Tourista-chan
20/06/2014 18:45
Citation (Fanfan14 @ 20/06/2014 10:18)

Di Caprio bon comme d'hab mais le film à chier, enfin l'histoire n'est pas palpitante surtout que chez nous Hoover n'est pas connu peut être qu'aux usa ça a touché les gens mais le film était bien long et la vie du type naze pour être le sujet d'un film.
Ah, je trouvais au contraire le thème très intéressant, Hoover me paraissant un bon sujet.
Merci pour l'avis.

Citation (sukercop @ 20/06/2014 14:07)

Bien dégouté pour Mel Gibson obligé de jouer les méchants dans ce genre de films alors que le type est un génie devant et derrière la caméra.
Pourquoi "obligé" ? Il est en galère de tunes ?
Ce film, c'est du fun, les mecs y participent pour s'autocaricaturer, c'est de la déconnade.
sukercop
20/06/2014 19:06
Citation (Touriste @ 20/06/2014 18:45)

Pourquoi "obligé" ? Il est en galère de tunes ?
Ce film, c'est du fun, les mecs y participent pour s'autocaricaturer, c'est de la déconnade.
Depuis ses histoires d'insultes sur les juifs, le type est black-listé. À l'époque, il préparait une film de viking avec Di Caprio avant de se faire tèj.
Et maintenant, c'est jouer le méchant dans Machette Kills ou Expendables 3.
Tourista-chan
20/06/2014 19:07
Citation (sukercop @ 20/06/2014 20:06)

Depuis ses histoires d'insultes sur les juifs, le type est black-listé. À l'époque, il préparait une film de viking avec Di Caprio avant de se faire tèj.
Et maintenant, c'est jouer le méchant dans Machette Kills ou Expendables 3.
Ah ouais, j'avais oublié cette histoire. Plus personne ne veut le produire ? C'est vraiment dommage.
Il a dit quoi ?
Il s'est fait attaquer par la communauté juive lorsqu'il a sorti La Passion du Christ, qui s'inspirait plus du premier testament que de l'actuel, et mettait donc les juifs en position de bourreaux de Jésus. A partir de là il a plusieurs fois dérapé, dont la "fameuse", où après qu'un policier (juif) l'ait arrêté parce qu'il roulait bourré, il se soit mis à l'insulter de tous les noms (lui et les juifs plus globalement) en sous entendant que leur lobby était décidément bien puissant.
Vu Bug de Friedkin aujourd'hui. J'étais passé à côté, j'en avais jamais entendu parler, vrai bon film quand même, j'ai adoré.
Je serai curieux d'avoir l'avis des spécialistes ici.
Je me pose pas comme spécialiste de Friedkin, et j'ai d'ailleurs peu de souvenirs de Bug, mais je me rappelle d'une déception, d'un Friedkin qui se caricature dans l'absurde, à l'image de la fin de Killer Joe (que j'aime cela dit beaucoup, et même plus).
Ryan O'Reily
22/06/2014 02:02
Vu Mud ce soir. J'étais complètement passé à côté de la sortie de ce film, alors que je tenais (et je tiens) Take Shelter pour une des perles de la décennie naissante.
Quelle tour de main que ce film. Nichols s'inscrit directement dans la continuité des grands faiseurs d'histoires américains qui nous parlent d'initiation et de nature sauvage, si bien qu'à l'issue des deux heures je me demande s'il n'est pas déjà lui aussi quelque parmi les Mark Twain et autre Clint Eastwood.
Hommage à ceux-là inscrit en filigrane avec les personnages d'Ellis et Neck, Tom Sawyer et Huckleberry Finn d'une Amérique dont on n'est pas sûrs qu'elle ait vraiment changé. Conaughey plante un épatant Crusoé dont les contours assez limités restent cependant toujours un peu flous pour le spectateur.
Ce qui fait la beauté de ce film, et on y arrive, ce sont les personnages secondaires. Traités à merveilles, ils s'esquissent au travers de leurs relations avec notre trio sans toutefois dépendre d'eux pour retenir notre intérêt. Tom, hitman à la retraite, davantage père d'un fils de substitution qu'autre chose. Le Père et l'Oncle, leurs vie-métiers incongrus presque imaginaires mais dont la rudesse plante la réalité. Les figures féminines qui paraissent dangereuses à Ellis qui apprend à jouer l'homme et se construit une misogynie hésitante, sont d'abord les serpents dont on ne survit qu'à une seule morsure et dont on apprend à se méfier. On croirait presque que le réal en resterait là de sa vision d'un amour que la comparaison avec les amitiés entre couilles qu'il raconte dans le film réduirait à moins que rien, mais il y a cette dénégation de Mud dix minutes avant la fin, qui ouvre la porte des interprétations.
Le Mississippi en toile de fond est le confluent de toutes les passions : enjeux économiques, amour et violence. Notions d'adultes vues au travers du prisme naïf de deux adolescents qui n'en sont déjà plus vraiment.
La scène de fin m'a violemment rappelé celle de Dead Man, dans sa photographie. En apparence bien plus optimiste, elle nous laisse pourtant songeurs sur le destin des deux hommes.
Sans effets spéciaux ni artifices, Mud m'a raconté un peu de quelques uns, un peu de quelque part, avec un parfum d'aventure justement composé : les fragrances poétiques des paysages immenses et des hommes, le musc du danger.
Biz Markie
22/06/2014 09:33
DelSpooner
22/06/2014 10:52
Belle critique Ryan
Citation (Ryan O'Reily @ 22/06/2014 03:02)

