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INTOUCHABLE, désormais
Paris n’a pas seulement huit points d’avance sur Monaco à dix journées de la fin : il affiche surtout une maîtrise dans le jeu et une discipline globale impressionnantes. Qui lui permettent d’envisager sereinement son quatrième titre.
LE RISQUE que le PSG tombe dans une forme de facilité avant d’être officiellement sacré champion de France paraît bien mince. Il suffisait d’observer Laurent Blanc devant son banc, hier, à Bastia, pour comprendre que le technicien parisien ne laisserait rien passer à ses joueurs, pas davantage une occasion manquée qu’une perte de balle au milieu de terrain. Les rares fois où ce type de situation s’est produit, il a levé les bras au ciel, pesté, pris son adjoint Jean-Louis Gasset à témoin, alors que Paris menait de deux buts et semblait à l’abri de tout incident. «Il faut toujours être exigeant vis-à-vis de son équipe», déclarait-il, après le vingtième succès du PSG en Championnat. Et ce souci du détail qui escorte les champions de France à chaque fois qu’ils affrontent une formation du calibre de Bastia ne doit pas être une source de réconfort pour ses poursuivants.
À dix journées de la fin, l’écart arithmétique entre Paris et Monaco paraît rédhibitoire même si l’exemple de Manchester United, qui disposait de huit points d’avance sur Manchester City en 2012, à la trente-deuxième journée, avant de s’écrouler et de voir le sacre lui échapper, doit convoquer une forme d’humilité et de prudence. Mais tout de même ! Monaco n’est pas City et la différence des talents qui composent les effectifs des deux premiers de la Ligue 1 suggère qu’un retour comparable des promus n’est pas vraiment à l’ordre du jour.
MÊME LES SUPPORTERS CORSES ONT APPLAUDI
Avec Zlatan Ibrahimovic dans son équipe, de toute façon, le PSG s’appuie sur un gardien des ambitions à la détermination intacte. Que ce soit face aux écuries européennes en Ligue des champions, face aux outsiders comme Monaco, Lille ou Marseille en Ligue 1 ou aux petits budgets comme Nantes, Valenciennes ou Bastia, le Suédois éclaire de sa superbe avec la même régularité. En Corse, hier, alors que son équipe avait déjà tué tout suspense, Ibra a défendu avec la même vigueur, sur les rares actions bastiaises en première période, que si le PSG jouait sa survie. Et son comportement déteint sur ses partenaires, tous ses partenaires, ce qui faisait dire à Blanc : «On peut s’apercevoir que quelle que soit l’équipe alignée, elle affiche la même concentration et ne lâche rien. » Le quatrième titre de l’histoire du club de la capitale n’a jamais été aussi proche et il sera celui d’une saison parfaitement maîtrisée. Même si Monaco s’accroche, même si Paris n’a pas encore gagné une confrontation directe avec les équipes classées de la deuxième à la quatrième place, les Parisiens s’appuient sur une force collective qui confine à la démonstration dès qu’ils affrontent les poids moyens de la Ligue 1. Le piège que pouvait représenter un déplacement à Furiani dans le passé s’est transformé en un bain de soleil. À l’arrivée, même les supporters corses ont applaudi.
Paris n’a pas seulement huit points d’avance sur Monaco à dix journées de la fin : il affiche surtout une maîtrise dans le jeu et une discipline globale impressionnantes. Qui lui permettent d’envisager sereinement son quatrième titre.
LE RISQUE que le PSG tombe dans une forme de facilité avant d’être officiellement sacré champion de France paraît bien mince. Il suffisait d’observer Laurent Blanc devant son banc, hier, à Bastia, pour comprendre que le technicien parisien ne laisserait rien passer à ses joueurs, pas davantage une occasion manquée qu’une perte de balle au milieu de terrain. Les rares fois où ce type de situation s’est produit, il a levé les bras au ciel, pesté, pris son adjoint Jean-Louis Gasset à témoin, alors que Paris menait de deux buts et semblait à l’abri de tout incident. «Il faut toujours être exigeant vis-à-vis de son équipe», déclarait-il, après le vingtième succès du PSG en Championnat. Et ce souci du détail qui escorte les champions de France à chaque fois qu’ils affrontent une formation du calibre de Bastia ne doit pas être une source de réconfort pour ses poursuivants.
