Le spirituel chez Malick grandit au fur et à mesure de sa filmo. Il a toujours été un contemplatif, mais ses premiers films étaient bien plus structurés, et notamment celui-ci, qui, chez lui, est le départ du Malick qu'on connait aujourd'hui. Il avait d'ailleurs fait grand bruit à l'époque, considéré comme raté par beaucoup de critiques. Ce fut aussi la première fois qu'un acteur (Richard Geere) lui reprocha son montage, et le trop grand nombre de scènes supprimées (Ben Affleck fera la même chose pendant la promo de To The Wonder). C'est pour cet ensemble qu'il est maintenant considéré comme un chef d'oeuvre, il a en quelques sortes été la révolution de son propre cinéma.
Tu devrais regarder Badlands (pour moi son meilleur, mais ça n'engage évidemment que moi) : Il est encore plus éloigné de ce que tu aimes chez lui.
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Citation (Zatman @ 28/03/2014 20:51) 
La suite de 300 
t'as aimé ? vraiment?
Maté lors du printemps du cinéma, ya vraiment pas grand chose au ciné.
J'avais pas placé la barre trop haute, des belles images, un peu d'action et basta....
Putain quel navet, incroyable.
7,1 à imdb je capte pas.
déjà en 3d sur grand écran c'est presque irregardable alors dans 6 mois quand ça passera sur nt1...
Jamais vu des acteurs aussi mal jouer, jamais, j'avais honte pour eux.
Her, franchement je voulais pas y aller, ca sentait le film de taffiole, bah oui film de tarlouz mais j’ai plutôt bien aimé.
Un peu long au final mais ca sort de l’ordinaire.
Un peu long au final mais ca sort de l’ordinaire.
Spoiler :
Citation (Babou1 @ 01/04/2014 09:37)
Her, franchement je voulais pas y aller, ca sentait le film de taffiole, bah oui film de tarlouz mais j’ai plutôt bien aimé.
Un peu long au final mais ca sort de l’ordinaire.
Un peu long au final mais ca sort de l’ordinaire.
Spoiler :
Vu également. Pas si mal malgré mes craintes. La voix de Scarlett Johansson
Belle prestation aussi de Joaquin Phoenix.
Y avait Demolition Man hier après la daube avec Reeves : toujours aussi kiffant, j'avais oublié le côté mono-expression de Bullock mais dans ce film là, ça passe bien
Citation (CodyLambert @ 01/04/2014 16:26)
Y avait Demolition Man hier après la daube avec Reeves : toujours aussi kiffant, j'avais oublié le côté mono-expression de Bullock mais dans ce film là, ça passe bien
Une tuerie ! Les 3 coquillages bordel !
Bon n'oubliez pas aujourd'hui, plus important que PSG-Chelsea, il y a le nouveau film de Rose Bosch, l'auteur du chef d'œuvre La Rafle, qui sort en salles.
J'ai vu la bande-annonce hier, je me suis dit que ça avait tout d'un film français merdique 
Nazi.
J'ai vu Caddyshack (le Golf en folie ). Film de baisés. Bill Murray dedans 
Sinon, je me suis refait Last Action Hero et j'avais oublié que le mec qui joue Benedict, c'est Charles Dance, alias Tywin Lannister.
Son perso a vachement la classe sinon un des méchants les plus classes du cinéma pour moi.
Sinon, je me suis refait Last Action Hero et j'avais oublié que le mec qui joue Benedict, c'est Charles Dance, alias Tywin Lannister.
Son perso a vachement la classe sinon un des méchants les plus classes du cinéma pour moi.
Très bon le nouveau Chapiron, très belle fin.
Et sinon :
Et sinon :
Spoiler :
Citation (DelSpooner @ 02/04/2014 18:33)
Très bon le nouveau Chapiron, très belle fin.
Et sinon :
Et sinon :
Spoiler :
Le sujet ne m'attire pas, tout comme la bande-annonce mais j'irai voir juste parce que c'est Chapiron.
Dog Pound
Citation (DelSpooner @ 02/04/2014 17:33)
Très bon le nouveau Chapiron, très belle fin.
