Comme?

http://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/...de-fees-4260729

Tout ça pour retourner écouter votre rap floridien en rentrant chez vous, vous me donnez envie de vomir

Vu Avengers 2.

Comment dire, ça devient gênant après le passable. Autant le 1 malgré son scénario du grand n'importe quoi avait pour lui du fun, autant là... c'est... prendre sciemment le spectateur pour un débile et ouvertement.

C'est mauvais, mal joué, mal scénarisé, mal fichu ( moi je suis mal fichu ? ^^ ) bref autant embrasser un wookiee...

Ultron, Ultra rien, et la Vision en mode gaypride...

On ne m'y reprendra plus.

Arrete de faire l'ancien

Tu parles pas pour moi j'espère

Ouais +1.

Bien aimé le 1, sympa. Le 2 est une purge remplie de CGI baveux vus et revus. Faut qu'ils se renouvellent là.

Non je gaze pour gazer

Mais la vérité ça me fait mal au coeur de voir une partie du public qui va mater le film, pour contextualiser en prenant le pendant rock, c'est un peu comme si on faisait un biopic sur Led Zep et que les fans hardcore des BB Brunes se touchaient sur le film et devenaient ultra fans des vrais anciens c'est de trop

Ouais enfin si ça peut leur permettre de découvrir de la vraie musique, c'est pas plus mal.

PRIMARY (1960)
En 1960, John F. Kennedy, alors sénateur du Massachusetts se lance dans la course à l’investiture démocrate face à Hubert Humphrey.

Utilisant pour la toute première fois une petite caméra portable avec prise de son synchronisée, Robert Drew et son équipe (Richard Leacock, Terrence McCartney Filgate, Albert Maysles et D.A. Pennebaker) ouvrent la voie au cinéma direct.
Bien plus qu’une simple chronique sur les primaires démocrates dans le Winsconsin, PRIMARY est l’un des films majeurs du cinéma vérité et offre un portrait absolument unique des frères Kennedy et de la politique américaine au début des années 60.



CRISIS (1963)
En juin 1963, le Président John F. Kennedy doit faire face à l’un des conflits les plus explosifs de son administration : en dépit d'une décision judiciaire fédérale, le Gouverneur George Wallace empêche personnellement deux étudiants noirs d'entrer à l'université " tout-blanche" d’Alabama.

Pleinement satisfait du travail réalisé sur PRIMARY, Kennedy autorise Robert Drew et son équipe à suivre le déroulement de la crise de l’intérieur même de la Maison Blanche.

Film majeur du cinéma direct américain, tourné au coeur du bureau oval et de l’intimité de JFK et de son frère Robert Kennedy, alors Ministre de la Justice, CRISIS demeure le premier et unique film à capturer de manière si personnelle les décisions au plus haut sommet de l’état à l’instant même où elles se prennent…



Pour ceux qui ne connaitraient pas ces deux films, je vous encourage à lire les synopsis (source: ARTE Video) ci-dessus parce que les sujets sont passionants.

Je n'y connais pas grand chose mais ce sont visiblement des oeuvres phares du "Cinéma Vérité", dont les travaux se sont probablement faits dans la conitnuité ou la mouvance des premiers films de John Cassavettes dont Shadows est sorti en 1959, un an avant Primary.

Dans Primary, Drew et ses assistants (dont par exemple DA Pennebaker qui fera Monterey Pop plus tard) cherchent à représenter les primaires démocrates de 1960 entre John Kennedy et Hubert Humphrey en accompagnant les deux candidats dans leur quotidien et leur intimité selon un principe simple (en apparence): on filme ce qu'on voit et on le reproduit directement à l'écran. C'est assez dingue de pouvoir suivre les deux candidats de si près, et surtout se rendre compte de leurs stratégies totalement opposées. Kennedy avait déjà à l'époque beaucoup plus de notoriété publique et Humphrey se défend en allant chercher ses voix dans les milieux ruraux, en arpentant les villages du Massachussets pour aller à la rencontre des gens, faire des meetings devant une audience d'une cinquantaine de fermiers en espérant que son discours se propage dans les différentes campagnes etc. Avec évidemment une bonne dose de populisme.

3 ans plus tard, Kennedy est devenu président, et Drew et son équipe montent cette fois Crisis sur le même principe, et du dyptique c'est celui que j'ai trouvé le plus passionant.

Là c'est vraiment génial: en quelques heures on voit comment le gouvernement se met en place en situation d'urgence pour règler une crise nationale d'ordre morale, après que le gouverneur d'Alabama ait refusé l'entrée à son université à deux étudiants noirs.

