Citation
Mais l’arrivée fracassante du PSG dans la Deloitte Money League 2014 (directement à la 5ème place, avec les plus hauts revenus commerciaux annuels jamais enregistrés par une équipe de football) est déjà un indice en soi : le club est passé en un seul exercice de l’anonymat d’une 30 ou 40ème place (derrière Sunderland et les Corinthians de Sao Paulo) au Top 5 des multi vainqueurs de la Ligue des Champions. Il est difficile à croire que cette performance soit réalisée sur la seule progression des ventes de maillots, de produits dérivés et des recettes de contrats publicitaires
Citation
En reconstituant ses revenus commerciaux dans l’optique de la ventilation des recettes Deloitte, on peut calculer la progression de ceux ci entre les périodes 2007-2011 et 2012-2016. Le résultat est sans appel, les revenus commerciaux moyens (sur 5 ans) du PSG ont progressé de… 1229 %, là où ceux des 8 autres plus grands clubs « historiques » n’ont progressé en moyenne que de 82 % (de + 57 % pour la Juventus de Turin à + 154 % pour Manchester United). Seul Manchester City (l’autre « nouveau riche » ciblé par Javier Tebas) s’intercale entre Paris et les historiques avec 362 % de croissance de ses revenus commerciaux.
Même si on pouvait un peu s'en douter et que malgré tout depuis le club s'est des plus nettement amélioré sur l'aspect marketing.. Il y a quand même des chiffres qui font peur, d'ailleurs quels sont nos sources de revenus conséquentes autres que les sponsoring qatari, qta, qnb, ooredoo, aspire.. Nike, Fly Emirates, Nivea lol, il fut un temps Citroën et Huawei qui je crois devaient ou ou cessés depuis ? Il y a avait eu un article complet sur le TSS il me semble ?
Bref oui le but même si pas premier du fpf est mauvais, protéger les historiques et a pour effet de réduire la concurrence et de forcer les clubs a plus de créativité, bien joué Michel mais je comprends limite que depuis le début ça gueule quand même.
Citation (sukercop @ 10/09/2017 12:03)

Ça veut rien dire artificiellement gonflé.
Dans le cadre du fpf et même autre, bien-sûr que si, sauf a jouer sur les mots.