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Beuzech
Les premiers retours US sur The Dark Tower sont vraiment pas terribles...
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Citation (Vince206plusHDI @ 24/07/2017 14:09) *
pour le coup, "The Circle" produit aussi par Besson via Europacorp a fait un énorme flop aux US en début d'année ... et il est démonté par la critique...

pourtant je l'ai regardé hier et c'était bien plus supportable que Lucy ...( c'est loin d'être un chef d'oeuvre malgré tout !)
à croire que le côté critique envers les trois géants apple / google / facebook est mal passé...


Le problème n'est pas la critique envers les trois géants mais surtout l'absence totale de subtilité dans le traitement.

Le propre de ces sociétés est de nous offrir des services utiles et en contre-partie collecter et utiliser nos données, ce n'est plus un secret pour grand monde. Mais là on n'y croit juste pas tellement le parcours du personnage d'Emma Watson est grossier de bout en bout. Je suppose que c'est mieux et plus finement traité dans le bouquin dont le film est adapté, mais là c'est bourré de raccourcis douteux.

C'est dommage parce que le sujet mérite meilleur résultat et la piqûre de rappel ne peut pas faire de mal. Surtout que le sujet a rarement été abordé aussi frontalement jusque là, même si d'autres ont déjà évoqué des dérives potentielles sous différents angles.
Rjay
"Valerian" est-il adapté pour une fille de 5 ans ? Merci.
Demon Di Mario
Enfin vu Alien: Covenant, et en fait je préfère largement Prometheus c'est dire ph34r.gif

Triste de voir Ridley Scott enterrer une saga si mythique qu'il avait lui même lancé, à croire qu'il commence à gatouiller et qu'il a perdu son talent. Et dire qu'il y aura certainement (au moins) une suite... sad.gif
wil
Citation (k.hyuga @ 02/08/2017 17:18) *
Vu la Planète des singes , j'ai bien aimé le film.

Les bandes annonces sont assez trompeuses sur ce film, il y a très peu d'action
Spoiler :
juste à la fin et au début et la
bataille de fin ne concerne pas directement les singes


Le colonel est réussi comme bad guy je trouve, pas trop manichéen comme personnage (enfin il a des raisons qui se comprennent)
Spoiler :
même si il est un peu taré à se croire porter par une espèce de mission divine
et ses confrontations avec Cesar sont très réussis.

Le personnage de la petite fille est attachante
Spoiler :
et elle est également au centre de l'intrigue niveau humain puisqu'elle est atteint par la mutation du virus et sera la cause de la perte du colonel


Bref un film qui clôture d'une belle manière cette nouvelle trilogie.


Vu aussi, j'ai trouvé qu'il y avait des longueurs et j'ai clairement préféré le précédent.
Mamadieu
Citation (Demon Di Mario @ 09/08/2017 13:22) *
Enfin vu Alien: Covenant, et en fait je préfère largement Prometheus c'est dire ph34r.gif

Triste de voir Ridley Scott enterrer une saga si mythique qu'il avait lui même lancé, à croire qu'il commence à gatouiller et qu'il a perdu son talent. Et dire qu'il y aura certainement (au moins) une suite... sad.gif

Le film a bidé c'est peu probable de voir une suite.

Edit : en fait non il a pas fait un gros bide mais j'ai du mal à voir la Fox prendre le risque de faire une suite.
doll
Citation (Rjay @ 09/08/2017 12:52) *
"Valerian" est-il adapté pour une fille de 5 ans ? Merci.


Non je ne pense pas. L'esthétisme est particulier.
Demon Di Mario
Citation (Mamadieu @ 09/08/2017 14:50) *
Le film a bidé c'est peu probable de voir une suite.

Edit : en fait non il a pas fait un gros bide mais j'ai du mal à voir la Fox prendre le risque de faire une suite.


Vu la fin j'ai bien peur qu'il y ait un contrait de minimum 3 films dans l'air, car le lien avec Alien n'est pas véritablement encore fait... et j'ose espérer que Scott avait à la base prévu d'en faire un quand même. Enfin bon le seul véritable intérêt de Prometheus a été
Spoiler :
tué et bâclé en quelques secondes avec le flashback de David qui tue TOUS les ingénieurs sans chercher le contact et donc empêchant toute réponse du pourquoi avoir créé/voulu détruire la race humaine
et en ça cette suite est infâme, c'est un film lambda perdu au milieu qui pris à part aurait pas été foncièrement mauvais (sauf la fin qui reste risible/prévisible) mais là...
Rjay
Citation (doll @ 09/08/2017 14:51) *
Non je ne pense pas. L'esthétisme est particulier.

Merci.
DelSpooner
Citation (Beuzech @ 04/08/2017 10:16) *
Les premiers retours US sur The Dark Tower sont vraiment pas terribles...


L'adaptation est un massacre pur et simple.

