Citation (Dagoberto @ 17/02/2016 00:02)

On est pas dans le groupe, on sait pas comment ca vie ensemble et on est face à des gars à gros gros ego.
Je pense que 6 ans en arrière Zlatan lui fou un High Kick derrière la nuque au premier entrainement qui suit l'affaire
La on est sur une vidéo à froid d'un gars qui écrit un freestyle sur un txt pour faire le gars du terter (c'est pas comme si il venait de se taper 70min de match à donf et qui est dégoutté d'être remplacer) et qui fout la merde dans la son équipe de part ses propos et le tout en direct sur le net en répondant à des supporters.
Après clairement dans l'affaire c'est Blanc qui mange le plus mais, aller savoir, certains joueurs ont peut être énormément de respect pour leur coach et n'acceptent pas les insultes d'Aurier envers Blanc.
Putain de gâchis si on le vend cet été mais malheureusement logique à mon avis

Je pense surtout que ce qui a dû choquer le reste du groupe, plus que les vagues insultes que les autres joueurs ne doivent pas prendre très au sérieux, c'est que le gars a montré que ce n'est pas un vrai pro au sens large du terme (donc pas que le talent sportif, mais aussi gestion de l'image, hygiène, etc.).
C'est plus l'acte de baver sur l'entraîneur et ses coéquipiers, le manque de respect, le tout à 2-3 jours d'un match capital de surcroît, plutôt que le contenu lui-même.
J'espère malgré tout que Blanc saura "pardonner" ; même si c'est lui la cible principale, sa position de coach demande aussi un minimum de sagesse, et la capacité à mettre de côté son orgueil personnel pour le bien du club (et vendre Sergio irait à l'encontre de cet objectif).
Enfin bref, entre Blanc et les autres joueurs, Aurier va goûter au purgatoire pendant quelques semaines, et je trouve ça normal. Il touche le salaire d'un pro, reçoit les égards dûs à un pro, qu'il se comporte comme un pro. (Et à ce sujet, j'ai trouvé assez juste la réaction de Blanc comme quoi s'excuser ça va deux minutes, ce qu'on leur demande c'est de se servir de leur tronche avant de faire des conneries).
Le déchaînement des media, par contre