Pas trouvé le cortège ouf, mais il faisait bien chaud et assez long.

Sinon pour les bloqués, stop prévenir partout qu'on vient?

Sinon pour les bloqués, stop prévenir partout qu'on vient?

Et il supprime ces tweets en plus

Dans le 2ème, du même genre que le premier, il finissait par "Faut grandir"

C'est qui ce gland ?

Qui écrit majoritairement de la merde d'ailleurs, pas uniquement quand il parle des supporters.

« Pédophiles, chômeurs, consanguins: Bienvenue chez les Ch’tis »…

C’est l’histoire d’une banderole au Stade de France un soir de finale de coupe de la Ligue en 2008 qui a provoqué un tremblement de terre franco-français. Guy Delcourt, maire de Lens de 1998 à 2013 et député local, avait été le premier à demander des sanctions hors de proportion contre le PSG. Vendredi, au Stade de France, les deux clubs se retrouveront pour un match de Ligue 1. Il fera revivre certains souvenirs.

Le politique lensois se souvient et estime que son combat a eu des résultats. « C’était insupportable de lire de tels propos. C’est la raison pour laquelle j’ai mis autant d’intérêt à défendre l’image de la population du Nord Pas-de-Calais. On a trouvé que j’en faisais trop. Le fait que les médias s’emparent de cette affaire a beaucoup aidé. Le président Sarkozy, à qui je n’avais rien demandé, a voulu montrer qu’il était sur tous les fronts. Et ça faisait partie de sa personnalité. Même si je pense qu’être reçu à l’Elysée n’était pas obligatoire, explique Delcourt à 20minutes Lille. Avec cet événement, les groupes de supporters se sont remis en cause, les clubs de foot et la ligue aussi. Tout le monde s’est mis autour de la table. C’était une époque où le PSG connaissait une crise d’identité au niveau d’un certain groupe de supporters ultra avec des fascistes et des subversifs qui n’avaient rien à voir avec le peuple du foot. Il y avait eu plusieurs histoires comme un TGV saccagé, des violences à Marseille et aussi des morts à la sortie de matchs au Parc des Princes. On était arrivé à un sommet de violence.

Depuis, les choses ont beaucoup changé et le comportement général des supporters du PSG n’a plus rien à voir. Un certain public a été éliminé des stades. Aujourd’hui, il y a une certaine pacification même si on assiste encore à certaines scènes de violence. »

On en parle du dernier Rennes/Lens sale fils de pute?

Certains ont encore eu leurs places annulées.

Non, c'est visiblement pas un rappel, quelques uns ont eu leurs places annulées hier.

C'est surtout qu'apparemment L'Equipe pond un article totalement mensonger en ne se référant qu'aux propos de ce triso.

L'avocat des supps en question a répondu sur Twitter

Faut bien sucer pour manger des petits fours gratos...

Pour ce déplacement face au RC Lens, en terres parisiennes, nous, entités encore en lutte contre la direction du club qui nous stigmatise partout où elle passe, qui porte atteinte à la libre façon de soutenir son club et qui fait tout pour asseptiser ses tribunes, nous appelons tous les amoureux des couleurs Rouge et Bleu, tous les passionnés et fidèles de notre club, à nous rejoindre devant la gare du RER B à 18h30 afin d'arriver ensemble et de faire bloc au stade afin de faire d'un soir au stade de France ce que devrait être le Parc à chaque match. Prouvons l'amour de nos couleurs, défendons notre liberté de supporter le Paris-SG !

« Si on nous avait demandé notre avis, on aurait refusé que ce match (Lens – PSG) se dispute là (au Stade de France). Ce stade n’est pas très propice au maintien de l’ordre et le public du championnat n’est pas celui des finales de coupes nationales jouées ici. »

La police du pays qui accueille l'Euro dans 20 mois

C'est boutonnet qui sort ça?

« Une fois pour toute, ces supporters doivent se poser une question : pensent-ils vraiment qu’ils seront gagnants à défier sans cesse le club sur le front judiciaire ? (…) Les ultras parlent de dialogue en espérant, au préalable, que le club abandonne le plan de sécurité en vigueur depuis 2010… La situation autour du PSG reste fragile car il reste des agitateurs. Ils insultent certains responsables et attaquent le club en justice. Dans ce contexte, il est impossible de travailler avec eux », déplore-t-il dans les colonnes du quotidien.