En tant que film en lui-même, ça se regarde mais ça va pas très loin, tant tout est simplifié à l'extrême.
Houdini
Song to song est une merveille. Malick le plus grand artiste vivant. On baise les rageux.
DelSpooner
Sacré programme L'Etrange Festival encore implosion du tibia.gif
Charly Gaul
Citation (Houdini @ 11/08/2017 09:44) *
Song to song est une merveille. Malick le plus grand artiste vivant. On baise les rageux.


C'est très chantant ou pas ? knight of cup j'avais adoré pour le coté lourd et dépressif, de ce film , j'avoue que celui là j'ai très peur d’être décu.
Houdini
Non non, contrairement à Knight of Cup et À la merveille, song to song est un film abouti et on comprend où il a voulu en venir avec les deux brouillons précédents, rien de péjoratif en disant cela mais on se rapprochait plus du document de travail qu'autre chose. Cette trilogie est clairement la partie la plus "faible" de son cinéma mais elle reste captivante et plus qu'intéressante, le voir tous les ans, sans filtre ou presque nous permet de voir le génie au travail, cnest beau de voir un artiste se livrer à ce point.
Varino
Citation (DelSpooner @ 09/08/2017 22:29) *
L'adaptation est un massacre pur et simple.

En tant que film en lui-même, ça se regarde mais ça va pas très loin, tant tout est simplifié à l'extrême.

Je me devais d'y aller quand meme en tant que fan, et malgre mes attentes en berne faut bien avouer que les critiques sont justifiees. Meme si on prend le film de lui meme c'est completement generique et peu inspire. L'adaptation... ouai... raté raté raté. C'est dommage d'avoir gaché Elba et McConaughey, ca avait du potentiel.
Boulick
Déçu par Baby Driver. Son style, son rythme et sa musique en font un film "cool", mais alors le scénario... Ca part bien, ça promet des trucs et au final ça va nulle part, c'est nul. Je m'attendais à ce que ça parte en true romance avec le couple qui s'enfuit et les tueurs à leur cul, au final ça se termine juste en une lutte contre un psychopathe que le héros tue X fois mais qui survit tout le temps. Et du coup la meuf devient jamais un vrai perso, elle est juste là pour faire joli.
Houdini
http://www.lemonde.fr/festival/article/201...03_4415198.html

Quelqu'un aurait un abo pour me copier ça svp?
Demon Di Mario
Porté par la magnifique saison de Twin Peaks - The Return, je me suis refait (et fait, pour les films que je n'avais pas encore vus) la filmographie de David Lynch (hormis Dune qui n'est pas vraiment représentatif et dont j'avais gardé un souvenir moyen à l'époque, et Fire Walk With Me que j'avais vu il y a quelques mois) en quelques jours. Ca remue bien l'esprit disons mais il y a un grand nombre de chef d'oeuvres, hormis Sailor et Lula pour lequel j'ai moins accroché (et peut-être Eraserhead aussi, mais bon c'est son premier).

Mes préférés :
- Mulholland Drive (en même temps c'est le premier que j'ai vu et celui que j'ai le plus revu)
- Lost Highway (potentiel préféré à venir avec le temps, tout y est parfait)
- Blue Velvet
- Elephant Man

Sûrement dans cet ordre.

Un peu plus circonspect sur Inland Empire qui est clairement une oeuvre extrême, très abouti dans la logique Lynchienne, mais qui a réussi à me perdre en son milieu sur son premier visionnage. On va loin dans la folie et l'illogique sur celui-ci. A revoir sûrement...

Si des amateurs de Lynch veulent lancer une discussion sur leurs films préférés, ils sont les bienvenus ! smile.gif

PS : Par contre je viens de découvrir que le Maître aurait un peu mal tourné récemment avec une histoire de secte sur la méditation et quelques cas d'arnaques en Amériques du Sud. En même temps, vue la folie du mec je ne suis qu'à moitié surpris. J'ai aussi retrouvé cette interview datant de 2002, moment qui laisse perplexe (même si on se demande presque si Lynch n'a pas mis en scène lui-même ce moment en mode exagéré tant ça parait irréel) :

Charly Gaul
Vu Dunkirk la semaine dernière, bon film mais clairement pas un chef-oeuvre, ca ne vous a pas choquer le peu de figurants sur la plage ? ils sont censé etre 400 000 sur quand même.

Pour la polémique sur l'armée francaise, polémique en carton, le traitement du film n'étant pas un film de guerre mais plus un film suspens/survie le débat n'a pas lieu d’être.
Noreaga
Citation (Demon Di Mario @ 24/08/2017 12:30) *
Porté par la magnifique saison de Twin Peaks - The Return, je me suis refait (et fait, pour les films que je n'avais pas encore vus) la filmographie de David Lynch (hormis Dune qui n'est pas vraiment représentatif et dont j'avais gardé un souvenir moyen à l'époque, et Fire Walk With Me que j'avais vu il y a quelques mois) en quelques jours. Ca remue bien l'esprit disons mais il y a un grand nombre de chef d'oeuvres, hormis Sailor et Lula pour lequel j'ai moins accroché (et peut-être Eraserhead aussi, mais bon c'est son premier).