Vu Mud ce soir. J'étais complètement passé à côté de la sortie de ce film, alors que je tenais (et je tiens) Take Shelter pour une des perles de la décennie naissante.
Quelle tour de main que ce film. Nichols s'inscrit directement dans la continuité des grands faiseurs d'histoires américains qui nous parlent d'initiation et de nature sauvage, si bien qu'à l'issue des deux heures je me demande s'il n'est pas déjà lui aussi quelque parmi les Mark Twain et autre Clint Eastwood.
Hommage à ceux-là inscrit en filigrane avec les personnages d'Ellis et Neck, Tom Sawyer et Huckleberry Finn d'une Amérique dont on n'est pas sûrs qu'elle ait vraiment changé. Conaughey plante un épatant Crusoé dont les contours assez limités restent cependant toujours un peu flous pour le spectateur.
Ce qui fait la beauté de ce film, et on y arrive, ce sont les personnages secondaires. Traités à merveilles, ils s'esquissent au travers de leurs relations avec notre trio sans toutefois dépendre d'eux pour retenir notre intérêt. Tom, hitman à la retraite, davantage père d'un fils de substitution qu'autre chose. Le Père et l'Oncle, leurs vie-métiers incongrus presque imaginaires mais dont la rudesse plante la réalité. Les figures féminines qui paraissent dangereuses à Ellis qui apprend à jouer l'homme et se construit une misogynie hésitante, sont d'abord les serpents dont on ne survit qu'à une seule morsure et dont on apprend à se méfier. On croirait presque que le réal en resterait là de sa vision d'un amour que la comparaison avec les amitiés entre couilles qu'il raconte dans le film réduirait à moins que rien, mais il y a cette dénégation de Mud dix minutes avant la fin, qui ouvre la porte des interprétations.
Le Mississippi en toile de fond est le confluent de toutes les passions : enjeux économiques, amour et violence. Notions d'adultes vues au travers du prisme naïf de deux adolescents qui n'en sont déjà plus vraiment.
La scène de fin m'a violemment rappelé celle de Dead Man, dans sa photographie. En apparence bien plus optimiste, elle nous laisse pourtant songeurs sur le destin des deux hommes.
Sans effets spéciaux ni artifices, Mud m'a raconté un peu de quelques uns, un peu de quelque part, avec un parfum d'aventure justement composé : les fragrances poétiques des paysages immenses et des hommes, le musc du danger.
J'avais tellement kiffé ce film à sa sortie!!!

Tu parles vrai mec!!!!
DelSpooner
22/06/2014 12:00
Citation (Yessod @ 22/06/2014 12:51)

J'avais tellement kiffé ce film à sa sortie!!!

Tu parles vrai mec!!!!

