Citation (Panenka @ 08/02/2010 à 00:44)

En même temps on s'en fout.
En parler si tu fais 0-0 ou 0-1 je veux bien.
Quand tu te fais briser de la sorte je ne sais pas si c'est nécessaire d'en parler.
Ca fait chialeuse sur un fait de jeu, et je ne suis pas sûr que cela aurait franchement changé grand chose.
T'es à Paris, t'es dans une série de défaites, notamment avec un manque d'efficacité devant, tu marques un but parfaitement valable et on te le refuse pour une raison que même les Lorientais ignorent (interview de Vahirua à la mi-temps) et au lieu de mener 1-0, tu te retrouves à 0-1 (après un enième bête contre, et sur une décision de l'arbitre, même si elle se révèle être la bonne).
Il y a de quoi sombrer. Puis même pour le 2e but, si ça fait 1-2, on peut encore repenser à la rémontée de la saison dernière contre cette même équipe et le Parc n'en vient pas encore à ce qu'on a vu à partir de 0-2.
Citation ('dready')
Oui, surtout qu'on disait la même chose par rapport à notre penalty injustement sifflé à Boulogne.
Pourquoi "injustement" ? Parce qu'Erding ose sauter pour essayer d'éviter le tacle au lieu de rentrer dedans pour chercher le pénalty ? Et après on arrête pas de pleurer pour les tombeuses à la Valbuena et on se plaint des simulateurs...
Et puis ce n'est pas la même chose, ça reste de l'interprétation... le but d'Hoarau refusé, c'est une invention de règle ("défenseur remet
involontairement pour Hoarau donc il est HJ" d'après les propos du délégué des arbitres rapportés par les commentateurs de Foot+).
Le 3e but, on voit que l'arbitre pèse. La semaine d'avant, Camara défonce presque un lyonnais par trop d'engagement et là, il y va au frein à main et donc l'adversaire a le contre favorable.
Avant même le but refusé, on a droit à 3 situations de HJ : 2 pour Paris sont sifflés (ça devait être limite mais on a pas eu de ralentis pour juger) et 1 pour Lorient où Gameiro file au but et tire au-dessus -> ralenti : il était HJ mais là, pas sifflé.
Mais bon, c'est mon leitmotiv, c'est juste une question de retombée médiatique. Le but refusé pour une règle inventée par les arbitres du jour passe comme une lettre à la poste (quand même mentionné dans certains CR, encore heureux) alors que diverses situations liées à une interprétation subjective font l'état de débat de la semaine, avec souvent l'avis tranché en faveur d'une des interprétations possibles (ex: PSG-Auxerre en faveur de Contout/Auxerre et OM/Bordeaux en faveur de Mandanda/OM).