 avec le FC Nantes, l'ancien gardien du PSG, Jérôme Alonzo aura la joie, cet été, d'affronter son ancien club, puisque les canaris affronteront le 14 juillet prochain les hommes d'Antoine Kombouaré sur la pelouse du stade de la Longe, situé dans la commune de St Dolay. Pour les supporters qui désirent assister à cette rencontre, les places ont été fixés au prix de 10 euros, nous informe l'organisation.


Football.fr
Dubdadda
Citation
PARIS-SG : BERTUCCI AVEC KOMBOUARÉ.

Yves Bertucci, libéré par Le Mans, sera la saison prochaine l’adjoint d’Antoine Kombouaré au Paris-SG. « Il m’a appelé la semaine dernière et on est tombé d’accord rapidement, a expliqué le technicien de quarante-six ans. On a les mêmes
valeurs, loyauté, humilité, travail et j’ai envie d’aller au combat avec lui. » Bertucci aura un contrat d’un an. –


Lequipe
Orton
Citation
Football – PSG
Sébastien Bazin ne devrait plus couvrir le déficit

Le grand patron de Colony Capital a demandé à Sébastien Bazin de ne plus couvrir le déficit à partir de la saison prochaine.
Sébastien Bazin a pris l’habitude, depuis son arrivée à la tête du PSG, de couvrir chaque fin de saison, le déficit du club via Colony Capital. Il ne devrait plus en avoir le droit bientôt. Tom Barrack, le grand boss de Colony Capital, lui aurait demandé lors du dernier Conseil d’Administration de ne plus le faire. Pour combler ce trou, le PSG devra vendre des joueurs. Colony Capital a couvert le déficit de cette année qui était estimé à 10 millions d’euros.


RMC.FR
aleksandre08
Citation
Pourquoi Kombouaré a choisi Bertucci

Dès sa nomination à la tête du PSG, Antoine Kombouaré s’est interrogé sur le choix des hommes qui allaient composer son staff technique et partager sa nouvelle aventure. Il avait sans doute l’impression d’être arrivé au bout d’un cycle avec son fidèle adjoint, Bernard Guignedoux, 61 ans, qui l’accompagnait depuis ses premiers pas d’entraîneur avec la CFA du PSG, en 1999.

La décision n’était pas facile à prendre mais, dans certains cas, on ne peut pas vraiment faire de sentiments. Kombouaré avait en tête quelques noms et a rencontré trois personnes. Yves Bertucci, 46 ans, correspond parfaitement au profil qu’il recherche. Si les six mois qu’il a passés sur le banc du Mans (d’août 2008 à janvier 2009) ne se sont pas avérés très concluants, ils n’ont pas altéré son image dans le milieu du foot. « Discret », « compétent », « respecté par tout le monde », tels sont les qualificatifs qui reviennent le plus souvent quand on évoque son nom.
Kombouaré et Bertucci se sont croisés quelques fois sur les terrains, ils s’apprécient, mais ne se connaissent pas vraiment. Quand l’entraîneur du PSG l’a rencontré en tête à tête il y a trois semaines, le courant est passé immédiatement et Bertucci n’a pas caché son enthousiasme. Il est vrai qu’au Mans on ne lui proposait qu’un poste dans la cellule recrutement. Pour cet homme de terrain, dénicheur de talents (Drogba, Bonnart, Coutadeur), le challenge parisien est autrement excitant. Il a ensuite suffi d’un simple coup de fil d’Antoine Kombouaré à Sébastien Bazin, qui lui avait donné carte blanche, pour acter la décision.

Au PSG, ce choix fait pour l’heure l’unanimité. De sa courte expérience en tant que numéro un au Mans la saison passée, Bertucci a sans doute compris qu’il était davantage fait pour rester dans l’ombre.


Parisien
Kiolm
Citation
Le PSG voit rouge

Si le nouveau maillot du PSG fait toujours débat auprès de l'immense majorité des groupes de supporteurs qui ont décider de le boycotter, celui de la saison 2010-2011 devrait faire l'unanimité. Pour le quarantième anniversaire du club, l'équipementier a proposé une réédition du tout premier maillot du club: tout rouge avec un col bleu et blanc.


du 20 Juin
sylvain
So Foot

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Landreau invite Le Guen
Ligue 1 Paris Saint-Germain
20 juin 2009
Alors qu’il est toujours tricard au paris sg, Mickaël Landreau profite de la fin de saison pour changer de statut civique.

Le portier de trente ans s’est marié avec sa compagne, Lennie Marshall, ancienne candidate de la Star Academy. Le hic, c’est qu’aucun membre du club de la capitale n’a été invité à célébrer son mariage en Avignon. Seul Paul Le Guen, l’ancien entraineur du Paris SG a été convié à la petite party méridoniale. Aucune trace de Traoré, Rothen ou autre Pancrate. Décidément, l’ancien gardien des Bleus a définitivement coupé les ponts avec Paris.

Un divorce consommé lors de la célébration de son mariage, intéressant.

MF
sylvain
Je savais pas trop où mettre ça...

So FOOT

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J.Reijasse : "Marre de prendre des branlées au Parc"
Paris Saint-Germain
21 juin 2009

Journaliste à Rock n’ Folk, Jérôme Reijasse est un fan viscéral du PSG. Son addiction, il la traite dans « PARC, Tribune K – Bleu bas », premier bon bouquin de supporter made in France, où l’auteur retrace sa saison 2007-2008, celle de toutes les souffrances. Et puisque supporter Paris, c’est aimé souffrir, il prolonge le plaisir et revient sur la fin de saison pathétique du PSG, avant de se projeter avec fatalisme sur l’exercice à venir.

Pour toi, qui est responsable de la chute finale du PSG ?

Notre dernier mois a été surréaliste. Tous nos adversaires ont joué en marchant et ils ont tous gagné. J’ai vu des matches comme jamais je n’aurais pensé en voir. Rothen, c’était Mamie Rothen, il était complètement cuit. Mais, lui, je le défends. C’est l’incarnation de Paris. Quand ça devrait bien aller ça ne va pas. C’est pour ça qu’il faut l’aimer. Comme Mendy. Cette fin de saison relève de l’ incompréhensible. Enfin, quand on voit comment Le Guen s’est lâché dans l’Equipe avant même la fin de la saison, c’est que l’ambiance dans le club devait vraiment être dégueulasse.



Au départ tu étais plutôt partisan de Le Guen, et on voit dans ton livre que tu en reviens vite ….

Ce mec est illisible. En deux ans, personne n’a réussi à cerner son schéma de jeu.
Quand il a mis les petits jeunes, je n’ai pas compris, qu’il ait traité Pauleta comme il l’a fait, je n’ai pas compris. Tout comme son acharnement à faire jouer Rothen alors que tout le monde voyait qu’il était cuit. En deux ans, tout ce qu’on a entendu en conférence de presse c’est « c’était pas terrible, on peut faire mieux, mais y’avait du bon. » Apparemment, il est très proche de Luyindula, mais dans aucun club au monde tu n’aurais insisté aussi longtemps avec un même comme ça. Bon, ça a payé pendant six mois, mais après …A la limite, j’aurais préféré qu’il donne sa chance à Kezman, vu le pognon que le club a claqué, autant tenté de le rentabiliser. Tu ne peux pas te permettre d’être aussi borné. Jamais il n’a fait un mea culpa. Même Gerets en a fait, et je crois que ça peut être assez productif. Reste que les principaux responsables ce sont les joueurs.

Et son choix de ne pas jouer à fond l’UEFA ?

 Ca m’insupporte. Moi, là-dessus, j’ai le discours de Guy Roux. Y’a qu’en France qu’on voit ça. Et à partir du moment où il a senti que Paris pouvait aller loin, il a mis l’équipe A, et évidemment c’est là que ça a foiré. En tout cas, cette année, je suis content qu’on ne se soit pas qualifie pas pour la Ligue des Champions. J’en ai marre qu’on se prenne des branlées au Parc, qu’on se fasse humilier. La LDC c’est pour les équipes qui jouent au foot.

Tu sembles avoir un dent contre Landreau, soulagé par son probable départ ?

Franchement, si c’est Coupet, ça ne me plaira pas non plus. Landreau n’est pas un mauvais gardien. Mais quand tu fous ton équipe dans la merde, la moindre des choses est de s’excuser. Sur deux ans, tu peux sortir un bon DVD sur ses cagades. Quand il se troue il ne fait pas les choses à moitié, ce sont des vraies toiles. Lama en faisait aussi, mais il en endossait la responsabilité. Landreau, c’est un peu l’école Le Guen : jamais de remise en question. Et puis son maillot violet horrible c’est intolérable.

Et l’arrivée de Kombouaré ?

Kombouaré, respect, je m’incline, mais je ne suis pas sûr que ce soit la bonne personne. Nous on fait venir les anciens, mais c’est justement ce qu’il ne faut pas. A Paris, il faut un mec détaché, un pro. D’ailleurs le meilleur exemple, c’est Villeneuve. Quand j’ai appris son arrivée j’étais dégouté, mais au final il faut aussi des mecs comme ça à Paname, des grandes gueules qui enfoncent des portes. Faut imiter Chelsea qui prend des mercenaires, comme Mourinho ou Hiddink, qui se foutent du club, mais qui ont le sang-froid nécessaire pour gérer leur effectif.

Donc pas très optimiste pour la saison à venir ?
Vu la fin de saison, je ne vois pas comment elle peut partir sur de bonnes bases. On n’a même pas d’argent pour acheter. Quand y’a eu la rumeur sur Heinze j’ai sauté de joie. C’est exactement le type de joueur qu’il nous faut. Déjà, premier concept : faut toujours un Argentin dans ton équipe. Heinze, c’est quand même un mec qui met des coups, des tartes, et qui arrive à récupérer le coup-franc. Moi, je trouve ça beau.

Lire : Jérôme Reijasse : « PARC, Tribune K – Bleu bas ». Editions L’oeil d’Horus
Thomas Goubin
JeanGabin
Citation
Tripy Makonda signe professionnel



Le latéral et milieu gauche de 19 ans, Tripy Makonda, a signé son premier contrat professionnel au Paris Saint-Germain pour une durée de 3 ans.

Tripy Makonda (Latéral et milieu gauche du PSG)

« Signer mon premier contrat professionnel avec le Paris Saint-Germain me réjouit. C’est une grande fierté pour moi. Les gens pensent que c’est le travail d’une personne mais c’est celui de ma famille, mes proches, mes conseillers et beaucoup de mes amis. Pour moi qui suis originaire de Paris, cela représente une immense fierté. Le statut de professionnel demande beaucoup de travail, de sacrifices. Cette année, je vais beaucoup observer et tenter de progresser. J’espère m’entraîner plus régulièrement avec les pros et grappiller du temps de jeu afin d’acquérir de l’expérience. »



Philippe Boindrieux (Directeur Général du PSG)
« Faire signer Tripy Makonda est une satisfaction. Ce joueur a réalisé de bonnes rentrées sur le terrain la saison passée en remplacement de Sylvain Armand. C’était important pour le PSG de le faire signer chez les pros pour 3 ans. Il viendra épauler Sylvain Armand pour la saison prochaine. Au niveau des jeunes, nous avons réussi à faire signer ceux que l’on souhaitait. Cela confirme la stratégie du PSG de s’appuyer sur ses jeunes. D’autres joueurs suivront, que ce soit des joueurs jeunes ou confirmés. »


PSG.FR
sylvain
Le Parisien

Citation
Sessegnon, pourquoi ça bloque



C’est une promesse faite par Sébastien Bazin aux associations de supporteurs parisiens le 27 mai : Guillaume Hoarau et Stéphane Sessegnon feront partie de l’effectif parisien pour la saison à venir. Le meilleur buteur (Hoarau) et le meilleur passeur (Sessegnon) du dernier exercice sont les têtes de gondole d’un PSG qui veut s’inscrire dans la continuité.
« Les autres clubs parviennent à conserver leurs meilleurs éléments, il n’y a pas de raisons que nous n’y arrivions pas », confiait Philippe Boindrieux, le directeur général, le mois dernier. Pour l’instant, cela reste à demi-vrai. Car, si Hoarau s’apprête à prolonger son bail jusqu’en 2013, son ami Sessegnon est toujours dans le flou.
A dix jours de la reprise, les négociations avec ses dirigeants demeurent au point mort. La semaine dernière, Sébastien Bazin et le représentant du joueur se sont de nouveau rencontrés. Mais ils n’ont pas avancé d’un pouce quant à une éventuelle prolongation de son contrat qui court jusqu’en 2012.