Mes préférés :
- Mulholland Drive (en même temps c'est le premier que j'ai vu et celui que j'ai le plus revu)
- Lost Highway (potentiel préféré à venir avec le temps, tout y est parfait)
- Blue Velvet
- Elephant Man

Sûrement dans cet ordre.

Un peu plus circonspect sur Inland Empire qui est clairement une oeuvre extrême, très abouti dans la logique Lynchienne, mais qui a réussi à me perdre en son milieu sur son premier visionnage. On va loin dans la folie et l'illogique sur celui-ci. A revoir sûrement...

Si des amateurs de Lynch veulent lancer une discussion sur leurs films préférés, ils sont les bienvenus ! smile.gif

PS : Par contre je viens de découvrir que le Maître aurait un peu mal tourné récemment avec une histoire de secte sur la méditation et quelques cas d'arnaques en Amériques du Sud. En même temps, vue la folie du mec je ne suis qu'à moitié surpris. J'ai aussi retrouvé cette interview datant de 2002, moment qui laisse perplexe (même si on se demande presque si Lynch n'a pas mis en scène lui-même ce moment en mode exagéré tant ça parait irréel) :



J'ai les mêmes deux premiers que toi, avec quand même un ascendant pour Mulholland Drive par rapport à Lost Highway que je trouve moins abouti. En 3 je mettrais quand même Eraserhead, qui est assez difficile d'accès, mais que je trouve tellement caractéristique de ce qui fait la singularité du cinéma de Lynch. Plus difficile à interpréter aussi, même si je ne pense pas qu'il faille à tout prix chercher du sens dans ses films justement, pour moi c'est surtout une brillante représentation du cauchemar au cinéma. Puis Elephant Man en 4 même si ça fait un bail que je l'ai pas vu.

Blue Velvet est un bon film, beaucoup plus accessible que les autres, mais je sais pas, j'ai moins accroché. Sailor et Lula c'est très space, y a plein de petits trucs qui m'ont laissé dubitatif, tu te demandes souvent où est-ce que le film veut t'emmener, mais au delà de ça c'est un trip assez hors du commun. Y a aussi Fire Walks With Me qui a de très bonnes scènes, mais je le trouve dans l'ensemble assez superflu et pas nécessaire, même s'il amène des éléments primordiaux à la bonne compréhension de la saison 3.

Inland Empire j'ai pas encore regardé, de ce que j'en ai vu c'est le moins digeste ph34r.gif Mais il m'intéresse.
Houdini
"Une histoire vraie" est une merveille qui passe bien trop souvent sous le radar quand il s'agit de parler de son oeuvre. La plupart des critiques ont confondu "film mineur" avec "film intime", il perd ici un peu de son style identifiable entre mille pour gagner en émotion.

J'ai aussi une affection particulière pour "Sailor et Lula". Sans doute parce que c'est le premier et surtout parce que c'était mon film pour pécho à la fac. cool.gif
Et Cage est la définition même du flow.

Après s'il ne devait en rester qu'un ce serait forcément "Mulholland Drive", un film parfait cela n'arrive pas tous les matins.
Demon Di Mario
Citation (Houdini @ 24/08/2017 14:17) *
"Une histoire vraie" est une merveille qui passe bien trop souvent sous le radar quand il s'agit de parler de son oeuvre. La plupart des critiques ont confondu "film mineur" avec "film intime", il perd ici un peu de son style identifiable entre mille pour gagner en émotion.

J'ai aussi une affection particulière pour "Sailor et Lula". Sans doute parce que c'est le premier et surtout parce que c'était mon film pour pécho à la fac. cool.gif
Et Cage est la définition même du flow.

Après s'il ne devait en rester qu'un ce serait forcément "Mulholland Drive", un film parfait cela n'arrive pas tous les matins.


J'ai en effet oublié de mentionner Une histoire vraie, film qui m'avait pas mal retourné quand je l'ai vu et que je n'ai pas revu récemment d'ailleurs, ça prouve que j'aurais dû d'ailleurs. C'est du Lynch plus simpliste mais tellement fort et touchant...
Ashura
Vu Valérian, après avoir lu diverses critiques je m'attendais à pire franchement. Scénario complètement oubliable ouais mais ça reste un divertissement sympa et réussi artistiquement.