Et sinon :
Et sinon :
Spoiler :
Spoiler :
La métisse je l'ai croisé en vrai, elle est tellement 
J'ai adoré le film.
J'ai adoré le film.
Dans un film de Luc Besson si il n'y a pas de lances roquettes, de voitures qui font des galipettes et des flingues c'est que c'est pas un film de Luc Besson.
Jamais vu une prestation de Scarlett Johansson aussi médiocre, alors qu'il ne s'agit que d'une bande annonce. Et de Scarlett Johansson.
C'est le prequel de "Her", quand elle atteint les 100% elle se transforme en OS?
Je pense que Scarlett Johansson dans un film de Besson, c'est comme la meuf de la scène du speed dating dans
40 ans toujours puceau, elle est là que pour ses boobs.
40 ans toujours puceau, elle est là que pour ses boobs.
Citation (Houdini @ 04/04/2014 09:08)
C'est le prequel de "Her", quand elle atteint les 100% elle se transforme en OS?
La violence inouïe de The Raid 2 
Spoiler :
Oh lala je n'ai pas du tout aimé le film her. J'ai pas accroché, trop ridicule pour moi... 
Citation (Houdini @ 04/04/2014 09:08)
C'est le prequel de "Her", quand elle atteint les 100% elle se transforme en OS?
La version féminine de Limitless
Citation (Steff @ 05/04/2014 14:27)
La version féminine de Limitless
Trance 
Rosario Dawson
Rosario Dawson
Citation (Vita @ 05/04/2014 22:31)
Trance
T'as vraiment kiffé ?
J'ai trouvé que le film démarrait plutôt bien dans sa première demi-heure, par contre après ça part dans tous les sens, overdose de twists, j'ai lâché prise tellement ça devenait incohérent ; ça sent le scénario qui a été réécrit plusieurs fois.
+100 pour Rosario ceci dit.
Ma critique complète de The Raid 2 :
http://eastasia.fr/2014/04/08/critique-pre...ns-beaune-2014/
Citation
En 2012, The Raid avait eu l’effet d’une petite bombe dans le monde du film d’action. Une suite a donc été rapidement envisagée par son réalisateur gallois Gareth Evans, avec l’intention de repousser encore plus loin les limites du film d’arts martiaux. Découverte du film au Festival International du Film Policier de Beaune en attendant sa sortie en salles cet été.
UN VRAI FILM DE GANGSTER
Le premier opus nous laissait avec Rama, le héros interprété par Iko Uwais, son frère, son collègue blessé et le policier corrompu qu’ils venaient d’arrêter, après avoir décimé tout un immeuble de la plupart de ses sombres occupants. The Raid s’appuyait avant tout sur un scénario très simple et linéaire, prétexte à enchaîner des scènes de baston violentes, sublimées par les mouvements virtuoses du pencak-silat et la mise en scène viscérale de Gareth Evans. L’enjeu principal, très inspiré par l’univers du jeu vidéo à l’ancienne, était de réussir à monter jusqu’au sommet du bâtiment pour affronter le boss final.
The Raid 2 fait directement suite au premier, à quelques heures près. L’introduction nous présente les conséquences immédiates et sanglantes de la purge effectuée par Rama au sein du milieu criminel. Des têtes tombent et des nouvelles apparaissent. Construction en flashbacks, cadres soignées, images léchées… Gareth Evans affiche d’entrée une ambition narrative et esthétique d’un tout autre ordre. Cette longue séquence introductive nous lance implicitement un « vous n’avez encore rien vu », allégation qui sera largement prouvée 148 minutes durant.
A la manière des films de Johnnie To, l’intrigue de The Raid 2 repose sur la confrontation entre plusieurs entités qui gangrènent la ville de Jakarta : la mafia indonésienne dirigée par Bangun, les yakuzas dirigés par M. Goto, un nouveau gang dirigé par Bejo, ou encore la police corrompue dirigée par Reza. En reprenant les codes du film de gangster (complots, manipulations, traitrises…) Gareth Evans démontre un vrai travail scénaristique, bien plus recherché que dans le précédent opus, même si certaines scènes, servant avant tout de lien entre deux morceaux de bravoure, sont un brin trop longues et superflues, la faute à des dialogues redondants et des acteurs pas forcément très impliqués dans leur jeu.