Limiter la masse salariale

Que se passe-t-il au juste ? Au regard de ses performances, Sessegnon souhaite que son salaire soit étalonné sur celui des cadres de l’équipe. En clair, le Béninois, qui perçoit 120 000 € brut par mois (hors primes), a remarqué que Giuly (260 000 €), Kezman (250 000 €) et Rothen (160 000 €) sont nettement mieux payés avec des rendements parfois inférieurs.
Du côté du PSG, on souligne qu’il a touché une prime substantielle lors de la signature de son contrat (850 000 €). Et que, sans son nouveau club, il n’aurait pas fait partie des nominés pour le titre de meilleur joueur de L 1. En fait, Paris paie aujourd’hui une politique de gros salaires et, en ces temps de crise, le club a un besoin urgent de serrer la vis budgétaire. Bazin, qui vient de doubler les émoluments de Hoarau, ne veut pas voir exploser sa masse salariale. Il s’énerve d’ailleurs de voir ses joueurs (Armand, Ceará, Luyindula) frapper à sa porte pour obtenir des augmentations. Le président a toutefois promis de revenir vers Sessegnon avec, éventuellement, une nouvelle proposition. Car le risque de le voir s’exiler vers l’Angleterre existe. Manchester City et Everton sont à l’affût.

Le PSG disputera deux matchs amicaux lors de son stage à Port-Crouesty (Morbihan) du 5 au 15 juillet. Le samedi 11, il affrontera Pontivy (CFA), à Sarzeau, et Nantes (L 2), le mardi 14 juillet, à Saint-Dolay.
Panenka
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Manifestation contre le nouveau maillot du PSG

Bousculade mercredi soir sur les Champs-Elysées. Deux cents supporters de Paris mécontents du nouveau maillot du club ont manifesté bruyamment devant la boutique du PSG. Armés de fumigènes, brandissant des banderoles, ils ont donné de la voix et joué des coudes à partir de 22 heures, au moment où la nouvelle tenue parisienne, jugée trop éloignée des couleurs historiques du club, était mise en vente pour la première fois.

Ils ont dissuadé les clients potentiels d'accéder au magasin. Les rares clients qui parvenaient à acheter un maillot étaient copieusement hués et insultés en ressortant du magasin... Trois pelotons de gendarmes mobiles ont été déployés sur place pour contenir les débordements des supporters parisiens.


Leparisien.fr
aleksandre08
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Jérôme Reijasse: «Le PSG cristallise toutes les haines anti-parisiennes»



FOOT - Un supporter parisien témoigne dans un livre de ses doutes, ses craintes et ses petits moments de bonheur...
Journaliste musical dans le civil, Jérôme Reijasse voue une passion dévorante au PSG depuis 20 ans. Dans «PARC», il raconte match par match une saison de sa vie de supporter alors que son club flirte avec la relégation.


Pourquoi votre livre prend-il pour cadre 2008, une des saisons les plus compliquées du PSG, qui se sauvera de la relégation lors de la dernière journée?
Les vrais supporters se reconnaissent et se construisent dans les années de détresse. Même si la victoire me fait encore effet, étant donné qu’on ne gagne pas si souvent que ça à Paris.

Vous n’avez pas peur que votre livre soit mal compris en France, où il n’y a pas vraiment de culture du «supportérisme»?

Si vous voulez dire que j’ai plus un rapport britannique au foot, j’en suis ravi! Mais je vis en France. Pourtant, je pense que Paris est l’un des rares clubs avec Lens et Saint-Etienne à avoir une culture anglaise. En France, on ramène trop le supporter au hooligan, on en est encore au syndrome du Heysel. On a fait peur aux gens. Je me rappelle que j’avais peur, lors de mes premiers matchs au Parc des Princes. Après j’ai ri, même si j’ai vu de la violence comme partout ailleurs. J’ai aussi eu envie d’écrire ce livre parce que j’ai trop subi ces discussions où on ramenait toujours le PSG à ses supporters racistes. Je trouve ça injuste, triste et dommageable.

On sent d’ailleurs dans votre livre que vous considérez le PSG comme un club en lutte contre le reste du pays…
C’est incroyable, cette haine anti-parisienne qui se dégage. Je trouve que le PSG cristallise toutes les haines anti-parisiennes. «Parisien tête de chien», on y revient toujours un peu. Cette haine Paris-province arrange tout le monde, les provinciaux, les Parisiens, de se sentir détachés et seuls contre tous. Après, beaucoup de Parisiens eux-mêmes détestent le PSG, pour pas mal de raisons. A Barcelone ou Marseille, si le club joue son maintien, c’est l’union sacrée. Tout le monde descend dans la rue avec le maillot. A Paris, quand on va jouer notre maintien contre Sochaux, il ne se passe rien.

Souvent, on sent que la situation du PSG vous met dans des états désespérés. A moins que ce ne soit l’écriture, qui accentue cette sensation?

Je sais que ça peut sembler dur, mais j’ai rédigé les chapitres du livre le soir ou le lendemain des matchs, à chaud. Ce livre, c’est 1/7e de mes semaines! En me relisant, j’ai parfois honte de mon comportement. Il y a une certaine mégalomanie chez le supporter. Parfois, je me dis que si j’arrête mon abonnement, le PSG va redevenir un grand club. C’est assez con.

Propos recueillis par Alexandre Pedro


20mn
Kiolm
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Guillaume Hoarau prolonge jusqu’en 2013
Prolongation | 25/06/09 | 18:01


Guillaume Hoarau a prolongé son contrat avec le Paris Saint-Germain. Auteur de 17 buts la saison dernière en ligue 1, l’attaquant Rouge et Bleu est désormais lié au PSG jusqu’en 2013.


Philippe Boindrieux (Directeur Général du PSG)
« La prolongation de Guillaume est très importante pour le club. Conserver les meilleurs joueurs, est déjà pour le PSG une réussite de son mercato. C’est également une promesse que nous avions faite à tous les supporters du club. Guillaume a été la révélation de la saison dernière en devenant, pour sa première année en Ligue 1, le second meilleur buteur du championnat (17 réalisations). Il a également intégré l’Equipe de France. Nous sommes persuadés qu’il peut encore progresser. Malgré des sollicitations de grands clubs européens, Guillaume a préféré poursuivre son aventure avec le PSG montrant ainsi sa confiance dans le projet du Club.»


PSG.FR
Schultzy
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Hoarau : « Pourquoi je prolonge au PSG »

Grande révélation de la saison dernière, l’attaquant parisien explique en exclusivité les raisons qui l’ont poussé à poursuivre sa carrière à Paris où il vient de prolonger d’une saison soit jusqu’en juin 2013.

Guillaume Hoarau, pourquoi avez-vous choisi de prolonger avec le PSG ?
Il y avait effectivement d’autres sollicitations mais j’ai senti que Paris faisait tout pour que je reste. Ça fait un an que je suis dans ce club, et j’ai déjà tous mes repères. Il était donc important de travailler dans la continuité. Je vais maintenant pouvoir me concentrer sur le terrain. C’est important aussi pour le club de pouvoir compter sur ses joueurs. Moi je suis là, il n’y aura pas de problème.

Y’a-t-il eu une réflexion importante de votre côté au vue de la fin de saison décevante du club ?
Il y a eu un environnement un peu bizarre en fin de saison. J’aurais pu aller voir ailleurs si je l’avais voulu. Mais je suis bien à Paris et j’ai besoin d’avoir un entourage que je connais. Je ne voulais pas partir. Ne pas jouer la Coupe d’Europe l’année prochaine aurait pu me pousser à partir car j’ai 25 ans et je n’ai plus trop de temps à perdre. Mais le club m’a affirmé qu’il ferait tout pour bâtir une grosse équipe afin de finir dans les trois premiers. On n’est pas passé loin la saison dernière.

Quelle idée avez-vous d’Antoine Kombouaré, votre nouvel entraîneur ?
A la rentrée, ce sera nouveau pour lui comme pour nous. On ne le présente plus. Il a fait ses preuves dans le monde du football. Il va nous apporter sa rage grâce à son tempérament. J’ai besoin de ça, qu’on me rentre un peu dedans. Il m’a dit qu’il voulait que je prolonge. Je ne l’embête pas plus pour l’instant. Je le laisse travailler. On parlera à la rentrée.

Qu’avez-vous pensé de l’intérêt de l’Olympique Lyonnais à votre sujet ?
Lyon est une grosse machine pour qui j’aurais pu éventuellement quitter Paris. Mais je suis très heureux d’avoir prolongé mon contrat avec le PSG.

Vous suivez le mercato du PSG ?
Oui, quoi que je fasse, j’en entends parler. Alors même ci j’essaye de couper un peu, je suis quand même les transferts.

Que pensez-vous des arrivées probables de Coupet et d’Erding ?
C’est l’expérience et la fougue. Coupet, on ne le présente plus et Erding, c’est un des attaquants qui m’avait le plus impressionné. Si on joue ensemble la saison prochaine, ça va claquer pas mal de buts. Mais je préfère ne pas trop parler tant que les choses ne sont pas officielles. J’espère quand même que ça va se faire.

Le PSG a toujours refusé de vous vendre. C’est une belle preuve de confiance, non ?
Oui c’est flatteur d’entendre ça. L’année prochaine, ça va être plus compliqué pour moi car, désormais, les défenseurs vont m’attendre. Le club avait besoin de cette continuité. Avec Stéphane (NDLR : Sessegnon), on vient d’arriver. Repartir au bout d’un an aurait été précoce.

Comment voyez-vous la saison prochaine ?
Je suis confiant même si je ne connais toujours pas l’équipe pour l’année prochaine. On va voir petit à petit en fonction des joueurs qui vont arriver. Le plus important c’est de bien se préparer pour bien commencer la saison. Le reste, on verra bien.

Rmc.fr
Orton
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Bazin veut quitter la présidence du PSG



Le PSG s’agite encore en coulisses. Pas uniquement dans le domaine sportif avec le mercato estival mais aussi à son sommet. Selon nos informations, Sébastien Bazin, actionnaire majoritaire et président non exécutif du club, a décidé de ne pas rester à la tête du PSG. « C’est acquis à 99 % », raconte un proche du club.
Sauf retournement de situation, Bazin va donc laisser la présidence à un nouvel homme fort.
Le patron de Colony Capital Europe réfléchit à cette solution depuis la fin du championnat. Il a en effet très mal vécu les critiques et les slogans insultants à son encontre criés par les supporteurs le jour de PSG - Monaco (0-0) — le dernier match de L 1 de la saison — le 30 mai dernier et le lendemain à l’occasion du jubilé Pauleta. Avant ces incidents, Bazin était plutôt enclin à rester à la présidence non exécutive du club.
Mais les attaques des fans après une fin de saison frustrante, la gestion du départ de Paul Le Guen puis les sorties médiatiques acerbes de l’ancien entraîneur et de Jérôme Rothen ont propulsé Bazin sur le devant de la scène parisienne et l’ont exposé bien plus que ce qu’il ne pensait. Après le départ de Charles Villeneuve le 3 février, Bazin avait accepté la présidence quelque peu poussé par ses proches. Depuis, la donne a changé. Ce nouveau changement de cap dans les hautes sphères parisiennes devrait ramener le club au fonctionnement en vigueur sous l’ère Villeneuve. A savoir un président, en charge de la représentation, des relations médiatiques et avec un oeil sur le sportif, aidé d’un directeur général qui restera Philippe Boindrieux. Un temps évoquée, la promotion au poste de directeur sportif d’Alain Roche, actuel responsable de la cellule recrutement, pourrait être remise en cause.

La piste Patrice

Clerc Le départ de Bazin de la présidence lui impose de se trouver un successeur. Après avoir pas mal consulté et rencontré bon nombre de personnes comme Michel Denisot ou Jean-Claude Plessis, il semble avoir trouvé le candidat idoine. Parmi les pistes explorées, celle de Patrice Clerc, 60 ans, ancien patron d’Amaury Sport Organisation (ASO) et directeur de Roland-Garros de 1984 à 2000, a retenu l’attention de Bazin. Il apprécie beaucoup son profil. Les deux hommes se connaissent bien et ont parlé de cette possibilité même si l’intéressé préfère démentir. « Ce n’est pas d’actualité, nous a-t-il répondu tard hier soir, même si c’est vrai que j’entretiens des relations amicales avec Sébastien Bazin depuis longtemps et que nous échangeons sur beaucoup de sujets. » Un autre acteur du domaine des médias et du sport serait également en lice pour succéder au patron de Colony Capital Europe.




