"que si yo_yo est muni d'un billet, il pourra accéder sans difficulté au stade"
"que la mesure en cause n'a ni pour objet ni pour effet d'empêcher l'accès au stade Bonal aux supporters du club parisien munis de billet "
=> Comme je le disais plus haut, ils maintiennent dans leurs conclusions qu'on peut aller au match tant qu'on a un billet, pourvu qu'on gare pas sa caisse dans le périmètre du stade...C'est plus douteux sur le port du maillot.
Bref, on se demande pourquoi ils ont arrêté des gars lors des précédents matchs alors que ceux-ci avaient des billets.
yo_yo, tu auras au moins emmerdé un mec de la préfecture qui a passé quelques heures sur ce dossier et a dû se déplacer, c'est déjà ça.
Sinon, apparemment il y a 2, 3 trucs où ils disent que ce que tu as fait ne colle pas (c'est pas un reproche, juste pour comprendre):
Citation
Il fait valoir que la requête n'est pas recevable dès lors que yo_yo présente des conclusions tendant à la suspension ou à l'annulation de l'arrêté critiqué et qu'il lui appartenait de présenter des conclusions et moyens dans des requête distinctes
=> Pas tout compris là...
Citation
Considérant que si le requêrant se prévaut également au soutien de ses conclusions; d'une méconnaissance du principe d'égalité des citoyens devant la loi, ce principe est distinct des libertés fondamentales dont la protection relève de la procédure instituée par l'article L.521-2 du code de justice administrative; que l'argumentation présentée sur ce point ne saurait être accueuillie:
=> Je me demande ce qu'il y a derrière le principe d''égalité quand je lis ça.
"ce principe est distinct des libertés fondamentales"
Si je comprends ils te reprochent de ne pas avoir utilisé l'article correspondant à "l'égalité", mais d'avoir malgré tout parlé de cette égalité dans ton argumentaire.
A noter également: les arguments de la préfecture n'ont même pas été pris en compte:
Citation
Considérant qu'il résulte de ce qui précède, et sans qu'il soit besoin de statuer sur les fins de non recevoir opposées par le préfet ni d'examiner si la condition d'urgence, également posée par l'article L.521-2 du code de justice administrative, est remplie, que la requête doive être rejetée;