VERTICALITÉ, HORIZONTALITÉ
Une guerre sans merci va bientôt envahir les rues de la ville. Dès lors, pour protéger sa famille, Rama, sous sa nouvelle identité Yuda, doit s’infiltrer dans une prison afin de gagner la confiance d’Uco, le jeune fils ambitieux de Bangun, et ainsi se faire recruter au sein de l’organisation. Si The Raid fonctionnait sur une verticalité physique, la notion de verticalité dans The Raid 2 devient beaucoup plus métaphorique, car il s’agit de gravir les échelons au sein de l’empire criminel pour l’anéantir définitivement. L’ascension de Rama est ainsi signifiée par l’image, notamment grâce au choix des décors. Lorsque notre héros se retrouve en prison, Gareth Evans s’appuie sur une tonalité similaire à celle de The Raid : les murs et le sol sont maculés de crasse. Cette grosse partie est d’ailleurs conclue par une bagarre générale en forme de bain de boue, l’un des nombreux et mémorables morceaux de bravoure qui parcourent le film. L’utilisation de cette immense arène boueuse est optimale et donne à la scène un aspect terriblement sauvage. Par la suite, la matière sale laisse place à des décors au style plus bling-bling et luxueux, tels que l’appartement offert à Rama par Bangun ou le grand restaurant servant de QG à Bejo. Cette évolution esthétique caractérise la montée en grade de Rama au sein de l’organisation criminelle.
La configuration de ce second opus passe aussi par la notion d’horizontalité, puisque le terrain de jeu n’est plus une tour mais une ville ouverte. A la manière du jeu vidéo Grand Theft Auto, l’affrontement entre les différentes entités se répercute directement au niveau de Jakarta. De ce fait, une bonne partie des séquences se déroule dans des zones publiques. Gareth Evans profite de ce vaste univers urbain pour introduire et mettre en scène plusieurs personnages secondaires. Certains ont même leur propre fil narratif, comme une alternative au parcours de Rama, intercalée au sein d’un récit très dense. C’est notamment le cas de Prakoso, nouveau personnage interprété par Yayan Ruhian (après Mad Dog dans The Raid), tueur implacable auquel Evans donne le rôle du héros mélancolique trahi par ses employeurs, le temps de quelques séquences d’action brutales où l’athlète montre une fois de plus toute sa dextérité de combattant. A mi-film apparaissent également ce qu’on appellera « les tueurs au service de Bejo » : la belle Hammer Girl, son frère Baseball Bat Man et le très dangereux The Assassin. Comme leur nom l’indique, ces personnages semblent tout droit sortis de l’univers du manga. Chacun est introduit au cours d’impressionnantes scènes d’action montées en parallèle, faisant l’étalage de leur style de combat et de leur capacité à enchaîner des mises à mort toutes plus violentes les unes que les autres grâce à leurs armes de prédilection (marteaux, batte, couteaux incurvés, pioche…).
HARDER, BETTER, FASTER, STRONGER
Gareth Evans déploie des trésors d’inventivité pour donner à ses scènes d’action, aussi nombreuses soient-elles, une tournure à chaque fois différente, en variant les décors, les chorégraphies ou les armes utilisées. Le réalisateur peut, par exemple, faire monter la pression juste avant le combat, en s’appuyant sur des effets sonores, des ralentis, un montage plus cut et des plans de plus en plus rapprochés pour créer une impression d’amplification des sens. Et une fois le combat lancé, la caméra épouse les gestes et s’adapte au style des combattants en sublimant leurs mouvements. Le combat de dix minutes entre Rama et The Assassin, qui deviendra sans doute un monument du genre pour les années à venir, en est la parfaite représentation.
Dans les scènes d’action faisant intervenir beaucoup plus de personnages, à l’image de la baston générale dans la boue, Gareth Evans aligne avec une certaine virtuosité, une succession de longs plans sans cesse en mouvement, où les finish moves s’enchainent avec une brutalité rare, provoquant des dégâts corporels ultra-réalistes. On se demande à plusieurs reprises comment une telle maitrise du mouvement est possible avec tout ce qui se passe à l’écran. Par exemple, pendant l’énorme course-poursuite, la caméra virevolte de voiture en voiture, rentrant par une fenêtre pour ressortir par une autre, sans coupure et avec une fluidité incroyable, alors même que tout ce beau monde se tire et se roule dessus. Il a sans doute fallu un temps de préparation conséquent pour concevoir chaque plan au millimètre près.