La semaine dernière je suis allé voir Le Caire confidentiel, vanté comme un des meilleurs polars de l'année... mouais bah je me suis pas mal fait chier au final, le scénario est cousu de fil blanc, on voit tout venir à des kilomètres ce qui me semble un peu rédhibitoire pour ce genre de film.
Ashura
Et j'enchaîne ph34r.gif revu Usual Suspects, toujours très bon wub.gif malheureusement impossible de retrouver le kif du premier visionnage...

Vu aussi Dunkerque, je crois que je me suis rarement autant emmerdé devant un film.
DelSpooner
Faut voir Colossal (en VOD malheureusement), sans doute le meilleur film de cet été (avec La Planète des Singes Suprématie)
Next
Citation (DelSpooner @ 25/08/2017 02:36) *
Faut voir Colossal (en VOD malheureusement), sans doute le meilleur film de cet été (avec La Planète des Singes Suprématie)


J'ai bien aimé l'idée, qui vaut à elle-seule le visionnage parce qu'elle n'est pas juste gadget en plus, mais par contre j'ai trouvé ça vraiment plat sur la forme. Pas plus emballé que ça non plus du coup. Il y avait mieux à faire.

Je me demande par contre pourquoi un film de cette teneur, et avec tout de même une tête d'affiche, se retrouve à ne sortir qu'en VOD.
johncoltrane
Citation (Houdini @ 21/08/2017 09:20) *
http://www.lemonde.fr/festival/article/201...03_4415198.html

Quelqu'un aurait un abo pour me copier ça svp?



ÉDITION ABONNÉS
Nicolas Winding Refn dans l’enfer du 35 mm
Par Samuel Blumenfeld
Le 20 août 2017 à 18h00 Mis à jour le 20 août 2017 à 19h09

Collectionneurs de films (1/6). Le réalisateur danois de « Drive » se saigne aux quatre veines pour sauver de l’oubli les films d’horreur d’Andy Milligan et les œuvres évangélistes du couple Ormond.
Nicolas Winding Refn sur le tournage de son film « Only God Forgives » (2013).
Nicolas Winding Refn sur le tournage de son film « Only God Forgives » (2013). / SPACE ROCKET NATION/PHOTO12

Pendant longtemps, bien avant qu’il devienne réalisateur, l’existence, selon Nicolas Winding Refn, consistait à amasser. Adolescent, il consacrait l’intégralité de son budget aux 33-tours. Essentiellement des musiques obscures. S’il tombait sur l’enregistrement pirate d’une chanson des Beatles, même dans une version alternative, il mettait l’objet de côté. A la fin de l’adolescence sont arrivés les jouets japonais. Puis les cassettes vidéo. Et enfin les copies 35 mm. Le réalisateur de Pusher et de Valhalla Rising faisait partie d’un groupe de cinéphiles danois qui s’échangeaient, à Copenhague, des classiques de l’histoire du cinéma, à une période – les années 1990, avant l’arrivée du numérique et du DVD – où la pellicule conservait une aura et offrait une qualité technique très supérieure à la cassette vidéo. La rencontre avec sa future femme, puis la naissance de ses deux filles, bousculent l’ordre de ses priorités. Il laisse de côté les copies 35 mm, faute de savoir où les entreposer. Aussi parce qu’il ne pense pas être habité par la passion du celluloïd.

Lire aussi : « Bleeder » : le Copenhague gris de Nicolas Winding Refn
Le déclic se produit peu après la sortie de Drive (2011), au moment où le réalisateur rencontre son plus grand succès public. En surfant sur eBay, Refn découvre par hasard que les copies du cinéaste Andy Milligan, mort du sida en 1991, sont mises en vente par son biographe officiel, Jimmy McDonough. A cet instant, le réalisateur danois comprend que sa vie ne sera plus jamais la même.

« TU ES DINGUE ? TU VIENS DE DÉPENSER 25 000 DOLLARS POUR DES FILMS DONT PERSONNE N’A RIEN À FOUTRE ? »
Refn se souvenait des titres de plusieurs films de Milligan, Guru, the Mad Monk (« Guru, le moine fou », 1970), Bloodthirsty Butchers (« Les bouchers assoiffés de sang », 1970), The Rats Are Coming ! The Werewolves Are Already Here ! (« Les rats arrivent ! Les loups-garous sont déjà là ! », 1972), pour en avoir trouvé la trace dans différentes encyclopédies du cinéma. Andy Milligan était le fils d’un capitaine de l’armée américaine et d’une mère obèse, alcoolique et bipolaire qui martyrisait ses enfants et son mari. Les films de ce cinéaste autodidacte étaient distribués dans les cinémas de la 42e rue, à Manhattan, ceux fréquentés par Robert De Niro dans Taxi Driver. Des salles de cinéma porno le plus souvent, ou qui distribuaient des films d’horreur ultra-violents. Lorsque Refn se trouva en âge de les fréquenter, ces salles avaient disparu, et leurs films avec.