À dix journées de la fin, l’écart arithmétique entre Paris et Monaco paraît rédhibitoire même si l’exemple de Manchester United, qui disposait de huit points d’avance sur Manchester City en 2012, à la trente-deuxième journée, avant de s’écrouler et de voir le sacre lui échapper, doit convoquer une forme d’humilité et de prudence. Mais tout de même ! Monaco n’est pas City et la différence des talents qui composent les effectifs des deux premiers de la Ligue 1 suggère qu’un retour comparable des promus n’est pas vraiment à l’ordre du jour.
MÊME LES SUPPORTERS CORSES ONT APPLAUDI
Avec Zlatan Ibrahimovic dans son équipe, de toute façon, le PSG s’appuie sur un gardien des ambitions à la détermination intacte. Que ce soit face aux écuries européennes en Ligue des champions, face aux outsiders comme Monaco, Lille ou Marseille en Ligue 1 ou aux petits budgets comme Nantes, Valenciennes ou Bastia, le Suédois éclaire de sa superbe avec la même régularité. En Corse, hier, alors que son équipe avait déjà tué tout suspense, Ibra a défendu avec la même vigueur, sur les rares actions bastiaises en première période, que si le PSG jouait sa survie. Et son comportement déteint sur ses partenaires, tous ses partenaires, ce qui faisait dire à Blanc : «On peut s’apercevoir que quelle que soit l’équipe alignée, elle affiche la même concentration et ne lâche rien. » Le quatrième titre de l’histoire du club de la capitale n’a jamais été aussi proche et il sera celui d’une saison parfaitement maîtrisée. Même si Monaco s’accroche, même si Paris n’a pas encore gagné une confrontation directe avec les équipes classées de la deuxième à la quatrième place, les Parisiens s’appuient sur une force collective qui confine à la démonstration dès qu’ils affrontent les poids moyens de la Ligue 1. Le piège que pouvait représenter un déplacement à Furiani dans le passé s’est transformé en un bain de soleil. À l’arrivée, même les supporters corses ont applaudi.
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Une trop grande différence de niveau
BASTIA PEUT DÉPLORER, ce matin, d’avoir patienté jusqu’à la seconde période avant de commencer à se plonger dans un vrai match de foot, hier après-midi. Pendant les quarante-cinq premières minutes, les Corses, comme paralysés par le CV de leur adversaire, osaient à peine franchir la ligne médiane et, après vingt secondes de jeu seulement, la rencontre aurait pu déjà être pliée : Modesto manquait son premier ballon, Lavezzi en profitait, débordait et centrait pour Lucas dont la reprise était déviée en corner par… Modesto. Finalement, Paris a attendu cinq minutes avant de tuer tout suspense. À la suite d’un enchaînement collectif qui laissait la défense bastiaise pantoise, Lucas trouvait la tête d’Ibrahimovic (0-1, 6e). Et, à peine un quart d’heure plus tard, le Suédois, d’une aile de pigeon à l’aveugle qu’il maîtrise si bien lorsqu’il affronte les Corses (il avait marqué ainsi lors du match aller le 19 octobre, 4-0), lançait Lavezzi qui remportait son duel face à Leca (0-2, 19e).
La suite ? Paris a déroulé, confisqué le ballon jusqu’à la pause et ridiculisé, par séquences, son hôte. Bien sûr, au retour des vestiaires, Bastia s’est montré un peu plus agressif et offensif. Deux frappes, de Romaric (59e) et Boudebouz (63e), ont fait flotter un parfum de résistance mais les Corses n’avaient ni le réalisme, ni le talent des Parisiens. Qui ont ponctué la soirée par un troisième but, le second de Lavezzi, une nouvelle fois décalé par Ibra (0-3, 88e). Une trop grande différence de niveau séparait les deux formations.