Réunions de crises, propositions de différentes stratégies, négociations, préparations, défis à relever, problèmatiques adjacentes, plan de résolution de la crise, opération etc. On voit tout le tableau de résolution de crise se déssiner en quelques heures devant nous avec l'intervention du président, les propositions de ses conseillers (dont son frère, ministre de la justice à ce moment là) l'intervention des opérationnels qui appliqueront le plan sur le terrain pour pouvoir inscrire les deux étudiants dans l'Université. Et on voit pleins de problèmes adacents qui se forment autour, genre comment intervenir avec suffisamment de force sans dégrader l'image du gouvernement notamment auprès de la population de l'Alabama, comment empêcher qu'il y'ait des manifestations qui dérapent, comment faire pour que la crise soit résolue dans la journée de façon à ce que les étudiants puissent s'inscrire sans louper de jours d'école mais surtout pour que la situation ne gangrène pas et prenne une ampleur internationale etc.

Enfin bref, j'en parle mal mais c'est totalement scotchant et je recommande vivement. Chaque film dure 45-50 min en plus, ça passe super vite.

Ridley Scott qui ose appeler sa suite de Prometheus, Alien : Lost Paradise

https://twitter.com/samsmithworld/status/647304707216670720?ref_src=twsrc%5Etfw

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

Plus qu'un mois.

Grosse claque hier soir, j'ai regarder avec ma femme le film Coréen A moment to Remember. Y avait match pour savoir qui chiale le plus.

et après tu lui as passé ton film de vacances 3pataya A moment to Remember"?

Je l'attends aussi avec beaucoup d'impatience ce Hosada... Grands espoirs dessus. Tu as d'autres retours sur le film ?

Il est sorti au Japon et il a cartonné niveau critiques aussi.

Et j'ai un pote qui l'a vu chez Gaumont et qui a adoré.

Pas mal Jurassic World.
Y a du rythme, c'est un peu sanglant et sadique dans les mises à mort, ça se laisse suivre comme un divertissement bien friqué du samedi soir et Omar Sy parle en français.

Au ciné, ça devait être très sympa.

Non. Très mauvais film sérieusement.

Crimson Peak ce soir

Un pote l'a vu y'a quelques semaines et c'est le pire Del Toro apparemment.

J'ai eu tout et son contraire comme avis, donc on verra bien.

Et King l'a adoubé

Excellent Much Loved

Il y a une pudeur du réalisateur envers ses actrices et une tendresse infinie dans ce film. Il n'y a ni indignation, ni révolte, ni engagement, simplement un regard amoureux qui nous offre la précieuse intimité de quelques unes qui n'ont que ça. Zéro pathos. L'équilibre est trouvé.

Foncez-y.

Je l'ai vu hier, je ne serai pas aussi élogieux que toi. Je n'ai pas vraiment compris justement où le film voulait en venir, et si le film est loin d'être mauvais, j'en ressort un peu frustré...

Sinon il sort d'où leur chauffeur au fait?

Vu Crimson Peak donc, esthétiquement c'est une énorme claque comme attendue, les acteurs sont très bons, surtout Jessica Chastain, effrayante à souhait. Après le scénario est super classique, et très prévisible malheureusement, je m'attendais à être un peu plus surpris.

Mais ça vaut le coup rien que pour l'univers bourré de détails et de mythologie dépeint par Del Toro. La maison est vraiment un personnage à part entière.

En tout cas il y a une scène qui rappelle légèrement :

Le prodige vaut la peine que j'aille payer 10 balles au ciné ?

Je vais voir Knight of cups cet aprem, je suis fébrile.

C'est une avant première ?

C'est la Belgique. Je viens de réaliser qu'il était sorti depuis 2 semaines ici.

En vost ?

Putain je me tâte à y aller.

Bruxelles est une region bilingue, la VF n'existe pas. La VOST bilingue surprend la première fois mais on s'y fait.

LE NOUVEAU TERRENCE MALICK
"KNIGHT OF CUPS": ADIEU À LA NARRATION, titre paris match.


Pour moi, on assiste à un cas unique de réalisateur qui nous transmet ses propres bribes de souvenirs.
C'est comme être nostalgique et parcourir la ville de son enfance/ ou de son couple à un moment précis d'une vie. Chaque rue ou coin de rue / bruie ou odeur va te donner un souvenir différent.

Moi je me prépare comme ça pour cette expérience.


Je dis ses souvenirs ( tu le sais) mais Malick a eu une sorte de double relation sentimentale à un moment de sa vie entre Paris et Austin.


J'espère que ce sera un film mélancolique.

Vous excitez pas trop quand même, ça parle d'un film encore pire qu'A la merveille

Une des meilleures BA de l'année.

C'est trop facile de dire ça et réducteur, c'est un film abstrait, un ovni, une expérimentation, une fois que tu rentre dans le délire tu en ressors assez éblouie.

Je l'ai vu deux fois, une fois ça ma prodigieusement fait chier( j'ai piqué du nez), mais une seconde fois je l'ai trouvé génial, et si je le revois une 3ème fois ce sera encore différent. malick sur tree of Life et a la merveille et ça commence même sur le nouveau monde, ou l'histoire n'a plus réellement d'importance c'est l'émotion qui prime, c'est un truc très poétique et forcément comme pour la poésie classique ça en fera chier certains et d'autres l'acclameront.
Il faut aussi être sensible au panthéisme qu'il défend et à l'idée de suspendre le temps. ( il est le traducteur américain de Heiddeger).