Le Parisien
Baghib!
Ca mérite quand même la Revue de Presse...
(Par contre pour les commentaires merci de plutôt vous tourner vers le topic "[Club] Commission de discipline/Arbitrage".)

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Foot - L1

Huis clos confirmés pour PSG et OM


Le Conseil fédéral de la FFF a maintenu la sanction d'un match à huis clos pour le PSG et l'OM pour usage d'engins pyrotechniques, a annoncé vendredi une source proche du dossier à l'AFP. Le PSG avait été condamné à un match huis clos par la commission de discipline de la LFP à la suite des incidents qui se sont produits lors du PSG-OM du 15 mars. Marseille avait de son côté été condamné à un match à huis clos pour les mêmes motifs lors du match OL-OM du 18 décembre.

Les deux clubs avaient fait appel de ces condamnations auprès de la commission supérieure d'appel de la FFF avant de saisir le CNOSF pour une demande de conciliation. Paris et Marseille peuvent encore contester cette décision auprès du tribunal administratif. Si la justice civile valide la sanction, il reviendra à la commission des compétitions de la LFP de fixer la date du huis clos.
lequipe.fr
Biz Markie
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Le PSG ira défier la Fiorentina

La Fiorentina affrontera le PSG en match amical le 29 juillet à 20h30 au stade Artemio-Franchi à Florence, a annoncé vendredi le club toscan. Le PSG enchaînera ensuite le 1er et 2 août avec deux matches à Londres face aux Glasgow Rangers et à l'Atletico Madrid lors de l'Emirates Cup.

lequipe.fr
aleksandre08
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La France a son «Big Four»

Un "Big Four" à la française, composé de Marseille, Lyon, Paris-SG et Bordeaux, émerge clairement d'une étude sur la relation du public aux clubs, dévoilée jeudi par l'agence de marketing Sportfive (groupe Lagardère). Le quatuor squatte les premières places sur tous les critères mesurés, qu'il s'agisse de la connaissance du club, sa popularité, son pouvoir d'identification ou encore l'émotion qu'il procure aux gens.

Le Paris-SG devance d'une courte tête l'Olympique de Marseille en notoriété assistée (99% contre 98% !), mais l'OM est leader sur tous les autres critères tandis que Lyon s'affirme comme son dauphin (trois fois 2e). Bordeaux est le 3e club le plus populaire, devant le PSG. Le champion de France est toutefois le moins bien classé du «Grand Quatre» en matière de notoriété, d'identification et d'émotion procurée.

La L1 bat les Bleus

Dans le sillage de son carré d'as, l'ensemble du football professionnel a de quoi se réjouir, trente-et-un clubs de L1 et L2 affichant une notoriété assistée supérieure à 50%. «Aucun autre secteur d'activité ne possède autant de marques connues et reconnues», commentent les auteurs de l'étude qui s'emploient à souligner «l'impact» du sponsoring dans l'univers du football. Sportfive insiste notamment sur l'intérêt du public féminin (25% déclarent soutenir un club) et la soif intacte des Français pour les matches télévisés (78% jugent qu'il y en a «juste assez»).

Une autre tendance relévée par l'étude pourrait faire grincer des dents à la FFF : les amateurs de football en France (comme en Italie ou en Angleterre) accordent désormais plus d'importance aux résultats de leur club préféré (53%) qu'à ceux de l'équipe de France (47%). Pas forcément l'indicateur idéal au moment où la Fédération lance son appel d'offres pour les droits TV des Bleus pour la période 2010-2014.


L'équipe
aleksandre08
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Grandes manoeuvres à la tête du PSG

Sébastien Bazin, le patron de Colony Capital, va bientôt laisser son fauteuil de président. Mais le fonds américain va renforcer sa position dans le capital du club.


Comme nous le révélions hier, Sébastien Bazin ne sera bientôt plus président du PSG. Lundi soir, un conseil d’administration du club est programmé. Cette réunion pourrait être l’occasion de valider cette décision et éventuellement d’annoncer le successeur du patron de Colony Capital Europe.
Le nouvel organigramme sera dévoilé le moins prochain, a priori avant le 10 juillet.
Si ce calendrier est respecté, le président du fonds d’investissement sera resté cinq mois dans l’ancien fauteuil de Charles Villeneuve. Une gouvernance plus courte que celle de Charles Biétry (de mai à décembre 1998), à peine plus longue que l’intérim de Charles Tahar (d’avril à mai 2008). En trois ans, le club de la capitale aura donc consumé quatre présidents. Un record dont personne ne se glorifie du côté du Parc des Princes. La succession de présidents, qu’ils soient intérimaires ou pas, (Cayzac, Tahar, Villeneuve, Bazin, et donc le futur patron) sur une période de deux ans ternit également l’image du club. Pourtant, cette énième transition n’est pas la conséquence d’une crise et va se faire en douceur. C’est assez rare pour être signalé.

Pourquoi Sébastien Bazin quitte la présidence ? Depuis le départ de Charles Villeneuve en février dernier, il a clairement signifié que sa prise de fonction était temporaire. Faute d’avoir trouvé le candidat idéal, Bazin a préféré assumer ce rôle afin d’offrir au club une seconde moitié de saison sereine et de se donner du temps pour dénicher la perle rare. Au fil des semaines, il s’est donc appuyé sur Philippe Boindrieux, le directeur général, et Alain Roche, responsable du recrutement. Cette organisation fonctionnant parfaitement, il s’était fait à l’idée un moment de continuer ainsi. Mais la fin de saison mouvementée qu’a connue le PSG a peut-être fini de le convaincre de passer la main. Le patron de Colony va retrouver l’ombre. Fidèle à sa ligne de conduite, Bazin préfère définitivement une personne plus disponible que lui pour gérer le quotidien du PSG. Comme en cette période de mercato où il est très sollicité par les différents agents de joueurs. Mais en tant qu’actionnaire majoritaire, il restera le grand patron et continuera de trancher sur tous les dossiers majeurs, à commencer par celui sur l’éventuelle arrivée de Patrick Vieira.

Quelles seront les conséquences sur l’organisation du club ? « Bazin reste actionnaire ? Alors ça ne change rien ! » Cette réaction spontanée d’un cadre de l’équipe, sous couvert d’anonymat, résume tout. Le faux départ de Sébastien Bazin n’aura aucune conséquence directe sur les joueurs, beaucoup plus impatients de découvrir leur nouvel entraîneur que leur futur président. Pour Antoine Kombouaré, en revanche, le nom du futur patron du club revêt une réelle importance. On dit souvent que les résultats d’un club dépendent de l’attelage président-entraîneur. Homme droit au caractère bien trempé, Kombouaré ne supportera pas un président interventionniste dans le secteur sportif. On peut également s’interroger sur les conséquences de ce changement en pleine période de mercato, un dossier sur lequel Bazin s’investit beaucoup. On peut toutefois penser que l’homme d’affaires et le futur président auront d’ores et déjà discuté de tous ces sujets avant la prise de fonction de ce dernier. Du côté du Parc des Princes, l’organigramme devrait revenir à sa précédente version, celle de l’ère Villeneuve. Philippe Boindrieux, Bruno Skropeta et Alain Roche devraient garder leurs fonctions respectives.

Est-ce un premier pas vers un retrait de Colony Capital ? Officiellement, non. Cela n’a rien à voir, la décision de Sébastien Bazin est personnelle et non stratégique. D’autant plus qu’il va renforcer sa présence dans le capital du club (voir page ci-contre). Néanmoins, après trois années au PSG, dire que Colony Capital réfléchit à son futur désengagement est une évidence. Mais rien ne devrait intervenir avant au moins un an. Entre-temps, Colony va continuer de travailler sur quelques projets immobiliers, à commencer par la modernisation du Parc des Princes. De l’issue de ce dossier dépend en partie la durée de son engagement au PSG.

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Colony va racheter les parts de Morgan Stanley


Colony capital va racheter les parts de Morgan Stanley dans les prochains jours. Lassé d’attendre un éventuel repreneur qui n’est jamais venu et pressé par son coactionnaire américain, fortement décidé à se désengager depuis plusieurs mois, Sébastien Bazin, le patron de Colony Capital Europe, a été contraint de reprendre les participations de la banque d’affaires.
Ce n’était pas le plan imaginé au départ. Très vite, Morgan Stanley, arrivé au printemps 2006 à égalité avec Colony et Butler à l’époque, a manifesté sa volonté de sortir du capital du PSG. Les mauvais résultats sportifs et financiers des deux premières saisons ont convaincu les dirigeants de la banque de ne plus mettre d’argent dans le club et de s’en aller. D’autant que tout le monde au sein de l’organisme financier ne voyait pas cet investissement, réalisé par la filiale anglaise, d’un très bon oeil.

Colony tout puissant

La Banque Lazard, qui s’était occupée de la vente du PSG par Canal + en 2006, a été mandatée pour trouver un successeur à Morgan Stanley il y a plus d’un an. Depuis, les repreneurs peu nombreux qui se sont manifestés ont été jugés pas assez crédibles et (ou) leurs offres trop faibles pour être acceptées.
Colony Capital, déjà actionnaire majoritaire depuis janvier 2008 et le rachat de la majorité des parts de Butler Capital Partners, va donc prochainement posséder près de 95,8 % du PSG. Butler gardant 4,2 %.
A défaut d’avoir vraiment souhaité ce rebondissement capitalistique, Colony Capital est désormais tout puissant dans le capital du club parisien. Cela va encore plus simplifier les prises de décision. Et surtout s’il décide de vendre le club, dans un an ou deux, Bazin aura plus de facilité à le faire même si Walter Butler dispose d’un droit de regard prioritaire.


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Qui remplacera Bazin à la présidence ?

Sébastien BAZIN n’a pas encore officiellement désigné son successeur à la tête du PSG. Il pourrait le faire lundi soir devant le conseil d’administration du club ou plus tard s’il n’a pas réussi encore à trancher.
Depuis plusieurs semaines, il s’appuie ainsi sur une liste de trois noms dont celui de Patrice Clerc, comme nous le révélions hier.

Agé de 60 ans, ancien patron d’Amaury Sport Organisation (ASO) et directeur de Roland-Garros de 1984 à 2000, ce dernier retient toute l’attention de Bazin. D’une compétence reconnue, il connaît parfaitement le milieu du sport et maîtrise tous les rouages de la communication, deux qualités recherchées par l’actuel président du PSG. Les deux hommes se connaissent et s’apprécient.
Il y a encore quinze jours, la seconde piste menait à Axel Duroux, ancien producteur de programmes télévisuels chez Endemol puis président du directoire du groupe RTL en France. Son profil plaisait beaucoup à Bazin, des discussions auraient d’ailleurs été entamées. Mais ce journaliste de 46 ans vient tout juste d’être nommé au poste de directeur général de TF 1, rendant ainsi cette piste caduque.

Une surprise n’est pas à exclure

Un mystère demeurait encore hier soir sur le troisième nom de cette liste. Celui de Christophe Chenut, membre du conseil d’administration du PSG et patron de Lacoste, revenait avec insistance. Cette piste n’est pourtant pas d’actualité tout comme celles menant au journaliste, ancien patron des sports de Canal +, Karl Olive et à l’ex-président de Sochaux, Jean-Claude Plessis. Le nom de Christophe Bouchet, patron de Sportfive, a également circulé. Ce dernier avait d’ailleurs été approché en janvier par Bazin pour prendre la succession de Charles Villeneuve. Il possède lui aussi le profil idéal puisqu’il a déjà dirigé un club de football et sait gérer la pression médiatique. Mais un ancien président marseillais (2002-2005) peut-il diriger le PSG ? Selon nos informations, Bouchet n’a pas été contacté dernièrement.
Le troisième candidat serait un proche de Sébastien Bazin qui n’est pas issu des médias. Un nom gardé bien secret. Il n’est donc pas exclu que l’actionnaire majoritaire du PSG réserve une surprise, à l’image de ce qu’il avait fait la saison dernière en nommant Charles Villeneuve.


Le Parisien
Oni
Citation
Bazin pense aussi à Dréossi


Le Paris-SG pourrait entériner lundi, en conseil d'administration, la décision de Sébastien Bazin de revenir dans l'ombre et de quitter formellement la présidence du Paris-SG pour se concentrer sur le rôle d'actionnaire principal. Patrice Clerc pourrait lui succéder. Âgé de soixante ans, l'ex-directeur de Roland-Garros et d'ASO est le numéro dans l'esprit de Colony Capital et la décision semble lui appartenir.