BASTIA PEUT DÉPLORER, ce matin, d’avoir patienté jusqu’à la seconde période avant de commencer à se plonger dans un vrai match de foot, hier après-midi. Pendant les quarante-cinq premières minutes, les Corses, comme paralysés par le CV de leur adversaire, osaient à peine franchir la ligne médiane et, après vingt secondes de jeu seulement, la rencontre aurait pu déjà être pliée : Modesto manquait son premier ballon, Lavezzi en profitait, débordait et centrait pour Lucas dont la reprise était déviée en corner par… Modesto. Finalement, Paris a attendu cinq minutes avant de tuer tout suspense. À la suite d’un enchaînement collectif qui laissait la défense bastiaise pantoise, Lucas trouvait la tête d’Ibrahimovic (0-1, 6e). Et, à peine un quart d’heure plus tard, le Suédois, d’une aile de pigeon à l’aveugle qu’il maîtrise si bien lorsqu’il affronte les Corses (il avait marqué ainsi lors du match aller le 19 octobre, 4-0), lançait Lavezzi qui remportait son duel face à Leca (0-2, 19e).
La suite ? Paris a déroulé, confisqué le ballon jusqu’à la pause et ridiculisé, par séquences, son hôte. Bien sûr, au retour des vestiaires, Bastia s’est montré un peu plus agressif et offensif. Deux frappes, de Romaric (59e) et Boudebouz (63e), ont fait flotter un parfum de résistance mais les Corses n’avaient ni le réalisme, ni le talent des Parisiens. Qui ont ponctué la soirée par un troisième but, le second de Lavezzi, une nouvelle fois décalé par Ibra (0-3, 88e). Une trop grande différence de niveau séparait les deux formations.
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Lavezzi a marqué des points
Son doublé, hier, doit confirmer l’international argentin comme le troisième homme de l’attaque parisienne une fois Edinson Cavani revenu.
LA DIFFÉRENCE entre l’Ezequiel Lavezzi de la première partie de saison et celui qui a attaqué l’année 2014 est purement statistique. L’argentin se bat toujours autant, affiche la même activité mais, d’un point de vue comptable, cela n’a plus rien à voir : deux buts avec le PSG sur les cinq premiers mois de la saison et déjà six depuis début janvier, toutes compétitions confondues, ce qui l’installe confortablement comme le troisième meilleur buteur de l’effectif derrière Zlatan Ibrahimovic et Edinson Cavani, et loin devant Lucas, trois buts au total, aucun depuis le retour des vacances de Noël. Longtemps en concurrence avec le Brésilien pour la place de troisième homme de l’attaque parisienne avec Ibra et Cavani, Lavezzi a confirmé, hier à Bastia, qu’il méritait la confiance de Laurent Blanc, un peu plus que Lucas à ce jour. Le jeune international brésilien (21 ans) possède sans doute des qualités techniques supérieures, un coefficient de « spectacularité » sans comparaison possible, mais face au but, dans le dernier geste, le problème si souvent évoqué par son entraîneur demeure : il ne marque pas. Il ne l’a pas fait face à L’OM (2-0, le 2 mars) après son raid de plus de soixante mètres et n’a pas réussi non plus, hier, seul à dix mètres, idéalement servi par… Lavezzi, après vingt secondes de jeu. L’Argentin, dans le même registre, a eu un taux de réussite de cent pour cent sur ses deux occasions. Encore une fois, en 2014, il a répondu aux attentes de son staff et tout mis en oeuvre pour être reconduit lorsque les affiches seront plus glorieuses et les absents moins nombreux. «Pour un attaquant, les statistiques sont importantes» , convenait Blanc hier, après avoir cependant loué la qualité des prestations de ses deux attaquants. Mais l’un des deux sera remplaçant, mercredi, contre Leverkusen. Et Lavezzi aurait des raisons d’être déçu s’il devait s’installer sur le banc.