Lire aussi : Nicolas Winding Refn, de « Drive » aux affiches de séries B
En acquittant la somme de 25 000 dollars pour le lot, le réalisateur s’offrait le droit de les voir enfin. « En les découvrant, j’ai été surpris. Par leur violence, extrême. Et leur qualité, contrastée. Soyons honnêtes, il est difficile de regarder un film d’Andy Milligan jusqu’au bout. Mais, en même temps, je comprenais qu’il s’agissait d’un homme qui réalisait ses films à sa manière, dans son propre système. Son utilisation du médium reflétait le flux de sa conscience. Ce qui peut faire peur. Mais qui me fascine. »

« Si je ne sauve pas ses films... »

Son achat effectué, pour une somme significative, a fortiori pour ce metteur en scène qui a évité, même après Drive, de travailler à l’intérieur du système hollywoodien, refusant les chèques importants qui lui étaient offerts, Refn a dû affronter sa femme et son bon sens de mère de famille. « Tu es dingue ?, a-t-elle hurlé. Tu viens de dépenser 25 000 dollars pour des films dont personne n’a rien à foutre ? » Ce à quoi le réalisateur répondit : « Chérie, tu ne comprends pas. Andy Milligan aurait pu être moi. Si je ne sauve pas ses films, Milligan disparaîtra. »

A travers cette disparition, Refn entrevoit la sienne. Ce souci de la préservation, de l’héritage improbable, est devenu une obsession. Pour laquelle il a trouvé un modèle économique. Les sommes perçues pour réaliser ses deux derniers films, Only God Forgives (2013) ou Neon Demon (2016), sont faibles. En revanche, celles, plus conséquentes, touchées pour réaliser des publicités pour Hugo Boss, Shell ou, plus récemment, Le Bon Marché servent à financer cette passion.

Image extraite du film évangéliste « The Burning Hell » (1974), de Ron Ormond.
Image extraite du film évangéliste « The Burning Hell » (1974), de Ron Ormond. / PROD DB © THE ORMOND ORGANIZATION/DR

Sur les conseils de Jimmy McDonough, le cinéaste danois a acquis pour 8 000 dollars, auprès de leur fils, Tim Ormond, les masters vidéo des films de Ron et June Ormond. Ron Ormond était magicien. June Ormond avait été meneuse de revue. Le couple s’était lancé dans le cinéma – Ron réalisait, June produisait. Des westerns à tout petit budget d’abord, tout au long des années 1950. Puis, fatigué de travailler à Hollywood, le couple s’est établi à Nashville (Tennessee) pour s’atteler à des films de « sexploitation » destinés au seul circuit des drive-in du sud des Etats-Unis. The Monster and the Stripper (1968), dans lequel une espèce d’homme des cavernes assassine des strip-teaseuses, deviendra leur succès le plus notable. Juste avant le moment d’épiphanie du couple. Ron Ormond, ancien pilote de l’US Air Force, pilotait, avec son épouse et leur fils à bord, son avion privé au-dessus du Tennessee, quand l’engin s’écrasa après une panne de moteur, laissant ses passagers miraculeusement indemnes. Ron Ormond l’interprète comme un signe du seigneur. Il se rapproche d’un prêcheur baptiste du Mississippi, Estus Pirkle, intéressé par la production de films lui permettant de populariser ses sermons.

« Cette quête me stimule »

Pirkle met à disposition du cinéaste son réseau de fidèles, lesquels pourront, contre rémunération, tenir un petit rôle dans ses films. Ormond prend le projet de son commanditaire à la lettre, avec des ambitions démesurées, où les méthodes du cinéma d’« exploitation » se trouvent mises au service d’un discours évangéliste. De cette collaboration naissent trois films : If Footmen Tire You, What Will Horses Do ? (1971), dans lequel des soldats russes et cubains torturent des citoyens américains pour les faire renoncer à la foi chrétienne ; The Burning Hell (1974) ; Believer’s Heaven (1976), sur les dangers d’entrer en contact avec l’au-delà. « Le truc avec les films des Ormond, assure Nicolas Winding Refn, c’est que tout le monde, même les collectionneurs les plus pointus, était passé à côté. Je ne puis décemment soutenir que ces films soient bons, mais ce n’est pas la question. La perfection ne me semble pas si intéressante que ça, je préfère sentir la voix d’un cinéaste. »

Lire aussi : Nicolas Winding Refn ou la beauté en horreur
La quête des négatifs 35 mm des films évangélistes des Ormond a nécessité le recrutement de plusieurs archivistes à plein-temps. La trace des héritiers du prêcheur Estus Pirkle a été retrouvée, les négatifs sauvés et, depuis, restaurés. « Sauver les films est une tâche aussi créative que les réaliser, précise le cinéaste danois. Loin de m’assécher, cette quête me stimule. Elle n’est pas limitée par des ressources financières. Je mène un travail de résistance. J’ai l’argent pour cela. » Avant de rendre disponible, sur Internet, la trilogie évangéliste des Ormond, Nicolas Winding Refn va éditer en format beau livre, avec les qualités d’impression les plus pointues, une biographie des Ormond par Jimmy McDonough. « Ce sera moins un livre qu’un écrin. » Depuis, le réalisateur s’est trouvé une autre passion : les disques vinyles évangélistes.