En cas de refus, une autre piste mène à Pierre Dréossi, selon les informations de L'Equipe. Le nom de l'actuel manager général du Stade rennais circule quasiment à chaque fois que l'organigramme du Paris-SG doit être refondu. C'est encore le cas actuellement pour le poste le plus exposé, même s'il ne semble pas encore avoir été directement approché ces derniers jours.

S'il échouait à trouver un président à temps plein aux épaules suffisamment solides, Sébastien Bazin pourrait choisir de rester président mais de déléguer la gestion quotidienne à un super manager général. Mais le PSG a déjà dans son organigramme un directeur général en la personne de Philippe Boindrieux. Il a l'oreille de l'actionnaire mais connaît trop peu les affaires du football pour monter déjà en première ligne.


lequipe.fr
Baghib!
L'Equipe du 27 juin (merci à sylvain qui a tapé l'intégralité de l'article smile.gif) :

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Paris voit presque Clerc

L'ancien patron d'ASO est pressenti pour rempacer Sébastien Bazin à la présidence du PSG.

Ce n'est pas vraiment une surprise. La probabilité que Sébastien Bazin demeure président non exécutif du PSG est, aujourd'hui, de plus en plus mince. Comme il l'a répété depuis le limogeage de Charles Villeneuve, en janvier dernier, l'actionnaire majoritaire du club de la capitale n'a "pas vocation" à occuper un tel poste. S'il a accepté de rester en première ligne pendant six mois, c'est avant tout pour se laisser le temps de la réflexion et ne pas se tromper sur l'identité du futur élu. A une semaine de la reprise de l'entraînement, il semble avoir avancé dans sa prospection et paraît décidé à nommer un nouveau président. Exécutif cette fois.

Pour le moment, aucune décision n'est prise mais la tendance est lourde. Le représentant de Colony Capital en Europe, qui souhaite un homme doté d'une bonne connaissance du monde du sport et capable de gérer les médias, a mieux identifié son éventuel sucesseur. Ce ne sera pas Jean-Claude Blanc, l'actuel président de la Juventus que Bazin voulait mais dont le coût du débauchage est trop élevé. Ce ne sera pas non plus Gérard Houllier, l'actuel directeur technique de la FFF, que les dirigeants parisiens auraient plutôt vu comme un manager général, mais que la Fédé n'a pas l'intention de lâcher.

Si la liste de Bazin s'est rétrécie au fil des semaines, deux noms restent en lice. Le premier, révélé dans ces colonnes en février, est Patrice Clerc. L'ancien directeur du tournoi de Rolland-Garros puis ex-patron d'Amaury Sports Organisation (ASO) jusqu'en octobre 2008 figure en pôle position. Les deux hommes se sont entretenus ces derniers jours. Clerc, qui vient de lancer PCA (Patrice Clerc Associé), une société de conseils en stratégie et gestion de projets auprès des acteurs du sport, a présenté à Bazin différents projets de collaboration avec le PSG. Il n'était cependant pas question de devenir président du club de la capitale. Jusqu'à ce que Bazin lui propose.

Dréossi dans un coin de la tête

Si Clerc n'est pas un familier du monde du foot, cet homme à l'épais carnet d'adresses a démontré, par le passé, une très grande capacité d'adaptation à l'univers dans lequel il évolue. Son profil plaît énormément et, s'il accepte l'offre de Bazin, le poste lui reviendra. Mais Clerc n'est pas la seule piste envisagée. Le nom de Pierre Dréossi revient à la surface. En février dernier, Sébastien Bazin avait demandé à Frédéric de Saint-Sernin l'autorisation de contacter son manager général. Le président rennais avait répondu : "Pas avant la fin de la saison." La saison 2008-2009 est terminée et cette piste pourrait être réactivée. Dréossi, qui, lui, n'a pas été encore contacté, présente un profil intéressant. A Rennes, il est l'homme fort du sportif, doté d'un réseau étendu et performant.

Reste à savoir sous quelle forme Sébastien Bazin souhaite modifier l'organigramme du club. Il a conscience qu'un vide est à combler, qu'il manque un homme fort. Lui ne peut pas l'être. Il a beau répéter qu'il est "président non exécutif", c'est à lui que les joueurs et les agents veulent avoir affaire dans cette période de transferts et c'est lui qui est exposé, bien plus qu'il ne l'imaginait. Le boss de Colony ne peut se permettre de consacrer l'intégralité de son temps aux activités du foot. Le PSG pourrait ainsi évoluer vers un nouveau mode de gouvernance, avec un conseil de surveillance que Bazin présiderait et un président directeur général qu'il faudrait nommer. C'est l'option prioritaire. A moins que Bazin ne choisisse de rester président non exécutif, tout en prenant beaucoup plus de recul, et de nommer un manager général, sur le modèle anglais. En tout cas, la décision pourrait intervenir avant la reprise prévue le 3 juillet.

Damien Degorre et Frédérique Galametz

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Deux pistes, deux profils

Patrice CLERC
60 ans.
Poste actuel : à la tête d'une structure de conseil.


PATRICE CLERC est une figure connue du sport français. Mais pas du football. Natif de Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), diplômé d'école de commerce, cet ami de Sébastien Bazin a longtemps travaillé tout près du Parc des Princes, mais dans un environnement plus calme : Roland Garros. Dès 1979, il est directeur marketing du tournoi de tennis, avant d'en devenir le directeur en 1984, un poste qu'il occupera jusqu'en 2000. Il change alors de sport pour intégrer un univers plus tourmené, celui du cyclisme. En prenant la présidence d'Amaury Sport Organisation (*), il devient notamment patron du Tour de France, où il montera en première ligne lors des affaires de dopage. Il a été démis de ses fonctions le 1er octobre 2008. Au début du mois, il a lancé PCA (Patrice Clerc et Associés), une structure de conseil stratégique et de gestion de projets dans le sport.

(*) Propriété, comme L'Equipe, du groupe Amaury.


Pierre DREOSSI
49 ans.
Poste actuel : manager général de Rennes.


DEPUIS FEVRIER et l'arrivée à la présidence de Sébastien Bazin, le profil recherché par le club parisien épouse le sien. Mais son histoire avec la capitale a des racines plus profondes. Défenseur, Pierre Dréossi a porté le maillot du PSG en 1988-1989. Vingt ans après, c'est en costume qu'il pourrait revenir. Dirigeant, il s'est toujours inscrit dans la durée, dès ses débuts à Cannes (1992-1996), où il s'occupe du centre de formation avant d'être entraîneur adjoint. Il participe ensuite à l'ascension de Lille, dont il est le directeur sportif puis le directeur général de 1996 à 2002. Il part alors à Rennes. Manager général, il se "nomme" entraîneur en 2006. Une mission supplémentaire achevée en 2007 sur une impression contrastée. Il a terminé sa première saison à la quatrième place mais ne finira pas la deuxième, victime en décembre d'une série de six défaites d'affilée. Il est aussitôt redevenu manager général, un poste où il est très coté, même si son armoire à trophées est toujours vide.

L'Equipe.
Rodriguez
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Le maillot de la discorde au PSG

Par Sacha Nokovitch, publié le 26/06/2009 18:09 - mis à jour le 26/06/2009 19:26


Les supporters du club parisien n'aiment pas la nouvelle tenue de leur équipe, qui s'éloigne trop des couleurs et du dessin traditionnel. La grogne monte.

Mercredi 24 juin, près de 200 supporters se sont réunis à 22 heures devant la boutique du Paris-Saint-Germain (PSG) des Champs-Élysées. Equipés de fumigènes et de banderoles, ils ont empêché les clients d'accéder au magasin.

À l'origine de ce rassemblement, le collectif "Un club! Un maillot!" créé par l'ensemble des groupes de supporters du club parisien (Kop de Boulogne, virage Auteuil, tribune Paris). Pour eux, la nouvelle tenue "domicile" de l'équipe (bleu, avec de fines rayures rouges) est beaucoup trop éloignée du maillot traditionnel du club (une bande centrale rouge encadrée de bleu) dont la première version a été élaborée en 1973 par le fondateur du club, le couturier Daniel Hechter.

"Nous avions un accord tacite avec les designers de Nike pour ne pas toucher au maillot domicile qui représente l'identité du club. Cet accord n' a pas été respecté et nous allons faire pression pour les années à venir", explique Simon, président du groupe Lutece Falco (virage Auteuil). Le mouvement de grogne ne concerne pas seulement les groupes "ultras". Bien d'autres habitués du Parc des princes voient là une "entorse" à la tradition et à l'histoire.

Le club est sous la pression de l'équipementier

Selon les supporters, le directeur général du PSG, Philippe Boindrieux, leur a affirmé que le club subissait la pression de l'équipementier américain. Celui-ci imposerait une série de tuniques parmi lesquels les dirigeants feraient leur choix sans pouvoir en proposer eux-mêmes.

Un son de cloche totalement différent résonne du côté de Nike France qui affirme que "le cahier des charges est donné par le club et que c'est à ce dernier que revient la décision finale." Une version logique lorsqu'on sait que le merchandising est une stratégie économique de plus en plus importante pour les clubs de football. Les ventes de maillot (70 euros l'unité) représentent souvent un retour sur investissement non négligeable sur l'achat d'un nouveau joueur, payé à prix d'or. Les équipementiers, eux aussi, jouent de leur imagination pour créer de produits susceptibles d'attirer les fans vers les boutiques. Mais cette obsession du marketing agace les supporters, à Paris comme ailleurs.

Si les équipementiers ont souvent utilisé les maillots "extérieurs" pour exprimer leur excentricité artistique, le maillot "domicile" est une institution à laquelle il ne fait pas bon s'attaquer. Surtout, pour Simon, le raisonnement n'est pas le bon: "Nos dirigeants ne connaissent rien au football, ils l'avouent eux-mêmes. Ils sont persuadés que ce sont les maillots qui vont amener l'argent alors que ce sont les noms de grands joueurs qui font vendre le produit. On vend beaucoup moins de maillots floqués "Bourillon" et "Armand" que "Ronaldhino" ou "Kaka".

"Une action de grande envergure" à venir

Nicolas Hourcade, sociologue spécialiste des supporters, comprend que les associations de virage insistent sur la tradition. "Il est important de savoir quelle place on accorde aux supporters dans le football d'aujourd'hui, explique-t-il. Soit on interprète le club simplement comme une entreprise et on vend des maillots à tout prix, soit on le voit comme un patrimoine culturel et social où on défend des valeurs. La difficulté est de concilier les deux." Le chercheur ajoute: "Les plus grands clubs européens ont, parmi leurs dirigeants, des personnes qui ont une culture football. Ils savent qu'on ne peut pas toucher au maillot traditionnel. Cela semble moins le cas au PSG."

Pour le moment, les supporters parisiens attendent la signature de grands joueurs et s'apprêtent à ressortir leurs anciens maillots pour encourager leur équipe. En attendant, des autocollants et affiches de protestation foisonnent dans la capitale. Le président des Lutece Falco promet aussi une action de "grande envergure" dans les semaines à venir. La saison du PSG devrait, une nouvelle fois, débuter sur fond de crise.


L'express.fr
sylvain
Football 365

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CLERC, DRÉOSSI ET LES AUTRES…

Nicolas PUIRAVAU

samedi 27 juin 2009 - 17h30
Alors que le départ de Sébastien Bazin pourrait être officialisé lundi soir, la course à sa succession a commencé. Et si Patrice Clerc semble avoir une longueur d'avance, d'autres candidats pourraient finalement sortir du chapeau.
La décision de Sébastien Bazin est désormais irrévocable : il va céder son fauteuil de président du PSG dans les jours prochains. Un choix personnel qui devrait être entériné lundi soir lors d'un Conseil d'Administration pour celui qui avait dû se résoudre à occuper le devant de la scène après le départ précipité de Charles Villeneuve en février dernier. Du coup, les dirigeants parisiens, Sébastien Bazin en tête, travaillent d'arrache-pied sur le nouvel organigramme du PSG. Philippe Boindrieux (directeur général), Alain Roche (directeur du recrutement) et Bruno Skropeta (directeur de la communication) vont garder leur poste. Et la seule priorité est donc de trouver le candidat idéal. La personne qui deviendra le neuvième président parisien en dix ans.