Son doublé, hier, doit confirmer l’international argentin comme le troisième homme de l’attaque parisienne une fois Edinson Cavani revenu.
LA DIFFÉRENCE entre l’Ezequiel Lavezzi de la première partie de saison et celui qui a attaqué l’année 2014 est purement statistique. L’argentin se bat toujours autant, affiche la même activité mais, d’un point de vue comptable, cela n’a plus rien à voir : deux buts avec le PSG sur les cinq premiers mois de la saison et déjà six depuis début janvier, toutes compétitions confondues, ce qui l’installe confortablement comme le troisième meilleur buteur de l’effectif derrière Zlatan Ibrahimovic et Edinson Cavani, et loin devant Lucas, trois buts au total, aucun depuis le retour des vacances de Noël. Longtemps en concurrence avec le Brésilien pour la place de troisième homme de l’attaque parisienne avec Ibra et Cavani, Lavezzi a confirmé, hier à Bastia, qu’il méritait la confiance de Laurent Blanc, un peu plus que Lucas à ce jour. Le jeune international brésilien (21 ans) possède sans doute des qualités techniques supérieures, un coefficient de « spectacularité » sans comparaison possible, mais face au but, dans le dernier geste, le problème si souvent évoqué par son entraîneur demeure : il ne marque pas. Il ne l’a pas fait face à L’OM (2-0, le 2 mars) après son raid de plus de soixante mètres et n’a pas réussi non plus, hier, seul à dix mètres, idéalement servi par… Lavezzi, après vingt secondes de jeu. L’Argentin, dans le même registre, a eu un taux de réussite de cent pour cent sur ses deux occasions. Encore une fois, en 2014, il a répondu aux attentes de son staff et tout mis en oeuvre pour être reconduit lorsque les affiches seront plus glorieuses et les absents moins nombreux. «Pour un attaquant, les statistiques sont importantes» , convenait Blanc hier, après avoir cependant loué la qualité des prestations de ses deux attaquants. Mais l’un des deux sera remplaçant, mercredi, contre Leverkusen. Et Lavezzi aurait des raisons d’être déçu s’il devait s’installer sur le banc.
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TOP
IBRAHIMOVIC 8/10 L’artiste suédois, même avec un dos douloureux, a encore une fois fait l’étalage de toute sa classe. Il a adressé deux passes décisives à Lavezzi. La première sur une aile de pigeon sublime (2-0, 19e) et la seconde de la tête sur un dégagement de Marquinhos (3-0, 88e). Il a aussi ouvert le score de la tête (1-0, 6e), marquant ainsi son 23e but en Ligue 1 cette saison.
LAVEZZI 8/10 Le milieu offensif argentin a confirmé sa bonne dynamique.Il a percuté et avalé les espaces. Il en a profité pour faire preuve d’une efficacité dans le dernier geste qui lui fait souvent défaut en réalisant un doublé (2-0, 19e, 3-0, 88e), son premier en L 1 (il en avait réussi un en C 1 contre le Dynamo Kiev, 2-0, en novembre 2012, et un contre Arras [CFA 2, 4-3] en Coupe de France en janvier 2013).
RABIOT 7/10 Son différend avec le PSG, concernant sa prolongation de contrat et sa revalorisation salariale ( lire notre édition d’hier), n’a pas semblé le gêner. Le jeune milieu de terrain, qui n’avait plus été titularisé par Blanc en L 1 depuis la victoire à Ajaccio (2-1, le 11 janvier), a répondu présent à la récupération et à l’orientation du jeu. Efficace, sobre et technique.
FLOP
BOUDEBOUZ 3/10 Souvent au pas, peu concerné par le repli défensif, le milieu offensif a traversé la première période comme une ombre. En seconde période, il s’est légèrement repris, en se signalant notamment par un tir des 20 mètres, capté par Sirigu (63e). Mais son bilan est bien trop léger.