Gareth Evans a eu toute la liberté possible en pré-production et au tournage pour peaufiner son film au maximum. The Raid 2 dépasse ainsi toutes nos attentes et se place directement comme un film majeur du genre, ultraviolent mais jouissif et inventif dès lors que les personnages s’engagent dans des bastons absolument dantesques. L’idée d’un remake américain du premier volet devient alors complètement futile tant la barre est placée haut, surtout quand on connait le peu de marge laissé aux réalisateurs par les producteurs hollywoodiens lorsqu’il s’agit d’adapter un film aussi sanglant et brutal.
UN VRAI FILM DE GANGSTER
Le premier opus nous laissait avec Rama, le héros interprété par Iko Uwais, son frère, son collègue blessé et le policier corrompu qu’ils venaient d’arrêter, après avoir décimé tout un immeuble de la plupart de ses sombres occupants. The Raid s’appuyait avant tout sur un scénario très simple et linéaire, prétexte à enchaîner des scènes de baston violentes, sublimées par les mouvements virtuoses du pencak-silat et la mise en scène viscérale de Gareth Evans. L’enjeu principal, très inspiré par l’univers du jeu vidéo à l’ancienne, était de réussir à monter jusqu’au sommet du bâtiment pour affronter le boss final.
The Raid 2 fait directement suite au premier, à quelques heures près. L’introduction nous présente les conséquences immédiates et sanglantes de la purge effectuée par Rama au sein du milieu criminel. Des têtes tombent et des nouvelles apparaissent. Construction en flashbacks, cadres soignées, images léchées… Gareth Evans affiche d’entrée une ambition narrative et esthétique d’un tout autre ordre. Cette longue séquence introductive nous lance implicitement un « vous n’avez encore rien vu », allégation qui sera largement prouvée 148 minutes durant.
A la manière des films de Johnnie To, l’intrigue de The Raid 2 repose sur la confrontation entre plusieurs entités qui gangrènent la ville de Jakarta : la mafia indonésienne dirigée par Bangun, les yakuzas dirigés par M. Goto, un nouveau gang dirigé par Bejo, ou encore la police corrompue dirigée par Reza. En reprenant les codes du film de gangster (complots, manipulations, traitrises…) Gareth Evans démontre un vrai travail scénaristique, bien plus recherché que dans le précédent opus, même si certaines scènes, servant avant tout de lien entre deux morceaux de bravoure, sont un brin trop longues et superflues, la faute à des dialogues redondants et des acteurs pas forcément très impliqués dans leur jeu.
VERTICALITÉ, HORIZONTALITÉ
Une guerre sans merci va bientôt envahir les rues de la ville. Dès lors, pour protéger sa famille, Rama, sous sa nouvelle identité Yuda, doit s’infiltrer dans une prison afin de gagner la confiance d’Uco, le jeune fils ambitieux de Bangun, et ainsi se faire recruter au sein de l’organisation. Si The Raid fonctionnait sur une verticalité physique, la notion de verticalité dans The Raid 2 devient beaucoup plus métaphorique, car il s’agit de gravir les échelons au sein de l’empire criminel pour l’anéantir définitivement. L’ascension de Rama est ainsi signifiée par l’image, notamment grâce au choix des décors. Lorsque notre héros se retrouve en prison, Gareth Evans s’appuie sur une tonalité similaire à celle de The Raid : les murs et le sol sont maculés de crasse. Cette grosse partie est d’ailleurs conclue par une bagarre générale en forme de bain de boue, l’un des nombreux et mémorables morceaux de bravoure qui parcourent le film. L’utilisation de cette immense arène boueuse est optimale et donne à la scène un aspect terriblement sauvage. Par la suite, la matière sale laisse place à des décors au style plus bling-bling et luxueux, tels que l’appartement offert à Rama par Bangun ou le grand restaurant servant de QG à Bejo. Cette évolution esthétique caractérise la montée en grade de Rama au sein de l’organisation criminelle.