Une série en six volets

Ils entretiennent une passion dévorante pour le patrimoine mondial du cinéma et sa plus haute tradition, celle qui utilise du Celluloïd et un projecteur.

1. Nicolas Winding Refn dans l’enfer du 35 mm

2. Serge Bromberg, archéologue de Charlot

3. Joe Dante et ses drôles de bobines

4. Jack Stevenson, le plaisir par la bande

5. Kevin Brownlow, la démarche de l’empereur



Copié collé sur tablette désolé pour la mise en page mais je galère.
florian
Citation (Ashura @ 24/08/2017 17:38) *
Vu Valérian, après avoir lu diverses critiques je m'attendais à pire franchement. Scénario complètement oubliable ouais mais

Vu aussi Dunkerque, je crois que je me suis rarement autant emmerdé devant un film.



Ah ben on est fait pour s'entendre, je me suis régalé devant Dunkerque et emmerdé devant Valerian...
RegardZehef
Je suis dans un cycle Spike Lee :

Vus (ou revus) :

Mo' Better Blues : un affrontement musical Denzel/Wesley Snipes, un cameo de Samuel Lee Jackson, du son et du son, beaucoup aime. Un theme constant de Spike Lee est le type emmerde par la terre entiere.

Do the Right Thing : un classique, un film que j'ai trouve intelligent sur le(s) racisme(s) et la violence, sans lecons de morale et qui laisse le dernier mot au spectateur. Belle esthetique, un excellent Danny Aiello (apparition d'un tres jeune Martin Lawrence). Il a vraiment reussi a capturer une epoque dans ce film, la fin des 80s a Brooklyn.

Clockers : Je regrette de l'avoir vu avant The Wire, tant le theme est similaire. Mais quand meme un tres bon film.

He got game : Un propos un peu caricatural par moments, mais tres bon film.

Malcolm X : pas fan des biopics en general, belle performance de Denzel Washington et film agreable a voir. Je ne connais pas assez la vie du frere Malcolm pour juger de la pertinence du propos cela dit.

The 25th hour : premier film post 11 septembre de Spike Lee, en rupture avec ses films d'avant, (casting majoritairement blanc, qui ne se passe pas majoritairement a Brooklyn), avec Edward Norton, Philip Seymour Hoffman et Rosario Dawson wub.gif wub.gif . Tres reussi.

Inside Man : beaucoup plus Blockbuster que le reste de sa filmographie,je l'ai trouve reussi, avec un superbe twist final, et des dialogues amusants.


Est-ce que vous en avez d'autres a recommander ? Ses films post 2006 valent-ils le coup ? Il est un peu tombe dans l'oubli Spike.
florian
Citation (RegardZehef @ 25/08/2017 15:15) *
Je suis dans un cycle Spike Lee :

Vus (ou revus) :

Mo' Better Blues : un affrontement musical Denzel/Wesley Snipes, un cameo de Samuel Lee Jackson, du son et du son, beaucoup aime. Un theme constant de Spike Lee est le type emmerde par la terre entiere.

Do the Right Thing : un classique, un film que j'ai trouve intelligent sur le(s) racisme(s) et la violence, sans lecons de morale et qui laisse le dernier mot au spectateur. Belle esthetique, un excellent Danny Aiello (apparition d'un tres jeune Martin Lawrence). Il a vraiment reussi a capturer une epoque dans ce film, la fin des 80s a Brooklyn.

Clockers : Je regrette de l'avoir vu avant The Wire, tant le theme est similaire. Mais quand meme un tres bon film.

He got game : Un propos un peu caricatural par moments, mais tres bon film.

Malcolm X : pas fan des biopics en general, belle performance de Denzel Washington et film agreable a voir. Je ne connais pas assez la vie du frere Malcolm pour juger de la pertinence du propos cela dit.

The 25th hour : premier film post 11 septembre de Spike Lee, en rupture avec ses films d'avant, (casting majoritairement blanc, qui ne se passe pas majoritairement a Brooklyn), avec Edward Norton, Philip Seymour Hoffman et Rosario Dawson wub.gif wub.gif . Tres reussi.

Inside Man : beaucoup plus Blockbuster que le reste de sa filmographie,je l'ai trouve reussi, avec un superbe twist final, et des dialogues amusants.


Est-ce que vous en avez d'autres a recommander ? Ses films post 2006 valent-ils le coup ? Il est un peu tombe dans l'oubli Spike.