Dès l'annonce de ce poste présidentiel vacant, un nom a résonné dans les travées du Parc des Princes : Patrice Clerc. Cet ami de Sébastien Bazin, ancien directeur de Roland-Garros (de 1984 à 2000) puis du Tour de France (de 2000 à 2008), vient récemment de créer sa structure de conseils stratégiques sportifs. L'homme, âgé de 60 ans, n'est pas vraiment un spécialiste de football. Il n'y connaît même rien. Mais son passé et ses réussites plaident en sa faveur. Il aurait en tout cas les préférences de Sébastien Bazin et le poste lui aurait été proposé dernièrement. La balle serait désormais dans son camp et une réponse positive pourrait lever le voile sur l'avenir proche du PSG.

Un refus étant toujours envisageable, les dirigeants parisiens n'ont également pas manqué de mettre d'autres cordes à leur arc. Et plusieurs autres candidats ont été sondés, parmi lesquels Pierre Dréossi. L'actuel manager du Stade Rennais a le profil pour ce poste mais il n'est pas la priorité de Sébastien Bazin. Même son de cloche d'ailleurs pour d'autres postulants, à l'image de Christophe Bouchet et de Jean-Claude Plessis. Respectivement anciens présidents de Marseille et de Sochaux, les deux hommes connaissant parfaitement les rouages d'un club de football. Mais contrairement à Pierre Dréossi, ils n'auraient pas été approchés récemment. Reste une dernière hypothèse : celle d'un invité mystère. L'entourage de Sébastien Bazin affirme en effet qu'un autre candidat est dans les tuyaux. Mystère, quand tu nous tiens…
Bob
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scoop exclusif RMC !

Football – Paris

PSG : Clerc seul candidat à la présidence

La rédaction - FL - RMC.fr, le 27/06/2009

Patrice Clerc, l’ancien patron d’Amaury Sport Organisation, part pour succéder à Sébastien Bazin à la présidence du Paris Saint-Germain.
Patrice Clerc, directeur successivement du tournoi de Roland-Garros et d’Amaury Sport Organisation, devrait être le prochain et neuvième président du PSG en dix ans. Sébastien Bazin, le représentant de Colony Capital, l’actionnaire majoritaire, qui souhaite prendre du recul, après avoir succédé dans l’urgence à Charles Villeneuve au mois de janvier, s'est finalement décidé à passer la main. Selon nos informations, le nom de Clerc a été suggéré à Bazin en février par Christophe Chenut. Le membre du conseil d’administration du PSG, le plus proche avec Alain Cayzac de Sébastien Bazin, avait proposé le nom de l’ancien patron d'ASO à une période où Bazin souhaitait ne pas prolonger son expérience à la présidence du club. La piste qui mène à Clerc avait ensuite été mise en sommeil pour deux raisons : Bazin hésitait encore à passer la main, et dans le même temps Clerc était en train de finaliser la création de sa société de conseil dans le secteur du sport et du loisir Patrice Clerc et Associés. Ce qui a par la suite tout déclenché ? Le mois de mai très agité du PSG : le changement d’entraîneur, les déclarations de Le Guen, Makelele et Rothen, ont fini de convaincre l’homme fort de Colony Capital qu'il n'avait ni le profil ni le temps pour se consacrer pleinement à cette fonction. Echaudé par les épisodes Moulin et Villeneuve, Bazin voulait un président en qui il pourrait déléguer en toute confiance. C’est ainsi que le nom de Clerc a refait surface. Un conseil d'administration est programmé lundi à 17h, et selon nos informations le nom de Patrice Clerc devrait être définitivement entériné par les membres du conseil.
Heiji-sama
Le Parisien (29/06) :
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Alain Roche : « Le Guen était devenu paranoïaque »
Le directeur du recrutement du PSG n’a pas apprécié d’être jugé incompétent par Paul Le Guen, l’ex-entraîneur parisien. Silencieux jusque-là, il lui répond enfin.

Alain ROCHE rompt le silence ! Après un mois de réflexion, le directeur du recrutement du PSG a décidé de répondre aux propos acerbes de Paul LeGuen juste avant le derniermatch de la saison. Il contre-attaque et « rectifie quelques vérités ».

Comment avez-vous réagi en lisant que Paul Le Guen parlait à votre égard de « médiocrité » et d’« incompétence » ?

Alain Roche. J’ai été surpris par la violence des propos et extrêmement blessé.
Qu’on vienne répéter à mes trois enfants que leur père est médiocre et incompétent, ça fait très mal. Me faire siffler au jubilé Pauleta, ça touche aussi. Il me fait passer pour quelqu’un de machiavélique, ce que je ne suis absolument pas. Je ne comprends pas ce règlement de comptes public, je ne m’attendais pas à ça de sa part. J’aurais préféré qu’il me dise les choses en face et qu’il me dise ce qu’il me reproche. Je mets ça sur le compte de la paranoïa et de son entourage très néfaste.

Avez-vous milité pour son départ ?

Non. On m’a demandé mon avis sur lui, point. Je n’ai pas « milité » pour qu’il parte. Ce n’est pas mon avis qui a influencé Sébastien Bazin. Personne ne peut l’influencer. Depuis deux ans, les médias disent que j’ai un rôle mineur dans ce club. Et du jour au lendemain, parce que le président choisit Antoine Kombouaré avec qui je suis ami, je deviens lepersonnage le plus influent du club, un comploteur. C’est incroyable !

Comment qualifieriez-vous vos relations avec Paul Le Guen ?

Elles n’étaient pas chaleureuses, tout le monde le sait. On ne formait pas une équipe. Paul fait confiance à très peu de monde. Il se protège, c’est normal, le métier d’entraîneur est très dur.Mais avec la pression, il était devenu paranoïaque. Cela dit, nos mauvaises relations n’ont jamais eu d’influences néfastes sur le club. J’ai une conscience professionnelle et Paul aussi. Chacun a mis son ego de côté dans l’intérêt du PSG.

Le point de rupture correspond à l’arrivée de Mateja Kezman. Que s’est-il passé exactement ?

On a travaillé longtemps sur Briand qu’on n’a pas pu faire venir. Il a fallu trouver une solution. Le nom de Kezman est revenu. Je suis allé à Istanbul mi-juillet 2008 mais Paul ne le voulait pas. Après le premier match de la saison à Monaco (défaite 1-0), il dit à Charles Villeneuve (NDLR : alors président du PSG) : « Il faut prendre Kezman. » Paul est devenu amnésique, mais cette phrase, je l’ai entendue. Comme sur tous les dossiers recrutement, la décision a été validée par le président, l’entraîneur et moi.

Il vous reproche aussi d’avoir pris les Brésiliens Souza et Everton pendant l’hiver 2007…

On fait ce coup car on est en panique totale ! Gouffran doit venir et change d’avis au dernier moment, Gallardo est parti, l’effectif est limite. Souza, tout le monde le voulait, Paul avait donné son accord. Ce ne sont pas des mauvais joueurs, mais il ne fallait pas les prendre en plein hiver, alors que l’équipe ne fonctionnait pas.

Est-il vrai que vous avez passé la saison à « fracasser » Jérôme Rothen dans les travées du Parc comme il le prétend ?

Je ne suis pas venu plus de cinq fois au Parc cette saison. J’ai donné une fois un avis négatif sur Jérôme à Yves Colleu (adjoint de Le Guen) et Paul dans le vestiaire après un match. J’ai le droit quand même ! Je ne l’ai pas « fracassé ». J’ai été joueur, je les respecte. Jeme suis expliqué avec lui, je lui ai dit ce que je pensais.

Va-t-il quitter le PSG ?

Contrairement à ce qu’il raconte dans les journaux, on n’a jamais eu l’intention de s’en séparer. Maintenant, il veut partir.Si les propositions sont intéressantes pour le club et pour lui, on réfléchira.

Les présidents et les entraîneurs valsent depuis six ans au PSG et vous êtes toujours là. Etes-vous particulièrement compétent ou opportuniste ?

Demandez les avis de Vahid Halilhodzic, Guy Lacombe, Laurent Fournier ! Demandez à Francis Graille ou à Alain Cayzac ! Vous verrez… Sébastien Bazin ne fait pas de sentiments. Dans sa boîte ou au PSG, c’est une gestion d’entreprise. Si je suis toujours là, c’est peut-être parce que j’ai quelques compétences.

Votre nomination au poste de directeur sportif a été évoquée mais rien ne se passe. Les déclarations de Le Guen vous ont-elles nui ?

Non. Sébastien Bazin m’a dit que ça n’aurait aucune incidence. Mais il ne m’a jamais dit que je serai directeur sportif. Moi, je lui ai juste proposé une organisation sportive pour développer certains secteurs comme le recrutement. Je pense que ça peut être positif pour le club.

Sébastien Bazin va quitter la présidence. Cela va-t-il changer quelque chose pour vous ?

Je n’en sais rien… Le prochain président va peut-être définir une nouvelle organisation. Si on ne veut plus demoi, je ferai autre chose. Je ne suis pas plus bête qu’un autre, je suis travailleur, honnête et intègre.

Où en est le recrutement ?

Les dossiers, vous les connaissez. Coupet, Erding (lire aussi ci-contre), Jallet…Grégory Coupet va passer sa visite médicale la semaine prochaine. Pour les autres, on est en phase de négociations, ce n’est pas simple.

Patrick Vieira va-t-il venir ?

Peut-être…Mais pas avec les conditions salariales de l’Inter Milan.
And1
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Il pourrait jouer un jour au PSG !
Grand francophile, Kaka est également revenu sur les liens qu'il a eu avec le Paris-SG. «Quand j'ai signé au Milan en 2003, le club voulait me prêter pendant un an et le PSG était une destination possible. Mais il m'a finalement gardé, a expliqué l'ancien joueur de Sao Paulo qui aurait ainsi pu remplacer Ronaldinho. Paris est une ville merveilleuse. Peut-être qu'un jour, si Leonardo devient le coach ou le directeur sportif du PSG, je jouerai là-bas.»


L'Equipe
allezalex
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Communiqué du club

Communiqué | 28/06/09 | 07:00

Le Paris Saint-Germain prend acte du rejet par la Fédération Française de Football de la proposition de conciliation du CNOSF à propos de la décision de la commission supérieure d’appel de la FFF du 31 mars 2009, infligeant notamment un match à huis clos avec sursis au Club.

Sur la forme, le Paris Saint-Germain tient à souligner les positions contradictoires de la Fédération Française de Football, qui par la voix de son Président regrette la « judiciarisation » du Football et de l’autre rejette une proposition de l’organe de conciliation du sport français, obligeant par là même le Paris Saint-Germain à entamer une action judiciaire pour faire reconnaître le bien fondé de sa position, alors que le CNOSF l’avait pour sa part reconnu.

Sur le fond, cette décision de la Fédération Française de Football illustre la méconnaissance des dirigeants des instances du football français des difficultés auxquelles l’ensemble des clubs de football de notre pays, quelque soit leur niveau, doivent faire face en matière de sécurité.

Elle montre également, hélas, que la Fédération Française de Football, afin de donner l’apparence de traiter le problème de la sécurité dans les stades, préfère continuer à sanctionner les clubs, malgré les mesures de plus en plus efficaces mises en oeuvre par ceux-ci, plutôt que de répondre favorablement à la demande du Paris Saint-Germain, relayée par le CNOSF, de travailler conjointement avec les clubs, la Ligue de Football Professionnelle et les pouvoirs publics afin de continuer à faire progresser ce sujet particulièrement délicat.

Les difficultés rencontrées récemment par la Fédération Française de Football en matière de sécurité lors de l’organisation du match France-Turquie devraient pourtant amener les dirigeants de la Fédération à revoir leur position.


PSG.FR
sylvain
L'Equipe.


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L'opération imprévue de Colony

L'actionnaire majoritaire du PSG vient de s'engager à racheter les 33.3% d'actions de Morgan Stanley.

Jamais, depuis la fin de l'ère Canal +, une seule entreprise n'avait été dominante à ce point dans le capital du PSG. Déjà détentrice de 62.5% des parts du club parisien, Colony Capital s'apprête à racheter les 33.3% détenus par Morgan Stanley depuis trois ans, comme le révélait le Parisien dans son édition d'hier. Butler Capital Partners, lui, conserve toujours 4.2% des actions et un droit de préemption sur le rachat du club le jour où le fond de pensions américain, spécialisé dans les investissements immobiliers, s'engagera officiellement dans un processus de vente du PSG.