La configuration de ce second opus passe aussi par la notion d’horizontalité, puisque le terrain de jeu n’est plus une tour mais une ville ouverte. A la manière du jeu vidéo Grand Theft Auto, l’affrontement entre les différentes entités se répercute directement au niveau de Jakarta. De ce fait, une bonne partie des séquences se déroule dans des zones publiques. Gareth Evans profite de ce vaste univers urbain pour introduire et mettre en scène plusieurs personnages secondaires. Certains ont même leur propre fil narratif, comme une alternative au parcours de Rama, intercalée au sein d’un récit très dense. C’est notamment le cas de Prakoso, nouveau personnage interprété par Yayan Ruhian (après Mad Dog dans The Raid), tueur implacable auquel Evans donne le rôle du héros mélancolique trahi par ses employeurs, le temps de quelques séquences d’action brutales où l’athlète montre une fois de plus toute sa dextérité de combattant. A mi-film apparaissent également ce qu’on appellera « les tueurs au service de Bejo » : la belle Hammer Girl, son frère Baseball Bat Man et le très dangereux The Assassin. Comme leur nom l’indique, ces personnages semblent tout droit sortis de l’univers du manga. Chacun est introduit au cours d’impressionnantes scènes d’action montées en parallèle, faisant l’étalage de leur style de combat et de leur capacité à enchaîner des mises à mort toutes plus violentes les unes que les autres grâce à leurs armes de prédilection (marteaux, batte, couteaux incurvés, pioche…).
HARDER, BETTER, FASTER, STRONGER
Gareth Evans déploie des trésors d’inventivité pour donner à ses scènes d’action, aussi nombreuses soient-elles, une tournure à chaque fois différente, en variant les décors, les chorégraphies ou les armes utilisées. Le réalisateur peut, par exemple, faire monter la pression juste avant le combat, en s’appuyant sur des effets sonores, des ralentis, un montage plus cut et des plans de plus en plus rapprochés pour créer une impression d’amplification des sens. Et une fois le combat lancé, la caméra épouse les gestes et s’adapte au style des combattants en sublimant leurs mouvements. Le combat de dix minutes entre Rama et The Assassin, qui deviendra sans doute un monument du genre pour les années à venir, en est la parfaite représentation.
Dans les scènes d’action faisant intervenir beaucoup plus de personnages, à l’image de la baston générale dans la boue, Gareth Evans aligne avec une certaine virtuosité, une succession de longs plans sans cesse en mouvement, où les finish moves s’enchainent avec une brutalité rare, provoquant des dégâts corporels ultra-réalistes. On se demande à plusieurs reprises comment une telle maitrise du mouvement est possible avec tout ce qui se passe à l’écran. Par exemple, pendant l’énorme course-poursuite, la caméra virevolte de voiture en voiture, rentrant par une fenêtre pour ressortir par une autre, sans coupure et avec une fluidité incroyable, alors même que tout ce beau monde se tire et se roule dessus. Il a sans doute fallu un temps de préparation conséquent pour concevoir chaque plan au millimètre près.
Gareth Evans a eu toute la liberté possible en pré-production et au tournage pour peaufiner son film au maximum. The Raid 2 dépasse ainsi toutes nos attentes et se place directement comme un film majeur du genre, ultraviolent mais jouissif et inventif dès lors que les personnages s’engagent dans des bastons absolument dantesques. L’idée d’un remake américain du premier volet devient alors complètement futile tant la barre est placée haut, surtout quand on connait le peu de marge laissé aux réalisateurs par les producteurs hollywoodiens lorsqu’il s’agit d’adapter un film aussi sanglant et brutal.
http://eastasia.fr/2014/04/08/critique-pre...ns-beaune-2014/
Citation (Biz Markie @ 06/04/2014 19:28)
Ce bordel
Real 
Je me suis forcé à rester jusqu'à la fin, je n'aurais pas du.gif)
Je me suis forcé à rester jusqu'à la fin, je n'aurais pas du
J'ai maté Les Beaux Gosses hier et
Vu suite à La Crème de la Crème qui m'a donné envie d'approfondir le genre : celui-là ça valait pas la séance de cinéma. Par contre l'immersion en école de commerce est assez réaliste
Vu suite à La Crème de la Crème qui m'a donné envie d'approfondir le genre : celui-là ça valait pas la séance de cinéma. Par contre l'immersion en école de commerce est assez réaliste
C'est moi ou c'est Daryl (The Walking Dead) qui joue l'assistant de Blade dans Blade 2 (actuellement sur NT1) ?