J'avais plus apprécié He Got Game que toi, j'adore ce film. Et je te conseille Summer of Sam que je trouve également très bon.
RegardZehef
Citation (florian @ 25/08/2017 15:20) *
J'avais plus apprécié He Got Game que toi, j'adore ce film. Et je te conseille Summer of Sam que je trouve également très bon.


Merci. J'adore He Got Game aussi, juste trouve qu'il y avait un peu de facilites scenaristiques par rapport a ses autres films
Spoiler :
la copine salope, les mechants blancs qui veulent exploiter son talent, sans parler du scenario de base qui est un peu surrealiste
bonda lover
Citation (johncoltrane @ 25/08/2017 09:12) *
...



Tu devrais le mettre en spoilers. Le Monde a des bot qui parcourent le Web et cherchent des trucs de ce genre.

Des bons films récents à conseiller sur l'espace. J'ai vu Gravity et Interstellar en blockbuster.
Beuzech
Citation (bonda lover @ 25/08/2017 19:04) *
Tu devrais le mettre en spoilers. Le Monde a des bot qui parcourent le Web et cherchent des trucs de ce genre.

Des bons films récents à conseiller sur l'espace. J'ai vu Gravity et Interstellar en blockbuster.


Pas forcément très récent mais il y a Moon avec Sam Rockwell si tu l'as pas vu. Huis-clos efficace qui n'est pas sorti en salles en France.
Houdini
Un grand merci pour l'article. happy.gif
Boulick
Citation (bonda lover @ 25/08/2017 19:04) *
Tu devrais le mettre en spoilers. Le Monde a des bot qui parcourent le Web et cherchent des trucs de ce genre.

Des bons films récents à conseiller sur l'espace. J'ai vu Gravity et Interstellar en blockbuster.

Ca change rien du tout pour un bot que ce soit en spoiler
Grifith
Vu le Death Note de Netflix ou comment ruiner l'œuvre originale...
Zorglub
Citation (Grifith @ 26/08/2017 16:41) *
Vu le Death Note de Netflix ou comment ruiner l'œuvre originale...

Je viens de le voir aussi. Perdez pas votre temps. Même sans vouloir le comparer à l'anime, c'est un film de merde.
Mamadieu
C'était nul neokill@h.gif pourtant c'est le réal de You're Next et The Guest on aurait pu s'attendre à mieux, là y'a même pas eu d'efforts on dirait un projet étudiant avec un peu de budget des acteurs amateur.

Alors que sur le papier Death Note ça devrait pas être difficile à adapter correctement.
lausui
Citation (RegardZehef @ 25/08/2017 15:15) *
Je suis dans un cycle Spike Lee :

Vus (ou revus) :

Mo' Better Blues : un affrontement musical Denzel/Wesley Snipes, un cameo de Samuel Lee Jackson, du son et du son, beaucoup aime. Un theme constant de Spike Lee est le type emmerde par la terre entiere.

Do the Right Thing : un classique, un film que j'ai trouve intelligent sur le(s) racisme(s) et la violence, sans lecons de morale et qui laisse le dernier mot au spectateur. Belle esthetique, un excellent Danny Aiello (apparition d'un tres jeune Martin Lawrence). Il a vraiment reussi a capturer une epoque dans ce film, la fin des 80s a Brooklyn.

Clockers : Je regrette de l'avoir vu avant The Wire, tant le theme est similaire. Mais quand meme un tres bon film.

He got game : Un propos un peu caricatural par moments, mais tres bon film.

Malcolm X : pas fan des biopics en general, belle performance de Denzel Washington et film agreable a voir. Je ne connais pas assez la vie du frere Malcolm pour juger de la pertinence du propos cela dit.

The 25th hour : premier film post 11 septembre de Spike Lee, en rupture avec ses films d'avant, (casting majoritairement blanc, qui ne se passe pas majoritairement a Brooklyn), avec Edward Norton, Philip Seymour Hoffman et Rosario Dawson wub.gif wub.gif . Tres reussi.

Inside Man : beaucoup plus Blockbuster que le reste de sa filmographie,je l'ai trouve reussi, avec un superbe twist final, et des dialogues amusants.


Est-ce que vous en avez d'autres a recommander ? Ses films post 2006 valent-ils le coup ? Il est un peu tombe dans l'oubli Spike.


Je te conseille vivement Jungle Fever! Ces derniers films sont moins bons effectivement. Chiraq avait un bon potentiel mais le film est assez chiant finalement.
DelSpooner
Citation (Mamadieu @ 27/08/2017 03:11) *
C'était nul neokill@h.gif pourtant c'est le réal de You're Next et The Guest on aurait pu s'attendre à mieux, là y'a même pas eu d'efforts on dirait un projet étudiant avec un peu de budget des acteurs amateur.