En plus il prend bien son temps pour faire son prochain film de SF, tellement hâte

"I really wanted to make a 1980s John Carpenter film like Starman"
Citation (DelSpooner @ 22/06/2014 13:00)

En plus il prend bien son temps pour faire son prochain film de SF, tellement hâte

"I really wanted to make a 1980s John Carpenter film like Starman"

Il a dit ça?
Ryan O'Reily
22/06/2014 15:35
C'est tellement le seul américain a m'avoir retourné un tant soi peu avec ses films depuis dix piges

Non je suis injuste, j'ai vu
The Kings of Summer y'a quelques semaines, dans le même genre et quand même un bon cran en-dessous, c'est un film réussi. C'est d'ailleurs étonnant de voir qu'on retrouve dans ce film : la thématique du serpent, celle des femmes comme danger pour l'amitié virile, celle d'une fusion avec la nature, l'éveil adolescent à décider quelles serons nos valeurs d'adulte...

Sinon, j'ai voulu enchaîner avec
All is Lost cette nuit... grossière erreur

Film-statue à un Robert Redford qu'il est beau qu'il est fort qu'il est profond. Les 1h40 de silence sont plutôt bien gérées mais par contre c'est un peu ambiance facepalms à répétition devant la non crédibilité du seau d'emmerdes qui lui tombe sur la tronche et de sa manière d'y répondre. Sans parler du nombre de trucs qui paraissent ahurissants à quiconque a déjà fait une semaine de mini-catamaran à la base nautique du Fourré-en-Montesson avec Bryan le moniteur aux cheveux bouclés.
DelSpooner
25/06/2014 07:33
RIP Eli Wallach

Nikos B.
25/06/2014 08:46
Sérieux vous êtes vraiment triste quant un acteur de 98 ans meurent ?
Citation (nico @ 25/06/2014 10:46)

Sérieux vous êtes vraiment triste quant un acteur de 98 ans meurent ?
Citation (nico @ 25/06/2014 09:46)

Sérieux vous êtes vraiment triste quant un acteur de 98 ans meurent ?
Quel rapport avec l'âge ? Tu pleures quelqu'un parce qu'il meurt jeune, au parce que tu y étais attaché ?
Eli Wallach était une des légendes du cinéma, quand même.
Biz Markie
25/06/2014 21:46
Citation
S.Black réalisera le reboot de Predator !Le choix de Shane Black pour écrire et réaliser le reboot de "Predator" est bien moins surprenant qu'il n'y paraît au premier abord. Retour sur une drôle d'histoire. Shane Black, réalisateur d'
Iron Man 3 et scénariste de la saga
L'Arme fatale, vient d'être embauché pour écrire et mettre en scène
un reboot de Predator. Une nouvelle moins surprenante qu'il n'y paraît au premier abord. En effet, l'Américain a un lien très étroit avec la saga fantastique puisqu'il débuta sa modeste carrière de comédien dans... le
Predator de
John McTiernan ! Il y incarnait le personnage de Hawkins, première victime de l'alien.
Mais l'histoire ne s'arrête pas là.
Le site The Hollywood Reporter rapporte en effet qu'à l'époque de la pré-production de
Predator, en 1986, Shane Black fut courtisé à deux reprises par les producteurs du long métrage pour réécrire le script. L'homme, alors très demandé grâce à son travail sur
L'Arme fatale, refusa l'offre.
Finalement, le studio proposa à Shane Black un rôle dans
Predator, celui de Hawkins. Sur le tournage, les producteurs lui demandèrent alors une nouvelle fois s'il souhaitait réécrire le scénario, espérant sans doute qu'avec le "cadeau" d'un rôle dans le film, il serait plus apte à accepter. Mais Shane Black refusa une troisième fois. Près de trente ans plus tard, le voilà aux commandes d'un
Predator, mais cette fois avec son propre scénario d'origine. La persévérance paie.
1ere photo de Mad Max (encore un reboot)
DelSpooner
26/06/2014 01:24
Bon sinon les derniers cinés vite fait.
Transcendance : dans l'idée c'est ambitieux et ça tente de sortir du script de blockbuster habituel, mais on a du mal à y croire tellement c'est gros par moment, l'image est moche, et c'est très platement filmé.
Le Proces de Viviane Amsalem : le huis-clos est habilement utilisé, c'est très bien mis en scène, très bien joué, le propos est évidemment édifiant, mais filmer l'entièreté du procès avec le parti pris de faire des ellipses à chaque report, ça donne des moments assez faibles dont on se fiche complètement.
Zero Theorem : ce film me fait prendre conscience à quel point j'aime bien le cinéma de Terry Gilliam, oui c'est parfois maladroit, too much, kitch, dépassé, mais en même temps toujours créatif, original, unique, avec un côté artisanal qui me plaît vraiment. Et puis l'interprétation de Christoph Waltz est démente, le mec est capable de nous faire ressentir une pelleté d'émotions à lui tout seul.
Under the Skin : dans l'ensemble j'ai bien aimé, l'histoire est très simple en fait, et faut juste se laisser porter. Après le propos n'est pas super original, et j'aurais aimé que ça soit encore plus puissant, mais d'un autre côté j'aime bien comment le réalisateur confronte l'univers humain filmé de façon naturaliste et l'univers de Scarlett filmé de façon beaucoup plus sensitive. Et la fin est énorme. Pas la claque attendue mais ça reste un objet très intrigant.
Under The Skin j'ai beaucoup aimé, mais la seconde partie pâti beaucoup de l'évolution du personnage de Scarlett et de son rythme léthargique. Ca reste assez fascinant quand même.
Pas vu les autres, mais pour le Gilliam, c'est au niveau de Parnassus, donc.
DelSpooner
26/06/2014 03:17
Citation (Kaji @ 26/06/2014 04:14)