ROMARIC 4/10 Une première mi-temps difficile comme défenseur central, où il fut souvent pris par la vivacité et la supériorité technique des attaquants parisiens. Replacé devant la défense, après la pause, le milieu de terrain ivoirien fut plus utile.
CISSÉ 3/10 Isolé, sans ballon, l’attaquant n’a pas été aidé par ses coéquipiers. Mais il a manqué d’impact et d’allant. Il n’a pas pesé et la plupart du temps a mal senti les coups. Hantz a fini par le remplacer par BRUNO (70e), qui a apporté un peu plus de peps.
Autres notes: 7: Verratti; 6: Lucas, Motta, Alex, Marquinhos, Sirigu; 5: Maxwell, VDW.
IBRAHIMOVIC 8/10 L’artiste suédois, même avec un dos douloureux, a encore une fois fait l’étalage de toute sa classe. Il a adressé deux passes décisives à Lavezzi. La première sur une aile de pigeon sublime (2-0, 19e) et la seconde de la tête sur un dégagement de Marquinhos (3-0, 88e). Il a aussi ouvert le score de la tête (1-0, 6e), marquant ainsi son 23e but en Ligue 1 cette saison.
LAVEZZI 8/10 Le milieu offensif argentin a confirmé sa bonne dynamique.Il a percuté et avalé les espaces. Il en a profité pour faire preuve d’une efficacité dans le dernier geste qui lui fait souvent défaut en réalisant un doublé (2-0, 19e, 3-0, 88e), son premier en L 1 (il en avait réussi un en C 1 contre le Dynamo Kiev, 2-0, en novembre 2012, et un contre Arras [CFA 2, 4-3] en Coupe de France en janvier 2013).
RABIOT 7/10 Son différend avec le PSG, concernant sa prolongation de contrat et sa revalorisation salariale ( lire notre édition d’hier), n’a pas semblé le gêner. Le jeune milieu de terrain, qui n’avait plus été titularisé par Blanc en L 1 depuis la victoire à Ajaccio (2-1, le 11 janvier), a répondu présent à la récupération et à l’orientation du jeu. Efficace, sobre et technique.
FLOP
BOUDEBOUZ 3/10 Souvent au pas, peu concerné par le repli défensif, le milieu offensif a traversé la première période comme une ombre. En seconde période, il s’est légèrement repris, en se signalant notamment par un tir des 20 mètres, capté par Sirigu (63e). Mais son bilan est bien trop léger.
ROMARIC 4/10 Une première mi-temps difficile comme défenseur central, où il fut souvent pris par la vivacité et la supériorité technique des attaquants parisiens. Replacé devant la défense, après la pause, le milieu de terrain ivoirien fut plus utile.
CISSÉ 3/10 Isolé, sans ballon, l’attaquant n’a pas été aidé par ses coéquipiers. Mais il a manqué d’impact et d’allant. Il n’a pas pesé et la plupart du temps a mal senti les coups. Hantz a fini par le remplacer par BRUNO (70e), qui a apporté un peu plus de peps.
Autres notes: 7: Verratti; 6: Lucas, Motta, Alex, Marquinhos, Sirigu; 5: Maxwell, VDW.
