PuceDeBarbesLaFaMiLLe8013
29/03/2011 12:47
Citation (Parisian @ 29/03/2011 à 13:21)

Diouf, vu qu'il est pas francais on a pas le quart de la moitie de ses frasques. Quand j'etais au Senegal je l'ai croise 2-3 fois en boite, plus les casseroles qu'il se traine au cul que j'ai lu a droite a gauche, c'est quand meme du top niveau dans la profondeur de la debilite:
- Il aurait frappe une ex femme de Fadiga dans une boite de nuit
- Des declarations au mic en boite du genre "je suis dans le top 5 des attaquantes du monde" (bon j'ai pas les citations exactes, mais dans la teneur, c'est de ce genre)
- Incitation a des mineures de 15-16 ans a faire des show sexy en boite (en connaissance de cause concernant leur age apparemment)
...
Bref du lourd

Ousseynou El Hadji Diouf est poursuivi pour coups et blessures volontaires. Dans la nuit du 4 au 5 juillet dernier, l’attaquant sénégalais a administré une gifle à Aïcha Bâ, jeune Gambienne, anciennement madame Fadiga, alors qu’ils se trouvaient au Casino du Cap-Vert, un night-club de Dakar. L’origine de l’agression serait un grave différend qui oppose la jeune femme à Khalilou Fadiga, autre International sénégalais et ami intime de Diouf.
Par Anna-Alix Koffi
Il crache, il gifle, rien ne l’arrête. L’ancien Ballon d’or africain 2002 continue ses frasques. L’attaquant sur le déclin préfère étonner par un comportement de plus en plus inconséquent, plutôt que par ses prouesses techniques. Il est cette fois poursuivi en justice pour coups et blessures volontaires sur Aïcha Bâ, ancienne compagne du footballeur Khalilou Fadiga.
La demoiselle se trouvait au Casino du Cap-Vert, club dakarois, quand El Hadji Diouf est arrivé, s’est assis à côté d’elle et de ses amies, pour les « taquiner méchamment comme à son habitude » avant de prendre le micro du disc-jockey pour interpeller les jeunes femmes avec des « Fadiga Mother F.ucker ! » ou « Sales Gambiennes, vous n’êtes pas chez vous ici ! », selon la version de la victime. Face à l’ignorance feinte des jeunes femmes, Diouf décide de barrer la route à Aïcha lorsque celle-ci veut se déplacer.
Après plusieurs demandes verbales, elle pousse Diouf qui lui donne « une claque violente ». S’en suit une bagarre générale.
Aïcha Bâ s’en sortira avec une minerve et 25 jours d’arrêt de travail. Après la plainte déposée, El Hadji Diouf a été entendu par la police le 6 juillet dernier. Contactés par Afrik, Ousseynou El Hadji Diouf et Khalilou Fadiga n’ont pas souhaité apporter leur version des faits. Depuis Dakar, le premier a déclaré qu’il « [n’avait] pas de temps à perdre ». Contacté en Angleterre, le second a affirmé ne pas avoir connaissance de cette histoire avant de brusquement couper court à la conversation.
Touche pas à mon « frère de lait »
A l’origine de la mésaventure :
la bigamie de Fadiga et son refus de reconnaître l’enfant issu de son second mariage. Aïcha Bâ et Khalilou. Fadiga se sont mariés au Sénégal de manière traditionnelle [1] en décembre 2003. Mais Fadiga est déjà le conjoint d’une femme précédemment épousée en Belgique. Les secondes noces n’ayant pas de valeur légale, Fadiga, pour ne pas compromettre son premier mariage, refuse de reconnaître l’enfant né il y a quatre mois. Aïcha Bâ entame alors une procédure de reconnaissance en paternité à Paris, où elle vit.
Fadiga et Diouf étant meilleurs amis et « frère de lait » (c’est-à-dire nourris par le même sein sans être issus de la même mère), Diouf semble trouver juste de ne pas accorder de répit à la jeune femme dès que leurs chemins se croisent. Selon les dires de Madame Bâ et de M. Dieng, journaliste à L’Observateur, à Dakar,
Diouf n’en est pas à son coup d’essai. Le jeune homme aurait pour habitude de passer ses nuits à boire jusqu’à l’ivresse et de gifler les femmes qui éconduisent ses avances. Diouf « souvent saôul et irrespectueux » agit en enfant capricieux dans une ville où « il pense qu’il fait la loi. ».
« Depuis le score vierge entre le Sénégal et le Togo en juin dernier, les gens lui en veulent, alors Diouf se promène avec cinq lutteurs sénégalais », affirme M. Dieng. Cinq gardes du corps qui, en plus d’assurer sa protection, provoqueraient des bagarres autour du joueur... Quant à Aïcha Bâ, elle déclare s’en remettre à la justice. Elle souhaite que le footballeur soit jugé « comme n’importe quelle personne et pas comme Diouf la star ».