Actionnaire dominant, Morgan Stanley n'a jamais influé sur la politique du PSG. Son arrivée au sein du club de la capitale s'était d'ailleurs déroulée dans des conditions étranges, la branche anglo-américaine de la banque d'investissement validant l'opération sans en tenir particulièrement informé le bureau de Paris. Depuis, les représentants français de Morgan Stanley entendaient se désengager dès que possible du club parisien. Ces derniers temps, des divergences seraient réapparues au sein de la banque sur le bien-fondé de sortir ou non du capital du PSG. Mais les partisans du retrait ont eu le dernier mot. C'est en décembre 2007, quand Walter Butler avait négocié la vente de 29.1% de ses actions, que Colony s'était engagé auprès de Morgan Stanley à racheter ses parts sous dix-huit mois si aucun nouvel actionnaire ne se manifestait d'ici-là. Le mandat alors accordé à la banque Lazard pour trouver le "successeur" de Morgan Stanley n'ayant abouti sur aucune perspective intéressante, Colony s'est retrouvé contraint de tenir sa promesse.

Selon nos informations, le rachat des actions de Morgan Stanley oscillerait dans une fourchette de 10 à 12 millions d'euros. La transaction serait donc opérée sur la base d'une valorisation du PSG sensiblement inférieure aux 80 millions d'euros retenus pour payer les actions de Butler, il y a un an et demi. Pour Colony Capital, même négociée au mieux, cette dépense n'est pas forcément réjouissante, alors que Canal + attendrait toujours les deux dernières traites de la vente du club. Le paiement des parts de Morgan Stanley devrait également s'étaler sur plusieurs échéances. Reste à voir l'éventuel impact de cette opération sur d'autres dépenses, notamment en matière de politique sportive. Un dossier sur lequel devrait se pencher d'ici peu Patrice Clerc, toujours pressenti pour succéder à Sébastien Bazin à la tête du PSG.

J.T
Schultzy
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Bazin : « Je n’ai pas encore choisi le président »

Avant le conseil d’administration d’aujourd’hui, Sébastien Bazin, actionnaire majoritaire du PSG, évoque sa succession à la présidence et le rachat des actions de Morgan Stanley.

En week-end dans sa maison de bord de mer en Bretagne, Sébastien Bazin a accepté de nous livrer son analyse à la veille d’un conseil d’administration du PSG aujourd’hui. Il dévoile les raisons de son futur départ de la présidence et confirme que Patrice Clerc, lui aussi en Bretagne pendant ce week-end, n’est pas le seul candidat à sa succession.
Le patron de Colony Capital Europe revient sur le prochain rachat des 33,33 % du club détenus par Morgan Stanley comme nous le révélions dans nos éditions de samedi.

Un conseil d’administration du PSG a lieu ce soir. Quel en est l’ordre du jour et sera-t-il question de votre départ de la présidence ?
Sébastien Bazin. Nous allons discuter des comptes de cette saison qui se clôture le 30 juin (demain) et valider l’augmentation de capital promise à la Direction nationale du contrôle de gestion (DNCG). Quant à la présidence, c’est moi qui reste le maître du temps et ce n’est pas l’urgence du moment. Je veux avant tout constituer une équipe sportive qui soit capable de tenir la route pour la prochaine saison.

Même si vous ne le souhaitiez pas, vous êtes obligé d’être très présent en matière de recrutement…
Oui et non. J’ai été plus présent en termes de dialogue. Pour toutes les discussions au-dessus de 1 M€, c’est moi qui prends la décision finale. Certains joueurs et agents accordent une grande importance à l’identité du président pour négocier. Cela m’agace car, sur certaines questions, on n’a pas besoin de moi.

Pourquoi décidez-vous alors de quitter la présidence ? Est-ce en raison de la pression des supporteurs ?
Quand j’ai pris le poste de président non exécutif en février, j’ai toujours dit que je n’avais pas vocation à occuper cette fonction et que j’allais chercher quelqu’un à mettre à ma place. Les revendications des supporteurs ne changent rien à ma décision. Leurs réactions ne me choquent pas ; j’en rencontre certains assez régulièrement. Après, c’est une question d’allocation du temps. Je vais choisir une nouvelle direction. Mais comme je vous l’ai dit, je veux d’abord faire un bon recrutement.

Vous n’allez pas attendre fin août et le terme du mercato pour prendre les décisions…
Elles seront prises avant le 8 août et le début du Championnat. Je prends mon temps, je n’ai pas encore décidé de la bonne organisation.

Quelle pourrait-elle être ?
Rester comme on est actuellement ou passer en conseil de surveillance et directoire. Entre les deux structures, cela ne change pas grand-chose, il est vrai. Le conseil de surveillance représenterait les actionnaires et le directoire le management du club.

Pour vous succéder, le nom de Patrice Clerc revient régulièrement. Qu’en est-il exactement ?
Patrice Clerc est quelqu’un que je considère. Dans toutes ses activités, aussi bien à Roland-Garros que chez Amaury Sport Organisation (ASO), il a toujours su créer du chiffre d’affaires et améliorer la rentabilité de ces sociétés. Et il faut pérenniser le PSG. Patrice est un candidat mais il n’est pas le seul. D’autant qu’il vient de créer sa société* et qu’il n’a pas envie de la quitter.

Pourrait-il cumuler les deux fonctions ?
Oui, mais comme je vous l’ai dit, il n’est pas seul en lice. Aujourd’hui, je n’ai pas encore choisi le président. Ma priorité est d’assurer au club un bon recrutement pour la saison prochaine. Et ce sera le cas.

Pourquoi avez-vous aussi décidé de racheter les parts de Morgan Stanley, votre co-actionnaire ?
Ce n’est pas encore fait, on doit régler quelques détails. Je n’étais pas obligé de faire cela, il n’y avait aucun engagement en ce sens mais ce sera pour moi une manière de mieux maîtriser l’avenir. Morgan Stanley ne voulait pas suivre certains investissements que je souhaitais faire.

Ce sera peut-être aussi plus simple le jour où vous déciderez de vendre le club…
J’ai toujours dit que j’étais là pour cinq ou six ans. Cela fait trois ans, je ne partirai pas demain.

Demain, ça peut-être dans un an ?
Vous verrez bien .

* Patrice Clerc et Associé (PCA), une société de conseil en stratégie et gestion de projets auprès des acteurs du sport.

Citation
L’augmentation de capital validée aujourd’hui

Un conseil d’administration du PSG se tiendra aujourd’hui en fin d’après-midi. A l’ordre du jour, il sera notamment question de l’augmentation de capital promise par l’actionnaire à la Direction nationale du contrôle de gestion (DNCG) pour couvrir les pertes de l’exercice, estimées à environ 10 M€. Elle devrait être d’un montant légèrement inférieur (entre 5 et 7 M€) car le PSG possède des fonds propres positifs.
A l’occasion de ce conseil d’administration de fin de saison, un point devrait aussi être fait sur l’avancée des transferts et sur la prolongation du contrat de marketing sportif avec Sportfive, annoncée comme imminente.
En revanche, même si ce n’est pas à exclure totalement, les administrateurs parisiens ne devraient pas aborder la question du successeur de Sébastien Bazin à la présidence. Comme nous l’a confié le patron de Colony Capital Europe, sa priorité est d’assurer un bon mercato avant de régler sa succession courant juillet. Plusieurs candidats sont en lice dont Patrice Clerc (voir nos éditions de vendredi). Hier, le nom de Bernard Laporte, ancien secrétaire d’Etat aux Sports, revenait. Mais dans l’entourage du club, cette piste a été démentie.


Le Parisien.fr
Steff14
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Grégory Coupet signe au PSG



Transfert | 29/06/09 | 17:25

Le gardien de but français, Grégory Coupet, a signé un contrat de deux ans en faveur du Paris Saint-Germain.

« Mickaël Landreau ayant fait part de son souhait de quitter le club, il était important pour le PSG de recruter un nouveau gardien de but. Notre choix s'est donc porté sur Grégory Coupet, qui allie qualités techniques, état d'esprit irréprochable et expérience. Nous sommes très heureux par cette signature » a déclaré Philippe Boindrieux.

Retrouvez dans quelques instants la vidéo et l'entretien de Grégory Coupet sur PSG.TV et PSG.FR


PSG.fr
Kiolm
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Grégory Coupet (Gardien de but du PSG)

Que ressens-tu après ta signature au PSG ?
« Ce n'est que du bonheur ! Signer mon contrat sous un beau soleil sera, je l’espère, prémonitoire. Me retrouver ici, au Parc des Princes, c’est beaucoup de souvenirs, que ce soit en tant que joueur ou spectateur. C’est une équipe qui m’a fait rêver en tant que gardien : Baratelli, Bats, Lama et Luc Borelli sont pour moi des « grands ». Cela représente une grande fierté de pouvoir appartenir à cette grande famille des gardiens parisiens. »

Pourquoi avoir choisi le PSG après l’OL et l’Atletico Madrid ?

« Pour être honnête, quand j’avais 20 ans, si on m’avait dit qu’à 36 ans, on me proposerait encore le Paris Saint-Germain, c’est juste exceptionnel. Paris est un grand club en France, un lieu où tout le monde a envie de jouer. Les adversaires, quand ils viennent au Parc, jouent toujours à 100% donc je vais avoir la chance de pouvoir ne jouer que des matches de haut niveau. »

Quelle est ton ambition ?
« Mon ambition au PSG est de gagner, tout simplement. Je ne veux pas faire de la figuration. J’ai envie de porter haut ces couleurs et donner le maximum. »




PSG.FR
Kiolm
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Kombouaré: «Au travail !»

Avant la reprise du Paris-SG vendredi au camp des Loges, Antoine Kombouaré, le nouvel entraîneur du club s'est confié à notre site en exclusivité. Impatient de travailler avec sa nouvelle équipe, l'entraîneur calédonien compte sur l'envie et le talent de ses joueurs pour réussir la saison qui s'annonce. Sans oublier sa marque de fabrique : le travail.

«Antoine, vous reprenez l'entraînement vendredi. Comment cela se présente t-il pour vous ?
Bien, je prends les choses comme elles viennent. Les joueurs ont eu des vacances, ils ont rechargé les batteries et c'est très important. L'envie de reprendre est bien là, pour moi comme pour eux, et c'est le moment de se mettre au travail. Je suis très content que les joueurs soient là dans la grande majorité.

Grégory Coupet a signé aujourd'hui pour deux ans...
Je suis très content ! Vous savez très bien que dés que j'ai su que je signais au PSG, j'ai travaillé pour qu'on prenne un grand gardien. J'ai beaucoup misé sur sa venue. C'était mon premier choix et le seul, alors il fallait que ça marche.

Son âge, 36 ans, et le fait qu'il ait peu joué a l'Atletico Madrid vous gêne t-il ?
C'est un grand gardien et le fait qu'il ait peu joué, ce n'est PAS important car il a le couteau entre les dents. On sait qu'il n'a plus beaucoup de saisons devant lui, mais il a envie de casser la baraque et c'est ça qui me plaît. Comme il a peu joué, c'est un gardien neuf dans sa tête, j'attends de lui qu'il fasse une grande saison.

Vous vouliez aussi Mevlut Erding...
Oui et c'est un gros investissement pour le club. Il a un gros potentiel, il l'a montré à Sochaux et j'espère qu'il franchira un palier supérieur avec nous. C'était, là aussi, mon premier choix en attaque. Il a montré les prémices de son talent avec Sochaux, il est jeune et il a envie, ça me plaît.

Il sera de la reprise ?
Oui, il sera là. Il passe la visite médicale normalement demain (mardi).

«L'idéal, c'est de pouvoir avoir son groupe d'entrée»


Avoir les recrues dés le début, est-ce un plus selon vous ?
Je compte sur tous les joueurs qui ont du talent. C'est vrai qu'il vaut mieux avoir tout le monde au départ. L'idéal, c'est de pouvoir avoir son groupe d'entrée mais dans le foot, on sait bien que les choses bougent, qu'il y du mouvement dans la préparation, que les négociations sont difficiles, c'est comme ça. Quand on est dans ce métier, on sait qu'il y aura du mouvement dans l'effectif. J'espère qu'il n'y aura pas trop de mouvements pour nous.

Sébastien Bazin, l'actionnaire majoritaire et président non exécutif du club prépare sa succession. Est-ce de nature à vous troubler, vous qui venez d'arriver ?*
C'est son choix. C'est sa décision, je la respecte mais ça ne change rien pour moi. Mon souci, ce sont mes joueurs. Le plus important dans cette histoire, c'est qu'il faut un président qui soit là au quotidien car le PSG est un grand club qui se gère au quotidien.

