Ils ont du mal au qatar, quand on voit tim clark chez emirates ou james hogan chez etihad qui sont des pointures, et Qatar A/W qui est dirigé par un gars qui a fait un diplôme de commerce en Inde

il y connait autant en aéronautique que moi en cricket

Akbar Al Baker lui par contre c'est vraiment un grand malade. C'est l'anti Nasser, il parle trop mal.
Apparement la stratégie d'image du Qatar semble lui passer au dessus.
Il y a même pas une semaine, il a balancé que Delta faisait voler des avions pourris.
Akbar Al BakerDans son pays, cet élégant quinquagénaire a le droit d'être appelé
« Son Excellence », en récompense de son exploit : avoir fait en moins de vingt ans de Qatar Airways une des compagnies qui comptent sur la scène mondiale, avec 130 destinations internationales. Ce diplômé en économie et en commerce, qui a fait la majeure partie de ses études en Inde, connaît intimement l'aviation puisqu'il est lui-même titulaire d'une licence de pilote. Figurant parmi les plus gros clients d'Airbus et de Boeing, du coup, il ne se prive pas de les houspiller, sa spécialité étant d'être, presque à chaque fois, mécontent quand ils produisent un nouveau modèle. Du constructeur américain, il lâcha un jour :
« Quand on met sa compagnie dans les mains des comptables, il faut s'attendre à recueillir des trucs bons pour la poubelle. » En retard dans une de ses livraisons, Airbus a eu droit à ce commentaire carrément méprisant :
« Ils sont toujours en train d'apprendre comment faire des avions. » Les régulateurs de l'aérien ne trouvent pas plus grâce à ses yeux, c'est le moins qu'on puisse dire :
« Ils pensent que le soleil brille par leur trou du cul. » 
Quant aux syndicats de pilotes, avec lesquels les relations sont tumultueuses, ils l'ont surnommé
« Mr Burns », ce personnage de milliardaire atrabilaire des Simpsons qu'il ne faut jamais énerver. Eux mis à part, tout le monde obtempère quand le richissime gestionnaire du Hamad International Airport lève la voix. Les PDG de Boeing et d'Airbus savent que son autre surnom est
« U-Turn Al ». Ses colères et ses ruptures, comme ses avions, font toujours l'aller-retour.
Tu le mets à la place de Nasser, ce serait une boucherie face à Aulas.