Edit : Oh putain oui c'est lui
?Edit : Oh putain oui c'est lui
Grosse déception pour Real.
J'aime beaucoup le début, Kurosawa comme toujours nous montre sont talent fabuleux de metteur en scène, mais les retournemens du scénario et son usure m'ont fait lacher prise au bout de 45 min-1h, à partir de là impossible de replonger dedans.
Quel gâchis quand même, parce que rien que sur 2-3 séquences on sent que potentiellement ça pourrait être un très beau film... On dirait du Pastore.
J'aime beaucoup le début, Kurosawa comme toujours nous montre sont talent fabuleux de metteur en scène, mais les retournemens du scénario et son usure m'ont fait lacher prise au bout de 45 min-1h, à partir de là impossible de replonger dedans.
Quel gâchis quand même, parce que rien que sur 2-3 séquences on sent que potentiellement ça pourrait être un très beau film... On dirait du Pastore.
La fin est très belle quand même.
Sinon on est allé voir Divergente avec des potes juste pour se marrer, meilleure comédie de l'année
Sinon on est allé voir Divergente avec des potes juste pour se marrer, meilleure comédie de l'année
Citation (DelSpooner @ 08/04/2014 12:34)
Ma critique complète de The Raid 2 :
<a href="http://eastasia.fr/2014/04/08/critique-preview-the-raid-2-de-gareth-evans-beaune-2014/" target="_blank">http://eastasia.fr/2014/04/08/critique-pre...ns-beaune-2014/</a>
<a href="http://eastasia.fr/2014/04/08/critique-preview-the-raid-2-de-gareth-evans-beaune-2014/" target="_blank">http://eastasia.fr/2014/04/08/critique-pre...ns-beaune-2014/</a>
Très bonne critique, ça donne envie
du coup je me refais le 1.
Citation (Hiso @ 10/04/2014 08:46)
En complément :
http://www.mtv.com/videos/movies/1028594/2...html#id=1725658
Zach Braff
Je vais me laisser tenter par Divergente, on verra bien.
Je vais me laisser tenter par Divergente, on verra bien.
T'es pas obligé, mais ça reste drôle tellement c'est débile
Citation (DelSpooner @ 11/04/2014 16:59)
T'es pas obligé, mais ça reste drôle tellement c'est débile
Une belle merde ce truc
Bon deux ans après tout le monde j'ai vu 21 jump street et je m'attendais à rien mais
Très bon film et pour une comédie c'est bien rare
Très bon film et pour une comédie c'est bien rare
Shot de petits films ces derniers jours :
Les deux premiers chapitres sont absolument fabuleux. L'un se déroule à la gare du nord où le réalisateur choisit de garder son recul tout le long de la séquence jusqu'à la fameuse rencontre. C'est un véritable monde grouillant qui s'anime devant nous. Dans le deuxième chapitre, le cadre privé et chic de l'appartement de Daniel se voit perforé par cette vie grouillante aperçue tantôt. En deux séquences, le réalisateur pose les bases de son histoire, de ses personnages, de sa mise en scène. Je trouve le troisième chapitre un peu plus faible, même si la relation Daniel/Marek évolue de façon attendrissante. Le quatrième chapitre clôt le film de façon pertinente, même si prévisible. C'est un très beau film, très original dans le paysage du cinéma français, l'anti-Welcome, qui tente d'éviter les clichés pour nous rapprocher des personnages. Les acteurs sont formidables, Olivier Rabourdin et Kirill Emelyanov évidemment, mais également l'interprète de Boss, Danil Vorobyev, qui explose littéralement l'écran.
C'est un pur exercice de style. Ce n'est même que ça. Mais c'est assez brillant. Le peu de réponses apporté à l'intrigue ne passe que par l'image, il faut être très attentif.