Under The Skin j'ai beaucoup aimé, mais la seconde partie pâti beaucoup de l'évolution du personnage de Scarlett et de son rythme léthargique. Ca reste assez fascinant quand même.
Pas vu les autres, mais pour le Gilliam, c'est au niveau de Parnassus, donc.
Moins toc quand même que Parnassus, mais on retrouve évidemment cette frontière très floue entre réel et rêve.
Bref, le grand gagnant de la semaine reste l'immense film de Takahata
Rétrospective et masterclass de McTiernan, en Septembre, à la Cinémathèque Française
Si quelqu'un peut m'aider,le titre du film comique américain sur la fin du monde et d'un groupe de pote Sorti ou pas ?
This is the end.
Formidable conclusion d'une certaine époque de la comédie US.
Citation (Houdini @ 26/06/2014 18:33)

This is the end.
Formidable conclusion d'une certaine époque de la comédie US.
Merci! Je l'attendais et je suis passé a côté.
sukercop
27/06/2014 08:29
Citation (Ryan O'Reily @ 22/06/2014 01:02)

Vu Mud ce soir. J'étais complètement passé à côté de la sortie de ce film, alors que je tenais (et je tiens) Take Shelter pour une des perles de la décennie naissante.
Quelle tour de main que ce film. Nichols s'inscrit directement dans la continuité des grands faiseurs d'histoires américains qui nous parlent d'initiation et de nature sauvage, si bien qu'à l'issue des deux heures je me demande s'il n'est pas déjà lui aussi quelque parmi les Mark Twain et autre Clint Eastwood.
J'ai beaucoup pensé à Spielberg perso pour la quête initiatique de l'ado face au monde des adultes et des parents, et l'aventure/le thriller vu à hauteur de gamin, le côté naturaliste en plus.
Le film est magnifique sinon. Je l'avais loupé aussi mais 7,5 sur ImDB et 4,1 sur allociné c'est toujours intriguant. Je sais pas ce qui lui a pris à McConaughey, mais fini les connerie de play-boy, le gars reprendsa carrière en main, c'est très impressionnant.
Sinon, je ne connaissais pas Hirokazu Kore-eda, j'ai vu tel père, tel fils, touchante chronique de paternité ratée japonaise. Très beau film tout en délicatesse et pudeur. Il faut que je fasse still walking.
DelSpooner
27/06/2014 08:38
Fais toi tous ses films
Ryan O'Reily
27/06/2014 13:06
J'ai toujours pas pu le voir Tel père tel fils, mais on m'en a dit beaucoup de bien. Je vais essayer de me le mater ce week-end.
Le problème avec Ghibli cette année, c'est que deux sorties, deux Top 1 de fin d'année.
Le Conte de la Princesse Kaguya
DelSpooner
27/06/2014 19:47
Citation (Kaji @ 27/06/2014 20:30)