Votre préparation débute par la Bretagne ?
Oui, du 5 au 15 juillet avec les matches amicaux prévus. Il y aura aussi le tournoi Emirates. Au total, ça nous fera cinq semaines de préparation. Il n'y aura pas de deuxième stage car il ne faut pas surcharger le programme.»

Recueillis par Christophe MICHEL

* Le Conseil d'administration du PSG, réuni lundi, a procédé à une augmentation de capital afin de combler les pertes de 10 millions d'euros enregistrées à l'issue de la saison 2008-09 mais n'a pas désigné de successeur au président Sébastien Bazin


lequipe.fr
aleksandre08
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Bazin reste président du PSG

Le conseil d’administration du Paris SG n’a pas désigné de successeur à Sébastien Bazin au poste de président du club.

Alors qu’on attendait l’annonce de l’officialisation de Patrice Clerc aux commandes du Paris SG, le conseil d’administration du club qui s’est tenu lundi a pour l’instant maintenu Sébastien Bazin dans ses fonctions. Le club a décidé de procéder à une augmentation de capital de 10 millions d’euros pour éponger les dettes de la saison passée


Sport24
Biz Markie
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«L'orgueil» de Coupet


A peine recruté par le Paris-SG, Grégory Coupet déclare mardi, dans un entretien à L'Equipe, que c'est «l'orgueil» qui l'a poussé à quitter l'Atletico Madrid pour accepter un retour en France. «Je suis un orgueilleux, confie l'ex-gardien de l'OL, un amoureux du sport, de la compétition. Encore une fois, c'est mon métier, ma passion. Je ne sais faire que cela.»

«Quand j'ai été approché par Paris, Leo Franco, l'autre gardien, n'était pas parti, raconte Coupet au quotidien. Moi, je suis un joueur de foot, c'est ma vie de garder une cage, c'est ma vie d'attendre le match qui arrive.»

A 36 ans, le successeur de Landreau ne pense pas à sa fin de carrière. Interrogé sur la possibilité de le voir jouer jusqu'à 40 ans, il répond à L'Equipe : «C'est un beau challenge. Je ne suis pas las. Un gardien comme Van der Sar (38 ans) vient de prolonger à Manchester.»

Coupet, ''Je suis un orgueilleux'', à lire mardi dans L'Equipe

Lequipe.fr
Kiolm
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Coupet au PSG : «A 36 ans, c’est une chance énorme»

Grégory Coupet s’est engagé hier pour deux saisons avec le PSG. L’attaquant turc Mevlut Erding doublera la mise aujourd’hui en signant pour quatre ans.

Après avoir passé avec succès la visite médicale hier en début d’après-midi, Grégory Coupet, le nouveau gardien du PSG, a signé deux ans à Paris. L’ancien joueur de l’OL et de l’Atletico Madrid a ensuite accordé un entretien au « Parisien » - « Aujourd’hui en France ».

De quand datent vos premiers contacts avec le PSG ?

Grégory Coupet. Il y a un mois.
Quand j’ai dit que je voulais à nouveau être titulaire dans un club, Alain Roche m’a contacté pour savoir si le challenge parisien m’intéressait. Mon oui a été immédiat : à 36 ans, c’est une chance énorme que le PSG souhaite vous enrôler.

Vous êtes-vous néanmoins renseigné sur le club ?
Sur Internet j’ai regardé à quoi ressemblait le camp des Loges. Et j’ai suivi le recrutement du nouvel entraîneur. J’étais OK pour venir avec Le Guen, pareil avec Antoine Kombouaré. J’ai reçu des échos très favorables sur le nouveau coach des gardiens (Nicolas Déhon). Mais j’avais posé une condition à ma venue.

Laquelle ?
Il fallait que la place soit libre. Mika (Landreau) est un copain et il était hors de question que je vienne s’il était encore au club. Ce n’est pas dans mes habitudes de piquer la place d’un pote.

Que répondez-vous à ceux qui vous trouvent trop âgé ?
C’est à moi de leur donner tort. J’aurais 25 ans, je trouverais, moi aussi, anormal qu’un gardien de 36 ans joue à Paris. C’est logique de penser cela. Mais ma force, c’est mon envie énorme de jouer. J’en ai trop besoin. Sportivement, je sors d’un gros échec car je ne jouais pas à l’Atletico Madrid. Au lieu de me faire sombrer, cela a décuplé ma volonté de jouer. J’ai compris que disputer des matchs, c’est ma vie. Je suis né pour ça. J’ai besoin de l’adrénaline des rencontres. Il fallait qu’on me prive de jeu pour que je comprenne à quel point j’étais un compétiteur.

Revenir en France, est-ce une façon de ne pas finir votre carrière dans l’anonymat ?
Un peu. Je ne suis pas mort pour le foot de haut niveau. Il y a une part d’orgueil en moi et c’est normal. Ce qui ne m’empêche pas de mesurer à quel point je suis un type chanceux. Le PSG m’offre, à 36 ans, un challenge extraordinaire dont je n’aurais même pas rêvé il y a cinq ans.

Aurez-vous besoin d’un temps d’adaptation ?
Il n’en est pas question. Je dois être bon tout de suite. Il y a deux bons gardiens dans l’effectif (Edel et Veron). Ce serait un manque de respect que de ne pas être prêt d’entrée. Je ne réclame aucune indulgence.

Comment imaginez-vous vos premières semaines à Paris ?
Je vais observer avec beaucoup d’humilité. Tout le monde dit que c’est compliqué. Je verrai bien. De toute façon, je viendrai avec ma bonne humeur et ma joie de vivre. Et je connais pas mal de joueurs car j’ai évolué avec Camara et Armand à Saint-Etienne et Clément, Giuly et Luyindula à Lyon.

Quelles sont vos ambitions avec le PSG ?
Depuis le temps que je joue le haut du tableau, je n’imagine pas une seconde faire preuve de modestie. Il ne faudra se poser aucune question et tenter de tout gagner. A moi de faire vibrer le Parc d’entrée.


Le Parisien
Hari
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Colony Capital détient 95,8 % du PSG


Le conseil d’administration du PSG s’est tenu hier chez Colony Capital, près des Champs-Elysées. Comme révélé dans nos colonnes le 5 juin, il a acté l’augmentation de capital comprise entre 5 et 7 M€ afin de couvrir les pertes et présenter des comptes « propres » à la DNCG, le gendarme du football français.
Le conseil a par ailleurs confirmé Philippe Boindrieux, le directeur général, dans ses fonctions de n° 2 du club. Avant que Sébastien Bazin ne prenne la présidence en février, Boindrieux était directeur général délégué.
Plus tôt dans la journée, et selon nos informations, le patron de Colony Capital Europe est passé d’actionnaire majoritaire (62,5 %) à propriétaire ultradominateur (95,8 %). Il a en effet racheté les 33,3 % du capital du PSG détenus par Morgan Stanley. Il paiera la banque anglo-américaine en deux fois. Le premier versement, hier, était inférieur à 9 M€. Le second aura lieu… dans plusieurs années, et sera d’un montant encore inconnu. Les opérations capitalistiques du club ne relèvent pas du conseil d’administration, pas plus que la recherche d’un nouveau président. Celle-ci incombe uniquement à Bazin, selon un calendrier qui lui est propre. Il se donne encore du temps, sans pression ni urgence, guidé par l’idée de trouver le meilleur successeur possible. Parallèlement à Patrice Clerc, Bazin songe à un juriste qu’il connaît de longue date.

Le PSG réfléchit à l’avenir de ses kinésithérapeutes. Joël Le Hir pourrait ainsi quitter le staff médical, ainsi que Pascal Roche.

A.H. et D.S.


Le Parisien
lenzo
Citation
Edel : «On m'a traité comme de la viande»

Edel est un Lion en cage. Le remplaçant de Mickaël Landreau la saison dernière, qui n'a pas encaissé le moindre but avec le Paris-SG, devrait poursuivre son apprentissage du très haut niveau auprès de Grégory Coupet. Mais l'essentiel est ailleurs. Il est né au Cameroun, a grandi au Cameroun, mais est international... arménien ! Son histoire personnelle le prive de son plus grand rêve : jouer pour les Lions Indomptables. Confidences.


Quel conflit vous oppose à la Fifa ?
Je suis camerounais et pourtant je suis international arménien. Avant, je n'avais pas le soutien de la Fédération camerounaise. Elle ne m'avait pas convoqué en équipe nationale. Là, elle l'a fait depuis quelques mois et je me suis retourné vers la Fifa. J'ai envoyé une lettre à la Fédération camerounaise. Elle doit se retourner contre la Fifa et le procès pourra alors se tenir. C'est trop long... La Fédération camerounaise est à fond derrière moi. Eto'o est au courant et il m'aide. Comme Makoun, Mbami et beaucoup d'autres internationaux... Ils sont solidaires. J'espère retrouver ma nationalité et jouer pour mon pays. On m'en empêche à cause de mon passé.

Racontez-nous votre histoire singulière...

A 14-15 ans en mai 2002, je suis parti du Cameroun. Direction l'Arménie. Le manager qui m'a invité m'a dit que c'était pour un test. Il a ajouté que l'Arménie, c'était comme la France. Car, au Cameroun, on connaissait tous la France. J'étais avec un pote. On a joué six mois, mais cela ne nous convenait pas... On voulait aller en France. Ils nous ont bloqués et nous ont fait des passeports arméniens. On m'a traité comme de la viande, comme une marchandise.

Ce «manager» avait tout prévu...
Oui. Quand on est partis, tout était déjà réglé. On nous a emmenés pour jouer en équipe d'Arménie, mais on n'était pas au courant. On a été escroqués. On nous a bloqués. On a abusé de notre jeunesse. Mais pour un qui réussit finalement, comme moi, combien terminent sans-papiers ou sur le bord de la route?? C'est une forme d'esclavage moderne. Certains savent que la vie en Afrique est très dure. Ils viennent et tu es obligé de faire tout ce qu'ils demandent. Mais il n'y a pas que ça. Certains agents sont honnêtes et respectent la loi.

Cela a dû être difficile à vivre...
Oui. J'ai connu ça. C'est très mal. Je n'étais pas considéré comme un humain mais comme une marchandise. On te dit d'aller à droite, tu vas à droite. Et on me payait un salaire de misère. Si je vous le disais, vous péteriez un câble. Vous ne me croiriez pas. C'était à peine quelques centaines d'euros. Et en deux mois, je jouais pour l'équipe nationale des 17 ans, des 19 ans, des 21 ans et des A. C'était un truc de fou.

Jouez-vous un rôle auprès des jeunes joueurs qui sont exploités comme vous l'avez été ?
Pour l'instant, je ne tiens aucun rôle, mais mon passé parle de lui-même. Dans le futur, je veux être celui qui défend les jeunes des pays africains. Être là pour les conseiller et pour que les managers n'abusent pas d'eux.

Aujourd'hui, quel est votre rêve ?
Mon rêve, c'est de jouer pour les Lions Indomptables. Pour tout Camerounais, c'est un rêve, un honneur. Si j'obtiens ma nationalité, je serai le plus heureux du monde.

Êtes-vous conscient d'avoir eu de la chance ?

Quelque part oui, mais la chance ne vient pas seule. Il faut travailler. Je suis catholique. Je mets toujours Dieu devant moi. Mais c'est vrai. J'ai eu de la chance. De l'Arménie à la France en passant par la Roumanie, la Belgique... J'ai failli signer à Benfica... C'est une longue histoire.

Comment êtes-vous arrivé au PSG ?
En 2006, je suis venu faire un essai de deux semaines au Camp des Loges. Ça s'était bien passé, mais mes dirigeants demandaient 1 million d'euros... alors que j'avais 17 ans. J'ai gardé contact avec Christian Mas (entraîneur des gardiens du PSG). Par chance, on joue avec le Rapid Bucarest contre le PSG en UEFA. Et surprise, je tombe sur Christian Mas. Quand le PSG a eu besoin d'un jeune gardien, il a pensé à moi. Et j'espère en devenir le gardien de but n° 1. Je serais ainsi le premier gardien de l'histoire du club à passer du statut de troisième gardien à celui de titulaire.»


Raphaël Domenach
Aujourd'hui Sport
sylvain
So Foot

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PSG : Coupet-Erding, un recrutement démographique

Ligue 1 Paris Saint-Germain
30 juin 2009


Dans un coma profond depuis la baisser de rideau du championnat, le recrutement parisien se réveille enfin. Grégory Coupet a signé, et Mevlut Erding s’apprête à le faire. Une doublette qui sonne comme un rappel du mercato 2008.