On ne peut pas juger un artiste et une œuvre comme ça car ce n'est pas un cinéma fast-food.

Ok

Je n'ai pas dis ça, c'est juste un artiste fou, c'est merveilleux d'assister à son œuvre de notre vivant, après que tu n'entre pas dans la poésie malickienne, c'est juste une question de sensibilité, mais justement comme ce mec fait pleuvoir les 5/5 a pas mal de ses fans, je pense qu'on n'a pas le droit d'être réducteur avec lui (comme avec beaucoup d' artistes dailleurs) même Scorsese ou PTA c'est beaucoup plus structuré, il y a une matière à disséquer.

Son cinéma est déstructuré, c'est comme une drogue comme du LSD, la seule critique possible c'est de dire qu'on ne soit pas rentrer dans le trip point, c'est impossible de le noter.


Fin c'est comme ça que je juge les artistes.

Je suis entré dans la poésie malickienne jusqu'à Tree of Life (qui malgré ses défauts, m'a transporté).

Mais A la merveille c'est juste pas possible, c'est une caricature de son cinéma.

Il aurait du rester sur son rythme de 1 film tous les 5 ans.

DelSpooner a raison, A la merveille est un film aussi magnifique que raté et évidemment qu'on a le droit de juger l'oeuvre de Malick, c'est pas parce qu'il a raté un film que cela change son statut de Dieu vivant. La politique des auteurs a tendance à me sortir par les trous de nez, non l'oeuvre n'est pas un tout indissociable, il faut pouvoir dire le mauvais pour valoriser le bon, même Hitchcock a raté des films, cela ne change rien à l'appréciation du travail du maitre dans son ensemble.
Dire qu'à la merveille est un grand film c'est mépriser le reste de la filmographie de Malick. Et comparer ses films à un trip c'est encore plus méprisant.

Et Knight of Cup est dans la lignée du précédent. Je ne pense pas que cela soit une histoire de rythme, le problème c'est que sa filmographie est dans le mauvais sens et là il est dans sa période "film de fin d'étude" alors oui c'est un élève brillant et il continue de filmer comme personne ne filme mais plus il avance dans ses films plus il réduit le champ de vision. C'est le cinéaste de l'infini, infiniment grand hier et depuis 2 films de l'inifiniment petit, Tree of Life étant l'oeuvre monstre liant les deux. Il nous parlait de l'Humanité et aujourd'hui il nous parle de l'humain, de lui et il n'a pas grand chose à dire mais je suis persuadé qu'il le sait, il y a une ligne de dialogue où il nous prouve qu'il est conscient de ce qu'il est en train de faire.
Perso j'ai adoré car on voit des petits culs en slomo dans des appartements AD magazine entrecoupés de paraboles bilbliques avec une musique impeccable pendant 1h40.

Pour parler vrai cinéma, je suis passé par Terminator Genisys, et même si c'est pas le même sport que les films de Cameron, ça reste au dessus du 3 et 4.

Fourre-tout, avec son directeur de casting à exécuter sur la place publique, mais on ne s'ennuie jamais, c'est friqué à mort avec des scènes complètement golios comme le T800 en CGI, et c'est globalement au-dessus que la bouse annoncée et relayée.
Sans le 1 et 2, ça ferait un film d'action sympa.

J'ai eu le malheur de regarder Jurassic World et cette merde
L'ensemble du film est à chier mais la fin



Chapeau Colin Trevorrow, vivement Star Wars pour continuer le carnage.

J'ai terminé une triplette Terminator Genisys/Jurassic World/San Andrea.

San andrea avec son sauveteur de 130 kilos . Répétitif mais petit parfum des années 80 pour ce film catastrophe.

Ça doit faire longtemps que j'ai pas regardé de films parce que les trois j'y ai pris du plaisir, je les vois comme de bons divertissements, un peu con-con, mais bien foutu, léger et sans temps morts.

San andrea est sympa à voir mais en blu ray minimum car c'est vraiment le point fort du film les effets spéciaux.

Finalement, c'est facile le cinéma d'auteur

Ça ressemble quand même à un trip tout ça

Je l'ai vu avec mes gamins, eux forcement ils ont aimé, y a des dino qui mangent les gens et se tapent entre eux

Personnellement, j'ai bien aimé, aussi car le côté n'importe quoi et fan service est très bien assumé...au final, un peu à la pacific rim du côté bourrin, défouloir, sans prétention ...

en tout cas dans mon échelle d'appréciation, je le place bien au dessus que jurassic world, qui est d'un plat, absolument extreme

La suite de trainspotting en préparation pour 2016 ou 2017

Faut surtout qu'ils arrêtent leur suite. Qu'ils laissent les chef d'oeuvres uniques un peu ces idiots.

Ceci ne vaut pas pour Retour vers le Futur