Le problème avec Ghibli cette année, c'est que deux sorties, deux Top 1 de fin d'année.
Le Conte de la Princesse Kaguya

T'as vu comme c'est beau

Beaucoup aimé Le Vent se lève, mais le Takahata est encore au dessus pour moi. Rien que l'animation et le dessin c'est de l'œuvre d'art.
J'arrive pas à les départager, ni même à les comparer en fait. Princesse Kaguya a un sens de l'épure extraordinaire, et arrive à insuffler plus de vie dans ses crayonnés que dans n'importe quel autre film d'animation, mais ce que disait Le Vent se lève sur le Japon d'entre deux guerres, et au-delà sur l'Art en général et le fait d'être artiste, c'était tout de même une sacrée claque aussi.
Tourista-chan
28/06/2014 12:06
Le loup de Wall Street : grosse déception.
Ce n'est pas un mauvais film, loin de là, mais je le trouve totalement bâclé : mal construit, mal rythmé, l'intensité dramatique est mal gérée et on finit par se désintéresser du personnage principal. Quand on a un anti-héros comme celui-là, il faut compenser le manque de sympathie du spectateur par des enjeux dramatiques bien léchés. Là, ce n'est pas le cas. Les scènes fortes sont mal exploitées, les temps morts sont mal dosés.
Vraiment un gros gâchis, Scorsese donne l'impression d'avoir pêché par excès de facilité et de paresse.
Heureusement que DiCaprio est énorme.
Citation (Dirty @ 28/06/2014 16:29)

Je viens de le finir et je suis d'accord sur tout.
C'est longuet et le scénario n'est pas le fort du film mais mon dieu que c'est ouf niveau action. La scène de la poursuite est juste magnifique, il se passe beaucoup de choses et techniquement j'en ai pris plein la vue.
Le spoiler de Del Spooner résume très bien tous les bons points du film.
Mamadieu
29/06/2014 03:27
J'ai beaucoup aimé The Raid 2 aussi mais je crois que je préfère quand même l'original, 2h40 pour voir des mecs se taper sur la gueule c'est quand même
un poil trop long et vers la fin ça commencait un peu à sentir le réchauffer. Le boss final est décevant par rapport à Mad Dog et Yama est quand même sacrément cheaté comme héros
sukercop
29/06/2014 08:28
J'ai trouvé ça naze. Aucun rythme, personnage insipide, trop long, chiant. Le réalisateur sait tenir sa caméra c'est clair mais que pour les scènes de baston. Pour le reste, c'est assez affligeant, un vrai gonzo avec 100% de violence sans intérêt.
Le premier the Raid était meilleur puisque le réalisateur n'a rien à raconter, autant faire court et se focaliser sur les démos de combat.
Et puis les observateurs qui veulent comparer ça à du john Woo époque HK...faut rester sérieux deux minutes.
Citation (Dirty @ 28/06/2014 16:29)


tu fais plaisir Dirty.
Je viens de découvrir Man of steel et j'ai été perturbé tout du long par le choix de l'acteur.
Pourquoi avoir pris Rothen sous stéroïdes ?
Edge of tomarow.
Pas mal du tout. Passé un très bon moment, film intelligent, maîtrisé, qui évite les conneries habituelles. Pas d’esbroufe de technologie ou de plan hyper mega machin et ça c'est bien !
Point positif : le scénario enfin !
Point négatif : la fin qui vient tout gâcher, hyper prévisible et en non sens. Dommage alors que tous le reste est super carré.
vu Les gamins hier soir. Film sans intention et sans prise de tête. Clairement pas le film de l'année mais je ne crois pas que c'était le but recherché. On passe 1h30 plutôt agréable au final.
Ben je ne sais pas trop quoi en penser...

Je suis à la fois curieux et pas pressé...
DelSpooner
30/06/2014 13:34
Ce sont les mêmes tacherons qui ont fait I Frankenstein je crois

Edit : ah non je confonds, mais bon d'après les premiers retours c'est dans la même lignée
Ah... Bon... Ben tant pis... Y'avait de la matière à faire un truc tellement bien. Le "poing en chauve-souris" m'a bien achevé cela dit.
Citation (DelSpooner @ 30/06/2014 14:34)

Ce sont les mêmes tacherons qui ont fait I Frankenstein je crois

Edit : ah non je confonds, mais bon d'après les premiers retours c'est dans la même lignée

Il y a 6 ou 7 ans, c'était Alex Proyas qui était rattaché au projet. C'eut été tellement mieux.
DelSpooner
30/06/2014 21:54
Citation (Next @ 30/06/2014 21:26)

Il y a 6 ou 7 ans, c'était Alex Proyas qui était rattaché au projet. C'eut été tellement mieux.