Alors que sur le papier Death Note ça devrait pas être difficile à adapter correctement.


C'était déjà pas ouf You're Next.

Et son "remake" de Blair Witch neokill@h.gif

Citation (lausui @ 27/08/2017 03:42) *
Je te conseille vivement Jungle Fever! Ces derniers films sont moins bons effectivement. Chiraq avait un bon potentiel mais le film est assez chiant finalement.


Je conseille pas son remake d'Old Boy par contre ph34r.gif

Même si ça aurait pu être plus honteux que ça.
bonda lover
Citation (Beuzech @ 25/08/2017 19:25) *
Pas forcément très récent mais il y a Moon avec Sam Rockwell si tu l'as pas vu. Huis-clos efficace qui n'est pas sorti en salles en France.


Merci pour le conseil.
Houdini
Citation (DelSpooner @ 25/08/2017 02:36) *
Faut voir Colossal (en VOD malheureusement), sans doute le meilleur film de cet été (avec La Planète des Singes Suprématie)

Approuvé par la street. Une merveille avec des acteurs merveilleux. Facilement dans mon top 5 de cette année pour le moment. Les distributeurs français sont des pleutres, vivement que le streaming et l'ecinema soient complètement développés et qu'on puisse se passer définitivement de leur curation de merde.
DelSpooner


Cette tuerie kratos77.gif
Harvey Pekar
Citation (Houdini @ 30/08/2017 22:36) *
Approuvé par la street. Une merveille avec des acteurs merveilleux. Facilement dans mon top 5 de cette année pour le moment. Les distributeurs français sont des pleutres, vivement que le streaming et l'ecinema soient complètement développés et qu'on puisse se passer définitivement de leur curation de merde.


J'adore tout ce que tu écris, je suis la plupart du temps en phase avec Del Spooner (qui est devenu l'une de mes références pour dénicher des pépites qui passent sous le radar), mais là, sincèrement, il me semble que vous n'avez pas les yeux en face des trous.

Colossal, c'est quand même bien cave, Anne Hathaway est absolument dégueulasse, la mise en image est toute pourrie, l'histoire écrite par un adolescent pré-pubère, bref, du mal à comprendre cet engouement qui en plus va totalement dans le sens du vent.

Bon, c'est pas très constructif, mais il fallait que ça sorte lepoux_2.jpg

sukercop
Citation (Harvey Pekar @ 02/09/2017 20:12) *
J'adore tout ce que tu écris, je suis la plupart du temps en phase avec Del Spooner (qui est devenu l'une de mes références pour dénicher des pépites qui passent sous le radar), mais là, sincèrement, il me semble que vous n'avez pas les yeux en face des trous.

Colossal, c'est quand même bien cave, Anne Hathaway est absolument dégueulasse, la mise en image est toute pourrie, l'histoire écrite par un adolescent pré-pubère, bref, du mal à comprendre cet engouement qui en plus va totalement dans le sens du vent.

Bon, c'est pas très constructif, mais il fallait que ça sorte lepoux_2.jpg


Pas d'accord. C'est un chouette film. Je viens de le finir.
Tu y vas fort en parlant d'engouement, le film passe en France dans une banale indifférence alors qu'il mêle des genres aussi improbables que le Kaiju, le mélodrame bien américain, le thriller et le conte moderne, tout cela avec réussite. Et pour qu'un scénario mêle aussi habilement ces quatre films, c'est qu'il n'a certainement pas été écrit par un ado pré-pubère, mais par un amateur ayant au minimum digéré sa culture ciné.
Charly Gaul
Citation (DelSpooner @ 30/08/2017 23:25) *


Cette tuerie kratos77.gif



J'ai regardé quelques secondes, j'ai coupé, je vais faire l'autruche sur ce film en attendant la sortie, l'ambiance visuel et sonore, Phoenix, c'est bon pas besoin de plus de 10s de trailer, j'irais payer ma place au ciné wub.gif
DelSpooner
Point sortie du mercredi : jetez-vous sur le sublime "Dans un recoin de ce monde" wub.gif
Ozzy Ryss
Citation (DelSpooner @ 06/09/2017 11:53) *
Point sortie du mercredi : jetez-vous sur le sublime "Dans un recoin de ce monde" wub.gif


Tu aurais des conseils pour l'Etrange Festival ? book2.gif
Noreaga
Citation (DelSpooner @ 06/09/2017 10:53) *
Point sortie du mercredi : jetez-vous sur le sublime "Dans un recoin de ce monde" wub.gif


Tu l'as vu ? Est-ce qu'il tient ses promesses ?
DelSpooner
Citation (Noreaga @ 06/09/2017 13:14) *
Tu l'as vu ? Est-ce qu'il tient ses promesses ?


Oui je l'ai vu y'a pas mal de temps déjà.

C'est sublime et très fidèle au manga.
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