J'avais pas vu cette histoire

non mais c'est pas un truc ciblé sur Aurier
Le mec est passager, on lui demande de descendre et pas l'autre on lui fait un test d'alcoolemie
C'est pas le premier black connu a se faire emmerder le mettez pas sur sa gueule.
Citation
Mensah : «On m'a traité comme un criminel»
JOHN MENSAH, défenseur de l'OL
Le Parisien | 24 Sept. 2008, 07h00
L'EPISODE malheureux le perturbe encore, mais John Mensah essaie de ne plus y penser. Sans oublier pour autant. Le défenseur ghanéen de Lyon a passé la nuit du dimanche 14 septembre en garde à vue après un contrôle de police qui a mal tourné. Mensah maîtrisant mal le français, les policiers auraient mal perçu l'attitude du joueur, mis à terre, menotté et placé en garde à vue jusqu'au lundi, 11 heures.
Comment vous sentez-vous psychologiquement et moralement ?
John Mensah. Je me sens mieux. Ce qui m'est arrivé est incroyable et anormal à la fois. Je suis resté en garde à vue pendant plusieurs heures alors que je n'avais rien fait. C'était terrible. Je roulais tranquillement au volant de ma voiture lorsque l'on m'a arrêté.
Visiblement, il y a eu une incompréhension entre vous et les policiers lors de votre interpellation car vous ne parlez pas très bien le français…
Quelle incompréhension ? On ne m'a même pas demandé mes papiers. Je n'étais pas en situation d'excès de vitesse, ni rien d'autre. Je rentrais à mon hôtel pour manger. Les policiers m'ont arrêté et m'ont alors demandé de sortir de ma voiture. Je ne comprenais pas. Ils m'ont traité comme un criminel avant de me placer en garde puis de me libérer. Depuis que je suis en France, c'est le pire moment de ma vie.
Comment s'est comporté l'OL dans cette affaire ?
Très bien. Tout le monde au club m'a soutenu. Au début, j'avais envisagé de déposer plainte. Mais le club et mon conseiller m'ont incité à ne pas le faire.
La BAC voulait l'emmerder n'allez pas tirer de conclusions. Sa sortie contre l'arbitre était conne mais passionnée elle à fait plaisir. Le coup de périscope c'est le plus stupide surtout de parler mal de ses coéquipiers et entraineur. mais c'est pas non plus la fin du monde.
Mon Sergio sûr il faut rester à Paris et faire fermer les bouches