Ouai.
Enfin Proyas va bientôt sortir Gods of Egypt

Avec Leonidas et Jaime Lannister
VDVisBack
02/07/2014 12:04
Programme du cinéma en plein air au parc de la Villette
Citation
Mercredi 23 juillet
The We And The I de Michel Gondry (France, 2012)
Jeudi 24 juillet
Moonrise Kingdom de Wes Anderson (USA, 2012)
Vendredi 25 juillet
Sid de Nolwenn Lemesle (France, 2007)
Camille Redouble Noémie Lvovsky (France, 2012)
Samedi 26 juillet
Scream 4 de Wes Craven (USA, 2011)
Dimanche 27 juillet
Quadrophenia de Frank Roddam (Grande-Bretagne, 1979)
Mercredi 30 juillet
Le Dernier Été de la Boyita de Julia Solomonoff (France, 2009)
Jeudi 31 juillet
À Nos Amours de Maurice Pialat (France, 1983)
Vendredi 1er août
Sous la lame de l’épée d’Hélier Cisterne (France, 2011)
Les Enfants Loups de Ame & Yuki et Mamoru Hosoda (Japon, 2012)
Samedi 2 août
American Graffiti de George Lucas (USA, 1973)
Deep end de Jerzy Skolimowski (Grande-Bretagne/Pologne/Allemagne, 1970)
17 filles de Muriel Coulin et Delphine Coulin (France, 2011)
Jeudi 7 août
Sweet Sixteen de Ken Loach (Grande-Bretagne/Allemagne/Espagne, 2002)
Vendredi 8 août
Les Astres noirs de Yann Gonzales (France, 2009)
Hairspray de John Waters (USA, 1988)
Samedi 9 août
Chacun cherche son chat de Cédric Klapisch (France, 1996)
Dimanche 10 août
A bout de course de Sydney Lumet (USA, 1988)
Mercredi 13 août
Martha Marcy May Marlene de Sean Durkin (USA – 2012)
Jeudi 14 août
Pauline à la plage d’Eric Rohmer (France – 1963)
Vendredi 15 août
Toutes les montagnes se ressemblent de Sébastien Betbeder et Christelle Lheureux (France, 2009)
Somewhere de Sofia Coppola (USA, 2010)
Samedi 16 août
Carrie au bal du diable de Brian de Palma (USA – 1976)
Lolita de Stanley Kubrick (Grande-Bretagne, 1962)
Mercredi 20 août
L’été de Giacomo d’Alessandro Comodin (Italie/France/Belgique, 2011)
Half Nelson de Ryan Fleck (USA, 2006)
Vendredi 22 août
Vilaine fille, mauvais garçon de Justine Triet (France, 2011) – 30 mn
Les Beaux gosses de Riad Sattouf (France, 2009)
Samedi 23 août
Elephant de Gus Van Sant (USA, 2003)
Dimanche 24 août
Fame d’Alan Parker (USA, 1980)
Quelle merde Transformers 4

Bay redéfinit la surenchère avec son film. Sans parler des placements de produits tous les deux plans, des trous béants dans le "scénario", le bordel général, etc.
DelSpooner
03/07/2014 14:23
Y'a même pas une séquence à sauver ?
Citation (DelSpooner @ 03/07/2014 15:23)

Y'a même pas une séquence à sauver ?
Bah t'as les effets spéciaux qui sont impressionnants (même si certains fonds verts...) Mais franchement même les scènes de combats sont moins bonnes que dans les précédents films. On voit que Bay n'en a rien du tout eu à foutre du film. Par exemple, t'as une scène de course poursuite sur l'autoroute, Optimus Prime contre un méchant, le plan d'après les deux sont en train de se battre en version robot sans que tu comprennes rien à ce qu'il s'est passé

Allez, je sauve le personnage de Tucci, même si introduit n'importe comment.
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