Citation (Boulick @ 16/11/2009 à 00:31)

Je me souviens plus exactement de l'histoire avec Gallas mais il me semble que c'est un truc bien bidon, dans le genre Dhorasoo qui met un petit pont à Deschamps, me semble qu'il s'agissait de Nasri qui aurait fait une remarque un peu trop "virulente" à Gallas sur un fait de jeu, style Gallas qui lui dit qu'il faut qu'il lui parle quand y'a un mec qui lui arrive dans le dos et Nasri qui lui réponds "c'est à toi de regarder derrière toi". Peut être pas exactement ce sujet et ces mots là mais c'était un truc dans le genre.
Pour Henry c'était pas plutôt Benzema qui lui avait pris sa place fétiche dans le bus ?

Sinon idem j'aime plutôt bien Nasri, j'avais bien aimé ses débuts avec Benzema avec une passe du premier pour un but du second. (Puis un peu de technique et de vision du jeu ça ferait pas de mal à cette équipe de bourrin où Ribery passe pour un stratège)
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Nasri dédramatise
Pour la première fois depuis les écrits de William Gallas sur la fracture entre générations, chez les Bleus comme à Arsenal, Samir Nasri a donné une version des faits édulcorée dans un entretien paru jeudi dans The Independant. Sans être cité, le milieu des Gunners était l'acteur bien compris de deux scènes différentes. Dans la première, il piquait la place de Thierry Henry dans le bus sans accepter de se déplacer. Dans la seconde, il refusait une observation de Gallas à l'entraînement, lors de l'Euro 2008, et renvoyait son aîné réviser son placement.
«C'est tout à fait simple, démine Nasri, quand j'ai commencé en équipe de France, Henry était absent à cause d'un problème au dos et j'étais assis à une place dans le bus qui, au moment de son retour, s'est révélée être la sienne. Dès que j'ai découvert ça, je lui ai laissé la place. Peut-être que les gens cherchaient des excuses car nous n'avions pas été bons à l'Euro. Mais je ne pense pas qu'on peut attribuer cet échec au fait que j'étais assis à la place de Thierry Henry.»
Il avait oublié le soir même
Sur la séance d'entraînement en Suisse : «C'était oublié immédiatement après, assure Nasri. (...) C'est juste le genre de truc qui peut arriver à l'entraînement. C'était juste quelque chose sur lequel nous n'étions pas d'accord. Le soir qui a suivi, nous avons eu une discussion à l'hôtel et tout était oublié. Je ne sais pas pourquoi cela a fait autant de bruit.»
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Ca date de février.
L'histoire du bus est vraiment ridicule.