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8
LES ÉQUIPES COMPTANT HUIT POINTS D’AVANCE OU PLUS SUR LE DEUXIÈME À DIX JOURNÉES DE LA FIN ONT TOUJOURS REMPORTÉ LE CHAMPIONNAT DE FRANCE, avec la victoire à trois points : Nantes en 19941995 (9 points d’avance), Monaco en 1999-2000 (10), Lyon en 2004-2005 (8), 2005-2006 (9) et 2006-2007 (13). Opta
LES ÉQUIPES COMPTANT HUIT POINTS D’AVANCE OU PLUS SUR LE DEUXIÈME À DIX JOURNÉES DE LA FIN ONT TOUJOURS REMPORTÉ LE CHAMPIONNAT DE FRANCE, avec la victoire à trois points : Nantes en 19941995 (9 points d’avance), Monaco en 1999-2000 (10), Lyon en 2004-2005 (8), 2005-2006 (9) et 2006-2007 (13). Opta
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CAVANI EST RENTRÉ
Parti en Uruguay mardi dernier pour régler son divorce avec la mère de ses deux fils, Edinson Cavani est rentré à Paris hier, dans la journée, et devrait retrouver ses coéquipiers au Camps des Loges aujourd’hui. L’attaquant uruguayen devait rentrer vendredi en France et se rendre à Bastia. Mais il a été retenu à Montevideo, ce qui n’a pas forcément plu à Laurent Blanc.
Parti en Uruguay mardi dernier pour régler son divorce avec la mère de ses deux fils, Edinson Cavani est rentré à Paris hier, dans la journée, et devrait retrouver ses coéquipiers au Camps des Loges aujourd’hui. L’attaquant uruguayen devait rentrer vendredi en France et se rendre à Bastia. Mais il a été retenu à Montevideo, ce qui n’a pas forcément plu à Laurent Blanc.
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Meilleur buteur et meilleur passeur du Championnat : une exception
Ibrahimovic semble bien parti pour terminer en tête du classement des buteurs mais aussi de celui des passeurs en fin de saison. Sur les dix dernières saisons, Lionel Messi est le seul joueur, dans les cinq grands championnats européeens, à avoir approcher ce doublé à trois reprises, mais il ne l’a pas réussi. En L 1, c’est Eden Hazard qui en est passé le plus près.
Ibrahimovic semble bien parti pour terminer en tête du classement des buteurs mais aussi de celui des passeurs en fin de saison. Sur les dix dernières saisons, Lionel Messi est le seul joueur, dans les cinq grands championnats européeens, à avoir approcher ce doublé à trois reprises, mais il ne l’a pas réussi. En L 1, c’est Eden Hazard qui en est passé le plus près.
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IBRAHIMOVIC SUSPENDU CONTRE LORIENT ?
Buteur et double passeur décisif à Bastia (3-0), hier, Zlatan Ibrahimovic (32 ans) a reçu son troisième avertissement en dix matches de Ligue 1 (47e). La commission de discipline de la LFP, qui se réunit jeudi, devrait donc suspendre l’attaquant suédois du PSG pour le déplacement à Lorient, le 21 mars.
LE QATAR CHOISIT VINCI POUR LA RÉNOVATION DU PARC DES PRINCES.
– Vinci vient de remporter l’appel d’offres lancé par Qatar Sports Investments (QSI), le propriétaire du PSG, pour la rénovation du Parc des Princes avant l’Euro 2016. Le premier groupe mondial de concessions et de construction devrait débuter les travaux dès la fin du Championnat, fin mai. La livraison de ce chantier d’envergure, totalement financé par les fonds de QSI, à hauteur de 75 M€, est prévu pour le mois d’août 2015.
Buteur et double passeur décisif à Bastia (3-0), hier, Zlatan Ibrahimovic (32 ans) a reçu son troisième avertissement en dix matches de Ligue 1 (47e). La commission de discipline de la LFP, qui se réunit jeudi, devrait donc suspendre l’attaquant suédois du PSG pour le déplacement à Lorient, le 21 mars.
LE QATAR CHOISIT VINCI POUR LA RÉNOVATION DU PARC DES PRINCES.
– Vinci vient de remporter l’appel d’offres lancé par Qatar Sports Investments (QSI), le propriétaire du PSG, pour la rénovation du Parc des Princes avant l’Euro 2016. Le premier groupe mondial de concessions et de construction devrait débuter les travaux dès la fin du Championnat, fin mai. La livraison de ce chantier d’envergure, totalement financé par les fonds de QSI, à hauteur de 75 M€, est prévu pour le mois d’août 2015.
L'Equipe