Banshee chez les kurdes
. Classique mais efficace, portée par la toujours aussi magnifique Golshifteh Farahani.
Initiative courageuse pour un documentaire intéressant mais répétitif. Un format plus court aurait été plus approprié je pense.
Le prototype du film sud-américain de festival.
Les deux premiers chapitres sont absolument fabuleux. L'un se déroule à la gare du nord où le réalisateur choisit de garder son recul tout le long de la séquence jusqu'à la fameuse rencontre. C'est un véritable monde grouillant qui s'anime devant nous. Dans le deuxième chapitre, le cadre privé et chic de l'appartement de Daniel se voit perforé par cette vie grouillante aperçue tantôt. En deux séquences, le réalisateur pose les bases de son histoire, de ses personnages, de sa mise en scène. Je trouve le troisième chapitre un peu plus faible, même si la relation Daniel/Marek évolue de façon attendrissante. Le quatrième chapitre clôt le film de façon pertinente, même si prévisible. C'est un très beau film, très original dans le paysage du cinéma français, l'anti-Welcome, qui tente d'éviter les clichés pour nous rapprocher des personnages. Les acteurs sont formidables, Olivier Rabourdin et Kirill Emelyanov évidemment, mais également l'interprète de Boss, Danil Vorobyev, qui explose littéralement l'écran.
C'est un pur exercice de style. Ce n'est même que ça. Mais c'est assez brillant. Le peu de réponses apporté à l'intrigue ne passe que par l'image, il faut être très attentif.
Banshee chez les kurdes
. Classique mais efficace, portée par la toujours aussi magnifique Golshifteh Farahani.Initiative courageuse pour un documentaire intéressant mais répétitif. Un format plus court aurait été plus approprié je pense.
Le prototype du film sud-américain de festival.
Citation (DelSpooner @ 14/04/2014 22:41)
Le prototype du film sud-américain de festival.
Déjà un biopic pour Stromae ?
Citation (DelSpooner @ 08/04/2014 12:34)
Ma critique complète de The Raid 2 :
<a href="http://eastasia.fr/2014/04/08/critique-preview-the-raid-2-de-gareth-evans-beaune-2014/" target="_blank">http://eastasia.fr/2014/04/08/critique-pre...ns-beaune-2014/</a>
<a href="http://eastasia.fr/2014/04/08/critique-preview-the-raid-2-de-gareth-evans-beaune-2014/" target="_blank">http://eastasia.fr/2014/04/08/critique-pre...ns-beaune-2014/</a>
Je l'ai vu ce week-end aussi. J'avais peur d'etre decu, que ca se soit hollywoodise, et non, c'etait toujours aussi bien. Ils ont un peu plus essaye de faire un vrai film, y a plus de dialogues, de scenes normales, assez chiantes d'ailleurs dans l'ensemble. Heureusement l'action reste geniale comme dans le 1er, la plus creative que j'ai vue depuis des lustres. Les gens etaient dechaines dans la salle
Meilleure franchise de films d'action actuelle.
Citation
Par exemple, pendant l’énorme course-poursuite, la caméra virevolte de voiture en voiture, rentrant par une fenêtre pour ressortir par une autre, sans coupure et avec une fluidité incroyable, alors même que tout ce beau monde se tire et se roule dessus.
Je fais pas du tout gaffe a l'aspect branlette techniquet et/ou intellectuelle comme vous
et pourtant ca aussi je l'ai remarque, donc belle prouesse.
Citation (Sarconzie @ 15/04/2014 07:51)
Déjà un biopic pour Stromae ?
Les sentinelles
Citation (DelSpooner @ 02/04/2014 13:30)
Bon n'oubliez pas aujourd'hui, plus important que PSG-Chelsea, il y a le nouveau film de Rose Bosch, l'auteur du chef d'œuvre La Rafle, qui sort en salles.
non mais t'es sérieux enculé?
Quelqu'un a vu Noe ? Des avis ?
J'ai vu Lone survivor. Si t'es fan de Call Of Duty et que tu aimes la politique des USA en dehors de leurs frontières, ça peut-être génial. Sinon, c'est assez puant malgré un super casting.
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