Paris aurait-il trouvé la formule ? Il s’applique en tout cas à la reproduire. Vitalité et sérénité. Ambition et gestion. Fougue et contrôle. Plus simplement : un jeune, associé à un vieux. Hoarau et Giuly, la doublette a fonctionné à merveille. Ou Makélélé-Sessegnon, un patron de vestiaire et un détonateur de jeu. Le PSG n’est ni un pays du tiers-monde à la jeunesse surnuméraire, ni une nation occidentale stérile, menacée de vieillissement inexorable. A Paris, on milite pour l’équilibre de la pyramide des âges.

Cette année, Coupet se trouve dans le rôle du footballeur à galons, et l’attaquant sochalien dans celui de l’Espoir qui promet de faire mal. Le pack Coupet-Erding rappelle d’ailleurs singulièrement celui formé par Makélélé et Sessegnon, plutôt que l’attelage Hoarau-Giuly. Et pas seulement parce que l’ancien roi Lyon, et sosie d’Amélie Mauresmo (si si), appartient à la même génération que Claudius l’ancien (moins de deux mois les séparent). Et que le jeunot arrive d’un club de seconde zone.

La véritable valeur ajoutée de Makélélé cette saison ? Son rôle d’aboyeur, d’apôtre du culte de la gagne, bien plus que son apport technique ou sa capacité à ordonnancer le jeu. Et jusqu’à quelques semaines du terme du championnat, l’option vieux singe a failli s’avérer un coup de maître. Peu importait alors que Claude MC ne soit plus, à 36 ans, le milieu déf le plus bluffant de la planète. Grégory Coupet n’est sans doute plus, lui aussi, au sommet de son art, quant il comptait parmi les meilleurs gardiens du monde de 2004 à 2006. Mais pour mobiliser son arrière-garde et lui remonter les bretelles, le septuple champion de France fait davantage figure d’homme de la situation, qu’un Landreau, souvent brillant, mais trop vulnérable sous le poids de la pression. Micka : le genre à souffler plutôt qu’à gueuler face à l’adversité.

A 22 ans, Mevlut Erding, comme Sessegnon, semble ne pas avoir peur de grand chose. Le doute, le temps d’adaptation sont des concepts qui lui sont étrangers. Du genre à saisir les occasions le jeune Turc, plutôt qu’à voir le bâton lui glisser entre les mains. A Sochaux, Erding marque lors de son premier match. En sélection turque, il déboule tel un Ribéry en 2006, et débute l’Euro, moins d’un trimestre après sa première sélection. L’an dernier, Sessegnon avait emballé le Parc dès ses premiers ballons, pour devenir en quelques semaines une référence du championnat. Bis pour Mevlut ?

Au-delà du duo Coupet-Erding, c’est en fait toute l’équipe parisienne qui est ordonnancée par le principe de l’équilibre des générations. Au sein de l’arrière-garde, un Mamadou Sakho à peine majeur (il a aujourd’hui 19 ans), est ainsi entouré de Camara, Armand et Ceara. A la récupération, la doublette Clément-Makélélé se passe de commentaires. Aux avant-postes du milieu, Paris a déjà trouvé un remplaçant à Rothen pour encadrer Sessegnon, puisqu’avec l’arrivée d’Erding, Giuly devrait reculer d’un cran, et le Béninois pourrait se voir déporter à gauche. A moins que Kombouaré ose le 4-3-3, avec Sessegnon en 10 (la position qu’il affectionne), et un trident Erding-Hoarau-Giuly devant.

Sur le papier cela se tient, d’autant que la complémentarité entre Erding et Hoarau semble évidente, entre un joueur de pivot et un attaquant de rupture, apte à se déplacer sur tout le front de l’attaque. Le chien fou gravitant autour du piquet. Plus généralement, en continuant d’associer jeunesse et expérience, le PSG espère reproduire ses deux premiers tiers de saison, sur un exercice entier cette fois. Avec des petits bleus qui s’appuient sur la sagesse des anciens, et des vieux qui se régénèrent au contact de l’énergie juvénile. La solidarité entre générations, Colony Capital connaît : c’est sur sa remise en cause que les fonds de pension ont prospéré.
Thomas Goubin
ZéroQuatorze
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DépêchePSG : ERDING A SIGNÉ QUATRE ANS



mardi 30 juin 2009 - 16h27 C’est fait : Mevlut Erding a signé mardi pour quatre saisons en faveur du PSG.
Après l’accord entre Sochaux et le PSG pour le transfert de Mevlut Erding, ne manquait plus que la signature du contrat. L’international turc de 22 ans a signé pour quatre ans en faveur du PSG. « Je suis fier de porter ces couleurs, a déclaré le joueur sur le site du PSG. Je l’espérais depuis un mois. Les négociations ont été longues et aujourd’hui je suis très heureux d’être là, au Parc des Princes, et d’avoir signé à Paris. Mon ambition est d’abord de continuer à progresser et forcément de marquer des buts. »

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Kiolm
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Erding a fait pleurer sa mère

Mevlut Erding n’est pas encore une star. Mais hier après-midi sous la tour Eiffel, où il nous avait donné rendez-vous après la signature de son contrat de quatre ans, le nouvel attaquant du PSG a pu mesurer sa popularité naissante. Parmi les touristes, certains ont reconnu l’ancien Sochalien et ont tenu à le féliciter chaleureusement. Courtisé par Lyon et Rennes, l’international turc a privilégié le club de la capitale.
Premiers échanges.

Paris, le choix du coeur
« J’aurais pu aller ailleurs mais si je suis ici (NDLR : au PSG) c’est au regard de l’amour que je porte à ce club. J’avais donné ma parole à Antoine Kombouaré et à Alain Roche. Ensuite, les offres de Lyon et Rennes sont arrivées mais je n’y ai même pas réfléchi. Dans ma tête, c’était clair et net, même si Paris ne joue pas la Coupe d’Europe. Certaines personnes autour de moi n’ont pas compris ma position. Mais c’est le club qui me faisait rêver quand j’étais petit. Quand j’ai enfilé ce maillot tout à l’heure pour les photos, ça m’a fait vibrer. Porter ces couleurs-là, je le répète, c’est une fierté. Pour moi, le PSG est le plus grand club de France. »

L’Europe comme objectif
« J’arrive dans un club où il y a des très bons et de nombreux attaquants. Je n’ai aucune assurance de jouer d’Antoine Kombouaré. Il m’a juste dit : Le meilleur jouera. C’est ce que j’aime : une saine concurrence. La saison dernière, Guillaume Hoarau est arrivé tout petit, aujourd’hui, il est grand. Moi, aujourd’hui, je me considère comme petit. J’ai 22 ans, je viens de Sochaux et j’ai beaucoup à apprendre. Pour les objectifs du club, une ville comme Paris se doit de figurer sur la scène européenne. Il faut donc faire mieux que la saison dernière et se qualifier pour une Coupe d’Europe. J’en ai eu un bref aperçu avec Sochaux (NDLR : en 2007-2008, Sochaux a joué la Coupe de l’UEFA) et j’ai envie de revivre ça. »

L’esprit de famille
« Je suis quelqu’un de discret, donc je ne pense pas qu’on entendra parler de moi ou qu’on me verra beaucoup dans les boîtes de nuit ou les restaurants à la mode. La pression ne me fait pas peur car je suis bien entouré. Mes agents sont sur Paris et ma famille est très présente. D’ailleurs, j’ai eu ma mère puis mon père et enfin mon frère au téléphone après la signature. Ma mère était très émue, elle a même pleuré au téléphone. On est huit enfants et je suis le plus jeune. Alors, vous imaginez, je suis toujours une sorte de bébé pour elle. »


Le Parisien
du 1er Juillet
Gabriel Heinze


Le Parisien du 1er Juillet
Hari
Citation
« Président du PSG, ça me plairait »
BERNARD LAPORTE, ancien secrétaire d’Etat aux Sports




Vous voulez parler du PSG où on vous annonce comme futur président ?

C’était une rumeur, mais avec le recul, je me dis que c’est quelque chose qui me plairait. Aujourd’hui il n’en est pas question, que les choses soient claires. Mais à terme, pourquoi pas…

En avez-vous parlé avec Sébastien Bazin, le propriétaire du PSG et actuel président ?

Sébastien Bazin m’a appelé vendredi après tous ces bruits. Il m’a dit : « Je ne savais pas que tu étais intéressé. » On verra dans un ou deux ans, mais en septembre je ne serai pas prêt. Je ne dis pas que je rejette ce poste, mais quand je m’engage dans quelque chose, je veux savoir où on va.


Propos recueillis par Frédéric Gouaillard


leparisien
parano
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Stéphane Sessegnon (P.S.G. /France) - “Eléphants… je ne regrette rien”


En vacances à Abidjan depuis quelques jours, le meneur de jeu du Paris Saint-Germain, Stéphane Sessegnon (25 ans), se dit ravi de sa première saison dans le club de Francilien. Il explique comment il s’est imposé dans un environnement difficile, évoque son avenir immédiat et affirme qu’il ne regrette pas d’avoir opté pour les Ecureuils du Bénin.

• Etes-vous surpris par la facilité avec laquelle vous vous êtes-imposé au PSG cette saison ?
Non. Ce n’est jamais évident de s’imposer dans un grand club comme le Paris Saint-Germain. Je m’attendais à ce que cela soit plus difficile.

• Est-il facile de s’adapter dans un tel club ?
Ce n’est pas facile mais j’ai réussi à m’adapter à l’environnement de cette équipe. J’ai su m’accrocher et aujourd’hui, je suis très heureux.

• Votre trajectoire, Requins de Cotonou-US Créteil-Le Mans et le PSG, cette saison, vous satisfait-elle?
On n’est jamais satisfait de ce qu’on fait. Je pense que j’ai encore beaucoup de choses à apprendre. Dieu merci car les choses se passent plutôt bien pour moi jusque-là. Mais le plus important n’est pas de me laisser griser. Il me revient de continuer à travailler pour ne pas décevoir tous ceux qui me font confiance.

• A quel niveau avez-vous le plus progressé depuis vos débuts ?
Chaque club qui m’a accueilli avait un environnement particulier et il fallait d’abord que je m’adapte à chaque contexte. S’imposer dans le championnat de France n’est pas la chose la plus aisée. Surtout au tout début. Au Mans, j’ai franchi un palier après avoir commencé avec l’US Créteil en Ligue 2. A Paris, je poursuis ma progression.

• Confirmez-vous que le PSG est un club difficile ?
Le PSG est vraiment un club difficile. Sur le terrain comme en dehors, il faut tenir. La pression est énorme. Ce n’était donc pas évident de pouvoir réussir à s’imposer facilement. Je savais toutefois où je mettais les pieds. Aujourd’hui, je peux dire que le travail m’a permis de me faire une place au soleil.

• Quel est votre avenir immédiat surtout que Chelsea, Everton, Manchester City et Liverpool vous courtisent ?
Pour l’instant, on négocie une prolongation de contrat. Le PSG souhaite que je reste, mais je ne cache pas qu’il y a des propositions venant de l’Angleterre. Je prendrai une décision cette semaine.

• N’est-il pas trop tôt pour vous d’envisager un départ du PSG ?
On verra. Rien n’est facile. Tout est dans la main de Dieu. Si je dois rester au PSG, je resterai. Pour l’instant, rien n’est encore décidé.

• Beaucoup d’Ivoiriens regrettent de vous voir illuminer le jeu des Ecureuils du Bénin au détriment des Eléphants de Côte d’Ivoire, votre pays d’origine. Qu’en dites-vous ?
(Hésitations) Je ne souhaite pas revenir sur ce sujet. On est tous conscient que les Eléphants, font rêver. J’ai eu à faire un choix et je ne m’en plains pas.

• Aucun regret ?
J’ai beaucoup de respect pour les Eléphants mais je ne regrette rien. Je me sens bien au Bénin.

• Quel sens donnez-vous à la rencontre de gala que vous avez organisé et à laquelle pour avez pris part samedi à Cocody ?
C’était important de revenir là où j’ai commencé à taper dans le ballon quand j’étais gamin. Nous sommes en vacances et c’était bon de mettre un peu d’ambiance aussi dans mon ancienne cité. Je tenais à dire que je n’oublierai jamais mon ancien quartier (Cité Sogefiha/Cocody).

Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo

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